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Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna

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MessageSujet: Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna EmptySam 29 Juin - 16:40

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« Keep your friends close, and your enemies closer  »
Il était passé 22 heures et contre toutes attentes, la soirée battait son plein. En effet, cela faisait environ deux heures qu’elle avait commencée, et l’ambiance était à son comble. Leyna s’était réjouit du bal, mais sans plus, étant donné qu’elle n’avait pas de cavalier jusqu’à la veille. Sa malchance lui avait en quelque sorte permis de s’en trouver un ; la demoiselle avait renversé un thé glacé aux fruits de la passion sur un charmant jeune homme en train d’étudier, dans le parc de l’université. D’abord hors de lui, l’étudiant avait finalement rebroussé chemin pour faire une proposition à la jolie sigma. Le ‘deal’ était simple comme bonjour ; pour se faire pardonner, nul besoin de s’occuper de laver ses habits, non, le jeune homme voulait tout simplement avoir l’honneur d’emmener la brunette au bal. En tant que cavalière, évidemment. Visiblement nouveau sur le campus, cela permettait à l’inconnu de s’y rendre en connaissant quelqu’un, et surtout, cela permettrait à Leyna de rendre jaloux William, l’homme qui lui cause bien du fil à retordre depuis environ trois mois. La belle avait donc accepté sans trop se faire prier. Enfin, façon de parler, puisqu’elle avait quand même essayé de faire en sorte que le jeune homme en question la supplie un petit peu. Elle aimait se sentir désirée, allez savoir pourquoi. En tant que présidente des sigmas, elle n’était pas la fille la plus populaire de l’université mais elle était tout de même très sociable. Elle aurait aisément pu faire partie des omégas, voire même des gammas par le passé. Leyna a côtoyé la drogue il y a quelques années, et elle y a perdu beaucoup. Elle y a perdu Ryan, l’homme de sa vie. Leur quotidien n’était pas toujours tout rose, mais elle l’aimait et cela était réciproque. On dit que vivre d’amour et d’eau fraîche devrait suffire… et bien non. Ryan était bien trop accro à la drogue pour cela, et cette dernière aura finalement eu raison de lui. Décédé d’une overdose devant Leyna et son amie de l’époque, Ebony Asher-Grey, le drame aura mis fin à la petite aventure de droguée que vivait l’australienne depuis presque une année. Heureusement, dans un sens, car cette perte lui aura tout de même permis de reprendre le contrôle de sa vie. Aujourd’hui, elle vient de terminer ses trois premières années d’art en spécialisation photographie, et avec mention excellente, s’il vous plaît. D’ici un mois, elle aura la chance de pouvoir ouvrir une galerie, rien qu’à elle. Enfin, disons plutôt qu’elle sera à elle, mais que la demoiselle s’est arrangée pour avoir une artiste déjà connue avec elle, histoire d’attirer un maximum de gens. Ouvrir une galerie, c’est bien joli, mais s’il n’y a personne pour venir la voir, on n’ira pas bien loin, hélas. Jim, le cavalier de Leyna, était parti il y a une dizaine de minutes pour aller chercher à boire et n’était toujours pas revenu ; il avait sans doute dû croiser une charmante demoiselle sur son chemin. Qu’il en soit ainsi, la sigma n’avait de toute façon qu’une seule envie : voir William. Tout était tellement compliqué entre eux, ses espoirs se réduisaient à néant jour après jour. Malgré un sixième sens très aiguisé, Leyna avait pourtant de la peine à cerner le beau british ayant participé à l’échange quelques mois plus tôt. Rien n’y faisait, elle ne parvenait pas à percer ses intentions à jour. Finalement, Jim revint vers Leyna, les mains vides et l’air désolé. « Excuse-moi Leyna, j’étais… Euh… avec quelqu’un. Dis, ça te dérange si on se retrouve dans un petit moment ? Je sais que je t’ai proposé de venir avec moi, mais de toute façon, j’ai comme l’impression que tu as la tête ailleurs » lâcha Jim d’une seule traite, l’air embarrassé. « Tu sais, tu devrais peut-être arrêter d’essayer de te bourrer la gueule avec ce super jus de pomme made in Berkeley, et aller lui parler à la place ! » ironisa gentiment le cavalier de Leyna, tout en indiquant William d’un mouvement de tête. Il n’était pas bête celui-là ; un seul coup d’œil lui avait permis de comprendre ce qui se tramait dans la tête de miss Jackson-Stones. « Allez, vas-y, amuse-toi » lui répondit-elle, bien décidée à agir. C’était désormais clair comme de l’eau de roche dans sa tête ; elle allait prendre son courage à deux mains et aller discuter avec William. Difficile de le prendre, ce fameux courage, quand on ne peut même pas avoir droit à une maudite coupe de champagne. Jim avait raison, ce n’est pas boire des litres de jus de fruit qui allait rendre la demoiselle en état d’ébriété. Ce soir, elle était seule en tête à tête avec elle-même. Tandis qu’elle termina d’une seule traite son jus de pomme, Leyna le posa sur la table haute qui se trouvait à côté d’elle, et respira un bon coup. Alors qu’elle s’apprêtait à se lancer dans la direction du jeune homme, elle sentit une main tapoter sur son épaule. Elle se retourna, curieuse, et vit une jeune femme qu’elle ne connaissait pas. Elle devait avoir la vingtaine et ses traits du visage lui rappelaient vaguement quelque chose. Pourtant, impossible de savoir où elle aurait pu l’avoir croisée. Peut-être qu’elle lui rappelait tout simplement quelqu’un, mais allez savoir qui ! Leyna resta sans voix quelques secondes, espérant que la jeune femme qui se trouvait en face d’elle aller s’expliquer, et surtout, qu’elle allait mettre fin à ce silence gênant et inexpliqué.

