Ce rp se déroule quelques années auparavant. Nous nous trouvons à Tokyo et Ezio a alors 19 ans.

Minuit tapantes ... Dans une ancienne zone industrielle désaffectée de Tokyo.

Les moteurs des voitures vrombissent, la musique résonne par zone à qui poussera le plus fort les amplis de sa caisse de kéké. Je n'ai jamais été adepte du tuning même si certains trucs sont pas mal il faut l'avouer. Mais il faut que ça reste dans une certaine mesure, pas comme ces trucs trop tape à l’œil qu'on croise sans arrêt à ce genre de courses et qui n'ont rien dans le ventre au final ou dont les pilotes n'osent pas vraiment pousser leurs bolides de peur de l’abimer vu les sommes folles qu'ils y ont investis.
Bref, c’est dans tout ce vacarme qu'a lieu un rassemblement pour le moins secret sauf pour les initiés, puisqu'il s'agit d'une de ces courses illégales qui ont lieu dans des coins désertés ou zones industrielles à la périphérie de la ville. Je me trouve là avec quelques potes parmi lesquels des copines sont venus assister comme toujours à l'évènement.
Il y a cette fille de notre lycée qui sort avec l'un de mecs de la bande. Et putain, elle me fait vraiment de l’œil. Rayè n'est pas réglo avec elle, ça craint et ça ne me donne qu'une envie, c'est de la lui tirer. Putain, il a une gonzesse magnifique entre les bras et qui sort du lot de pimbêches habituelles, mais ce n'est pas ça pour autant qui l'empêche de lui manquer de respect et de se prendre la tête avec elle sans arrêt, sans compter sur les filles qu'il se tape dans son dos.
Un jour sérieux, je vais lui en coller une et je ne me gênerais pas pour lui arracher sa délicieuse Jade.

D'ailleurs ce temps est peut-être venu vu ce qui semble se tramer en face de nous. Je me tiens avec un pote contre le capot de la caisse que je vais piloter ce soir, une fille de la bande à ma droite qui me drague lourdement en me touchant sans arrêt les cheveux entre autres, et Jade et Rayè se trouvent face à nous avec deux potes et deux autres copines de la bande. Il semble encore y avoir une prise de tête entre Jade et Rayè vu que déjà bien fait comme il l'est, commence à l'insulter et à la pousser un peu trop violemment à mon goût. Bon, ça on a l'habitude mais là visiblement, Rayè de mes deux a pas l'air décidé à se calmer et ça prend des drôles de proportions au fil des minutes. A côté de moi, mon pote Renji me fait signe de laisser faire. Il me connait bien et sent que je risque de partir au quart de tour si l'autre continue à malmener ainsi Jade sous nos yeux.

- Du calme Ezio, tu sais comment il est. Merde, évite les embrouilles ce soir, la course démarre d'ici cinq minutes mec ! me conseille Renji.

Je le pousse tandis qu'il tente de me barrer la route alors que je vais me planter devant Jade et Rayè.

- Hep "Raille" de mes deux, tu te calmes avec elle. Passe tes nerfs sur une autre de tes poufs mais pas elle, c'est clair ?!

Rien à foutre si les choses partent en vrille, il a abusé avec elle et contrairement aux autres qui sont d'avis de laisser faire puisqu'aucun n'a bougé son cul à part moi quand il l'a giflé, moi je ne peux rester sans réagir. Rayè cherche à faire son caïd en bombant le torse face à moi et en commençant à faire son show ridicule. Putain, pourtant tout le monde sait dans la bande que s'il y a un truc qui est susceptible de me gonfler, c'est bien ce genre de comportement de kéké. Et du coup, ma réaction se fait sans attendre tandis qu'il fait le coq devant moi avec des provocations toutes plus idiotes les unes que les autres, alors que je lui colle mon poing en travers de la gueule pour lui faire enfin fermer sa putain de bouche. Comme il faut s'y attendre avec ce genre de type, il se met limite à taper sa crise et à chialer et du coup les autres le retiennent de venir m'en coller une à son tour ou du moins ils font style de le retenir car comme j'en ai déjà été témoin nombre de fois, ce mec n'a rien dans le froc et si on le laissait mettre les menaces qu'il profère à exécution, il parlerait encore longtemps avant de vraiment se lancer pour venir oser m'en mettre une.

