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"Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle]

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MessageSujet: "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] EmptyJeu 4 Oct - 19:43

Les soirées entre filles. Un moment sympathique. Bien sûr, il n’était pas rare qu’Aengus ne sache pas réellement comment réagir à ce type de soirée. Elle n’était pas branchée, jolie tenue et petite discussion sur le dernier petit haut à la mode. Elle était surtout venue pour une fille en particulier. Elle avait la peau douce comme de la soie, des yeux expressifs et des formes à damner un saint. Maëlle. Qu’importe le degré d’envie que pouvait ressentir la blonde pour la brune, elle ne se permettait jamais de la toucher ou de la séduire. Elle préférait mettre une certaine distance elles deux pour être sûre de ne pas succomber. Aengus se considérait toujours comme mariée. Elle aimait toujours Kimberly et il lui était impossible d’aller de l’avant. Impossible de la trahir.

Aengus avait enfilé un slim sombre, une tunique très large et bariolée pour se fondre dans les couleurs de ses cheveux roses. Des converses aux pieds, elle avait fait simple. La soirée était fraiche et la jeune femme avait dû porter une veste assez large. Le tout aurait pu parfaitement bien s’écouler si son éternelle susceptibilité n’avait pas prit le dessus. Ce n’était qu’une main aux fesses, des fesses qui n’étaient pas à elle en plus. Mais comme toujours Aengus s’enflammait. Cette passion mêlée d’une éternelle colère ne tarissait jamais. Emportée et furieuse, elle s’était presque ruée sur l’homme en question. Malheureusement pour la jeune hystérique, l’homme n’était pas seul. Et si les coups s’échangeaient les uns après les autres, Aengus ne se sentait pas moins douloureusement humiliée. Dans un soupir forcé par un coup au ventre, elle tituba vers l’arrière. Si les amis de l’homme qu’agressait Aengus ne réagissaient pas, ils semblèrent changer d’avis. Ils empoignèrent l’homme par les épaules pour l’empêcher de frapper encore. Bien sûr, Aengus était prête à revenir à la charge pour sauver son honneur blessé. Pourtant une poigne se fit sentir sur son épaule. Jetant un d’œil furibond sur la droite, la jeune femme tomba nez à nez avec Maëlle. Si elle aurait frappée toute autre personne se plaçant sur son chemin, elle ne pouvait en faire de même avec un si beau visage. On ne brisait pas les plus belles pièces de porcelaines. Elle tenta de la repousser mais soit par manque de conviction ou par crainte de causer un mal irréparable, elle s’arrêta dans son élan. Le contact de Maëlle sur sa peau l’électrisait dans une sensation piégée et emprisonnée par la douleur.

Jetant un regard incendiaire à cet homme si mal élevé, elle se laissa plus ou moins entrainer vers l’extérieur, laissant les autres filles à l’intérieur. Que faire ? Que dire ? Aengus posa ses orbes incendiaires sur celles de Maëlle en quête d’une solution. Finalement, une fois dehors, elle repoussa la jeune femme. La douleur avait atteint son point d’intolérance.

« Ca suffit. Arrête de…. De jouer les héros. » Grogna Aengus. « J’ai pas besoin d’un chaperon. »

L’arrière du bar n’était que peu éclairé et dans la pénombre de l’endroit, Maëlle semblait briller d’un éclat étrange, ce genre de lueur que l’on remarque dans les objets précieux, rempli d’histoire et possédant une valeur dépassant tout celles monnayables.

« Laisses moi tranquille. » Ajouta t elle en reprenant la direction du bar.

Le pas semblait nerveux, un peu gauche par le trop plein d’alcool. L’hésitation sembla maitresse dans cette avancée et pourtant, Aengus se voulait décider à retourner au combat. Pourquoi ca semblait si important soudainement ?
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MessageSujet: Re: "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] EmptyVen 5 Oct - 13:49

