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save me from myself •• vrayllan

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MessageSujet: save me from myself •• vrayllan save me from myself •• vrayllan EmptyLun 5 Sep - 18:55

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vrayllan •• save me from myself ♣




Utilisant ma carte de crédit pour faire une belle ligne bien droite de cocaïne, la substance censé me faire planer bien comme il faut, me faire oublier tous mes emmerdes, me faire oublier que je suis le pire des connards, le bourreau des coeurs n'était pas ce qu'il prétendait être, un mec grand beau, fort et sans coeur. La surface, elle est bel et bien là. Une conquête par soir, un taux d'alcoolémie jamais très bas, le corps rempli de marijuana et des insultes, obscénités et autres volant à chaque fois que j'ouvrais la bouche. Attention à vos fesses les filles, Keyllan est là. Attention à vos gueules les mecs, Hermès-Cador le junkie est de sortie. V.I.P. dans les bars et autres boîtes de nuit, meilleur client des dealers de drogue ; me voila l'epsilon, le magnifique, it boy, au sommet de son art, plus gros batard de l'humanité. Merci papa, merci maman, merci Coleen. Mais, malgré tout, le principal artisan de ma décadence, c'était bel et bien moi, moi et rien que moi. Je la sentais, la poudre blanche que je venais de sniffer commençais à faire effet, je le sentais. « Keyllan sortit des toilettes pour homme, cherchant du regard sa cavalière du soir, qui devait surement se faire accoster, normal c'était une bombe, Memphis Zarin-Mcfendders, qui serait ce soir aux premières loges, la première au courant de la chute d'Hermès-Cador, jusqu'ici à son apogée pour redescendre sous terre, mais pas encore six pieds sous terre, entre quatre planches. Quel sera l'expression de ton visage plus tard dans la soirée ? Evidemment pas ce sourire aussi coquin qu'aguicheur, honey. Non, ce sera plutôt l'horreur qui se lira sur ton visage. T'aimerais surement le savoir, pour l'en empêcher ou bien pour t'enfuir, qui sait, peut être verrait-on ta face cachée ? Arrivant jusque la demoiselle, accosté par un jeune homme, Keyllan ne fit pas dans le détail et le poussa par terre, avant d'embrasser la demoiselle et de lui prendre la main pour l'emmener vers la piste de danse. Dansant proche d'elle -collé même-, derrière la demoiselle, le Cannois ne se gênait pas pour laisser ses mains se balader sur la demoiselle, tandis que la drogue ajouté à l'alcool ingurgité et aux lumières de toutes les couleurs se baladant dans la boîte de nuit. Il se sentait tout bizarre, il avait l'impression de voir vraiment flou, d'entendre des choses bizarre. Il eut l'impression de l'entendre crier, de la voir sauter dans le vide. Coleen venait à nouveau le hanter. Il attrapa la main de Memphis et l'emmena dehors. Elle lui demanda si tout allait bien mais ca n'allait pas. Tout ca n'allait pas bien, tout se bousculait dans sa tête, tout semblait n'avoir ni queue ni tête. Il entendait dans sa tête Stiyzanna lui dire qu'elle ne l'aimait pas, Vraona lui dire qu'elle voulait voir ce qu'il se passerait avec Jayan, Rowan lui dire que c'était terminé. Il aurait voulu se faire sauter la tête pour ne plus jamais entendre tout cela, en même temps. Il avait l'impression que sa tête était en train d'exploser. Il marchait, sans regarder qu'il se trouvait sur la route. Dernier souvenir, la lumière blanche de plein phare d'une voiture arrivant sur lui à vive allure. Puis, plus rien, le trou noir, le vide... »

Ouvrant les yeux, tant bien que mal, je regardais autour de moi. Je ne savais pas quel jour nous étions, je ne savais pas quel heure il était. J'avais l'impression d'avoir dormi pendant des jours, j'avais l'impression qu'on m'avait amputé trois jours, peut être plus même, de mémoire. Mes yeux me piquaient et je voyais assez flou. Regardant autour de moi à nouveau, je vis que je n'étais pas dans un endroit que je connaissais. Non, apparemment, j'étais à l'hôpital. Damn, qu'est ce qui s'était passé ? Je n'en avais aucune idée, à vrai dire. Je me souvenais avoir couché avec Memphis, avant d'aller en boîte, au Lexington club. Nous avions dansé ensemble, j'avais vu. Puis cette ligne de cocaïne. J'avais entendu plein de voix, celle de ma mère, celle de mon ex-femme, celle de ma meilleure amie. tout se bousculait dans ma tête, tandis que j'essayais de me remémorer ce qui s'était passé. Rien, je ne me souvenais de rien d'autre que cette lumière blanche, éblouissante qui venait vers moi et plus rien, jusqu'à maintenant. J'essayais de bouger ma jambe droite, qui me faisait affreusement mal mais je n'y arrivais pas, bordel. Soulevant la couverture, je vis un gigantesque hématome, débutant au milieu de ma cuisse et allant jusqu'en dessous de mon genou. Un gros machin tout violet ; damn ce que c'était moche. Je fermais les yeux, quelques instants, éspérant que ca ne soit qu'un mauvais rêve et que rien ne se serait passé. Rouvrant les yeux, je pus apprécier que c'était la dure réalité que cette saloperie de putain de machin violet sur ma jambe, j'éspérais ne pas avoir la même. Mais enfin, en voyant qui rentrais dans ma chambre, je regarderais plus tard. Elle était là, à me regarder me demander si j'étais âbimé physiquement. Il y avait bien que cela qui me faisait me poser des question ; je ne pouvais pas être plus blessé au niveau du coeur. Quoi que. Vraona me regardait, et je savais qu'elle m'en voulait, c'était sur et certain. Yo, on est quel jour Vra ? Putain tu peux pas appeler une infirmière s'il te plait, ma jambe me fait un mal de chien quoi. Please.On serait pas le sept ? Parce que le sept c'est mon chiffre porte-onheur, ca montrerait que j'ai raison. Elle me regardais, et devait surement se dire que j'étais le plus batard des batards de cette planète. J'étais son meilleur ami, j'étais celui qui était censé la protéger de tout, l'aider, l'aimer. Et c'était elle qui devait venir à mon chevet, à l'hôpital, se demander si j'avais réussi à me tuer, encore une fois. Je ne savais pas si j'avais plus blessé mon corps ou son coeur. J'éspèrais que ce soit mon corps, mais la raison me disait que c'était son coeur que je blessais. J'aimais pas comment elle me regardait. J'étais perdu, comme toujours. Je m'en voulais mais je ne voulais pas qu'elle me lance ce regard. Mes idées, mes pensées se bousculaient dans ma tête et je pensais juste à être agressif, crétin. Bordel Vraona, me regarde pas comme ça ! Je suis un grand garçon, j'assume mes conneries. Je suis un crétin, je fais de la merde, je fais mal aux gens, je suis comme ça. Tu connais mon bon côté, celui que j'ai avec peu de personnes, mais bordel derrière c'est un monstre qui se cache. Pourquoi tu voudrais que je sois gentil avec les gens ? Pourquoi tu voudrais que j'arrête de fumer, de boire ? Pour qui ? Bordel j'ai pas envie qu'on m'arrache le coeur à nouveau Vraona. Je lui avais fait mal. Je le voyais dans ses yeux, je voyais que ce que j'avais dit l'avait atteint. En plein coeur. J'aimais cette fille, autant que ma soeur mais pas de la même manière. J'aimais cette fille de tout mon coeur, de toute mon âme. Et ca me faisait mal, tellement mal de tant l'aimer ; d'avoir pris une place aussi importante dans sa vie et qu'elle en est une telle que je ne pouvais absolument plus me passer de cette fille, d'elle, de ma double, ma mienne, ma perfection, ma Vraona, ma Vrayllan. J'avais peur de lui faire du mal, je l'aimais tellement que je ne pourrais me le pardonner, mais j'avais surtout peur pour moi, de souffrir à nouveau. Egoïste, comme toujours, je ne voulais m'attacher à personne, de peur de souffrir, de peur qu'on m'arrache le coeur à nouveau. Dis moi ce que je dois faire Vraona. Je suis perdu, c'est le bordel dans ma tête, c'est le bordel dans ma vie. Je sais pas où j'en suis. J'ai rien à quoi me raccrocher. J'ai l'impression de n'avoir que toi Vraona. Je t'aime, tu le sais, et ca me détruit de te faire du mal, ca me détruit de te faire du mal rien qu'en étant dans ta vie. dis moi ce que je dois faire Vraona ! Dis moi ce que tu voudrais pour qu'enfin je sois quelqu'un de bon pour toi. Dis moi ce que tu veux ! Mon coeur, mon corps, ma bouche ? Mon amour, du sexe, des paroles ou je ne sais quoi d'autre ? Dis moi s'il te plaît. J'ai besoin que tu m'aides. T'es la seule qui puisse m'aider. Je t'en prie Vraona. Dis moi que tu m'aimes, dis moi que ca ira mieux demain, dis moi quelque chose qui me donne envie de me battre ma belle. J'étais pitoyable. Complètement pitoyable, rien d'autre, juste pitoyable. J'étais le petit garçon qui a fait une énorme bêtise et qui doit s'excuser à sa mère. Bim bam boum, je m'appelle Keyllan Hermès-Cador, je fais pitié et je demande à ma meilleure amie si ce qu'elle veut c'est coucher avec moi.
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MessageSujet: Re: save me from myself •• vrayllan save me from myself •• vrayllan EmptyMer 7 Sep - 13:12

