Sujet: here we go again. w/silver Dim 11 Jan - 17:35
✣ ✣ ✣ la vie est courte. c’est pourquoi je réfléchis moins, et agis plus. ________________________ premier rp sous Elijah pour Silver
Habituellement, Elijah étudie dans son domaine d'étude la nuit. Mais, il avait réussi à s'avancer dans ses révisions. Alors, il se permettait de prendre trois jours pour lui. De pouvoir également profitait de ramener de jeune minette écervelés chez lui, enfin dans la maison qu'il partage généreusement avec son frère et, sa nouvelle coloc' Silver. Une jeune femme qu'il aime bien faire tourner en bourrique et la rendre vache par la même occasion. Quand il dit la rendre vache, il veut dire par la qu'il essaye de la rendre complètement folle en quelques sortes. C'était sa dernière grasse matinée, si on peut appeler cela ainsi. Étant donné, qu'il devait être dans les environs de 06 h 30 - 07 h 00 du matin quand soudain Elijah vient à sentir la lumière qui venait directement de dehors venir caresser son visage mal réveillé. Elle n'avait donc peur de rien cette brunette, elle savait qu'elle risquerait de gros dégâts permanent à vouloir faire ce genre de choses envers le jeune damoiseau qu'il était. Après avoir compris que quelqu'un avait finalement ouvert les rideaux de sa chambre pour le réveiller, Elijah vient à s'accouder tranquillement sur son lit avant d'ancrer son regard sur Silver. Le jeune homme qui était déjà de mauvaise humeur et ce n'était pas un bon signe pour la journée. « .Dégage-moi cette grognasse de suite du salon. Je n'ai pas envie de voir une blondasse peroxydée sans cervelle dormir dans MON canapé!. » Le jeune homme vient a balancé un oreiller sur la jeune femme qui se tenait devant lui après avoir entendu rapidement ses paroles. D'un autre côté, faut dire qu'elle n'avait pas tort en même temps. Puisque la belle inconnue qui était affalée sur le canapé était bien un mollusque écervelé qui avait un rire à se suicider immédiatement puis elle n'avait aucune conversation. Le jeune homme venait de se lever finalement de son lit pour ensuite laisser paraître le fait qu'il ne porte précisément rien sur lui. Il s'approcha dangereusement de la jolie brunette qui était à quelques centimètres de lui et finit de rétorquer en ayant un petit sourire moqueur. « .Premièrement ... bonjour à toi Silver, tu as bien dormir toi aussi j'espère ?. » héla-t-il d'un petit sourire en coin. Quand Elijah a envie d'emmerder son monde, il n'y allait pas de main morte. « .Deuxièmement, si le mollusque qui est affalée sur le canapé te gêne tant que ça, tu n'as qu'à la faire déguerpir d'ici par tes propres moyens. » répliqua-t-il sans le moindre scrupule. Si Silver n'aimait vraiment pas voir cette femme dans son canapé, elle pouvait très bien se servir de ses mains pour la faire dégager de la maison. « .Et troisièmement, je fais ce que je veux dans cette baraque. Étant donné que je paie la moitié du loyer. » Elijah payait même plus que la moitié, Silver donnait une petite part pour montrer qu'elle pouvait s'assumer. Mais, au fond c'est plus la famille Nguyen-Costa qui payaient pratiquement tout dans cette magnifique maison. Surtout que c'est le paternel d'Esteban et Elijah qui avaient trouvé cette perle rare à San Francisco. Silver n'est qu'une simple coloc', rien de plus. Donc, aucun ordre à donner. Surtout pas à Elijah, en prime. Elle pouvait se permettre de tout sauf, de faire ça. Elle le sait très bien comment il réagit face à ses choses-là. Il pourrait très vite se mécontenter et l'envoyer valsé, lui faire les pires bassesses. En un claquement de doigt, la jeune femme pouvait se retrouver à la rue. Et, sans remords puisque Elijah en a absolument aucune envers qui que ce soit. Même son frère en prend pour son grade. La preuve ultime qu'Elijah peut faire tout ce qu'il voulait sans s'en soucier, comme de la dernière pluie. Alors, si elle ne veut réellement plus voir cette mijaurée de la maison. Elle devra déployer les grands remèdes. Puisque Elijah ne bougera pas un petit orteil. D'ailleurs, il lui faisait comprendre en se levant pour récupérer son oreiller. Au passage, pour la faire encore plus enrager il ne se gêne pas de se balader dénudé de la tête au pied sous les yeux horripiler de la demoiselle. Une fois l'oreiller en sa possession, Elijah retourne s'allonger dans son lit comme-ci rien ne venait de se passer et, essaye de se rendormir pour récupérer les heures de sommeil qui lui manquaient, cruellement.
