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( swan + jader ) i've got a mad little crush on you

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Swan Cartwright-Hansen
there's no place like berkeley
Swan Cartwright-Hansen
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MessageSujet: ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you EmptyDim 24 Fév - 20:08



- I know we broke up.
- Emma, we didn’t break up, we never started.
. NO RELATIONSHIPS, NO EMOTIONS, JUST SEX .
Tu sais bien que ça marchera jamais ! - Pourquoi ? - Parce que c’est clair, tu vas tomber amoureuse de moi - Ah tu crois ça ? Dans ce cas on le fera jusqu’à ce que l’un de nous ressente quelque chose de plus important et là on dira stop - Ce sera pas moi - Ce sera pas moi - Je te souhaite bonne chance . ▶ . Fournaise californienne, à la fin d'un été torride et sensationnel. Derrière les vitres noires de ses lunettes de soleil, la beauté sud-africaine s'élançait sur le campus flamboyant de Berkeley, tombant devant une braise italienne, aux cheveux sombres échevelés et à l’œillade appétissante. Son nom ? Jader Da Pitruzzela, une jolie créature milanaise, flattant son ego et ses désirs féminins. Sous les nouvelles couleurs orangées de l'automne, aux instants de ces jours où les étudiants regorgeaient dans les couloirs de l'université, eux deux se sont trouvés. Lui, l'aborda, elle répliqua. De ses yeux vert d'eau, clairs et pleins d'humour, Swan soutenu son regard de bad boy avec une facilité déconcertante, et enfila son voile de petite féministe libertaire. Un éclat de rire, des remarques amusées, un secret retenu entre ses lèvres scellées, et les voilà embarqués dans le jeu charnel et tumultueux des relations sans attache, celle qu'on veut amusante et excitante. Drôle et pétillante, sans la tristesse superflue qui dévaste les cœurs des amants. I'm your boss, now. Longs baisers écrasés au creux de son cou, Lui mordant les contours de son buste, leurs silhouettes agitées sur le grand lit de sa chambre. Des regards magnétiques lancés entre les murs de l'université. « Dans trente minutes, chez moi. » Sa longue jambe nue passant autour du cadre de la porte de sa salle de bain, ses lèvres maquillées d'un rouge vif, ses yeux de lionne venue dévorer son appas. Et lui, restant callé sur son oreiller, à attendre les directions de sa maîtresse. Certains matins, ils cuvaient côte à cote l'alcool de la veille : le corps dévêtu de l'epsilon étendu sur le canapé, sa chair recouverte d'un modeste drap blanc, et son bras gauche pendant dans le vide, tandis que la silhouette de l'italien s'étirait sur le lit d'ami, entouré de bouteilles de bières. N'importe où, n'importe quand, ils entretenaient cette relation platonique, encadrée scrupuleusement par leur charte royale. Constituée d'une série de règles simples, elle fut élaborée un soir d'hiver, dans l'odeur luxuriante de la voiture de Jader, alors que les couleurs étincelantes du jour déclinaient sur la ville. Prête à retourner se remplir le cœur de milles délices, Swan cherchait ses fringues éparpillés sur la banquette arrière, et continuait de mouvoir ses cheveux bruns dans tous les sens. « Règle numéro 1 : interdiction de s’appeler par des surnoms débiles – Règle numéro 2 : ne jamais s'offrir de cadeaux – Quoi ? Même pas pour les anniversaires ? - Oui, même pas pour les anniversaires ! Tu seras semblant d'oublier - Très bien. Règle numéro 3 : ne jamais sortir ensembles, et surtout pas question de dîner en tête à tête – Règle numéro 4 : accepter d'être soumis à la concurrence – Tu veux me rendre jaloux, c'est ça  ? - Pour cela, il faudrait déjà que tu sois amoureux de moi. Ce qui m'amène à la règle numéro 5 : interdiction de ressentir quoi que ce soit pour l'autre – Ça risque pas d'arriver ! » Traité signé des deux côtés, inscrit noir sur blanc sur l'écran tactile de leurs téléphones portables, cette charte allait désormais régir leurs moindres faits et gestes, surveiller avec minutie leurs comportements, et guider avec pleins de convictions leur jeu sans sentiment. Là voilà la vie d'adulte, libre et indépendante, dont elle rêvait depuis toujours. Pas de prise de tête, pas d'engueulades, pas de rendez-vous amoureux barbants et inutiles, pas de bouquets de roses à la faire pâlir. Non, rien de tout ça : juste du sexe. « J'écoute des chansons de