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VRAYLLAN FUCK THE WORLD


Une journée tout ce qu'il y avait de plus banale pour moi jeune étudiante, profitant de cette journée de relâche, pour une fois pas de cour, pas de devoir, absolument rien ! La liberté totale, et quoi de plus plaisant que ça ? La mâtiné était passée bien rapidement. A vrai dire ayant révisé toute la soirée de la vieille et une bonne partie de la nuit , j’avais récupérée. Enfin surtout dormi, et quand j’ouvris un oeil pour la première fois mon réveil affichait déjà 12h30. Je me levai tranquillement, prit une longue douche chaude, et après une petite séance habillage-coiffure-maquillage je pris donc la décision de prendre un bon petit déjeuner pour attaquer cette journée. Ou plutôt cette après midi. Au programme détente, peut être une virée shopping, un tour à la plage ou dans le parc, un passage dans un café ... je décida finalement d'essayer de concilier tout ça. N’oubliant pas que plus tard j’avais rendez vous avec ma petite bande de copine que j’aimais tant, incluant ma meilleure amie. Je pris mon sac à main, escarpins et sortit de la maison des Gammas. Je refermai la porte derrière moi et sortit de l'université. Je passai par le parc histoire de me promener tranquillement, j’aimais les choses simples, un peu rêveuses également, j’aimais parfois me retrouver seule pour penser à tout et à rien, m'évader un peu du monde universitaire des confréries, des cours. Bien que cela ne me déplaisait pas le moins du monde, bien au contraire. J’aimais sentir le soleil brillait sur mon visage, sur mes bras et sur mes longues jambes dénudés par mon mini short, il y avait tout de même un léger vent que je sentais passer dans mes boucles brunes. Puis je marchai plus en direction du centre ville, c'était assez paradoxale mais j’appréciais tout autant cette ambiance, cette agitation qu'il y régnait. Je passai devant quelques vitrines pour faire du lèche vitrines. Cependant lèche vitrine pour moi ne consistait pas qu'à regarder, je me sentais obligée de dépenser de l'argent. Je me planta devant une boutique de chaussures, penchant légèrement la tête, j’admirai toutes. Mon regard se posa sur ses Prada bleu marine absolument fabuleuses. C'était humainement impossible de passer son chemin à présent. Comment une fille normalement constituée pouvait ne pas craquer sur ses adorables escarpins ? je rentrai dans le magasins, un sourire sur le visage, je demandai à les essayer en ma pointure. Parfaite. Elles étaient tout simplement parfaites. Je passa directement à la caisse et ressortit toute fière mon sac contenant la boîte à chaussures où se trouvaient ces petites merveilles à la main. Merde il était déjà l’heure et j’étais déjà en retard, je m’empressa d’aller a la rencontre de ma plus belle, en arrivant elle avait une mine affreuse. « Merde qu’est-ce qui se passe içi, quelqu’un est mort ou quoi ? » Ok Vraona, tu ne sais pas à quel point cette petite plaisanterie et mal tombé. Oh non, non non non ce n’était vraiment pas le moment, je venais de sortir d’une période tragique, et maintenant Keyllan qui avait eu une merde aussi et se retrouva à l’hopital. Sensible comme je suis, je ne pu m’empêcher de laisser rouler ses larmes le long de mon visage et Calypso s’empressa de me prendre dans ses bras. Le temps passe, et le stress monta de plus en plus, quand enfin, j’eu la permissions d’aller voir mon meilleur, à ce moment la je n’avais jamais été si rapide sur l’autoroute. En entrant dans la chambre j’eu le souffle coupé, et ressortie aussi vite c’était bien compliqué, je ne supportais pas les hôpitaux, cela me rappelait vraiment trop ma mère, Je restai en dehors de la chambre et attendis contre la porte en prenant une profonde inspiration, non je ne pouvais pas rentrer et la voir dans un état lamentable, trop de souvenir aller remonter a la surface c’était définitivement trop dure. Bon sang ce que j’avais peur pour mon homme, mon homme comment je l’appelle, mais oui si c’était mon homme et celui de personne d’autre, il était si fragile, de le voir dans un lit d’hôpital m’aurais juste brisé le cœur, je n’osais pas rentrer, les souvenirs m’assaillir l’esprit, revoyant le visage de ma mère coucher dans son lit d’hôpital souffrant le martyr, et moi à ses cotés. Heureusement que j’avais Sti’ Calypso, et Jack oh oui c’est trois beauté qui ne faisait que d’embellir mes jours sombre et déprimant, mes petits rayon de soleil pleine de joie et de bonne humeur, mais quand je reçu cette appel, oh oui cet appel de ma meilleure amie m’annonçant que j’avais reçu un message et que Keyllan était a l’hopital, je me sentis comme oppressé dans mes vêtements, j’avais peur, peur de le perdre, peur qu’il soit dans un mauvaise état, peur de le voir souffrir comme ma mère avait souffert et dieu seule que je ne voulait pas que cela arrive. Mais quand ce deuxième coup de téléphone sonna, ce fut enfin pour m’annoncer une bonne nouvelle, le plus beau s’était réveillé et nous avions pris la route aussitôt le téléphone raccroché. La jolies Calypso me déposa et repartie elle avait une urgence de son coté aussi. Je voulais rentrer dans la chambre mais j’avais toujours un petit temps d’hésitation, me demandant si j’allais supporter de le voir comme ça. Enfin après 5 bonnes minutes d’attente devant cette porte je me décidai enfin a faire mon apparition, je pris un bon coup de souffle, ferma les yeux et enfin me voila. Je vis Keyllan content de me voir, la vision de le voir coucher sur ce lit, m’envahir de tristesse mais je m’empressai d’empêcher ces putains de larme couler. Je m’approchai pris sa main, et l’embrassa sans dire un mot. Puis je l’entendis enfin m’adressai la parole, je ne fus pas déçu du voyage. « Si on est bien le 7, j’ai déjà appelé l’infermière elle devrait passer d’içi 1 heures, tu ne peux rien prendre avant, nous somme le mercredi 7 septembre et tu es dans un lit d’hôpital abrutit. Ca ne va pas de mes faires une peur pareil, qu’est qui t’a pris encore ? T’en a pas marre de faire le con, j’en ai marre Keyllan, est-ce qu’un jour tu seras lucide et tu arrêteras tes conneries ? Tu veux que je m’inquiète pendant combien de temps encore, 1 5 10 ans ? » Je pris ma respiration et repris. Je n’avais qu’une envie fondre en larme, il me parlait comme si j’étais rien, insignifiante, « Yo, on est quel jour Vra ? » Il se fou pas un peu de ma gueule lui, s’il pense que parce qu’il est à l’hôpital ça va m’empêcher de lui dire ce que je pense il peut se foutre le doigt dans l’œil. « Ouah laisse moi te féliciter pour ton beau discours, ta raison continu tes conneries, ta raison, tu es seule au monde, tu n’a pas de sœur, tu n’a pas de cousine, tu ne m’a pas moi non plus, non bien sur on compte pour du beurre, t’attend quoi de moi ? Que je te dise, mais oui va zy continu tes conneries, ça t’apportera plein de chose dans la vie, ta vu a sa te mène asshole dans un lit d’hôpital. Je te demande pas d’être un saint avec tout le monde, je te demande simplement d’être toi-même, tu n’es pas un monstre mais arrête de rester cacher derrière cette facette de monstre qui te ressemble pas, ce n’est pas le Keyllan que je connais, et je sais que tu ne fais pas semblant avec moi alors arrête. » je lâchai sa main aussi vite que je l’avais prise, je me reculais et croisa mes bras, jamais jamais il m’avait fais autant mal que dans son discours de maintenant, comment pouvait-il être comme ça je le reconnaissais pas, ou alors peut-être que je ne l’avais jamais vraiment connu, et qu’enfaite tous ce qu’il était avec moi était une de ces facettes. Non ce n’est pas possible il n’est pas comme ça. Il a peur de souffrir, mais tout le monde a peur de souffrir. « Je ne vais pas te dicter quoi faire, je ne suis pas ta mère, je ne suis qu’une connaissance après tout. Oui connaissance et non ami comme tu le prétendais il y a encore quelques heures. Puisqu’après tous tu n’a personne pour qui arrêter tous ce que tu fais personne a qui te raccrocher, je ne vais pas me considérais comme amie, sinon tu arrêteras pour moi, tu arrêteras de risquer ta vie, tu arrêteras de risquer celle des autres, pour moi, parce que tu m’aime, parce que je t’aime, mais bon oublions donc tous ça alors. Mais attend tiens donc oui tu n’a personne a qui te raccrocher, dis moi alors pourquoi je suis la, pourquoi je suis venu ? Pourquoi je perds mon temps pour une personne qui ne se soucie ni de lui ni de personne. Ecoute ç’est pas à toi de décider si OUI ou NON tu es bon pour moi, je suis assez grande pour le décider moi-même, si tu es toujours a mes cotés c’est parce que je l’ai décidé et tu pourra rien changer c’est clair ça ? Ce que j’aimerai, rien je veux que tu reste toi-même et que tu arrête ta putin de drogue de merde, je sais que c’est dur, je te demande pas d’arrêter tes joins ça a la limite c’est gentillet, mais vraiment Keyllan, de la coke, sérieusement ? Tu es quoi un junkie then ? » Je m’arrêtai plus de parler et j’en pouvais plus, mes mains était humide et mes yeux l’étaient encore plus, je me sentais mal et la ce fut le coup de la mort, mes larmes coulent sans arrêt après une phrase qui me brisa en mille morceaux. « Dis-moi ce que tu veux ! Mon coeur, mon corps, ma bouche ? Mon amour, du sexe, des paroles ou je ne sais quoi d'autre ? » Mais bien sur Keyllan je veux du sexe, je ne suis qu’un objet.. « Mais bien sur je veux du sexe, tien, oui je suis avec toi tout le temps uniquement pour ça, si j’attendais que ça de toi crois moi qu’on aurait déjà conclut dés la premier soir. » J’essayai les quelques larmes qui coulait le long de mes joues. « I love you Keyllan, and I probably always will, but I’m sorry. I can’t do this anymore. » La il me perdait, il me perdait parce que je me sentais bléssé et pourtant oui c’était bien lui qui était dans ce lit d’hopital, ce que j’aurais aimé, qu’il me dise qu’il me veux avec lui tout le temps chaque seconde, qu’il aimerait qu’on soit ensemble officiellement et qu’il me prouve qu’il m’aime.