Enfin soit, j'attrape Jade par le poignet et je l'attire à ma suite près de la caisse. C'est un vieille Mustang qui a fait ses preuves et qui vaut sans doute mieux que certains bolides récents.

- Tu veux grimper avec moi ? Je t'invites ainsi à monter côté passager durant la course. La plupart des filles prennent ça pour un privilège, quant à moi, je n'avais encore jusque là jamais accepté qu'on monte avec moi.
J’ai envie de te dire de quitter ce mec et de te maquer avec moi. Mais plutôt que les mots, je choisis de te formuler cette douce requête par l’intermédiaire d'un baiser sulfureux sous le nez de l'autre. Ce con peut aller se faire foutre, je saurais mieux te traiter que lui et je te veux. Depuis longtemps déjà. Alors, t'embarques avec moi ?
Cette question vaut autant pour la course que pour la douce invitation formulée par mes lèvres.

       

Ce Rp se déroule dans la ville de Tokyo, Jade est alors en voyage et elle n'a que 19 ans. Il se passe dans une ancienne zone industrielle de la ville et il est tard dans la nuit (environ 0h00)

C'était un lieu assez sombre pas très fréquentable, et où se déroulait des courses de voitures illégales. Il y avait plusieurs clans, plusieurs bolides plus beaux les uns que les autres mais surtout la musique à fond et on pouvait même entendre les moteurs des voitures. Je n'étais pas spécialement une très grande fan de voiture ni de course de voiture, mais si j'étais là ce soir c'était tout simplement pour mon petit copain Rayè. C'était sa passion la voiture il adorait et les courses n'en parlons pas, il tenait à ce que je vient à chaque fois et que bien évidemment que je m'habille bien en conséquence pour ne pas faire honte à ses amis. Je devais être la petite amie parfaite, bien foutue, belle sans rien qui cloche quoi... Sauf que pour moi la perfection n'existe pas, mais bon je lui faisais plaisir comme d'habitude. Je soutenais mon petit copain, tandis que lui se pavanait à travers les bolides en compagnie de ses amis et devant les autres femmes. Cela m'agaçait énormément mais je ne pouvais une fois de plus dire rien, et la meilleure chose à faire était de me taire. Il faisait ronronner son petit bolide chérie, faisant même monter quelques inconnues à bord et moi j'étais là telle une statue servant à rien sauf à admirer. Je ne sais pas vraiment pourquoi je restais avec cet homme qui en avait pas grand-chose à foutre de moi, à part peut-être me baiser et faire le canard devant les autres et encore? Pourtant j'étais une femme avec du caractère, mais devant lui souvent je m'écraser allez savoir pourquoi... Je n'osais trop rien dire de peur de faire éclater une nouvelle dispute, et puis même j'avais pour dicton soit belle et tait toi tout simplement. Par moment j'avais envie de lui foutre des baffes, de l'insulter et de lui mettre la misère et la honte en public. Mais peut-être que j'avais un petit peu peur de lui, et de ses réactions qu'on ne peut jamais connaître! Des fois c'était un homme assez violent, autant en actes qu'en paroles. Mais moi Jade James la fille courageuse avec un sacré caractère trempé tremblé presque contre lui, qu'est-ce qui m'avait pris de me mettre en couple avec un type pareil sérieux? Il aurait mieux fallu qu'à cet instant précis, la foudre s'abat sur moi où qu'il m'arrive quelque chose. Je n'étais pas dupe et je savais très bien qu'il se tapé d'autres filles dans mon dos, mais je faisais comme si je ne savais rien.