  • Une soirée comme je les aime, un pur moment de détente après une journée de cours arasant, que je ne mis pas longtemps à rejoindre l’Absinthe Bar bien connu de tous d’ailleurs …une ambiance spéciale et très chaleureuse en tout point que je vis Aengus. Cette fille était d’une pure beauté, ce côté agressif et sensuel à la fois qu’elle passait rarement inaperçue et puis elle dégageait un quelque chose d’intriguant, et d’excitant mais pour ne pas succomber à la tentation flagrante, ni l’une ni l'autre ne s’approcha, comme si nous le savions depuis le premier jour, une sorte de jeu, ou plutôt de rituel s’était installé entre nous, chacune désireuse à ne pas se mentir !
    Assise sagement à l’une des tables ornant cet établissement je la vis donc vêtu de façon simple qui lui allait à ravir tout comme se mêlant homogènement à la couleur de sa chevelure qui la rendait encore plus sexy d’ailleurs ! Ce fut à cet instant que je tirée de mes rêvasseries quand un homme osa cet affront, celui de se permettre de lui passer une main aux fesses, que Aengus ne mit pas longtemps à se jeter sur l’homme en question une bagarre commençant à éclater, une animation de plus dans ce lieu…Mais lorsque je vis qu’elle se retrouva seule contre plusieurs je ne pus me contenir pour aller l’aider du mieux que je pus en tentant de pousser toute cette testostérone qui certes ne voulait rien entendre ni même se calmer tout comme la jolie rose, qui par mégarde se prit un coup violent, l’agresseur se faisant cramponner par ses amis afin de le stopper dans son élan !
    « Mais vous êtes malade de vous en prendre à une femme, sale type ! » Quand voulant me diriger vers Aengus je la vis comme prête à rebondir mais je l’en empêchais une main sur l’épaule, le jeu devait se clamer avant qu’il n’y ait de vrais blessés ! nos regards se croisèrent, son geste se stoppa. Les yeux de l’agressée se posèrent sur l’homme qui avait tenté de se permettre une chose tout à fait inappropriée, se prenant pour celui qui avait toutes les armes en main.il était temps de sortir de ce lieu, l’emmenant hors de cet endroit avec force malgré tout et autorité à l’arrière du bâtiment ! Quand soudain elle me repoussa !
    « Ca suffit. Arrête de…. De jouer les héros. J’ai pas besoin d’un chaperon. »Levant les mains au ciel je repris avec un air foutiste !« Très bien ! Tu sais quoi ? La prochaine fois, je te laisserais te faire démolir ta jolie petite gueule d’ange ! T’avais aucune chance contre eux, ils sont totalement bourrés, et ne savent même pas eux-mêmes se contenir ni même plus réfléchir, le mieux étant encore de te sortir de là ! »Mais Aengus plus têtue qu’une mule semblait ne rien vouloir entendre qu’elle reprit sa marche en direction de la porte de sortie pour pénétrer de nouveau dans les lieux !
    « Laisses moi tranquille. »Incroyable cette fille, aussi jolie que caractérielle ! Accélérant le pas, je la rattrapais et me mit devant elle ne comptant pas me laisser berner de la sorte ni même la voir s’en faire mettre plein la face !« J’peux pas te laisser faire ça. Tu vas droit à la confrontation et tu risques de ne pas t’en sortir aussi bien que maintenant, cesse un peu tes enfantillages, soit intelligente sur ce coup ! »Mais la belle Rose ne semblait pas se laisser intimider facilement
    « Si tu veux passer pour y retourner, faudra me passer sur le corps ! Tu as bien entendu j’espère ?! »Sur ce je lui bouchais le passage avant de me mettre face à elle de façon très proche comme pour la bloquer, qu’elle ne puisse plus avancer, sans la lâcher du regard….
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MessageSujet: Re: "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] EmptyVen 5 Oct - 14:44

Lui passer sur le corps…Aengus leva un sourcil. Oh qu’elle ne la tente pas. C’était dans cette colère qu’elle faisait le plus de choses inappropriées, totalement spontanées et pauvre de toute réflexion préalable. La provocation de la jeune femme ne fut pas longue à trouver réponse. Aussitôt, Aengus redressa un regard furibond sur l’obstacle qui lui barrait la route. Les mains s’emparèrent de l’une des épaules, l’autre de la gorge pour la plaquer contre le mur le plus proche. Le souffle court venait mourir contre la joue de Maëlle. Un contraste parfait imprégnait le moindre des ses actes.

