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Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme.

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MessageSujet: Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. EmptyMer 22 Jan - 23:43


Roman&Camélia



    Il est tard. Sûrement bien trop tard pour aller à la bibliothèque. Mais il le faut. Il n'y a que là où j'aurais un peu de calme. Je ne supporte pas ma chambre epsilon. Elle est trop petite. J'étouffe lorsque je reste enfermé entre ces quatre murs. J'ai l'habitude des grands espaces. De ces demeures qui sont battis pour des équipes de football et non pour ces cages qu'on appelle chambre. Alors je décide de sortir. J'ai besoin de travailler sur certaines choses dont mon incompétent de collaborateur n'a su terminer. Si je ne redresse pas la barre, ce sur quoi j'ai travaillé depuis mes vingt ans va tomber à l'eau. Une entreprise de plusieurs millions de dollars. Un journal qui aurait dû détrôner Playboy mais au lieu de ça, l'affaire est en train de prendre l'eau parce que j'ai eu la brillante idée de quitter New York pour étudier à Berkeley. J'aurais dû le voir venir. Les actionnaires voyaient d'un très mauvais oeil le transfert de pouvoir malgré que ce soit à la personne qui m'est accompagné sur ce projet depuis le début. J'aurais dû me douter qu'il y a certains charmes dans le business qui ne s'acquièrent pas. Evidemment, il fallait que je redresse le tir et j'avais passé le week-end à rassurer les actionnaires et mécènes en tout genre qui avait investit dans ce projet. Je commençais enfin à en voir le bout. Les actions remontaient. Une douce odeur de célébration pointait son nez mais j'avais besoin de régler encore quelques détails qui avaient leur importance. Qu'importe, je ne pouvais travailler deux minutes de plus dans cette foutue chambre. Je sortis en trombe et ne jeta même pas un coup d'oeil aux sombres idiots qui parsemaient les couloirs et qui semblaient faire tapisserie lorsque j'imposais ma présence. Dans cette université, il y a que très peu de personnes qui sont dignes de mon intérêt. Certaines ont déjà un nom. Des contacts, un avenir brillant. C'est bien sûr vers ces personnes que mon attention se tourne. Pour moi, plus des deux tiers des étudiants de cette université n'iront pas assez loin dans la vie pour qu'ils me servent à quoi que ce soit alors autant éviter tout bavardage incessant qui ne me serait clairement pas d'une grande utilité et qui me ferait perdre un temps considérable dans une vie que je trouvais bien plus enrichissante que celle qu'ils auraient à bâtir. Je m'approche de la bibliothèque mais ma montre annonce que l'heure de fermeture est proche. J'aurais dû m'en préoccuper plus tôt mais certaines fois, je ne vois clairement pas le temps passé. Lorsqu'on est riche et qu'on a de l'argent à dépenser, tout nous paraît plus appétissant. On n'en vient à ne plus vraiment voir la vie de la même manière. Chacun de ces moments est plaisant et mieux encore, on en oublie la notion du temps comme si elle n'était qu'un problème qui ne pouvait pas nous atteindre. J'ouvre la porte et dévisage la bibliothécaire d'un oeil suffisant. Non, ce n'est pas avec ce genre de regard que je pourrais l'amadouer. Elle regarde l'immense pendule accrochée au dessus de son bureau et repose ses yeux sur moi, cachés derrière d'immondes montures en écailles. Sérieusement ?! Je tente le sourire charmeur. Un sourire qui ne trompe pas sur ce qu'il cache et pourtant, il marche la plupart du temps. Elle lève les yeux, s'impatientent devant mon impertinence et me laisse enfin entrer en me précisant que je n'ai clairement plus beaucoup de temps à accorder à mes activités tardives. Tant pis, je ferais avec. Je m'avance entre les rangées de tables déjà débarrassées de la quantité de livres qu'elles devaient contenir lorsque la salle était pleine et déambule enfin entre les immense étagères pleine à craquer d'ouvrages en tout genre. J'aime cette endroit. Je m'y sent bien et chacun des thèmes me donne à rêver de nouveaux projets en tout genre. Encore une fois, lorsqu'on a les moyens, on peut voir grand pour tout. Je m'exile au fin fond des étalages en prenant garde à ce que personne ne puisse me déranger. Un solitaire dans l'âme. Sûrement. Je m'installe, ouvre mon mac book et me plonge alors dans mes notes, mails et autres informations susceptibles de m'aider à traiter mon problème.  Le temps passe. Bien trop rapidement à mon goût et je me surprend à perdre le fil de mes pensées lorsque je n'entend plus aucun bruit. pas un son. Plus personne. Je suis peut-être le dernier. Ou cette conne à tout simplement oublié de vérifier que tous les étudiants étaient sortis. Qu'importe, je m'en contrebalance, il me suffit d'un appel pour que mes soucis s'envolent. Je me replonge dans mon travail lorsque j'entends finalement du bruit en face de moi, derrière l'atégère. Je m'étire me foutant bien de savoir de qui cela pouvait être et décide de ranger le bazar que j'ai mis lorsque mon attention vient se poser sur une chevelure brune. Il n'en faut pas moins pour que mon attention divague et que je décide de boucler plus rapidement ce que j'étais en train de faire. Je me lève alors et me dirige vers la silhouette qui me semble bien familière ...
