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Je suis de retour pour vous jouer des mauvais tours - Aislynn

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MessageSujet: Je suis de retour pour vous jouer des mauvais tours - Aislynn Je suis de retour pour vous jouer des mauvais tours - Aislynn EmptyVen 31 Mai - 15:47


Les cours de droits de ce semestre se faisaient de plus en plus longs et je n’avais qu’une hâte, c’est qu’ils se terminent. L’été approchait et le soleil donnait plus envie d’aller bronzer au bord de l’eau plutôt que de se farcir des cours de droits institutionnel. Prenant à moitié la leçon en note, ce qui ne me ressemblait absolument pas, je divaguais facilement. Laissant mon esprit vagabonder, tout en repensant aux raisons qui m’avaient conduit ici. Je n’étais pas vraiment là par hasard, mais on ne pouvait pas non plus dire que c’était mon choix initial. Mais je m’y trouvais plutôt bien. Des trois universités que j’avais fréquenté c’était sans doute ma préférée. Probablement parce qu’ici personne ne connaissait mon passé, ni d’où je venais. Et surtout parce qu’aucune fille ne m’avait encore trainé devant un tribunal. Contrairement à l’Angleterre je me sentais plus à l’aise ici, le fonctionnement éducatif me correspondait beaucoup mieux et les soirées étudiantes portaient ici bien leur nom. Le cursus que je suivais était toutefois fort intéressant mais la fatigue des soirées pesant, et la chaleur extérieur ne me motivait que très peu à travailler. L’université, la fin d’année approchant avait récemment annoncé le futur bal de promo auquel je comptais bien participer. Je n’avais pour l’instant aucune idée de qui j’allais choisir pour m’y accompagner, mais tôt ou tard, je finirais bien par trouver. Mais je ne pouvais tout de même pas m’y rendre avec n’importe qui. Un Williamson ne s’affiche pas avec la première gourde venue. Mais je ne me résoudrais pas à y aller seul, sous prétexte de n’avoir trouvé personne à mon gout. Evidemment j’avais déjà réfléchi à quelques personnes, mais je n’étais pas du genre à faire mes demandes de cavalière beaucoup trop tôt, je ne voulais tout de même pas passer pour un mort de faim. Cette année, apparemment comme toutes les années précédentes et comme dans toutes les universités du pays aurait lieu une élection du roi et de la reine du bal. Quoi de plus cliché ? Qui voulait se présenter à ce genre de chose exactement ? Hormis des gens en quête de popularité et qui ne vivent que par la reconnaissance des autres. Chaque fille rêve d’être une princesse et de porter une couronne magnifiquement ornée, mais pour un homme, n’était-ce pas rabaissant ? Depuis quand un homme jouaient à la princesse ? En portant une couronne de bal, on perdait toute crédibilité. Bien sur certains pensent que se faire élire est le seul moyen de plaire aux femmes, mais selon moi il s’agit bien de l’inverse. Qui veut d’un pantin prêt à tout pour se donner en spectacle ?
Le temps avait passé plus rapidement que si j’avais dû suivre le cours donné en amphithéâtre. Mais je ne devais pas reproduire cela trop souvent si je voulais attendre mon objectif de majeur de promotion. Je me retrouvais avec de nombreux bons élèves qui, eux ne passent pas leurs heures à rêvasser. Mais je trouverais bien une âme charitable prête à me donner ses notes en échange d’un quelconque service. C’était déjà la fin des cours, et ce soir comme toujours j’avais quelque chose de prévu. Le temps que l’amphi se vide, je commençais à planifier et organiser ma soirée. Où est-ce qu’on allait se rendre, histoire de changer un peu. La tête dans mes pensée, je sorti de la grande salle et par mégarde me trompais de couloir. Au loin, j’aperçu une petite tête blonde que j’avais repérée depuis mon arrivée ici, mais qui de son côté ne m’avait pas reconnue. Ou alors elle faisait simplement semblant de ne pas me voir. Son comportement était assez drôle pour le coup, car elle était une des rares à me connaitre autant et faisait comme si ce n’était pas le cas. Depuis que j’avais débarqué nous ne nous étions pas échangés un seul mot. A dire vrai, nous ne nous étions croisé que très rarement, et il était possible qu’elle n’ait simplement pas remarqué ma présence sur le campus. A l’inverse, il était très difficile de ne pas la remarquer. Elle est la présidente de la confrérie des IOTA, confrérie que j’ai longtemps hésité à intégrer, en grande partie pour le simple plaisir de me retrouver avec elle. Elle est aussi capitaine de son équipe de cheerleader. Et il m’arrive de temps en temps d’emprunter le chemin du stade, juste pour la voir s’entrainer avec ses coéquipières. Elle est affreusement impressionnante lorsqu’elle voltige dans les airs, et tellement sexy quand elle agite des petits pom-pom rouges. Sa tenue, même celle qu’elle porte à l’entrainement, ne manque pas de la mettre en valeur et de la rendre désirable auprès de la gente masculine. Le peu de fois où je l’ai croisé, elle se trouvait entouré de plusieurs type différent. Je n’ai aucune idée de ce qu’elle fait actuellement. Depuis que nous nous sommes revus à New York l’an passé, je n’ai plus vraiment eu de nouvelles. Je ne l’avais pas non plus prévu que je débarquais dans l’université où elle règne en reine. La demoiselle se trouvait là, à quelque mètre de moi, et j’hésitais à lui rendre une petite visite surprise. Elle venait de passer la tête dans son casier, ce qui était pour moi le moment opportun pour la prévenir de mon arrivée ici, et lui rappeler qui j’étais. Tout en oubliant pas, au passer de lui rafraichir la mémoire sur notre petit amusement à New York. Je n’avais pas voulu débarquer sans sa vie en position de faiblesse, où elle aurait pu détourner la situation à son avantage.