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MessageSujet: Re: save me from myself •• vrayllan save me from myself •• vrayllan EmptyJeu 8 Sep - 18:10

J'avais réussi. Je pensais que cela me ferait du bien, cela ne pouvait me faire plus mal. Enfin je pensais. Je voulais avoir mal, j'avais envie d'avoir mal. Je me disais que d'avoir mal physiquement rendrait mon mal intérieur moins intense, je le pensais si fort que j'avais tout fait, pour me détruire, en éspérant en arriver là. Mais non, ca n'avait pas eu l'effet escompté. Ca n'était que pire. Je ne sentais plus ma jambe, je sentais juste une énorme douleur en plus de l'énervement d'avoir complètement explosé ma putain de jambe droite, et de ne pas savoir,d en'avoir aucune idée si sa jumelle était aussi moche. Non, il semblait il y avoir plus intéressant qu'une jambe, Vraona, ma meilleure amie. Je n'avais pas si mal physiquement. J'avais mal au coeur, mal au coeur de lui faire du mal à elle, car je l'aimais tellement que ca me tuait de lui faire cela. De lui faire endurer cela, avec toutes mes conneries, faire qu'elle s'inquiète sans arrêt pour se demander si je suis pas en train de faire un coma éthylique, une overdose ou si je suis pas en train de crever dans un ravin. J'étais horrible, j'étais un putain d'égoïste. Je l'écoutais parler, et je n'avais qu'une envie: pleurer. J'avais parlé, parlé sans réfléchir, j'avais ouvert ma putain de grande gueule, cette putain de grande gueule qui m'attire que des emmerdes et j'avais dit n'importe quoi, j'avais dit des choses horribles à la femme que j'aimais, ca c'était le cas, c'était tellement le cas. Je me détestais de ressentir cela pour elle, je me détestais car je n'avais pas respecté mon pacte avec moi même. Je m'étais promis de ne plus jamais retomber amoureux, car j'étais sur que ca n'était qu'une nouvelle occasion de souffrir. Je me l'étais promis mais là je n'y arrivais plus, j'étais tellement amoureux d'elle. Et j'avais eu besoin de voir une voiture venir me frapper de plein fouet, voir ma vie défiler devant moi pour m'en rendre compte. J'avais eu l'impression de mourir, j'avais eu l'impression que tout s'écroulait autour de moi. Je croyais mourir, et la seule chose à laquelle je pensais, c'est que je n'avais pas pu lui dire comme je l'aimais. Evidemment que j'avais quelqu'un pour qui me battre. Pour ma soeur et pour ma cousine, mais aussi et surtout pour elle. Ma meilleure amie, mon ame soeur, ma double, mon amour, mon seul et unique amour. Giulia Vraona Rosebury-Duma. Elle me connaissait mieux que personne, je l'aimais, je l'aimais, j'aimais Vraona Rosebury-Duma. J'avais envie de mourir tant j'avais honte de lui faire tant de mal, j'avais honte, je me détestait, j'étais le plus horrible des hommes. Et c'est pour cela que je m'en voulais de tant l'aimer. Je me détestais moi mais je l'aimais elle. Elle m'engueulait, elle criait sur moi et elle avait raison. Peut être que c'était ce que je devais faire, la faire me détester. Elle m'en voudrais longtemps, mais elle n'aurais plus idée de passer du temps avec moi, et elle arrêterait de souffrir pour une personne stupide comme moi. J'y avais pensé, mais je ne pouvais m'y résoudre, j'étais egoïste, bien trop égoïste. J'écoutais Vraona, et je m'en voulais, c'était fou. Je la faisais pleurer, c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. J'avais envie de mourir, car je n'avais jamais été aussi honteux qu'en la faisant pleurer, ma Vraona. I love you. Lorsqu'elle prononça ces trois mots, je compris qu'il était peut être temps de mettre aux oubliettes le costume de Keyllan le delta, et redevenir Keyllan le garçon intelligent et beau de la Sorbonne. Je suis désolé Vraona, je suis désolé, tellement désolé tu ne peux pas imaginer. J'ai fait une connerie avec la cocaine, je le sais j'aurais jamais du faire ça, je suis tellement désolé et je comprendrais que jamais tu ne me pardonnes, car je ne fais que te faire du mal. Je sais pas ce qui m'a pris, j'ai ... je sais pas, j'avais ça dans mon armoire et je.. je sais pas, j'avais mal au coeur et je l'ai pris, je l'ai pris parce que j'éspérais oublier, j'aimerais oublier ce qui s'est passé avec Coleen mais j'y arrive pas, je suis désolé, j'ai ... j'ai besoin de toi Vraona. J'ai besoin de toi parce que t'as toujours été la seule. J'ai été idiot de dire cela, j'ai été très idiot parce que je voudrais arrêter, je suis sur que je peux y arriver, je sais que je peux y arriver, pour toi, pour Aurlanne, pour Holly. Je suis sur d'y arriver, j'en ai marre de cette vie, j'en ai marre que les gens me regardent comme un junkie. Je veux arrêter parce que je veux pas que tu t'inquiètes pour moi, je veux arrêter parce que je veux pas que tu me regardes comme cela. Je veux arrêter pour toi Vraona. Si j'ai quelqu'un à qui me raccrocher, je l'ai vu lorsque cette voiture m'a percuté. Je t'ai vu Vraona, j'ai cru mourir et la dernière chose que j'ai vu, c'était toi. Je t'entendais me parler, et je me souvenais de la première fois que tu m'as dit que tu m'aimais. C'est ça qui m'a sauvé, je pouvais pas partir sans te le dire, je pouvais pas c'était juste inconcevable. Je sais que ce que tu veux c'est pas du sexe, je le sais, tout s'est bousculé dans ma tête, je sais pas ce que j'ai dit, je m'en rappelle même plus. J'ai ... c'est la drogue, l'alcool, les médocs de l'hôpital, tout se mélange, je me souviens même plus de cette soirée. Je suis désolé, je suis désolé. Je me levais, détachant au passage ma perfusion de morphine. Heureusement, j'avais une jambe valide et j'appuyais mon autre côté sur un fauteuil. Je marchais, et regardais Vraona, avec la plus grande tendresse du monde. Je passais mon doigt sous ses yeux, pour retirer les larmes qui roulaient sur ses joues. Je la regardais, et lui offrit un sourire, le plus grand que je lui ai jamais fait. Quand j'ai cru mourir, c'est toi que j'ai vu Vraona, c'était toi qui me parlait, c'est toi qui m'a sauvé la vie. Je pouvais pas partir sans te dire cela. Je t'aime Vraona, je t'aime, de tout mon coeur, de toute mon âme. Je t'aime, et je me déteste de tant t'aimer. Je n'ai pas eu peur de mourir Vraona. Parce que je meurs un peu chaque jour, depuis que tu es dans ma vie, et que je me dis que jamais ce que je ressens pour toi ne sera réciproque. Je t'aime, de toute mon âme je t'aime. Je veux que tu sois à moi, et rien qu'à moi. Ca m'a brisé le coeur de t'entendre dire que tu voulais voir ce qu'il se passerait avec Jayan, parce que j'étais jaloux, j'étais jaloux parce qu'il était mieux pour toi que moi. Je te veux rien qu'à moi, c'est égoïste mais c'est un fait. Je veux que chaque petit centimètre carré de ton corps soit à moi. Et je veux que ton coeur ne soit rien qu'à moi. Je suis amoureux de toi Vraona, je veux qu'on soit ensemble, officiellement. Tu es la seule, tu seras toujours la seule. Je t'aime. Ma main gauche passa dans ses cheveux, tandis que je lui offris le plus beau et le plus sincère de mes sourires. Je pensais ne jamais revoir ce visage, alors mon regard ne quittait pas le sien, pas un instant. Jusqu'à ce que me main droite remonta légérement son menton, et que je décidais d'enfin embrasser Vraona. Plus d'une fois j'avais rêvé de ce moment. Ce n'était pas un simple baiser, c'était LE baiser. Je me rendais compte que j'étais complètement dingue de cette fille, je pensais parfois à la fille parfaite pour moi, alors que celle ci était juste sous mes yeux. C'était Vraona. Ma parfaite, ma merveille, ma meilleure amie, ma double. Mon amour, ma petite amie.
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MessageSujet: Re: save me from myself •• vrayllan save me from myself •• vrayllan EmptyMer 26 Oct - 16:55