Son corps serré contre celui de Maëlle cherchait à l’immobiliser. Les doigts sur l’épaules se crispaient pour mieux la tenir, de peur qu’elle s’échappe. La peau douce de sa gorge n’était qu’effleurée, doucement caressé du bout des doigts. Il n’y eut qu’un seul arrêt, un seul moment ou son souffle trop rapide et court se suspendu, un instant ou son regard alterna entre les lèvres et les yeux de Maëlle. Son bas ventre se tordait dans une violence intenable, réclamant la satisfaction de ce manque trop longtemps ignoré. Le pouce glissa contre la peau délicate pour remonter au menton juste avant que la blonde ne cède pour de bon à la tentation. Fougueuses, affamées et curieuses, les lèvres d’Aengus s’emparèrent aussitôt de celles de Maëlle. Un soupir de soulagement lui échappa alors qu’elle collait son bassin contre la jeune femme. Elle était prête à la posséder ici, maintenant tout de suite s’il le fallait. Elle n’avait plus eut envie de la sorte depuis bien longtemps. Elle se réveillait d’un long sommeil. Son corps s’étirait pour mieux sentir. Son souffle s’impatientait et sa main sur l’épaule dégoulinait jusqu'à la taille de la brune pour glisser sur sa fesse. L’autre toujours autour de la gorge ne cessait de caresser du pouce la délicatesse de l’endroit.

Adieu retenu et petit entente pour ne pas se sauter dessus. Tout ce que souhaitait Aengus s’était que Maëlle réponde positivement à sa demande explicite d’un contact rapproché. Impossible de se tenir ou de se retenir. L’envie avait ravagé toute retenue et barrière. Il n’y avait plus qu’un corps à vif et un désir exacerbé dans un recoin sombre de la ville, comme si ce qui les guidait ne pouvait être vu qu'il devait rester caché.
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MessageSujet: Re: "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] EmptyVen 5 Oct - 16:35

  • Sur l’instant même je n’avais pas réagi à mes propres paroles, du moins si, mais pas au sens sexuel bien que physique. Arquant un sourcil Aengus changea d’expression, elle ne céderait pas et bien moi non plus et quelques peu alcoolisée, il fallait avoir que parfois on se pensait supérieur en matière de force, se croyant même parfois invincible ! n’étais pas encore arrivée à ce stade bien que cette montée d’adrénaline produite par cette bagarre et l’alcool circulant dans les veines, la situation sembla m’échapper quand sans m’y attendre la jolie demoiselle furibonde me plaqua contre le mur me tenant de façon très subjective en bien des points…Surprise, choquée et dépourvue sur l’instant même je ne quittais pas son regard le temps semblait comme s’être arrêté…Notre relation ambiguë bien que chacun savait de quoi il en retournait, une attirance physique, un besoin de se voir sans se toucher, ou même se tenir écartée éloignée, toutes ses barrières venaient de s’abattre à la seconde même. Je sentais la pression de son corps frêle tout contre le mien, son souffle chaud contre ma peau, déglutissant quelques peu entre le fait de devoir al repousser et celui de lui appartenir. Ne bougeant pas pourtant, essayant de rassembler mes idées, bien que ce soit une chose difficile de suite, je préférais me laisser aller faire les choses à savoir si cela se poursuivrait ou alors si elle ne feintait pas pour pouvoir retourner à l’intérieur au bar. Le frôlement du bout de ses doigts sur ma gorge, me faisait me sentir me pousser des ailes, faisant grandie en moi une émotion forte, une envie charnelle que bientôt certaines parties de mon être s’éveillèrent instinctivement…une douce et chaude sensation …Masi cette façon qu’elle eut de me regarder, de me dévisager, eurent raison d’elle puisque ses lèvres se posèrent sur les miennes, étant déboussolées ne sachant si je devais aller dans son sens, mais ne pas réfléchir voilà ce qu’était la meilleure des solutions que pendant mon laps temps d’hésitation quand sa main se laissa entrainer à la chute de mes reins pour rejoindre cette partie rebondie de mes fesses ayant un effet immédiat sur ma personne et mon corps tout entier ! je ne pus que répondre à l’appel de ce baiser envieux, l’attirant encore plus à moi, passant l’une de mes mains à son cou à la naissante de sa chevelure, me faisant envieuse, me rapprochant encore d’elle comme l’étouffant de désir , mon bas-ventre en pleine ébullition me donnait telle des crampes sous le désir que faisait naitre Aengus en moi…Le souffle court et lourd, je voulais lui appartenir, ne faire qu’un avec elle, seul l’instant présent comptait, je percevais cela comme une délivrance enfin qui allait pouvoir s’exécuter. Mon autre main se déposa délicatement sur l’un de ses flancs avec douceur avant de me faire plus oppressante, lui indiquant mon envie, ce besoin d’assouvissement ayant cette sensation de suffoquer avant d’atteindre ce point de non-retour, mais ici dans cette rue était-ce le meilleure endroit ? La douceur et le gout de ses lèvres en parfait contraste avec cette façon de m’avoir entrainé contre ce mur, telle une sorte de sauvagerie, ne pouvant au final ne pas se contrôler, voilà ce qui était le plus excitant dans ce genre de relation charnel, car autant faire l’amour avec une femme ne me dérangeait que je n’en étais pas moins hétéro. Avec la gente féminine c’était purement sexuel, jamais je ne tomberais amoureuse d’une femme, mais il y a cette façon qu’elles avaient de parfaitement bien s’y prendre, étant faite de la même manière, et sachant exactement comment s’y prendre pour attendre un niveau d’excitation tel qu’avec les hommes c’était différent mais que ce niveau était tout aussi atteint de manière différente…
    Emprisonnant sa lèvre inférieure, je lui fis comprendre davantage que maintenant qu’elle m’avait cherché, elle me trouverait et qu’il n’était nullement possible pour elle de faire marche arrière, et certainement pas à rester sur cette envie débordante en tout point !baisers fougueux, et envieux que je jouais avec sa langue, la découvrant depuis tout ce temps de façon intime et très rapprochée mais nous pouvions l’être encore plus…

