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Sauf qu'on sait tous les deux que "OK" est un mot extrêmement provocateur. Il DEGOULINE de sensualité. Babi & Garrett

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Jazz Redington
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MessageSujet: Sauf qu'on sait tous les deux que "OK" est un mot extrêmement provocateur. Il DEGOULINE de sensualité. Babi & Garrett Sauf qu'on sait tous les deux que "OK" est un mot extrêmement provocateur. Il DEGOULINE de sensualité. Babi & Garrett EmptyVen 13 Sep - 0:30


GARRETT SAM FITZGERALD & BABI PELIZZA DA VOLPEDO
Alors je suis retourné dans ma chambre et je me suis écroulé sur mon lit, en me disant que si les gens étaient de la pluie, j'étais de la bruine et elle, un ouragan. "  Il m'a toujours semblé ridicule qu'on puisse avoir envie de sortir avec quelqu'un sous prétexte qu'il était beau. Ce serait comme choisir ses céréales en fonction de la couleur et non du goût. "Looking for Alaska & Margo - John Green

1er rp de mon Garrett pour sa Babi :mimi:


    Accoudé à la rambarde, une clope coincée entre les lèvres, Garrett regarde les vagues et par la même occasion, les dizaines de nanas en bikini ou monokini allongées sur le sable. Il se délecte avec plaisir des joies de la plage et de l'été, et de voir toutes ces jeunes femmes dénudées, qu'il pourrait avoir en un claquement de doigts. C'est bien simple, il n'aurait qu'à descendre de son sublime loft pour faire un petit jogging matinal sur la plage pour se retrouver assailli par une flopée de fans en délire, prête à lui arracher son simple short. Les joies de la célébrité. Il en rigole même très souvent de cette situation et s'en amuse au point qu'il s'en sert un maximum. Garrett peut l'affirmer avec une certaine assurance, il possède un tableau de chasse des plus hallucinants et ce n'est pas grâce à son sourire ravageur, mais bien grâce à sa victoire à X-Factor UK quatre ans plus tôt. Balançant son mégot par-dessus la rambarde, il repart à l'intérieur de l'appartement et s'égosille la voix contre sa sœur. Pour la énième fois, elle s'est servie de son piano comme table et il n'en peut absolument plus. Un jour ou l'autre, il va finir par la tuer et bruler tous ses livres, quitte à s'engueuler sévèrement avec elle. Après tout, lui a bien pardonné une fois d'avoir démoli sa guitare préférée, la toute première qu'il a obtenu à ses cinq ans. Ce jour là, il a bien cru qu'il allait faire un feu géant avec tous ses livres préférés. Au lieu de ça, il s'est contenté de prendre son livre préféré, sa bible, sa préférence parmi tous les livres, de déchirer une à une chacune des pages de ce livre, devant le regard médusé de sa petite sœur, qui hésitait entre pleurer et hurler. Le plaisir de Garrett avait alors atteint son paroxysme, et plus jamais dès lors, Mackenzie n'avait osé touché à sa guitare… Jusqu'à ce fameux jour où elle avait décidé qu'elle vivrait un coup chez Jake, un coup chez Garrett. Globe trotteuse la petite sœur. Posant ses doigts partout, absolument sur toutes les surfaces existantes dans cet appartement, les empreintes digitales de la jeune femme doivent très certainement se trouver également sur les nombreuses guitares du jeune musicien, exposées et accrochées contre un mur. Et rien qu'à la pensée que les doigts de sa sœur aient effleuré ses précieuses guitares, cela le fait réagir comme une pile électrique. « Barbie tu ramènes ton cul de suite et tu vires tes putain de bouquins de mon piano ! Je te jure que je les brûle sinon. » Il n'en faut pas plus pour la jeune femme pour accourir dans le