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Oh baby let me be your last first kiss [Jordane&&Ethan]

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MessageSujet: Oh baby let me be your last first kiss [Jordane&&Ethan] Oh baby let me be your last first kiss [Jordane&&Ethan]  EmptyMer 10 Avr - 4:33

Ayant appris l'accident de Jordane, je restais complètement sous le choc pendant plusieurs minutes tandis que je lâchais mon téléphone. Assis sur mon lit je réalisais tout à coup qu'elle pouvait me glisser entre les doigts sans même le vouloir, la mort pouvait frapper à n'importe quel moment et venir briser le bonheur que nous étions en train de construire peu à peu. J'avais déja mis un frein à notre relation en lui parlant de mon ex petite amie qui venait de débarquer à Berkeley, elle m'avait raconté qu'elle avait tué quelqu'un et bien qu'étant choqué par la nouvelle, j'avais immédiatement essayé de la rassurer en lui disant que cela ne changeait rien entre nous. Malheureusement je ne pouvais me retirer cette image de la tête, je ne la voyais tellement pas tuer quelqu'un que je me demandais encore ce qui avait bien pu la pousser à aller jusque là. Mais pour le moment la seule chose qui m'importait était d'aller la retrouver à l'hôpital, seulement ce n'était pas possible pour l'instant de la voir, la seule chose que je pouvais faire était d'attendre, attendre l'autorisation des médecins. Cela faisait déja plusieurs jours que je n'avais pas eu de nouvelles de sa part, je ne m'étais pas inquiété outre mesure me disant qu'elle devait encore etre en train de digérer l'histoire Alexie, mais au lieu de ça elle était toute seule dans cette chambre d'hôpital. Je regrettais de ne pas avoir été avec elle à ce moment là, je voulais qu'elle sache qu'elle pouvait compter sur moi à tout moment et pourtant plus le temps passait et plus j'étais un petit ami pitoyable selon moi. D'ailleurs cela avait toujours été mon problème, je stressais pour tout et n'importe quoi et mon côté perfectionniste refaisait toujours surface à un moment ou un autre. Après l'amour je me demandais si j'avais été assez bon, lorsque je l'invitais quelque part je vérifiais 100 fois si tout était bien prêt et si tout allait se passer comme il fallait, je ne laissais rien au hasard. Pourtant cette partie de ma personnalité venait contraster avec ma spontanéité naturelle qui avait laissé place à de la méfiance et des calculs depuis que me faire briser le cœur était devenu monnaie courante.

Tandis que je m’avançais vers le miroir de la salle de bain, je vis mon reflet qui ne me plu pas du tout. J’avais laissé négligemment ma barbe me pousser sur le visage qu’on ne reconnaissait pratiquement plus. D’habitude j’avais l’air d’un homme encore à moitié enfant, au visage presque poupin, maintenant j’étais la caricature parfaite du Robinson tout seul sur son île à attendre la providence qui ne viendrait jamais. Je passais une main de ma joue à mon menton pour constater l’ampleur des dégâts, je ne pouvais pas aller voir la jeune femme dans cet état-là, il fallait que je me refasse une beauté afin de la surprendre agréablement, surtout si elle venait à se réveiller comme par miracle dans les prochaines heures, ou les prochains jours. Je pris la mousse que j’étalais de façon uniforme sur mon visage avant de commencer à raser de la façon la plus précise possible, je pouvais presque passer pour un barbier professionnel. Me concentrer sur cette tâche m’aidait à arrêter mon esprit, à l’empêcher de penser à la jeune femme, allongée, inconsciente dans un lit d’hôpital entre la vie et la mort. Je refusais même de le concevoir car je savais qu’une fois là-bas, en face d’elle je ne pourrai absolument rien faire, je serai impuissant et seul le destin viendrait me dire si la iota vivrait ou non. Comment pouvait-on laisser une chose comme celle là arriver ? Une fille aussi généreuse, jolie, intelligente et drôle n’avait pas le droit de mourir aussi jeune, pas comme ça, pas pour un stupide accident. Je défis mon t-shirt sans trop me soucier du reste et me mis sous la douche que j’allumais directement sur le côté bleu. Une bonne douche froide ne me ferait que du bien en ces temps sombre de reflexion profonde. Je m’attendais encore une fois à perdre une fille que j’aimais et je n’étais pas prêt à recevoir ce choc aussi brutal soit-il. Je frissonnais tandis que l’eau continuait de venir refroidit chaque pores de mon corps, mes cheveux me tombaient dans les yeux et l’eau venait couler de mon nez tandis que mes yeux se mirent à pleurer. Sans les commander, mes glandes lacrymales parlaient pour moi, elles exprimaient le desespoir que je pouvais ressentir actuellement sans me laisser le droit de l’exprimer. Le trop plein de rétention avait donné l’effet inverse de ce que je voulais car maintenant je ne pouvais retenir ces larmes de crocodiles qui coulaient suivant le flot du jet qui me tombait sur la tête. J’arrêtais finalement le robinet secouant la tête et essayant tant bien que mal de réchauffer mon corps à l’aide d’une serviette. Je me regardais à nouveau dans le miroir pour constater que mes yeux étaient rouges et gonflés, j’allais devoir faire avec de toute façon car j’étais attendu à l’hôpital et je ne pouvais pas lui faire faux bond. Je revins dans ma chambre afin de m’habiller, un caleçon, une paire de jeans, une chemise et des chaussures de la veille feraient l’affaire, je n’avais pas la capacité de réflexion nécessaire, même pour ce genre de décision futile. Je mis un manteau sur mes épaules avant de sortir en trombe, dévalant les escaliers pour rejoindre ma voiture. Une fois à l’intérieur je mis le contact rapidement afin de m’envoler presque aussi rapidement qu’un coureur de F1 vers le lieu que je redoutais tant depuis la mort de mes parents, celle de Rowan… je ne pouvais pas accepter que ce soit la fin, non pas une troisième fois, pas encore ! J’avais bien faillis y perdre Reagan également lors de cette putain de fusillade et pourtant les dieux lui avaient accordés une dernière faveur, celle ce vivre une vie heureuse et épanouie, une vie qui se terminerait sans doute de mort naturelle dans de très nombreuses années. C’était ce que je désirais le plus au monde pour Jordane également.