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MessageSujet: Re: "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] EmptyVen 5 Oct - 17:25

Maëlle répondait à son baiser arrachant un gémissement de satisfaction à la blonde. Les mains qui la parcouraient éveillaient de multiples frissons sur leur passage et Aengus se montrait alors plus inquisitrice dans ses réactions. Les filles se dévoraient, incapable de se relâcher l’une et l’autre. Se mordiller, se caresser, se suçoter. C’était purement charnel que cette attraction et ce désir. Il avait été tellement contenu, retenu qu’il ne pouvait qu’exploser de cette manière sauvage et brutale.

La main sur la fesse remonta le long du flanc, de la poitrine qu’elle effleura avant de venir contre la joue de la jeune femme. Elle cherchait le contact de ses cheveux comme pour mieux les rapprocher, approfondir le baiser. Elle se fichait bien d’être dans un lieu public. L’espace était plus ou moins privée, c’était l’arrière cours du bar. Bien sûr quelqu’un pouvait arriver et les déranger mais c’était loin d’être le problème d’Aengus. Non, la jeune femme avait d’autres choses en tête. Kimberly ne semblait pas vouloir la quitter. A chaque baiser, à chaque caresse qu’elle offrait à Maëlle le visage de sa femme revenait à la surface.

Comme pour mieux chasser le fantôme, s’en venger ou tenter de le fuir, la blonde devînt plus sauvage. Sa main se posa sous la fesse de Maëlle, longea la cuisse pour l’inciter à plier la jambe et la passer contre la taille d’Aengus. Ses lèvres quittèrent la bouche de son amante pour mordiller le menton, la mâchoire, le lobe de l’oreille et descendre en un sillon de léger coups de dents, de langue ou de baiser dans le cou de Maëlle. Son odeur ne pouvait la tromper. C’était bien Maëlle et non Kimberly.

Pourtant, il lui fallait plus. Il lui fallait maintenant. C’était loin d’être l’endroit le plus romantique, le plus beau, le plus idéal pour une relation charnelle, mais Aengus ne se posait pas la question. En réalité, elle n’avait jamais réellement eut de relation intime avec une femme. Son épouse ne supportait pas les contacts et les baisers. Aengus avait passé plus de temps dans une relation platonique que dans des effusions charnelles. Mais par amour, elle avait été prête à tout comme elle était maintenant prête à bien des folies, juste par désir. Une main sous ses fesses, l’autre dans son dos, elle vînt se saisir la taille de la jeune femme. On remerciera les longues journées de sport que pouvait faire Aengus. D’un mouvement souple, elle passa Maëlle contre sa taille pour la soulever. Le but n’était pas de réellement partir ou de l’emporter. Elle ne souhaitait pas se décoller de la jeune femme. Elle continuait d’ailleurs à l’embrasser avec fougue jusqu’à la déposer contre l’une des caisses présente dans l’arrière cours. Le coin était un peu plus isolé, plus loin de la porte et d’éventuel passage. Un recoin plus reculé, plus glauque aussi mais bien plus tranquille. Une fois l’ombre franchi, une fois dans ce recoin plus intime, Aengus sembla perdre le reste de contrôle qu’elle exerçait sur elle-même. Sa main droite glissa le top et l’éventuel sous vêtement sous la poitrine de Maëlle. Se régalant du spectacle, un temps et si Maëlle ne l’en empêchait pas, elle vînt rendre visite à cette partie de son amante. De multiples baisers parcouraient la poitrine de la belle, mordillant le dessous avec application. Puis, comme une affamée, elle vînt finalement s’emparer du sommet dressé et rosé. Un long gémissement accompagna sa bouche. Nul besoin de préciser à quel point elle avait envie d’elle les mains exploratrices contre les flancs le faisaient d’elles même.
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MessageSujet: Re: "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] EmptyMer 10 Oct - 16:40