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MessageSujet: Re: Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna EmptyMer 10 Juil - 18:51

Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna 180134gifjulietallenwood

« Keep your friends close, and your enemies closer  »
Trois heures et trente-trois minutes. Voilà temps que j’avais fait pour me préparer. Mais je suis avant tout une fille donc ma situation est quand même compréhensible. Si vous trouverez une jolie fille sur le campus qui a fait moins d’une heure pour se préparer pour ce foutu bal, je vous récompenserais avec quelque chose de bien. Je suis sérieuse. Nous les filles, que nous soyons des Alphas, des Epsilons, des Betas, des Gammas, des Iotas, des Omégas, des Sigmas, des Workers ou même encore des Lambdas, nous sommes avant tout des jeunes filles et nous avons besoin de notre petit, enfin plus grand, temps pour nous préparer, surtout à un bal aussi important comme celui-ci. Le bal c’est le bal voyons. Toutes les filles rêvent d’un bal depuis leur jeune âge. Toutes les filles rêvent d’un bal depuis qu’elles s’habillent en petite princesse Disney. Nous pouvons être blondes, brunes, rousses, petites ou droguées, nous avons toutes une fois ou l’autre rêvé d’un bal, que ce soit seulement pour une seconde, nous l’avons toutes déjà souhaité. Suite à trois heures et trente-trois minutes d’essayages, de maquillage, de séances coiffure, j’étais enfin prête. Comme robe, j’avais commandé il y a un petit mois sur les sites internet que je fréquente, une longue robe rose bébé avec des paillettes. Elle était la même que dans mes rêves d'enfance et me faisait rappeler ces beaux moments en compagnie de ma maman, qui était en ce moment un peu loin de moi. Lorsqu'elle je l'ai vue défilée sous mes yeux, sur mon écran d'ordinateur, mes deux yeux châtains ont commencé à briller. J'étais obligée de l'acheter malgré son prix plutôt élevé. De toute façon, le prix n'était pas le plus important, je m'étais également permise de payer la marque pour ne plus les fabriquer et détruire toutes les autres pour que je sois la seule qui en avait une. Ce n'était tout de même pas n'importe quelle robe. Pour ce qui est de ma chevelure, j'ai tout simplement fait des boucles ouvertes et l'ait laissée posée sur mes deux épaules. J'ai choisi de ne pas mettre beaucoup d'accessoires pour éviter d'effacer les détails de la robe et j'ai également opté par un maquillage soft et un peu de mascara, pour la même raison. La sonnerie retentit, je descends ouvrir la porte et découvre mon cavalier, aussi meilleur ami, Damian. Je commence à rire lorsque je le découvre dans un costard noir, avec une cravate de la même couleur et une chemise blanche. Disons, que ce n'était pas ce qu'il utilisait habituellement, mais c'est vrai que cela lui allait plutôt bien. « Désolé, je n’ai pas pu m’empêcher de rire. » Je décide de poursuivre avec un compliment, histoire que cela ne devienne pas trop gênant comme situation. « Non, mais c’est que tu es très élégant. » J’attrape mon téléphone que je glisse aussitôt dans mon soutien-gorge pour ensuite entrer dans la limousine qui nous attendait. L'endroit où se déroulait le bal n'était en vérité pas très loin d'ici, mais aussi populaire que j'étais en aussi peu de temps, il fallait les éblouir avec une entrée spectaculaire. Pour moi, une limousine était synonyme d'entrée spectaculaire, voilà le pourquoi d'une limousine. Malgré toutes ces belles choses et cette belle soirée je ne perdais pas de vue mon objectif principal. Le destin a des voies inattendues, parfois, ou des hobbys étranges, comme croiser le chemin de deux personnes choisies au hasard. Plusieurs