Une fois sur les lieux, je demandais le numéro de la chambre à la réceptionniste en lui laissant à peine le temps de répondre. J’étais déjà en train de errer dans les couloirs à la recherche de celle-ci, et lorsque je la trouvais enfin, je restais complètement bouche-bée face à l’horreur de la situation. Je me rapprochais doucement, la larme à l’œil pour venir lui prendre la main. Elle était froide, comme si la mort s’emparait peu à peu d’elle, comme si son corps ne répondait plus et lâchait peu à peu prise. Jordane, c’est moi… c’est Ethan… il faut que tu t’en sortes je t’en prie tu ne peux pas me laisser comme ça, qu’est-ce que je ferais sans toi, hein ? Tu m’imagines un peu ? Entre Alexie et Jack qui est de retour, je ne peux pas affronter cela sans ma nouvelle petite amie que j’aime plus que tout au monde, c’est impossible… Je lui fis un léger sourire tandis que je reniflais pur ravaler mes pleurs. Si tu t’en sors je te promets qu’on s’en ira rien que tous les deux, quelque part où personne ne nous trouvera… après tout c’est les vacances, on se doit de prendre un cocktail sur le bord d’une plage, je t’emmènerai en Australie tu verras tu vas adorer. Je marquais une pause. Je suis désolé de t’embêter avec tout cela, tu sais bien que je parle toujours trop quand je suis nerveux.Je lui faisais la conversation comme si rien n’était arrivé, comme si tout était normal, pourtant c’était tout le contraire et l’issu de cette journée allait être déterminante pour moi comme pour elle.
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Edison L. Allen
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Edison L. Allen
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MessageSujet: Re: Oh baby let me be your last first kiss [Jordane&&Ethan] Oh baby let me be your last first kiss [Jordane&&Ethan]  EmptyDim 14 Avr - 3:42


J’ai fait la chose la plus terrifiante et la plus dangereuse de ma vie quand je t’ai dit que je t’aimais. Mais ça valait le coup. J’ai réussi à surmonter ma peur pour toi...
Le problème tu vois, c’est que je ne peux m’empêcher de penser à toi. C’est pas faute d’essayer pourtant. J’ai essayé des dizaines de fois. Que dis-je, j’ai essayé des millions de fois même. Mais y’a vraiment rien à faire. J’ai plus envie d’aimer tu comprends, et encore moins de t’accorder de l’importance, mais j’ai beau essayer de m’intéresser aux autres, personne ne brille autant que ta présence.