Comme je n'avais pas grand-chose à faire, et que monsieur faisait la cour avec ses disciples et son harem. Je n'allais pas me gêner pour lancer quelques regards par-ci par là aux concurrents de Rayè, surtout qu'un n'était pas mal du tout et plutôt à mon goût et de voir Rayè vert de jalousie me ferait le plus grand plaisir. Puis ça n'avait pas loupé, mon petit ami marche d'un pas assez vite pour arriver vers moi rouge de colère. Il se poste droit comme un I devant moi et me parle d'un ton agressif et violent, tout en me regardant droit dans les yeux et en parlant assez fort pour que tout le monde ou presque entende.. " Sale pute que tu est, tu est en train de faire du charme et de l'oeil à nos concurrents. Tu crois que je ne t'ai pas vu? Traînée vas!" Je ne dis pas un mot car ça n'en valait même pas la peine, je ne bougeais pas d'un poil en le fixant. " Et en plus tu as perdu ta langue, par contre pour t'en servir pour autre chose tu est forte mais quand il s'agit de se défendre et parler il n'y a plus personne. Je me demande pourquoi je t'ai choisit comme petite amie tu ne sert absolument à rien." Et il continuait à me traiter de tous les noms d'oiseaux, en utilisant des mots vulgaires pour me qualifier. En disant que j'étais juste jolie mais sans cervelle, il faisait le spectacle, le beau et le fier devant ses sois disant amis.


Mais à ce moment précis les choses allaient un peu trop loin, il commence à m'insulter de plus en plus mais le pire à me pousser violemment avec une telle force... Qu'il m'en fit même saigner du nez, j'étais énervée à mon tour il ne fallait pas non plus me pousser à bout. " Tu n'est qu'un pauvre connard, regarde toi Rayè sérieux. Tout à l'heure je n'ai voulu rien dire car je suis une femme mature et que le silence est le meilleur des mépris. Mais là t'attaquer à la violence physique, je ne peux plus endurer. Tu sais quoi? Je le dis devant tout le monde haut et fort entre toi et moi c'est fini mec. Tu as dépassé les bornes et surtout les limites, c'est même plus la peine que tu revienne vers moi dégage." Je le dis avec une haine, qu'on pouvait même la lire sur mes yeux et mon visage. Il ne savait que faire, il arrive à la hauteur et me colle une droite sur la joue. Bravo très mature au lieu d'utiliser la parole non c'est mieux de faire du mal physiquement. Je ne versais aucune larme, ce mec était une pourriture et je venais de le comprendre maintenant. Puis tout d'un coup l'homme que je regardais tout à l'heure marche dans notre direction, que venait-il faire? Il se mit face à Rayè et pris ma défense pour ma plus grande surprise. Cela n'allait pas plaire du tout au caïd... Tandis que le jeune homme inconnu défiait mon ex petit ami, un ami de la bande de Rayè me serrait le poignet avec sa main. Je sentais que ça allait mal partir, Rayè commençait à faire son kéké et à faire le beau comme il en avait l'habitude devant les autres. Il insulte le jeune homme, qui le pauvre n'avait rien demandé juste à part prendre ma défense car personne n'avait bougé son cul quand il m'a frappé et humilié. Rayè comme à son habitude faisait l'homme chaud et surtout il aimait faire le spectacle et en être le roi, mais heureusement que le jeune homme en face ne se dégonfle pas et lui en colle une qui doit faire mal. Je regardais ce spectacle avec délice, il n'avait que ce qu'il récoltait et puis personne n'avait osé lui faire face avant ce jeune inconnu. Il adorait faire du cinéma alors pour ne pas se vexer où que les gens croient qu'il a été humilié, il faisait exprès de faire le chaud et que ses amis le retiennent pour qu'il aille se battre contre l'autre garçon qui lui avait foutu la raclé.


Mon héros c'est ainsi que je pouvais l'apepler, m'aggrippe le bras et m'emmène jusqu'à son bolide. Je saignais toujours autant du nez, je mis un des doigts de mon autre main sur le nez histoire que ça ne coule pas trop. Sa voiture était jolie et pas mal du tout, je fixais Rayè qui s'en prenait du coup à tout le monde en face. Il avait que ce qu'il mérité, il venait de me perdre mais surtout d'être humilié face à un autre jeune homme qui en plus venait de lui prendre sa petite amie. C'était le comble et moi cette situation m'amusée beaucoup, on n'a que ce que l'on récolte! " J'accepte ton invitation avec plaisir, au faite quel est ton prénom?" J'avais un peu l'habitude de monter côté passager avec mon ex petite copain, alors je n'avais pas du tout peur. Au contraire la vitesse et tout le reste me plaisait. Puis à un moment donné, le jeune brun m'embrasse sous les yeux de Rayè qui devait bouillir... Je me laissais faire car c'était agréable et surtout une victoire! " Oui tout de suite, je veux bien être ton passager."