fois. À des années et des milliers de kilomètres de distance... Le sort est taquin. Ou l'univers a un sens de l'humour unique. Ainsi, pour ce soir, le destin avait prévu une comédie et avait rassemblé dans une même salle, deux jeunes brunes. Peut-être que ce n'était pas le hasard, non, mais de toute façon, c'est plus poétique comme ça. Ce soir, avec un peu de chance le hasard allait me donner un coup de pouce et m'aider à trouver ma demi-soeur. Je pense que tout le campus serait présent alors pourquoi pas elle ? Je n'avais aucune idée de comment elle était, j'avais seulement ma petite idée minimale dans ma tête. Tout le long du trajet, je m'imaginais comment elle pourrait bien être. Grande. Peut-être blonde aux yeux foncés, comme notre père. Maigre et belle comme maman. J'espérais tout de même qu'elle sache qui j'étais pour ainsi déjà commencer à lui pourrir la vie en sachant qu'elle ne m'avait point cherché. La voiture s'arrêta et je me dirige vers la salle en compagnie de mon cavalier. Déjà à mon entrée, j'éblouissais tout le monde et recevait des compliments de tous les côtés. Au départ, la soirée ne s'annonçait pas des plus amusantes, je restais affalée sur la piste de danse en cherchant du regard qui cela pourrait bien être. Je demande également à Damian d'essayer de draguer des filles pour ensuite leur demander, leur prénom respectif et ainsi voir si l'une d'entre elles répliqua le prénom de Leyna. Mais non. Aucune. Cela faisait maintenant environ deux heures que le bal avait commencé et que je fais l'effort de rechercher, plus ou moins discrètement ma demi-soeur, Leyna. J'étais plutôt désespérée et je suis convaincu que le destin avait voulu me donner un petit coup de pouce et c'est ainsi que j'ai entendu le prénom Leyna.« Excuse-moi Leyna, j’étais… » Je ne pu entendre la suite, étant un peu trop loin je décide de m’approcher discrètement. Malgré mes espoirs je ne pu être sûre de ce que j’avais entendu puisque le jeune homme, sûrement son cavalier, ne l’avait plus appelée de son prénom. Je me trouvais alors à quelques mètres derrière la soit disant Leyna ne pouvant apercevoir que sa chevelure brune. « Allez, vas-y, amuse-toi » Lorsqu’elle lui répondit, son cavalier tourna le dos aussitôt pour se diriger dieu sait où. C’était le moment où jamais. Elle commença à marcher mais je lui tapote l’épaule, ne voulant pas la laisser s’échapper. Leyna se tourna vers moi et je me retrouvais alors face à face avec elle. « Leyna, c’est ça ? » En espérant que sa réponse soit positive, je décide de me présenter. « Je m’appelle Juliet Allenwood. » Je restais là, attendant sa réponse. Je me demandais comment elle allait bien pouvoir réagir en entendant mon prénom. La question est me connait-elle ? Est-elle au courant que son père menait une double vie et que je suis le fruit de son autre mariage ? Je la fixe quelques instants. Elle avait des yeux bruns et ténébreux comme celui de notre père. Ses traits de visage étaient fortement ressemblant à ceux de papa, c'était impressionnant à qu'elle point elle pouvait lui ressembler. Sa chevelure était brune et pas blonde. Elle n'était pas comme je m'imaginais. Son sourire illuminait son visage et me fit presque sourire, si nous n'étions pas dans LA situation. Un sourire m'aurait peut-être échappé, mais je ne pu m'empêcher de penser à papa, il me dégoûtait au plus haut point, si je venais à le croiser en ces jours, je serais capable de lui foutre un point dans la gueule et de le jeter par terre, histoire qu'il ressente la peine que j'ai ressentie lorsque j'ai appris qu'il menait une double vie, alors que maman était plutôt triste à la maison et qu'il me manquait énormément.

