Luke Renoir, alors ça c'était la nouvelle du siècle comment était-il possible que mes deux meilleurs amis me rejoignent ici à San Francisco ? En France j'avais rencontré Luke via Mathieu, vu que je sortais avec lui en quelque sorte c'était vraiment une amitié capable de tout de faire toutes les conneries comme toutes les bonnes choses.Nous étions comme les trois doigts de la main ? Oui j'aimais bien m'inventer des dictons pour dicter mes amitiés. Cela faisait des années que je n'avais pas vu Luke, bien qu'on s'envoyait des nouvelles l'un et l'autre et qu'on se raconter tout du moins un peu tout. Puisque je ne savais pas que lui et Mathieu étaient venus ici j'étais à la fois excitée et tendue.J'étais heureuse de le revoir du coup quand Mathieu m'a demandé si je pouvais lui rendre service et chercher Luke à l'aéroport j'avais sauté sur l'occasion du coup pour y aller. J'avais veillé à ce que Mathieu ne dise rien à Luke je voulais lui faire une surprise. Du coup pour l'occasion j'avais loué une voiture de sport jaune très sophistiquée, pour mon bel ami. Je conduisais à toute vitesses dans les rues de San Francisco, il arrivait à 18h30 à l’aéroport de LAX. J'avais vêtue mon jean et un haut assez court et mes talons d'impératrice. Luke ce soir je vais te remémorer des souvenirs dont tu ne tu te souviens même plus sois prêt. Une fois arrivée à l'aéroport je dépose la voiture du parking, préparant une petite pancarte avec écrit juste Luke Renoir. Je sors de la voiture, tout en marchant assez vite pour aller aux arrivées de l'aéroport. Le sourire aux lèvres, j'attendais patiemment, en remuant mes jambes son arrivée.Après quelques minutes je le voyais, je me cachais la tête avec cette pancarte, pour ne pas qu'il me reconnaisse de suite, une fois que je sentis sa main sur mon avant bras je baissais ma pancarte peu à peu pour lui faire découvrir mon visage. Un sourire conquérant se fait sur mon visage, puis je fais tombé la pancarte pour sauter à son cou. Il m'a reconnu j'en suis sûre pas besoin de décliner mon nom. face à lui pas besoin de décliner quoique soit. Après avoir retirer mon étreinte du jeune homme le regard remplit de gentillesse je lui disais :
Alors, M. Luke Renoir on prévient pas sa meilleure amie de son arrivée à San Francisco ?
Je prenais le bras du jeune homme pour nous diriger vers la sortie puis je le regarde amusée en lui lançant les clés de la porche. Avec un clin d’œil, nous aimons les belles voitures et la vitesse. L’adrénaline était quelque chose qui me tenait en vie, quelque chose d'indispensable pour moi. Puis en posant mon épaule contre son biceps je lui demandait simplement :
Je t'ai manqué j'espère ?
Mettant sa main dans la sienne en entrelaçant ses doigts contre les miens, je le regardais taquine avant de presser le pas tout en me mettant devant le jeune homme en reculant un sourcil haussé. Laissant un sourire narquois sur mes lèvres :
Bon on rattrape le temps perdu ? Ou tu compte rester là les bras ballants Luke Renoir ?
But our friends are back So let's raise a cup Cause I found someone to carry me home Tonight We are young
Charlie&Luke
Deuxième et dernier retour à Paris pour récupérer mes dernières affaires et dire au revoir à ma mère. Je ne saurais pas dire si ça a été un soulagement pour elle ou une déchirure elle ne parle plus vraiment depuis que ma sœur est décédée... C'est bien pour ça que je m'enfuie loin de tout ça. Et il se trouve qu'à San Francisco je suis loin d'être seul. Bien entendu mon premier objectif est de retrouver Silver, chose que je n'ai pas encore réussis à faire, mais je sais que c'est en bonne voie. Je me suis renseigner en arrivant pour savoir où elle était passée. A peine les cours sont fini qu'elle a déjà fait ses bagages pour aller travailler au camp Rivendell, mais je sais qu'elle ira en Grèce par la suite, et c'est bien là où je compte aller. Mais avant tout, j'ai retrouvé Mathieu. Je savais très bien qu'il était à San Francisco. On est amis depuis longtemps, et on a jamais perdu contact malgré les années, et ça a penché bien évidemment dans la balance pour choisir d'aller à Berkeley. M'en fou un peu des cours, même si avoir un diplôme d'une grande école n'est pas négligeable... Ce qui m'intéresse davantage c'est ce qu'on peut faire après les cours. Je ne suis resté que quelques jours à Berkeley avant de devoir repartir pour la France -vive le décalage horaire-, mais déjà j'ai pris quelques repères, et ses futures années promettent déjà !
