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... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français.

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MessageSujet: ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français.  ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. EmptyJeu 11 Sep - 0:44

« ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. »
Charlotte & Rayan


Pursuit Of Happiness by Steve Aoki on Grooveshark




 J'ai un mal de crâne que peu de personne pourrait se lever sans un ibuprofène. Je me réveillais surtout parce que je mourais de chaud, et que je sentais des perles de sueurs perler entre ma poitrine. Je mis un certain temps avant de me rendre compte que se trouvait un homme dans mon lit c'est seulement en  bougeant légèrement mes jambes que je sentais d'autres jambes beaucoup plus poilues que les miennes. J'aurais très bien pu crier de peur, mais je ne voulais pas réveiller l'apollon sous ma couette. Je la découvrais légèrement pour voir le morceau qui était à côté de moi. MON DIEU. RAYAN. Ok, j'avais prévu de coucher avec lui, mais je ne m'en rappelais pas ...pas du tout. Non ce n'était pas possible que j'ai couché avec lui sans me souvenir. Je pinçais légèrement mes lèvres pour le retourner et regarder si c'était parce qu’il n'était pas membré comme un dieu. Et non ce n'était pas ça visiblement. Je me pinçais encore plus les lèvres pour ne pas me retenir de rire face à mon absurdité. Je me regardais aussi et visiblement nous avions plus que fait l'amour cette nuit, totalement nue je secouais la tête légèrement. J'ai vraiment un grain. Je me détachais de son corps doucement pour ne pas le réveiller. Le pied par terre je marchais sur un préservatif les yeux aux ciels je le prenais du bout, pour aller le jeter mais mon regard devenait de plus en plus pétrifié face au nombre de préservatif qui jonchaient sur le sol. My god, me dîtes pas que j'ai fais un gang bang quand même.  Je cherchais doucement dans un tiroir une culotte propre, mon dieu l'alcool faisait des ravages. Je cherchais un haut assez long aussi pour couvrir mes fesses. Même si le jeune homme avait du me voir dans d'autres circonstances je n'étais pas du genre à me trimballer à poil dans mon appartement. Voulant toujours être discrète je cherchais mon téléphone une vraie mine d'or quand vous ne saviez plus ce que vous aviez fait de vôtre soirée. Je cherchais les affaires de Rayan aussi quand je voyais son jean je fouillais doucement dans ses poches, où il y avait une explosion d'informations. Je soupirais un peu m'en allant sans bruit vers la cuisine reprenant ma respiration. Putain Charlotte qu'est ce que tu as encore fait. En voyant l'état de mon appartement je ravalais un  cri de surprise. Des bouteilles de partout, des joints, un bang. Personne dans les horizons ce qui me rassurait un peu. Je ramassais les bouteilles, et tout autre chose qui n'avait pas sa place dans mon appartement que je mettais dans un grand sac plastique. Une fois que c'était à peu près rangés soit une bonne vingtaine de minutes après je décidais de préparer le petit déjeuner car si Rayan avait la même gueule de bois que moi il mourait de faim. Je fouillais dans mon frigo prendre, des œufs, du fromage, du bacon et de la confiture. Les toasts au grill pain, le bacon dans la poêle. J'allumais mon téléphone, une tonne de sms d'Aengus, mon cœur se crispait un peu plus. Elle m'avait déçue, je savais qu'elle couchait avec d'autres hommes alors que nous étions ensemble moi je ne l'avais pas trahie.. Bon ok j'étais accessoirement mariée à Alec mais ça ne valait rien. Plus rien à présent. La seule que j'aimais plus que n'importe qui c'était elle. Le cœur au bord des lèvres je me retiens de ne pas rendre tout ce que j'avais bu. Je me frotte un peu le visage pour enlever ce visage de honte et de gêne.  Mon Iphone commençait enfin à se mettre en marche normalement quand je me mettais à regarder les photos. C'était quoi ces conneries ?


Flashback on*
 Il est 21h30 quand je m'apprête à sortir. Ce soir j'avais un but précis me venger. Oui souvent on dit que la beauté est la plus belle vengeance des femmes mais ce soir, c'était finit. On se foutait trop de ma gueule entre Alec le baratineur et Aengus la traînée fallait pas abuser à la fin. Une mini jupe en cuir, un haut transparent qui laissait la moitié de ma poitrine à la découverte de tous les sombres inconnus.  J'avais un but très clair, et précis, venger. Quoi de mieux que la peine et douleur  pour se venger. Le dernier coup de rouge à lèvre et de latte sur mon joint que je me dressais sur mes talons pour me diriger vers un bar assez connu. Où de nombreux Deltas se donnaient rendez-vous , ça aurait été plus simple si Aiden  était là ce soir, j'aurai au moins eu du plaisir à coucher avec un homme ce soir. Puis comme un éclair, une illumination un blond se retournait vers moi. Ma vengeance était là dressée devant moi telle une évidence. Rayan. Ce n'était pas n'importe quel mec ça non, c'était celui qui allait blesser Aengus je le savais. Autant faire une pierre deux coup. Le sourire aux lèvres, les cachets d'extasie  dans la paume droite de ma main, un verre dans l'autre main. Je me dirigeais vers lui lui chuchotant à l'oreille «  Au lieu de perdre ton temps à draguer des pouffes et à te faire chier car ça sera les pires coups de ta vie tu ne veux pas t'amuser un peu ». J'étais provocante à souhait, et si le jeune homme ne voulait pas de moi pas grave, je lui mettrais dans son verre même pas peur. Mais vu l'état d’ébriété de celui-ci je n'allais pas avoir de mal. Et qui sait la soirée pourrait être fun..peut-être. flashback off

La sonnerie du grille pain me rappeler à l'ordre , les photos étaient sans équivoques. Nous étions allés dans un bar visiblement et on avait l'air de plutôt bien s'amuser vu les photos. Mais en parcourant plus rapidement je tombais sur une vidéo. J'arquais un sourcil, ne m'attendant pas trop à ce que j'allais voir. Mais visiblement la nourriture était contre moi puisque j'entendais le bacon grillé sur le feu ardent de la poêle. Comme une junkie, je retournais à mon téléphone pour lancer la vidéo. GRAND DIEU. C'était rien d'autre qu'une Sex tape de Rayan et moi. Non c'est pas vrai, comment j'ai pu être saoule et défoncé à ce point là... ? Plus les secondes passées, plus cela se confirmé, le couteau à beurre dans la main, je restais choquée face à cette vidéo.J'en étais qu'à vingt secondes de la vidéo, où visiblement Rayan et moi commencions à nous déshabiller lentement.  Complètement absorbée par la vidéo, seule la voix de Rayan me ramenait à la terre ferme. Doucement sans pour qu'il se doute de quoique soit, je verrouillais mon téléphone.  Que je cachais derrière les couteaux à viande, je n'avais pas trop entendu ce qu'il me disait je répondais alors :

Je te prépare le petit-déjeuner j'imagine que t'as la gueule de bois toi aussi.