Elle cherchait je ne sais quoi dans son casier, mais ça ne lui prendrait pas longtemps. Je profitais de la situation pour m’approcher d’elle, et une fois à sa hauteur je passais mes doigts dans ses longs cheveux blonds. «  Alors Woobleforth, on oublie les vieilles connaissances ? Rassure moi, dis moi que je me trompe, on n’oublie pas quelqu’un comme moi n’est-ce pas ? » Comme je l’avais prévu, elle sursauta. Premièrement parce qu’elle ne devait pas s’attendre à ce que quelqu’un arrive par derrière, et encore moins que ça soit moi. Je connaissais bien la belle. En réalité, nous nous connaissions depuis quasiment toujours. Nos parents avaient pour lubie de vouloir à tout prix qu’ils finissent ensemble. Pour autant ça n’est à l’heure d’aujourd’hui jamais arrivé, à leur grand désespoir. Selon eux, nous étions faits pour nous entendre et effectuant les mêmes études, nous aurions pu former un duo de choc dans ce mode de requins qu’est la justice. Depuis que nous nous connaissions, nous avons toujours entretenue une relation conflictuelle, mais de bonne guerre. De chamailleries en chamailleries, nous nous étions rapprochés jusqu’à ce que ça dérape une bonne fois pour toute l’an dernier. Avant cette évènement, nous étions particulièrement proches. Nous gardions toujours contact par texto ou mails lorsque j’étais en Angleterre. Je lui avait même une fois rendu visite lorsqu’elle était à Paris. Mais la voir avec le jeune Corse qui l’accompagnait ne m’avait pas particulièrement plu, ce qui m'avait forcé à écouter mon séjour. Cet homme avait une tête de mafieux et ne m'inspirait aucunement confiance, le fait de voir celle que je connaissais depuis tant de temps avec un homme comme lui me donnait envie de lui mettre simplement mon poing au milieu de la figure. Aislynn et moi avions pour habitude de toujours critiquer les conquêtes de l'autre, qui avaient toujours quelque chose qui cloche. De son coté, elle ne connaissais certainement pas toutes les filles qui avaient partagé mes nuits, sans quoi elle aurait eu largement matière à critiquer. Mais à Paris, nous avions eu une altercation lorsque je lui avais fait part de mon ressenti par rapport à cet tête de con. Elle acceptait mal que je fourre mon nez dans ce qui ne me regardait pas, mais c'était plus fort que moi, et c'était de même pour elle. Ne j'accepterais sans aucun doute de voir des types aux réputations malsaines tourner autour d'elle. Mais étant plutôt mal placer pour juger qui était bon ou non pour elle, je partais du principe que tous ceux qui lui tournaient autour n'étaient pas bon pour elle. A l'heure actuelle, où en était-elle ? Je ne pouvais tout de même pas lui demander ça de but en blanc, de toute façon, elle aurait très bien sur que quoi qu'elle réponde j'aurais trouvé matière à critiqué, elle se garderait bien de me dire la vérité donc.
Alors que j'avais toujours sa mèche blonde entre les doigts avec laquelle je m'amusais depuis mon arrivée, je commençais déjà à la taquiner, alors que nous nous étions pas vus depuis environ un an «  C'est rare de te voir sans toutes tes copines en mini-jupes boucle d'or ou sans rapaces qui te collent aux fesses, ça fait plaisir. Depuis le temps !  Avoue que tu es contente de me voir ? Et tu sais quoi j'ai une bonne nouvelle, je suis là pour de bon. A moi Berkeley ! C'est plutôt une bonne surprise non ? » A sa tête étonnée, je n'arrivais pas à distinguer si elle était contente ou non. Quant à moi, j'allais avoir la chance d'avoir un œil sur elle et puis pourquoi pas de reprendre où nous nous étions arrêtés.