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MessageSujet: Re: Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna EmptySam 31 Aoû - 17:55

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« Keep your friends close, and your enemies closer  »
Ah, la famille. Leyna avait toujours rêvé dans avoir une vraie, une soudée, une dont on ne peut pas se passer et qui déborde d’amour. Entre sa mère avocate et son père médecin, difficile de passer du temps avec ses parents, puisqu’ils passent plus de temps à aider les autres qu’à se préoccuper de leurs propres enfants. En l’occurrence, comme elle était fille unique, elle ne comprenait pas comment ses géniteurs pouvaient être si désintéressés d’elle. On était loin, très loin de l’image de la fille unique pourrie gâtée. Alors certes, elle pouvait avoir tout ce qu’elle désirait – dans la limite du possible – mais la seule chose qu’elle n’aurait jamais était finalement la seule dont elle avait vraiment besoin : l’amour de ses parents. Heureusement, elle avait la chance d’avoir des grands-parents hors pair, sur qui elle pouvait compter et qui lui vouaient un culte. Leurs moyens financiers étaient bien inférieurs à ceux des parents de Leyna, et pourtant, elle s’en fichait : la dernière barbie à la mode ou le dernier iphone en vogue ne l’intéressaient pas. « Dis grand-maman, tu penses que papa et maman ne m’aiment pas parce que j’ai été méchante ? » avait-elle osé demander lorsqu’elle n’était âgée que de 5 ans et demi. A cet âge là, on ne comprend pas le mépris, l’ignorance et la bêtise de certains adultes. On ne comprends encore moins pourquoi nos parents ne nous accordent aucune importance. « Mais non ma puce, tes parents sont juste trop occupés avec leur travail » avait-elle répondu à la petite fille de 5 ans et demi. Devant son air peu convaincu, elle ajouta : « Tu sais, ton papa sauve la vie des gens et ta maman, et bien, elle fait en sorte que les méchants finissent en prison ». Mouais. A cet âge là, on a beau être fier du métier de nos parents, on préférerait tout de même être l’objet de leur attention. On aimerait qu’ils nous vouent un amour inconditionnel. Ce ne sera jamais le cas pour la jeune australienne.

Drôle de situation. Leyna avait beau se creuser gentiment le cerveau, elle n'avait définitivement aucune idée d'où cette fille pouvait bien venir. Après tout, peut-être qu'elle ne l'avait jamais rencontrée et que ce n'était que le fruit de l'imagination de la sigma. La jeune inconnue se présenta sans attendre ; on aurait juré qu’elle savait très bien qui était son interlocutrice. Etrange ; en même temps, Leyna a bel et bien l’art de se retrouver dans des situations toutes plus bizarres les unes que les autres. Elle resta sans voix, se demander bien à qui elle avait à faire. « Leyna » commença l’australienne avec son accent particulier. Une chose était sûre, cette Juliet Allenwood n’était pas américaine, et encore moins australienne. Avec un tel accent, elle nous venait tout droit de l’Europe, et plus précisément de l’angleterre. Tiens, elle devait certainement faire partie de l’échange ; aucune autre explication plausible ne pouvait être trouvée à cet instant. « Leyna Jackson-Stones, présidente des sigmas » repris-t-elle enfin, bien décidée à savoir ce que cette brunette lui voulait. Juliet semblait être une fille très sûre d’elle, ou du moins, elle avait l’air de savoir ce qu’elle faisait et devait certainement obtenir tout ce qu’elle désirait. Leyna ne savait pas vraiment quoi dire d’autres, étant donné qu’elle ne connaissait pas la nature réelle de cette conversation ; de plus, les silences prolongés la gênaient en général. Et puis, n’oublions pas que cette soirée du bal se voulait sans alcool, merci monsieur le doyen ! Jus de pomme et jus de carotte, bonjour. Adepte du champagne, Leyna comptait bel et bien en boire plus tard, en cachette avec June, sa meilleure amie. « Tu viens d’Angleterre, c’est bien ça ? » dit finalement la jolie sigma afin de briser le silence. Captain obvious, merci ; il était évident qu’avec ce charmant accent, elle n’était pas chinoise.


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MessageSujet: Re: Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna EmptySam 31 Aoû - 18:35