Sans dire un mot de plus je me retournais, pour prendre des assiettes pour réfléchir à ce que j'allais bien faire de cette vidéo. Un sourire se perdait sur mon visage. Oh oui j'avais mon idée. Finalement l'idée de se venger à chaud n'était pas une si mauvaise idée. Les assiettes dûment remplies, je me retournais face à lui tout en le frôlant en posant les assiettes sur le comptoir. Plongeant mon regard dans le sien :

Tu te souviens un peu d'hier soir … ?


Lui demandais-je. Au fond je savais un peu de la soirée d'hier je voulais juste être sûre qu'il ne se souvienne de pas grand chose et pourquoi ne pas jouer encore un peu avec lui. Je pourrais lui demander ce que je veux contre des indices, qui lui appartenait de surcroît. Je ne savais peut-être pas à quel jeu dangereux je me frottais, mais je fonçais comme toujours.  

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MessageSujet: Re: ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français.  ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. EmptySam 13 Sep - 19:35

 ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. Tumblr_ly5uhaImgV1qcaiajo8_250  ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. Tumblr_mu27r8S81k1qbmp7lo3_250
Charayan. + « They say I only think in the form of crunching numbers in hotel rooms collecting page six lovers. Get me out of my mind and get you out of those clothes, I'm a liner away from getting you into the mood. One night and one more time, thanks for the memories even though they weren't so great : "he tastes like you only sweeter". »

Une odeur non-négligeable se faufile jusqu'à mes narines, chatouillant ces dernières afin de me tirer d'un sommeil dont je n'ai aucunement envie de sortir. Mon cœur me donnait la nette impression de battre à tout rompre au cœur de ma boîte crânienne, heurtant cette dernière à pleine force au point de me donner cette impression que mon crâne aller céder à la pression et exploser sous peu. Je peine à ouvrir les yeux, et lorsque j'y parviens, je rêve de me les arracher afin de ne pas avoir à supporter la faible lumière qui filtre dans la chambre dans laquelle je me trouve. Elle ne ressemble en rien à celle de mon appartement, encore moins à celle qui se trouve dans le pavillon des Delta. Ma main cherche un corps étranger à mes côtés, mais je ne trouve absolument rien si ce n'est que des draps et encore des draps. Lentement et surement, je redresse la tête, clignant des paupières tout en observant la pièce dans laquelle je me trouvais. Tout ce que je sais, c'est que je ne m'y étais encore jamais retrouvé. Quelle heure était-il au juste, et surtout, qu'est-ce que je foutais dans pareil endroit, visiblement seul ? Sauf que l'odeur de la nourriture ne trompe pas, il doit bien y avoir quelqu'un au cœur de cette maison, cet appartement, ou peu importe ce dont il s'agit. Mais je ne peux m'empêcher de m'imaginer le pire. Cette théorie selon laquelle je pourrais très bien me faire kidnapper par une étudiante hystérique qui ne cesserait de fantasmer sur moi, mais qui ne pourrait aucunement toucher à la perfection parce qu'elle est trop laide ou trop idiote. Parfaitement, je sais que certaines aimeraient que j'en vienne à satisfaire leurs plus bas instincts, mais il en est tout simplement hors de question. Je ne fais pas dans les moches ou les pimbêches de service. En tant que personnification du Dieu Apollon et véritable tête brulée en littérature, je n'accorde à offrir qu'aux plus méritants des moments si intimes. En parlant d'intimité, je sors finalement du lit et me rends compte de ma nudité. Aaaaaah ! Qu'est-c'que c'est que cette trace rouge sur mon torse ?! Une griffure, probablement. Cette demoiselle devait être une véritable tigresse. S'il s'agit bien d'une demoiselle... C'est ainsi que je me rends compte que je n'ai absolument aucun souvenir de la soirée d'hier soir. Ou qu'un peu.

Hier soir, 21h. Je viens tout juste de passer la porte de ce bar, allez savoir quel nom il portait, il s'agissait de l'endroit le plus proche de l'appartement dans lequel je vivais à temps plein. Certaines responsabilités sont trop pesantes et alors que les cours ont enfin repris, je décide de faire un écart et de me perdre dans l'alcool, le temps de cette soirée. Je croule sous les responsabilités dans bien des domaines et je frôle très nettement le point de rupture. Une aide ne serrait pas de trop, mais en parler m'est presque impossible. Alors me voilà installé au bar, un verre de mojito à la main, déglutissant une énième gorgée, un énième cocktail. J'ai arrêté de les compter au bout d'une vingtaine de minutes, changeant finalement pour du whisky, enfin quelque chose qui allait très clairement m'arracher la gorge. Un instant plus tard, et une blonde, digne des plus grands mannequins, s'approche, pour mieux jouer la carte de la séduction. Let the game begin.

Alors c'était elle, la femme qui se cachait un peu plus loin n'était nul autre que cette femme au physique des plus avantageux et qui se devait d'attirer l'attention de tous les hommes. Je ne devais être qu'un numéro dans ce lit, mais peu importe, la seule chose me chagrinant restait bien évidemment la phase petit-déjeuner. D'ordinaire, je saute de l'appartement de mes conquêtes avant le levé du soleil, mais cette nuit a été un peu trop mouvementée pour que j'arrive à quoi que se soit. Et je dois dire que je n'ai jamais aussi bien dormi depuis des semaines et des semaines. J'enfile mon caleçon et le reste des affaires que je portais au cours de la soirée d'hier, guidé finalement pas l'odeur alléchante du bacon que l'on fait griller et des tartines déjà chaudes. Et là, c'est le drame. Je me stoppe dans mes pas, arrêt net en fixant la demoiselle qui se tient dans la cuisine. « T'es certainement pas la blonde que j'ai dragué hier soir. » Bah non, celle-là, elle est brune, mais elle fait le petit-déjeuner. Bon point. Ou pas. « D'habitude, je n'arrive jamais jusqu'à l'étape tartines et compagnie, mais j'avoue crever la dalle. » Attention, lorsque le Rayan crève de faim, c'est jamais bon signe. En temps normal, je suis capable de manger comme quatre, mais alors, lorsque mon estomac se met à crier famine, je pourrais manger pour un régiment entier. Et la meilleure, c'est que, peu importe ce que j'engloutis, mon corps de rêve ne comporte pas un seul gramme de graisse. « Hier soir ? », lançais-je alors sur un ton presque désespéré. Qu'est-c'que j'ai fait encore ?!