    Allongée sur mon lit d'hôpital, je tentais d'oublier la douleur lancinante que je ressentais dans mes côtes brisées. L'accident n'avait pas causé uniquement des dommages cérébrales, mais m'avait bel et bien broyé physiquement, au point que plusieurs de mes côtes avaient été cassé, de même que ma jambe droite. Une éclopée. Voilà ce que j'étais devenue. Une éclopée qui risquait ne jamais pouvoir remonter sur une poutre, ni même refaire ne serait-ce qu'une arabesque, si ma jambe ne guérissait pas correctement. Adieu la gymnastique, adieu mes rêves de reprendre ce sport si gracieux à mes yeux. Je n'en revenais pas que mes espoirs de pratiquer à nouveau la gymnastique soit à ce point réduit à néant, au moment même où j'étais préparé à affronter mon passé, et à faire revenir ce sport dans mon présent. Je tentais de me rendosser sur mon oreiller, mais la douleur traversant mes côtes m'arracha une grimace, et un petit cri perçant s'échappa de ma gorge. Lily-Rose se trouvant dans les parages se précipita vers moi et m'aida à me relever. Je la vis soupirer tout en secouant la tête. Elle semblait désespérée de me voir tenter de me débrouiller toute seule, sans l'aide de personne. Elle me connaissait bien, si bien qu'elle savait à quel point je détestais me faire assister, comme si j'étais incapable de faire les choses toute seule. C'était quelque chose qui me semblait totalement insupportable, se faire assister étant la chose la plus dégradante qui soit, voir insultante, au point que j'avais toujours tout fait par mes propres moyens. Et bien sur, Lily en avait conscience et faisait en sorte de ne m'aider que dans la stricte nécessité. Mais un cri de ma part était le signe suffisant pour elle que j'avais besoin d'aide. Voilà pourquoi ma béta préférée s'était précipitée à mon chevet et m'avait aidé à me réinstaller dans mon lit. « Sérieusement Jord'? Tu ne pouvais pas juste me demander de t'aider? Si tu veux guérir, il va falloir apprendre à ouvrir ta bouche, prends sur toi et ta foutue fierté, et demander à ce qu'on t'aide. Sinon, tu n'es pas prête de sortir de cet hôpital. » Ce à quoi j'avais répondu d'un ton plus que grognon un oui maman, plus que ronchon, donnant très clairement le ton de mon état d'esprit actuel à ma meilleure amie. Au moins, elle savait à quoi s'attendre et c'était bien là le plus important. Lily-Rose était la seule personne dont j'avais reçu la visite à un moment où je demeurais consciente, faisant d'elle la seule et unique personne avec qui je pouvais communiquer. J'avais bien évidemment eu l'occasion d'échanger avec mon médecin, mais il allait sans dire que ce n'était pas à lui que j'allais me confier et m'attarder sur mes problèmes. Ces problèmes étant bien sur Ethan. Le jeune homme, mon petit ami depuis le bal de Noël avait récemment tout découvert de mon passé de meurtrière, lui ayant tout avoué de mon plein grès. Seulement, je savais que cela avait pu le rebuter, et j'avais pris peur qu'il ne soit jamais venu me voir à l'hôpital. Etait-il seulement au courant de mon état? Non j'en doutais, mais j'avais tout de même pris le risque de poser la question à Lily, osant affronter cette peur irrationnelle qui me tiraillait l'estomac. Celle-ci m'avait bien vite rassurée, en m'expliquant qu'il avait passé des heures à mon chevet, espérant ainsi que sa présence m'aiderait à me réveiller de ces cinq longues journées de sommeil. Elle avait rajouté que mon état l'inquiétait énormément, et qu'il avait affiché une mine affreuse tout le temps où il s'était tenu à mes côtés. Aux dires de la béta, il avait même passé une ou deux nuits dans ma chambre d'hôpital, tordu dans un fauteuil des plus inconfortables qui soit. Même si l'idée qu'Ethan ait été dans une position si désagréable était agaçante, le simple fait que le iota ait désiré être tant présent à mes côtés me fit un bien fou. Il ne me haïssait pas. Il n'avait pas peur de moi. Il était prêt à passer outre mes pêchés passés, mes erreurs antérieures, et cette pensée était bien plus antalgique pour moi que n'importe quoi d'autre. Ethan était prêt à rester à mes côtés, quoi qu'il advienne…