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Sujet: Re: here we go again. w/silver Mar 20 Jan - 21:54
here we go again.
Silver & Elijah
Silver resserrait les pans de la chemise trop grande dans laquelle elle s’était faufilée, poitrine nue, peau hérissée par le froid lorsqu’elle était sortie de sa couette brûlante et assommante. Après avoir enfilée un rapide short de coton, la jeune femme s’était dirigée vers la cuisine et avait, par habitude, allumée la cafetière pour s’écraser sur le tabouret haut de la cuisine où elle entamait laborieusement, la découverte de la une du journal de ce matin. Evidement, l’explosion du pavillon Hildebrand. On y apercevait des flammes, des brides de citations étudiantes, un titre soigneusement érigé pour noter l’apocalypse qui s’était réfugiée au creux de la fournaise et même quelques photos des étudiants masqués, qui se trouvaient sur les lieux pour un bal déplorable. Comment louper ce flamboyant évènement et les effets néfastes qu’il apporterait aux confréries étudiants qui régissaient le parvis segmentaire d’une élite chouchoutée depuis toujours ? Pour sa part, Silver se fichait de connaître les conséquences de cette faucheuse noir qu’on appelait la seven society et désirait seulement que Berkeley reste ouvert pour lui offrir la possibilité d’une entière stabilité avec un diplôme à la clé. Elle abandonnait sa lecture d’un œil profondément ensommeillé pour glisser de nouveau hors du mobilier en bois ancien pour se servir le liquide noirâtre et amer qui lui tirait une grimace lorsque son palais se retrouvait au contact de la boisson brulante. Son regard s’éternisait au travers de la pièce illuminée par le soleil qui était déjà à son zenith, ensoleillant la pièce et les murs d’un blanc virginale à lui en faire frissonner la rétine. Mais ce qui attirait ses pupilles bleutés n’était pas la baie vitrée qui éclatait l’horizon en une ondulation régulière du verre sous la chaleur mais plutôt le corps, affalé sans vie sur l’immense sofa au cuir lisse et rugueux. Son regard s’assombrissait lorsqu’elle faisait courir son attention le long des longues jambes dénudées de la jeune femme et qui laissait entrevoir sous le drap immaculé, sa chevelure blonde. Lâchant sa tasse sur le comptoir, manquant de renverser son café, elle emboitait le pas à son humeur colérique pour distribuer sa mauvaise humeur au gré des mètres qu’elle parcourait afin d’atteindre la chambre d’Elijah. Autant oublier de suite Esteban, il était loin d’être comme son crétin de frère. Bousculant sa zénitude et ses idéaux de calme, la jeune femme interrompait ses rêveries presque matinales pour se plonger dans une colère redoutable. Si Silver avait eu l’envie de retrouver son ancien appartement, il se trouvait qu’il avait été déjà pris par de nouveaux locataires. Evidement, les Ross-Whright lui avait de nouveau proposer de lui payer un somptueux domaine dans les hauteurs de San Francisco mais loin de partager avec eux l’engouement qui s’échappait de cette mascarade familiale dans laquelle, l’ancienne sigma s’était retrouvée plongée deux ans auparavant, elle laissait l’opportunité à ses grands-parents de l’aider financièrement mais en mettant elle aussi, la main à la pate. Et évidement, elle n’avait pas refusé l’offre d’Esteban et d’Elijah lorsqu’ils avaient vu qu’elle recherchait un colocataire. Mais ce grand espace lui donnait des frissons. Reculé, dévisageant la beauté de la ville, s’était parfaitement le genre de demeure qui lui permettrait de s’atteler à son travail sans pression aucune autour d’elle et en lâchant prise sur les désagréables prémisses d’orages qui pourraient s’abattre de nouveau sur elle. C’était un nuage divin dans lequel elle vivait dorénavant, avec deux hommes. Mais si elle redoutait cette promiscuité et désirait plus que tout, planer sur sa plus grande intimité et indépendance, l’immensité de la