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C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs

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MessageSujet: C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs EmptyDim 14 Aoû - 20:49

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C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs

    Berkeley, quand on y pense cette université c'est un véritable enfer, ou plutôt un véritable labyrinthe, celui ou on rentre et on ressort avec de la chance. Un nombre de bâtiment inimaginable, des salles de cours avec des nom comme 2 BA 23, franchement qu'est ce que vous voulez comprendre à ce nom de salle. Bien sur après maintenant deux ans dans cette université Bradley arrive à retrouver ses salles de cours, avec la chance elles ne changent jamais mais bon...
    Tien en parlant de ça faisons un petit flashback, l'arrivé de Bradley, les heures a chercher les salles quel bon souvenir quand on y pense. Pourquoi bon? Se perdre c'est bien? Oui vu comme ça c'est pas top, mais maintenant si vous suivez Bradley depuis quelques temps vous vous rappellerez que c'est le premier jour à Berkeley qu'il a fait la connaissance d'une belle jeune femme, une jeune femme avec qui il a couché. C'été surement pas la meilleure idée, la jeune femme était en dernière année à Berkeley autant dire qu'elle avait une connaissance parfaite des lieux. Bradley lui quand il couche avec une fille, le lendemain il disparait et fait comme si ne rien c'été passé, la jeune femme de son coté pensait rester un minimum avec la jeune homme. La déception fut grande, dans l'histoire Bradley avait tiré son coup, bravo mais maintenant il faut se débrouiller seul.

    Dès le premier jour Bradley avait montré à tout le monde qui il était, il était arrivé chez les IOTAS et durant la soirée d'intégration il avait mit une ambiance folle, facile quand il est en groupe le beau Braldey est totalement à l'aise. Ce n'est pas le cas quand il est en tête à tête avec une jeune femme. Oui Bradley est, enfin était un grand timide, maintenant grâce à Alcide il n'est plus timide.
    Oublions le présent on est dans un foutu de flashback, qui dit flashback dit passé. Donc le soir de son intégration il mettait un feu pas possible, tout le monde le regardait, il était le plus intéressant des bisus de la soirée. La mission de l'intégration? Faire un striptease, aucun problème pour Bradley se mettre à poil devant tout le monde ne le dérange pas. Le striptease, une fille vient le chauffer et là le masque tombe. Bradley bégaie, n'aligne pas quatre mots cohérant. Timide comme un nouveau né.

    Retour dans le présent ou Bradley est entrain de chercher une salle. Oui un cours a été prévu dans une nouvelle salle, un test. Plus un test pour les élèves que pour le cours mais bon. Bradley bien qu'en retard et perdu ne se presse pas, au pire il ratera son cours il y a pire dans la vie non? Un ascenseur, un second, un troisième. En y pensant les jeunes à Berkeley passent vraiment beaucoup de temps dans ses foutus ascenseur, et pourtant les bâtiments ne sont pas haut. Oui au maximum 6 étages, pour des jeunes en bonne santé c'est pas du tout difficile.
    Bradley était donc dans un ascenseur, surement le bon celui qui à défaut de l'envoyer au septième ciel l'enverrait au bon étage.

    Prendre un ascenseur pour monter trois étage? C'est être fainéant non? Oui surtout que le fait d'attendre la machine, que les portes s'ouvrent, qu'on monte, que les portes se ferment, la plupart du temps on serait déjà assis en salle de cours.
    L'ascenseur arrive enfin, rez-de- chaussé, premier étage, puis hop il s'arrête. La porte commence à s'ouvrir. Et là ...