salon, récupérer ses livres. Lorsqu'il s'agit de ses instruments de musique, Mackenzie ne remets jamais en doute la parole de son frère, question de principe. Elle se saisit donc de tout ce qui lui appartient, tout en jetant un regard noir à son aîné. « C'est pas beau de jurer. Un jour le petit Dieu tout en haut il va te punir. » qu'elle lui dit d'un ton boudeur. Du grand Mackenzie. « M'en contre fous du petit con d'en haut tu sais. » S'il y a bien quelque chose en quoi Garrett ne croit pas, c'est bel et bien la religion. Imaginer qu'une puissance supérieure régit sa vie ne l'enchante guère. La seule personne qui le contrôle, c'est lui et personne d'autre, peut importe ce que les gens en disent. Et pourtant, cette seule pensée va vite se retourner contre lui lorsque Mackenzie se retourne vers lui, un sourire mauvais sur le visage. « Et au fait, ton rendez-vous essayage chez Armani pour la soirée de demain, c'était pas y'a une demi-heure? » Il jette un regard à l'horloge et insulte père, mère, Dieu, cousins et toute la famille d'avoir oublier. En temps normal, il se contrefout d'être à l'heure à un rendez-vous, bien au contraire, il aime mettre un point d'honneur à être en retard. Mais chez Armani, il y a Sophie. Et Sophie, c'est la vendeuse super sexy qu'il rêve de mettre dans son lit depuis son arrivée à San Francisco il y a quelques semaines. Et pour ça, il a promis de se ranger, de rentrer dans les rangs, un bon gros mensonge comme il sait si bien les faire. Par habitude, il ne court pas après les filles, mais c'est plutôt la situation inverse. Mais la petite Sophie, elle a un quelque chose que les autres n'ont pas, et avoir dans son lit une fille difficile, relève du challenge, et en bon joueur qu'il est, Garrett a fièrement accepté le défi. Du coup, il attrape sa veste en cuire à l'arrache, glisse son porte feuille dans sa poche arrière, choppe ses clés, et dévale les escaliers en direction de sa Ferrari rouge, très tape à l'œil. Les envieux, il les remarque à chaque coin de rue, et par un élan de bonté, il fait vrombir le moteur. Allez soyons honnête, la bonté n'a rien à voir là dedans, il a juste envie de faire chier son monde, de faire rager les gens. Il grille quelques feux et priorités, se moque complètement du code de la route, et sort en vitesse de sa voiture, qu'il vient de garer sur deux places devant le magasin. Lunettes ray-ban sur le nez, il a la classe et ne cherche même pas à camoufler qui il est. C'est alors qu'une horde de filles en folie lui saute dessus, s'agrippant à lui comme des sangsues, le griffant presque. Certaines se mettent même à lui susurrer des obscénités à l'oreille ce qui en général, le fait kiffer plus qu'autre chose. Mais pas cette fois. « Désolé mais je ne fais ni dans la charité, ni dans le boudin. Alors les cassos et les gros taons, vous dégagez. » Et pour allier le geste à la parole, il désigne une à une les jeunes filles qu'il estime appartenir à cette catégorie. Au final, il ne reste que deux jeunes femmes, à qui il accepte de signer des autographes mais refuse toute photo. Respirant enfin, il pousse les portes du magasin Armani, aperçoit au loin une Sophie peu contente, qui lui jette un regard en coin mais s'abstient de faire quelques commentaires que ce soit et se contente de ranger ses vêtements. Garrett reporte alors son regard vers un scintillement, et tombe nez à nez avec une sublime robe, qu'il détaille du bas vers le haut, tout en appréciant la grâce des formes qui subliment la tenue, avant de remonter lentement vers le visage, aux traits fins, parfaits, et d'apercevoir un regard, LE regard.