    Un son me parvint aux oreilles. Quelle heure était-il? Depuis combien de temps dormais-je? Je n'aurais su dire. Mais je me souvenais brièvement m'être plainte de douleur dans les côtes, et le médecin en charge de mon dossier m'avait assommée de médicaments afin d'atténuer ces douleurs. Seul problème, je m'étais endormie, sans avoir le temps de dire ouf, ni même de dire au revoir à Lily. Aussi, je m'attendais à entendre la voix de la béta à mes côtés mais la voix que je reconnus n'était pas la sienne. Elle était bien plus grave, bien plus ferme. Je n'osais ouvrir les yeux de peur que tout cela ne soit qu'un rêve, que tout cela soit irréel et qu'Ethan ne soit pas à mes côtés. Cette voix me soufflait des choses qui me berçaient et me donnaient une force dont je ne me saurais pas cru capable aujourd'hui. Il m'aimait. Il m'aimait plus que tout et voulait mon soutien pour supporter le retour de ses deux ex petites amies - dont son ex femme -. Je n'osais dire que j'étais réveillée, que j'étais là pour lui, que je l'aiderai à supporter ces deux femmes. J'étais tétanisée par cet amour qu'il me portait et que je croyais parti au moment où j'avais prononcé le mot meurtre. Mais ma surprise n'arrêta pas là, puisqu'il en vint à me proposer des vacances, dans un lieu où personne ne serait en mesure de nous trouver, et l'Australie lui semblait le lieu idéal. Je luttais alors pour ne pas me parer de ce fantastique sourire que sa phrase me procurait. Je tentais de me mordre les joues, espérant que cela passerait inaperçu, mais à entendre les tremblements dans la voix d'Ethan, je doutais qu'il puisse repérer le moindre frémissement de mes yeux tant son émotion était grande. Je ne pouvais pas le laisser comme ça, la culpabilité commençait doucement à refaire surface et je décidais de feindre un réveil. « L'Australie hein? Ca me semble une destination idyllique pour passer des vacances en amoureux! » J'avais osé prononcer ce mot, sans jamais en avoir compris le sens jusqu'à aujourd'hui. Mes yeux s'ouvrirent peu à peu, pour m'offrir la vue d'un visage propre, mais tendu, aux traits fatigués et inquiets. Le visage d'Ethan, image tellement rassurante en soit. Un sourire s'inscrit instantanément sur mon visage, au moment même où mon cœur tomba dans ma poitrine. Cette sensation me surprenait toujours autant, mais aujourd'hui, elle avait une saveur particulière, parce que je savais que j'étais prête à me jeter corps et âmes dans cette aventure, sans peur d'un lourd passé ou de mensonges pesants. « Ca fait longtemps que tu es ici Daniels? Tu vas rire, mais je n'ai même pas l'impression que tu m'as manqué. J'ai le sentiment que tu as toujours été avec moi, que tu ne m'as jamais quitté. » De ma main valide j'attrapais son col, et l'attirais doucement à moi, avant de déposer un baiser sur ses lèvres. J'étais faible et pourtant je trouvais malgré tout la force de lui montrer mon amour dans ce baiser, un amour que j'espérais sans faille.
    Ethan. Tout se résumait ces derniers temps à lui. Peut importe ce que je pensais, peut importe ce que je faisais, tout finissait par se rapportait à lui, parce qu'au final, mon centre de gravité c'était lui. Certains ont pour habitude de dire que l'amour est le centre de gravité de tout être vivant, que dès lors qu'il s'ouvre à ce sentiment, tout son univers est chamboulé, toutes ses habitudes sont perturbées, au point que son seul point d'ancrage devient la personne concernée par ces sentiments. A l'époque où je sortais avec Roman, je n'avais jamais ressenti cela, me laissant alors dubitative. Pourtant aujourd'hui tout prenait son sens. Ethan était devenu ce centre de gravité, ce point d'ancrage, seul à pouvoir me ramener à bon port dans les moments noirs. Ethan. Voilà tout.
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MessageSujet: Re: Oh baby let me be your last first kiss [Jordane&&Ethan] Oh baby let me be your last first kiss [Jordane&&Ethan]  EmptyJeu 18 Avr - 1:21

Je fus soudain réveillé lorsqu'elle prononça quelques mots d'une voix assez faible, signe qu'elle n'avait pas ouvert la bouche depuis un bon moment. J'étais fier que ses premiers mots me soient destinés, malgré tout j'avais peur, peur que ce ne soit qu'un faux espoir et qu'elle retombe dans un sommeil profond en une fraction de seconde. J'appelais rapidement un médecin en appuyant sur la petite touche rouge de la télécommande adjacente au lit avant de revenir immédiatement lui prendre la main et lui faire un grand sourire. Mes yeux étaient humide tant l'émotion me submergeait tout à coup, la tristesse laissait place au soulagement et je me raccrochais à l'idée qu'elle allait en sortir indemne essayant d'oublier mes vieux démons qui me murmuraient que ce n'était qu'une illusion. Oui je t'assure que c'est la meilleure des destination, mon oncle possède un magasin de planche de surf la-bas, il est arrivé avec rien lorsqu'il était jeune et à réussi à se faire un paquet d'argent avec son commerce. C'est un peu un modèle pour moi, je n'ai rien eu d'autre à faire qu'à toucher l'argent du pétrole trouvé dans mon jardin c'est mois héroïque. Je riais avant de me rendre compte que une fois de plus je parlais trop. Enfin tout cela pour dire qu'il a connu la femme de sa vie et qu'ils sont mariés depuis maintenant une dizaine d'années et plus qu'heureux, voila pourquoi je veux aller là-bas, je nous souhaite la même chose. Je vins lui donner un léger baiser sur les lèvres avant de voir le médecin arriver. Je m'écartais laissant l'homme faire son travail. Il semblait aussi étonné que moi de la voir bel et bien réveillée, ayant retrouvé tout ses sens, ne pouvant simplement pas encore se lever à cause de l'engourdissement de ses membres, mais cela reviendrait assez vite.Il avait l'air optimiste, en tout cas c'était ce que son visage me disait. Je ne savais pas s'il s'apprêtait à m'annoncer une mauvaise nouvelle ou s'il allait me sauter dans les bras me disant que mon calvaire était fini, j'attendais. Le médecin s'adressa à moi rapidement avant de s'en aller car il devait faire des examens supplémentaires avant de se prononcer. Il nous laissa enfin seul après que je l'eus grassement remercié, je ne pouvais plus attendre un instant de plus pour embrasser la jeune femme, elle m'avait tant manqué que je ne savais même pas comment j'avais fais pour rester aussi longtemps sans elle. ]Je suis arrivé il n y a pas longtemps, j'étais comme qui dirait sous le choc de savoir que tu étais dans le coma, j'ai déja connu ça avec ma soeur il y a quelques années, je ne voulais pas à nouveau de ce calvaire... je suis si content de te voir en bonne santé. Je vins m'allonger près d'elle dans le lit, la laissant poser sa tête doucement sur mon torse, elle devait certainement être fatiguée et je ne lui en voudrais sans doute pas de s'endormir tant que c'était dans mes bras.

