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you're like a story, a princess in danger and i save you

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MessageSujet: you're like a story, a princess in danger and i save you you're like a story, a princess in danger and i save you EmptyMer 1 Oct - 23:20


you walk like a princess on the boulevard. sara & este

Les urgences avaient été remplis durant des heures avec l'accident de la route et la pluie torrentielle qui s'abattait sur San Francisco depuis le début de la journée. La nuit était déjà bien avancé et Esteban était épuisé. Il ne se plaignait pas de son boulot d'infirmier. Trois ans qu'il exerçait cette profession en plus de ses études de médecines, trois ans que sa vie se résumait à l'hôpital 24h par semaine et pourtant il ne se plaignait pas. Il admirait les miracles de la médecine moderne et leur avancé surprenante à tous les niveaux. Même si il devait encore attendre deux ans avant d'être un interne en chirurgie, il voulait être au plus près des médecins, faire au moins les gestes les plus basiques qui soient, savoir comment annoncer au patient une bonne comme une mauvaise nouvelle. Il voulait être prêt. Il n'était pas surdoué, il n'était pas le premier en tout, mais il était le premier de tout. Son travail et l'énergie qu'il mettait en oeuvre dans sa passion pour la médecine allait le mener loin, il le savait très bien. Et c'est la raison de son épuisement permanent. La raison de son envie incommensurable de dormir encore et encore jusqu'à ce que son corps récupère des 4 heures de gardes qu'il venait d'effectuer. Rentre chez toi gueule d'ange, on va s'en sortir sans toi. Son infirmière en chef l'avait surnommé comme Michael Scofield dans Prison Break à la seconde où il avait intégré le service infirmier l'année dernière au mois de novembre. Il ne lui en voulait pas ce surnom ridicule, et au final, il en jouait plutôt bien. Son visage n'était pas de ceux que l'on pouvait oublier, ses yeux très clairs et son sourire adorable faisait de lui l'infirmier le plus adulé des patients et celui qui avait le plus de succès avec ses collègues. Néanmoins, Esteban est un homme romantique, fleur bleu, posé et calme. Il n'aimait pas les hommes qui batifolaient à droite et à gauche, qui ne restaient pas stable avec une seule personne et ne voulaient pas se poser avec une femme, une seule et unique femme. Il respectait tellement la gante féminine qu'on en venait à se demander pourquoi il ne leur faisait pas honneur comme elles semblaient tant le souhaiter. Mais non. Sa timidité l'empêchait d'être complètement charmeur. Du moins, plus qu'il ne l'était déjà. Car son charme était indéniable, sa bonté et sa gentillesse naïve, son envie de croire en la race humaine mais sa méfiance envers eux le rendait imperméable à la moindre attention. Il se barricadait. Il savait très bien de quoi l'Homme était capable. Les urgences étaient remplis de ces cas, les blocs jamais vides de patients presque mort à cause d'une bagarre de rue ou d'un mari violent, les infirmiers jamais détendu à cause d'un patient récalcitrant ou d'un chirurgien en besoin à cause d'une plaie particulière. Il savait à quoi s'en tenir dans son avenir et il n'allait pas perdre son temps à batifoler et ne pas trouver la femme qui partagerait sa vie. C'est idiot à dire à seulement 21 ans, mais il le pensait. Il est