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MessageSujet: Re: Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. EmptyJeu 23 Jan - 0:36


Il était deux heure et demi, elle est dans l'herbe au aires campagnards, allonger au pied d'un arbre à l'écorce renaissante, regardant le ciel au bleu sauvage fuguant, parsemé de quelques nuages clandestins. Elle entend le vent, faire un léger bruit détendant, et lui caressant le visage, alors que quelqu’un l’appelle, et elle se lève en sursaut, mais personne en vue, ses yeux de couleur bleu azure ne virent rien, elle décida de se rallonger dans cette endroit paisible, et de penser à sa fête de ce soir, elle devra être parfaite. Il va lui falloir des coiffeurs, maquilleurs, et stylistes professionnelles, plus une robe et des escarpins assortis. Une longue liste qui la passionne déja. En s'asseyant ses jambes sentirent le vent chaud chauffer par le soleil qui venait de pointer son nez, il fait bon. Elle est habillée d'une robe cerise pâle avec une large ceinture noire qui l’affine, avec des escarpins noirs. Elle prit une bouteille d’eau, et un paquet de mini bouteille, dans un sachet Haribo rouge qui donnait vraiment envie, avant de commencer à les déguster, elle n’a rien mangé ce midi, le paquet fut vite vide, a la place des mini bouteilles se trouvait de l'air. Après une heure à ne rien faire, elle se décidait à enfin travailler un peu, il fallait rendre un devoir de littérature pour dans deux jours et pour le moment elle n’a encore rien fais. Enfin elle se relève et range ses affaires direction la bibliothèque où elle a rendez vous avec quelques élève de son cour pour enfin finaliser ce travail à la dernière minute. A chaque pas qu’elle fait, le son émis par ses talons sur le sol en marbre résonnent dans tout le hall. Ce devait être pour cette raison que nombreux étaient les jeunes hommes qui se retournent pour la contempler à son passage. Ou bien peut-être étaient-ils attirés par l'odeur enivrante de son nouveau parfum, qui sait. Ses écouteurs sur les oreilles, alors qu'ils la fixent tous sans prendre la peine de le faire discrètement, elle continue son chemin, qu’elle se libère à travers la masse d'étudiants qui peinent à sortir du bâtiment. Il est seize heures, tout le monde vient de finir les cours, d'où le nombre de personnes présentes dans l'entrée. Pour accéder à la bibliothèque elle doit passer par le bâtiment et ensuite sortir encore une fois, autant dire qu’elle fait une tonne d’aller retour. Bon d’accord cela ne la dérange pas de se pavaner devant la tonne d’étudiant présent. Une fois dehors de nouveau, elle scrute les horizons, sans rechercher néanmoins quoique ce soit de particulier. Le ciel était presque vide de nuages - quelques uns s'aventurant tout de même à se placer devant le soleil - ce qui expliquait la température élevée. La bibliothèque étant bien climatisée, elle avait enfilé un petit gilet de cachemire gris perle, qu’elle retira aussitôt que le soleil eut touché sa peau. Sans réfléchir, elle le fourra en boule dans son sac et attrapa ses lunettes de soleil, avant de les poser avec précaution sur son nez. Après avoir passé près de trois heures chez un petit opticien près de sa résidence italienne, à la recherche de la paire parfaite, elle a finalement opté pour les Ray-Ban aviators, un classique. Son Vogue Italien sous le bras – elle l’a en effet feuilleté pendant son heure d'Anglais, qui s'était avérée incroyablement long- de loin elle aperçu enfin la bibliothèque. Il s’est passé pratiquement toute l’après midi et même toute la soirée, et elle est toujours là assise face à son mac. Sa page n’est plus blanche. Elle a enfin pu écrire quelques choses de potable. Pourtant