vieux, je parle souvent quand je fais l'amour, et je me prends pour une James Bond Girl quand j'suis bourrée – Je crois que je vais pouvoir surmonter ça. » Notes de jazz, ambiance exaltante, une masse d'incontournables de dépravés sautant sur les planches du club, et elle, dansant autour de cette foule épaisse qui grossissait d'heures en heures. Des cheveux havanes. Des yeux vert gris, sous les lueurs pourpres de la salle. Une bouche bordeaux à damner un saint. Une silhouette déchaînée sous une version longue, et spécialement remixée, de I got a woman de Ray Charles, tellement longue que le temps autour d'elle semble s'étirer à l'infini. Vêtue d'une légère robe mauve, la petite reine de Johannesburg laissa explorer son euphorie dans le cœur de cette nuit. Mains agitées dans l'air, ses boucles brunes venant claquer ses joues rougies, et son corps tout entier, abandonné dans cette danse frénétique. Sous le viaduc et les spots de lumière, cette déesse de l'Afrique a un petit sourire aux bords des lèvres et l'âme en ébullition. Membre de la Beat Generation, la voilà, femme des années cinquante, enfilant l'un de ses costumes de fille assoiffée de liberté, insouciante du déglingue de son existence. Elle avait longtemps regretté de ne pas être née durant cette époque bohème et délirante de l'humanité, celui où les femmes se tapaient des hommes à longueur de journées, et où leur soif de nouveauté n'avait aucune frontière. Call me poivson ivy, 'cause I'm far from good. Pretty from afar like a dark star. Les ongles exempts de vernis, Swan continua de se déhancher face à cet océan humain, et ses prunelles, emplies d'élégance et de charme, capturèrent le regard de ces mâles avides de sa chair. Avec l'un deux, elle échangea des œillades de circonstance, appelant le mal et l'exaltation des sens. Avec lui, oui, elle dansa, longtemps, avec cette dextérité simpliste qui faisait mouvoir son corps à travers la foule. Du jazz, toujours. Dans ce burlesque, une terre promise où les amants solitaires et détraqués viennent se rassembler. Et ce soir, elle l'avait invité. Sa petite canne à sucre, qu'elle dévore affamée la nuit. Le Jader, le décadent, face à une Mademoiselle Swan, de toute beauté, et légèrement détraquée. Au cœur de cette fumée de plaisir, elle l’aperçut la regarder danser avec cet homme, et elle sourit, sourit bien plus encore qu'une immense fierté l'assaillit. Des flammes de joie entourèrent joliment son cœur, alors elle s'extirpa de cette valse pour rejoindre sa gonzesse masculine. Au fond, elle ne savait même plus comment le qualifier : un ami, un amant ? Mieux valait-il ne rien en dire. Galopant à ses côtés, son sourire redoubla d'intensité : sans doute était-elle heureuse de le revoir. « Comment va mon cul de mouche ? » s’exclama t-elle avec enthousiasme, en attrapant lors du passage d'un serveur un verre de mojito. Le cœur gonflé d'adrénaline, elle le but d'une demi-traite, et s'interrompit dans son élan, recrachant le liquide amer sur le costume du pauvre Jader. « Bon sang, c'est dégueulasse ! Tiens, je te le donne. » siffla t-elle avec la gueule d'une enfant sidérée de ne pas avoir obtenu de présents. Les bras croisés au-dessous de sa poitrine, elle le dévisagea avec son regard de chien battu, la même expression faciale qu'elle abordait lorsque leurs aventures sous les draps ne lui convenaient pas. Madame a ses exigences, voyez-vous. Et ce soir, il semblerait que la mauvaise humeur des vieux jours soit réapparue. Elle s'aggripa à son épaule, encore mouillé soit-disant passant, qu'elle tâcha d'essuyer incognito. « Quoi ? Ne me regarde pas comme ça. J'y suis pour rien moi si leurs mojitos sont infectes. » s'exclama t-elle outrée, sentant l'obligation de s'expliquer s'abattre sur elle, chose dont elle avait horreur de faire. Et ses yeux verts pourtant, s'emplirent de lumières. Elle contempla son petit sourire discret, sa mine amusée et moqueuse, et le léger frémissement de ses narines, et se souvint de la véritable raison pour laquelle elle lui avait demandée de venir ici. « Tu viens danser ? » lui souffla t-elle à l'oreille, ses jambes de vagabonde déjà prête à s'élancer sur la piste. Un joli sourire de courtisane bordant ses lèvres serrées, elle s'apprêta à lui tendre la main, mais se ravisa au dernière moment. Règle numéro 5 : interdiction de ressentir quoi que ce soit.
