Plutôt une belle journée en perspective, je n'avais pas envie de rester cloîtrer entre quatre murs, j'avais envie de sortir, m'amuser, prendre l'air. Faire comme n'importe quelle personne normale qui aime sortir et faire la fête. La journée était plutôt belle, bonnes températures, presque sans aucun nuage dans ce beau ciel bleu. Quand il y a ce temps là, j'ai toujours envie d'être sur une plage, étalé sur ma serviette, le soleil me tapant dans le dos et dormir, écouter de la bonne musique ou même lire un stupide livre. C'est quelque chose que j'adore faire en été puisque je ne me sens jamais aussi bien, je me sens libéré et je ne pense à rien si ce n'est la caresse du soleil sur mon corps. Faisant du sport régulièrement j'ai un plutôt beau corps, c'est quelque chose qu'il faut avouer tout de même. Alors qu'il n'était qu'aux environs de huit heure du matin, alors que j'étais dans mon lit installé confortablement, je cherchais déjà à planifier mon après-midi. Je n'avais pas la moindre envie d'aller faire du shopping, j'aime dépenser de l'argent dans des vêtements ou d'autres choses inutiles mais cela dépend de mes humeurs puisque je suis quelqu'un qui n'aime pas vraiment dépenser de l'argent inutilement mais il y a quelques fois où on ressens ce besoin précis. De plus, il n'y a pas si longtemps j'ai déjà fais du shopping avec Maël, le frère d'Ebony. D'ailleurs que pense-t-elle du fait qu'on est des amis? Je dois avouer que j'ai profité de notre amitié pour soutirer le numéro de téléphone de sa sœur. Si elle n'avait pas changé son numéro, je n'aurais pas eu le besoin de demander à son frère. Ce n'est qu'une fois arrivé sous la douche que j'ai trouvé une destination pour l'après-midi : la fête foraine. Je suis du genre à y aller souvent, en même temps, c'est tellement génial! Adrénaline à fond en plus il y a souvent plein de stands avec des bonbons, des pommes d'amour, pleins de choses différentes à manger! Ce qui est génial c'est quand j'allais à certaines fêtes foraine en France et qu'il faisait super beau, je mangeais toujours des glaces, il y avait plein de parfums aussi bon les uns que les autres. Il fallait au moins que j'en mange au moins deux, voir trois mais pas plus puisque je serais capable de ne plus m'arrêter et de finir écœurer. J'ai goûté tant de parfums mais mes préférés restent la glace au stroumph, au malabar, brownies et d'autres parfums dont je n'ai pas pu vraiment retenir leur nom. Ces parfums me manquent, un truc de malade. J'aime aussi les parfums vanille et chocolat bien que ce soit des parfums qui peuvent être dit «basiques». Ayant trouvé ma destination, il fallait à présent que je trouve la bonne personne avec qui partager un superbe après-midi. Je pensais directement à Mason puisque c'est une personne avec laquelle je m'entends plus que bien mais bizarrement, je pensais à une autre personne, une personne que j'avais plus ou moins réussi à sortir de ma tête. Heureusement que Maël avait accepté de me donner le numéro d'Ebony -son nouveau numéro puisque elle à changé après son départ de Paris- et je lui envoyais un texto lui proposant de venir se joindre à moi pour l'après-midi. Elle ne pouvait pas me refuser de venir après tout. Je sais qu'il y a toujours une petite part d'elle qui ne pourrait pas résister à la tentation de venir me voir, de venir me parler. Même si elle se raisonnerai à ne pas venir, elle serai obligée, elle ne peut pas résister à la tentation, elle ne sait pas résister de toute façon. Quand il s'agit de moi elle ne peut pas, elle est obligée. C'est quelque chose qu'elle n'admettra peut-être jamais mais au fond de moi je le sais, elle aura beau le nier je le saurai quand même. Non, je ne suis pas narcissique du tout c'est juste que je sais comment elle est. Peut-être qu'elle n'aime pas les fêtes foraines mais je pense qu'elle va aimer tout de même, peut-être même qu'elle aura peur, qui sait? Je la verrais peut-être sous un nouveau jour, ne sait-on jamais..