Hier soir, 21h45. La discussion file bon train en la compagnie de cette blondinette qui est littéralement sous le charme. Même si je ne suis plus très frais et qu'une sacrée dose d'alcool parcourt mes veines, je ne manque pas un seul instant pour soudoyer la jeune femme en lui racontant des balivernes sur ma vie. Commandant de paquebot, actuellement en escale à San Francisco et sur le point de repartir en mer, cherche jeune demoiselle pour tenir la barre. À bon entendeur. Sauf que mes plans tombent à l'eau au moment où quelqu'un s'invite à la fête. Charlotte, amie proche d'Aengus et membre des Gamma. À croire que j'ai un certain feeling avec la plupart des membres de cette confrérie. « Parce que tu penses être supérieure à toutes ces... pouffes ? Désolée chérie, mais je ne fais pas dans les planches à pain. J'ai besoin d'un sacré morceau de viande, si tu vois ce que je veux dire. » Un coup d'œil à la blondinette qui semble refroidie par la venue d'une potentielle ennemie, suffit à traduire mes paroles. À vue d'œil, je dirais un 95D refait et une paire de fesses à la Shakira. Alors pour comparer la marchandise, rien de mieux que de glisser délicatement ma main dans le dos de Charlotte et la faire descendre jusqu'à agripper sa fesse gauche. « Mmh, ton cas reste discutable. » Sourire d'éternel chieur sur les lèvres et me voilà en train de profiter d'une petite séance tripotage. Et pour la peine, la blondinette que j'avais charmée se leva et quitta le bar d'une démarche des plus aguicheuses. Plus de retour possible pour toi, Charlotte. You and me, tonight. « Et qu'est-ce que mademoiselle me proposerait pour m'amuser ? Il faut quand même que ça en vaille la peine. » Ma main retourne sur la taille de la Gamma pour mieux l'attirer contre moi, nos corps collés l'un contre l'autre alors qu'un sourire de conquérant s'est bel et bien logé sur mes lèvres.

C'est tout doucement que je me mets à paniquer. La dernière fois que je m'étais retrouvé dans tel état, je me suis retrouvé marié à nul autre que Sacha, et autant dire qu'il ne s'agit pas d'une blague qu'aucune procédure de divorce n'est en cours. Par pitié, dîtes-moi que j'ai seulement couché avec Charlotte ! « Tu m'as saoulé, probablement drogué. J'espère juste que mes plus noirs secrets sont toujours bien enfouis en moi et qu'ils n'ont pas atteint tes oreilles, ni celles d'une quelconque autre personne. » Après tout, j'ai des milliers de secrets que je garde profondément enfui, et hors de question que ne serrait-ce l'un d'entre eux ne viennent à être prononcé haut et fort. Si une seule personne devait être au courant de ces derniers, il n'y aurait probablement que ma mère adoptive. Mon frère jumeau en prime, mais cela s'arrêterait là. « Ton bacon est en train de cramer. » Juste comme ça, pour prévenir, parce que sinon j'vais pas en manger.
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MessageSujet: Re: ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français.  ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. EmptyDim 14 Sep - 20:12

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Charlotte & Rayan


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Quitter mon lit aussi tôt n'était pas dans mes habitudes, mais quand vous vous réveillez et qu'un beau blond est avec vous soit vous faîtes un second round, soit vous fuyez. Étant chez moi, je n'avais pas trente milles issues de secours. Me voilà en train de faire un petit-déjeuner à l'être le plus arrogant pire que Jaxton fallait le faire non ? Pourtant, il était bien là et fallait que je le garde encore un peu sous la main. C'était peut-être vicieux ou tordu mais bon honnêtement je n'étais pas à mon premier coup de ce genre. Puis les hommes sont et resteront des éternels gamins, ou chiens c'est pareil. Comme la théorie de Pavlov. Enfin bref les tartines entrain de chauffer, le bacon entrain de griller, le café entrain de bouillir. On pourrait croire que je voulais garder Rayan dans mon appartement, mais c'était tout le contraire, bien que j'aimais sa provocation, sa façon de s'aimer car fallait le dire le jour où il aura une copine va falloir qu'il arrête de s'aimer soi même, genre impossible. La vidéo en train de tourner, complètement à fond je dois cependant rompre ce plaisir des yeux car l'objet de la vidéo faisait son apparition. Un peu chamboulée par le début de nos prouesses doucement je me retourne vers lui avec un sourire du matin. Oui le sourire du matin, ça existe c'est le genre de sourire qui est ni trop forcé ni pas assez, celui qui apaise les tensions. Visiblement moins nudiste que moi Rayan avait enfilé ses affaires, un sourcil arquais je le reluquais un peu avant de lui dire sur le ton de la plaisanterie :


T'aurai pu rester à poil, je te signale qu'on était dans le même lit.


Ouhhh de l'humour.. Beaucoup de gens n'aimait pas l'humour dès le matin, alors je reprenais sérieusement là où j'en étais. Les assiettes en main je frôle le jeune homme, pourquoi tous les hommes n'étaient pas comme Rayan, ça serait plus simple même au moche de conclure. Mais passons sur cette idée la remarque du jeune homme me décrochait un petit rire. Bien sûr qu'il crever la dalle, si nous avions passer toute la nuit à coucher ensemble vu les préservatifs qui étaient à présents dans la poubelle, oui il allait avoir besoin de force.


Ça va je vais pas te demander en mariage tu peux manger tranquillement.


Lui disais-je dans un sourire tout en clignant des cils. Il aimait les blondes à forte poitrine donc toute façon même si je le voulais il n'aurait pas accepter. Alors que nous étions assis sur la table, je fouillais un peu derrière moi pour atteindre le meuble du salon, pour sortir mon joint. Fallait que j'émerge car le goût de l'alcool me restait en travers de la gorge et face à ce que je vais faire à Rayan valait mieux que je me détende car vu son caractère il pourrait très vite tourner la situation  à son avantage.