    J'arrête la scène ma collègue vous donnera la suite, mais petite information, le cours de Bradley commençait à 9 heures (oui à Berkeley les cours ne commencent jamais plus tôt, oui il faut tout de même faire attention à la santé de nos jeunes protégés), il est actuellement 9h40. Autant dire que le beau blond ne mettra pas les pieds longtemps dans ce cours, si un jour il y met les pieds.
    Pourquoi je dis ça? Et bien on ne sait pas encore qui va entrer dans l'ascenseur, suffirait que ce soit quelqu'un qu'il connaisse, il y aurait une petite discussion, prendre des nouvelles sa prend toujours un peu de temps. Autant dire que Bradley aurait pu dormir plus.
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MessageSujet: Re: C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs EmptyLun 15 Aoû - 20:29

    C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs 1128095781
    → BRADLEY & CAPRYCE ★« Cause I may be bad, but I'm perfectly good at it
    Sex in the air, I don't care, I love the smell of it
    »



    Et voilà, comme elle en avait tant l'habitude, la jeune jolie sigma était encore en retard. La ponctualité ? Non, décidément ça n'avait jamais été son fort et ça n'était pas prêt de changer. Depuis qu'elle était entrée à Berkeley, elle ne cessait d'enchaîner les retards " de dernière minute" disait-elle. Mais il ne fallait pas se laisser duper, la panne de réveil n'y était pas toujours pour quelque chose, et il allait sérieusement falloir qu'elle se mette à suivre ses cours avec plus d'assiduité que ça. Ses études étaient très importantes à ses yeux mais elle avait un peu trop tendance à les oublier et les laisser sur la touche ces derniers temps. C'était regrettable pour une élève aussi prometteuse d'être plus tentée par le désir de passer ses matinées à traîner au lit et ses après-midi à la plage. Capryce était incorrigible et il était tout bonnement inutile d'essayer de la remettre sur le droit chemin. Plus on insiste, plus elle se braque et fait le contraire, c'est bien connu. Le caractère fou-fou de la demoiselle voulait qu'elle était tout simplement incapable d'être attentive plus de dix minutes, une véritable pile électrique qui avait heureusement la chance de pouvoir très vite assimiler les nouvelles leçons. Quoi qu'il en soit elle avait conscience de son laissé aller, et avait dans l'idée d'y remédier assez vite. Après tout, ce n'était pas parce qu'elle aimait faire du shopping et passer ses soirées en boîte qu'elle devait devenir paresseuse, elle pouvait très bien coordonner tout ça ; question d'organisation. Néanmoins, pour en revenir à nous moutons, comme au moins une fois par semaine, Capryce était encore en retard. Elle était habituée, et vu l'heure qu'il était, ce n'était même pas la peine qu'elle se dépêche, ses efforts auraient été inutiles dans tous les cas. Aussi elle pris le temps de se lever, de déjeuner et de se pomponner. Très coquette, elle aurait de toute façon refusé de sortir en jogging, c'était inconcevable pour une fille toujours à la pointe de la mode et des dernières tendances. Et pourtant dieu sait qu'elle n'avait pas été toujours aussi soucieuse de son apparence, mais cette période était révolue et elle avait préféré l'effacer de son disque dur au cas où elle aurait décidé de refaire surface. C'était son petit secret. Par la même occasion elle avait tué la gentille Cappie, au fond d'elle avait toujours sommeillé un petit diable, pas un ange, elle en était persuadée. Elle était vouée à devenir fourbe et sans coeur, mais le rôle de la sorcière lui plaisait bien finalement. C'était amusant, divertissant, et au moins elle ne s'ennuyait jamais. C'était d'un pathétique d'être fleur bleue ! C'est d'ailleurs en marchant dans les couloirs de l'université que cette pensée traversa amèrement l'esprit de la blondinette. Toutes ces filles qui se pavenaient en faisant leur ridicule petit numéro de charme de midinette était à vomir, à tel point qu'elle ne pu s'empêcher de mimer une mine de dégoût profond. Non, elle ne regrettait pas d'être ainsi, depuis la vie lui avait ouvert plus de portes et même si elle ne se faisait pas des amis à tout bout de champs, ceux qu'elle possédait valaient vraiment le coup. C'était déjà ça et ça lui avait donné le sourire pour affronter cette journée de cours, et elle se trouvait particulièrement déterminée. Ecouteurs sur les oreilles, miss Suallen marchait d'un pas sûr et rapide, oubliant presque de se pavaner pour que les autres puissent admirer sa silhouette de rêve et ses nouveaux escarpins Louboutin. Ecouteurs sur les oreilles, elle ne prêtait pas attention à l'agitation autour d'elle, elle était uniquement concentrée pour arriver à attraper un ascenseur au bon moment, et il fallait dire que ce n'était pas chose facile. Elle aurait sans doute était plus rapide en montant les six étages à pieds, mais elle n'était pas encore assez folle pour ça. Le sport ? Oui, mais avec modération tout de même, elle n'avait aucune envie d'arriver en haut avec le souffle coupé et les traits du visage crispés. Alors elle attendrait le temps qu'il faudrait, mais elle prendrait ce fichu ascenseur ! Cependant les secondes s'écoulaient à une vive allure, et Capryce commençait à s'énerver rageusement sur le bouton censé l'appeler. Mais rien n'y faisait. Elle resta plantée là encore le temps de deux autres chansons, lorsque cet imbécile se décidé à pointer le bout de son nez. Pas trop tôt. Elle soupira, à la fois exaspérée et enfin soulagée de voir qu'elle n'avait pas trente six milles marches à se taper. Complètement perdue dans ses pensées, elle rentra vivement dans l'ascenseur, fidèle à sa réputation de boule de nerf. Elle ne tenait pas en place. Ce n'est qu'un court laps de temps après qu'elle constata avec surprise qu'un jeune homme était présent lui aussi. Oh, et pas n'importe quel jeune homme, c'était Bradley. Un garçon avec qui elle avait passé la nuit, comme elle le faisait avec beaucoup d'autres, changeant régulièrement de partenaire de jeu. Elle n'aimait pas garder contact avec eux généralement, et préférait rester sur un bon souvenir sous les draps, le reste, leur vie personnelle et tout le tralala, elle s'en fichait éperdument et ne faisait pas le moindre état d'âme. Cependant elle aimait bien ce garçon. Il était mignon, gentil, et séducteur. Au moins, ses intentions à lui devaient elles aussi être claire : entre eux il s'agissait de l'histoire d'une nuit, pas de toute la vie. Cappie n'était pas contre pour se relançer dans des ébats intimes avec lui. Dans son souvenir, il avait été plutôt...performant, quoi qu'un peu prétentieux peut-être. Mais encore une fois, ça lui importait peu du moment qu'on assouvissait ses envies. -« Salut joli garçon ! » s'exclama t-elle de sa voix enjôleuse. Chez elle c'était une manie, aguicher était un art auquel elle ne savait absolument pas résister. « Alors, on veut jouer au bad boy ? On sèche les cours ? C'est très mal ça. N'oublie pas que tu es un Delta, pas un gamma, ton trip à toi c'est d'emballer les nanas pas de jouer les mauvais élèves. » lança t-elle sur le ton de la plaisanterie. Elle aimait également taquiner, et ce n'était un secret pour personne, car le côté enfant de miss Suallen ne pouvait s'empêchait de ressurgir presque à chaque fois. Il s'agissait seulement d'une petite provocation, une de plus. Elle ne doutait pas un seul instant que cela rendrait les choses plus intéressantes entre eux. Les conversations piquantes étaient toujours excitantes.
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MessageSujet: Re: C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs EmptyJeu 18 Aoû - 13:27