son esprit est ailleurs et elle pense à Miles. Qu’est-ce qu’il peut bien faire en ce moment même ? Tr ès vite elle chasse cette idée de sa tête et elle aperçois par une petite fenêtre que le ciel est maintenant noir et qu’il doit faire à présent terriblement froid. Evidemment elle n’avait pas vu l’heure passé et maintenant elle ne voulait pas partir tant qu’elle n’a pas terminé. Voilà quelques mois qu’elle est revenue et pourtant elle a encore un peu de retard à rattraper. Pas grand chose puisqu’elle est une élève extrêmement studieuse mais quand même. Elle ferme quelques bouqin et tourne légèrement la tête. Elle aperçois cette silhouette qu’elle connaît bien et qu’elle a eu l’occasion de côtoyait plusieurs fois maintenant. Monsieur Roman en personne. Tellement charmant en privé, mais tellement abrutit en public. Pourquoi lui accorde-t-elle ne serait-ce qu’un regard ? Elle ne sait pas trop comment l’expliquer mais il ne lui déplait pas. D’ailleurs les paparazzi s’était fait un plaisir de l’annoncer comme le nouveau « crush de la belle » dans les pires potins people. Oups, elle fait tomber un bouquin à terre comme pour attirer une mouche sur un morceau de viande. Ca marche, tellement prévisible. Il arrive avec cet air non chalant et elle aimerait ne pas lui accorder une seconde de son temps. Malheureusement elle n’y arrive pas. « Attention tu n’as pas peur que l'on te voit avec moi ? » sifflotte-t-elle à l’adresse de l’epsilon. Rancunière ? Non si peu. Comment peut-on ignorer Camélia. C’est une chose impensable dans son monde. Elle qui se sent habituellement idolâtré avec lui sa fierté peu en prendre un coup. Une chance qu’elle s’estime bien plus que ça. « Est-ce que je te raye maintenant de mon monde ou bien tu as une explication sensé à me donner ? » Elle tape du pied et attend sagement une réponse, d’ailleurs elle ne prend même pas la peine de se lever pour se mettre à sa hauteur. Camélia pas contente. « Vite Roman, la bibliothèque va fermer et je ne compte pas passer ma nuit ici. » Allez un peu de patience Camélia.


ps : 00:26 omg re-lecture demain :plop:
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MessageSujet: Re: Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. EmptyJeu 23 Jan - 21:09


Roman&Camélia


    Un simple bruit. Un de ce qui retentit dans le silence et semble si tonitruant qu'on ne peut clairement pas l'ignorer. Ou etait-ce le fait que j'avais décroché depuis un bon moment mes pensées de la réalité et que ce chahut pourtant anodin, venait me replonger brutalement dans cette salle plus sombre qu'à l'ordinaire ? Possible. Toujours est-il qu'il avait fait son effet et que j'étais plus que réveillé et bien de retour, dans cette réalité clairement ennuyante. Assez pour comprendre que je semblais bien seul ou du moins, en compagnie d'un fantôme essayant de troubler la paix royal que je m'étais offerte en m'éloignant des grands espaces de cette salle qui gagnait à chaque fois mon admiration. Je leva les yeux d'exaspération. Un simple geste que je faisais trop souvent et qui en venait à être utilisé en toute circonstance me faisant passer pour le plus parfait des suffisants. Des manies on en a beaucoup et je devais avouer que les miennes me donnaient l'air suffisamment excédé en toutes circonstances pour que les gens se demandent à qu'ils avaient à faire. Pas besoin de poser la question, lit le magasine Forbes un peu avant de te branler sur le dernier magasine cochon qui te passe par la main et tu comprendras rapidement. Un espoir de plus au sommet des grandes fortunes du pays. J'avais l'impression d'une perpétuelle répétition de mes louanges dans ma tête. Ça suffit, un peu de modestie. J'aurais pu rire de cette