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« Keep your friends close, and your enemies closer  »
La conversation reprend vite son cours. « Je m’appelle Juliet Allenwood. »  Julia. Ma mère. La personne qui me manquait le plus. Sa douceur me manquait. Ses yeux noisette me manquaient. Son grand sourire qui ne pouvait s’empêcher de faire le mien me manquait. Comme Jean Gastaldi l’a une fois dit « Une maman formidable donne toujours une grand-mère exceptionnelle. » Ce n’est pas que je l’ai douté une seule fois, mais au cas où j’ai un enfant un jour, je ne doute pas que maman sera parfaite dans le rôle de grand-maman. Avec son doux et attentionnée, j’ai n’ai jamais nullement douté de ses capacités malgré tout ce que nous avions vécu. Notamment avec papa. J’aurais d’ailleurs aimé pourvoir dire la même chose de lui. J’aurais aimé pouvoir dire qu’il me manque et que j’ai envie de le voir. Peut-être que le « vieux » papa me manque, celui que j’ai connu en tout premier, pas celui qui faisait soit disant des voyages d’affaires, pas celui là, pas celui qui trompait maman, pas le menteur, non. Ce nullard qui avait vécu une double vie, toujours soit disant en voyage alors que maman se battait corps et âme afin que j’aie la vie parfaite d’une petite princesse. Je pense ne jamais pouvoir lui pardonner. Une larme n’a pas pu s’empêcher de s’échapper alors que je pensais à la pourriture que mon propre père était. Je respire et reprends mes esprits avant que la demi-sœur se rende compte que je pleurais. « Leyna Jackson-Stones, présidente des sigmas. » C’était tout papa cette réponse, est-ce que je lui avais demandé son poste à Berkeley ? Non, mais papa aurait donné exactement la même réponse. Présidente dis donc papa doit en être fière, pensais-je en colère, mais tout en souriant. Vu sa réponse confiante, je ne pouvais m’empêcher de constater quelque chose. Elle n’avait pas vraiment réagis en entendant mon prénom, la question que je me posais retrouvait enfin sa réponse. Elle ne me connaissait point, elle ignorait sûrement que notre père menait une double vie et que j’étais le fruit de son mariage avec maman. Drôle de situation. Elle ne me connaissait donc pas et vu ses expressions ressemblantes à celles de papa elle était intriguée par moi, cette brune qui avait apparue de nulle part. « Enchantée. »  disais-je en essayant de sourire. Son visage était tellement ressemblant à celui de papa. Mon dieu. Je ne pouvais m’empêcher de la regarder et de penser à lui. J’espérais qu’elle dise quelque chose, mais elle était plutôt occuper à m’analyser je pense. Je regard un peu autour de nous, tout le monde était plongé dans son petit monde. Puis, elle se décida enfin. « Tu viens d’Angleterre, c’est bien ça ? » Mon accent ne pouvait tromper personne, mais le sien non plus. Je le savais déjà, qu’elle était australienne, mais en tout cas, si je ne l’aurais pas su vu les circonstances, je l’aurais deviné. Son accent n’était point masqué, dès son premier mot, on remarquerait son fort accent australien. « Oui, en effet. » répondais-je simplement. Je poursuivis ensuite : « Tu viens d’Australie, impossible de se tromper avec ce charmant accent. » Un rire m’échappa, à ma plus grande surprise cette fille était vraiment agréable, je me sentais étrangement en sécurité avec elle. Sûrement comment je me sentais avec papa, avant de découvrir le petit hic qui venait tout chambouler. J’étais gênée. Cette fille m’avait surpris. Elle n’était pas du tout celle que j’espérais. Elle n’était pas arrogante. Elle était douce et agréable. Je ne savais pas quoi faire. J’étais perdue. Je pensais que le mieux serait de lui révéler la vérité, mais je ne savais pas grand chose d’elle, comment réagirait-elle en apprenant cette nouvelle ? Peut-être elle crierait et commencerait à courir dans tout les sens. Ou peut-être elle deviendrait folle. Peut-être elle me claquerait. Peut-être elle me donnerait un coup de pied. Ou un coup de babouche. Ou un coup de louboutins. Ou peut-être elle m’insulterait. Ou peut-être elle… ok j’arrête. Je respire un coup. Je ne savais toujours pas. J’ignorais totalement mes actes futurs. J’ignorais totalement quoi faire. Devrais-je lui dire que je suis sa sœur ? Ou devrais-je simplement voir comment la suite de la conversation se passerait ? La deuxième option me semblait correcte. Mais je comptais bien lui révéler que je suis sa sœur à la prochaine occasion que j’aurais de lui parler. Je n’avais plus qu’à espérer une bonne réaction de sa part.