villa, lui permettait de combler ces manques qu’elle avait eu peur de ressentir. Malheureusement pour elle, vivre avec deux hommes et les problèmes que cela pouvait engendrer, venaient de lui exploser en plein nez, au centre même du salon audacieusement décoré par les deux frangins. Pénétrant dans la chambre de l’homme, elle écartait à grand coup de nerf, les rideaux qui firent émerger les rayons belliqueux de l’astre solaire, sur le visage d’Elijah pendant qu’elle rattrapait in extrémiste, le coussin qu’on lui lançait en pleine figure. Hurlant ses menaces, il la regardait excédé par ce trop plein d’énergie qu’elle lui lançait au visage. Fort est de constaté que la jeune femme avait sensiblement changé, elle remarquait désagréablement que les hommes resteraient à jamais son point faible et aujourd’hui, Silver, dans sa grande colère, cherchait à dissimuler ses envies de glisser son regard sur le corps du jeune homme, encore caché sous les couettes à son plus grand soulagement. Heureusement oui ! Manquerait plus que tu l’as fasse crier pendant que j’essaie de dormir ! Qu’elle lui lance avec la plus intime conviction qu’elle se doit d’être abjecte. Silver c’est soit la solitude incarnée soit la mauvaise humeur au plus haut volt. Condamnable dès son entrée, la jeune femme ne se démontait absolument pas et continuait dans des propos exacerbés à lui faire comprendre qu’elle ne supportait pas de se retrouver au milieu du salon, des femmes qu’elle ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam. Il était hors de question que cela se reproduise. Non c’est à toi de la foutre dehors ! Il est hors de question que je vive dans un bordel ! Je te demande juste de les garder dans ta chambre et pas de les éparpiller n’importe où dans la maison tu seras gentil ! Voila le tout du problème. Silver se fichait des conquêtes de l’homme. Après tout, elle savait déjà qu’elle aurait à faire face à de tels débordements mais imaginer que ces débordements viendraient à impacter sur les pièces communes de la villa venait à lui faire réprimer une grimace de dégout. Une seule envie ? Enfiler ses gants et nettoyer partout dans la maison à défaut de savoir si la femme de ménage répondrait à son appel d’urgence. Ben justement, tu paies que la moitié donc j’ai mon mot à dire ! Si je te ramenais un club de striptease masculin et que je les laissais festoyer sous ton nez je suis pas sûre que t’apprécierais ! Qu’elle lui lançait bien que l’étudiante commençait déjà à reculer, la tapisserie blanchâtre déteignant légèrement sur son visage. Il s’était redressé, levé maintenant. Ses pieds posés sur le sol, elle les avait observés sans oser relever son visage vers son minois enjôleur. Merde. C’était un comble, les hommes adoraient se comporter en goujat avec elle. Mais fort heureusement, il ne s’avançait pas vers elle et venait recadrer sa dignité dans le lit, en dehors de sa vue. Ok, très bien ! Qu’elle tentait de reprendre, la gorge irrité, l’audace vacillante et pourtant, gonflée à bloc. Ainsi, elle lui balançait un coussin en pleine figure avant de déguerpir à travers les dédales de couloirs pour retrouver la pouffiasse calée sur le canapé. La poussant d’une main, elle soupirait. Allez on s’en va. Elijah est partit, il a dit qu’il t’attendait sur le perron. Vite il a pas beaucoup de patience. La demoiselle se réveillait, le maquillage ébruité sur son visage, les mèches dorés pendent lâchement sur son teint effacé et elle la dévisageait alors. Silver comme la bonne poire qu’elle était, l’a redressait et l’accompagnait vers la sortie et avant même que l’inconnue ne découvre que le delta ne se trouvait pas derrière la porte, Silver refermait le battant de bois brut devant sa mine outragée. Tapotant dans ses mains en un regain de vitalité, elle secouait la tête. Et même pas capable de rester dans le lit d’un homme après avoir couché avec lui. Pathétique.
