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first time first met (dominic)

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MessageSujet: first time first met (dominic) first time first met (dominic) EmptySam 31 Aoû - 19:40

first time first met
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.



On était un jeudi soir en août, la chaleur se faisait pesante. Juliet avait réussi à me convaincre de l’accompagner au club, et au final ce n’était pas si mal que ça. Je fis quelques nouvelles connaissances, les gens étaient gentils et étonnamment très peu étaient bourrés. Il commençait à se faire tard, ma montre disant qu’il était deux heure du matin passé, et m’excusa auprès des personnes que je connaissais. Pour certains la soirée ne faisait que commencer, mais j’étais encore une novice dans ce genre de régimes et deux heures était tard pour mon petit esprit du Texas. Je passai par les toilettes histoire de me mettre en ordre et pris ma veste avant de sortir de la boîte. Une petite brise soufflait dans mes cheveux, et malgré la température j’eus la chair de poule.

Je me mis à marcher dans les petites rues, réfléchissant à la future rentrée. Ma troisième année ici… Qui aurait cru que j’aurai intégré la confrérie des Iota si facilement, et ne parlons pas de l’université. J’avais demandé à ma mère de faire quelques recherches : la dernière personne venant de Fulshear qui a été accepté à Berkeley était une vieille femme décédée il y a une dizaine d’année, acceptée en mille neuf cent trente-six. J’étais vraiment mais vraiment chanceuse d’être ici depuis ces deux ans.

Bizarrement, la chair de poule ne quittait pas mes bras. Je continuai à marcher par-ci par-là, en cherchant le chemin le plus rapide pour rentrer au campus. J’entendis des pas derrière moi, sans pour autant y prêter attention : peut-être c’était juste quelqu’un qui comme moi rentrait plus « tôt ». Mais très vite les pas se firent proches et paranoïaque que j’étais je m’imaginais les pires scénarios. Un psychopathe sortit de Saw qui allait me couper en morceaux ; un jeune bourré qui voulait faire de moi son prochain morceau ; une bande d’imbéciles universitaires qui voulaient s’amuser à plusieurs. Dans les films les filles avaient toujours un spray piquant, mais on était dans la réalité et je n’avais aucune idée d’où je pouvais acheter cette merde. Tous les magasins étaient bien sur fermés à cette heure-ci et les rues étaient désertes. J’entendis enfin la personne derrière moi parler. « Elle est bonne hein Peter ? » le dénommé Peter ne fit qu’un « Mhm. »

J’étais maintenant complétement paniquée. Sans vraiment réfléchir je pris la première rue à gauche. Très très malin. C’était un cul en sac. Le souffle court je voulais retourner en arrière mais les deux hommes étaient déjà dans l’impasse. Je sortis mon portable, tremblante, essayant de mon mieux à me concentrer pour appeler 911. « Je pense pas que t’auras besoin de ça. » dit un des hommes en s’approchant pour m’arracher le téléphone des mains. Ce dernier tomba par terre et le gars marcha dessus pour l’écraser. Je reculais mais me prit violemment le bras. « Lâche-moi ! » Il hocha la tête en signe de non, et fut rejoint par l’autre. Ils étaient dans la trentaine peut-être un peu moins, grands, robustes. Il n’y avait aucune chance que je m’en sorte intacte.

L’un passa sa main dans mon dos tandis que l’autre me caressait la joue. « Me touchez pas merde ! » criai-je en essayant de me libérer de sa poignée. Le premier s’énerva et me gifla si fortement que si il ne me tenait pas le bras je serai surement tombée. « Tu vas te tenir tranquille, d’accord ? » Je fermais les yeux, empêchant mes larmes de couler. « D’accord ?! » reprit-il en me serrant encore plus fort le bras. « Réponds-moi j’te dis ! » cria-t-il à son tour. Je ne fis que hocher la tête légèrement. Heureusement cette réponse lui suffit, et il m’embrassa. Je me mis à pleurer de plus belle et on me tira les cheveux violemment. C’était la pire chose qui pouvait arriver à une fille, et voilà que j’étais en train de la vivre…




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MessageSujet: Re: first time first met (dominic) first time first met (dominic) EmptyMar 10 Sep - 7:49