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MessageSujet: Re: Sauf qu'on sait tous les deux que "OK" est un mot extrêmement provocateur. Il DEGOULINE de sensualité. Babi & Garrett Sauf qu'on sait tous les deux que "OK" est un mot extrêmement provocateur. Il DEGOULINE de sensualité. Babi & Garrett EmptyMer 9 Oct - 18:36

Elle sèche les cours, elle a décidé de prendre une journée pour sa petite personne et pour ses petits plaisirs personnels, la Babi. Elle espère secrètement que Miles s’est rendu au cours de sociologie et qu’il prendra note pour elle, pour une fois que c’est elle qui fait sa rebelle. Utopiste dans l’âme, elle le connait assez pour prévoir qu’il ne mettra pas un pied en sociologie si elle n’y est pas. L’enfoiré. Tant pis, elle a un rendez-vous qu’elle ne peut négocier avec la somptueuse boutique Armani haute couture. Babi, elle s’est fait faire une robe sur mesure sur un coup de tête, sans aucune occasion particulière et aujourd’hui elle devait essayer sa robe de princesse. Robe de princesse contre un cours en compagnie de l’italien. Well, inutile d’y réfléchir plus longtemps. Elle part pour la journée la Babi et, elle décide de laisser un mot à son colocataire. «.Ne prépare rien, j’apporterai des lasagnes en revenant.» Oui, parce que Babi elle est peut-être italienne mais elle ne sait pas cuisiner des pâtes et encore moins des lasagnes. Et puis, celles du traiteur italien étaient délicieuses. Quant à Caleb, il est sûrement plus doué qu’elle en cuisine mais sûrement pas assez pour prendre l’initiative de faire des lasagnes. De toute façon, c’est Babi qui décide et aujourd’hui ce sera de l’italien. Elle enfile ses Louboutin quinze centimètres parfaitement accordées à sa petite robe noire Diane  Von Furstenberg et elle s’en va vers l’un de ses lieux favoris. La boutique Armani. A peine a-t-elle eu le temps d’entrer dans la boutique de luxe que ses prunelles défilent déjà sur toutes les robes présentes. Elle a des étoiles dans les yeux et qu’est-ce que ça sent bon chez Armani, elle y passerait bien toute sa vie. Elle se demande s’il existe quelque chose de mieux mais même la nourriture ne dépasse pas son envie d’être bien habillée. D’ailleurs, elle passera peut-être chez Hermès par après afin de compléter sa célèbre collection de foulards. Elle songe à acheter ses foulards en double, ne sait-on jamais que Miles ne lui en pique un autre. Elle est accueillie par une certaine Sophie qui ne tarde pas à lui envoyer des milliers de sourires plus faux les uns que les autres. C’est ça, grognasse souris-moi donc parce que tu sais que je vais dépenser une petite fortune dans ce magasin. Hypocrite. Elle la toise de bas en haut telle une vulgaire chose, inutile d’être aussi fière de travailler dans une boutique de luxe tu n’es qu’une simple employée. Tu n’es pas Giorgio alors Babi elle ne te porte aucune considération. D’ailleurs, l’italienne a décrété que cette misérable Sophie ferait office de porte vêtements. Autant qu’elle serve à quelque chose celle-là. «.J’ai votre robe mademoiselle Pelizza Da Volpedo, veuillez-me suivre, s’il vous plait.» Ce qu’elle a une voix aiguë et stridente cette Sophie et c’est quoi cette démarche de fausse bourgeoise ? Pourquoi diable les gens ne comprennent pas que chacun doit rester à sa place ? Dans son milieu social ? Elle trouve ça tellement pathétique, les personnes qui se donnent un genre. Elle hausse les épaules et dépasse la très chère Sophie dans sa course. De un, Babi elle sait parfaitement où se trouve le salon d’essayage. Et de deux, elle avait besoin d’une petite leçon sur « comment être une madame kiss kiss hello », prends exemple blondie. «.C’est cadeau.» Elle se retourne vers elle et affiche un sourire narquois, c’est cadeau, c’est gratuit tu es ma charité de la journée. Elle rejoint sa