Accueil 
Silver resserrait les pans de la chemise trop grande dans laquelle elle s’était faufilée, poitrine nue, peau hérissée par le froid lorsqu’elle était sortie de sa couette brûlante et assommante. Après avoir enfilée un rapide short de coton, la jeune femme s’était dirigée vers la cuisine et avait, par habitude, allumée la cafetière pour s’écraser sur le tabouret haut de la cuisine où elle entamait laborieusement, la découverte de la une du journal de ce matin. Evidement, l’explosion du pavillon Hildebrand. On y apercevait des flammes, des brides de citations étudiantes, un titre soigneusement érigé pour noter l’apocalypse qui s’était réfugiée au creux de la fournaise et même quelques photos des étudiants masqués, qui se trouvaient sur les lieux pour un bal déplorable. Comment louper ce flamboyant évènement et les effets néfastes qu’il apporterait aux confréries étudiants qui régissaient le parvis segmentaire d’une élite chouchoutée depuis toujours ? Pour sa part, Silver se fichait de connaître les conséquences de cette faucheuse noir qu’on appelait la seven society et désirait seulement que Berkeley reste ouvert pour lui offrir la possibilité d’une entière stabilité avec un diplôme à la clé. Elle abandonnait sa lecture d’un œil profondément ensommeillé pour glisser de nouveau hors du mobilier en bois ancien pour se servir le liquide noirâtre et amer qui lui tirait une grimace lorsque son palais se retrouvait au contact de la boisson brulante. Son regard s’éternisait au travers de la pièce illuminée par le soleil qui était déjà à son zenith, ensoleillant la pièce et les murs d’un blanc virginale à lui en faire frissonner la rétine. Mais ce qui attirait ses pupilles bleutés n’était pas la baie vitrée qui éclatait l’horizon en une ondulation régulière du verre sous la chaleur mais plutôt le corps, affalé sans vie sur l’immense sofa au cuir lisse et rugueux. Son regard s’assombrissait lorsqu’elle faisait courir son attention le long des longues jambes dénudées de la jeune femme et qui laissait entrevoir sous le drap immaculé, sa chevelure blonde. Lâchant sa tasse sur le comptoir, manquant de renverser son café, elle emboitait le pas à son humeur colérique pour distribuer sa mauvaise humeur au gré des mètres qu’elle parcourait afin d’atteindre la chambre d’Elijah. Autant oublier de suite Esteban, il était loin d’être comme son crétin de frère. Bousculant sa zénitude et ses idéaux de calme, la jeune femme interrompait ses rêveries presque matinales pour se plonger dans une colère redoutable. Si Silver avait eu l’envie de retrouver son ancien appartement, il se trouvait qu’il avait été déjà pris par de nouveaux locataires. Evidement, les Ross-Whright lui avait de nouveau proposer de lui payer un somptueux domaine dans les hauteurs de San Francisco mais loin de partager avec eux l’engouement qui s’échappait de cette mascarade familiale dans laquelle, l’ancienne sigma s’était retrouvée plongée deux ans auparavant, elle laissait l’opportunité à ses grands-parents de l’aider financièrement mais en mettant elle aussi, la main à la pate. Et évidement, elle n’avait pas refusé l’offre d’Esteban et d’Elijah lorsqu’ils avaient vu qu’elle recherchait un colocataire. Mais ce grand espace lui donnait des frissons. Reculé, dévisageant la beauté de la ville, s’était parfaitement le genre de demeure qui lui permettrait de s’atteler à son travail sans pression aucune autour d’elle et en lâchant prise sur les désagréables prémisses d’orages qui pourraient s’abattre de nouveau sur elle. C’était un nuage divin dans lequel elle vivait dorénavant, avec deux hommes. Mais si elle redoutait cette promiscuité et désirait plus que tout, planer sur sa plus grande intimité et indépendance, l’immensité de la villa, lui permettait de combler ces manques qu’elle avait eu peur de