dernière remarque si je n'avais pas eu assez de classe pour ne pas passer pour un idiot en rigolant tout seul. Même pour un public assez pauvre à cette heure, je devais l'avouer. Mon attention se porte pourtant étrangement vers la chevelure brune que j'ai remarqué et qui se trouve en face de moi. Seuls de malheureux livres me gâchent cette vue que j'espérais assez plaisante pour que j'en vienne à me déranger. Ma curiosité me pique au vif. Je tourne en rond. Ma conscience me dit de terminer de travailler mais je me suis déjà mit en mode prédateur. Il n'y a plus rien qui me retient à présent de foncer vers cette charmante apparition. En faîtes, je ne réponds plus vraiment de moi. Je la connais. J'en suis sûr, je peux le sentir. Et les personnes qui vous font réalisées ce genre de chose sont rares. La plupart des femmes n'acquièrent mon attention que pour un laps de temps très limité que je leur accorde en leur spécifiant qu'il faut évidemment, en profiter avant que l'offre n'arrive à expiration. Elle n'est pas de celles-là. Je le sais assez bien pour m'être déjà levé sans réfléchir et avoir fait quelques pas en sa direction. Ce visage, ce sourire charnier, ces courbes attrayantes et dangereuses. Ce regard sombre et princier. Il fallait évidemment que ce soit Camélia. Elle me toise de ses yeux déjà révélateurs de ses attentions et je ne peux m'empêcher de me dire que je suis sûrement tombé dans un piège. Un de ces fameux pièges qu'elle doit créer pour attirer les hommes. Je ne sais pas comment elle fait mais la duchesse est très forte. Elle arrive dans une pièce et on la remarque. C'est indéniable. On voudrait l'éviter qu'on ne le pourrait pas. Elle a la prestance et la carrure qui la définit clairement tout en haut de la liste, à un niveau où je m'estime m'être clairement établit. Peu ont l'honneur d'y régner à mes côtés mais elle, il suffit d'un regard pour que je comprenne qu'elle y était déjà bien installée confortablement et que j'avais clairement envie qu'elle soit à mes côtés. Sauf que la première fois que je l'avais remarqué, elle siégeait telle une reine aux côtés d'un imposteur. Je n'avais pas d'autres mots. Miles ? Quelque chose comme ça, peu importe, je m'en étais foutu clairement. Ce que je voyais c'était elle, essayant de redonner contenance à un crapaud qui s'était perdu lui-aussi dans l'immensité de sa beauté. Que c'était beau les œuvres bénévoles mais au bout d'un moment c'est peine perdue. Etait-ce la jalousie qui parlait ou seulement cette nouvelle envie de jouer qui se réveillait face à un adversaire que je savais d'avance, être à la hauteur ? Peut-être un peu des deux. Qu'importe, cela pimentait encore plus mon envie d'aller charmer la belle. Évidemment, c'était sans compter le coup que je reçus entre les côtes d'Eileen qui avait surprit mon regard de chasseur braqué sur les courbes de la brune. Ok, le message avait été clairement enregistré. Puis relégué dans un endroit assez caché de mon esprit pour que je l'oublie en peu de temps. Et voila comment on en venait à faire du mal à ses amis puis à vexer une parfaite inconnue lorsque la belle s'avère snober par son prétendant. My bad. Son visage se transforme en un rictus plutôt compréhensible en vue de ma manière de l'avoir ignorer après l'avoir aborder et son ton est froid et sans équivoque. Elle me hait. Et j'adore clairement ça. C'est ce qu'elles pensent toutes au début. Mais Camélia elle est différente. D'une classe que peu possèdent. Il va falloir la jouer fine pour tenter de regagner ses faveurs. Je prend alors sa remarque par dessus la jambe et me retourne à droite puis à gauche et lui adresse un sourire pantois. Non c'est bon, je crois qu'il n'y a plus personne. Oui, cette