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(eden - jader) not really sure how to feel about it.

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MessageSujet: (eden - jader) not really sure how to feel about it. (eden - jader) not really sure how to feel about it.  EmptyMar 12 Mar - 16:30

not really sure how to feel about it. something in the way you move. i wan't you to stay.

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(eden - jader) not really sure how to feel about it.  Tumblr_lrfl0dlWBV1qbdixvo1_r1_250La soirée battait son plein. Je vaguais désormais vers de nouveaux horizons, que voulez-vous, il fallait donner à tout le monde la chance de passer quelques instants privilégiés avec son altesse Mackenzie, maintenant que j'avais enfin terminé de jouer les langues de vipères avec l'abruti fini qui me servait honteusement d'ex, qu'on appelait plus communément Aleksander. Enfin, à ma connaissance car il avait peut-être également un tas de nom d'oiseau qu'il n'aurait pas volé. Je lui connaissais en effet déjà une petite réputation loin d'être glorieuse. J'avais ouïe dire que monsieur se serait tapé toute l'université. Ce qui ne m'étonne pas tant que ça. Non pas que le Jakobsen soit un tombeur, une bombe sexuelle ou le coup du siècle : loooooooin de là, mais à des kilomètres de là même, mais justement, c'était un si mauvais coup qu'il ne pouvait décemment se permettre de coucher avec la même fille plus d'un soir de suite. Ce n'était d'ailleurs pas pour rien que j'avais mis fin à notre très courte idylle le lendemain de notre première fois. Seigneur, ça existait les mecs qui faisaient aussi mal l'amour? Ça devrait être interdit, puni, banni, condamné. Non mais sérieusement, je suis sure qu'un éléphant serait bien plus délicat que lui et que même le plus gros puceau de la galaxie s'y prendrait mieux. Je pouvais désormais vaquer pleinement à d'autres occupations bien plus intéressante que de m'occuper de descendre ce pauvre type encore plus bas qu'il ne l'était déjà. Chose qui je vous l'assure relève pourtant de l'exploit pour le commun des mortels, monsieur touchait, à mon goût déjà le fond, mais en grande experte que j'étais, cela relevait plus de l'amusant, de la pure distraction que d'un véritable exercice. Que les pendules soient bien remises à l'heure, les points sur les " i", les barres sur les "t", ici bitches, c'est moi qui menais le jeu, et je comptais bien faire de Berkeley ma toute nouvelle cours de récréation, comme ce fut le cas à Oxford. Habituez-vous dès maintenant à ma petite voix hypocrite de garce en puissance car elle allait résonner dans les murs de cette université pendant de longs mois. Princesse Mackenzie venait d'élire domicile dans son tout nouveau royaume. Oxford devait actuellement pleurer la disparition de sa petite princesse, pavanant fièrement son adorable petit cul moulé dans une robe hors de prix. En parlant d'Oxford, alors que je m'éloignais du cas désespéré qu'était Aleksander pour profiter pleinement de cette soirée organisée spécialement en mon honneur, et au passage en l'honneur de mes sujets omicrons, mon regard croisa celui d'un séduisant mâle me rappelant ma douce et tendre Angleterre natale que je chérissais tant. Son regard se planta dans le miens et à en voir sa réaction, mes soupçons furent confirmé. Je n'étais pas la seule à qui il rappelait quelqu'un. Nous devions très certainement nous connaitre. Bien décidée à élucider ce mystère, je me dirigeai vers lui, d'une allure assurée, menton relevée, démarche de déesse, perchée sur mes hauts talons me permettant de dominer une grande partie des personnes se trouvant ici. Des