Hier soir : La blondasse à côté du jeune homme était vraiment bien gaulée si ça ne tenait qu'à moi j'aurai même proposer un plan à trois avec Rayan. Mais cette tierce personne me causerait des ennuis alors autant la dégager comme il le fallait. Personne de l'université savait que j'étais en couple avec Aengus, pour eux nous étions juste de très bonnes copines. Ce qui faisait croire aux gens que j'étais célibataire et accessible. Personne ne savait d'autant plus que j'étais marier à un gars de la confrérie. Enfin bref le culot, et l'alcool dans le sang je m'approchais du beau blond en le provoquant sans gêne. Sa remarque sur mon physique ne me blessait pas en même temps ce n'était pas comme s'il avait tort, moi à l'avantage des autres femmes, c'était que j'étais une inépuisable du sexe. Fallait le dire la nymphomanie avait des avantages peu négociables. Il me montrait du regard la blonde plantureuse à côté de lui je me retournais à lui dans un sourire avant de lui dire «  Planche à pain peut-être mais au moins tu vas pas avoir des obus qui vont te péter à la gueule pendant qu'on couchera ensemble, ça c'est un point mais si tu veux te faire une Pamela Anderson et qu'au bout de 20 minutes elle te supplie d'arrêter parce que toi tu commence juste à avoir ton plaisir vas-y. » Je m'étonnais moi même, comment je pouvais être si...salope. Mais bon en même temps Rayan était un morceau que je voulais me faire aussi depuis un bon moment alors autant joindre l'utile à l'agréable.  Je laissais sa main glisser sur mon dos jusqu'à ce qu'il me prend une fesse en main. Je haussais un sourcil c'est ça sa technique. Visiblement la blonde vexée se barrer au fond j'avais envie qu'elle se casse la gueule avec ses talons mais manque de bol elle marchait très bien ! Je ne répondais même pas à sa provocation. Dans son regard je pouvais lire son amusement, très bien Rayan c'est partit. Dans un sourire encore plus aguicheur que lui j'écoutais sa demande, avant de me laisser coller à lui. Je m'approchais de ses lèvres tout en laissant mon regard se perdre dans le sien «  J'ai de l'exta sur moi, soit tu la prends maintenant, soit je te la donnerai de toutes les manières. Puis là où je t'emmène vaut mieux que tu sois un peu défoncer ». Me rapprochant encore plus de ses lèvres je laissais une pilule quitter ma main pour la loger sur le bout de ma langue avant de l'avaler. «  Alors, tu te décides tombeur ? » ?

Rayan reprenait conscience alors que j'étais à mon quart de joint. Je voyais la panique de ses yeux, je savais vu les cartes de visites dans sa poche que nous étions allés à un club de strip-tease et vu les photos on a jouer tous les deux le jeu du pôle dance, on était aller à une sorte de foire comme une fête foraine on avait finit aussi dans une maison un peu loufoque, pour finir en sex tape dans mon téléphone . Quand il se plaignait je lui tapais du pied en lui disant :


Quand je suis venue t’aborder tu étais complètement saoul. Je sais juste que tu porte des caleçons avec des fraises le dimanche matin d’après tes dires.  


Lui disais-je tout en prenant une bouffée de mon joint, je fermais un instant les yeux avant d'arrêter de faire l'égoïste. Je lui tendait alors le joint, et d'un coup la mémoire me revenait...

Hier soir 22h30 : On est plus dans le bar entrain de se chauffer, il a prit l' exta et on se dirige vers le club de strip-tease je lui avait promis d'aller là bas car j'avais des connaissances et qu'il pouvait avoir un lap-dance gratuit. Du coup en échange il devait fumer un joint avec moi,  mais le jeune blondinet n'était pas trop habitué vu qu'à la première latte il s'était étouffé et était devenu tout rouge. Finalement , je lui proposais une autre façon de consommer cette drogue. Je m'approchais de lui toujours aguicheuse. En lui disant «  T'es vraiment mignon, surtout quand tu te tais en faite. ». Puis je lui administrer gentiment avec douceur une soufflette, tout en finissant par l'embrasser après près de cinquante minute de séduction.

Quoi, hier tu en redemandais à mes souvenirs Rayan.

Lui disais-je d'un sourire un brin trop machiavélique pour exister. Puis finalement je buvais un peu de mon café, tout en commençant ma tartine de beurre avant que celui-ci commence à se plaindre sur le bacon je levais les yeux aux ciels avant de lui dire :

C'est l'odeur du Bacon qui t'as réveillé tu peux très bien lever tes petites fesses et aller le prendre, bichon.

Oh oui j'aimais exaspérais Rayan c'était tellement facile, il était tellement fier de lui et amoureux de sa personne que en le titillant un peu on pouvait faire des miracles.
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MessageSujet: Re: ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français.  ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. EmptyDim 21 Sep - 18:30

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Charayan. + « They say I only think in the form of crunching numbers in hotel rooms collecting page six lovers. Get me out of my mind and get you out of those clothes, I'm a liner away from getting you into the mood. One night and one more time, thanks for the memories even though they weren't so great : "he tastes like you only sweeter". »

Le tact et l'humour de Charlotte ont l'audace de me faire sourire à peine suis-je réveillé. Autant dire que ma bonne humeur ne met pas longtemps à se pointer, même si prendre le petit-déjeuner avec une de mes conquêtes est une chose qui n'ait encore jamais arrivé. Mais visiblement, il y a un début à tout. Cependant, ce n'est en rien une habitude à prendre. « J'aime moyennement étaler mes attributs sur la table. Et admirer un corps comme celui que je possède, ça doit se mériter. » Et donc, si le petit-déjeuner ne se voit pas être à la hauteur de mes espérances, hors de questions de me remettre à poil. Sauf si quelques verres d'alcool passent par ici, ce qui m'étonnerait grandement. Auquel cas, je recrache mes boyaux sur-le-champ et potentiellement, tout le reste de mes organes internes. Quoi qu'il en soit, je m'étonne moi-même d'avoir enfilé mes habits, car en temps normal, je me plais beaucoup à pavaner tel un paon avec à peine un caleçon comme vêtements. Les Bêta et Delta ne doivent plus compter mes défilés de mannequins au sein de la confrérie à peine le réveil a-t-il sonné, mais c'est toujours un plaisir de vendre du rêve au quotidien à sa confrérie d'amour. Mais lorsque je suis chez autrui, je privilégie toujours les vêtements au moment du saut du lit, histoire de filer dans la seconde du lieu où je me trouve. Je hausse à peine un sourcil au moment où l'allusion du mariage vient à tomber. Encore heureux, le Rayan Clives n'est pas un homme à marier, loin de là. Il n'a rien du gendre idéal et privilégie les soirées sans lendemain. À vrai dire, je n'ai jamais eu de petite-amie en vingt-deux années. Ceci dit, je ne m'en plains pas, bien au contraire. Je tiens trop à cette liberté dont je dispose pour la gâcher avec une quelconque femme lambda. Être l'homme d'une seule femme ne m'intéresse pas, je préfère très nettement me pavaner avec un harem digne de ce nom.