Je fermais les yeux à mon tour me laissant porter par la bonne humeur qui m'envahissais, je voulais rester là et attendre les résultats afin de savoir si elle pouvait sortir sans risque, je ne voulais certainement pas rentrer chez moi soulagé et revenir pour vivre un enfer en attendant de savoir ce qui avait bien pu lui arriver dans le laps de temps où j'étais absent. Je lui caressais les cheveux doucement tout en lui embrassant le front de temps à autre, je testais sa respiration discrètement malgré tout, je ne voulais surtout pas qu'elle se rendorme complètement, je voulais qu'elle reste là tout contre moi, même si nous ne parlions pas submergés par l'émotion, c'était suffisant. Je t'aime tellement si tu savais... je veux juste qu'on parte d'ici le plus vite possible et qu'on soit rien que tous les deux. Le médecin revint après quelques heures, je me relevais immédiatement pour éviter qu'il ne pense que nous étions des obsédés qui nous envoyions en l'air alors qu'elle venait à peine d'ouvrir les yeux. ca va bien se passer pour elle docteur ? Je le regardais avec un air grave, et surtout inquiet. Je me demandais ce qu'il allait me dire, je tremblais presque de tous mes membres sans même m'en rendre compte. Il m'expliqua rapidement que tout allait bien se passer pour elle et qu'elle pourrait sortir le soir même si elle s'en sentait capable, ce qui me poussa à le prendre dans mes bras et à lui faire la bise. Je me mis à rire ensuite de mon impulsivité avant de revenir vers Jordane.Je suis content que tu puisses enfin sortir d'ici, il n'est plus question que je te laisse une seconde maintenant tu vas pouvoir m'appeler monsieur sangsue je crois d'ailleurs ahah.

Je me redressais pour aller lui chercher un verre d’eau, après tout ce temps elle devait avoir la bouche pâteuse et moi je ne pensais qu’à mon propre bonheur de la retrouver au lieu d’être aux petits soins comme je le devrais. Je lui ramenais son verre et le lui tendais attendant qu’elle finisse de le boire. En attendant je pris mon iphone afin de regarder si des vols étaient en partance pour Brisbane le soir même. De toute façon l’idéal était que je prenne le jet privé de l’entreprise, je voulais un peu de tranquillité en compagnie de la femme que j’aimais. Une coupe de champagne à la main et un grand sourire sur les lèvres nous pourrions nous laisser vivre sans même penser à l’avenir car les cours venaient de se terminer, les examens étaient maintenant bien loins et les vacances nous tendaient les bras plus que jamais. J’espère que tu as prévus quelques bikinis j’apprécierais avoir le moins de chose à t’enlever pour pouvoir te sauter dessus comme un petit fou. Je riais avant de lui faire un clin d’œil tout en checkant avec le pilote s’il pouvait se libérer pour le soir même. Ce n’était pas un petit trajet alors il allait falloir être patient. J’espère que cela ne te dérange pas de partir ce soir ? J’ai vraiment envie qu’on oublie ce qui vient d’arriver et qu’on fasse comme si on ne s’était jamais quitté, comme si tout allait bien. Un sourire en coin vint ponctuer ma phrase afin de la convaincre, j’espérais qu’elle ne me dise pas qu’elle se sentait assez mal et qu’elle ne voulait pas partir avant d’y avoir réfléchi, c’était tout le charme de ma proposition, il n’y avait pas à réfléchir il suffisait de se lancer voilà tout, j’avais besoin qu’elle soit spontanée avec moi.
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MessageSujet: Re: Oh baby let me be your last first kiss [Jordane&&Ethan] Oh baby let me be your last first kiss [Jordane&&Ethan]  EmptyMar 30 Avr - 2:06