On finit tout de même par atterrir, le vol n'a pas de retard, et puis je voyage en première, il y a pire comme situation, mais je ne me sens pas dans mon assiette une fois dans le terminal a attendre ma valise. Trop d'avion en peu de jour n'est pas bon : je prends note. J'ai demandé à Mathieu de venir me chercher, je l'ai déjà croisé la semaine dernière, mais on a pas vraiment eut le temps de se poser, peut être que maintenant nous aurons le temps de boire un verre qui sait... Sauf que ce n'est pas Mathieu qui m'attend devant la porte des arrivées. C'est même pas un homme au vu des longues jambes portées par des talons. La personne en question se cache le visage avec une pancarte portant mon nom. Je souris. Je sais qui est derrière cette petite planche en carton. Une personne que je n'ai pas vu depuis longtemps non plus. Je m'avance tranquillement un sourire amusé aux lèvres et pose ma main sur le bras de la jeune femme pour lui faire baisser sa pancarte. Pas de doute cette fois ci c'est bien Charlotte. Ses bras viennent se placer autour de mon cou, et je lâche ma valise pour resserrer mon étreinte sur elle. C'est une très bonne surprise ! Je réponds à son accusation par un sourire angélique. « Ca n'aurait pas été une surprise si je te l'avais dit, d'ailleurs il va falloir dire à Mat' qu'il apprenne a tenir sa langue... » Et autre chose d'ailleurs... J'ai commencé à apprendre des choses sur eux deux... Mais seulement commencé. Je suppose que j'en apprendrais plus en cuisinant l'un des deux... Enfin pour le moment je vais la laisser tranquille.
Je récupère mon bagage et bras dessus bras dessous nous prenons la direction de la sortie. Charlotte me lance les clefs de la voiture qu'elle a prise pour l'occasion et je regarde le porte clef avec un sourire entendu. Une porche... Je vois qu'elle n'a pas oublié les bonnes vieilles habitudes que nous avions à l'époque. « Oui maintenant que j'y réfléchis... Parce que j'avais oublié ce que c'était d'avoir une femme à mes côtés qui partage mes goût en matière de voiture... » Sous entendus qu'il n'y avait que ça... Mais non, avec Charlotte on a partagé plus de chose que ça, ainsi qu'avec Mathieu, le trio infernal est de retour j'ai l'impression... Enfin j'ai toujours été le plus sage des trois... Je sens la main de Charlotte chercher la mienne, et puis elle entremêle nos doigts. Ca aussi j'avais oublié... La plupart des gens ne se comportent pas comme Charlotte avec leur amis. Mais Charlie c'est Charlie et on ne la refera pas. Elle passe devant moi, et je lève un sourcil amusé. « Je débarque je te rappelle ! C'est à toi de me proposer de faire quelque chose. » Je la regarde avec le même air taquin qu'elle arbore, prêt à jouer moi aussi. Enfin mes jeux ont quelque peu changé ses derniers temps il faut l'admettre.