Hier soir ; 21h45. « Oh, que de vilains mots dans une si jolie bouche. Mais tu sais, j'en connais un rayon sur les obus et je sais comment les manier. » Petit clin d'œil coquin à l'encontre de Charlotte et nous y voilà. Le Rayan aime bien tripoter la marchandise avant de l'acheter, c'est la raison pour laquelle ma main ne cesse de parcourir sans la moindre gêne ce corps que je posséderais sans aucun doute très bientôt. Je ne suis en rien aveugle quant aux signes émis par une femme, notamment lorsqu'il s'agit de sexe. Une fois débarrassé de cette blonde, je peux me concentrer uniquement sur la jeune femme que j'ai à mon bras. Si en bon Delta, je suis censé rester éloigné des membres de la confrérie Gamma, tout me ramène toujours à ces derniers. Aengus était ma meilleure amie, où tout du moins, elle le fut. Je n'avais jamais cessé de la rejeter depuis qu'elle m'avait annoncé avoir couché avec l'homme qui était mon père. Pavel, aventure d'une nuit et homme qui ne cessait de tourner dans mon esprit depuis ce jour. Charlotte, un physique qui me plait tout autant que son audace, une véritable prétendante quant à être l'une de mes conquêtes. Car oui, je choisis toujours ces dernières avec soin. Physique, caractère, autant dire que tout le monde ne peut pas prétendre avoir passé une nuit en la compagnie de Rayan Armand Clives-Harabo. Face à notre proximité, un sourire illumine mon visage, sourire de prédateur se tenant devant sa proie et prêt à la dévorer en une seule et unique bouchée. « Donne-moi ça. », lançais-je finalement à la Gamma tout en m'emparant de la pilule qu'elle me tendait, l'avalant dans la seconde qui suivit tout comme le reste de whisky qui trônait encore dans mon verre. « Alors en avant, chérie. Je suis tout à toi pour ce soir. » Mes lèvres se rapprochent dangereusement des siennes, les frôlant furtivement sans pour autant s'y attarder. Un instant plus tard et nous voilà à l'extérieur du bar.

Sérieusement, ai-je vraiment osé prendre cette fameuse pilule ? Apparemment oui, sinon je doute fort que j'aurais été dans pareil état. « Sérieusement ? Impossible, parce qu'il a des oranges dessus, et pas des fraises... » Mais c'est bien mon petit, continue à t'enfoncer de la sorte. Alors que la jeune femme prenait la première bouffée de son joint, l'odeur particulière de la fumée vint à chatouiller mes narines, de quoi sentir mon estomac tout entier se retourner. Ah non, ne pas vomir devant une femme, règle d'or. C'est lui donner le pouvoir de se moquer de votre poire pendant l'éternité. Et j'ai une réputation à conserver. Mais au moment où Charlotte tend son joint dans ma direction, je me braque en lui lançant un regard des plus effarés. Hors de question que je touche à cette chose, je ne l'ai fait qu'une seule et unique dans toute ma vie et j'ai manqué de m'étouffer avant de me rouler dans le sable en la compagnie d'un certain Russe. « À tes souvenirs... Sauf qu'avec tout ce que t'as dû prendre, tes souvenirs se doivent d'être un peu confus. »

Hier soir ; 22h30. Je levais les yeux au ciel au moment même où la proposition indécente de Charlotte s'envola dans les airs. Partager son joint. Si l'alcool, tout comme le sexe, tient une place importante dans ma vie, ce n'est en rien le cas de la drogue, de la cigarette ou de toute substance susceptible d'y ressembler. Mais pour une dance de la Gamma, et au vu de l'alcool qui coulait dans mes veines, il m'était impossible de refuser pareille offre et autant dire qu'au moment même où j'avais tiré sur ce joint, je l'avais regretté. Comme pour la première fois, j'avais fini complètement rouge et avais manqué de m'étouffer. Que je détestais cette affreuse chose. Comment certains pouvaient donc l'apprécier ? Affichant une mine dépitée suite à sa remarque, je ne pouvais me résigner à ouvrir la bouche. Ma gorge me piquait atrocement, de quoi en croire que cette dernière allait exploser. Mais au moment où les lèvres de la Gamma se posèrent sur les miennes, j'en oubliais toutes ces conneries et prenais plaisir à continuer ce jeu qu'elle venait tout juste de lancer. Au diable cette foutue fumée et cette odeur infecte.

« En fait, je redemandais autre chose de bien plus intéressant que d'inhaler cette foutue fumée. Ca doit être un truc de Gamma, de vouloir droguer et faire fumer vos saloperies aux autres pour obtenir ce que vous voulez. » Même si je connais une certaine personne qui n'avait pas eu besoin de faire tout cela. Et c'est bien évidemment qu'il fallait avouer que ce n'était pas du joint que je redemandais, mais bien des baisers divins offerts par la jeune femme. Un œil mauvais se pose finalement sur Charlotte. Les femmes qui me résistent, véritable supplice... mais qu'est-ce que j'aime ça ! « Je vais faire comme chez moi, dans ce cas. », annonçais-je tout en m'avançant vers la poêle. « Ce qui implique tripoter ce qui me passe à porté de main. » Et sans plus attendre, mon corps se plaquait contre celui de la Gamma, imposant à souhait.

Hier soir ; 23h00. Après avoir inhalé ce tas de fumées de différentes manières possibles, j'avais entraîné Charlotte jusqu'au club de strip-tease se trouvant à quelques pas à peine. Autant dire que l'accès au club s'est fait avec facilité. « Chérie, si tu me fais une danse privée, je t'offre la plus belle soirée de toute ta vie. Crois-moi, tu ne cesseras d'en redemander. » Et voilà de quoi t'encourager à me montrer tous tes atouts. « Et si tu te débrouilles bien, peut-être que je te montrerais aussi mes talents cachés. » Ceux de stripteaseur, bien évidemment, parce que j'en avais fait mon job, à peine arrivé à San Francisco. C'est un détail que je ne me daignais jamais de révéler. Un détail presque honteux qui pourrait très bien me ruiner au vu du monde dans lequel je tente de percer.