cabine – qui ressemble plus à un énorme dressing qu’autre chose – et contemple sans voix sa robe. «.Meravigliosa.» qu’elle se dit à elle-même. Ce qu’elle a bon gout cette Babi et cette robe a été créée sur mesure pour sa petite personne, juste pour elle. Elle prend soin de l’enfiler avec délicatesse priant pour ne pas la froisser. Elle en mourrait. Et là, c’est l’apogée de son illustre beauté. Elle n’a jamais été aussi belle que dans cette longue robe blanche cintrée dans un bustier et complètement bouffante dans le bas. Elle a presque l’allure d’une mariée, presque. Elle sort de sa cabine et tombe nez à nez avec son reflet, son sublime reflet. Elle n’a qu’une seule envie, celle de s’admirer durant des heures et des heures devant ce miroir géant. Mais aussi, de se complimenter elle-même durant tout ce temps. Dès qu’elle rentre, elle appelle Eden pour tout lui conter chaque détail de son nouveau précieux, même Caleb n’y échappera pas. Et Miles, demain en cours, non plus. Elle reste stoïque, concentrée dans sa contemplation durant quelques minutes avant que des cris d’hystériques ne viennent la perturber. «.Mais qu’est-ce que …… » Elle se rappelle alors avoir déjà entendu un tel brouhaha : hier soir à la télévision lors d’un reportage sur un célèbre boys band dont le nom fini par direction. Elle se retourne vers l’entrée du magasin et fusille du regard toutes les petites groupies, elle a envie de les tuer une à une. Elle scrute ensuite les environs à la recherche de la personne à la base d’un tel chaos. Seigneur. Il est là. Elle comprend maintenant pourquoi ces pucelles sont dans cet état. Elle aussi, elle crie … intérieurement. Garrett Fitzgerald se trouvait à peine à quelques mètres d’elle. Elle ne respire plus, elle n’a plus de connexion avec son cerveau, elle est déconnectée du monde. Mais en grande Babi qu’elle est, son visage reste de marbre. Elle sombre encore plus lorsqu’elle croise son regard, il l’a vue lui aussi. Elle se perd dans la profondeur de ses yeux, seigneur que quelqu’un vienne lui mettre une claque. Elle cligne des yeux, reprenant aussitôt ses esprits. Elle ne sait pas vraiment ce qu’elle doit faire, si elle doit lui parler, s’il se souvient d’elle, parce que elle, elle se souvient très bien de lui. Et évidemment, cette Sophie doit gâcher LEUR moment en arrivant telle une pouffiasse du bas peuple. Elle aussi, elle a envie de la tuer pour regarder Garrett de la sorte. «.Allez donc me chercher toutes les robes de la nouvelle collection. J’ai dit toutes, et plus vite que ça ! » Elle préfère intervenir avant que cette employée de bas gamme s’amuse à draguer ouvertement Garrett devant ses yeux. C’est ça, va donc faire la belle ailleurs … comme dans l’arrière de la boutique par exemple. «.Je crois qu’elles ont toutes envie de me tuer.» qu’elle constate à haute voix à l’adresse du British, lui faisant signe de regarder la grande baie vitrée. Elles lui envoient toutes des regards noirs et elle est certaine qu’elles sont en train de se plaindre sur le fait que ELLE, elle soit à côté de lui. Et oui, n’est pas Babi qui veut. «.Ou qu’elles aimeraient toutes être à ma place.» être en face de Garrett Fizgerald, ahhh même Babi elle aimerait bien être elle. «.Elles sont sûrement jalouses de ma robe.» qu’elle lance avec nonchalance, haussant même les épaules avant d’esquisser un léger sourire. C’est ça Babi, elles crèvent de la jalousie à cause de ta magnifique robe et non pas parce que tu te trouves en compagnie d’un certain Garrett. «.Au cas où elles décideraient de passer à l’acte, je m’appelle Babi Pelizza Da Volpedo et les premières personnes à prévenir en cas d’urgence sont mes parents.» Subtile moyen de lui donner son prénom sans pour autant avoir l’air intéressée. «.Au moins je mourrais en beauté !.» Et surtout, en bonne compagnie.