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MessageSujet: Re: ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you EmptyVen 15 Mar - 22:19

I can resist everything except temptation.
« Règle numéro 1 : interdiction de s’appeler par des surnoms débiles – Règle numéro 2 : ne jamais s'offrir de cadeaux – Quoi ? Même pas pour les anniversaires ? - Oui, même pas pour les anniversaires ! Tu seras semblant d'oublier - Très bien. Règle numéro 3 : ne jamais sortir ensembles, et surtout pas question de dîner en tête à tête – Règle numéro 4 : accepter d'être soumis à la concurrence – Tu veux me rendre jaloux, c'est ça ? - Pour cela, il faudrait déjà que tu sois amoureux de moi. Ce qui m'amène à la règle numéro 5 : interdiction de ressentir quoi que ce soit pour l'autre – Ça risque pas d'arriver ! » Ainsi soit-il. Des règles, toujours des règles. Habituellement, monsieur l'italien n'était pas friand des restrictions quant à ses agissements, non, monsieur prônait la liberté dans toutes ses formes. Inutile de préciser la nature de ses désaccords avec sa chère et tendre marâtre mère de cela. Méprisant toutes figures des institutions de contrôle de la société, Jader n'avait jamais adhéré aux règles. Rares sont les fois où il s'y était réellement soumis à ces formalités d'ailleurs. Puis Swan débarqua. Jader, pour elle, se transforma. On ne saura probablement jamais si sa décision de se soumettre aux règles, entièrement décidées par l'epsilon, aura été due au ton autoritaire utilisé par cette dernière qui reflétait sans conteste sa position supérieure face au milanais ou bien alors à sa peur de devoir subir les conséquences de ses actes si déviance il y a. Peu importe, il avait accepté de signer noir sur blanc, sans broncher s'il vous plaît, à ces foutus règles qui allaient limiter leurs faits et gestes. Et à y réfléchir, tout était bien mieux ainsi. Des règles, des limites, ce dont il avait le plus besoin ces derniers temps. En plus d'aventures et de nouvelles palpitations, de nouvelles expériences peu importe fussent-elles. Et avec étonnement, Swan réunissait à elle seule toutes ces conditions exigées par notre iota pour sortir de la routine de sa petite vie paisible, sans embauches, de riche héritier aux nombreux tourments d'amour. Qui l'aurait cru ? Le tombeur de ses dames cédant à son tour à une beauté venue d'ailleurs, petite vengeance de la vie : la vie est drôlement bien faite. Quelques avances susurrées par-ci par-là, une simple mais efficace approche et nous voici venu à cette relation non exclusive dictée par ces règles. Ne pas ressentir quoi que ce soit. Facile. Réalisable. Un jeu d'enfants. Juste du sexe. Facile. Réalisable. Un simple jeu d'adultes. Et qui dit jeu, dit terrain de jeu. Aujourd'hui, ce soir, la délimitation de ce terrain fut d'une simplicité sans pareil, bien que sans doute un peu étonnante pour l'italien : l'entrée/la sortie du burlesque du quartier sud de San Francisco. Le jeu se déroulait dans cette zone. Ni plus ni moins. Pour dire vrai, Jader avait rarement - pour ne pas dire jamais - posé les pieds à terre dans ce genre d'endroits, bien