Ce rp se déroule quelques années auparavant. Nous nous trouvons à Tokyo et Ezio a alors 19 ans.

Rayè n'est pas un inconnu pour moi puisqu'il fait partie de la bande mais c'est tout comme car lui et moi ne nous sommes jamais vraiment entendus ou spécialement adressés la parole. C'est comme être de la même bande et tolérer la présence de certains qu'on apprécie pas forcément mais que d'autres si. On se contente en général de se saluer et voilà tout. Ce type m'est antipathique. Il l'a été dès lors où je l'ai rencontré, toutefois, il était là avant moi dans la bande. Soit, cela ne laisse aucunement s'installer la mauvaise ambiance pour autant dans le groupe. On se tolère et on parle avec ceux avec qui l'on s'entend, simplement.

Et puis avec ça, Rayè et moi concourrons l'un contre l'autre, ce qui a d'autant plus creusé la distance entre nous. Ça a commencé un soir où j'ai voulu lui rabattre le clapet en le défiant avec ma caisse contre la sienne. Et je peux vous dire que je lui ai méchamment rabattu. Depuis, il y en a eu d'autres et sur un nombre conséquent, il n'en a pas remporté beaucoup. Du coup, depuis il n'a plus qu'une idée en tête, me griller avec sa caisse. Et pour ça, il investit beaucoup mais jusque là, ma vieille Mustang ou du moins celle de mon père que j'ai retapé avec un pote, ne s'est pas encore faite manger. Du moins pas définitivement. Le défis étant de parvenir à remporter trois courses successives contre moi à bien évidemment différentes occasions. Mais s'il en perd une entre les deux, c'est foutu.
Enfin soit, malgré tout ça, la bande que nous formons ne s'est pas pour autant séparée et il n'y a eu aucune dissension entre les rangs, ou de si brèves qu'elles n'ont eu la moindre répercussion.

Et de fait, si je connais Jade de vue puisqu'elle traine avec nous au lycée et durant nos sorties, étant la copine de Rayè, je ne me suis jamais vraiment rapproché d'elle. On s'échange quelques regards, on se salut, on se glisse des comment ça va mais jusqu'ici, on n'a jamais entamé la conversation.
Mais ce soir, il est temps pour moi de pour ainsi dire briser la glace. La situation n'a pu que m'y pousser et je suis bien décidé à aller d'autant plus loin en lui imposant ce baiser quelques minutes plus tard suivant l'altercation entre son mec et moi. Enfin dois-je dire son ex vu la tournure de leur prise de tête ... ? Mais si je me fie au baiser qu'elle me rend sans m'opposer de résistance, je dirais que c'est dans la poche.

L'une des filles de la bande lui est venue en aide entre temps pour nettoyer les petites traces de sang dues au coup qu'elle a reçu. Elle ne l'a certes pas reçu en plein nez mais le choc a tout de même provoqué un léger saignement que Suzi a eu tôt fait de nettoyer. Cette fille est adorable et elle a toujours ce qu'il faut sur elle, je ne serais pas étonné de la voir un jour sortir une batterie complète de secours de son si petit sac qui renferme tant de bordel qu'on se demande comment elle fait pour tout caser. Je lui fais d'ailleurs une réflexion à ce propos et lorsqu'elle s'éloigne de nous, Suzi me glisse que désormais, c’est à moi de prendre soin d'elle et qu'elle compte sur moi pour ne pas la laisser se faire balader par Rayè une nouvelle fois vu que aussi prévisible qu'il l'est, il risque plus tard de revenir vers Jade en se confondant en excuses.
Toutefois je doute que cette fois-ci, Jade ne consente à passer l'éponge sur son attitude. Ça a été trop loin cette fois-ci. Vraiment trop loin.

Le baiser que je partage alors avec toi semble confirmer ce fait, je me trompe ? Tu acceptes ainsi mon invitation et je peux sentir combien tu jubiles de pouvoir ainsi te venger de Rayè qui nous foudroie du regard de l'endroit où il se tient alors que je t'embrasse sans ménagement sous ses yeux. Qu'il vienne si ça le démange, peu m'importe. Mais il est visiblement décidé à me mettre la pâté à la course plutôt que de venir m'affronter en face.