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: Je suis de retour pour vous jouer des mauvais tours - Aislynn Je suis de retour pour vous jouer des mauvais tours - Aislynn EmptyDim 16 Juin - 15:40



. Ce qui rend les amitiés indissolubles et double leur charme
est un sentiment qui manque à l'amour : la certitude .

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Préoccupée avec cette fin d’année, ce bal et cet été, Aislynn avait beaucoup de choses à régler. Des projets à boucler. Elle était la tête ailleurs et même si elle refusait de se l’avouer, elle n’aimait pas le dernier entrainement, la dernière heure de cours où le dernier passage dans le hall d’entrée. Réalisant encore une fois, que le temps lui filait entre les doigts, la jeune femme s’avançait vers son casier. Il était désormais presque vide et c’était uniquement à cette période de l’année, qu’elle pouvait y loger sa tenue de cheerleaders. Beaucoup de choses s’étaient en effet passées, pour ne pas changer. Si on lui avait dit à son arrivée, qu’elle vivrait autant d’expériences, qu’elle rencontrerait autant de personnalités incroyables, qu’elle tomberait amoureuse, qu’elle ferait un accident.. Qu’elle devrait tomber pour se relever. Qu’elle deviendrait plus forte que jamais.. Elle ne l’aurait jamais crue. Elle n’aurait jamais eu cette folie d’y songer. Très loin d’être aussi forte qu’aujourd’hui, aussi solide qu’à cet instant, elle pouvait donc constater son changement, son évolution. Aislynn avait grandi et était devenue une magnifique jeune femme. Plus personne ne pouvait lui en faire douter, plus personne ne pouvait la désorienter en un seul regard. Elle était plus que jamais elle. Une demoiselle sûre et fière. Qu’importe la situation, qu’importe l’obstacle, elle le franchissait avec beaucoup de volontés et de courages. Malgré les vents et marées, elle tenait toujours le cap. Et même après le départ d’êtres chers, l’absence de ses piliers, Aislynn se tenait toujours debout. Elle restait intacte et surtout elle savait cacher ses plaies. C’était un très grand avantage pour elle et surtout à Berkeley. Epiée sans cesse par les autres, elle avait su gérer son impulsivité. Même si ça n’avait pas toujours facile, elle y était arrivée. Maintenant, ce que les autres disent, ne peut pas l’atteindre ou la blesser. Les préjugés, les étiquettes, elle les portait sans réellement avoir le choix. L’essentiel est qu’elle les portait avec beaucoup de classe. La tête perdue dans son casier, elle sentait une présence et puis un touché qui la fit sursauter. Aislynn était perdue dans ses pensées et ce geste la fit sortir sans prévenir. Elle pivotait donc son visage avec cet air contrarié, en se demandant qui avait l’audace de venir la déranger, la bousculer à cet instant précis où elle semblait se réfugier, derrière la porte de son casier. Puis, elle croisait ces yeux azurs qu’elle connaissait bien. Elle entendit cette voix qu’elle pouvait reconnaitre entre mille. Aiden. Quelle magnifique surprise ! Que faisait-il ici ? Est-ce qu’il étudiait à Berkeley ? Mais alors, pourquoi est-ce qu’elle l’apprenait à peine, à cet instant ? Etonnée, elle restait donc souriante et se retenait de lui sauter au coup. Elle se retenait car, elle ne souhaitait pas être ce genre de fille démonstrative. Elle ne souhaitait pas attirer les regards car, elle en était fatiguée et puis il fallait se fixer des limites. Réalisant, qu’elles n’avaient pas toujours été en place avec le jeune homme. Bien au contraire. Il suffisait de se souvenir de leur dernier tête-à-tête pour le réaliser, pour le comprendre. Peut-être que c’était un sentiment de peur qui les avait envahi, elle ne sait pas. Néanmoins, elle se souvenait de ses pensées, de ce qu’elle pensait être la meilleure chose pour clôturer leur vieille amitié. Aislynn pensait qu’ils ne se verraient plus pendant de longues années. Leurs chemins allaient s’éloigner et peut-être qu’ils viendraient à se retrouver. Néanmoins, elle ne pouvait pas en être certaine. Elle ne pouvait pas le jurer. On ne sait jamais de quoi est fait demain et elle pouvait le réaliser. Alors, qu’elle pensait ne plus le voir pendant de longues années, voir même une éternité. Aiden se retrouvait