J’ai fait la chose la plus terrifiante et la plus dangereuse de ma vie quand je t’ai dit que je t’aimais. Mais ça valait le coup. J’ai réussi à surmonter ma peur pour toi...
Le problème tu vois, c’est que je ne peux m’empêcher de penser à toi. C’est pas faute d’essayer pourtant. J’ai essayé des dizaines de fois. Que dis-je, j’ai essayé des millions de fois même. Mais y’a vraiment rien à faire. J’ai plus envie d’aimer tu comprends, et encore moins de t’accorder de l’importance, mais j’ai beau essayer de m’intéresser aux autres, personne ne brille autant que ta présence.

    La fatigue me gagnait peu à peu mais je luttais. Je luttais parce que cela faisait près de cinq minutes que j'étais réveillée et qu'Ethan se tenait à mes côtés. Fatigue ou non, il était hors de question que je me rendorme et qu'Ethan sorte de mon champ de vision. Je l'avais enfin auprès de moi, après tant de minutes à espérer le voir, à espérer qu'il ne m'en voudrait pas pour l'aveu que je lui avais fait. J'étais persuadée qu'il allait me quitter, prendre la poudre d'escampette sans se retourner, sans un mot pour moi et au final, il était ici, à mes côtés, me tenant la main, m'apportant son soutien. Ethan me surprendrait toujours, il n'y avait pas de doutes là-dessus. L'entendre parler du futur, d'un futur en commun me faisait frissonner de plaisir, et m'emplissait de joie. La mort me semblait bien loin derrière moi, et tout l'amour qu'Ethan pouvait m'apporter se transformer en une force insoupçonnée, et je m'imaginais volontiers sur une plage en compagnie de mon beau iota, un cocktail à la main, un livre dans l'autre. L'entendre parler de la success story de son oncle me faisait frissonner, mais cette fois, il n'était point question de plaisir. J'angoissais à l'idée de rencontrer sa famille, cette famille qui lui offrait tant d'amour, et qui pouvait tout détruire en un instant. Je n'avais jamais apprécié rencontrer la famille de mes amis ni même de mes petits amis, pour la simple et bonne raison que mon passé m'effrayait et risquait de tout réduire à nouveau à néant. Mais pour Ethan, j'étais prête à tout, prête à braver les interdits, prête à rompre mes peurs et à aller au devant d'elles. « Alors direction l'Australie mon Daniels. Fais moi découvrir la beauté de ton pays, en espérant qu'il nous réussisse autant qu'il a réussi à ton oncle et ta tante! » Mais je n'eus guère le temps de rêvasser à ce futur idyllique, puisqu'Ethan appela le médecin, en panique à l'idée que je puisse retomber dans le coma ou je ne sais quoi. Je n'avais eu guère le temps de le prévenir que j'étais réveillée depuis quelques heures déjà, et que Lily-Rose avait été près de moi au moment de ce réveil. J'avais déjà pris le temps de voir le médecin, qui m'avait expliqué mes différentes blessures, et tout ce qui allait désormais changer dans ma vie. Le courage me manquait à l'heure actuelle de l'expliquer à Ethan, et je me doutais que le médecin se chargerait de le lui mentionner au moment il rappellerait l'étendue de mes blessures. Le médecin finit par nous laisser tous les deux, et Ethan vint me rejoindre sur le lit, s'allongeant à mes côtés, et me laissant poser ma tête sur son torse. Paradoxalement, je n'aurai jamais pu me sentir aussi bien qu'à cet instant, et ce, malgré la tour qui me transperçait les côtes. Les médicaments faisaient heureusement leur effet, et bien rapidement, je tombais dans un semi sommeil, au côté de l'homme que j'aimais. Ethan faisait tout son possible pour me tenir éveillé, surement une peur inconditionnelle de me voir me rendormir dans ce profond coma dans lequel j'avais été plongé durant ces cinq derniers jours. « On partira dès que le médecin l'autorisera c'est