- L A V E T T E . prononçais-je en articulant bien pour qu'il puisse lire sur mes lèvres cette gentille provocation tandis que l'un et l'autre appuyés les bras croisés sur le toit de nos voitures respectives, on s'adresse des gestes grossiers avant de nous glisser derrière le volant. Vient alors le moment de grimper en voiture. La course va débuter et il nous faut nous placer sur la ligne de départ.
Tu as accepté de grimper avec moi et alors que nous attendons le signal pour partir, je dépose un baiser sur le dos de ta main en te glissant :

- Portes-moi chance.

La chance n'a rien à voir là-dedans pour remporter une course. C'est une question de maitrise mais je compte toutefois sur la chance par rapport à ce que tout se déroule sans heurt. Avec l'autre con au volant de son bolide, il n'a pas déjà été sans me faire de coups bas durant les précédentes courses et serait bien foutu de chercher présentement à nous envoyer au tas. Soit, je ne crains pas forcément un incident pour l'occasion même s'il y a certaines zones où ça se révèle hard.
La nana qui se place entre nos deux voiture nous indique bientôt le départ. C'est parti !!!!!!

Ce Rp se déroule dans la ville de Tokyo, Jade est alors en voyage et elle n'a que 19 ans. Il se passe dans une ancienne zone industrielle de la ville et il est tard dans la nuit (environ 0h00)

Quand je disais que le jeune homme qui m'avait en quelque sorte sauvé la vie était un inconnu, je me trompais sur toute la ligne. Il faisait partie de la bande à Rayè, mais on va dire que les deux jeunes hommes ne s'appréciaient sans plus. Ce n'étaient pas les meilleurs amis du monde quoi... Rayè était un homme borné, violent parfois, manipulateur, un connard et tout ce qui peut suivre de négative. Je ne connaissais pas l'autre jeune homme, mais j'étais quasiment sûre que ce n'était pas le même style de mec que mon ex. Il avait l'air totalement différent, avec un visage plus aimable et gentil. Je ne sais pas pourquoi mais il m'inspirait confiance, car d'un côté c'était le seul qui avait bougé son cul pour venir défier mon ex pour prendre ma défense c'était gentil! Même s'il y avait une seule bande, dedans des clans se formaient. Car tout le monde ne pouvait pas s'aimer, la vie n'était pas rose et on n'était pas dans le monde des bizounours. Des affinités c'étaient crée avec des personnes, tandis que d'autre non point barre. Heureusement qu'il y avait des personnes un peu matures, qui même si elles ne s'appréciaient pas tant que cela se disait bonjour c'était la moindre des choses. Certaines personnes n'avaient pas dû recevoir une bonne éducation, on pouvait en voir les conséquences.


Et puis vous savez quand on parle de voiture, et en plus de course de voiture avec les garçons. Il faut les chérir bien plus que leur copine, il faut à tout prix que Monsieur gagne la course contre tous les autres. Alors ça n'arrangeait pas les choses que les deux hommes étaient en compétition, mais pour ma part j'aimais bien participer à ce genre de sport. Ce n'était pas hyper commun pour une femme d'être le passager, car c'était tout de même un sport dangereux et risqué on ne sait jamais ce qu'il pouvait arriver... Mais pour Rayè il était interdit pour une femme de monter à bord de son bolide, et il était accompagné de l'un de ses plus fidèles destriers! Une femme ce n'est pas pour faire ce genre de sport extrême, c'est fait juste pour pavaner au milieu avant que la course commence. Histoire de faire la statue et qu'il y ai à son bras une belle femme, qu'il puisse montrer à tout le monde. Je savais comment ça se déroulait, car ce n'était pas la première fois que je venais. J'aimais bien regarder la course en tant que spectatrice, et voir des fois quelques tonneaux (même si je ne souhaitais à aucun des participants qu'il arrive quelque chose de grave). De plus on pouvait voir différents bolides, plus beaux les uns que les autres. Aucun ne se ressemblait vraiment, j'adorais entendre le bruit du moteur et l'ambiance quand ça se passait bien!