Une fois habillé, étant bien nickel, je ne prenais même pas la peine de manger puisque j'allais faire un petit tour rapide en ville afin de manger un morceau, tout seul. Je n'avais pas honte d'aller manger en ville tout seul puis j'allais souvent voir des gens que je ne connaissais pas du tout alors on ne peut pas dire que je suis seul après tout. J'avais trop envie de manger un hamburger avec des bonnes frites et un coca, c'est un repas que j'adore mais qui est vraiment calorique, du sport est vraiment nécessaire après, et oui il faut garder une silhouette parfaite tant qu'à faire. Une fois ce repas englouti, je suis allé voir un «ami», Pacey qui travaille au Starbuck Coffe. Lors de notre rencontre, j'avoue avoir pu lui faire peur mais en même temps, il fallait bien que je l'aide quoi! Je pouvais pas rester assis là à le regarder alors qu'il renversait sur le comptoir du café à la cannelle, d'ailleurs il en avait aussi sur son tablier et donc sur son tee-shirt. Une fois ma petite visite finie, je suis donc allé à la fête foraine à l'heure que je lui avais dite par texto. Une fois arrivé, j'ai regardé aux alentours pour voir si elle était déjà arrivée et elle n'était pas là. J'ai décidé de l'attendre, elle était obligée de venir après tout, j'aurais même pu la forcer à venir ici mais enfin.. aller la chercher moi-même serai plus une perte de temps qu'autre chose. Je la vis alors arriver. "Dis donc, t'avais l'air bien sûr de toi. Comment tu savais que j'allais venir ?". Je l'embrassai, sur la joue évidemment, et lui glissai à l'oreille en même temps : "Mais voyons, tu étais obligée de venir! Tu n'aurais pas résister au fait de me voir!". Bon, j'avoue que j'avais toujours un petit doute mais il y avait plus de probabilité pour qu'elle vienne donc j'ai préféré jouer la carte de l'optimisme en cette belle journée ensoleillée. Avant qu'elle ne décide d'aller dans un manège, j'allais en direction d'un stand de glaces, première glace de la journée! Je lui laissai le privilège de choisir son parfum mais mon choix était déjà décidé, j'optais pour deux parfum, citron et malabar, c'est un mélange que j'avais envie d'essayer pour une fois. Je réglais la note, si on décide par la suite de reprendre des glaces, je lui laisserai la joie de la régler, après tout, je n'allai pas tout payer non plus. Après cette glace, j'avais envie de faire un manège à sensation forte! "Dis moi que ça te tenterai de faire un manège avec des sensations fortes!", après tout, n'étions pas là pour nous amuser? Alors autant le faire dans des conditions les plus folles, les plus délirantes. Puis aujourd'hui, elle ne pourrait rien me refuser, je me sens sûr de moi aujourd'hui, à tel point que je pourrais même sentir l'optimisme. Toutefois, si jamais elle ne voulait pas ce ne serait pas très grave, j'ai plus d'un tour dans mon sac.