jeune, en pleine fleur de l'âge, il peut faire des expériences et connaître de multiples femmes qui seraient sans doute plus que ravie de partager ne serait-ce que quelques heures avec lui mais il n'était pas comme ça. Son pantalon en lin sur les hanches et un simple t-shirt à l'effigie d'un kangourou sur le dos, il sortit de l'hôpital avec le coeur léger car son dernier patient venait de recevoir la visite de sa femme et qu'il allait se marier dans deux mois. Il voyait le bonheur devant lui. Un bonheur qu'il aurait aimé ressentir encore une fois après elle. Elle. Il n'en parlait jamais car c'était une histoire terminé depuis bien longtemps. En marchant dans les rues de San Francisco, cherchant sa voiture qu'il garait toujours loin afin de profiter de la ville, il aperçut une jeune femme qui boitait en train de marcher. Elle ne boitait pas un peu, mais beaucoup. Sans doute une belle foulure de la cheville, mais ça pouvait être pire. Il courut vers elle, à la manière d'un justicier venant en aide à une princesse en détresse. Esteban avait bien l'allure d'un super héros avec ces cernes immenses et son regard vide plein de fatigue. Mademoiselle ! Mademoiselle, laissez moi vous aider. Il ne lui demanda rien d'autre, juste qu'elle accepte son aide. Il plongea ses yeux dans son regard brun chocolat, elle aurait fait fondre n'importe qui avec des yeux pareils. Belle à en mourir. Il était rare que Esteban craque sur une femme, surtout en pleine rue en pleine nuit. Vous avez mal au pied ? Je peux vous conduire à l'hôpital si vous voulez ? La voiture du jeune homme était encore à quelques centaines de mètres, près de la plage. Il aimait bien profiter du silence de la plage sans personne et du bruit agréable des vagues qui s'échouent qui le sable. Mais, revoir ses plans ne lui causait aucuns soucis. Il était fatigué, courbaturé après ses heures à l'hôpital, mais rien que pour ses grands yeux bruns chauds qui le regardait, il était prêt à y retourner. Il passa son bras sous celui de la jeune femme et la porta sans aucuns efforts. Maintenir une forme physique plus qu'excellente était une chose indispensable pour lui. N'importe quoi pouvait arriver alors il n'allait pas se priver de quelques heures de musculation par semaine, ni d'un footing tous les matins avant d'aller en cours tout autour de l'université. Alors, porter une jeune inconnue à bout de bras alors qu'il était fatigué et exténué n'était pas un exploit. Et il se devait de le faire pour elle. Je suis Esteban. Esteban Costa-Nguyen. Mais appelle moi Este. La moindre des choses quand on prend une fille dans ses bras afin de l'emmener se faire soigner est de lui dire son nom et son prénom. Non ?! Et au cas où tu te poses des questions, je suis un infirmier et non un pervers qui va t'emmener à sa voiture pour te kidnapper. Et je te sauve sans doute d'un destin tragique avec cette cheville toute fine. Il lui sourit. De son sourire adorable et craquant qui attirait les foules mais qui ne lui était destiné qu'à elle présentement.
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MessageSujet: Re: you're like a story, a princess in danger and i save you you're like a story, a princess in danger and i save you EmptyDim 5 Oct - 18:09

you know what i’m thinking about right now ?
kissing you. standing here, looking at you,
and all i want to do is kiss you.
so, no, we can’t be friends right no.