ressentir. Malheureusement pour elle, vivre avec deux hommes et les problèmes que cela pouvait engendrer, venaient de lui exploser en plein nez, au centre même du salon audacieusement décoré par les deux frangins. Pénétrant dans la chambre de l’homme, elle écartait à grand coup de nerf, les rideaux qui firent émerger les rayons belliqueux de l’astre solaire, sur le visage d’Elijah pendant qu’elle rattrapait in extrémiste, le coussin qu’on lui lançait en pleine figure. Hurlant ses menaces, il la regardait excédé par ce trop plein d’énergie qu’elle lui lançait au visage. Fort est de constaté que la jeune femme avait sensiblement changé, elle remarquait désagréablement que les hommes resteraient à jamais son point faible et aujourd’hui, Silver, dans sa grande colère, cherchait à dissimuler ses envies de glisser son regard sur le corps du jeune homme, encore caché sous les couettes à son plus grand soulagement. Heureusement oui ! Manquerait plus que tu l’as fasse crier pendant que j’essaie de dormir ! Qu’elle lui lance avec la plus intime conviction qu’elle se doit d’être abjecte. Silver c’est soit la solitude incarnée soit la mauvaise humeur au plus haut volt. Condamnable dès son entrée, la jeune femme ne se démontait absolument pas et continuait dans des propos exacerbés à lui faire comprendre qu’elle ne supportait pas de se retrouver au milieu du salon, des femmes qu’elle ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam. Il était hors de question que cela se reproduise. Non c’est à toi de la foutre dehors ! Il est hors de question que je vive dans un bordel ! Je te demande juste de les garder dans ta chambre et pas de les éparpiller n’importe où dans la maison tu seras gentil ! Voila le tout du problème. Silver se fichait des conquêtes de l’homme. Après tout, elle savait déjà qu’elle aurait à faire face à de tels débordements mais imaginer que ces débordements viendraient à impacter sur les pièces communes de la villa venait à lui faire réprimer une grimace de dégout. Une seule envie ? Enfiler ses gants et nettoyer partout dans la maison à défaut de savoir si la femme de ménage répondrait à son appel d’urgence. Ben justement, tu paies que la moitié donc j’ai mon mot à dire ! Si je te ramenais un club de striptease masculin et que je les laissais festoyer sous ton nez je suis pas sûre que t’apprécierais ! Qu’elle lui lançait bien que l’étudiante commençait déjà à reculer, la tapisserie blanchâtre déteignant légèrement sur son visage. Il s’était redressé, levé maintenant. Ses pieds posés sur le sol, elle les avait observés sans oser relever son visage vers son minois enjôleur. Merde. C’était un comble, les hommes adoraient se comporter en goujat avec elle. Mais fort heureusement, il ne s’avançait pas vers elle et venait recadrer sa dignité dans le lit, en dehors de sa vue. Ok, très bien ! Qu’elle tentait de reprendre, la gorge irrité, l’audace vacillante et pourtant, gonflée à bloc. Ainsi, elle lui balançait un coussin en pleine figure avant de déguerpir à travers les dédales de couloirs pour retrouver la pouffiasse calée sur le canapé. La poussant d’une main, elle soupirait. Allez on s’en va. Elijah est partit, il a dit qu’il t’attendait sur le perron. Vite il a pas beaucoup de patience. La demoiselle se réveillait, le maquillage ébruité sur son visage, les mèches dorés pendent lâchement sur son teint effacé et elle la dévisageait alors. Silver comme la bonne poire qu’elle était, l’a redressait et l’accompagnait vers la sortie et avant même que l’inconnue ne découvre que le delta ne se trouvait pas derrière la porte, Silver refermait le battant de bois brut devant sa mine outragée. Tapotant dans ses mains en un regain de vitalité, elle secouait la tête. Et même pas capable de rester dans le lit d’un homme après avoir couché avec lui. Pathétique.