promis! Et je t'accompagnerai jusqu'au bout du monde Ethan Daniels, toujours! » Et c'était vrai… J'étais prête à l'accompagner là où il le voulait, peut importe où ce serait, tant que je serai à ses côtés, j'étais prête à tout accepter. J'espérais qu'il avait fini par comprendre que jamais je ne le quitterais, que ma vie était désormais faite pour être à ses côtés, pour être mêlée à la sienne. Pour le lui prouver, j'étais prête à quitter l'Université maintenant, dès ce soir, sans regarder derrière mon épaule, sans penser un seul instant à qui je quittais, et ce que laissais. Si Berkeley et San Francisco devaient être du passé pour qu'Ethan soit mon futur, ainsi soit-il. Le médecin revint quelques heures plus tard, une montagne de papier dans les mains, des résultats selon lui, indiquant que mon état actuel me permettait de quitter l'hôpital, dès ce soir si je le désirais, si tant est que je promettais de ne pas me brusquer. Bien sur, j'allais courir faire un jogging et m'élancer sur la poutre comme si je n'avais pas été percuté par un camion. Les médecins possédaient parfois des logiques sans queue ni tête, à se demander comment ils avaient pu obtenir un diplôme reconnu comme celui de la médecine du travail. Et voilà que mon cher petit ami avait décidé que notre départ pour son Australie natale se ferait dès le soir même, et pour cela, il s'empressa de checker les vols sur son iPhone. Ah les hommes et leur joujou… J'étais prête à partir le soir même pour Brisbane, je n'avais qu'à récupérer quelques vêtements à mon appartement, les quelques effets personnels qui me tenaient à cœur, et bien sur, mettre en sureté ma magnifique Porsche. Je n'avais guère envie d'apprendre par un coup de téléphone qu'elle m'avait été volée. Non, cela était hors de question. Cette voiture était mon bijou, mon bébé, et la simple idée qu'on puisse me la voler me révolter. Dans le même temps, je savais qu'une autre chose essentielle devait être faite avant mon départ, et cela résumait en un mot, un nom, Lily-Rose. Je devais dire adieu à mon amie, ma meilleure amie, et lui confiait tout ce dont je n'avais pas été capable par le passé, au moment de notre dispute, de notre différent. Bien sur, hier lorsque je m'étais réveillée, nous avions discuté, brièvement entamées la conversation au sujet de cette dispute, mais je n'avais pas eu l'occasion de lui dire tout ce qu'elle représentait pour moi. Aussi, me vint alors une idée fantastique, qui comblerait à la fois mon désir de protéger ma voiture, et celui de prouver ma confiance à la béta. Au moment de lui dire adieu, je lui confierais mes clés, les précieuses clés de cette voiture si importante à mes yeux, et lui demanderait de me garder ma voiture, le temps que je quitte le continent américain. C'était d'ailleurs en ce moment même que je me réjouissais de l'intelligence que j'avais eu de ne pas prendre ma voiture mais celle de mon frère pour conduire. Si ma Porsche avait été détruite, j'en aurais été malade et verte de rage. « Je possède quelques bikinis avec très peu de tissus. Mais tu sais, je suis une grande adepte du monokini… Encore plus rapide à enlever tu ne crois pas? » Balançai-je un brin taquine, avant de déposer un baiser à la commissure des lèvres d'Ethan. « On peut partir dès ce soir si tu le désires Ethan. Quitter San Francisco ne me dérange plus maintenant que je t'ai à mes côtés. J'aurai juste une chose à faire avant de monter dans l'avion, une seule petite chose mais qui a tout un sens pour moi… Je dois dire au revoir à Lily, et je pense lui demander de nous retrouver à l'aéroport. Les adieux seront courts et brefs, exactement ce dont j'ai besoin. » Ethan acquiesça de la tête, un sourire sur le visage.