sara & esteban ; san francisco general hospital ; mi-septembre. La nuit est tombée depuis bien longtemps sur la ville de San Francisco, elle ne sait pas quel heure il est ni depuis combien de temps elle marche comme ça. Elle n’a pas pris de voiture, le dernier bus est déjà passé et les taxis sont tous occupés. Elle est condamnée à errer comme ça jusqu’à l’endroit qu’elle veut. Mais la douleur et la fatigue se font ressentir. Elle s’arrête, épuisée. Elle jure, elle grogne, elle maudit le monde pour lui avoir fait passer cette soirée ou plutôt cette fin de soirée. Littéralement catastrophique. Elle est plantée là, au beau milieu de la rue. Se maintenant le plus difficilement possible sur sa jambe potable. La froideur de la nuit lui mord les joues mais ce n’est rien comparé à ce qu’elle endure depuis le début de la soirée, depuis qu’elle a quitté l’appartement de son amie. Elle inspire, expire le plus profondément possible, essayant d’oublier les courants électriques dans son corps. Elle cherche maladroitement son portable dans son sac mais la manœuvre la fait basculer sur le côté, elle ne tient plus et s’écrase lourdement sur le sol, son poids cumulé sur sa cheville blessée. D’instant elle ramène sa cheville le plus près possible et tente de réprimer les sanglots qui la gagnent. Elle ferme les yeux quelques secondes et entend des voix en sa direction. Elle secoue la tête mais les voix insistent. « .mademoiselle, est-ce que ça va ?. » elle est à bout de nerf. Elle ne prend pas la peine de répondre –non, elle répond intérieurement et c’est bien mieux comme ça. Elle secoue la tête une nouvelle fois, sa main sur la cheville. Les personnes abandonnent et partent. Elle relève la tête et inspire profondément avant de tout relâcher. La chaleur de son souffle est à peine visible. Elle reprend ses esprits et cherche son portable. Malheureusement, le sort semble contre elle. Plus de batterie et l’envie de le jeter loin devant elle la démange au plus haut point, mais elle se résigne à ne pas le faire. Elle s’en voudrait par la suite. Elle ramène son sac devant elle, cherche quelque chose qui pourrait atténuer la douleur mais rien. Elle claque sa langue contre son palais et regarde autour d’elle. Elle voit un couple au loin. Elle attend –sans grande patience il faut le dire- qu’ils arrivent à sa hauteur avant de les appeler pour leur demander de l’aide. A sa grande surprise, ils acceptent tout de suite, le jeune homme appelle un taxi depuis son portable, lui informant qu’il serait là dans dix minutes et la jeune femme lui demande si elle a besoin de quelque chose. Elle hésite, bien que très charmant elle ne sait pas réellement sur quoi elle peut tomber. « .non ça va aller, je vais attendre le taxi et aller à l’hôpital le plus proche. » ils sont sympas ces inconnus, ils attendent avec elle jusqu’à ce que le taxi arrive. Le jeune homme l’aide même a monté dans la voiture. Elle se dit qu’il y a encore du bon sur cette terre. Sur le chemin, elle commence à s’inquiéter, l’hôpital n’est réellement pas proche et la facture de la course ne cesse d’augmenter, elle regarde rapidement combien elle a en liquide, assez mais elle devra terminer la course à pied. Le trajet se fait en silence, elle est peu encline à la conversation, de ce fait, le chauffeur abandonne l’idée de lui parler. Et c’est au stade des 120 dollars qu’elle demande au chauffeur de s’arrêter, elle paye, un pincement au cœur à l’idée de payer une telle somme pour continuer encore à pied. Alors elle reprend sa marche dans la nuit, elle marche au ralentit, pestant contre la douleur qui la prend à chaque fois qu’elle ose s’appuyer sur sa cheville droite. C’est après vingt longues et épuisantes minutes qu’elle arrive près du San Francisco Hospital. Son cœur fait un bon de joie dans sa poitrine quand elle voit l’enseigne pas très loin d’elle, prise d’adrénaline, elle accélère sa course mais regrette très vite la manœuvre, elle est à bout de souffle, elle sent son cœur tambouriner dans ses tempes. Elle arrive finalement sur le parking et s’aide sans hésiter des voitures encore stationner, prenant le risque de faire activer une alarme à n’importe quel moment, mais à vrai dire, à ce moment-là, clairement, elle n’en a rien à faire. Elle est près de la porte d’entrée quand elle entend une voix s’élevait dans la nuit. Le genre de voix qu’on voudrait suivre sans hésiter, elle redresse la tête et voit un jeune homme courir vers elle. Elle a l’impression de rêver. Et pour la première fois de la soirée, elle s’autorise à sourire suite à l’arrivée du jeune homme près d’elle. « .