En regardant le jeune homme d'un peu plus près, son visage en définitive ne m'était pas inconnu. Il était à l'école où j'étudiais et faisait partie de la bande à Rayè. Faisant plusieurs sorties ensemble, mais on n'avait pas vraiment eu la chance de se parler trop. Car il ne fallait pas trop adresser la parole à la copine de Rayè, et surtout pas la reluquer trop longtemps sinon les foudres s'abattaient sur vous. On se parlait juste par politesse, mais ça n'allait pas plus loin. Maintenant que je n'étais plus aux bras de ce lourd, je pouvais faire tout ce que je désirais. Et j'allais commencer par faire plus ample connaissance avec le jeune brun, du moins on allait rattraper tout ce temps perdu. Le jeune homme ne perdit pas de temps, car juste après l'altercation entre Rayè et moi il m'embrasse langoureusement juste devant le nez de l'autre abruti. Un baiser plutôt pas mal, et je dis durer le plaisir d'un côté de la vengeance et de l'autre car j'en avais envie. Mon nez continuait à couler juste un peu, une gentille jeune femme pris soin de moi pour me soigner. Il fallait enlever ses traces de sang, ce n'était pas jolie à voir et puis ça ne faisait pas propre. En voyant qu'on s'occupait gentiment de moi, l'autre en face devait bouillir et être rouge de colère tant mieux c'est ce que j'attendais. Ce n'était même pas la peine qu'il revienne vers moi, avec des milliers d'excuses et une gueule de chien battu c'était bel et bien fini entre-nous! Je connaissais son petit manège, mais surtout je le connaissais trop bien pour savoir ce qu'il allait faire par la suite. Après tout on a que ce que l'on récolte, sale con.


J'étais adossé sur la voiture du concurrent de Rayè, fière comme tout. Je n'attendais qu'une seule chose, monter à bord de ce bolide et qu'il mette la pâté à ce grand con. Juste pour qu'aujourd'hui cela lui fasse deux défaites d'affilés, qu'il ai la haine. Tandis que le jeune homme l'insultait en criant des mots provocants, moi j'écoutais juste en ne disant pas un mot. Quelqu'un annonçait que la course allait bientôt débuter dans quelques minutes, j'étais contente et peut-être j'allais pouvoir avoir ma revanche depuis tout ce temps? Le jeune homme mit la voiture juste devant la ligne de départ, je monte au côté passager en me mettant un casque de protection sur la tête. Je m'assois à côté de lui, attendant juste une chose que l'on nous fasse signe de débuter la course. " J'espère vraiment en tout cas" J'allais tout faire pour lui porter chance, et puis je n'étais pas une pimbêche qui avait peur de la vitesse où de se renverser non. Je n'allais pas non plus émettre un cri aigu, à l'approche de chaque virage où quand le bolide allait trop vite! Une femme se place juste devant les voitures face à nous, avec deux drapeaux à la main et elle fit signe de partir. Le jeune homme démarre en trombe, accélère pour dépasser les autres voitures. Je m'agrippe tant bien que mal là où je peux, c'est une expérience à faire franchement du moins si vous aimez la vitesse. On dépasse une, deux, trois, quatre voitures, mais toujours aucun signe de mon ex dans les parages. On n'allait pas tarder à le retrouver bientôt, mais surtout à le dépasser rien que pour le faire rager.

Ce rp se déroule quelques années auparavant. Nous nous trouvons à Tokyo et Ezio a alors 19 ans.


J'ai l'impression de faire corps avec la Mustang. La sensation de vitesse est grisante, mes gestes sûrs, mon attention reste concentrée tout du long jusqu'à ce que l'autre fils de pute se retrouve en tête avec moi. Comme je m'y attendais, celui-ci n'est pas avare de coups bas puisqu'il donne de furieux coups de volant pour me faire peur et me pousser à me déporter sur ma droite. Manque de pot, il en faut plus pour m'impressionner. Et alors que je ne le crois pas capable d'aller jusque là, cet enfoiré manœuvre de plus en plus dangereusement jusqu'à frotter son aile contre celle de ma Mustang. Il a apparemment passé à la trappe sa crainte d'abimer sa précieuse bagnole. Sa rancune est visiblement plus forte que son amour pour sa Subaru.