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MessageSujet: Re: Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna EmptyLun 2 Sep - 11:34

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« Keep your friends close, and your enemies closer  »
Nostalgique et pensive quand à ses envies de famille soudée, Leyna en perdit presque le fil de la conversation particulièrement qu’elle était en train d’avoir avec une inconnue. La demoiselle qui se trouvait en face d’elle avait beau lui rappeler vaguement quelqu’un, lorsqu’elle se présenta à son tour, son nom de dit absolument rien à la sigma. « Je ne saurais pas qui dire, mais tu me rappelles étrangement quelqu’un… mais ton nom ne me dit rien, alors ça doit être mon imagination qui me joue des tours » avoua Leyna sur un ton sympathique, tout en rigolant. Elle avait envie de détendre l’atmosphère et était toujours prête à faire de nouvelles rencontres. Cette Juliet avait les yeux qui brillaient, on aurait pu croire qu’elle pleurait, ou du moins, qu’elle était triste. La belle australienne décida de faire impasse sur cette remarque, ne connaissant pas la jeune femme. Elle n’allait tout de même pas faire une de ses boulettes légendaires et la faire fuir. Elle était bien décidée à savoir ce qu’elle lui voulait vraiment. Hélas, de nos jours, les gens viennent rarement vous parler juste pour avoir un débat sur la météo de la veille. « Enchantée également » répondit-elle à Juliet. Lorsque l’anglaise était venue aborder Leyna, cette dernière venait d’aller se chercher à boire et se trouver accoudée à une table haute dépourvue de chaise. Du haut de son 1m56, Leyna fut étonnée de voir que l’inconnue, bien que plus grande, n’était pas non plus une grande perche. « Tu veux boire quelque chose ? » proposa-t-elle à la jeune omicron. « Bon, il faudra te contenter d’un jus de pomme ou d’un coca, parce qu’ici, pas d’alcool… » déplora-t-elle ensuite. Qu’est-ce qu’elle n’aurait pas fait pour pouvoir siroter une petite coupe de champagne. Elle passa sa main dans ses cheveux et gratta discrètement l’œil. Elle avait un petite quelque chose qui la démangeait depuis quelques heures mais impossible de savoir quoi. Avec un peu de chance, son œil n’allait pas gonfler ou devenir tout rouge ce soir là. Hélas, avec la poisse légendaire de la demoiselle, ce n’était pas improbable. La question des accents vint sur le tapis. « Oui effectivement, je viens de Sydney. Et toi ? Londres ? » demanda-t-elle à son interlocutrice, réellement intéressée d’en savoir plus sur elle. Juliet semblait être une fille sympathique, posée et intelligente mais paraissait un peu sournoise. On aurait dit qu’elle cachait quelque chose et qu’elle ne laisserait rien venir en travers de son chemin. Encore une fois, Leyna se faisait sûrement des idées toute seule. « J’aimerais tellement y aller, à Londres. Enfin, en Angleterre quoi ! » ajouta-t-elle pleine d’enthousiasme. « J’adore voyage, c’est vraiment une passion… » dit-elle encore, avant de se plaquer la main sur la bouche, comme si elle venait de faire une bêtise. « Excuse-moi… je suis assez bavarde dans mon genre, tu l’auras remarqué sans doute » continua la brunette à l’accent australien. Elle se sentait tout d’un coup gênée ; elle ne savait pas ce que Juliet lui voulait, mais elle n’avait pas du tout envie de l’ennuyer ou de la retenir contre son grès. « Loin de moi l’envie de te gaver avec mes histoires… ne te sens pas obligée de me tenir compagnie si tu as des choses plus intéressantes à faire » rigola-t-elle. Sa phrase de voulait gentille et non pas agressive du style ‘tu me soûle, fous moi la paix’. « Ravie d’avoir fait ta connaissance en tout cas, et peut-être qu’un jour, j’arriverai à me rappeler à qui tu me fais penser ! » dit Leyna en s’interrogeant. Elle ne voulait pas mettre fin la conversation, loin de là, elle ne voulait juste pas que cette Juliet Allenwood ait le sentiment d’être contrainte de rester. Elle devait certainement avec ses propres amis et connaissances avec qui elle aurait aimé passer la soirée. Leyna remarqua quelque chose de bizarre dans le comportement soudain de Juliet ; comme si elle semblait perturbée qu’elle ne puisse être reconnue, démasquée par l’australienne. C’était dingue, on est pas dans un film, c’est la vie réelle. Ce n’est pas comme si c’était possible que cette fille ait de mauvaises intentions ou de terribles secrets à cacher. Peut-être qu’un changement de sujet serait le plus approprié. « Je vais aller te chercher à boire, qu’est-ce que tu veux alors ? » demanda-t-elle à Juliet, avant de se diriger vers le bar.