La ponctualité, un mot totalement inconnu au bataillon pour le beau blond, je vais vous expliquer pourquoi, vous allez très vite vous dire « Quel génie ce Bradley », ou plutôt « Quel enfoiré ! », ça dépend totalement de votre façon d’être. Alors voilà quand vous donnez rendez vous à quelqu’un, une heure est fixée, vous arrivez toujours un peu en avance, on appel ça la ponctualité, oui c’est avoir toujours quelques minutes d’avance. Mais parfois ça peut arriver, je ne sais pas un accident ou une autre connerie qui vous met en retard. Et bien c’est là que Bradley a toujours dit « Je pars du principe que tout le monde est en retard », n’aimant pas attendre il préfère donc arriver encore plus en retard et donc faire attendre les autres. Beaucoup lui disent « Il ne faut jamais faire ce qu’on n’aimerait pas qu’on vous fasse », il en a que faire, il est odieux, jamais à l’heure et pourtant il attire les filles. Tien les filles parlons en, comment est il lors des rendez vous ? Et bien je ne sais pas il en a que très peu, rares sont les fois ou il dit à une fille « On se retrouve à tel endroit à telle heure », non la plupart du temps il rencontre une fille dans un bar ou en boite puis l’emballe, ensuite et bien c’est finit il ne la revoit plus, pas la peine de se donner un rendez vous, des coups d’un soir simplement.
Les coups d’un soir il en avait pleins, mais c’est vrai que des relations posées ou il était resté plus d’une journée avec une fille et bien ça, ça manquait à son palmarès.