qu'il soit un friand sans égal des boîtes de nuit. A croire que le burlesque a échappé à notre fêtard national. Sans doute trop peu informé ou très peu curieux pour s'aventurer dans de nouvelles découvertes. Merci jolie Swan pour ces trouvailles en or. Accoudé à un bar, près de l'entrée, l'étudiant encercla d'un regard plein de malice la pièce plongée dans l'obscurité totale, sans prendre en compte les spots lumineux se mouvant au gré de la musique envoûtante. Illuminées par ces spots, au centre d'une scène digne d'un réel cabaret, des danseuses agitaient sensuellement leur corps au rythme de la mélodie du jazz résonant dans la pièce. Le jazz, la musique en général n'étant pas son fort, Jader ne préféra pas se prononcer la qualité de cette musique. Dans ses oreilles, elle sonnait irrésistiblement entraînante, tout ce qui importait. En admirant de loin la boîte, l'italien n'eut aucun de mal à dorénavant comprendre le lieu de rendez-vous proposé par la sud-africaine. Ni n'eut aucun mal non plus à la reconnaître, se déhanchant avec frénésie au rythme endiablé des notes de jazz, dans une tenue des plus légères à la couleur mauve. Automatiquement, à la vue de celle-ci, il ne put s'empêcher de se mordre la lèvre inférieur, tout en l'admirant avec attention, ne cachant ainsi pas son envie dévorante de la posséder, là, maintenant, tout de suite. La patience ne faisant pas parti de ses qualités - déjà trop nombreuses - monsieur s'était échafaudé un plan mystère pour l'enlever ici, maintenant, sur scène si des notes de musique osaient encore retentir, retardant ainsi son petit jeu coquin avec l'epsilon. Fort heureusement, tandis qu'il ne la lâchait pas d'un regard, elle le perçut, eut un sourire qui lui semblait empli de fierté, et s'avança vers lui, d'une élégance sans pareille. Bonjour charmante demoiselle, amie ou amante, quelle que soit ton statut, nous allons beaucoup nous amuser ce soir. Alors qu'elle le salua non sans oublié le sobriquet ridicule, il se contenta d'un sourire en coin après avoir légèrement haussé les sourcils. Cul de mouche ? Tiens donc, intéressant. Trop impatient, il ne rétorqua pas. Préférant lui offrir son plus beau sourire, qui reflétait sans conteste sa fierté. Sa fierté de s'être acquitté d'une perle aussi rare. Il s'imaginait tous les regards tournés vers eux, tous les hommes le jalousant, toutes les femmes l'enviant. Le duo parfait. Sexy comme jamais. « Bon sang, c'est dégueulasse ! Tiens, je te le donne. » Ou presque. Madame Swan et ses caprices, acte un. Le regard de chien battu, incomparable à celui du chat poté, l'epsilon jeta un regard plein d'innocence au pauvre Jader, dorénavant contraint à porter une tenue trempée, imprégnée de l'odeur délicate du Mojito. Elle haussa les épaules, rejetant la faute sur le goût infecte de l'alcool. Sur ce point, il ne peut qu'être d'accord. Tenant le verre qu'elle lui avait passé sans poser de questions, il lui lançant un regard hésitant entre l'amusement ou l'envie de meurtre. La seconde solution étant inimaginable à ses yeux avec Swan, la première solution avait été la seule issue. « J'attends de toi une nouvelle tenue digne de celui-ci à notre prochaine rencontre. 