à vrai dire, ce serait avec plaisir. » qu’elle lui répond en plongeant son regard dans le sien. « .je … j’ai eu un accident tout à l’heure, j’ai mal à la cheville droite. » dit-elle en regardant sa jambe droite, le pied en l’air pour essayer d’atténuer la douleur. Alors qu’elle pensait qu’il n’allait lui prêter qu’un bras pour l’emmener là-bas, le jeune homme la porta sans aucun effort. « .ce n’était pas la peine de me porter. » qu’elle murmure par pure politesse alors qu’elle passe un bras autour de ses épaules. Elle baisse le regard et s’amuse, rit doucement à la présentation d’Esteban. « .ça me rassure alors, je suis tombée sur la bonne personne. » dit-elle en plongeant son regard dans le sien. Il est beau, elle ne peut le nier. Un sourire à faire craquer et pourtant elle a le sentiment qu’il n’en joue pas. « .je suis vraiment désolée de vous faire revenir là-bas. C’était la fin de votre service non ? » qu’elle lâche en regardant la porte d’entrer se rapprocher de plus en plus. « .vous pouvez me lâcher si je suis trop lourde. » d’ordinaire, elle n’aurait pas sortis ce genre de phrase et aurait profiter de l’occasion, mais ce soir ce n’était pas pareil, et surtout pas avec lui. Et puis elle a l’impression d’oublier quelque chose. Et elle sursaute légèrement en lui faisant face. « Oh faite, moi c’est Sara. Sara Banner-Reyes. » un immense sourire s’affiche sur son visage fatigué.
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MessageSujet: Re: you're like a story, a princess in danger and i save you you're like a story, a princess in danger and i save you EmptyDim 12 Oct - 21:27


il lui semblait avoir pris quelque chose d'elle, l'image de son corps restée dans ses yeux et la saveur de son être moral restée en son coeur. il demeurait sous l'obsession de son image, comme il arrive quelquefois quand on a passé des heures charmantes auprès d'un être. on dirait qu'on subit une possession étrange, intime, confuse, troublante et exquise parce qu'elle est mystérieuse.

La séduction est un jeu dangereux, cruel et parfois diabolique. Il vous rend toute fébrile et manipulateur, il nous rend joyeux et triste quand elle échoue. Esteban voyait bien à quel point le jeu de séduction fonctionnait. il analysait beaucoup de choses dans sa vie, et elle en faisait partie. Il n'aimait pas draguer, il n'aimait pas forcément qu'on le drague bien que ça gonfle quelque peu son ego. Il aimait la rencontre, les discussions, le processus qui faisait qu'on apprenait à se connaître l'un l'autre, qui nous poussait à appeler le soir et à rester tard le soir au téléphone sans pouvoir raccrocher, à jouer à ce jeu où l'on cherche l'autre sans arrêt et lorsque la trouvaille dépasse nos attentes. Il aimait pouvoir apprendre à connaître encore et la personne. Et que tout commence par une simple rencontre avec une inconnue. Sortir avec une amie à lui, lui faisait un peu peur. C'est comme si on lui demandait de sortir avec Mackenzie. Impossible. Il ne se verrait pas proposer à sa meilleure amie d'avoir un rancard avec lui. La nouveauté, les surprises, les imprévus, il aime ça Esteban. Et cet imprévu dans cette rue sombre où il était tombé sur une jeune femme qui claudiquait sur un pied et demi faisait partie des surprises qu'il aimait. Elle accepta son aide avec gentillesse. Elle qui aurait très bien pu l'envoyer paître. Laissez moi regarder ça. Soulevant le bas du pantalon de la jeune femme, il lui tâte un peu la cheville. Il ne peut rien voir mais au petit bruit de souris qu'elle fait, elle doit avoir très mal. Direction l'hôpital. Elle dans ses bras, il marchait d'un pas étonnamment léger vers