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VRAYLLAN FUCK THE WORLD


Ce que je me sentais mal, j’avais mal, où ? Au cœur… oui c’était bien rare, mais voilà aujourd’hui j’avais le cœur en miette, je m’étais jamais vraiment rendu compte de à quel point j’étais folle de lui, et oui pas que en amitié, maintenant cette scène m’ouvris les yeux, je ne m’y attendais pas, vraiment je ne pensais pas ressentir ce genre de chose et pourtant oui c’est le cas maintenant, est-ce que c’est une bonne idée d’être amoureuse de son meilleur ami ? Pas vraiment et voilà pourquoi je ne lui disais rien jusqu’à présent, je ne voulais surtout pas gâcher la complicité que nous avons en ce moment même. Oui c’est étonnant mais en même temps non ça ne l’ai pas tant que çà nous étions déjà comme un couple, entre jalousie, dispute, joie et rigolade, nous avions alors les mêmes passe temps qu’un couple. En tout cas j’étais la face a lui dans cette chambre d’hôpital complètement stone non pas parce que j’avais fumé mais tout simplement parce que je me sentais mal. Il avait pratiquement frôlé la mort et il était là tout souriant me regardant de ces beaux yeux marron. Je le regardais avec peine, je m’attardais sur sa jambe complètement détruite, non mais comment on pouvait être aussi con. Je ne sais pas en tout cas je n’arrivais pas a en placé un, lui arriver a parler moi j’étais comme tétanisé, mais je savais très bien qu’une fois que tout aller sortir je n’allais plus pouvoir m’arrêter. J’étais fatigué, fatigué de toujours me demander si Keyllan va bien, s’il n’est pas en train de mourir derrière une ruelle d’une overdose, ou bien en train de se battre. Toutes les semaines il y a une nouveauté, que se soit une bagarre, ou bien une soirée beaucoup trop arrosé, ah sa oui j’en supporté, je supportais le faite qu’il se mette minable, je supportais qu’il se tape sa salope de Memphis qui dés qu’elle le peut me détruit au possible je supportais le faite qu’il l’a laisse faire sans rien dire, je supportais qu’il se tape ma colloc’ mais la non, j’en peux juste plus, il faut que sa s’arrête. J’avais deux solution a mon problème de merde, lui dire tous ce que j’avais sur le cœur, d’une part sa me soulagerai et d’une autre part au moins il serait fixé, ou la seconde solution, ne rien dire et couper les ponts avec Keyllan, oui oui, couper les ponts avec mon Keyllan, mon double, mon amour, mon âme sœur. Je pense que justement notre amour est tellement fort qu’il en devient presque destructeur ce qui n’étais pas bon ni pour lui ni pour moi d’ailleurs. Les larmes coulait et je sentais mes joues toutes humide, je ne supportais pas me mettre dans cette état, surtout devant quelqu’un, bien entendu ce quelqu’un en l’occurrence n’était pas n’importe qui, mais je me sentais pathétique, affreuse, horrible, mais surtout pathétique, je baissais la tête comme si je me sentais coupable. Jamais au grand jamais je m’étais mis dans un état pareil, mon cœur était un vrai déchet maintenant, j’avais l’impression qu’on me l’avait enlevé et piétiné. Et voila maintenant c’est fait, j’avais choisi la première solution et j’avais libérée tous ce que j’avais dans le cœur, est-ce que c’était une bonne solution ? Aucune idée mais en tout cas maintenant ce qui est fait est fait, et je n’avais plus aucune raison de me sentir mal. J’attendais une réponse, une réponse qui j’espéré serait bonne et non mauvaise. Je tournais un peu ma tête quand je l’entendis prendre la parole. « Une connerie ça je te le fais pas dire, que tu fume un peu de shit de temps en temps passe encore mais la de la drogue dur je ne vais pas pouvoir le supporter, bien sur que je vais te pardonner on a tous des moments d’écart, on fait des erreurs on regrette, on s’excuse et on ne le refait plus. Mais voila le problème, le problème est que quand tu commence à prendre de la drogue Key’ il est impossible de t’en passer après, j’ai peur que tu deviennes accro, et si tu deviens accro ton comportement va changer, envers tout le monde, et je ne supporterai pas de te voir comme ça. Je sais bien que ce que tu a vécu avec Coleen c’est dur, je pense même que c’est la pire chose qui ai pu t’arriver, mais il faut pas laisser son passé nous rattraper, mon passé et dur aussi et tout les jours il aimerai refaire surface mais je le force a rester en arrière. Je suis sur que tu peux y arriver, tu es quelqu’un de fort, tu n’es pas tout seule alors partant de ce principe la je suis sur que tu peux, mais le souci est pas de savoir si tu peux, mais surtout si tu le veux, encore une fois c’est comme tout si tu a la volonté de vouloir tu y arriveras, se sera dure, mais tu y arriveras et si tu le veux vraiment je promets que je t’aiderai quoi qu’il arrive. Je veux pas que tu arrête pour moi Keyllan, je veux que tu arrête pour toi, uniquement pour toi, pour que tu aille mieux, je veux que tu aille mieux, quand se sera la cas, j’irais moi aussi mieux tout simplement. Tu m’a vu moi ? … je ne sais pas quoi dire … je …. Qu’est-ce que tu fais, réinstalle toi, tu arrache tous tes fils arrête Key’ tu veux me refaire un malaise ou quoi. Keyllan m’oblige pas a appeler l’infirmière ou alors je te plaque au sol et cette fois tu va avoir mal » lui dis-je en tentant de le menacer en vain. Il ne m’écoutait pas et il continua de s’approcher de moi pour placer sa main derrière ma tête en se servant de ces doigts de devant pour me dégager de mes larmes de crocodiles. Son sourire et oui son sourire, il savait bien que son sourire me faisait littéralement craquer, mais cette fois je tenais bon je lui en voulais. Et il commença à me reparler je l’écoutai donc attentivement. «Pourtant étrange que se soit moi que tu ai vu, étant donné que tu étais accompagné de l’autre trainé. » Allez Vraona ne fais pas ta tête de mule, je levais mes yeux au ciel et reposa ensuite mon regard sur lui d’un air désespérée. « Je sais que tu m’aime, tu m’aime parce que je suis ta meilleure amie, et je t’aime aussi, mais j’ai bien peur que maintenant notre amour ne soit plus au même niveau. Arrête de dire que tu n’es pas assez bien pour moi, ce n’est pas a toi d’en juger. Et moi alors c’est pourtant pas ma nature, mais je ne sais pas avec toi je suis plus moi-même, je veux dire si je suis moi-même naturelle, mais avec toi j’ai des sentiments nouveau qui me sont inconnu, que je n’avais jamais ressentit avant, comme la jalousie, j’ai été jalouse de ma propre colocataire, et même de ta trainé de Memphis. Tu sais bien que mon cœur t’appartient déjà, il est déjà tout a toi, et je refuse qu’il souffre, et j’ai toujours eu la conviction qu’avec toi se ne serais pas le cas. Pourtant j’ai souffert, souvent, souffert de jalousie. Et ca me tue.» Et il prononça ces mots, c’est quelques mots qui ont fait toute la différence dans mon esprit, il voulait qu’on soit ensemble lui et moi officiellement, je veux dire c’est ce que j’attendais depuis le début et maintenant ça allait se faire, et je ne pu m’empêcher de lui faire un sourire, un sourire franc mais un sourire qui caché mes larmes de joie, tellement que j’étais heureuse de l’entendre me dire cela. Et c’est a ce moment propice qu’il s’approcha pour m’embrasser, notre premier baiser depuis qu’on ce connait, la première fois que mes lèvres toucher les siennes, j’en avais souvent eu envie et je ne regrettai pas du tout d’avoir attendu autant de temps, l’attente rendis ce baiser beaucoup plus agréable, beaucoup plus excitant, je n’avais qu’une envie continuer encore et encore sans pensé a rien d’autre. Nous étions des amies mythique, mais maintenant nous allions être un couple magique. Je n’espérai qu’une chose, qu’il soit avec moi mais uniquement avec moi et pas avec toutes les garces à coté. Est-ce que je devais lui dire, que ma plus grande envie est qu’il oublie ces pétasses qu’il a pu sauté et qu’il saute toujours ? Où est-ce que je n’ai même pas besoin de lui dire et que bien sur il allait m’être fidèle et que je serais son unique, d’un sens je suis sur qu’il le sait déjà. Après notre baisé tel un baiser de cinéma, je le regardais moi aussi attentivement et je lui répondis de ma voix la plus douce que j’avais « Je t’aime moi aussi, je crois que je suis la seule fille a t’aimer autant. ».

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MessageSujet: Re: save me from myself •• vrayllan save me from myself •• vrayllan EmptyVen 28 Oct - 0:24

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Bim bam, bim boum. Bim bam boum. Mon coeur chavire, mon coeur saigne, mon coeur pleure. Mon coeur se tord, me serre. Mon coeur me fait mal, mon coeur me tue car je fait mal à ma moitié, ma Bonnie and Clyde, ma meilleure amie, mon meilleur amour. Je l'aime. J'ai mis tout ce temps, tout ce temps à me le dire, tout ce temps à me l'avouer. Tout ce temps que j'avais perdu à fuir cette odeur, ce sentiment, ce sentiment que longtemps j'ai cru pouvoir attraper, que je pensais pouvoir m'approprier, le garder et ne plus jamais le rendre, avec Coleen. Je l'avais effleuré, je l'avais touché du bout des doigts, mais la mort avait été plus forte, plus rapide, plus précise, plus agile. Elle l'avait emporté, elle, notre amour, sans prévenir, elle était arrivée, et dans un torrent de larmes, qui coulaient à l'intérieur de mon corps, tout cela s'était terminé. Tic tac, tic tac. Le temps passe, ma vie passe, le sablier de mon temps restant à vivre ne m'attend, ne perd pas une seconde, ne laisse par un seul petit grain de sable au hasard. Ni à l'espoir. Lorsque je m'étais pris cette voiture, toutes ces voix que j'avais entendu, elles avaient disparu. Alors que je voyais mon sang dégouliner de ma tête, alors que toute forme de vie, tout minuscule petit espoir semblait s'envoler, semblait disparaître de mon corps; elle m'était apparue. Plus belle, plus scintillante, plus incroyable que jamais. Giulia Vraona Rosebury-Duma. C'était, comme toujours avec la drogue, une hallucination de plus, une hallucination paraissant si réelle. Elle s'était posée, assise à mes côtés, assise dans sa robe d'un blanc presque immaculé, presque trop blanc même, posant ce petit corps sur cette mare de sang. Me regardant, de son sourire angélique, j'eus la force. Elle me transmit la force de survivre. J'avais perdu la foi, je voulais mourir. La drogue, l'alcool, la cocaïne. Je voulais mourir, et je savais, qu'inéluctablement, cela m'arriverait tôt ou tard. J'avais toujours pensé qu'un jour, je me retournerais et elle serait là, la mort, sous la forme d'une faucheuse, ou de quoi que ce soit, elle serait là, me regardant, de ses yeux d'une profondeur presque machiavélique, et je saurais que ce jour, ce serait la fin. La fin pour moi, la fin pour moi. Plus rien n'avait d'importance, comme une lame sur les veines, comme une boîte de médicaments entière dans l'estomac, comme un plongeon dans l'océan, la mort allait venir me chercher. Sans un mot, dans un silence de morgue -cruelle ironie-; toute vie s'échapperait de mon corps, toutes les joies, toutes les peines; tout cela était à deux doigts de disparaître dans les profondeurs abyssales de l'abîme, l'abîme de mes sentiments, de mes souvenirs. Mais elle m'était apparu, mon ange, et elle m'avait touché. Elle touchait mon monde du bout de ses doigts, et c'était l'éternité de ses sentiments envers moi, qui m'avaient donné la force de me battre, serrant le poing, dans un dernier souffle, entouré de mon sang, je lachais un mot, un nom que dis-je. Le plus beau qu'il puisse exister, celui de celle que j'aime. Vraona. Une larme roula sur ma joue, la peur de l'abandon, se retournait contre moi. Ce n'était pas elle qui m'abandonnait, c'était moi perdait pied. Pas un au revoir, pas un je t'aime, rien. Je ne pouvais pas partir ainsi, cela me donna la force, la force d'y croire. La force d'aimer. Dans les abysses de l'esprit humain, je ne pensais qu'à cela. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. A ce regard cosmique qu'elle m'avait lancé, à l'immaculé blanc de sa robe, au bonheur qu'elle me transmettait. Mon coeur s'arrêta, quelques instants, et plus rien. Rien d'autre qu'une lumière blanche, à peine perceptible, un faisceau minuscule, celui de l'espoir. J'étais touché, par cette lumière, par elle, par moi. La force de ma battre, coûte que coûte, quoi qu'il arrive, no matter what, m'habitait, m'animait. Serrant le poing, j'avais l'impression de rejoindre les abîmes de la terre, repentir à tous mes pêchés, au mal que j'avais fait, à ce que j'avais perdu. Malgré tout le mal qui m'entourait, toutes les zones d'ombres, je ne pensais qu'à une chose. Elle, encore et toujours.