    Quelques heures plus tard. Aéroport de San Francisco. Le papier tendu vers moi m'intriguait plus que de mesure, mais je m'en saisis, sans pour autant en regarder le contenu. Je préférais attendre le départ de Lily-Rose, de sorte de ne pas m'écrouler face à ma meilleure amie au moment de ces adieux. Je glissais le papier dans la poche de ma veste, je relevais la tête vers la Béta, un sourire aux lèvres, quelques larmes perlant au coin de mes yeux. Dans quelques instants, j'allais dire adieu à ma meilleure amie, adieu à un passé, à une autre vie, encore une autre. « Il y a tant de choses que j'aimerai te dire, mais honnêtement, je ne sais absolument pas comment les formuler, et je crois que la seule chose qui pourrait te les faire comprendre, c'est ceci. » Attrapant sa main, j'y glissais doucement mes clés de voiture, avant de refermer sa main et de la serrer fort, aussi fort que mon bras cassé me le permettait. Une jambe et un bras dans le plâtre m'obligeait à me mouvoir en fauteuil roulant, et Lily-Rose, agenouillée à ma hauteur, me prit dans ses bras. Je finis par déposer un baiser sur sa joue, avant de l'inciter à partir, sans se retourner. Je ne voulais pas voir son regard triste vers moi et j'en profitais pour demander à Ethan de me conduire vers la sécurité. Plus vite nous serions dans l'avion, et plus vite je pourrais penser à ce futur australien, ce futur qui me réjouissait tant par avance. L'avantage d'être en fauteuil roulant était que nous pouvions passer devant tout le monde, sans que l'on nous fasse la moindre remarque. Aussi, il ne nous fallut que quelques minutes pour passer la sécurité, et nous furent rapidement conduit au jet privé appartenant à la famille Daniels. Par je ne sais quel procédé, on me conduit dans l'avion sans la moindre difficulté, et je fus installée dans un fauteuil tout confort, au côté d'Ethan. Posant ma main sur la sienne, je le regardais, l'air empli d'amour. « Mon avenir est désormais lié au tien Ethan Maki Daniels. Et j'espère bien que cela durera toute la vie… » Je finis par déposer un baiser sur les douces lèvres du jeune homme, et me préparais au décollage. Je n'avais jamais été fan de l'avion, et avais toujours été anxieuse à l'idée de grimper dans cet engin de malheur. Serrant sa main le plus fort possible, en même temps que mes yeux se fermaient, je soufflais un bon coup, le temps que l'avion s'envole dans les airs. Rouvrant les yeux au moment où l'avion se stabilisa, je tournais la tête vers Ethan, qui me regardait un sourire en coin. Evitant son regard l'espace d'un instant, je me souvins du mot que Lily-Rose m'avait donné à l'aéroport, et je le récupérais dans ma veste. ’’Jordane, sois heureuse. N’oublie pas : tu ne peux pas voler si tu ne te laissais tomber.’’ Instantanément, des larmes se hissèrent dans mes yeux, réalisant alors que ma vie Berkeléenne était bel et bien fini, derrière moi, Lily-Rose avec. La demoiselle avait fini par comprendre qui j'étais sur le bout des doigts, et avait réalisé que ce qui m'avait toujours bloquée, était ma peur incontrôlable de me rater, de m'écraser et de n'avoir plus aucune chance de me relever. Je soufflais alors un « Merci Lily.» emprunt de nostalgie, avant de me retourner vers Ethan qui gardait toujours ce petit sourire idiot en coin. « Au lieu de te moquer, pourquoi ne me conduirais-tu pas à la chambre, histoire qu'on s'envoie en l'air, dans tous les sens du terme? » Balançai-je, un brin taquine et coquine. Qui aurait pu penser que quelques heures auparavant j'étais à l'hôpital, sortant d'un coma de cinq jours? Personne c'était certain. Un stewart s'avança vers nous, un plateau à la main, sur lequel se trouvait deux cocktails, un mojito pour ma part, un cuba libre pour Ethan. Je n'étais pas tellement autorisée à boire de l'alcool après avoir fini dans le coma, mais enfin ce ne serait qu'un verre, et je m'attendais bien à faire d'autres choses interdites en compagnie de mon amoureux. Portant le verre à mes lèvres, je m'en délectais, mais seulement de courte durée. Le iota me l'ôta des mains, avant de me soulever du siège, me portant, telle une princesse. Passant mes bras autour de sa nuque, j'enfouis mon nez dans son cou. Il finit par me conduire dans la chambre de l'avion … « Vers l'infini et l'au-delà Mademoiselle Jézabel Jordane Ewa Montfleury … » L'infini.. C'était bel et bien ce que j'espérais pour Ethan et moi-même. Alors qu'il y a cinq mois nous n'étions que des amis, aujourd'hui les choses avaient fait de nous des amants, des amoureux, des âmes sœurs. Comment passer ma vie autrement qu'avec Ethan? Cela relevait de l'impossible. Le jeune homme avait désormais une place de choix dans mon cœur, la meilleure place qui soit, et mon avenir était dès aujourd'hui intimement lié au sien, pour ne jamais s'en séparer. On dit que lorsque l'on croise le chemin de son âme sœur, le cœur s'emballe, une fièvre s'empare de notre corps, des papillons s'agitent dans votre estomac, vous perturbant comme jamais. Même avec l'alcool que j'avais ingurgité ce fameux soir de Novembre, au moment où mon regard avait croisé celui d'Ethan au sein de son lit, mon corps avait ressenti tous ces symptômes, me renversant. Ethan était mon âme sœur et j'avais paniqué. La souffrance et la peur étant mon quotidien, j'en avais fini par oublier l'amour et le bonheur, prenant l'habitude de ne ressentir que des sentiments négatifs. Et puis Ethan était apparu, m'offrant ces sentiments oubliés, me rappelant ce que signifiait amour et bonheur. Aujourd'hui, j'étais prête à affronter ces sentiments, prête à les faire découvrir au monde entier, et à montrer que Jézabel aimait Ethan. Nos mains entrelacées, symbole de nos vies qui l'étaient tout autant, je prononçais ces mots qui voulaient tout dire à mes yeux. « You're my destiny Daniels… »

ON EST OBLIGE DE FAIRE CONFIANCE A SON
PARTENAIRE, C'EST L'AMOUR QUI VEUT CA.


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June D. J. Martin
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June D. J. Martin
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