La journée avait été longue. Habituellement, les jeudis soir, je préférais passer du temps dans mes bouquins. S’il y avait une chose que j’aimais faire, c’était lire. Cela me donnait énormément d’inspiration. L’écriture étant mon premier amour, cela devait faire une éternité que je n’avais écris quoi que ce soit. Je passais la plupart de mes journées, à la maison. Je me levai tôt le matin, je courais et puis par la suite, j’enchainais avec mon petit déjeuner. Mon téléphone ne cessait de sonner. J’avais quelques rendez-vous ici et là. Aujourd’hui par contre, j’étais libre. Rien de prévu. Me connaissant, je n’allais pas pouvoir tenir vingt-quatre heures sans même mettre le nez dehors. C’était plus fort que moi. Cette habitude de sortir je ne l’avais perdu. J’aimais me balader tard le soir. Tout pour retrouver cet inspiration que je cherche depuis fort longtemps. Il m’arrivait de faire un petit jogging tard le soir, histoire de garder la forme. Je profitais du beau temps que m’offrait la Californie. C’était l’un des avantages qu’avait San Francisco par rapport à New York. Je mentirais si je disais que New York ne me manquait pas. La ville des grandes opportunités. Parfois, je me demande si j’avais pris la bonne décision, en quittant New York pour rejoindre San Francisco. Malgré mes nombreux questionnements, je n’avais aucun regret. J’ai rencontré l’amour et mis au monde une jolie petite fille, dans cette ville. Les plus beaux moments de ma vie furent dans cette ville. Je ne saurais dire la même chose de New York. Les dix derniers mois me servent de témoignage. J’ai grandi dans les quartiers chauds de New York. Ce qui ne me dérangeais en rien. C’était plutôt un choix qu’autre chose. Étant jeune, je me livrais déjà, à des activités violentes. Avec l’âge, les folies s’accumulaient. J’intégrai un club de bagarres de rue organisées. L’argent, je n’en avais pas besoin. En fait, pour ceux qui ne me connaissait pas, je suis un milliardaire. J’ai hérité de la fortune de mon père il y a de cela, un an. Je n’avais pas peur du danger, au contraire j’adorais me retrouver dans ce genre de situations. Je terminai donc le premier chapitre, de ce nouveau roman que je venais d’entamer. L’horloge venait possiblement de dépasser minuit. Je n’en avais aucune idée. Le soleil laissa place à la lune. Il y avait une légère brise, à l’extérieur. J’enfilai un short noir et un pull-over à capuche Adidas, noir et rouge. Les écouteurs aux oreilles, bouteille d’eau en main et en route. Je ne vivais pas loin du centre-ville ni loin du campus, d’ailleurs. J’aurais bien pu rester chez moi, la vue était magnifique. Qui sait, peut-être que je ne rentrerais pas seule ce soir.

Je courais à une vitesse plutôt moyenne. Je me laissais bercer par du Eminem, qui s’avérait être mon artiste préféré. Mon Ipod était rempli de ses chansons. Je pouvais apercevoir l’université de Berkeley, de là où j’étais. Les rues étaient désertes. Ce qui était normal pour un jeudi soir. Je m’arrêtai un moment le temps d’une gorgée d’eau fraiche. Je retirai de mes oreilles, mes écouteurs. Je m’apprêtait à poursuivre mon chemin, lorsque j’entendis, à quelques pas de moi, une voix féminine dire : « Lâche-moi ! » Cela ne dégageait rien de positif. Je m’approchai à petit pas de la scène. Mon instinct avait vu juste. Je serrai déjà les poings, prêt à affronter les deux hommes. Ils avaient coincé la pauvre fille dans un cul de sac. Et il n’allait guère de main morte. Aussitôt que l’un deux posa la main sur la fille, je grillai ma couverture. « Deux hommes contre une fille, ça ne fait pas un peu lâche ça? » Je me prononçai, interrompant les actions des deux hommes contre la brunette. Les deux messieurs se retournèrent, visiblement en colère d’avoir été dérangé. Ils s’approchèrent de moi, dans le but de m’arranger le portrait. Malheureusement pour ces derniers, ils avaient affaire à un expert en matière de bagarre. La jeune fille avait l’air amoché. J’ignorais si elle pouvait même marcher. Émotionnellement parlant, elle devait être ébranlé. Je lui fis signe de se barrer, le temps de distraire les deux hommes. L’un deux s’en pris très vite à moi. Il me balança un coup de poing, que j’esquivai sans trop de difficulté. Je me retournai puis, lui colla une bonne droite puis, une gauche. Son camarade n’était pas intéressé à m’affronter. Je pouvais sentir qu’il avait peur de moi. J’étais physiquement imposant. Un grand merci à ces longues heures d’entrainement, passé au gym. Je m’approchai de ce dernier qui reculait. Il se retrouvait maintenant dos au mur. Aucunes issues de secours. « La prochaine que je te vois t’en prendre à une femme, je te coupe ta petite queue. Aujourd’hui, je vais me contenter de te les castrer. » Je lui flanquai un violent coup de genou dans les couilles avant de le voir s’effondrer. Les deux hommes étaient par terre et la jeune femme avait quitté la scène. Du moins, c’était ce que je croyais. Je me retournai, je l’aperçu un peu plus loin. Elle avait sans doute alerté les flics. J’étais connu de ses gens et je ne tenais pas à rester plus longtemps. Je m’approchai de cette dernière. Elle semblait effrayer, ce qui était normal. « N’ai pas peur! Tu vas bien? Une question stupide à poser, je sais. » Je ne voulais pas faire de mouvements brusque, de peur de l’effrayer davantage. Je restai à distance respectable de cette dernière. Appelle moi Dominic. Je crois que l’on devrait laisser la police faire le reste. » dis-je en entendant le bruit des sirènes se rapprocher.
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MessageSujet: Re: first time first met (dominic) first time first met (dominic) EmptyVen 11 Oct - 21:25

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