  • Je ne pouvais me contenir allez savoir pourquoi tout en elle m’attirait. Et face à cette phrase lancée elle se lança à se jeter sur moi, quelque peu surprise mais agréablement que je ne pus que lui rendre la pareille en ne la repoussant pas et puis je n’en avais guère l’envie. Je n’avais pas eu tant que cela de relations homosexuelle, non pas que je n’aimais pas cela ou que je trouvais cela déplacé étant ouverte d’esprit mais ce côté charnelle d’aller avec une femme était des plus excitant à savoir que cela n’avait rien à voir avec une relation partagée d’avec un homme. Une différence telle que j’en éprouvais du plaisir, du désir et puis pourquoi se retenir si chacune de nous avait envie de l’autre, d’un moment intime que nos corps eux-mêmes réclamaient. Aengus semblait être emballée par cet échange tout comme je l’étais, à savoir que je sentais son souffle se plaquer davantage sur moi, voulant me posséder de telle manière que son étreinte se resserra contre moi de façon plutôt agréable et désireuse. J’étais à mille lieux, ne pensant à rien d’autre qu’à elle, qu’à moi. Allant à mon instinct l’embrassant fougueusement, comme si je ne souhaitais pas relâcher ce rapprochement qui se faisait, au contraire la voulant encore plus proche que mon être tout entier réagissait à ses moindres gestes…
    Mon souffle se fit plus lourd, mon corps se raidissait à son touché tout comme cet effleurement sur ma poitrine qui se redressa peu à peu frissonnant de toute part sans jamais cesser ce contact charnel, ses baisers goûtant la saveur de ses lèvres douces et sauvages à la fois ! Ce côté débordant qu’elle avait le don de m’élever encore plus, me fichant royalement de ce qui avait arriver ensuite, la visite inattendue d’une tierce personne ou encore qu’on puisse nous épier, nous surprendre qui au final ne ferait augmenter mon désir pour Aengus, un peu plus de piquant, d’excitation, chose qui s’agrandissait quand elle me porta tout contre elle, l’une de ses mains sous mes fesses, me soulevant ensuite pour m’amener dans un lieu plus discret, plus sombre ayant pour effet de faire grimper encore la température de quelques degrés de mon corps en ébullition après avoir eu ses frissons du bout des lèvres de la jolie blonde et de ses mordillements qui me mettaient peu à peu en transe. Ma main dans ses cheveux telle une douce caresse parfois envieuse et brusque guidé par le désir qu’elle m’inspirait, je me cambrais légèrement afin de lui faire comprendre que je me donnais à elle corps et âme, sans aucune restriction ! Mais à force de jouer à ce petit jeu et de succomber à la tentation il fallait que celle-ci soit assouvit, se stopper maintenant aurait été un sacrilège ! Angus poursuivit son expédition sur mon corps ou assise sur cet amas de caisse je me positionnais de façon plus légère, entrouvrant les jambes afin de la placer entre celles-ci et de la sentir bien plus proche, de respirer fortement son odeur, de la dévorer. J’avais cette chaleur qui émanait de mon corps due à l’effet de ses caresses, de ses baisers, de son savoir-faire et de cette main contre ma peau à venir toucher ma poitrine érigée ne pouvant me retenir de gémir document lorsqu’elle y posa sa bouche.
    Mes jambes encerclaient sa taille afin de la sentir, de l’attirer de façon plus nette et sauvage contre moi, sentant une pression venant de mon bas ventre, des spasmes violents, tels des coups de poignards, je devais assouvir cette envie débordante en tout point que finalement je pris la suite des évènements en main. Levant son menton afin qu’elle me regarde dans cette obscurité malgré tout, je passais ma langue sur ses lèvres la faisant languir à mon tour avant de venir mordiller sa lèvre inférieur, passant mes mains sur ses flancs de façons suggestives avant de venir caresser sa peau sous son vêtements, , en profitant pour caresser et exerce rune légère pression en même temps à la chute de ses reins, tout cela dans un rythme différent du sien, plus lent, des gestes plus prononcés comme pour la rendre dingue. Avant de faufiler ma langue dans sa bouche lentement et de façon très sensuelle, avant de presser les parties de corps tout autant de la même manière. Je n’en pouvais plus, j’étais à bout, je voulais qu’elle m’achève qu’elle me fasse vibrer. Je malaxais l’un de ses seins rigides par ma gestuelle, roulant l’extrémité rosée, alors que mon corps s’emballait de tout part, m’oppressant, ondulant contre elle…étant plus excitée que jamais…mon corps réactifs plus qu’il ne le devrait ou ne le serait avec un homme…voilà la différence et ce que j’aimais rechercher parfois chez une personne du même sexe que moi…