Le problème c’est quand on commence à arriver en retard un peu partout, quand on commence à prôner le soyons en retard ce n’est pas grave. On est en retard partout même en cours, rajoutez à ça le fait qu’il n’est pas un bon élève et là la mixture est vraiment très mauvaise. Pour le moment fort heureusement pour lui tout allait bien, il avait beau être un peu à la ramasse il avait la moyenne, même un peu plus une chose rare quand on connait son passé. Cancre durant des années jamais ses parents n’auraient voulu qu’il rentre à Berkeley, je dirais même plus, jamais Berkeley aurait voulut de lui. Mais une nouvelle section s’ouvre, il faut l’alimenter en élèves et là on commence à ouvrir les valves, prendre des élèves moyens, quand les élèves moyens sont épuisé on prend le reste, c’est là qu’est arrivé Bradley.
Personnage haut en couleur, plus habitué au sexe qu’à la sexologie. Pourquoi avoir pris cette option ? Tout simplement parce qu’il adore le sexe et ce dit qu’il doit aussi être bon dans l’étude du sexe. Erreur en sexologie on travail les maladies, les rites des animaux toutes ses conneries que Bradley ne gère pas. Bien au contraire ce cours lui ferra parfois arrêter le sexe pendant une ou deux semaines. Abstinence ? Non dégout engendré par la vision de certaines photos de son livre de cours. Des pages gravées dans sa mémoire comme autant d’endroit à ne pas aller. La page 54 et sa photo immonde, le 122 et le croquis dégueulasse…

Que les demoiselles se rassure, le dégout du sexe et surtout le dégout du sexe féminin passe rapidement, Bradley n’arrive pas à en vouloir longtemps aux belles demoiselles pour les maladies qu’elles peuvent refiler. Il retombe donc dans l’enchainement de conquêtes, toutes plus belles les une que les autres, passant les unes après les autres dans son lit comme passent les bornes kilométrique sur l’autoroute. Une vie de jeune, sorties en boites, tour à la plage, autant de divertissement qui prennent facilement le pas sur le boulot. Oui le boulot car il y a souvent des exposés à préparer. Et bien Bradley ne les faits pas ou les faits à l’arrache, il sait que la section à besoin de lui pour le quota d’élèves, pas la peine de se prendre la tête les appréciations ne servent pas il suffit d’être bon durant les contrôles de fin d’année et le tour est joué.
Encore un cours ou il serrait absent, oui pourquoi y aller alors qu’il ne reste qu’un petit quart d’heure de cours, autant prendre de l’avance et être à l’heure au prochain. « Prendre de l’avance », une doctrine que Bradley ne connait pas, non il va monter dans la salle de cours, trouvera quelqu’un avec qui discuter et sera en retard au cours suivant, et ce jusqu’à la fin de la journée ou pour la première fois il serra à l’heure, oui à l’heure chez lui ou en boite.