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Jazz Redington
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MessageSujet: Re: Sauf qu'on sait tous les deux que "OK" est un mot extrêmement provocateur. Il DEGOULINE de sensualité. Babi & Garrett Sauf qu'on sait tous les deux que "OK" est un mot extrêmement provocateur. Il DEGOULINE de sensualité. Babi & Garrett EmptyVen 22 Nov - 23:01


GARRETT SAM FITZGERALD & BABI PELIZZA DA VOLPEDO
Alors je suis retourné dans ma chambre et je me suis écroulé sur mon lit, en me disant que si les gens étaient de la pluie, j'étais de la bruine et elle, un ouragan. "  Il m'a toujours semblé ridicule qu'on puisse avoir envie de sortir avec quelqu'un sous prétexte qu'il était beau. Ce serait comme choisir ses céréales en fonction de la couleur et non du goût. "Looking for Alaska & Margo - John Green

    Sa petite sœur est une vraie plaie, une véritable infection à elle seule, capable d'anéantir tous ses beaux projets, ses envies en un claquement de doigts. Elle n'a rien de la superbe Olivia, la grande sœur chérie de Garrett, pour qui il donnerait tout. En ce moment précis, il préférerait nettement être le colocataire d'Olivia plutôt que de vivre la petite peste, celle qui fout un bordel monstre dans son appartement, tâchant son magnifique piano à queue, menaçant Hendrix, sa superbe guitare de l'envoyer par-dessus la fenêtre. Il doute fortement que Kenzie aurait balancé son instrument préféré mais dans le doute, Garrett a pris les mesures qui s'imposaient. Voilà qu'aujourd'hui elle s'amuse de le voir oublier son rendez-vous, s'éclate même à le torturer en lui rappelant par de petits cris venus pour réveiller sa gueule de bois terrifiante. Il a envie de lui rappeler qu'il a toujours ses livres en otage, mais après tout, le bras cassé de Kenzie compense largement tout ce qui s'est passé. Se moquant ouvertement du rendez vous qu'il oublie, Kenzie ne percute pas que Garrett est celui qui doit prendre soin d'elle pendant sa convalescence, et surtout, qu'il doit récupérer ses médicaments - entre autre ses anti douleurs - à la pharmacie. « Je serai toi Kenzie - grand bien me fasse de ne pas être comme toi - je me ferai aussi petite qu'une souris. Je te rappelle que les anti douleurs, c'est moi qui m'en charge. Alors si tu veux éviter un trop plein de souffrance, je te suggérai un peu plus de coopération. » Et il part en claquant la porte, au volant de sa voiture, sans se préoccuper du code de la route et autres conneries du genre. Comme d'habitude, une horde de fans l'attend lorsqu'il pose un pied hors de sa voiture. Des grosses, des moches, une ou deux dans le lot semblent être potable, ou du moins, assez pour relever le niveau des autres. Sans honte aucune, Garrett les renvoie une à une de la où elles viennent, sans penser à un seul instant à sa réputation, puisqu'il sait qu'il y aura toujours des groupies pour acheter ses albums et satisfaire ses besoins et ses pulsions charnelles. Pour le moment, ses pulsions ne se concentrent que sur une demoiselle, la vendeuse de la boutique Armani qui lui résiste depuis quelques semaines. C'est bien les défis, les challenges, il adore ça, et elle lui en offre un de taille, qui lui permet de ne pas perdre son jeu. Parce qu'il faut bien l'avouer, tout est trop facile depuis un certain temps, les filles croulent à ses pieds, sans qu'il ne prenne de plaisir à les draguer. Alors un peu de challenge, ça change la donne, ça l'amuse un peu plus. Finalement, la troupe de filles enragées finit par s'effacer, et lui laisse de la place pour qu'il pénètre enfin dans l'antre d'Armani. Réajustant sa veste en cuir, il relève la tête pour tomber face au regard le plus éblouissant qu'il lui ait été donné de voir dans sa vie. Ce regard qui l'a hanté depuis sa victoire en 2009, depuis qu'il est