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MessageSujet: Re: "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] EmptyDim 14 Oct - 14:35


Tant de choses s’accumulaient dans l’esprit d’Aengus. Et si son corps ne plaisait pas à Maëlle ? Si elle n’était pas assez en chair, pas assez féminine ? Que se passerait-il ? Qu’en était-il de ses performances durant l’acte ? Que devait-elle faire pour que Maëlle se sente parfaitement bien ? Dans cette montagne de question l’image de Kimberly ne la quittait pas plus. Tiraillée entre ses interrogations et les flammes sauvages de son désir la blonde ne savait ou donner de la tête.

Néanmoins la main de Maëlle contre sa peau, ses doigts sur sa poitrine et son corps ondulant contre le sien eurent rapidement raison de ses réticences. Lui rendant son baiser avec langueur, elle se serra un peu plus contre elle pour la rejoindre dans cette danse suave. Devant tant d’impatience, Aengus aurait pu se ruer sur elle pour abréger les supplices de la brune. L’idée de la faire languir un peu lui passa par la tête. Jouer de son corps avec sa bouche, ses mains et son souffle furent un véritable jeu. Maëlle ne restait pas en reste l’obligeant et de multiples baisers. Mais elles n’avaient pas le temps ici même de jouer durant des heures.

Renversant un peu plus la belle sur la caisse, Aengus grimpa sur le bois. C’était étroit mais assises, elles y tenaient. Aengus n’avait besoin que d’un point d’appuie pour profiter pleinement de la brune. Avec fermeté, elle cala une jambe contre sa taille, l’autre passant entre les cuisses de Maëlle. Le but était simple, relier leur deux intimités l’une contre l’autre. La fougue ne semblait pas décroitre et leur danse l’une contre l’autre ne fit que s’intensifier. Les mains d’Aengus s’emparèrent du visage de son amante comme pour mieux la sentir, la tenir tandis qu’elle laissait Maëlle mener la danse du baiser. Les reins roulaient et brulaient sous la tension que provoquait leur échange. C’était si intense qu’elle ne savait pas si elle serait capable de tenir bien longtemps avant d’en désirer plus.

Impossible de prendre trop de temps et risquer d’être dérangées. Aussi, les doigts pressants défirent le bouton du pantalon puis la fermeture pour mieux faire glisser les vêtements. Elle ne pouvait plus rester aussi loin d’elle dans cette chaleur intenable. Elle avait faim. Faim d’un corps qui vibrait sous ses yeux, faim d’une femme au gout sucré. Incapable de se rassasier, elle descendit le long de son corps pour finir par descendre de la caisse, et venir contre son intimité. Le contact s’élabora comme l’on dompte la plus réservé et fragile chose au monde, comme on dresse une relation. D’abord en douceur, par effleurement et baiser, souffles et contacts légers. Puis, plus vivement, elle entama une exploration plus minutieuse des zones les plus sensibles de la belle. Elle cherchait ce qui la faisait le plus trembler, gémir ou soupirer, n’hésitant pas à rejoindre son corps de ses mains. Le regard calé sur elle ne perdait rien du spectacle. C’était si enivrant de se trouver là. Un brin possessive, elle se réjouissait de pouvoir être là. L’endroit le plus intime de la jeune femme lui était offert et elle était la seule à pouvoir en profiter. S’adaptant à ses préférences, se calant sur son rythme ou au contraire accélérant, elle joua de la brune jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Aengus s’entêtait à repousser Kimberly au loin. L’instant aurait été d’autant plus exquis si elle n’avait pas la culpabilité de tromper Kimberly. S’occuper l’esprit par une femme si prenante qu’elle ne parvenait à s’en détacher ne fut qu’une idée parmi tant d’autre, mais probablement la plus agréable. Il y avait une sorte de rage et de colère qu’elle transmettait dans ses baisers et sussions répétées contre l’intimité de Maëlle, la rage du désespoir probablement. Ce sentiment sourd qui l’avait poussée à se perdre et qui l’obligeait à présent à s’accrocher à Maëlle avec toute la force et la passion d’un junkie devant sa dose quotidienne.