Si parfait, mais si déstructeur. Si beau mais si ravageur. Si excitant mais tant à perdre. C'était ça, notre amour, moi et Vraona. Je ne pouvais pas me passer d'elle, de son corps, de ses yeux, de sa bouche, de sa voix, d'elle, tout elle, la totalité de Vraona. Et je me détestais d'avoir tant besoin d'elle, car c'était un besoin. J'avais pas envie d'être avec Vraona, ma meilleur amie, mon coeur, j'avais besoin d'être avec elle. J'avais besoin qu'elle s'occupe de moi, qu'elle panse mes plaies, qu'elle soit là pour s'occuper de tous mes soucis, tous mes tracas. L'égoïsme selon Keyllan Alexys Hermès-Cador. Moi, moi, moi, encore moi et toujours moi. Malgré cela, je ne voulais pas penser moi, aujourd'hui, après un réveil difficile. Non, je ne voulais plus penser je, je voulais penser nous. Nous, nous et toujours nous. Vraona et moi. Je la voulais rien que pour moi, je pourrais tuer quelqu'un si cela me permettait de l'avoir pour moi, rien qu'à moi. Mais ca me tuait d'être si dépendant, et de l'avoir laissé rentrer dans ma vie. Parce qu'avoir fait ça, c'était plus que lui ouvrir mon coeur, c'était m'autoriser à souffrir à nouveau. Et m'autoriser à la faire souffrir, par la même occasion. Je me détestais pour cela, je me détestais d'avoir survécu pour elle, rien que pour elle. Parce que ca lui donnait une responsabilité, la responsabilité d'être là pour moi, quitte à se faire passer elle même après moi dans ses priorités. A nouveau, l'égoïsme, omniprésent chez moi. J'avais fait des erreurs, un nombre incalculable. J'aurais du ravaler ma fierté et parler à Manon, ne pas la laisser me tourner le dos sans dire un mot. J'aurais du rattraper Coleen, avant qu'elle ne se donne la mort. Et à ce moment précis, voyant les larmes de mon aimée coulées le long de ses joues, je me demandais ce qu'était mon erreur. L'avoir laissé rentrer dans ma vie, lui avoir donné une place si importante, ou tout simplement ne pas m'être laissé mourir. J'avais l'occasion de la laisser en paix, en paix avec elle même, malgré un deuil, et un chagrin qui lui paraitrait inconsolable. J'avais choisi la vie et je devais assumer désormais. Elle vivait pour moi, je devais vivre pour elle. Je suis désolé Vraona, je suis faible, je suis un homme et je suis faible. La drogue c'était la facilité, c'était m'envoyer sur un nuage et ne plus repenser à mes démons, aux fantômes de mon passé. J'ai pas pensé aux conséquences parce que ca ne m'intéressait pas, aucunement. Je n'ai pas pu arrêter de regarder en arrière, de regarder ceux qui m'ont quitté, de regarder comme la vie m'écrase, comme la vie me tourmente. Je voulais mourir Vraona, j'en crevais d'envie. J'en avais marre de souffrir, pas physiquement, intérieurement. Tous mes démons me bouffaient de l'intérieur, se faisaient un malin plaisir à toujours me rappeler comme je suis faible, et à quel point ma vie a toujours rimé avec souffrance. J'ai pensé mourir, quand j'ai vu ma tête dans cette flaque de sang, quand j'ai eu ce voile devant les yeux, je pensais mourir et j'ai cru que c'était la meilleure option. J'ai pensé que sans moi tu n'aurais plus à t'inquièter, que tout ce terminerait et que je n'aurais plus mal. J'ai pensé que c'était ce que je voulais, et alors que la vie m'échappait, ma glissait entre les doigts, je t'ai vu, si j'ai trouvé la force de vivre, si j'ai trouvé une raison de me battre, c'était toi. Ca a toujours été toi, Vraona. Je l'aimais de tout mon coeur, elle le savait, tout le monde savait que j'aimais Vraona Rosebury-Duma. Mais personne, ni moi, ni elle, ni quiconque, ne pensait que je l'aimais de cette manière, brutale, passionée, ardente. Je l'aimais, comme je pense n'avoir jamais aimé personne, pas même Manon, pas même Coleen. Personne. Mon coeur chavirait pour une demoiselle, et c'était elle. M'appuyant sur ma jambe valide, je l'écoutais, dire que son coeur m'appartenait, qu'elle m'aimait mais qu'elle avait toujours pensé que je serais celui qui ne la ferait jamais souffrir, et que j'avais failli à ma tâche. Je me détestais, comme je m'étais toujours détesté depuis la mort de Coleen, qui était partie par ma faute, qui était morte par ma faute. Je n'avais pas mal à la jambe, mais au coeur. Et dieu sait que c'est l'endroit le plus fragile du corps humain. Un arrêt et c'est la fin. Bim, bam, bim, boum. Et à ce moment là, il était plus proche des deux cents cinquante battements par minute que du fatidique zéro, signe de la fin. Mon coeur battait à cent à l'heure, car je venais de tout déballer, mes sentiments pour cette fille si parfaite à mes yeux. Ma Vraona. Ma double. Mon coeur. Mon amour. Mes lèvres se posaient sur les siennes, dans un moment d'éternité, j'étais foudroyé. Foudroyé par l'amour qu'elle me transmettait. Foudroyé par cette ange venu du ciel. My angel, i love you. D'une douceur infinie, elle prononca ces quelques mots, emplies de vérité, si vraies, si belles, si parfaites, si appropriées. Si réciproques. Je t'aime aussi, je pense que jamais personne ne t'a aimé comme je t'aime. Je pris sa main et l'emmena jusqu'à mon lit d'hôpital, tenir sur une seule jambe validé était loin d'être aisé, et je commencait à ressentir une vive douleur à la jambe, juste après que celle que j'avais au coeur ne se soit quelques peu résorbé, grace à mon ange. Je rebranchais ma perfusion, non sans mal, avant de me coucher, rejoint quelques secondes plus tard par Vraona. Mon torse contre son dos, mes lèvres sur sa nuque, mes mains autour d'elle, je pensais ne jamais avoir été aussi bien qu'à cet instant précis. J'éspérais qu'il dure l'éternité. L'éternité m'avait touché aujourd'hui, et jamais ne la lacherais. Se tortillant dans le lit fort étroit, elle me regardait dans les yeux, avec la plus grande tendresse du monde. Posant ma main gauche sur sa hanche, j'approchais mon visage d'elle, posant mon nez sur le sien, la regardant, un sourire franc arboré par mon visage. Dans un murmure, je lachais mon sentiment à son égard, dans un silence de cathédrale, rien ne pouvait empêcher ces trois mots, ces huit lettres d'être entendus. I love you Mes lèvres vinrent se poser sur les siennes, tandis que je me rapprochais d'elle, plus près que jamais, plus près que possible. Je ne savais pas de quoi l'avenir serait fait, mais je m'en fichais, je voulais juste savourer ce moment, savourer la douceur de ce peau, la douceur de ce baiser, et toucher du doigt l'éternité.
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MessageSujet: Re: save me from myself •• vrayllan save me from myself •• vrayllan EmptyMer 2 Nov - 16:04