messes basses accompagnèrent mon déplacement et un sourire se dessina sur mon visage quand j'aperçus grand nombre de paires d'yeux braqués sur moi. Une habitude dont je n'étais décidément pas prête à me passer. Mon arrivée à Berkeley avait en effet fait beaucoup de bruit et les rumeurs les plus folles circulaient déjà à mon sujet. "C'est une princesse." , "Elle descend de la famille royale." ou encore "Elle est milliardaire." Comme toutes les rumeurs, certains ragots étaient quelque peu exagéré, à mon grand regret, depuis que mon milliardaire de père fraichement divorcé s'était recasé avec une greluche à peine plus âgé que moi, le dépouillant de son argent, mon compte en banque me faisait désormais bien honte. Seulement, je comptais bien garder pour moi ce petit accident de parcours auquel je comptais bien vite remédié. J'avais désormais atteint le jeune homme en question et le gratifia d'un sourire qu'il me rendit aussitôt. C'est alors que tout me revint. L'accident, le coma, l'hôpital. Ce jeune homme s'appelait Jader, si mes souvenirs ne me faisait pas défaut. Il était à mon chevet quand je me suis réveillée, les yeux remplis de larmes, arborant ce même sourire. Le très sympathique « Mais t'es qui toi ? » que je lui avais lancé alors qu'il m'avait littéralement sauté dessus pour m'enlacer l'avait quelque peu refroidi. Se noyant dans des explications farfelues il avait tenté de m'expliquer que ce n'était qu'un ami rencontré quelque temps plus tôt. Épuisée et complètement remuée après les récents événements, je n'avais pas creusé plus et il avait disparu de la circulation, ne me donnant plus aucune nouvelle jusqu'à ce soir. Le monde était petit. « Et bien, si je m'attendais à tomber sur toi! » lançai-je. Oui, je sais, ça fait un peu la fille qui la reconnu tout de suite alors que ce n'était absolument pas le cas, mais bon. Ça faisait des années que nous ne nous étions pas revu, après notre brève rencontre, du moins pour ma part, mais il n'avait absolument pas changé. Nous discutâmes quelques instants quand je décidai de lui faire mes quelques reproches habituels, oui, une princesse est adorable mais une princesse se plaint également tout le temps. « Au fait, au cas où cela t'intéresse, je vais bien. » Bah oui, c'est vrai quoi, il était parti tel un voleur sans même dénier prendre de mes nouvelles. Je ne devrais même pas lui adresser la parole. C'est alors que la sonnerie de mon téléphone m'interrompis dans mes réflexions de rancune. « Excuse-moi quelques instants. » lui lançai-je. Je décrochai. « Allo ? .. Qui veux-tu que ce soit imbécile, c'est toi qui vient de m'appeler! .. Bien sûr que c'est Mackenzie, qui d'autre? » Je raccrochai, un brin agacée en témoignent mes yeux levés vers le ciel. « Excuse-moi, on disait ? » Et là, comme on dit : ce fut le drame! Sans trop savoir pourquoi, son visage se décomposa. Un peu comme après mon fameux "Mais t'es qui toi?" quelques années plus tôt à l'hôpital, d'ailleurs exactement comme après cette phrase. Ce garçon était décidément complètement bizarre, perturbé, dérangé. Peut-être même fou. Oh mon dieu, j'étais en face d'un fou furieux. D'un psychopathe peut-être même. Pourtant, mes proches m'avaient confirmés que je le connaissait bel et bien, et que ce n'était pas juste un cinglé qui avait pénétrait dans ma chambre d'hôpital. Je décidai donc de lui laisser le bénéfice du doute. « Quelque chose ne va pas ? Parce que tu es tout pâle là, tu devrais t'asseoir » En temps normal, on propose également le fameux verre d'eau, mais il ne faut pas pousser, je suis une princesse, je ne vais pas me mettre au service du peuple. Et puis quoi encore ?