[La réponse était très bien =) Puis c'est pas facile, c'est notre premier RP ensemble et elles se sautent déjà dessus ]
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MessageSujet: Re: "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] "Un jour j'ai bu tellement d'eau, j'ai fais un coma hydraulique hein?! [hot]" [Maëlle] EmptyVen 19 Oct - 10:51

  • Je n’avais pas prévu un tel déroulement pour cette soirée, et pourtant je me retrouvais éprise de Aengus, une jeune femme au charisme fort et qui a chaque fois avait su attirer mon attention de quelques manières que ce fut. Mais là elle m’avait eu, j’étais dans ses filets et partageais ce moment intense et fort en bien des domaines. Elle me submergeait d’émotions, d’excitation de désir. Nos corps, seuls guides et arbitres de ce qui se passaient entre nous deux, que la température grimpa extrêmement vite, tel un feu ardent ou les flammes ne cessèrent de s’accroitre, à la chaleur décuplante !
    Je ne répondais plus de rien, ma main se baladait sur son corps, sa poitrine dressée, mon bassin faisant appel au sien sous nos souffles courts et lourds, oppressantes nous étions, débordantes d’envie également que c’était tel une souffrance ! Nos langues dansant l’une avec l’autre, s’emparant parfois des lèvres de l’autre, n’était pas pour aider à calmer la situation bien au contraire ! Tous nos sens en éveil, réagissant au corps humain, à cette peau de l’amante contre la sienne, un supplice ne voulant qu’une chose succomber pleinement et sans aucune retenue ! Qui aurait raison de l’autre, de l’emprise sur son amante à ce petit jeu sensuel ? Peu importe c’était un pur délice. Une situation explosive au départ lors de cette bagarre et là un affrontement de corps à corps des plus sensuels !
    Aengus semblait diriger les choses, alors à sa guise et bien expérimentée que moi dans ce domaine, flirter avec une autre femme tout comme aller à gouter la peau ou encore les rondeurs je connaissais mais vraiment faire l’amour avec une femme était une chose nouvelle pour moi, du moins de cette manière si intime et profonde. Sentant Aengus contre moi à défaire mon pantalon je sentais cette fièvre monter en moi, fermant les yeux pour mieux apprécier son touché, ses lèvres posés sur ma peau délicatement ce qui me fit danser le bassin, comme un appel de dernier recours, j’étais prête, j’avais envie d’elle, et je le lui faisais savoir. Cette douceur qu’elle avait à me parcourir était telle que même un homme n’aurait su pas faire mieux. Voilà ce qui pouvait me faire céder chez une femme, le fait de connaitre les moindres parties sensibles et comment se l’apprivoiser au mieux ! Ne pouvant me contenir, je soupirais, je gémissais doucement passant mes mains dans ses cheveux, avec sensualité et brutalité à la fois sans lui faire mal bien entendu, l’incitant à poursuivre. J’étais si bien, entrant dans une sorte de transe peu à peu. Chacun s’occupais de l’autre de l’autre à s’occuper les mains, des caresses, des suggestions, que le cœur de chacun battait à tout rompre, telle dans une course folle. Puis Aengus prit le malin plaisir à m’emmener jusqu’à la jouissance, ne sachant si je devais la repousser quelque peu ou encore me laisser aller totalement, ou ceci accompagné de cris de jouissance sans trop de faire entendre pour ne pas se faire prendre, même si cela aurait été des plus excitants aussi finalement.
    Repoussant mes limites je la laissais me finir, sentant mon intimité humide perler, Aengus semblait ne pas vouloir se stopper alors que je venais d’atteindre l’orgasme de façon vraiment vertigineuse, que relevant avec un peu de conviction sa tête je l’amenais à moi, afin de l’embrasser fougueusement, mes mains caressant son corps, l’un de ses seins que je ensuite en bouche mordillant, léchant l’extrémité rosâtre, tout en la gardant entre mes jambes, ne voulant pas rompre ce contact. Ce gout qu’elle avait des plus enivrants, qu’à mon tour, et de la même manière qu’elle, je me redressais, me lavais et la plaquait contre le mur à côté de ce tas de bois afin de pourvoir me délecter d’elle. J’étais comme assoiffée, telle un vampire ne pouvant se résoudre au gout du sang humain, que mon autre main alla sur son flanc gauche, passant sur son intimité, doucement avant de remonter pour me frayer un chemin jusqu’à sentir son intimité sous la paume de ma main avant venir sensuellement jouer avec son intimité la forçant quelque peu à me laisser de l’espace pour qu’elle puisse me sentir en elle avec délicatesse sans cesser de gouter à son corps avant que la kyrielle de baisers ne suivent le chemin de cette main disparut sous le tissu, pour ensuite la découvrir et venir gouter le fruit défendu avec délectation et une petite once de hargne suçotant, embrassant, jouant, mordillant son intimité…j’espérais qu’elle apprécierait désormais que je m’occupe d’elle…à savoir comment elle allait réagir désormais à mes initiatives !
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Aengus la sentait vibrer sous ses caresses répétées. Rien de plus doux que de savoir que ses actes obtenaient le répondant approprié sur le corps de sa partenaire. Bien qu’elle manquait un peu expérience et qu’elle tâtonnait parfois pour savoir si oui ou non elle parvenait à son but, elle s’était jetée à l’eau, incapable de plus de retenue. Que risquait elle ? Lorsque la jeune femme se contracta sous sa bouche, Aengus eut un sourire satisfait étouffant un grognement d’envie. Ce désir de la posséder ne s’évanouissait plus et Aengus ne savait plus comment parvenir à se calmer. Ce fut lorsque Maëlle reprit les choses en mains qu’elle réalisa l’ampleur de son manque.