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VRAYLLAN FUCK THE WORLD


J'ai l'impression d'être dans une autre dimension. Je bouge au ralenti mais tout ce qui est autour de moi bouge tellement vite. Et je ne veux qu'une chose moi... Revenir à ce qui était avant. Quand je n'étais pas la pauvre Vraona étendue par terre dans la salle de bain vêtue de ma robe de bal avec…ma mère morte, qui est morte. Oui, mais c'est ce qui se passe. Alors je reste ici. Je ne peux pas, je ne peux pas bouger. Et je ressens la pression de tous ceux qui sont là à tourner autour de moi, qui aimerait que je fasse quelque chose, que je dise quelque chose, que je pète les plombs, que je hurle, que je pleure et... Et j'aimerais bien pouvoir faire ça, j'aimerais pouvoir dire ce qu'on attend de moi, faire ce qui rassurerais tout le monde. Oui, j'aimerais beaucoup. Mais je ne sais pas comment faire, je ne sais pas comment être cette personne. Je ne sais pas qui est cette personne aujourd'hui. Comment c'est arrivé ? Comment on en est arrivé là ? Pourquoi je suis toute seule ?! Où est ma mère ? Et bien ma mère n’est plus là et il faut vraiment que je me fasse à l’idée, parce qu’elle ne reviendra plus jamais, plus jamais me dire des choses attendrissante avant de dormir quand elle me voit un peu triste, personne pour s’occuper de moi quand je suis malade et que je ne peux même pas aller au collège ou au lycée, ou bien même m’engueuler quand je fais ces fameuses conneries d’adolescente. Oui elle n’est plus là et plus les jours passe et plus je m’en rends compte à présent. Quoi qu’il arrive je sais qu’elle me surveille, et je sais que quoi qu’il arrive, elle prend soin de moi, même la haut. Je ne suis pas croyante oui mes parents était de pure croyant mais moi je ne crois en rien, mais depuis la mort de ma mère je suis devenue une des ces filles qui maintenant est croyante, je vais souvent me confesser à l’église dés que je sens que mon morale tombe en miette, et je ne pensais pas, mais cela fais vraiment beaucoup de bien, un bien immense, on se sent vide, vidé et on se laisse aller. Je me souviens du mariage de mes parents, à l’époque où tout simplement parfait, une époque bien lointaine, ma mère rayonnante comme toujours était heureuse et mon père aussi, voila le seule jours ou je l’ai vu vraiment heureux le jours de son mariage, tout les deux dansant dans l’herbe bien verte pied nue a sautiller sur place avec le reste des inviter. Cette époque était maintenant bel et bien révolue l’époque où je me trouvais heureusement avec ma robe de demoiselle d’honneur orange était passé et elle ne reviendrait jamais. Je suis perturbé par cette perte, beaucoup moins qu’auparavant mais toujours un peu tout de même, on ne se remet jamais vraiment de la perte de ces parents, surtout ceux dont on a été très proche. Je suis suivi par un psychologue, du moins j’été, depuis maintenant quelques semaines, 5 exactement je n’étais plus du tout suivi, ma thérapie était terminé et pourtant je ne sentais aucune différence, mon âme était tout autant perdu qu’au début de cette thérapie. Mais la psychologue, m’avait prévenue et surtout elle me l’a dit, de ne pas s’attendre à ce que tout aille mieux en seulement quelques séances. Je me rendis compte alors qu’elle disait vrai. Une chance que j’avais encore de la famille autour de moi, oui j’avais ma sublime demie sœur Jack, elle est moi étions si proche, je ne m’imaginais plus sans elle maintenant c’était impossible, nous avions en plus une histoire si complexe. Nous qui avions cru toute notre enfance que nous étions cousine même si on se considérait inévitablement comme des sœurs, et ce qui se révéla ensuite être le destin puisqu’enfin de compte cette grande et jolie blonde était bel et bien ma sœur. Demie sœur certes mais sœur quand même, et elles et moi passion le plus claire de notre temps ensemble. J’avais aussi une cousine une vraie cousine cette fois, Stiyzanna, elle était mon unique, ma cousine mon petit bijou, une presque meilleure amie enfaite, et mon merveilleux cousin Nïkolai, sans parler de mon unique meilleure amie Cadence avec notre histoire aussi déjanté que vrai, nous nous étions rencontré au collège, en colonie de vacance, les moniteurs connard de moniteur nous avait perdu en pleine nature, on a du se de-merder seule pendant 48 heures après avoir été retrouvé par les secours. Quelle bande d’incapable. Est-ce qu’il était vraiment utile de parler de Keyllan, celui qui m’a pratiquement sauvé. Il voulait être sauvé, mais enfin de compte sans bien même qu’il s’en rend compte, lui-même m’avais sauvé a plusieurs reprise, sauver de ma dépression si dur et si longue, les heures passé a rigoler et à parler, m’avait empêché de sombrer dans des heures sombre et brutale. Je ne lui ai jamais vraiment cela, mais il devait bien s’en douter, de toute façon je le vois bien, dés que je commence à avoir le morale qui tombe, il était toujours le premier, a venir me voir et ne pas me lâcher d’une semelle jusqu'à ce que j’aille mieux, sans bien même me demander ce qui me tracasse, puisqu’il me connait par cœur et qu’il sait bien que je ne parle pas facilement. Une fois sans rien qui ne me demande, j’avais passé une mâtiné oui oui une mâtiné entière a lui raconter toutes l’histoire de mon enfance et il n’avait pas flanché une seule fois, il m’avait écouté coûte que coûte. Pour être franche c’est à ce moment que j’ai su, j’ai su qu’il allait faire partie de ma vie un long moment, et au fils du temps je ne m’étais pas trompé, il était devenu mon meilleur ami, mon vrayllan, ma moitié, celui à qui je me confessé sans avoir peur d’être jugé, celui à qui j’avouer mes secrets les plus humiliant, mes pires conneries, mes pires échec et tous ce que pouvait être ma vie. Sans aucune honte, aucune peur, je me sentais bien à ces cotés vraiment bien, et je ne cessais de lui faire comprendre à quel point je l’aimais, et lui me montrer à quel point tous cela était réciproque, il y avait une tel alchimie entre les deux. Si aujourd’hui je m’y étais attendu, ça alors non vraiment pas, aujourd’hui ce dit meilleur ami aller devenir presque l’homme de MA vie. On été prêt, oui prêt a se donner l’un à l’autre sans regret. Oui aujourd’hui il m’avait beaucoup déçu, j’avais peur pour lui, j’avais peur de sa santé et de tous ce qui pouvait lui arriver. Et j’avais eu l’impression de subir le même mal au cœur quand on m’avait appelé pour me prévenir que monsieur Keyllan Hermés-Cador avait eu un accident et qu’il était hospitalisé. Oui j’étais la première personne à contacter en cas d’urgence pour le bel epsilon, en tout cas je m’étais pressé comme jamais pour le retrouver, bien sur que je lui avais fais la morale, mais maintenant la discutions avait dérivé sur un tout autre sujet. « Arrête Keyllan, tu sais très bien que je t’ai toujours trouvé fort, un homme brave et fort. Mais tu a raison sur un point la drogue est une facilité, une facilité pour aller mieux oublier ces problèmes, seulement tu vois tu te drogue tu oublies tes problèmes même ils sont toujours là, à l’affut et revienne dés que ta drogue s’estompé et que tu deviens clean a nouveau, tes problèmes on pas disparu non non ils sont toujours la, donc oui en effet ce n’est pas une solution, la solution ? je vais te la donner, je suis mal placé pour te faire la morale parce que je suis pareil, mais il faut que tu les affrontes tout simplement. Et ça de te suicider, ça oui ça c’est lâche et crois moi que ça jamais je ne te l’aurais pardonné, quoi que une fois que tu es mort, tu t’en fou, mais je l’aurais pas supporté, je ne veux pas qu’une deuxième personne que j’aime a ce point meurt encore et m’abandonne, moi aussi j’ai été beaucoup trop abandonné pour que ça recommence. Tu m’entends je t’interdis d’y repenser à nouveau. Bien sur que s’était moi, parce que si tu étais mort, j’aurais été taper ton corps encore plus tellement j’en aurais souffert, alors pour ton propre bien dieu a juger qu’il était préférable que tu vive, pour ton bien et pour le miens laugh »
Voila, je m’étais ouverte, ouverte a lui et a mes sentiments existant depuis un bout de temps, mais dont je n’avais jamais vraiment pris conscience. Comment est-ce que j’avais pu passer à coté de tellement de sentiment enfoui en moi, je ne sais pas mais en tout cas maintenant ils étaient la et je pense qu’ils ne sont pas prés de partir. Nos sentiments étaient maintenant mis à nue, mais j’avais encore besoin de savoir une petite chose, est-ce que notre relation allait rester-tel quelle est ? Avec juste les bisous et câlin en plus, est-ce qu’il allait continuer d’aller voir ailleurs en même temps qu’on soit « ensemble » est-ce que je prenais le risque de lui demander et qu’il pourrait surement le prendre mal, puisque cela amènerai a dire que je ne lui fais pas confiance ? Ou bien est-ce que je met cette réserve de coté et que je vois comment ça ce passe par la suite. Je ne sais pas, je n’allais pas pouvoir rester sans savoir, pour qu’un jour sa se trouve je le retrouve encore dans le lit de ma coloc et qu’il me dirait qu’on avait fixé aucune règles, et la je serais capable de le regretter toutes ma vie. Bon j’allais tenter le tout pour le tout, j’allais lui demande, oui j’allais lui demander mais de la manière la plus diplomate possible, du moins aussi diplomate que je peux, sachant que je ne le suis pas vraiment. J’étais prés de lui, je pris mon souffle ferma un coup les yeux et me plaça face a son visage pour lui demander tout calmement. « Dis moi est-ce que maintenant sa signifie que nous sommes un vrai couple ? Est-ce que ça veux dire que maintenant les coups d’un soir son terminé ? » Je fis un mince sourire gênée et reprit. « Pour moi oui, je n’irais pas voir ailleurs, et je ne veux pas que t’aille voir ailleurs aussi, déjà quand je t’ai vu avec cette Memphis et même ma coloc que pourtant j’adore je n’arrivais pas a le supporter, tu te rends compte toi ce que ça fait de ce lever le matin et de te voir toi et ma coloc vous réveillez dans le même lit. Je peux te l’assurer c’est une torture. Et je ne veux plus subir ça, je veux plus te voir embrasser ou bien même caresser n’importe qu’elle fille, parce que non pas que je sois une de ces filles qui en couple te coupe du monde et tout le blabla non non tu a ta liberté tu fais ce que tu veux, mais de te voir proche et intime avec d’autre fille me brisera totalement le cœur, donc j’ai besoin de savoir maintenant si oui ou non tu serais prêt a t’engager sur cette route, ou si non tu ne préfère pas ce que je comprendrais totalement hein ne t’en fais pas, si tu ne veux pas on essayera de reprendre notre relation d’avant et rien de plus. » La tout de suite maintenant j’avais juste totalement péter un plomb, j’avais commencé a parler calmement tout en douceur pour ne pas le froisser, mais je me suis fait prendre dans ma propre panique, et j’avais parlé a une vitesse inimaginable tout en oubliant parfois de reprendre ma respiration, de quoi en devenir cinglé. Parfois je me demande bien ce qui l’attire chez moi, je pouvais être à certain moment une folle furieuse. Il me dit c’est mots, c’est jolie mots dis d’une façon tellement romantique, je lui souris alors reprit ma respiration qui s’était calmé et lui répondis aussi de mon plus beau français. « Je t’aime moi aussi, mais tu sais que tu resteras aussi avant tout mon meilleur ami quoi qu’il arrive, je ne veux pas qu’on oublie cette partie là même si maintenant on sort officiellement ensemble. » Il me répondit naturellement qu’il était d’accord aussi, de toute façon je me doute bien qu’il devait l’être, tout les deux on n’avait pas vraiment d’amis, on ne compter que sur l’un et l’autre donc forcement cette relation ne devais pas changer, mais je sais bien que malgré tous ce qu’on peut dire, elle changera malgré tout, on ne s’en rendra même pas comptes certes mais ça changerai c’est indéniable. Après mettre posé prés de lui dans son lit, je n’avais qu’une envie de lui, depuis tous ce temps, ou jamais on ne s’était touché, jamais on s’était fais un simple baiser, non jamais, oui il y avait eu de la tendresse, mais ça n’avait jamais été aussi loin. Et maintenant j’avais envie de lui, j’en avais tellement envie, mais je ne pouvais pas me le permettre, non seulement parce qu’on est à l’hôpital mais aussi parce que ça allait beaucoup trop vite. Quoi que théoriquement c’est comme si nous avions été ensemble depuis le début, mais je ne préférai pas aborder le sujet tous de suite, je ne voulais pas presser la chose. « Tu sors quand ? vite j’espère, j’ai hâte de pouvoir te toucher comme je veux, de pouvoir dormir avec toi et passé des nuits de folie comme jamais t’en a eu. » a cette phrase s’accompagna bien sur un sourire coquin.