Peut être même qu’il n’atteindrait pas la salle de cours, l’ascenseur pourtant peu âgés montre des signes de faiblesse, il monte doucement, s’arrêtant à chaque étage, Bradley était pas forcement inquiet, être coincé dans un ascenseur à Une bonne excuse pour un retard non ? Surtout que là l’ascenseur s’arrêta net, une panne ? Non simplement quelqu’un qui voulait monte r, quelqu’un d’aussi en retard que lui. Oui à cette heure ci personne ne traine dans les couloirs, encore moins dans les ascenseurs, soit on est au lit, soit en cours…
Une jeune femme entra dans l’ascenseur, avant même de voir la tête il reconnu le parfum. Oui aussi étonnant que cela puisse être Bradley arri ve à reconnaitre les filles rien qu’avec le parfum, même si ils n’ont vécu qu’une nuit ensemble qu’importe, c’est un don. La jeune femme qui venait de rentrait n’était autre que Capryce, une jeune femme très belle et surtout très douée au lit. Bradley pouvait témoignait il avait passé une très bonne nuit avec elle. Il avait l’habitude d’enchainer les filles comme elle d’enchainer les mecs, ils avaient une certaines expérience et c’est peut être ça qui avait rendu les ébats bien plus chaud qu’à l’habitude. Bradley prétentieux ? Oui c’est vrai mais quand il s’agit de sexe il ne se ventait jamais, il sait très bien comment est fait le corps humain et les pannes bien que pour le moment l’aient épargné ça arrive à tout le monde, souvent au moment ou l’on ne s’y attend pas. Pourquoi dire à une fille « Tu vas pleurer de plaisir » alors qu’à tout moment le corps, on ne sait pourquoi peut vous faire défaut ? Non Bradley lui préférait ne rien dire, laissant la jeune femme s’apercevoir des talents du bel étalon.

    Salut belle demoiselle !

Dit il avec une voix tout autant enjôleuse et dragueuse, oui Bradley aussi aimait jouer de ses charmes, mais il ne le faisait qu’avec les belles filles. Bradley ne supportait pas les grosses, il trouvait qu’elles se laissaient aller pour rien, le corps est un cadeau il faut en prendre soin, Capryce elle le faisait très bien.

Malheureusement j’avais le cul entre deux chaises, bien trop beau pour être un Sigma, mais toujours en retard en cours.

L’ascenseur ne c’était toujours pas fermé, autant dire que prendre les escaliers aurait été l’assurance d’arriver au bon étage, alors que là ils allaient peut être droit vers une panne d’ascenseur. Coincé dans une boite métallique avec la belle Miss Suallen, que demander de plus ?

    M’enfin il parait qu’emballer trop de nana emmène forcement à un retard en cours. L’inverse est vrai non ?

Dit il l’air de rien, elle avait surement compris de quoi il voulait parler. Elle était elle aussi en retard !
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MessageSujet: Re: C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs EmptySam 24 Sep - 21:26