550$ la chemise, je précise. Au cas où. » Balança-t-il d'un air amusé, posant par la même occasion le verre d'alcool encore plein afin d'éviter une seconde catastrophe. Ça lui apprendra à vouloir porter une tenue correcte pour une soirée va. Soirée qui, il le savait, finira sans tenue tout court. « J'ose espérer que tu sauras te rattraper de ta maladresse par la suite. » N'en dis pas plus, mon petit. Tout était clair. Tes intentions et envies ont été annotées. Swan l'avait devancé d'une pensée en l'invitant à danser, lui rappelant ainsi la raison de sa venue. La seule idée de s'imaginer dansant sur scène l'électrisa, mais alors qu'il vit s'éloigner sa préciosité d'un pas dansant, il en oublia ses craintes et la suivit, comme hypnotisé. Les yeux rivés sur sa démarche enjôleuse, sur son postérieur en particulier, il l'accompagna un bon mi-chemin avant de se raviser, et de s’aplatir lamentablement sur un fauteuil proposé par la boîte. « Sinon j'ai une autre proposition à te faire : tu danses, je regarde. » Les yeux emplis de malice, il attendit patiemment qu'elle s'attèle à sa mission du soir : satisfaire monsieur. Chose facilement aisée, à sa portée. Pour une fois, inversons les rôles : elle était le pion du jeu, lui le maître. Sous le regard attentif du iota, Swan s'élança, se déhancha, se mouvât sensuellement, répétant la danse qu'elle pratiquait quelques minutes plutôt avant son arrivée. Clairement Jader ne la lâcha plus du regard. C'était à peine si les autres danseuses à ses côtés, sur scène, prenaient une quelconque existence à ses yeux, à peine s'il prenait conscience du monde qui continuait son train-train autour de lui, tandis qu'il se rinça sans gêne l’œil. Ce fut à peine qu'il remarqua l'autre individu de type masculin qui osait regarder dans la même direction que lui, qui se permettait de s'immiscer dans leur moment d'intimité. « Pas mal hein ? » L'aborda le trentenaire d'un sourire en coin, avec une pointe de bave sur le coin de la bouche. Lors d'une fraction de seconde, Jader l'observa attentivement poser son regard de vieux pervers sur le corps encore frais et juvénile de sa Swan et eut une envie irrésistible de lui fracasser la gueule. Une fraction de seconde. « Un peu trop jeune, non ? Regardez plutôt cette minette là-bas, elle tape presque dans la trentaine, parfait pour vous, je vous assure ! » Jaloux, Jader ? Si peu.
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Swan Cartwright-Hansen
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MessageSujet: Re: ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you EmptySam 30 Mar - 16:39

I DON'T EVEN KNOW IF I FIND YOU ATTRACTIVE - THAT'S CUTE - I DO HAVE A THING FOR JERKS. WELL, DO EVEN FIND ME ATTRACTIVE ? - THAT'S CUTE - NO ! BEFORE YOU GOT TO KNOW MY AWESOME PERSONALITY. STRICTLY PHYSICAL. FIRST TIME YOU SAW ME - I LIKED YOUR EYES. I DIDN'T THINK I'D EVER SEEN SUCH BIG BEAUTIFUL EYES - AND YOUR LIPS, THOUGHT YOU MIGHT BE A GOOD KISSER - I AM. ( DYLAN + JAMIE )
. I'm just gonna work and fuck, like George Clooney .
