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Tu es mon paradis, mais je suis peut-être ton enfer ... • Blythe

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MessageSujet: Tu es mon paradis, mais je suis peut-être ton enfer ... • Blythe Tu es mon paradis, mais je suis peut-être ton enfer ... • Blythe EmptyLun 26 Mar - 19:47


    •••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
    Dark Paradise by Lana Del Rey
    La vie n’est pas un sport qu’on se contente de regarder. Gagner, perdre, ou faire match nul, la partie est en cours, qu’on le veuille ou non. Alors allez-y, discutez avec l’arbitre, changez les règles, trichez un peu. Faites une pause et soignez vos plaies. Mais jouez. Jouez ! Jouez le jeu. Jouez vite. Jouez librement. Jouez comme si il n’y avait pas de lendemain. D’accord, l’important n’est pas de gagner ou de perdre, l’important c’est la manière de jouer. Vous ne croyez pas ? "Parce que quand on est accro, même si ça fait mal ... Parfois ça fait encore plus mal de décrocher."

Toi et moi, une histoire, un passé, quelque chose de sensiblement merveilleux, mais ne reposant sur rien. Je t'avais chérie, aimer, voulant passer ma vie à tes côtés, mais cela n'avait été qu'un rêve, une lubie. Notre présent était tout autre et j'avais énormément de mal à m'y faire, car je continuais à ressentir des choses extraordinaires à ton égard, mais d'autres sentiments avaient prit le dessus, m'empêchant de te regarder en face et de t'adresser la parole. J'aurais tout donné pour les abandonner, les laisser sur le bord de la route et continuer à te courir après, souhaitant de tous mon coeur te rattraper et te dire au combien tu comptais à mes yeux, mais même avec la plus grande des volontés je n'y serais pas arrivé. Tu avais été ma reine, ma muse, ma joie, la plus belle des choses qui me soient arrivé, mais tu n'étais plus qu'un immense désespoir, une chose qui me grignotait de l'intérieur et qui ne souhaitait qu'une seule chose, me voir sombrer, tomber. De nombreuses fois j'avais faillit y succomber, préférant lâcher prise, me laisser bercer par le chagrin, ballottant aux creux des courants. Je ne supportais plus ressentir cette souffrance, celle de te perdre encore un peu plus chaque jour, te voyant me quitter et apprendre à me détester. Ton regard avait changé, il n'était plus celui que j'avais tant aimé, celui qui me réconfortait lorsque je plongeais dedans et que j'aimais tant contempler. Qu'avait-il bien pu se passer pour que cela se finisse comme ça entre nous ? Comment avions-nous fait pour que l'amour laisse place à la haine, une haine des plus viles. Nous étions devenus des étrangers l'un pour l'autre et nous étions voués à une histoire sans fin, une histoire que nous écrivions chaque jour. Tu avais petit à petit envahi mes rêves et noyer mes cauchemars, mes pensées étaient tournés vers toi et seulement vers toi, j'avais un manque terrible de ta personnalité et la seule substitution que j'avais trouvé avait été la drogue et l'alcool. Tu m'as fait tomber plus bas que terre et à présent j'essaye de ramper pour remonter la pente, t'oublier, revenir à une vie normal, mais plus j'y pense et plus je me dis que c'est impossible. J'ai tout abandonné, délaissant ma vie pour te poursuivre à l'autre bout du monde, essayé de t'aimer, mais c'était en vain, car tu avais décidé de tourner la page et de clôturer notre chapitre. Souvent on dit que l'abandon est la pire des choses, qu'on ne s'en relève jamais et qu'il faut des années pour la surmonter, moi je n'essaye même plus, je préfère encore me foutre en l'air à petit feu que de combattre une chose qui je sais finira quand même par me détruire. L'ivresse me permet de l'oublier, de m'évader et de ne plus y penser. J'aime me laisser emporter par cette imagination sans limite qui m'aide à survivre un peu plus chaque jour, qui me laisse imaginer un monde ou tous me sourirait, où je te retrouverais lover au creux de mes bras et ou le chagrin ne m'accablerait pas à chaque seconde de mon existence. Tu aurais pu être ma petite amie, celle pour qui j'aurais tout délaissé dans ce monde, celle que j'aurais enlacé chaque nuit et embrasser chaque matin. Des questions j'en avais des dizaines, mais quasiment aucune ne possédait une réponse et je dois bien avouer que j'aurais bien aimé que cela