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MessageSujet: Re: save me from myself •• vrayllan save me from myself •• vrayllan EmptyJeu 3 Nov - 23:25

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Mon coeur avait failli s'arrêter. D'un coup, comme ça. Ma vie se serait terminé, mes funérailles prévues quelques jours plus tard, quelques personnes auraient peut être pleuré sur ma tombe et la vie aurait continué pour eux, sans moi. J'aurais été là, entre quatre planches, six pieds sous terre, enterré dans un costume Armani. Triste ironie, mourir dans la richesse, mais avoir vécu une vie si pauvre en émotions, en sentiments. Plusieurs fois, j'avais déja cru comprendre que mon coeur, mon corps n'était peut être pas aussi fort que je le pensais. J'étais fragile, on ne peut plus fragile. Dans la tête, j'étais fragile. Je voulais rester fort devant les gens qui m'entourent, mais sans cela, j'aurais peut être pu ou du pleurer toutes les larmes de mon corps. Peut être aurais je du crier toute la colère, toute la haine qui était en moi. Toute la souffrance en moi. Je souffrais parce que je n'avais jamais été épargné. Personne ne l'est par cette chienne qu'est la vie mais j'étais particulièrement égratigné par celle ci. Mes parents ne s'étaient jamais souciés de moi, je n'étais que leur descendant, au mieux leur progéniture. J'avais perdu ce que je pensais être mon premier amour, avec Manon, à cause d'une personne qui voulait simplement me faire mal. J'avais perdu Coleen, qui pensait ne pas être assez bien pour moi et s'était jeté d'une falaise, sans même me laisser lui dire au revoir, lui dire un dernier mot. Ces derniers mots pour moi furent "Je suis désolé". Je ne l'avais pas rattrapé, je l'avais laissé me tourner le dos et c'était la dernière image que j'avais d'elle. Mais mon corps était faible aussi. Je me croyais invincible avec ma belle gueule et mon corps musclé. Mais non, l'alcool, la drogue, le sexe. Tout cela ne faisait que me rendre plus mal en point. Je me retrouvais à cause de cela, avec une jambe salement amochée ainsi qu'une épaule tout aussi mal en point. Mais à ce moment là, dans cette chambre d'hôtel, plus rien n'avait d'importance. La douleur n'existait plus. Manon, Coleen, Memphis. Il n'y avait plus rien, plus rien mis à part elle. Vraona. Ma Vraona. Ma meilleure amie. Ma double. Mon ange. Mon amour. Je la connaissais mieux qu'elle ne se connaissais elle même, et je voyais qu'elle avait souffert, je le lisais dans ses yeux. Ca me faisait mal, plus mal que ma jambe, j'avais eu mal au coeur. Un poignard en plein coeur, c'est l'effet que cela m'avait fait, de la voir souffrir, de la voir aux bords des larmes. Je l'aimais énormément, je pensais l'aimer comme une amie, ma meilleure amie. Mais c'était bien plus que cela, je le comprenais enfin, il n'était pas trop tôt. Je l'aimais de tout mon coeur, et cela m'avait fait mal de ressentir cela plus tôt, mais plus maintenant. C'était ma Vrayllan, rien d'autre. A ce moment là, j'aimais cette fille. Il n'y avait rien d'autre à dire, j'aimais Vraona. Je n'avais jamais été le genre de personnes à parler de mes sentiments, et excepté aujourd'hui, je ne serais pas le genre de garçon à dire je t'aime, je t'aime, je t'aime ; non c'était pas moi, j'étais le genre de personnes qui avait plus de mal à le dire qu'à le faire ressentir à l'autre. Elle disait que j'étais fort, qu'elle m'avait toujours vu ainsi mais ce n'était pas le cas, j'étais faible, on ne put plus faible. Elle insista sur le fait que la drogue n'avait aucun effet positif sur moi, que ca n'en aurait jamais et que ca me pourrirait tout simplement ; mais surtout, elle insista sur le fait qu'elle n'aurait jamais pu supporter que je meurs, ou pire encore que je me suicide et que je devais rayer cette hypothése. Tout le monde me voit comme cela Vraona, mais je le suis pas, je suis pas brave et fort. Physiquement je suis peut être fort, mais pas dans la tête. Et je ne suis pas brave, je mens aux gens pour réussir ce que j'ai envie, ce que je veux faire. Je sais, mais, j'y suis jamais arriv, j'ai jamais réussi à m'y résoudre, à arrêter et à voir en face mes problèmes, et au fur et à mesure, c'est devenu ma plus grosse faiblesse. J'y ai pensé, à mourir, mais je me suis dit que je pouvais pas te faire ça, que je n'avais pas le droit de te laisser, qu'après tout ce que tu avais subi, j'avais pas le droit de faire cela, rien que pour un tel acte de lâcheté, j'avais pas le droit. Puis je pouvais pas partir avant de t'avoir dit ce que je ressentais. Evidemmen que la question arriverait sur le tapis. J'avais passé cette dernière soirée avec Memphis, qui n'était rien de plus qu'une sex friend, et c'était elle qui était venu dans l'ambulance avec moi, avec sa jupe très courte et moulante, avec son décolleté plongeant, avec ses sous vêtements dans ma chambre. Je comprenais qu'elle m'en veuille, Vraona, je ne faisais que ça, et devant son nez en plus. Je draguais des filles, je baratinais des filles avant de les ramener dans ma villa avant de faire l'amour avec elle. Alors qu'elle était la personne le plus proche de moi et que je ne voyais en elle qu'une amie, alors qu'elle méritait bien plus. Son sourire était gêné, cela la gênait de me poser cette question. J'ai.. Vraona, tu sais, je n'ai pas la notion de ce qu'est un couple, je ne sais pas ou du moins plus les limites que se mettre en couple fixe. Cela fait longtemps que je n'ai pas été en couple et ma vie jusqu'ici était plutôt celle d'un dom juan. Mais, je ne voudrais pas, je ne pourrais pas, jamais, te briser le coeur. Parce que tu es ma Vraona, ma mienne quoi. Je.. je vais faire ce que je peux, je ne me connais pas Vraona, mais.. mais je pense que je ne pourrais jamais te tromper. Bon, elle était un petit peu parti en vrille en me disant cela mais bon, elle était comme ça, elle l'était tout le temps alors je ne pouvais pas lui en vouloir. Je souris, quand elle dit que je resterais son meilleur ami. J'étais quasiment sur que l'on pouvait pas être la petite amie et la meilleure amie..Je pense pas que t'ais le droit d'avoir deux mandats, celui de petite amie et de meilleure amie. Enfin, si tu peux pas, c'est assez chiant, ca voudrait dire que je dois m'en trouver une nouvelle. Même si ce n'était surement pas recommandé, même si cela devait même être interdit, j'en avais envie. C'était surement une mauvaise idée, mais j'en avais vraiment envie. J'avais couché avec un nombre incalculable de fille mais j'avais envie, non pas de coucher, mais j'avais envie de faire l'amour à Vraona. Est ce que l'amour rendait le sexe plus beau, plus délectable ? Je n'en savais rien, j'aimerais le découvrir. J'étais sur qu'elle le voulait au tant que moi, et sa petite phrase ainsi que son sourire coquin me confirma dans mon idée. Je l'avais encore jamais fait dans un hôpital, j'imaginais que c'était maintenant ou jamais. Des nuits de folies comme j'en ai jamais vécues, je voulais rapidement connaître cela, même si me demander, alors qu'elle était mon seul contact avec le monde éxtérieur depuis mon réveil, quand je sortais était assez bête, mais bon, ma Vraona elle parle et ensuite elle réfléchit et cela me plaisait. Approchant ma bouche lentement de son oreille, je chuchotais doucement d'une voix calme à la demoiselle ce que je désirais.[color=crimson] Je sais pas quand je sors, mais si tu fermes les rideaux de ma chambre, il doit surement y avoir moyen de s'arranger ma belle. Un sourire tout aussi coquin que le sien apparut sur mon visage, tandis qu'elle s'était levé pour s'éxécuter et rendre cette chambre d'hôpital un peu plus intime. Comme ma jambe était loin d'être en état, il valait mieux pas que la demoiselle me monte dessus, la position était pas des meilleures pour appeler un infirmière. Venant l'embrasser langoureusement, ma bouche se déplaca dans son cou, déposant de nombreux baisers à ma gamma. Ses mains se posaient sur mes fesses, tandis que je mordillais le lobe de son oreille. J'avais envie d'elle, elle avait envie de moi et je trépignais d'impatience de passer aux choses sérieuses. Avec ma petite amie. Je pense que je n'avais jamais fait l'amour avec une fille que j'avais vraiment l'impression de m'aimer, et quelqu'un qui me prouvait et me disait qu'elle m'aimait. Avec Manon, ca avait été différent dans le sens où elle était ma première fois. Et avec Coleen, ca l'était tout autant, car c'était là aussi différent. Mais cette fois, c'était Vrayllan, simplement.
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MessageSujet: Re: save me from myself •• vrayllan save me from myself •• vrayllan EmptyLun 28 Nov - 14:24


i love you and i love you
On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver. One Tree Hill
ϟ