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Une perle nocturne scintillante dans le cercle ancestral d'une scène mouvementée. Là voilà, Mademoiselle Swan, un petit bout de femme à la face enchanteresse et à la grande bouche écarlate, le genre de fille totalement folle et décalée de son temps, ancrée dans une époque lointaine et dépassée par les années. De là résidait toute l'arme de son génie. De ses deux yeux flamboyant de vert et bleu mêlés, elle captura le regard amusé de sa petite gonzesse, sa marionnette de la nuit, l'apprenti et l'élève de ses actes charnels. Encore toute essoufflée par sa longue danse rythmée, elle le vit découvrir le désastre alcoolisé imbibé sur ses vêtements rigoureusement portés et ne put s'empêcher d'y lâcher l'un de ses rires irrésistibles, le genre d'éclat de joie communicatif qu'aucun homme ne saurait interrompre. Adorable dites-vous ? Si peu. Sa main soigneusement manucurée de rouge déposée sur sa hanche, quelques mèches brunes éparpillés sur son visage de poupée, elle entendit sa réplique légèrement amusée, et pouffa à nouveau de rire, suscitant toute l'attention des conviés à la soirée. « Tu rigoles ! Pourquoi je te paierai une nouvelle chemise – sous prétexte que celle-ci soit foutue, évidemment – alors que tu sais très bien qu'avec moi dans les parages, tu ne la porteras pas bien longtemps. Épargne-moi donc de tes caprices ! » riposta t-elle la voix emplie de charme et de délicatesse, en haussant méticuleusement les sourcils avec cet air d’innocence bien à elle. De sous-entendues en sous-entendues, elle tissait le terrain de la soirée, s'amusait de lui et de ses taquineries multiples, car au fond, elle opérait toujours de la même façon. En dire le moins pour en faire comprendre le plus. « Tu le sauras en temps voulu très cher. Patience. Patience. » Le front légèrement plissé, les traits de son visage de délurée inspirèrent mystère et ivresse, un duo imparable, indéniable que cette créature sud-africaine savait maniée avec ingéniosité. Faire naître le désir, l'étendre au fil des heures, sans avoir à jouer de ses charmes pendant des heures avec des discussions guindées sur la littérature, le sport ou l'actualité de l'université. Avec elle, tout n'était qu'une question de bon timing. Une fois conquis, sa proie ne pouvait en aucun cas lui résister. Comme une adroite araignée qui enroulerait sa victime entre ses fils fragiles. Jader, dressé devant elle, l'invita à danser pour lui. Sitôt, elle en sourit. Ses douces mains accrochés au pans de sa robe libertine, elle dirigea vers la piste encore remplie de monde et se mit à se déhancher avec ses manies de danseuse de jazz. La tête tournée dans tous les sens, les bras incessamment en mouvement autour de sa taille fine, sa longue chevelure couleur café crème giflant chaque parcelle de son visage. Une fois de plus, on pouvait facilement être frappé par l'aisance avec laquelle son corps élancé vacillait, ses chevilles tournoyaient sur elles-même, ses pieds découlaient du sol surplombé de fumée artificielle. Elle pourrait rester là toute la nuit jusqu'à sentir la force de ses muscles s'amoindrir et les membres de sa silhouette gracieuse s’affaisser par la fatigue. Certains diront qu'elle est née pour enivrer les hommes par sa beauté sauvage, d'autres qu'elle renferme un secret énigmatique au fond de son cœur soit-disant bien armé. Peu importe après tout, car c'est bien là que demeure tout l'intérêt du mystère qu'elle insuffle autour d'elle. Son visage aux couleurs du soleil, ses longs cheveux foncés, et ses yeux de velours lui donnaient un charme fou, suscitant facilement l'émoi de la gente masculine. Mais bien plus que sa belle gueule et son franc parler légendaire, c'était son élégance et sa façon de paraître inaccessible qui forgeait toute sa séduction. Embarquée dans le tourbillon de sa danse, la belle Swan se stoppa nette, scrutant un homme, plutôt charmant, avec des cheveux courts et une barbe brune naissante. Il s'était assis aux côtés d'un Jader agacé, et lui prononça des mots qu'elle ne put entendre. Alors intriguée, elle les rejoignit avec son allure pleine de grâce, et s'installa entre eux deux, croissant élégamment ses longues jambes nues. L'air détendue, elle n'exprima aucune gêne à entamer une conversation avec cet inconnu, sans attribuer la moindre attention à son disciple charnel. En une poignée de minutes seulement, elle parvint à tout connaître de lui, jouant de ses regards