devenu superstar. Pourtant, il y en a eu des nanas durant cette période, des tonnes, et même Rory Woodward, la seule qui a eu un tant soit peu d'importance durant ces quatre années n'a pas réussi à lui faire oublier ce regard si enivrant. Comme un couillon, voilà comme il se retrouve. Il perdrait presque de sa superbe face à elle, cette fille dont il ne connait même pas le nom. Mais il est vite interrompu par Sophie qui débarque, attendant surement quelque chose de la part de Garrett, peut-être un bonjour pour commencer. Mais soyons honnête, Garrett n'en a plus rien à carrer de Sophie maintenant qu'il a la demoiselle sous les yeux et qui, avec un ton des plus autoritaires, renvoie Sophie lui chercher l'intégralité de leur robe, de quoi l'occuper le temps nécessaire à une bonne discussion. Sexy la petite brune avec ce ton, très sexy. C'est qu'elle lui plait de plus en plus. « On ne peut pas les blâmer en même temps, tu es celle qui est restée le plus longtemps face à moi sans que je te rejète purement et simplement. » Elle peut se sentir flatée, c'est une certitude, mais l'un dans l'autre, c'est presque lui qui se sent flâté qu'elle lui adresse la parole sans frôler la syncope. « Je suis quasiment sur que ce n'est pas de la robe dont elles sont jalouses ! Même si je dois bien l'admettre, la robe te va à ravir. Eblouissante, c'est le mot. » D'habitude si avare de compliment, Garrett ne tarit pourtant pas d'éloges envers la demoiselle, qui les mérite bien plus que n'importe qui. Et voilà qu'innocemment, la demoiselle se présente, et passe du statut d'inconnue enivrante à Babi l'éblouissante. Babi, italien comme nom. Mais bien plus, c'est le Pelizza Da Volpedo qui le tique. Famille illustre de Berkeley, elle règne en maître à l'Université et surtout auprès de la confrérie epsilon. Il ne les connait pas personnellement, seulement de réputation, et il doit bien l'admettre, c'est un encore plus gros challenge qui s'offre à lui, parce qu'approcher une PDV est loin d'être chose aisée, Garrett l'a bien compris. « Enchantée de te rencontrer Babi. Garrett Fitzgerald, pour te servir !» Mourir en beauté? Au moins, ils sont d'accord sur ce point là, aucun problème. La Sophie au loin, jette des regards dans leur direction, visiblement agacé de voir les deux jeunes gens parlaient avec un si grand sourire sur le visage. Il faut bien l'admettre, Garrett ne peut s'empêcher d'avoir le plus grand sourire possible, face à cette beauté sous ses yeux. « Et sinon, la beauté que tu es, n'a-t'elle pas quelqu'un dans sa vie pour l'accompagner chez Armani? C'est bien plus marrant à deux non? » Sous entendu, as-tu un copain, que je sache si ça va être une partie de plaisir facile ou une partie de plaisir facile. Sophie se ramène à nouveau, tenant fièrement en main quatre nouvelles robes, toutes aussi sublimes les unes que les autres. Quoi? Il n'y a pas que cela dans la nouvelle collection, impossible. « Toute la collection Sophie. S'il te plait » qu'il s'efforce de rajouter pour paraître poli alors qu'il est loin de l'autre. « Tant qu'à faire, apportes les accessoires qui conviennent à chacune des tenues. Merci. » En gros, lâches nous la grappe, et laisses nous seuls qu'on puisse parler. D'ailleurs, il se demande l'oméga s'il est temps pour lui de dévoiler à la demoiselle que son regard le hante depuis tant de temps. Mais il n'a pas envie de lui montrer toute l'importance qu'elle a pour lui, tout ce à quoi ce regard lui a fait penser, lui a permis d'imaginer. « On s'est déjà rencontrés non? Ton regard me dit quelque chose. » Ton regard m'a hanté ces quatre dernières années, la seule chose qui m'a permis d'imaginer une belle histoire, non il ne peut définitivement pas. Cucul, niais bonjour, voilà les sentiments aux antipodes des siens.
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