On finit par arriver à la voiture en question. Parfaite sous toutes les coutures. Je charge le coffre de mon bagage, et passe derrière le volant. Je sors très rapidement du parking où nous sommes garés, et une fois en route pour le centre, je me retourne vers ma très charmante copilote. « Alors mademoiselle de la Croix où allons nous? »
Ma relation avec Mathieu n’était pas ce que j’épanchais le plus quand je parlais aux gens. D’autant plus que le célibat était peut-être une des seule chose pour laquelle je restais fidèle. Je n’étais pas trop du genre à être en couple mais avec Mathieu c’était différent je savais que je pouvais lui faire confiance et que quoiqu’il arrivait on était ensemble. C’était donc naturellement que j’avais accepté de chercher mon acolyte de toujours. Luke Renoir. Nous formions un petit trio sans problèmes mais avec beaucoup de connerie. Le revoir me faisait pousser des ailes je me sentais jeunes et insouciante à nouveau. Il était vrai qu’il était le plus sage des trois mais en même temps rien de pouvait être pire qu’une de la Croix. Alors que notre étreinte se défait il me disait que Mathieu devait tenir sa langue le sourire coquin je lui disais car je savais que Mathieu lui avait parlé un peu de nous :
T’inquiète il sait bien la tenir, mon grand.
J’aimais le taquiner, il était doux avec moi et pas le type imbuvable qui vous donne envie de donner des claques à longueur de journée. C’est donc naturellement que j’avais loué une Porche pour la soirée et ce que je lui réservais était bien pire que toute nos soirées qu’on avait pu passé. Il m’avait réellement manqué, c’est dur de trouver son semblable aussi facilement avoir une amitié sans ambiguïté pouvoir tout faire et tout se dire car à deux c’est mieux. Sa petite réflexion sur les voitures me faisait sourire. De nos jours il y avait de plus en plus de femmes qui aimaient les voitures surtout celle de courses. Une fois installée dans la voiture je laissais l’homme conduire. C’est beau de voir un homme conduire on pourrait croire qu’il caresse une femme, qu’il prenait soin d’elle, qui la titillais avec grâce et envie. Je le regardais avec un sourire des plus intriguant avant de mettre à fond la musique. Des Rolling Stones s’il vous plait et pas n’importe laquelle la plus connue. I love Rock’N Roll. Ça Collait parfaitement à notre situation. Il me demandait où on allait je lui souriais avec une malice innée :
Va vers San Diego et avant San Diego tu prends l’avant dernière sortie.
Prenant deux clopes dans la bouche j’en allumais une pour lui et pour moi. Je la lui mettais entre ses lèvres, puis j’ouvrais les fenêtre pour ne pas finir intoxiquée par toute cette fumée toxique. Je regardais le paysage défilé avant d’inspirer profondément une bouffé de nicotine. Je soupirais en expirant avant de lui dire presque surexcitée.
Bon, voilà ce soir, on va la faire à la Need for Speed. Dans la Porche tu as ce bouton là pour activer la nitro.
Il me regardait surpris. Je hochais les épaules avant de continuer mon explication :
Dans une heure il y a une course de voiture au départ de San Diego, je voulais marquer le coup si tu gagne on partage 500 000 dollars. Tu ne trouve pas ça génial pour fêter ton retour. Juste fais attention à la voiture je ne veux pas les dépenser en réparation.
Je riais d’un rire diabolique. Il ne pouvait rien y redire. La vitesse, la voiture, nous et l’argent. Pas que nous étions vénale mais nous avions toujours cette petite attirance envers ces petits billets vert. Je continuais ma clope tout en changeant les stations pour changer de style. Je lui disais alors avec sincérité :
Plus jamais on se sépare, je t’ai retrouvé je ne veux plus te perdre… Promets-le ou je te pince !
Lui avais-je dis dans un sourire, tout en plantant mon regard dans le sien. Sachant pertinemment qu’il ne pouvait pas poursuivre cet échange de regard pour continuer la route. Je laissais ma tête contre l’appui tête tout en pianotant la carrosserie en fonction des notes de la musique que nous écoutions.