provocation n'allait clairement pas passer dans l'oreille d'une sourde mais j'aimais clairement ce genre de réaction chez elle. Ça la rendait que plus charmante et j'étais un joueur. Je détestais la facilité et m'excuser en m’aplatissant dans la minute auprès de la demoiselle n'était clairement pas mon genre. Alors comme ça, je t'ai assez marqué pour que tu n'apprécies pas mon insolence ? Intéressant. Oui, je retournais la situation malgré que ce ne soit pas le sujet de sa question. J'aurais dû y aller franc jeu mais je tournais autour du pot comprenant qu'elle s'impatientait, n'aimait pas ça et lui montrer que je n'allais pas lui courir après. Bien que c'était ce que je faisais. Elle me pressait, froide et impitoyable. J'aurais pu tomber raide comme Danny devant Sandy. Disons qu'Eileen a comme qui dirait un petit soucis avec toi. Tu l'as peut-être remarqué ? Quel était le rapport entre nous deux ? Elle ne devait clairement pas le savoir mais plus je lançais des interrogations chez elle, plus elle resterait. C'est une louve, elle est affamée et quoi de mieux que de lui donner envie de mordre dans quelque chose ? Quel dommage, je trouvais ça sympa, toi, moi, cette grande bibliothèque. Un peu plus et je te demanderais de me faire du tutorat. Je la maltraite. Commence mes remarques par de l'ambiguïté non dissimulée pour ensuite venir faire retomber complètement à plat ce soufflé. Un sourire se dessine sur mes lèvres pendant que je l'observe sans gène, de haut en bas pour profiter du spectacle.

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MessageSujet: Re: Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. EmptyMer 9 Avr - 22:00

Rien n’était prédis, elle n’était pas arrivé ici dans l’espoir dans rencontrer Roman. Et pourtant le destin lui en avait décidé autrement. Elle plongea son regard dans celui du brun ténébreux et elle sent déjà une chaleur intense l’envahir. Son coté sérieux lui dirait de ne pas se distraire avec Roman et de continuer le travail qu’elle est en train de faire. Mais son coté impulsif et aventurier lui dit par contre de foncer dans une pièce à l’écart et de laisser leurs corps parler d’eux même. Cette attraction est si forte entre eux. Plutôt étrange. Aventurière certes. Mais elle n’est pas facile, et pour faire partie d’une aventure avec Camélia il faut s’accrocher parce que ça n’est pas donné à tout le monde. Il faut être à la hauteur, et elle ne sait pas encore si Roman l’est. La bibliothèque commence clairement à se vider, non en faite elle est complètement vide maintenant. Même la bibliothécaire avait déserté surement dans l’arrière boutique. Elle le regarde de son air hautain et totalement mauvais, de toute façon il ne mérite que ça. On ne laisse pas Camélia dans un coin uniquement parce que sa meilleure amie est jalouse. Camélia, clairement elle s’en fou de la drogué des epsilons. Elle est avec Jayan certes, qu’elle y reste et qu’elle ne se mette pas en travers du chemin de Camélia. C’est tout ce qu’elle demande. Ce n’est pourtant pas compliqué ? Il semblerait que si, Jayan, Roman qui sera le suivant ? Toujours assise, ses ongles commencent à pianoter sur cette table en bois laissant entendre son impatience. « Dommage, j’imagine que je vais devoir te supporter alors. » Dit-elle sans en penser un mot mais sa fierté parle à sa place comme d’habitude. Elle n’en dit rien mais elle se vexe un peu plus à cette remarque. Pauvre Roman, là c’est vraiment pas gagner pour avoir les faveurs de Camélia. Mais continue d’essayer. Elle se lève doucement et va à sa rencontre. Elle se met face à lui en se posant contre la table. « Marqué ? Non pas vraiment il m’en faut plus. Cependant, je n’ai pas l’habitude d’être ignoré