Peut-être que j'étais trop sûr de moi, peut-être bien que je n'aurais jamais du me ré-embarquer dans «cette» histoire. Après tout, pourquoi jouer la carte du gentil ex-petit ami alors qu'elle n'a pas hésité une seule fois avant de me poignarder? Mes idées sont assez confuses mais je ne le lui montrerai pas. Pas question. Mes pensées sont intimes et je ne veux pas qu'elle ai des doutes, d'ailleurs mon humeur joviale ne devait rien trahir. J'étais content de passer du temps avec Ebony mais je n'oubliais pas pour autant ce qu'elle avait fait. Peut-être devrais-je, peut-être pas. En tout cas, il y a toujours des périodes de la vie plus difficile que d'autres et en ce moment, ce n'est pas la meilleure période c'est sûr. Cependant, d'un côté je n'ai pas envie de paraître faible -comme à chaque fois d'ailleurs- et je n'ai pas envie d'être le mec qui n'arrive pas à oublier une fille alors que celle-ci la déjà fais. A quoi bon ENCORE se lamenter? Je ne fais que ça et c'est quelque chose qui m'énerve ! Le seul réconfort de ma journée peut être à présent le sol et la glace que j'ai pu manger, la glace m'a un peu calmé, du moins, intérieurement. Pour moi, les fêtes foraines sous-entendent «amusement», «beau temps», «glace», que des choses positives. Simplement lorsque je suis venu, je me suis convaincu que cela serai facile de faire le gentil pour lui assener un grand coup dans le dos. J'ai prévu tout un plan mais maintenant, suis-je vraiment prêt à tout pour essayer de lui gâcher la vie? Je le saurai dans le prochain épisode, lorsque je devrais y réfléchir. "Allons-y, mais si tu as peur, ne m’agrippe pas, j’ai jamais aimé consolé les enfants !". En entendant sa phrase, je ne pu m'empêcher de rire. Quelle belle comparaison ! Je pris sa remarque à la rigolade mais au fond, je me demande si elle veut sous-entendre quelque chose ou pas. Je ne suis pas un peureux et j'adore les sensations fortes alors bon. Installés sur un banc, je lui parlais de tout et de rien, comme de vraies personnes qui n'ont aucun passé, qui sont justes amies. Je léchais ma glace avec avidité, regardant les divers manèges en me demandant lequel -voir lesquels puisque je ne m'arrêterai pas avant d'en avoir fais plusieurs- j'irais faire avec la brune assise à ma droite. Je regardais aux alentours, il y avait beaucoup d'enfants et soudain je repensais à Nina. Une vieille connaissance. A chaque fois que je regarde des enfants, je vois les choses différemment pour elle et moi et si tout avait été différent, je n'aurais probablement pas rencontré Ebony ou alors peut-être mais je n'aurais jamais su comment elle est vraiment. C'est bizarre comment pleins de choses peuvent être différentes à cause d'un infime petit geste, même un tout petit.. En tout cas, j'espérais qu'Ebony n'avait pas vu que j'étais un peu dans les nuages. "Alors! On attaque quel manège?", je lui ai dis d'une manière qui sonnait très joviale -enfin pour moi- à tel point qu'on aurai pu imaginer un enfant qui voulait faire un tour de manège mais bon, autant profiter de cet après-midi pour retourner en enfance.

Sourire aux lèvres, elle me demandait de la surprendre. Pour une fois que j'avais envie que ce soit le contraire, que ce soit elle qui devait me surprendre. Je ne suis pas aussi imaginatif que ce qu'elle peut penser de moi, quoique.. je lui réservai une petite surprise. J'ai bien employé l'adjectif "petit" parce qu'en réalité, je ne suis pas totalement sûr que cette surprise lui plairait. "Oh et bien.. si tu veux! tu ne va pas être déçue!", en réalité, je n'en étais pas aussi sûr mais je faisais comme si que j'étais aussi certain de moi qu'au début, je ne voulais pas le