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MessageSujet: Re: (eden - jader) not really sure how to feel about it. (eden - jader) not really sure how to feel about it.  EmptyVen 19 Avr - 19:03

L'arrivée des anglais. Un évènement tant attendu et appréhendé par les petits américains, à croire que Dieu venait lui-même descendre rejoindre le commun des mortels. Les américains, ces derniers temps, avaient tous été excités, voire au bord de l'hystérie pour certaines jeunes filles de voir en chaire et en os ces étrangers, leurs correspondants. Chose que clairement Jader ne comprenait pas. Rappelez-lui, jusqu'à la preuve du contraire, ces européens étaient normalement constitués, n'est-ce pas ? Un nez, une bouche, deux yeux, deux oreilles, un cerveau - ou du moins, selon les rumeurs etc. Pourquoi tant d'enthousiasme à rencontrer ces gens qui, finalement, n'ont rien d'extraordinaire ? 'Parce que mon correspondant est trooooop génial, on s'entend super bien lui/elle et moi, c'est l'amour fou, j'ai trop hâte de le serrer dans mes bras, aaah' : oh please, shut up ! Va faire démonstration de ta joie ailleurs, n'importe où, sauf devant l'italien, qui, étant bien évidemment l'homme le plus malchanceux du monde, était tombé sur tout sauf une correspondante des plus agréables. Et encore, euphémisme bonjour ! Pauvre Jader, lui qui pensait être au bout de son compte niveau rivaux, il s'était rendu compte qu'il était loin d'être au bout de sa peine. Jusqu'à ce soir, il ne connaissait pas encore l'identité de cette mystérieuse pimbêche, règle qu'ils s'étaient donnés mutuellement au début de l'échange : aucun indice sur l'identité pour rendre la rencontre plus excitante encore, mais il n'avait aucune envie de la connaître. Qu'elle reste dans son trou. Si elle venait à pointer le bout de son nez à cette soirée, chose dont il ne doute aucunement à son plus grand malheur, en vue de la bonne humeur de monsieur l'italien, elle allait sûrement passer un sale quart d'heure - jolie ou non. En attendant que madame daigne se montrer dans toute sa splendeur, Jader patientait gentiment, un cocktail à la main, contre un mur de la salle de fête. La soirée battait son plein. Les anglais paraissaient s'amuser, les américains de même, et le iota était retiré du monde. C'était son crédo du moment, être l'outsider. Étrangement, de plus en plus, il supportait mal la présence d'autres individus à ses côtés, Hayden, Seth et Serana - et encore, en vue de la dernière nouvelle qu'elle venait de lui annoncer, elle était passée directement à la dernière place de sa liste de 'fréquentation potable' - entre autres exemptés. Jouer l'asocial était devenu son jeu favoris ces derniers temps. Tous ses proches l'avaient bien saisi, ils avaient eu la bonne idée de le laisser jouer tranquillement dans son coin avant qu'il revienne quémander leur compagnie comme un petit chiot perdu. Tous ses proches le connaissaient, et savaient ce comportement comme une phase. Une phase qui allait sûrement lui passer, mais une phase primordial à ses yeux, il voulait la tranquillité plus que tout. Malheureusement, certaines personnes n'avaient pas l'air de saisir son concept de 'soirée en tête-à-tête avec moi-même'. Alors qu'il venait d'enchaîner trois verres de punch à en vomir, une anglaise se dirigea vers lui, toute pétillante dans sa robe à pois rouge et blanche. Jader la jaugea d'un œil rapide de la tête aux pieds avant d'en conclure rapidement qu'elle ne ferait pas long feu chez les américains, elle. « On préfère passer la soirée dans son coin ? » avait-elle entrepris d'un air joviale et féérique qui mettait clairement mal à l'aise l'asocial du jour. Plus que tout, l'envie de la renvoyer boulet le prit, mais comme les ordres du Doyen étaient on ne peut plus clairs (être accueillant ou en prendre cher), il se ravisa et exprima sa - fausse - joie de se trouver ici, à quel point la soirée était vraiment excellente, et patati et patata. Les formalités de politesse, en somme. Il discutait avec entrain avec la jeune anglaise en apparence, au fond de lui, il voulait prendre les jambes à son cou. Les regards de détresse qu'il jetait derrière le dos de la jeune fille en disait long sur son envie de fuite immédiate. Et personne n'avait l'air de vouloir de sortir de cette situation. Personne ou presque. Il