devant ses yeux. Il se tenait devant elle, presque naturellement. Comme si finalement, c’était normal qu’il soit là, qu’il la retrouve. Dans son attitude, dans son allure, rien n’avait changé depuis ce soir où elle l’avait embrassé. Depuis cette nuit, où les draps les avaient caressés. Depuis cette pleine lune, où ils avaient partagés le même lit. Il y a quelques mois d’ici, à New-York, entre l’automne et l’hiver, loin de leurs mondes, ils s’étaient retrouvés. Ils s’étaient également laissé aller, sans peser le poids des conséquences. Un souvenir, un instant qu’elle n’oubliait pas et surtout le dernier homme avec qui elle avait partagé une nuit, à qui elle avait accordé autant d’affections. « Pour t’oublier, il faudrait devenir amnésique et encore, je ne suis pas sûr que ça fonctionnerait. » ajoutait-elle avec un sourire au coin des lèvres. Refermant son casier, la jeune femme se tournait à nouveau vers lui. Heureuse de pouvoir le retrouver mais, également perturbée par son arrivée. Depuis combien de temps était-il à Berkeley ? Pourquoi il ne l’avait jamais averti ? Pourquoi est-ce qu’elle ne l’avait jamais vu ? Est-ce qu’il comptait rester l’année prochaine ? Tant de questions et pourtant aucune réponse. Des interrogations qui lui brûlaient les lèvres mais, qui ne sortaient pas. Face à lui, elle avait beaucoup de mal à se calmer, à comprendre sa venue. Elle était perdue, désorientée. Elle était en face de cet homme qu’elle connaissait depuis toujours. Celui à qui, elle avait mené la vie dur pendant de très longues années. Alors que leurs parents les voyaient déjà fiancés, Aislynn s’était promis de le détester. Elle ne voulait pas d’une histoire arrangée. Encore très loin de connaitre sa première et grande histoire d’amour, elle savait d’avance qu’elle ne souhaiterait pas la vivre sous les ordres de son père. Elle ne souhaitait pas être le reflet de sa mère. Une femme vide d’émotion et surtout aux petits soins, d’un homme qui mène une double vie. Elle avait donc déclenché la guerre. Une bataille sans trêve et aujourd’hui, elle pouvait déclarer qu’il avait été un adversaire de taille. Aiden ne s’était pas laissé faire, en utilisant l’excuse qu’on ne touche pas à une fille. Non, il s’était battu, tel un chevalier. Il lui avait aussi fait vivre de mauvais moments. Des souvenirs qui les avaient finalement rendus plus proche que jamais ! Une fois, le drapeau blanc dressé. « Parce que ça fait longtemps que tu m’observes de ton poste ? Tu aurais pu au moins te montrer. J’imagine donc tu as mené tes enquêtes depuis et que tu sais quelle personne il est bon ou non de fréquenter. » déclarait-elle avec un certain sérieux. Tout en voulait dire que s’il était là, c’est qu’il avait peut-être mené son enquête. Pour savoir si Aislynn était autant appréciée, qu’elle le racontait. Pour voir, si elle assurait au de-là des anecdotes, des souvenirs qu’elle avait pu lui confier. En effet, la jeune femme s’imaginait tout et n’importe quoi à la fois. En même temps, elle ne pouvait que s’attendre à ça, avec le beau brun. Il était comme ça, destiné à la surprendre, à l’étonner qu’importe le temps, l’endroit où la distance qui pouvait les tenir éloigné. « Si on allait terminer cette journée, comme il se doit. Tu n’as rien de prévu, j’espère parce qu’on a quelques mois à rattraper. » annonçait-elle, avant de prendre le pas, avant de commencer à marcher pour s’éloigner du couloir où se trouvait les nombreux casiers. Sans réellement savoir, où ses premiers pas allaient la mener, elle s’avançait, elle marchait. Suivie de cet ami de longue date, cet ami avec lequel, elle n’avait pas discuté depuis longtemps. Depuis qu’ils avaient franchi le pas de trop, celui qu’il n’est jamais conseillé de franchir. Aislynn espérait pourtant que cela n’ait aucune conséquence sur leur amitié, sur leur affection et toutes les étapes qu’ils ont franchies, en comptant l’un sur l’autre. Elle savait que ça avait toujours été compliqué entre et ce détail ne la dérangeait. Ce qui l’effrayait, c’était plutôt de le perdre, de le voir s’éloigner et de ne pas savoir quoi faire pour le garder. Pour rester ceux qu’ils ont toujours été..

 
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