« Au fait, tu parles de petites fesses, mais faut pas croire que les tiennes sont plus énormes. » J'adresse un clin d'œil à la jeune femme avant de me détacher de cette dernière, attrapant une assiette afin d'y jeter quelques morceaux de bacon que je me ferais très bientôt un plaisir d'engloutir. « Mais ceci dit, ton déhanché à de quoi compenser. Quand tu veux on remet ça, chérie, l'alcool et la drogue en moins, peut-être. » Un fin sourire et un air innocent viennent à étirer les traits de mon visage tandis que je m'installe à table. Au-delà de l'état second dans lequel je me trouvais au cours de cette soirée, je me rends compte que j'ai su apprécier cette dernière à sa juste valeur. Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas laissé aller de la sorte, sans aucun doute depuis cette soirée au feu de camp, remontant à plusieurs semaines maintenant. Et grand Dieu, que cela faisait du bien. Même si ce mal de tête était loin d'être agréable.
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MessageSujet: Re: ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français.  ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. EmptyJeu 2 Oct - 0:46

« ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. »
Charlotte & Rayan


Pour Some Sugar on Me (Def Lep by The Maine on Grooveshark




 Il y avait un truc que je faisais naturellement quand j'étais avec un homme le matin, l'humour. Car même si j'étais dépitée ces derniers mois il y avait ce quelque chose chez moi, qui me poussait à utiliser l'ironie et l'humour pour détendre l'atmosphère. N'importe quelle femme aurait pu être gênée d'avoir le beau apollon dans son salon. Moi que nenni, il pouvait partir s'il le voulait j'avais eu ce que je voulais et plutôt deux fois qu'une je me l'étais fait et j'avais une sextape. Je souriais naturellement en le voyant, habillé ce qui me décevait largement, pourquoi devrait-il remettre son tee-shirt ? Il savait qu'il était bien foutu pourquoi ne pas m'en faire profiter ? Sa remarque me faisait rire je rouler les yeux aux ciels avant de lui dire également «  Je crois que je le mérite assez, je te fais à manger tu devrais t'estimer heureux que je n'ai pas profité de ton corps pendant que tu dormais... ». Han une petite provocation bravo charlotte c'est fin tout ça vraiment.. J'essayais tant bien que mal de me rappeler de nôtre soirée d'hier beaucoup trop de moments de flous, pourtant vu nos états on en avait passé une bonne. Puis ma réputation légendaire de jeune fille folle et timbré mais bon je m'en fichais puisque dans mon salon il y avait le Delta le plus en vogue du Campus. Rien que ça.


Hier soir : 21h45 :
Petite allusions sur les obus rien que ça pour le titiller un peu. Je le laissais prendre possession de mon corps sans broncher. Je me demandais mentalement combien de filles avait-il pu se faire avec ce numéro. Mettez deux séducteurs en pleine apogée dans la même pièce et voilà le résultat, on ne passe pas par les quatre chemins on fonce direct à notre but. Voilà que je le cherchais en lui disant clairement d'avaler ma pilule où j'allais la lui faire avaler par n'importe quel moyen. Notre proximité n'était pas respectable pour un endroit aussi fréquenter que celui-ci. Le jeune homme récupérer ma pilule de mes mains pour l'avaler tout en terminant son verre. Je lui souriais d'un sourire de vainqueur, car c'était plus facile que prévu. «  Tout à moi alors.. ». Disais-je d'une voix suave tout en laissant ses lèvres se rapprocher des miennes. Et voilà comment nous avions quittés le bar...


Voyant que le blondinet ne se souvenait que très peu de la soirée je me jouais de lui en lui disant ce qu'il ne m'avait pas avoué la veille. «  Ouais des fruits quoi, c'est pareil ». Disais-je tout en continuant de tirer sur mon joint, ce qui me détendait l'esprit et enlever accessoirement mon mal de crâne. Voulant lui faire partager mon remède je lui tendait le joint. Et à sa tête je compris tout de suite qu'il n'était pas d'humeur à fumer comme la veille je haussais les épaules tout en lui disant en réponse à son accusation. «  A la différence de toi, moi je peux m'enfiler des tonnes j'encaisse pas comme toi ». Haaan Rayan tu as vexé la Charlotte.  Comment peux-tu douter une seule seconde que je n'avais les idées claires, que la coke, la weed, l'alcool et le sexe était mon cocktail Molotov quotidien ?

Hier 22h30 : Une pilule n'était pas assez pour ce que je voulais faire avec lui, ce soir je voulais revivre que ça soit par le sexe, par l'alcool ou la drogue. Je voulais me sentir désirée, me sentir vivante et rien de mieux que de partager ce moment avec Rayan. Voilà pourquoi je lui proposais de me suivre sur ce coup. Je lui faisais alors une soufflette lui laissant sa récompense à la fin. Laissant mes lèvres se plaquer contre les siennes, doucement je m'approchais bien plus proche de lui que toute à l'heure limite assise sur lui pour pouvoir avoir tout le confort nécessaire pour l'embrasser avec une pointe de désir ardent qui brûlant en cet instant en moi. Laissant ses mains parcourir mon corps sans la moindre gêne je glissais gentiment mes mains sur son torse également..affaire à suivre.

«  On est généreux nous, c'est tout. Tu devais ne pas être assez clair alors... ». J'avais très bien compris ce qu'il voulait le bougre mais pour autant je ne laissais rien paraître comme si j'étais une simple fille innocente. Le regard de Rayan aurait pu faire tremper ma culotte si je n'étais pas trop défoncé à cette heure-ci, mais je le regardais simplement de la même façon en guise de réponse. Le jeune homme voulait manger ? Va donc mon cher sers-toi. «  Je t'en prie, tu veux une clé aussi ? » Disais-je un brin taquine. Le jeune homme se levait tout en se rapprochant dangereusement de moi surprise ma respiration se saccader légèrement je relevais les yeux vers lui doucement tout en souriant en coin glissant ma main sur son jean en le prenant par le ceinture pour qu'il se colle d'avantage à moi «  Donnant, Donnant Harabo. ». Disais-je remplit de défi dans ma voix tout en laissant mes lèvres frôler les siennes.