Rien n'était plus important pour moi que ma famille. Elle était le fondement de ma personnalité, la base même de ma vie. Aurais-je était la même sans mes parents ? Non. Aurais-je passé une enfance si douce sans la présence de ma sœur Jack lors de chaque vacances ? Non plus. Ma mère m'avait appris que les liens du sang était immuable et surtout fort précieux. Car après tout, quand tout va mal, quand l'on se retrouve au plus bas, rien n'est plus important que le soutien de sa propre famille. C'était d'ailleurs ce que Jack avait eu lors de sa naissance. Enfin, le soutien d'une partie de sa famille - la mienne (moi même donc) - mais pas de notre mère. Je n'avais jamais réellement compris pourquoi elle avait été tant délaissée par notre mère après cela. Certes, j'avais toujours été fille chérie et comme une fille unique presque, aussi je ne savais pas ce que l'arrivée d'un autre enfant pouvait réellement engendrer mais j'étais certaine que mes parents auraient su ne pas faire de différence du moins c’est ce que je pensais étant petite, mais enfin de compte je ne pouvais pas le nier, j’avais et j’étais toujours la petite fille chérie de notre mère et Jack quand à elle était la dernière roue du carrosse, oui je m’en rend compte peut-être un peu tard. J'avais souvent dit à Jack, dans mon insouciance de fillette, qu'elle se mettait elle-même à l'écart et qu'elle devait certainement se faire des idées. Mais avec ma conscience d'adulte à présent, je me rendais compte à quel point elle avait souffert de ce clivage entre sa mère et elle ? Comment des parents pouvaient-ils infliger cela à leur propre fille ? Cela me paraissait impensable. En regardant de plus près la situation de ma petite soeur, je me rendais compte une nouvelle fois de plus à quel point j'avais eu de la chance au niveau de ma famille. Baba cool de la première heure, j'avais toujours était entouré d'amour et ce, autant de la part de ma mère que de mon père même si ma mère n’avait pas vécu longtemps. Ils avaient bien entendus une façon différente de m'aimer - avec ma mère c'était une relation des plus fusionnelle alors que mon père s'avérait beaucoup plus dur et connard - mais j'avais pu toujours compter sur leur affection comme ils avaient pu toujours compter sur la mienne. Cette famille très spéciale avait même réussi l'impossible passage de l'adolescence sans cris ni fracas. C'était en effet assez unique pour le signaler, je n'avais pas connu les méandres de l'adolescence, soit une grande crise existentielle et un rejet total des parents. Ce processus avait pour but d'acquérir peu à peu une indépendance afin de faire ses choix par soi-même mais ma mère m'avait déjà donné ce merveilleux cadeau. Estimant que j'étais une fille sérieuse et appliquée, elle m'avait toujours fait confiance dans les choix de ma vie, me répétant que de toute façon "ce sont les erreurs qui forgent l'âme". Voilà sans doute pourquoi j'avais échappé au fureur sans pareilles et aux disputes à répétition. Il n'y avait pas de doutes, j'étais bel et bien une privilégiée sur le plan sentimentale. Comme quoi tous les trésors ne sont pas faits que d'or. les sentiments sont les plus beaux trésors du monde et voilà pourquoi il ne fallait pas les laisser dans des coffres, fermés à double tour mais bel et bien exposer leur beauté au monde entier. Idéalisme d'une hippie qui se réalisera peut-être un jour qui sait. Tous les coups rêves sont permis. M’enfin tous cela se termina quand mon père tua ma mère mais j’en avais plus que marre d’y repenser. Bref j’étais la dans les bras de mon magnifique. « Tu sais je suis pas plus au courant que toi, pour moi c’est nouveau. Tu sais je n’ai eu que deux vrai relation, avec Jayan, et Zayn, mais surtout Jayan, maintenant je veux que se soit avec toi. Tu ne me brisera pas le cœur si tu ne couche plus avec toutes tes pétasse. Je te fais confiance. » Du moins je l’espérai de tout mon cœur. « Dans mandat pour le prix d’un ? trop d’honneur, je te demande qu’une chose, t’embrasser encore et encore et même plus, parce que depuis le temps que j’attend ça. » Ok j’en avais envie, il en a envie alors le moment était venu pour qu’enfin les deux tourtereaux passe à l’étape supérieur. Je me positionna finalement au dessus de lui en faisant attention a sa jambe défectueuse. Il l’embrassa et moi ni une ni deux je lui retira sa fameuse blouse pour pouvoir toucher son torse. Je me sentais un peu gêner de faire ma première fois avec un homme que j’aime dans un hôpital même beaucoup trop gêner. Je le caresser partout, en l’embrassant sur son torse, l’envie était forte, mais j’en avais pas forcement envie le lieu était pas saint du tout, mais bon. « Bon, il faut que tu rentre vite, mes hormones ne vont pas tenir. Tu le sais ça je suis fragile. »
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MessageSujet: Re: save me from myself •• vrayllan save me from myself •• vrayllan EmptyLun 5 Déc - 0:32

Etant un vrai handicapé des sentiments, je n'avais aucune idée de ce qui se passait en moi. J'étais pas sentimental, ni romantique, ni rêveur à propos de l'amour ; rien de tout ça, et cela depuis tout petit, je ne rêvais de rien d'autre que de vivre ma vie, sereinement, et de m'amuser, de vivre ma vie à cent à l'heure et mourir comme une rock star, plongé dans le sexe, l'alcool et la drogue ; mourir après avoir vécu ma vie comme je l'entendais, c'était tout ce que je voulais. Je cherchais pas à trouver une fille qui serait parfaite pour moi, je cherchais pas à offrir mon coeur à nouveau, à qui que ce soit, j'avais plus confiance, en personne. Je ne savais même pas si je devais avoir confiance en Vraona, ma meilleure amie, c'était dire à quel point ma vision du monde était confuse. Mais soit, je ne pouvais rien y faire, ma vie était telle qu'elle était, telle que je l'avais mené. De Coleen à Vraona, en passant par Rowan, Stiyzanna ou encore Memphis ; voila ma vie. Giovanni Keyllan Alexys Hermès-Cador, le petit prince de Cannes était devenu grand. Du monstre au prince charmant ; des ténébres à la lumière ; de l'amour à la haine ; tout pouvait basculer pour moi, d'un instant à l'autre. Une minute après ce baiser, je pouvais reçevoir un sms déplacé d'une fille et BOUM, tout exploserait entre Vraona et moi. Je n'étais sur de rien, j'avancais dans le brouillard, un brouillard plus épais encore que la fumée du joint que je rêvais de fumer, à cet instant précis. Tout était embrouillé, je n'avais aucune idée de ce que je voulais, de ce que je ressentais, de ce qui se passerait. Mais à ce moment là, malgré une douleur atroce dans la jambe, je me sentais mieux, mieux qu'avant. Je ne pouvais pas dire que j'étais amoureux de Vraona, j'aurais aimé pouvoir mais je ne savais pas moi même si c'était la vérité, je n'en avais aucune idée et ca me brisait le coeur, qui n'en demandait pas tant. Je voulais profiter de ce moment, car je savais qu'il ne durerait pas. J'avais appris à mes dépens que la vie est une chienne, et j'attendais le retour de bâton, évidemment. Les paroles étaient faciles, souvent vides de sens, surtout lorsqu'elles sortaient de ma bouche. J'avais menti à tellement de gens dans ma vie, de ma mère à qui je disais que j'allais chez un pote alors que j'allais coucher avec Manon, pour la première fois de ma vie. A mon père, quand je lui disais ce qu'il voulait entendre pour qu'il me foute la paix. Et à toutes ces filles à qui j'avais fait croire monts et merveilles avant de partir, après avoir couché avec elles. J'étais quelqu'un de profondément malsain, et si j'avais été moins individualiste, je serais parti et j'aurais laissé Vraona, libre de ma présence, qui ne lui apporterait rien de bon, mais je ne pouvais m'y résoudre. Lorsqu'elle me priait de ne plus coucher avec des pétasses, je n'avais aucune idée si j'y arriverais, j'étais le plus faible des hommes. Plongé dans un spleen des plus total, les dérives de ma vie avaient jusqu'ici reprit le dessus à chaque fois. Faire l'amour dans cet hôpital, une bien mauvaise idée, c'était évident. Elle n'était pas Memphis, je pouvais pas lui dire de venir à tel endroit pour coucher avec moi. J'avais un certain respect pour l'epsilon, même si on pourrait penser le contraire, mais notre relation s'arrêtait au sexe, purement et simplement. Et ce fut fort logique que Vraona s'arrête, évidemment mal à l'aise à l'idée de faire l'amour avec moi pour la première fois dans un lieu public. Ce n'était pas sain, pour elle, j'imagine. Elle éspéra que j'allais sortir rapidement, et moi aussi. Je me sentais comme dans une prison. Mais ici, au moins, je n'avais accés à aucun dérivatif, qui rendait ma vie si compliqué.
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