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MessageSujet: Re: Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna EmptyLun 2 Sep - 17:52

Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna 180134gifjulietallenwood

« Keep your friends close, and your enemies closer  »
Je regardais son sourire, le fixais. Encore une fois, étonnée que le courant passe si bien, puis encore une fois, je ne pus m’empêcher de me sentir en sécurité à ses côtés. Peut-être qu’après tout elle ne devrait point payer les erreurs de notre père ? Peut-être qu’après tout, elle n’est pas du tout comme lui et peut-être qu’en fait elle n’est pas au courant. J’étais prête à en savoir plus sur cette intrigante demi-sœur qui se trouvait devant moi. « Je ne saurais pas qui dire, mais tu me rappelles étrangement quelqu’un… mais ton nom ne me dit rien, alors ça doit être mon imagination qui me joue des tours » Je souris, toujours sans dévoiler qui j’étais. C’est fou. Elle utilise exactement la même expression que papa ne faisait que de répéter à l’époque. « Ça doit être mon imagination qui me joue des tours » Je m’arrête de sourire lorsque je revois le bout de phrase que je venais tout juste de me dire dans ma tête  «à l’époque» assez stupide de devoir dire ça, personne à mon âge devrait dire ça, surtout pas en parlant de leur propre père. Je serre mes points, je n’étais pas sûre d’être en colère, triste ou contente de retrouver ma sœur, surtout de voir qu’elle n’est pas du tout ce que j’attendais. Je crois que mon humeur changeait chaque seconde à présent. « Enchantée également » c’était le moment ou jamais de lui dévoiler ou peut-être pas, elle reprend aussitôt sa phrase. « Tu veux boire quelque chose ? Bon, il faudra te contenter d’un jus de pomme ou d’un coca, parce qu’ici, pas d’alcool… » Je lui donne une réponse négative d’un geste de main et la remercie quand même après sa proposition pour ainsi poursuivre. « Tu viens d’Australie, impossible de se tromper avec ce charmant accent. » Son accent ne pouvait tromper personne, l’accent typique australien qui à mon oreille semblait un mélange des deux autres grands anglais, dont l’anglais d’anglais et l’anglais américain. Peut-être cela semblerait bizarre pour certains, mais mon cerveau était bien trop occupé à découvrir comment j’aurais pu bien tout lui avouer. Occupé donc avec d’autres choses, il ne pu se concentrer sur mon oreille sûrement. « Oui effectivement, je viens de Sydney. Et toi ? Londres ? » Je lui répondis de suite avec mon charmant accent d’anglaise. « Non, en fait je suis née à Brighton, pas très loin de Londres, mais j’habite bien à Londres, enfin habitait avant de venir à Berkeley » répondais-je sûre de moi. « J’aimerais tellement y aller, à Londres. Enfin, en Angleterre quoi ! J’adore voyage, c’est vraiment une passion… » elle se plaque ensuite la main sur la bouche gênée de ne pas arrêter de parler. « Excuse-moi… je suis assez bavarde dans mon genre, tu l’auras remarqué sans doute. Loin de moi l’envie de te gaver avec mes histoires… ne te sens pas obligée de me tenir compagnie si tu as des choses plus intéressantes à faire. Ravie d’avoir fait ta connaissance en tout cas, et peut-être qu’un jour, j’arriverai à me rappeler à qui tu me fais penser ! » Elle enchainait ne me laissant pas une seconde pour prendre la parole, mais j’arrive enfin à trouver un petit espace pour me place. Je la rassure en disant que j’aimais bien parler avec elle et sans penser à mes paroles je répondis très rapidement à mon tour. « Il faudrait qu’on y aille une fois, y passer toute une été, c’est vraiment cool là-bas, aller voir des concerts pendant les nuits pluvieuses et tout ça ! » Une gaffe, oh non la pire chose qui aurait pu m’arriver. Quand je parlais de Londres, ma terre, d’où je viens, j’étais dans mon monde, quand je parle de Londres, malgré tous ces défauts je suis dans ma bulle et seuls les autres londoniens peuvent éventuellement comprendre. J’ai sûrement des étoiles pleins les yeux quand j’en parle, mais malheureusement je dus me corriger. « Enfin, tu devrais le faire une fois, avec tes amies ou comme ça. » disais-je en me grattant la tête et en bafouillant, essayant de réparer mon erreur. « Ravie d’avoir fait ta connaissance aussi. » J’attends une réaction de sa part, mais en attendant elle me propose à boire. « Je vais aller te chercher à boire, qu’est-ce que tu veux alors ? » Elle insistait de me donner à boire, comme dans un film, comme si elle voulait m’empoisonner. Comme avant elle n’arrêtait pas de parler c’est comme si elle voulait m’enchanter, histoire de découvrir tout mes secrets. « Puisque tu insistes et puisqu’il n’y a rien de mieux, un coca fera l’affaire. » je l’attendis un moment avant qu’elle arrive avec un verre de coca et quelques glaçons à l’intérieur. Je crois qu’elle ne voulait pas vraiment être en ma compagnie, enfin je crois surtout qu’elle voulait savoir pourquoi je l’avais abordée, j’essaye de trouver mes mots pour tout lui révéler, le silence régnait, c’étais le moment ou jamais avant qu’elle prenne la parole et ne s’arrête plus. « Puisque tu dois bien être intriguée par le fait que je sois venue t'aborder, je ne vais pas plus te faire attendre : Je connais bien ton père. » disais-je sérieusement avec un sourire au coin de ma bouche, en buvant un peu de mon coca. Voilà comment elle le découvrirait, phrase intrigante, du cent pour cent Juliet Allenwood.