comme tu l’as fais. Tu as donc attisé ma curiosité. »  Ce qui est plutôt vrai. Alors quoi ? était-il est homme un vrai ? Ou bien était-il un homme en carton pas capable d’assumer son attirance pour une femme devant sa meilleure amie ? « Evidemment qu’elle a un problème avec moi, elle sort avec un homme qui aura toujours un lien spécial avec moi. »  Elle s’approcha un peu plus de Roman pour ajouter quelques choses. « Mais dis moi ? Aurais-tu perdu ce qui fait de toi un homme pour refuser de m’approcher quand Eileen est présente ? J’ai quelques doute vois-tu. » Provocatrice, elle n’en loupe pas une. Elle se recule après cette phrase, il ne faut pas qu’il pense que Camélia est acquise. Une Camélia n’est jamais acquise. Du tutorat ? Pourquoi pas, Camélia n’aime pas les gens et pourtant elle fait beaucoup de tutorat pour ceux qui ont du mal à étudier. Elle aime tellement étudier que finalement elle prend presque du plaisir à aider ses personnes. Etrange pour elle de s’avouer ça, et pourtant c’est la stricte vérité. Elle commence à ouvrir ses bouquins et à feuilleter quelques pages de ce livre. « Je ne pense pas non, je pense que le niveau de ce livre est trop haut pour toi. Avec toi il faut reprendre les bases.  Tu sais ce qui est dommage, c’est que tu aurais pu me plaire si tu n’avais pas été aussi lâche. » Ce qui est totalement, rien que la vu du beau Roman mettait Camélia en position délicate, elle sentait en elle une gène qu’elle n’a pas l’habitude d’avoir. Voilà comment Camélia sait quand un homme lui plait. Roman lui faisait exactement cet effet et pourtant il avait tout gâché lors de cette première rencontre. Camélia ne perd pas une minute pour se relever et faire face de nouveau au jeune homme. « Tu apprécies le spectacle ? Regarde le bien, parce que déjà que tu ne pouvais pas y toucher, mais alors là sache que tu as réduit tes chances au néant.» Faux, totalement faux, mais ça personne doit le savoir sinon ce serait humiliant puisqu’elle irait à l’encontre de tous ses principes. Il ne faut pas croire, Camélia ne couche pas avec n’importe qui. C’est bien simple, à Berkeley il n’y en avait eu que deux. Gauthier, et Miles. Bien que Miles tout cela s’était passé bien avant Berkeley. Elle avait aussi eu une relation avec un homme influant de la haute sphère à New York mais surtout cet homme était marié. Oui elle avait été l’affreuse maitresse. D’ailleurs personnes ne l’a jamais su. Aislynn est là seule à être au courant de cette histoire qui s’avère être pour Camélia une très grosse erreur. Un tel belle erreur qu’elle se faisait harceler par un jeune homme, la menaçant de dévoiler des photos compromettante de cette relation interdite si elle ne lui fournit pas une certaine somme d’argent. Mais pas d’inquiétude, Aislynn et elle sont sur le coup. Bientôt cette histoire de ne sera plus qu’un vulgaire souvenir. Revenons à Roman, allait-il arrêter de lui faire se regard de braise qui la déstabilise ? Il vaut mieux sinon elle ne sait pas encore combien de temps elle pourra tenir. S’il continue elle sera obliger elle aussi de le tenter du mieux qu’elle le peut pour qu’il se lâche en premier. De toute façon dans sa tête tout est tracé, elle ne ferait en aucun cas l’approche la première. Fierté oblige, ce ne serait pas digne d’une Pelizza Da Volpedo. « Dis moi, on m’a dit que tu es proche de la Pelizza Da Volpedo low cost, c’est étrange. Qu’est-ce que tu lui trouve ? » Dit-elle d’un ton très sérieux, que pouvait-il bien lui trouver ? Il est clair que les deux jeune femme son totalement différente. Camélia est plutôt classieuse tandis que Francesca elle est plutôt campagnarde dénué de toute sympathie. Quoi que sur ce point elle se ressemble pas mal.