lui montrer. Je lui pris la main et l'entraînait avec moi d'un pas pressé. Un peu plus longtemps ici et elle aurai aperçu la surprise que je lui avais réservé, quoiqu'elle ne l'aurait peut-être pas deviné mais en voyant que je faisais un signe à une personne elle l'aurait de suite deviner. Une horde d'enfant passa devant nous, nous bousculant presque. Un sourire aux lèvres et je continuais mon avancée parmi la foule assez nombreuse. Voyant un enfant un peu à la traîne qui suivait le groupe, je ne pu m'empêcher de lui sourire, il était si jeune, peut-être cinq ans, il est vraiment trop mignon. Il commençait un peu à pleurer, il était vraiment à la traîne et les autres enfants de son âge ne l'attendait pas et aucun signe de sa mère. Je lâchai alors la main d'Ebony, m'approchant de ce petit bonhomme. M'accroupissant devant lui, je lui souriait toujours, lui ébouriffant les cheveux. Il a de magnifiques yeux bleus. "Ta mère n'est pas ici?", il secoua alors la tête. L'autre groupe d'enfant était parti et je ne pouvais pas le laisser tout seul. Je sortis alors mon portefeuille, et pris un billet. J'emmenai le petit garçon avec moi, près du camion d'un marchant de glace. "Alors tu veux quoi bonhomme?", il ne me répondait toujours pas. Le portant pour qu'il voit tout les parfums puisqu'il était petit, il me dit qu'il voulait une glace à la pomme. "Excellent choix bonhomme!", je le reposais alors à terre. Tout en pointant le parfum à travers la vitre, je m'adressais au marchand de glace "Une glace à la pomme s'il vous plaît". En attendant qu'il me serve la glace, je jetais un regard à Ebony puisque je l'avais abandonnée l'espace de quelques secondes. Je payais alors la glace et la tendis à l'enfant qui retrouva ses copains un peu plus loin "vas-y bonhomme!". Il me remercia vivement et repartis avec ses copains. "Alors, je n'en ai pas finis avec toi!", je m'adressai bien évidemment à Ebony et je l'emmenai sur un manège classique : un manège avec des chevaux en plastique, un carrousel. Non non, ce n'est absolument pas une blague. Sans savoir si elle allait protester, je la pris par la taille et l'installai alors sur un cheval blanc et je m'installai à mon tour sur un autre cheval. "Alors, surprise?", le manège commençai à démarrer et je rigolais comme un enfant en voyant l'air d'Ebony. Une fois le tour terminé, je rigolais toujours autant. Non non, ce n'était pas ce tour de manège ridicule la fameuse surprise. Je pense que c'était juste nécessaire, juste un échauffement. Je pense qu'elle à tout de suite compris en voyant deux beaux chevaux blancs. Je saluais l'homme qui nous les as emmené, un homme que je ne connais pas mais un homme très gentil cependant. Je mis un pied dans l'étrier et je me hissais sur le dos de cette magnifique bête. "Alors, surprise hein? T'as intérêt de monter sinon je te traîne par le cul!", voilà une menace qui devrait l'obliger à monter. J'espère vraiment qu'elle voudra monter quoi. Je lui souriais pour la rassurer. Je faisais du cheval quand j'étais plus jeune, j'aimais en faire mais ce n'était pas une vraie passion pour moi cependant je trouve que ça colle assez dans le décor fête foraine. On passe du carrousel à un vrai cheval, pas mal non? En plus il y a un parc où on pourra galoper, on devrai bien s'amuser. J'enfilais une bombe, c'est un casque. Je n'en avais pas vraiment besoin mais comme ça fais un moment que je n'ai pas remonté à cheval, ne sait-on jamais des fois que je fais une chute. C'est une activité qui change, comparée aux fêtes, aux musées qu'on avait l'habitude de faire. Néanmoins, je ne savais pas vraiment si elle savait monter à cheval, il y a un début à tout, non?