[spoiler= court car je ne savais pas si tu serrais d’accord]
But our friends are back So let's raise a cup Cause I found someone to carry me home Tonight We are young
Charlie&Luke
Je grimace... Je n'ai pas envie de savoir ce genre de choses, mais je suppose que c'est à propos qu'elle a fait ça. La vie... Sentimentale ? On va dire ça, de mes meilleurs amis ne me regarde absolument pas, même si je dois avouer que je veux en savoir plus sur le sujet, puisque comme je viens de le dire ils sont mes meilleurs amis. « Je me passerais de ce genre de commentaires, ma grande. » Ca fait bizarre de la retrouver là, c'est comme si tout ce temps n'avait rien changer au final. Est ce le cas ? Je le saurais bien assez tôt à mon avis. Mais en voyant qu'elle a prit spécialement une porshe pour moi, je me dis que c'est bien elle. Je m'installe derrière le volant, avec une certaine habitude. Il faut dire ce qu'il faut dire j'ai l'habitude des voitures de luxe, chez moi c'est monnaie courante, j'ai au moins quelque chose en commun avec mon père le cinéma mis à part. A Paris en général je conduisais une Porche, ou une Ferrari.. On ne perd pas ce genre de bonnes habitudes. Charlotte met la musique à fond dans la voiture, ce qui me tire un sourire. Ca non plus je n'ai pas oublié. C'est un peu comme prendre une claque de se retrouver là en sa compagnie. Je ne vais pas dire que je suis entrain de rajeunir, non pas à mon âge, je suis pas si ringard, mais ça me donne quand même l'impression de revivre une autre époque. Une époque plus simple, et plus libre, avec beaucoup moins de responsabilité qu'aujourd'hui.
Une fois sortis du parking de l'aéroport, Charlotte m'indique notre direction. San Diego ? Intéressant. Je ne suis jamais aller là bas, mais quelque chose me dit que ce n'est pas tout à fait pour faire du tourisme que nous nous y rendons... « A vos ordres madame. » Je ne sais pas vraiment si j'ai des allures de chauffeur, mais ça fait tout comme. Je ne connais pas la route, mais c'est assez simple de se repérer par ici puisque c'est bien indiqué. Je prends bien volontiers la cigarette que me donne Charlie. Je n'en ai pas fumée depuis mon départ de Paris, et avec toutes ses retrouvailles je n'avais pas remarqué que ça m'avait autant manqué. On descend les vitres, il fait relativement très chaud dehors, il faudra sans doute mettre la clim ensuite, mais je préfère savourer ma petite intoxication d'abord. Je ne suis pas un camé, mais disons que la cigarette restera un de mes grands pêchés, même pour un sportif comme moi. Je m'apprête à poser une question sur notre destination quand Charlotte me devance. Je la regarde et fronce les sourcils. A la Need for speed ? La nitro ? Je sais où se trouve la nitro dans les Porches, mais j'ose à peine entrevoir ce qu'elle propose que nous faisions ? Elle semble complètement surexcitée ce qui me déride. Je l'écoute continuer à parler, puis je me met à rire. Charlotte dans toute sa splendeur. « Il n'y a que pour toi sur qui je peux compter pour avoir ce genre d'idée ! Ca marche on partage si je gagne. Et t'en fait pas pour la voiture, c'est pas une Porche qui va me mettre sur la paille. » J'ai déjà fait des courses, mais pas dans ce genre de condition... Je suis sûr de mes capacités, mais il y a très peu de chance pour que je gagne. Pourtant le jeu en vaut la chandelle, rien que pour l'adrénaline dispensée !
Je tire sur ma clope et regarde par la fenêtre avec un sourire amusé. Toute trace de fatigue c'est envolée depuis qu'elle m'a décrit notre programme... Les stations de la radio change sous l'impulsion de Charlotte, je croise son regard quand elle devient plus sérieuse. « Pour ça il faudrait que tu n'essaies pas de me tuer avec une courses de voiture alors que je viens juste d'arriver. » Ce serait débile de dire qu'on ne risque rien dans ce genres d’événements, même si je ne crains pas pour ma vie. Je reporte mon attention sur la route.