    C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs 1128095781
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    Est-ce qu'en cet instant présent Capryce était ravie de revoir le beau Bradley ? A vrai dire, elle s'en fichait éperdument. Elle n'était pas du genre à s'accrocher pour rien, et ça n'était pas elle qui allait se mettre à courir derrière un simple "coup d'un soir". Bien sur, cette soirée avait été mémorable, un moment tout à fait inoubliable pour la jolie blondinette, qui s'amusait à y repenser avec, parfois, une certaine nostalgie. Mais il n'y avait pas de sentiments ambigus, loin de là. Ils avaient passé une nuit de folie, certes ils n'étaient pas obligés de faire comme si rien ne s'était passé, mais entre eux ils devaient en rester là. Il était tout bonnement inutile de tout gâcher maintenant en recommençant. Une fois, c'était amplement suffisant. Mais malgré tout, en voyant la façon dont le Delta la dévorait des yeux, Capryce savait que cette tension sexuelle allait être très difficile à mettre de côté, pourtant il le fallait. Et c'est pour cette raison qu'elle jouait si bien de son talent de dérision. Elle essayait d'employer le ton de la plaisanterie afin qu'ils évitent tout sujet délicat succeptible de la mettre malaise, et donc par conséquent en mauvaise posture. Ce n'est pas qu'elle appréciait particulièrement Bradley, pour être elle ne connaissait de lui que son nom et son anatomie quasi parfaite, et c'était déjà bien suffisant. Elle ne voulait pas en savoir davantage. Quoi qu'il en soit, on ne pouvait pas dire qu'elle possédait le moindre scrupule à son égard, il aurait suffit qu'elle l'envoie balader et elle aurait enfin obtenue la paix tant désirée. Mais elle n'y arrivait pas, elle ne pouvait s'y résigner parce que, peut-être, au plus profond de son être, désirait elle encore passer un moment intime avec lui. Après tout il était agréable à regarder, plutôt et même carrément bien foutu, assez sympa mais ça c'était accessoire, alors pourquoi se priver ? Il lui était servi sur un plateau et elle était étrangement entrain de faire la fine bouche. Pourtant, n'était ce pas elle qui prônait le "sois belle et consomme" ? Il était temps d'appliquer ce credo à bon escient, et là, c'était l'occasion rêvée de s'amuser un peu après cette semaine si monotone et sans intérêt. Bradley allait être le joujou qui servirait à accabler l'attention de Miss Suallen pour aujourd'hui. Il est important de préciser que cela n'est que temporaire et exceptionnel, bien entendu, il ne faut jamais abuser des bonnes choses même si cette dernière était coutumière de l'overdose.
    «Véridique. De toute façon tu es déjà en retard, alors je ne vois pas où est le problème. Tu devrais être honoré que je puisse te consacrer ces quelques minutes, j'ai un emploi du temps très chargé tu sais. Profite, aujourd'hui c'est Noël pour toi.» Et bim, bam, boum ! C'était du Capryce tout craché. Un mélange de subtilité de franchise, ce qui était assez déconcertant d'ailleurs. Ayant conscience de son charme, elle ne voyait pas en quoi cela pouvait être mal d'en jouer, bien au contraire. Elle allait pouvoir s'amuser un peu, et la partie ne faisait que commencer. Elle réservait l'apothéose pour la fin, même si elle se doutait déjà qu'à cet instant précis le beau blond était entrain de suer face aux avances de la belle. La belle Sigma rejeta sa longue crinière dorée en arrière, tout en se pavanant avec grâce et volupté, telle une lionne qui flairé sa proie. Elle était si...prévisible. «Et là tu es entrain d'espérer que cet ascenseur tombe en panne n'est-ce pas ? Comme je te connais bien ! Tu as de la chance, il me semble qu'il est un peu capricieux. Il suffit de lui donner juste un petit coup de pouce. » assena t-elle en touchant simultanément plusieurs boutons différents. Folle ? Oh non, elle était parfaitement conscience de ce qu'elle était entrain de faire et se fichait profondément de louper ses cours de la matinée, actuellement elle avait plus important à faire, vous voyez. Capryce avait un sacré sens de l'ordre des priorités ! De toute façon, rien n'aurait pu la pousser à faire marche arrière, lorsqu'elle avait une idée en tête, ça n'était pas ailleurs et il était tout bonnement impossible de la pousser au renoncement. Elle ne connaissait pas ce mot, il lui était inconnu. Mais pouvait-on le lui reprocher ? Car c'est cet entêtement qui lui a permis de devenir ce qu'elle est aujourd'hui, et même si elle n'est pas toujours intègre et droite, elle ne regrette absolument pas la jeune femme qu'elle est enfin devenue. Il a fallut faire des choix, pas forcément faciles, mais elle aime désormais le reflet qu'elle voit dans le miroir et préfère être intransigeante, parfois même méchante, plutôt que de se faire marcher dessus comme c'est si souvent arrivé. C'est certain, elle est loin d'être la femme parfaite, mais cela ne fait de toute façon pas parti de ses objectifs. Tout ce qu'elle désire, c'est uniquement profiter des plaisirs de la vie, sans se prendre la tête pour le moindre soucis. " Un mari pour le chic, un amant pour le choc, une vieux pour le chèque ", ça sonne assez bien non ?
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MessageSujet: Re: C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs EmptyMer 28 Sep - 12:09

C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs Emma-Watson-NEW-harry-potter-11744376-500-250
C'est fou le temps qu'on passe dans ses foutus ascenceurs