Lorsque j'avais voulu faire une petite promenade à cheval, je n'avais aucune idée des réactions qu'Ebony pourrait avoir, si toutefois elle décidai de venir. Maintenant qu'elle était là et que c'était le moment de se promener, où peut-on aller? C'est une question à laquelle je n'avais pas pris le temps de réfléchir, je n'avais pas pris le temps de tout planifier, pas encore. Je me disais qu'une fois là-bas j'aurais le temps de savoir où nous pourrions aller ou peut-être même qu'elle aura une idée, mais apparemment elle ne comptait pas m'aider. Génial. J'en ai marre de devoir tout planifier, d'habitude elle râle parce qu'elle n'est pas d'accord ou alors elle ne veut pas faire ce que j'ai envie et du coup elle décide de faire quelque chose d'autre, de tout prendre sous son contrôle mais cette fois non. Franchement, si je pouvais la décrire en un unique mot, en ce moment même, je la qualifierai d'imprévisible. D'ailleurs ce n'est pas qu'en ce moment puisque c'est d'ailleurs tout le temps. Si je lui disais elle ne le nierai pas, d'ailleurs rien qu'en pensant à cela je souriais. Elle aurai beau me regarder fixement je ne dirais pas pourquoi je souriais, même pas en rêve. Néanmoins, la phrase qu'elle sorti ne me fis pas perdre mon sourire, je répliquai sans attendre "C'est vraiment très gentil de ta part de me voir avec une cruche, franchement, je m'y attendais pas", bien sûr c'était ironique. Je pense que je mérite mieux qu'une cruche, non? Puis peut-être que j'ai vu beaucoup de filles passer dans mon lit mais quand même, être père ou même mère d'ailleurs c'est quelque chose de sérieux. Pour me changer les idées et éviter de la massacrer, je cherchais une destination puisqu'elle me laissera tout gérer. Nous ne pourrions pas nous promener près des divers manèges puisqu'il y a beaucoup de monde. Une foule compacte, déjà à pieds nous avions du mal à passer mais alors à cheval, je n'ai nul besoin d'expliquer la galère, toutefois cela pourrai être marrant. "C'est parti!", je lançai alors mon cheval au galop, en pleine direction de la foule dans une des allées centrales. Toutefois, en approchant de cette grande allée remplie de foule, j'étais obligé de ralentir, à moins de foncé dans des gens, cela ne me déplairai pas cependant, je l'avoue. Une fois arrivé de l'autre côté, j'ai jeté un rapide coup d’œil à Ebony qui était, par malchance, coincée dans la foule. Je n'ai pas réussi à rester sérieux et à ne pas exploser de rire en la regardant. Je lui fis rapidement un signe de main en repartant sans l'attendre, je suis à la recherche d'une destination sans trop de monde. Ce n'était pas seulement une fête foraine avec pleins de manèges partout, il y a aussi des petits chemins entourés de verdure donc c'est aussi un parc, en quelque sorte. Il doit surement y avoir un lac ou je ne sais quoi un peu plus au loin, un peu de tranquillité. Si nous étions venus le midi, peut-être que nous aurions pu faire un pique-nique ici, l'endroit est plutôt sympa je trouve. J'arrêtais alors le cheval histoire de l'attendre puisque la dernière fois que je l'avais vu, elle était coincée dans la foule. En y repensant, j'étais obligé de sourire mais peut-être qu'elle ne savait pas faire de cheval? C'était quelque chose que je ne savais pas. Plus que paniqué à propos d'Ebony, je fis demi-tour afin de retourner à l'allée où j'étais passé quelques secondes auparavant sauf qu'en observant la foule, je ne vis aucun cheval. Pourtant un cheval est facile à repérer. Peut-être était-elle passée par un autre chemin? Ne pouvant la rechercher parce que c'était plutôt grand, je n'ai pas d'autre choix que de lui téléphoner. Je lança l'appel et plaça mon téléphone sur l'oreille, en attendant qu'elle décroche. En ce moment plutôt déroutant puisque j'ai perdu la trace d'Ebony, j'espérai qu'elle n'avait pas laissé son téléphone dans sa voiture auquel cas je pourrais lui crier dessus pour l'avoir oublié. Cependant, peut-être m'observai-t-elle en rigolant mais un cheval s'entend assez bien je trouve ce n'est pas comme si je suis sourd. Pour essayer d'avoir une vue d'ensemble et étant donné qu'elle ne répond pas à mon appel, je dirigeai mon cheval vers une petite dune d'herbe tout en lançant un autre appel.