Le trajet jusqu'à San Diego est plus court que ce qu'il n'aurait dût être vu à la vitesse où je roule avec ce superbe engin. Et comment vous dire que sur place on n'a pas l'impression d'être autre part que dans un Fast and Furious. C'est dingue ce que cet endroit peut être cliché mais en même temps l'adrénaline qui s'en dégage est impressionnante. Je me gare à côté d'un grand nombre de voiture, et me tourne vers Charlotte. « Prochaine étape? »
Dans tous mes amis, celui qui me ressemblait le plus était sans aucun doute Luke. Pourquoi ? Même si je n'étais pas aussi riche que lui j'avais les même goût que lui, et le moindre sous que je pouvais gagner je le dépenser dans des plaisirs simple. Enfin simple.. C'était pourquoi j'avais loué cette Porche, on aurait pu simplement prendre un verre et discuter du beau temps. Mais je n'étais pas de cette veine là, les peines de cœurs, et tout le reste on avait tout le temps d'en parler que notre jeunesse se fanait au fil des jours. Ces derniers temps j'avais besoin de décompresser et je savais que Luke serait partant, même s'il pouvait se demander les risques encourus, je le rassurerai. Et ça là que nous nous retrouvions dans la voiture la musique à fond, je lui indiquais les directions à prendre. J'étais sous l'adrénaline, puis mes petites pilules me donnait encore plus d'effet, je lui allumais une clope car je n'avais pas envie de mourir vu la vitesse à laquelle nous allions. Après une grande bouffée de cigarette je tapotais les notes de musique sur la carrosserie j'avais l'impression de revivre. Alors après quelques minutes de route je lui avouais qu'on allait se la faire à la Need for Speed. Les voitures, la vitesse, le danger, les filles. Quoi il n'y a pas que lui qui avait le droit de se rincer l’œil. A sa réaction un grand sourire se faisait sur mes lèvres je lui disais alors : Bon, vu que tu es partant va falloir se donner à fond j'ai une réputation à tenir t'sais …
Quelle mytho, j'avais assistée à ses courses de voitures mais je n'étais que la passagère pas la conductrice. Car ils ont un rite étrange, les hommes conduisent et leur passagères sont comme on dirait la caution. Pas qu'ils vont font quoique soit, car sinon je serais morte depuis le temps, mais il vous garde le temps d'inspecter la voiture, voir si elle a bien de la nitro. Il jauge un peu le mec qui conduit, et après des négociations pour entrer dans la course ils vous laisse reprendre votre place et le seul risque que j'avais c'était que si on finissait dernier, être la passagère d'un autre plus tard. Enfin des règles dans un monde sans règles quel paradoxe. Alors je reprenais un peu mon sérieux après tout car je ne voulais pas vraiment le perdre. Même si nous jouions ce soir, j'étais vraiment sincère c'était trop d'années sans se voir. Et même si certain pouvait dire que je n'étais pas de bonne fréquentation en amitié j'étais plus généreuse et fidèle. Luke très concentré sur la route me décrocha un rire tout de même. Le trajet était rapide nous avions filé comme des étoiles. Nous arrivons bientôt sur place, les grosses voitures, les grands mecs tatoués jusqu'au visage, des filles limites en string, de la musique à fond, des crissements de pneus on était bien au bon endroit. Luke se garait pas très loin d'un amas de voiture je le regardais en haussant un sourcil.
Maintenant, tu me laisse faire !
J'enlevais mes talons, puis mon jean. Luke avait l'habitude de me voir en sous vêtement ou même en maillot de bain, du coup ce n'était pas un de ces moments gênant. Je fouillais dans mon sac, en sortant un micro short. Je lui disais dans un demi sourire :
C'est le prix à payer pour rentrer, si ta passagère est « bonne » tu peux concourir c'est con mais c'est leur délire ! Je suis ta caution en gros..
Une fois rhabillée comme les autres jeunes femmes autour de moi, je prenais le bras de Luke en lui disant toute l'adrénaline en moi :
Tu vois le mec là-bas, il dirige la course il va te poser des questions sur toi, sois arrogant. Il va vérifier la caisse, mettre un traceur au cas où ils nous arrivent un problème. Ils font les gros durs mais ils sont cool tu vas voir .
Sans attendre je sortais de la voiture, et je voyais un des hommes avec qui j'avais sympathiser depuis longtemps, il me prenait dans ses bras tout en caressant le bas de mon dos. Je me retirais pour lui présenter Luke. Luke entrer dans la partie. C'était l'heure, le grand patron se diriger vers nous et il me reconnaissait et se disait heureux de me revoir et espérait que Luke perdre je lui riais au nez :
Je ramène jamais de perdant, tu devrais le savoir Jon.
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Sujet: Re: Poussez-vous, excusez-moi ! Poussez-moi excusez-vous ! Mer 29 Oct - 22:05
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