Je vous passe ainsi les détails une fois passés la ligne d'arrivée alors qu'encore une fois je le mange. Une fois les voitures stoppées sur le côté, lui et moi nous sautons directement sur la gueule. Autant dire que Rayè bouffe de la peinture et que personne ne peut me retenir de péter un câble après lui. Nos potes nous rejoignent et d’autres qui sont affamés de voir le spectacle. Je me fous des dégâts qu'il a causé à ma caisse car croyez-moi il paiera les frais de réparation, mais le fait qu'il nous ai ainsi mis en danger avec Jade, ça va trop loin. On aurait pu se planter royalement si j'avais fais un écart mal contrôlé.
Pour le coup, je suis tellement sur les nerfs que je ne contrôle plus rien et Renji est obligé de venir me stopper en voyant que je suis incapable d'arrêter de cogner sur Rayè et que mes coups n'ont de cesse de s'intensifier. Si bien qu'ils leur faut se mettre à plusieurs pour nous séparer tant ma rage est grande.
Je n'ai même plus de raisons de cogner, je suis juste ivre de violence comme si je cherchais en cette occasion et ce prétexte pour lui foutre sur la gueule, le moyen d'évacuer tous mes démons sans parvenir à complètement me défouler.
J’en veux encore, je veux le cogner jusqu'à ce qu'il ne soit plus qu'un tas de merde couché au sol, incapable de bouger. Je veux le réduire à l'état de légume. Mais on m'emporte malgré la force de mes débattements.

- Arrête Ezio ! Bordel arrête tu vas finir par le tuer ! tente désespérément de me raisonner Renji en m'aboyant après.

Il m'emmène ainsi plus loin à l'écart. Jade arrive bientôt et je l'envoie paitre, trop énervé pour supporter la présence de quiconque à part mon pote. Du coup, Renji fait signe à Jade pour lui faire comprendre qu'il vaut mieux qu'elle rejoigne Suzi pour le moment. Entre temps, Rayè est conduit à l’hôpital vu l'état dans lequel je l'ai mis, et je sais aux regards que m'adressent le reste de la bande, qu'ils ne m'en veulent pas d'avoir ainsi passé ce dernier à tabac. Après son comportement durant la course, ils comprennent mes raisons et puis malgré le fait que j’ai perdu tout contrôle sur la fin, ils savent que je peux parfois péter de gros câbles dans le genre. S'il y en a un qui est compromis au sein de la bande c'est Rayè et non moi.
Suzi vient d'ailleurs un peu plus tard confirmer ce fait en me résumant ce qui se dit dans la bande par rapport à ce qui s’est produit. Quant à moi, je suis toujours sous tension et Renji me conseille alors d'aller faire un tour en ville pour nous défouler. J'ai bien envie de me beurrer la gueule jusqu'à point d'heure avec lui, toutefois, j’ai plus encore envie de me taper cette nana.
Prenant ainsi Jade à part, je ne souffre d'aucun détours pour lui dire que j’ai envie de la sauter. Ça sera un bon moyen de me défouler. Si mes manières ne lui plaisent pas et qu'elle me trouve trop grossier, qu'elle dégage, j’en trouverais une autre.
Renji essaye de me faire comprendre que je me montre en effet un tantinet trop grossier avec elle et que je devrais arrêter de boire sur l'instant vu mon comportement complètement à l'opposé de tout-à-l'heure mais entre l'alcool et les nerfs à vif comme je les ais, sur l'instant, je me balance royalement de tout. Trop prompt que je suis à tous envoyer bouler.

Ce Rp se déroule dans la ville de Tokyo, Jade est alors en voyage et elle n'a que 19 ans. Il se passe dans une ancienne zone industrielle de la ville et il est tard dans la nuit (environ 0h00)

Cette course de voiture était forte en sensation, bien plus pire que des manèges à sensations. Heureusement que Ezio savait parfaitement conduire, et que c'était un as du volant. Il fallait avoir le coeur solide et attaché, et j'étais très contente d'en avoir fait l'expérience. Car pour une femme ce n'était pas si souvent que cela qu'on en voyait une du côté passager, c'était un sport de mec! Et puis à côté de nous il y avait un fou furieux au volant, Rayè voulait à tout prix gagner cette course comme pour lui montrer qui était le plus fort et pour se venger que je sois montée avec Ezio. Alors il n'hésitait pas à prendre beaucoup de risques, comme donner de violents coups de volants pour dévier la voiture vers nous. Ce type est complètement taré, cette fois-ci il n'avait pas peur d'abîmer sa belle voiture chérie... Son copilote dans la voiture devait le chauffer de plus en plus, et l'énerver pour qu'il fasse n'importe quoi mais surtout pour qu'ils gagnent la course et avoir sa revanche par rapport à ce qui s'est passé tout à l'heure. J'avais tout de même confiance en Ezio, même si je le connaissais à peine. Il connaissait bien sa voiture, et il pratiquait beaucoup ce sport donc.