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MessageSujet: Re: Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. EmptyMar 15 Avr - 22:08


     
On peut résister à la beauté mais pas au charme

     
     
Roman&Camélia ⊹ Son regard est insolent autant que sa posture envers moi. Elle se montre d'une désinvolture digne de son rang et je sens l'amertume dans sa voix. Un ton qui en dit long sur ce qu'elle pense à mon égard et pourtant je n'ai pas finit de jouer avec elle. J'ai besoin de l'émoustiller un peu, de la sentir sortir de ses gongs. Sentir sa rage débordée de son coeur était un délice que je voulait apprécier comme une expérience folle que je faisais auprès du plus beau des volcans. Mais elle avait une classe digne de ce que j'imaginais d'elle la première fois que je l'avais rencontré et bien sûr, elle ne laissait en rien mes remarques moqueuses la toucher. Elle restait de marbre et pourtant je la sentais en proie à une vive attirance envers moi. Je le sentais ces choses là. Je le sentais encore plus lorsque la chose était totalement réciproque et ça l'était. Je n'aurais écouté que mon instinct que je l'aurais jeté sur la table et aurait arraché ses vêtements sans me préoccuper de savoir si elle les avait payés une fortune. C'était sûrement le cas. Je commençais à connaître la famille Da Volpedo et surtout son frère Sandro. Mais ça c'était à l'époque. Aujourd'hui, j'étais lié à cette famille en étant le meilleure amie de la soeur de Camélia. Son ami le plus proche. Le seul qui pouvait approcher sa fille. Mais j'étais aussi d'une incroyable naïveté si je pensais une seule seconde pouvoir avoir les deux soeurs en claquant des doigts et sans aucune culpabilité. Mais Camélia c'était tout autre chose. Je ne pouvais clairement pas détacher mon regard de sa démarche chaloupée qu'elle m'offrait lorsque nos passages se croisaient dans les couloirs de l'université. Camélia semblait toujours d'une insolence rare mais encore plus qu'elle avait une proie en tête. Non. Elle ne se jetait pas sur les hommes comme une proie rapidement choisie. Elle y faisait son nid. Travaillait sur l'esprit de l'homme qu'elle convoitait et par des manières bien plus différentes que les autres femmes. On s'offre pas une femme comme elle après mille et une courbette. Elle se mérite bien plus qu'aucune autre et j'avais bien vu que son regard dédaigneux, au contraire des autres hommes, ne m'attiraient qu'encore plus. Une reine que j'avais envie de trouver à mes côtés parce qu'elle était digne de l'être. Mais ça, ce n'était absolument pas ce que j'allais lui dire et je n'allais clairement pas compromettre notre petit intermède juste pour pouvoir assouvir les envies que j'avais envers elle et qui me traitaient incessamment dans ma tête. On va devoir se supporter mutuellement. Une manière comme une autre de lui montrer que je pouvais jouer au même jeu qu'elle en essayant de montrer que je n'étais pas tout simplement ravi de me retrouver avec elle dans cette même pièce. Mais ces remarques ne servaient strictement à rien. Elle le voyait et le savais. Après tout, si on avait vraiment voulu s'éloigner l'un de l'autre, il aurait suffit qu'elle me fasse très vite comprendre qu'elle n'en avait que faire de ma présence et surtout, j'aurais pu très bien tourner les talons et retourner à mes petites affaires. Mais voila, entre business et Camélia on a bien du mal à choisir. Alors je décidais de rester parce que même si ma tête me disait de bosser dur, tout le reste me hurlait de rester pour profiter de cette charmante compagnie. Elle se lève pour venir se poser contre la table qui me fait face. Choix audacieux puisqu'il me permet d'attiser mon désir par la vue de son corps trop près du bien à présent. Posé contre l'étalage de livres derrière moi je ne peux que scruter sans aucune gêne ses courbes qui me ravissent au plus haut point. Je la dévisage sans sourciller ni même montrer une simple once de gêne. Je la dévore du regard et elle adore ça. Camélia c'est le genre de femme qui sait qu'elle plait forcément alors pourquoi ne pas profiter au maximum ? Juste ta curiosité ? Je fais le malin parce que j'en ai le pouvoir. Je peux à tout moment me faire reprendre par la belle, rabaisser comme jamais et abandonner dans cette immense bibliothèque avec seulement moi et mes pensées malsaines. Mais j'ai trop l'habitude de