Hier soir 23h15 :
Après quinze minutes de négociation avec un membre du club j'avais la tenue d'une vraie strip-teaseuse, nous étions donc Rayan et moi dans un salon privé plutôt dans les tons sombres avec juste assez de lumière pour des fauteuils rouges. Avec une barre de pôle dance en plein milieu. J'étais vêtue de simple habits d'écolières berk. Mais bon autant jouer le jeu. Doucement je montais sur la piste tout en détachant sensuellement ma veste. La posant par terre, je glisse lentement mes mains à  l'intérieur de mon short pour le défaire tout en remuant exagérément mes fesses le faisant glisser jusqu'à mes chevilles, puis en le poussant du bout des pieds pour qu'il atterrisse sur les genoux de Rayan. Doucement mes mains remontaient de mes chevilles à mes cuisses dans un mouvement lent tout en poussant mes fesses en arrière. Doucement je retirais la cravate qu'on m'avait donné pour le show pour m'approcher de Rayan tout en plaçant la cravate derrière sa nuque pour que son visage s'approche sur la naissance de mes cuisses puis je me reculais de façon féline jouant de la barre, tout en enlevant un à a un les boutons de ma chemise pour me retrouver en sous vêtements devant lui. Dans un mouvement de bassins contrôlé je m'approchais de lui tout en grimpant sur ses genoux tout en laissant mon bassin jouait au rythme de la musique balançant mon corps en arrière pour le laisser à la vue du blondinet. Laissant ma langue glisser dans son cou, tout en agrippant avec une légère brutalité sa lèvre inférieure. Je ne le quittais pas des yeux depuis ses deux minutes qui venaient de s'écouler...Alors que je gigotais toujours sur lui de façon sensuelle je dégrafais mon soutien gorge tout en me plaquant contre son corps, laissant mes ongles remonter sur ses cuisses de façon bestiale. Je me mettais à genoux, remontant mon corps de façon à ce que je sois entre ses jambes laissant mes lèvres frôler les siennes. Tout en remontant de façon sexy je laissais mon bassin se remuer tout en glissant mes doigts à la bordure de mon string pour l'arracher d'un coup rapide. Puis dans un sourire je coupais la musique tout en me mettant nue sur Rayant en lui glissant ses mots à l'oreille «  A ton tour, bébé ».


« Elles ne sont peut-être pas énormes mais au moins elles sont fermes ». Disais-je tout laissant ma langue passer sur mes lèvres, je ne suis qu'une femme qui elle aussi avait des besoins et si c'était de refaire l'amour avec le jeune homme il n'y avait pas de soucis. Il se détachait de mon étreinte subitement tout en me lançant plantée là penaude. Je le regardais en haussant un sourcil, on allume pas une De la Croix en partant après...c'était inhumain.  A sa remarque un sourire encore moins innocent apparaissait sur mes lèvres. Nous nous installions à table comme si de rien était, comme si toute cette provocation nous faisait rien. Je buvais un peu de café faisant un peu exprès de m'en renverser sur mon tee-shirt dans un regard tout à fait innocent je lui disais en me mordant la lèvre en même temps «  Mince je suis vraiment maladroite...tu peux m'aider à le retirer j'ai peur de me brûler tu sais... ». Han la coquine...





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MessageSujet: Re: ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français.  ... le reste du temps il ne se passe rien, comme dans les films français. EmptyMer 15 Oct - 18:06

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Charayan. + « They say I only think in the form of crunching numbers in hotel rooms collecting page six lovers. Get me out of my mind and get you out of those clothes, I'm a liner away from getting you into the mood. One night and one more time, thanks for the memories even though they weren't so great : "he tastes like you only sweeter". »

Un sourire en coin venait rapidement à se fondre sur mes lèvres. Cette douce sensation de se savoir désirer était telle un sentiment de pure invincibilité. Tel le lion dans la savane, j'aimais à me pavaner et à montrer fièrement que j'avais les pleins pouvoirs ne serait-ce que d'un simple regard, et Charlotte était bel et bien là pour regonfler mon égo à bloc. Sauf que naturellement, je n'allais pas lui donner ce qu'elle désirait tant, oh que non. J'aimais à jouer de mes conquêtes, à les voir presque me supplier pour obtenir ce qu'elles désiraient, le tout était bien plus jouissif et bien plus amusant. « Comme si t'en avais pas assez profité toute la nuit. Mais j'te comprends, passer une nuit avec le mec le plus canon et le plus doué de Berkeley, ça vous change radicalement. C'est comme une drogue, on ne peut plus s'en passer ensuite. » Moi, me jeter des fleurs ? Oh que oui, mais il y avait de quoi me vanter. J'étais à la fois doté d'un physique de rêve et d'une intelligence des plus redoutable. Bon d'accord, à défaut, j'étais également un enfoiré de service doublé d'un type démuni de tout sentiment humain, mais je le vis plutôt bien. Observant la jeune femme tirait sur son joint, l'odeur de cette substance ne tarda pas à chatouiller mes narines et ma première pensée ne fut certainement pas tournée vers la soirée de la veille, où apparemment, j'aurais inhalé la fumée de cette chose. Non, je ne me rappelais dans un premier temps la soirée au bord de la plage, vers le début de l'été. Cette nuit passée à boire pour oublier certaines histoires, cette nuit où Pavel était venu m'accoster, où malencontreusement, j'avais tiré sur le joint qu'il m'avait tendu pour mieux recracher mes poumons sous son nez. Cette nuit passée à boire pour oublier certaines histoires, cette nuit où Pavel était venu m'accoster, où malencontreusement, j'avais tiré sur le joint qu'il m'avait tendu pour mieux recracher mes poumons sous son nez. Comme s'il fallait savoir tirer sur un joint pour se montrer comme étant un vrai bonhomme. Membre de la confrérie Bêta-Delta et membre de sa trinité, coureur de jupons à temps pleins, personnification du Dieu Apollon, adepte de la salle de musculation et fêtard reconnu, autant dire que je n'avais pas besoin de trainer avec un joint entre les lèvres pour m'amuser ou me faire cataloguer. « Désolé, mais j'ai jamais été un adepte de ces cochonneries. Tourner au sexe et à l'alcool suffit amplement à faire mon bonheur. » Ce n'est qu'après donc, que je me commèrerais ce fameux échange de fumée qui avait terminé en baiser des plus torrides. Je baisse légèrement la tête, passant une main sur mon visage afin de cacher cet air prédateur qui est soudainement venu à se coller sur mes traits. Relevant les yeux vers Charlotte, je ne peux m'empêcher d'imaginer ses mains habiles parcourir à nouveau mon corps, l'explorer de fond en comble jusqu'à ce qu'elle ait pu effleurer la moindre parcelle de ma peau. « Sans façon, je préfère les entrées par effraction. », annonçais-je avec une pointe d'amusement tandis que je me redressais pour mieux avancer, armé de cette démarche prédatrice qui m'anime dés lorsque je me trouve en présence d'une proie de luxe, jusqu'à la jeune femme. Me collant contre elle, je laissais un sourire fendre mes lèvres, jouant la carte de la provocation. « Mmh, j'aime quand t'es entreprenante de la sorte. », avouais-je dans un murmure alors que ses lèvres frôlaient les miennes. Dire que je n'aimerais pas m'emparer de ses lèvres et l'embrasser sans la moindre pudeur serait un véritable mensonge, mais je me contenais, juste pour voir jusqu'à où je pourrais mener ce jeu ô combien alléchant. Je voulais lui faire tourner la tête, la rendre folle, m'amuser avec elle comme j'aimais tant le faire avec mes conquêtes.