Plaquée contre le mur, elle glissa une main dans la chevelure soyeuse et douce de son amante. La poitrine dressée, le regard mi clos, elle cherchait un point d’appui, une accroche pour ne pas perdre la tête. La bouche sur son sein la rendait folle et Aengus serrait les cheveux en gémissant. Lorsque la main de la jeune femme se glissa dans son pantalon, Aengus se senti rougir. Jamais personne n’avait touché cet endroit. Elle avait l’habitude de prendre soin des femmes mais pas de se laisser aller. Le regard se posa sur Maëlle, un brin inquiète. Et si ca ne lui plaisait pas ? Si elle trouvait qu’elle était pas bien faite finalement. Si elle pensait qu’Aengus n’était pas normal, qu’un truc clochait ? Mais Maëlle sembla loin de toutes ses préoccupations et poussa la blonde à s’offrir un peu plus. Roulant son bassin contre les doigts de son amante, Aengus laissa passer un petit cri mi surpris mi soulagé lorsque les doigts s’aventurèrent en elle. La main sur la joue de Maëlle l’encouragea à venir jouer sur sa poitrine. C’était si bon là, sur cette pointe rosée, qu’elle ne pouvait retenir cette demande implicite. C’était si chaud, si humide, si doux… Elle en voulait plus encore, bien plus qu’elle ne pourrait probablement en obtenir. Maëlle sembla le comprendre détachant sa ceinture, son pantalon puis son sous vêtement. Le souffle court, suspendu, Aengus la regarda descendre vers son intimité. Partagée entre une envie et un désir tenace d’un coté et la crainte de ne pas plaire de l’autre, elle n’en pouvait plus. Le souffle chaud contre son intimité la poussa à étouffer en râle de plaisir. Alors que la bouche de Maëlle s’apprêtait à lui offrit son premier baiser intime, une lumière se braqua soudainement sur elles.

« Oh bah merde alors. » Railla une voix masculine enivrée. « Je peux vous aider les filles, y a qu’à demander. »

Aengus releva ses vêtements sur ses fesses et passa devant Maëlle pour lui éviter d’être trop exposée. L’ivrogne, venu pour soulager sa vessie, semblait avoir envie de faire autre chose du membre qu’il avait en main que ce pour quoi il était venu au départ. Les vas et viens qu’il exercait de sa main en étaient la preuve flagrante. Frustrée et humiliée, Aengus était prête à lui sauter à la gorge ou à le castrer…peut être le deux. Le regard tomba, dégouté, sur la virilité exposée de l’ivrogne trop repoussant.

« Casses toi ! » S’écria Aengus la mâchoire serrée.

« Allez les filles, vous étiez pas si timide tout à l’heur… »

Après avoir vérifiée que Maëlle avait eut le temps de se revêtir, elle avança vers l’importun qui barrait le passage pour lui loger le pied dans l’entre jambe. Une façon comme une autre de s’assurer qu’il ne l’utiliserait plus en sa présence.

« ‘pèce de porc ! »

Devait elle frapper encore ou s’enfuir avec Maëlle à l’intérieur ?
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