ne jamais lâcher le morceau pour ne pas continuer à la pousser comme j'aime tant le faire. Elle esquisse une remarque qui ne me plaît guère. Elle parle forcément de Jayan et j'ai déjà entendu suffisamment de choses sur eux deux pour ne pas approuver l'idée d'essayer de séduire une femme qui semble toujours accrochée à un autre homme. D'habitude ça ne me ferait absolument rien mais cette fois, j'avouais ne pas aimer ce genre d'adversité. Pourtant je ne bronche pas. Elle me teste encore, sûrement. Et pourtant il n'est pas là. Il faudra te contenter de moi. Je ne lâche pas son regard malgré que mes paroles me laisse un léger goût amère dans la bouche. Jamais aucune femme ne se "contente" de moi mais je préfère garder une modestie appréciable pour continuer puisqu'elle vient de me provoquer une nouvelle fois. La tentation est forte de la rabrouer sans aucune modération mais je reste maître de mes propos et de mon sang-froid exemplaire. Les seules personnes qui comptent pour moi sont suffisamment importantes pour que j'en prenne soin malgré leurs avis. C'est dommage que tu ne connaisses pas ça. Soulèverais-je l'idée qu'elle n'a personne autour d'elle qui vaille la peine de faire des écarts dans une conduite plus que reprochable ? Sûrement. J'attaque sûrement un point sensible et ma vilénie sera sûrement sévèrement punie mais j'esquisse un sourire des plus provoquant pour souligner ma remarque. Allons-y à fond dans l'honnêteté puisque je n'ai rien à cacher de mes fréquentations. Elle me traître de lâche et je boue de l'intérieur une seconde. Mais elle a raison pour le coup. Sa franchise ne vient me heurter qu'une fierté qui a peu souffert. Oui elle a raison. Malgré qu'Eileen se fichait sûrement de mes frasques, j'étais d'une loyauté sans faille envers seulement quatre personnes dans ma vie. Le reste n'était que fioriture alors forcément, je faisais certains choix qui défiaient tout ce que je pouvais montrer de moi. Si je comprends bien, tu as déjà trouvé un plus gros poisson ? C'est triste. Moi je te trouve encore plus intéressante à chaque fois que je te vois une nouvelle fois. Et moi qui pensait que c'était réciproque, c'est d'une tristesse. Un léger sourire s'élargit sur mon visage pendant que je ne peux m'empêcher encore et encore de saliver devant sa silhouette qui me fait du zèle. J'en perd un instant le fil de mes pensées et revient vers son regard. Et là je doute sous ses paroles. N'ais-je plus aucune chance ? Rien ne semble impossible pour moi mais elle est aussi sûrement d'une humeur massacrante en vue de ce que j'avais pu faire. Je grimace légèrement et me passe une main faussement coupable dans ma tignasse brune. T'es bien sûr de toi ? j'allais craquer. C'était certain. Plus que certain même mais alors que j'allais sûrement tenter une avancée, elle me coupe en me parlant de Francesca. Aïe. Elle a la langue aussi acérée que sa soeur c'est une évidence. Crois le ou non mais la famille Da Volpedo m'a toujours particulièrement attiré. Dans quel sens disais-je ses paroles ? Et puis je ne répondais pas du tout à sa question mais je n'étais pas dans l'optique de défendre mon amie mais de pourfendre les remparts de ma camarade de jeu. Alors je m'approche envers et encercle sa taille avec mon bras mais la pousser contre la table. Lentement, trop lentement pour ne pas voir le truc venir. Je reste collé ainsi contre elle. Imprévisible mais si enivrant ... Mon autre main vint caresser sa nuque dégageant quelques boucles brunes qui s'éparpille sur ses épaules pour venir glisser le long de son cou pour descendre légèrement vers le haut de sa poitrine. Une invitation indécente que je lui fais avec un sourire encore plus charmeur qu'avant malgré le fait qu'elle ait tenté de me repousser plus d'une fois. C'est vraiment dommage que tu ne vois plus aucun attrait à être avec moi. Vraiment. Allait-elle enfin me contredire ou rester arrêter dans ses idées ? Toujours est-il que la possession de son corps contre le mien était contrariant. Effectivement j'avais bien du mal à retenir toutes les pulsions que j'avais à présent ...




     
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MessageSujet: Re: Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. Roman&Camélia :. On peut résister à la beauté mais pas au charme. EmptyMer 4 Juin - 10:09

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