le centre de soin. On ne va pas dire qu'il a l'habitude de sauver des demoiselles en détresse mais il portait souvent sa petite soeur quand il était jeune et Guadalupe aussi. De plus, sa condition physique était au maximum entre les courses le week end et les gardes à l'hôpital qui poussait son corps au maximum. Ne t'inquiète pas, tu as un poids plume. Ouais, poids plume. Il faisait un peu le fier, il fallait l'avouer. Mais il n'allait pas la reposer par terre. Il allait la mener aux urgences et la remettre aux soins d'un orthopédiste de l'hôpital. Salut Sara. Tu as de la chance dis donc d'être tombé sur moi, sans vouloir me venter. C'est dangereux les rues de San Francisco seule la nuit. Il la connaissait à peine qu'il lui faisait déjà la leçon. Il s'inquiétait pour tout le monde, pour rien. Une petite plaie, une cheville foulée, une petite douleur dans le dos, un mal de crâne, une petite grippe. Il était un peu hypocondriaque sur les bords quand il voyait quelqu'un ayant mal. De plus, elle était très jolie alors ça aurait été dommage pour elle de se faire agresser dans la rue. Tu n'es pas à Berkeley par hasard ? Il me semble t'avoir déjà vu. L'université était grande, immense, gigantesque. Il n'était pas rare que l'on croise un ou deux étudiants en train de traîner dans la ville. Mais la nuit, c'était plutôt vers les boîtes de nuits et clubs qu'ils passaient leur temps, pas à proximité d'un hôpital. En portant la jeune fille à travers les rues froides de la ville, il se demanda bien ce qui avait poussé cette frêle Sara à déambuler dans les rues avec une cheville foulée. Je peux te poser une question ? Il attendit un peu qu'elle l'entende. Comment ça se fait que tu sois seule, dans les rues peu fréquentables de la ville avec une cheville foulée ? Il n'osait pas lui demander si elle avait quelqu'un à appeler car à la vue de son visage si fatigué, il se doutait bien qu'elle était fatiguée de ses fréquentations habituelles. On ne se baladait pas seule dans les rues quand on avait envie de voir quelqu'un. La devanture de l'hôpital apparaissait devant ses yeux. Entrant dans le centre de soin, il bipa un infirmière en garde ne pouvant pas faire grand chose avec Sara dans ses bras. Je te confie à Isabel, c'est la meilleure des infirmières et elle te conduira à un ortho pour ta cheville. Je suis juste derrière toi, le temps de prendre des papiers à l'acceuil. Il laissa Isabel emmener Sara dans une chambre de soin et alla à l'accueil pour prendre un dossier d'admission. Il n'était pas un médecin officiellement mais elle aurait besoin d'une bonne nuit de sommeil vu l'heure et d'une attelle. Il allait payer pour ses soins. Elle ne lui avait rien demandé mais il ne voulait pas la quitter de si tôt. Il était intrigué par elle. Elle le fascinait un peu par sa candeur et son petit sourire mignon. Dis donc Esteban, tu nous ramènes un petit chaton perdu ce soir. Levant les yeux vers Jackelline, aussi appelé Jack, il ne put que rire un peu. Ce n'est pas un chaton perdu, elle s'appelle Sara. Et pas un mot à Marcelle. Marcelle était l'infirmière en chef et elle le taquinait toujours avec sa gueule d'ange et son aptitude à capter l'attention de toutes les filles présentes dans une salle. Il marcha en direction de la chambre de Sara. Cela faisait à peine dix minutes qu'il l'avait laissé mais l'infirmière avait du partir et l'ortho n'allait pas tarder. Il entra dans la chambre 206 et retrouva Sara, assise sur le lit, dans ses habits. Il n'avait pas pu la voir distinctement tout à l'heure à cause de l'obscurité mais à présent il la voyait vraiment. Avec ses longs cheveux bruns qui tombaient en cascade sur ses épaules, ses grands yeux bruns effarouchés, son visage d'ange un peu taquin. Hey ! L'ortho est déjà passé ? Ah Esteban, tu vas devoir faire des efforts dans tes relations avec les femmes toi.
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MessageSujet: Re: you're like a story, a princess in danger and i save you you're like a story, a princess in danger and i save you EmptyMer 4 Fév - 20:11

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