change. J'étais hanté par ton souvenir, souffrant à chaque fois que ton visage m'apparaissait, car oui il m'arrivait fréquemment de te voir passer au loin, tes cheveux blonds dansant au gré du vent. Toutes ces choses j'aurais voulu pouvoir te les avouer, mais je n'y suis jamais arrivé, à la fois trop timide et trop énerver, même si l'amour était toujours là, présent quelque par, mais la haine n'en était jamais très loin et je préfère donc m'abstenir. La tête dans les nuages je n'arrivais pas m'abstenir de penser à elle, c'était dingue, après tout ce qui c'était passé j'étais toujours accros, ne pouvant me passer d'elle, mais depuis trois ans j'étais perpétuellement en manque. Elle avait d'abord fait de moi un homme heureux, comblé, mais depuis son départ c'était tout autre, j'avais totalement basculé, sombrant dans la drogue et les relations sans lendemains. Je crois que c'était ce qui me manquait le plus, son amour, celui qu'elle m'avait porté et que je lui avais rendu en retour, mais je crois que plus jamais je ne pourrais gouter à cela. En y réfléchissant bien je crois qu'elle est à l'origine de tous, du moins ce qu'il m'arrive en ce moment est sa faute et personne ne pourra prétendre le contraire. Heureusement aujourd'hui était une superbe journée et j'avais eu le besoin d'aller m'aérer l'esprit. Le meilleur endroit pour ça tout le monde le connaissait, mais très peu y allait, il s'agissait du célèbre toit de l'université. J'y avais prit l'habitude de m'y rendre lorsque cela allait mal, que je ne voulais voir personne ou encore quand je voulais m'en mettre plein le nez, mais y a du vent ce n'est pas très pratique. Une cigarette collée au coin des lèvres j'essayais d'imaginer à quoi pouvait bien ressembler les nuages qui passaient au-dessus de ma tête, un jeu auquel je jouais avec ma sœur lorsque j'habitais encore en Australie. Dernièrement j'avais réussi à apercevoir un lapin, un arbre ou encore la tête de Justin Bieber, je crois bien que je n'étais pas dans mon état normal ce jour-là. J'avais pris la grande décision de ne pas aller en cours aujourd'hui et de ne rien foutre de ma journée. Même si j'adorais ce que je faisais, défois il faut savoir prendre un jour de congé. Je n'avais cessé de penser à elle toute la matinée et j'aurais tous donné pour qu'elle me sorte de la tête rien qu'une seconde, qu'elle me quitte définitivement pour aller arpenter d'autres horizons. Les yeux tourné vers le ciel j'essayais de penser à autre chose, mais c'était peine perdue et cette journée n'allait pas se finir sur une bonne note si cela continuait ainsi. Dernièrement j'essayais de lever le pied, d'arrêter de prendre de la merde, mais déjà que c'était difficile, si en plus je devais commencer à partir en sucette à cause d'une jolie nana qui plus est m'avait fait plonger la tête la première dedans, ce n'était pas gagné. Un souffle de fumer qui décolle de mes lèvres et voilà que la porte qui se trouve derrière s'ouvre dans un grincement sinistre, signe que quelqu'un avait eu la même idée que moi. C'était bien la première que j'allais croiser quelqu'un sur ce toit, qui d'habitude est totalement désert, m'enfin tous fini par arriver un jour. À peine avais-je tourné la tête en direction de l'inconnu que mon cœur avait cessé de battre, me laissant tomber, prêt à m'écraser. Comment se pouvait-il ? La vie était-elle si chienne que ça pour me faire un coup pareil ? J'avais pensé à elle toute la matinée et la voilà qu'elle était debout me faisant face prête à prendre ses jambes à son coup. Que convenait-il de faire dans de pareilles situations ? Cela devait bien faire trois ans que je ne lui avais pas adressés la parole. Me relevant j'attrapais ma cigarette du bous des doigts et bloqua mon regard dans le siens. « Pour une surprise c'est une surprise. » Jamais je n'aurais pensé qu'une telle chose puisse arriver, cela semblait pourtant si réelle. « Je ne pense pas que le terme "content de te revoir" puisse encore marcher entre nous. » Mieux valait jouer le jeu auquel elle jouait depuis un moment.
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MessageSujet: Re: Tu es mon paradis, mais je suis peut-être ton enfer ... • Blythe Tu es mon paradis, mais je suis peut-être ton enfer ... • Blythe EmptyMer 11 Avr - 10:43

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