Hier soir ; 23h15. Enfin, après de longues minutes d'attentes, nous étions rentrés dans le club que nous convoitions tant depuis ce début de soirée. Entraîné dans cette pièce privée, j'avais pris soin au passage devant le bar de demander une bouteille de vodka histoire d'avoir quelque chose à se mettre sous la dent, avant, pendant ou après le spectacle. « Si toutes les étudiantes pouvaient être fringuées comme toi à cet instant, je passerais plus mon temps avec elles que dans un amphithéâtre. » Charlotte n'était pas vraiment mon type de femme, mais comme tout chasseur, la proie n'importait que très peu, du moment que le gibier était cerné. Mais impossible de nier qu'elle avait tout pour plaire. Marrante, extravertie, qui n'avait peur de rien et aguicheuse à souhait. Elle rentrait dans le rang de mes conquêtes sans le moindre doute. Lorsque le ton fut donné, je ne pus en rien ôter mon regard de ce corps qui se déhanchait d'une manière si sensuelle, admirant chaque courbe et chaque ligne de son corps tel un pacha sur son trône. Les vêtements volent les uns après les autres, la température grimpe d'un cran et le corps presque nu de la Gamma se retrouve sur moi. Sa langue glissait sur mon cou, gagnant mes lèvres un instant plus tard. Lèvre qu'elle saisissait avec fougue tout en bougeant son corps, encore et encore. Ces derniers vêtements tombèrent enfin à terre, m'offrant une vue parfaite sur l'ensemble de son corps à présent dénudé. Sauf que toutes bonnes choses ont une fin et lorsque la musique cessa, je ne pus me contenir de laisser un juron en arabe s'échapper de ma bouche. Mes mains se posèrent sur les hanches de Charlotte, la soulevant en même temps que je me levais de ce fauteuil, tournant sur mes pieds pour l'y installer à son tour. Je venais à redémarrer la musique, commençant à bouger mes hanches tout en déboutonnant ma chemise. Pas besoin de costumes, à quoi bon, j'en avais assez porté au cours de ma brève carrière dans le monde du strip-tease. Le vêtement rejoint bien rapidement ceux de la Gamma se trouvant déjà au sol et je me rapproche d'elle, me plaçant entre ses cuisses et saisissant ses mains afin de les mettre au contact de mon torse parfaitement dessiné. Je me penche ensuite sur elle, nos lèvres se trouvant à quelques millimètres à peine les unes des autres tandis que mon bassin ne cesse de s'agiter entre ses cuisses. Je n'ai pas besoin de cette piste, encore moins de cette barre se trouvant dans mon dos, mon but n'étant que de chauffer Charlotte jusqu'à son point de rupture. Je passe furtivement ma langue sur ses lèvres avant de me redresser. Sous ses yeux, je défais lentement la ceinture de mon jean avant de déboutonner ce dernier pour mieux le faire glisser le long de mes cuisses. En un rien de temps, je le repousse quelque peu en arrière d'un simple coup de pied avant de fondre à nouveau sur la jeune femme, pressant mon bas-ventre contre le sien avec comme seul rempart entre nos intimités, le dernier vêtement qu'il me reste. Vêtement d'ailleurs dont je me défais après m'être encore un peu déhanché sous le nez de Charlotte. « Toi et moi, sans le moindre vêtement, ça ne te donne pas quelques envies obscènes ? », murmurais-je armé d'un sourire charmeur tout en plongeant mon regard dans le sien, nos lèvres se frôlant, se cherchant dangereusement sans vraiment entrer en contact. Allez, Charlotte, ne me dis pas que tu ne penses pas à la même chose que moi.

Je laisse couler un regard amusé sur la jeune femme, bien décidé à me jouer d'elle jusqu'au bout et après un instant, je me détache de cette dernière pour mieux m'occuper de mon petit-déjeuner. C'est si bon d'être un connard. J'avale en un rien de temps une première tranche de bacon, buvant juste après une gorgée de café alors que la voix de Charlotte vient à m'interpeller. Je lève donc les yeux en sa direction et l'observe un moment, d'un air fort détaché jusqu'à ce qu'un sourire malsain ne se glisse sur mon visage. « Oh chérie, il n'y a que dans les films pornos que pareille scène vient à se produire. » Autrement dit, je ne tomberais pas dans ton panneau en carton, sauf que... « Une chance pour toi que j'aime bien marcher dans ce genre de combine. » Je n'attends donc pas plus longtemps pour me redresser et contourner la table pour m'approcher de la Gamma. Mes mains saisissent la base de son tee-shirt, le remontant lentement tout en frôlant sa peau pour ainsi donc lui retirer ce vêtement un instant plus tard. « Oh la vilaine, une simple petite culotte comme vêtement. Je tourne la chaise d'un mouvement brusque, m'accroupissant devant la jeune et collant mes lèvres à l'intérieur de sa cuisse, y glissant ma langue pour remonter lentement vers son entre-jambe. J'adresse un bref regard amusé à Charlotte, agrippe son sous-vêtement et le lui enlève avant de me redresser. « Si tu savais à quel point, j'aime les matinées comme celles-ci...» Je tourne les talons et retourne m'asseoir sur la chaise que j'avais quitté un peu plus tôt, sourire d'irrésistible chieur sur les lèvres. Qu'il est bon de se comporter comme le pire enfoiré que la Terre ait pu porter.
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