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MessageSujet: Re: Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna Keep your friends close, and your enemies closer (+) juleyna EmptyDim 29 Sep - 17:01

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« Keep your friends close, and your enemies closer  »
Décidemment, cette conversation était des plus étranges. Cette jeune femme avait débarqué de nulle part pour discuter avec Leyna, qui ne se doutait clairement pas de ce qu’elle cachait derrière son apparente gentillesse. L’australienne était très loin de se douter qu’en réalité, Juliet Allenwood était là pour lui pourrir la vie, pour la rendre misérable. Et tout ça pour quoi ? Pour un ridicule secret de famille sans queue ni tête dont la sigma n’est même pas au courant. Quoi qu’il en soit, la conversation allait bon train et aucun blanc ne venait installer un silence gênant. Parler avec la jolie anglaise se révéla même être un plaisir pour Leyna. Who knew. « Effectivement » rigola Leyna, avant d’ajouter : « Je suis bien australienne, je viens de Sydney pour être exacte. J’y ai vécu jusqu’à mes 17 ans, avant d’atterrir sur le continent américain pour diverses raisons… m’enfin bon, on n’est pas là pour parler de moi ! ». Après tout, son interlocutrice devait bien se ficher de ses histoires personnelles et de son enfance ; elles ne se connaissaient même pas. Enfin, si, depuis moins de cinq minutes, montre en main. « Londres, quelle chance ! Je rêve d’y aller, mais ce sera pour plus tard » répondit Leyna, en se disant que pour l’instant, elle n’avait pas vraiment les fonds nécessaires. Avoir un père médecin et une mère avocate, c’est bien beau quand on ne s’entend pas avec et qu’on préfère ne jamais les voir plutôt que d’accepter leur argent. Leyna se débrouille seule et cela lui convient très bien ; elle n’est pas du genre à dépendre de son entourage, ni à perdre du temps avec des gens qui n’en valent pas la peine. « Il faudrait qu’on y aille une fois, y passer toute une été, c’est vraiment cool là-bas, aller voir des concerts pendant les nuits pluvieuses et tout ça ! », dit alors Juliet d’un ton le plus naturel possible et imaginable. Pourquoi pas… drôle de proposition venant d’une parfaite inconnue. Leyna avait beau être ouverte et d’une gentillesse folle, elle n’était cependant pas un cas social : elle savait que les gens n’étaient en général pas du genre à sympathiser et à se confier, le tout en une seule soirée. Ainsi, elle préféra ne pas répondre et se contenta de sourire, l’air d’avoir envie de convoler avec la demoiselle. « Enfin, tu devrais le faire une fois, avec tes amies ou comme ça. », s’empressa d’ajouter miss Allenwood, sans doute après s’être rendue compte du malaise qui s’était installé. Après lui avoir proposé d’aller lui chercher un truc à boire, Juliet répondit qu’elle voulait un coca. « D’accord, je reviens, je fais vite ! » dit alors la sigma. Tandis qu’elle se dirigea vers le bar, un mal de tête atroce s’installa. Et dire qu’elle n’avait pourtant pas bu une goutte d’alcool. Super, vraiment, la soirée. Après tout ce qu’elle avait imaginé, rien ne se passait comme prévu. « Un coca et cocktail sans alcool, celui que vous voulez, s’il vous plaît », demanda-t-elle au barman, qui s’exécuta. Ce dernier lui donna les deux verres, la demoiselle le remercia. Tandis qu’elle retourna vers la table où elle se trouvait 3 minutes plus tôt, cette dernière était déserte. Aucun signe de Juliet Allenwood, qui s’était apparemment volatilisée. Leyna regarda autour d’elle dans la salle, mais elle ne l’aperçu pas. Etrange. Un peu interloquée, elle haussa les épaules, et alla à la rencontre de June, qui elle aussi semblait d’être fait abandonnée le temps d’un instant. Rien de mieux que de partager un verre avec sa meilleure amie dans ces cas-là.

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