Les deux voitures étaient collées, elles se tiraient la bourre car tous les deux voulaient absolument gagner la course pour mettre la pâté à l'autre. Et puis d'un coup Ezio accelere car on était plus loin de la ligne d'arrivée, Rayè faisait de même mais avait un peu de mal à le suivre et Ezio prenait de l'avance. On pouvait apercevoir devant nous la ligne d'arrivée, la course allait vite être réglé et c'était Ezio qui allait la gagner sauf s'il y avait un renversement de situation... C'était bon pour nous, le jeune homme avait dépassé la ligne d'arrivée et il était heureux d'avoir gagné mais surtout d'avoir battu l'autre fou dans sa tête! Il gare la voiture sur le côté, on sort chacun de nos voitures enlevant mon casque de la tête que déjà les deux hommes allaient se sauter dessus... Je regardais la scène de loin, on aurait dit deux fous qui se foutaient sur la gueule vraiment. Ce n'était pas du tout beau à avoir, on aurait dit deux lions en cage qui se battaient. Rayè venait de se faire humilier avant la course, mais ça continuait avec la bagarre maintenant. Ezio est tellement enragé qu'il ne ce contrôle plus, il ne s'arrête plus de cogner mon ex. Il veut le réduire il veut le saigner, et qu'il reste couché par terre. Des garçons essayent de les séparer, mais il faut se mettre à plusieurs car Ezio est comme fou et violent... Je suis quand même choquée devant cette bagarre, Rayè n'a même plus la force de lui donner des coups et heureusement que l'ami d'Ezio a été les séparer sinon il serait quasi mort. J'étais pratiquement sûre qu'à la fin de la course cela allait partir en vrille, que les deux hommes allaient se sauter dessus mais à ce point tout de même... J'étais à côté de Suzi assez paniquée, car tout cela était en partie de ma faute et je n'aimais pas ça! Elle était super gentille avec moi, et essayait de me rassurer.


L'ami d'Ezio arrive à le séparer de Rayè et de le faire bouger plus loin afin qu'il se calme un peu, je marche vers eux pour voir comment il va puis sous la colère il m'envoie balader et son ami me fait signe de ne pas lui parler ni de rien faire d'autre. Je vais donc rejoindre Suzi, Rayè est toujours par terre et ne bouge pas d'un poil. Ses amis sont autour de lui, et attende que les urgences arrivent car il était dans un état le coco très très mal... Le SAMU arrive et emporte Rayè, ses amis ont l'air d'en avoir un peu rien à faire et les gens commencent à parler. Du coup avec Suzi on marche un peu par ci par là, pour entendre ce qui se dit et discuter avec la bande. Ezio est un peu plus loin avec son ami, il essaye de l'apaiser et qu'il se calme car là il était sous tension! Et un rien n'allait l'énerver, normal quand on est en colère on supporte pas beaucoup de choses. Puis après coup Ezio venait vers moi pour qu'on aille à part des autres, mais je n'allais pas être au bout de mes surprises... Il me fît comprendre en clair que ce soir il voulait me sauter, et parlait vulgairement. Ce comportement me plaisait moyen, il était totalement différent de l'homme qu'il était tout à l'heure. Que lui arrivait-il de me parler ainsi? Je n'étais pas une pute loin de là, et je n'avais pas caser avec l'autre con pour tomber sur un mec du même style non mais. Je le regardais dans les yeux et lui dit : "Mais Ezio ca va pas de me parler comme ça? Je ne suis pas une pute qu'on baise vulgairement comme ça!" Au point où j'en étais me faire frapper une fois de plus ne me faisait plus peur... Puis d'un coup je décida de partir de cet endroit, j'étais furax et je n'aimais pas qu'on me parle ainsi. Je faisais ma tête de mule, et partis d'un pas décidé et énervé comme jamais. J'allais rentrer chez moi au calme, car là ce n'était pas le moment de me retenir où de vouloir me parler.