avait réussi à capter le regard d'une jeune brune, jeune brune qui lui procura sans préavis un choc interne puissant. Il serait totalement un mensonge de prétendre qu'il ne l'avait pas reconnu, bien qu'il aurait pu. Ses conquêtes féminines avaient assez nombreuses, il pouvait avoir quelques failles de mémoire, non ? Mais non, Jader se souvient de son visage, dans les moindres parcelles. Eden. Et d'après la direction qu'elle entreprenait, elle l'avait aussi reconnu. Du moins, espérons-le. Aux dernières nouvelles, leur aventure s'était achevé sur un « Mais t'es qui toi ? » de sa part, une fois émergée de son long sommeil. Elle ne l'avait pas reconnu ce jour-là. Une année entière à vivre tout à deux et elle ne l'avait pas reconnu. Et même l'affirmation de sa famille n'y avait rien changé. Elle l'avait oublié. « Tu peux t'en aller maintenant, merci, j'ai d'autres préoccupations plus importante. » lança l'italien à la jeune anglaise une fois qu'Eden se rapprocha de lui sous les regards intrigués de certaines personnes dans la salle. L'anglaise parut offusquée, mais trop occupé à admirer autre chose, il n'accorda pas un seul regard à la nouvelle venue ; au diable la politesse ! « Et bien, si je m'attendais à tomber sur toi ! » Jader arqua le sourcil droit, le cœur battant. C'est le cas de le dire, le monde est petit. Elle avait lancé la conversation par cette phrase, comme si elle se souvenait de lui, enfin. Elle lui donnait l'impression de se souvenir de lui du moins. Était-ce réellement le cas ? Non, bien sûr que non. Il était évident qu'elle avait gardé son visage en mémoire : il avait été celui qui l'avait accueilli à grands bras ouverts lors de son réveil à l'hôpital, pleurant à chaude larmes, cet « ami » qui avait tant espéré pour qu'elle se réveille, celui qui était resté à son chevet tous les soirs. Son ami. C'était l'excuse bidon qu'il lui avait desservi lorsqu'elle avait rejeté derechef, lui gelant complètement le cœur par la même occasion. Ami. S'ils avaient été de simples amis, rien n'aurait été si difficile, n'est-ce pas ? Jader ne serait pas, à ce moment-ci, en pleine euphorie quant à la revoir, et ne sentirait pas ses genoux fléchir sous le coup de la pression, de l'appréhension. « Heureux de savoir que tu ne risques pas à tout moment de tomber dans le coma, encore une fois. » répondit-il sur un ton sarcastique, plutôt mal déplacé. Chose qu'il constata derechef lorsqu'elle le fusilla gratuitement du regard. « Trop tôt ? » Pas qu'un peu, mon vieux. Clairement, Jader essaya de cacher son malaise face à la situation grâce à son humour qui laissait à désirer. Il ne tenait plus sur ses deux jambes, mais résistait. Plus il étudiait les moindres parcelles de visage d'Eden, plus ses genoux flanchaient, et son visage blanchissait à vu d’œil ; c'était sans doute à son tour de tomber dans le coma dorénavant. Faible, il se sentait faible. Elle possédait un contrôle total inévitable sur lui, en un claquement de doigts, en un simple souvenir – celui de l'hôpital – elle le forçait à se plier devant elle. Elle pouvait le détruire en une phrase, une simple phrase. Le fameux 't'es qui toi'. Et sincèrement, c'est ce qu'il craignait plus que tout, encore une fois. Il avait besoin d'être réconforté à présent, après toutes ces années. Il l'avait quitté sans ménagement, sans un au revoir parce qu'elle l'avait fait souffrir, chose qu'il s'interdit clairement aujourd'hui : souffrir. « Tu veux jouer à un jeu ? Le plus honnête de nous deux gagne une nuit de rêve avec … un de nous deux. » annonça-t-il d'un air sûr et hautain, mais sa voix trahissait sa situation de dominé dans l'histoire. « Je suis qui pour toi, précisément ? » Le jeu est lancé, cartes sur table, plus de mensonges – de la part de Jader – plus de secret, plus de cachotteries. Il ignorait s'il était prêt à entendre sa réponse, mais une chose est sûre, si elle est mauvaise, il était prêt à la rectifier. Il n'était pas un simple ami descendu tout droit des nuages, non. Il avait été plus : son amant. Et mieux encore, il l'aimait, elle l'aimait.

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MessageSujet: Re: (eden - jader) not really sure how to feel about it. (eden - jader) not really sure how to feel about it.  EmptyDim 23 Juin - 8:33

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