d'allumeuses et ses sous-entendus par milliers. Un naïf, parmi tant d'autres, buvant ses douces paroles comme jadis, il s'endormait avec la voix de sa mère. C'était fou, hallucinant, cette manière qu'elle avait toujours de traiter les hommes, d'aspirer leurs désirs pour s'en nourrir elle-même, de les jeter dans une benne à ordure une fois qu'elle s'en était lassée. Pour elle, ce n'était qu'un jeu, simpliste et attrayant, qui comblait ses nuits, et surtout, son lit. « Doucement, petit cœur. » reprit-elle d'un ton léger, en sentant la main du type se poser sur le haut de sa cuisse. D'une main vive, elle s'empara de son menton légèrement barbu, comme une mère le ferait pour sermonner son enfant. « Ici, c'est moi qui décide. » Un large sourire peint d'une gentillesse faussée, qui vint marquer son air vexé. Jamais, ô grand jamais, elle n'appréciait se faire devancer. Elle qui avait tant l'habitude de diriger les rênes de son traîneau. « N'est-ce pas ? » s'enquit-elle auprès du Jader qu'elle avait délaissée à ses côtés. Attirant vers elle son visage de sa main libre, elle se délecta de lui offrir un charmant sourire de circonstance. Il est vrai qu'on ne lui en voulait jamais bien longtemps à cette Mademoiselle Swan. Il faut dire qu'elle savait pertinemment comment se faire pardonner. « Debout ! » ordonna t-elle d'un seul coup, en tirant sur leurs mains respectives. Elle tournoya sur elle-même et les vit, tout deux, marcher derrière elle. Vive d'esprit, un sourire de fierté étira ses lèvres framboises. Seigneur qu'elle aimerait devenir la maîtresse du monde. Sans aucune lassitude, elle se remit à danser avec eux et ses mouvements de féline firent d'énormes vagues sur sa robe mauve. Freedom. Sweet freedom. Des lettres pleines de sens sur sa bouche, et un diadème de reine dans ses cheveux bruns. Dans ses élans rythmés, elle chercha leurs mains, s'amusa à faire glisser ses doigts sur leurs poitrines, toute amusée. Aspirés dans un tunnel dansant, ils restèrent de longues minutes ainsi, à se chercher et se retrouver, chacun d'eux frémissant d'envie de sentir sa taille fine et sa petite poitrine. Bercée dans ce monde aux milles désirs, Swan joua sans cesse avec le feu, capturant le regard de Jader de temps en temps. La braise foncée de ses yeux la fit fondre d'une ivresse qui l'anéantit, tandis que, juste derrière elle, l'illustre inconnu s'aventura vers l'effluve sucré de son cou, ses mains encerclant ses hanches. Le corps bordé dans ses bras, et l'esprit captivé sur son visage à lui, ce Jader qu'elle s'était promis de ne pas aimer. Elle le vit se mouver devant elle, et sans pouvoir se retenir, elle se mit à rire. Des éclats sincères, qui fit rougir ses deux joues poudrées. Assez. En tournant les talons, elle se débarrassa de l'emprise bien trop grande de l'étranger, et le fit déguerpir dans les règles de l'art. Un digne baiser sur ses lèvres. Autant d'espoir pour le faire revenir à elle, un jour, peut-être. « Tu veux que je t'avoue un truc ? » lança t-elle à Jader d'une voix joueuse, en se retournant vers lui. « Tu danses aussi mal que lorsque moi, je cuisine. Un vrai désastre ! » avoua t-elle sans parvenir à s'arrêter de rire. « Je comprends mieux pourquoi tu ne voulais pas m'accompagner tout à l'heure. Tu aurais du me le dire de suite. » renchérit-elle avec ce même air d'investigatrice, avant de poursuivre. « Tu avais peur que je me moque, c'est ça ? » Les yeux plissés, elle l'observa, encore intriguée. L'air amusé, elle enroula ses bras derrière sa nuque, et elle sentit sa chemise encore humide contre son buste, tout en souriant encore de sa connerie. « Arrête de me regarder comme ça. » fit-elle cette fois-ci bien plus sérieuse. Pour la première fois depuis qu'elle fréquentait le iota, Swan sentit se former entre eux un profond mystère dont elle n'était pas l'auteur. Un mystère inconnu dont elle devait à tout prix percer le secret. « Comme si j'étais à toi. »
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June D. J. Martin
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June D. J. Martin
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MessageSujet: Re: ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you EmptySam 11 Mai - 0:20

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MessageSujet: Re: ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you ( swan + jader ) i've got a mad little crush on you Empty

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