    Et lui était-il content de revoir la belle Capryce ? Et bien contrairement à elle sa ne le dérangeait pas du tout de la recroiser, il avait une façon de faire et surtout une façon d’être avec les femmes qui faisait qu’il se moquait pas mal de revoir une fille avec qui il avait couché. Il ne pensait jamais à ce qu’il c’était passé avant, non il préférait toujours regarder vers l’avant, et l’avant aujourd’hui c’est quoi ? C’est avoir en face de lui une femme avec qui il a passé une nuit, une nuit pas inoubliable mais très mouvementé, ou les deux parties ont trouvé leur compte. Mais ne vous méprenez pas, vous connaissez Bradley ce n’est pas le genre de mec à être super heureux et à s’accrocher à un coup d’un soir. Non il sait très bien comment ça se passe à Berkeley, il y a les romantiques, les coincés puis les autres, Bradley fait partit du dernier groupe. Ceux qui s’amusent avec les coups d’un soir, ceux qui parfois font des promesses en l’air, des promesses qui ne tiennent pas. Il ne compte donc plus le nombre de chambre d’hôtel qu’il a lâchement abandonné pour ne pas donné d’explication sur le pourquoi il n’y avait pas de lendemain à la partie de jambe en l’air.
    Avec la belle blondinette il n’y avait jamais eut d’ambigüité, ils couchaient ensemble puis après c’été finit, hors de question de s’attacher, hors de question de devenir ce qui se faisait beaucoup ici, des sex-friends, oui des amis qui remettent le couvert pour s’amuser. Non ici il y avait eut une nuit, une fabuleuse nuit avouons le puis c’est tout.

    Dans quel état d’esprit se présenter donc le beau blond, présent dans un lieu clos et étroit avec la jolie jeune femme. Et bien il était totalement décontracté, pourquoi être tendu ? Il se moquait pas mal d’elle lui aussi, il avait joué avec elle, elle avait joué avec lui et voilà tout le monde y avait trouvé son compte. Pas la peine d’être tendu, bien sur il avait toujours son regard qui balayé le corps de la jeune femme, avec envie ? Pas forcement, bien sur elle lui sautait dessus ou lui faisait des avances et hop ils recoucheraient ensemble. Bradley un simple homme qui malgrè un self control assez important ne pouvait résister trop longtemps.
    Oui vous vous souvenez surement de la belle Emy, celle qu’il a chauffait jusqu’à qu’elle cède pour ensuite s’en aller, fier du tour qu’il lui avait joué. Mais c’est différent la belle pensait pouvoir lui résister, elle le prennait de haut et faisait celle intouchable face à son charme. Raté, il se souvient encore de son visage quand il l’avait laissé nue sur cette plage abandonné, elle qui se voyait déjà dans les bras du jeune homme pour une folle étreinte. Bradley n’avait que repoussé l’échéance, la prochaine rencontre risque d’être salée, très salée, se brulerait il les ailes ? Surement pas, il n’attendait rien de la jeune femme, si ils couchaient ensemble c’été bien, si elle se refusait à lui il irait vers une prochaine proie.

      Quel honneur alors pour moi. Je penserai à marquer ce jour d’une pierre blanche. Noel je pense que c’est exactement le bon mot, un jour ou tout le monde offre des cadeaux, soit heureuse tu as ce qui se fait de mieux à Noel !

    Elle pouvait être franche, sure d’elle. Bradley lui aussi l’était, il avait une confiance en lui peut être même trop importante et rajoutez à ça le fait qu’il aimait toujours mettre une pointe d’ironie dans ses phrases et vous aurez surement une rencontre assez chaude dans cette ascenseur. Par chaude je n’entends pas forcement du sexe, oh non l’ambiance serait électrique, deux égos un peu trop développé dans une pièce si petite ça fait mal non ?

      On m’a déjà parlé de toi et quand on me disait « Elle prend ses rêves pour des réalités », je ne voulais pas y croire. Mais le gars en question, surement un gars fou de toi et qui ne t’aura jamais n’avait pas tord. Il a oublié de rajouter que tu te mentais à toi-même.

    Il marqua une pause.

      Bon comme c’est Noel, un autre cadeau pour toi !

    Il mit un coup de poing là ou la jeune femme essayait d’appuyer sur tous les boutons et là hop l’ascenseur stoppa net. Seul problème la lumière elle aussi, il n’y avait plus que le panneau urgence qui illuminait la pièce d’une lueur rouge.
    Ils étaient maintenant coincés, comment serait l’ambiance ? Electrique, se lançant pique sur pique, ou chaude deux corps de mêlant dans la peine ombre. Dans un ascenseur un fantasme que Bradley avait déjà réalisé, mais l’ascenseur était en marche et bien sur il n’avait pas eut le temps de faire l’affaire totalement, le fantasme n’était donc pas totalement assouvit.
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