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Skylar & Keavan • Tu m'avais dis "forever" mais pour le moment le mot "never" est dans ma tête.

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MessageSujet: Skylar & Keavan • Tu m'avais dis "forever" mais pour le moment le mot "never" est dans ma tête. Skylar & Keavan • Tu m'avais dis "forever" mais pour le moment le mot "never" est dans ma tête. EmptyJeu 18 Oct - 23:29






Skylar Keavan


J’étais en route pour rejoindre mon frère. Je ne savais pas où exactement il m’avait caché l’endroit de nos retrouvailles. Plutôt étrange non ? Heureusement pour lui, j’avais son numéro de portable et il me guidait ainsi pour que je puisse le retrouver sans problèmes. Sérieux, j’avais l’impression d’être dans un putain de film américain et que mon frère c’est le fou à lier et moi la cruche, seule au monde qui se dirige vers la gueule du loup. Quoiqu’avec un certain recul c’est assez fun comme concept…. Enfin, si on oublie le passage où je suis censée crever vu que je suis la pauvre damoiselle en détresse. Lamentable. Je marchais assez lentement dans les rues de la ville, il était 23h, le ciel était couvert. Il n’y avait aucunes étoiles présentes et c’était bien dommage. La nuit j’adorais contempler la lune et les étoiles donc, mais bon là on va dire que ce n’était pas ma priorité. J’étais arrivée à San Francisco fin août pour intégrer Berkeley une des facs des plus populaires et respectées des Etats-Unis d’Amérique. Ok, la popularité et moi ça fait deux, même je déteste ça, les gens populaires me cassent les couilles à un plus haut point. Je ne sais pas… Je ne comprends pas l’utilité d’être populaire. Quelqu’un va devoir m’expliquer un jour. Toujours avoir des gens derrière sois qui nous collent les baskets et font les hypocrites pour se considérer nos amis, juste histoire de goûter au succès à travers nous au moins une fois dans leur minable vie de terrien. Putain rien que de penser à leur gueule j’ai mes mains qui tremblent car je veux leur foutre mon point en plein milieu de la figure. Calme, calme ma petite Skylar… Je dois me concentrer sur le but de ma virée nocturne : retrouver mon frère avec qui je n’ai plus rien en commun. Mon frère jumeau, le seul frère que j’ai. Dire que gamin on était proche, je me souviens même que je lui avais demandé de me promettre de ne plus me quitter. Que j’étais conne sérieux à cette époque mais pour le coup, ce pacte a été rompu grâce au sublime divorce de nos parents. J’avoue que ça m’est souvent arrivé de penser à Keavan lors de notre séparation si je peux appeler ça ainsi bien évidemment. Le divorce de nos parents je crois que c’est ça qui a tout stoppé, même si au début on fréquentait la même classe… La chose qui me sert de mère a vite fait de me changer d’établissement scolaire l’année qui suivait leur divorce. Je m’étais retrouvée dans un établissement privée avec des putains d’uniformes scolaires, où les tatouages, et piercings étaient refusés. Ma mère est con ou quoi ? Elle savait parfaitement que j’avais des piercings et que j’allais refuser de les enlever et que j’avais déjà un tatouage, vu que le premier que j’ai eu, j’avais 15 ans. Au début elle me forçait à enlever mes piercings et elle me disait de toujours mettre des hauts à manches longues pour couvrir le tatouage qui était sur mon bras gauche. Dire qu’au début, comme une pauvre conne je l’écoutais. Ok, je lui gueulais dessus et ça partait en couille totale, mais au bout du compte c’est elle qui gagnait toujours. Après tout, ma conne de mère me menaçait de me foutre à la porte si je continuais mes conneries, mes piercings, mes tatouages… Ouais pour elle c’est inacceptable et vas-y que ça critique et vas-y que ça me dit que je suis une merde, une enfant pourrie gâtée, que je vais regretter mes tatouages et mes piercings plus tard, que tout ce que je fais ne sert à rien… Pour elle, c’était les études encore et toujours. Elle voulait que je fasse médecine car être docteur ou chirurgien c’était admirable. Selon elle bien évidemment. J’étais déjà passionnée de tatouages, je m’amusais à créer les miens dans un petit book que j’entretenais depuis mes 14 ans je crois. Ma mère avait déjà vu ce de quoi je suis capable mais à chaque fois elle trouvait un moyen de critiquer et de me rabaisser et pour me consoler elle disait que de toute façon tatoueur c’était un métier de merde, qu’on ne gagnait pas assez et qu’on était aucunement respecté dans la société. Sérieux, je suis trop gentille, pourquoi je lui ai pas foutu mon poing dans la gueule ? Mais vous savez quoi ? C’est grâce à cette conne que j’ai continué à travailler mon dessin pour être encore meilleure dans ce domaine, donc je peux dire : Merci maman chérie que je hais à la folie de m’avoir démontée pour qu’au final je sois meilleure. Dommage que mon frère n’ait pas été là pour observer comment j’évoluais, de toute façon il doit s’en battre les couilles désormais, on a plus rien en commun.

Décidément San Francisco la nuit ça changeait de NYC. Je ne dis pas que c’est mort, non, non ce n’est aucunement ça mais disons… Que ça change, ce n’est pas la même ambiance. D’ailleurs je dois vérifier un truc. San Francisco c’est pas la ville des gays ? Avant de venir ici, quand je disais à mes collègues tatoueurs ou encore à des potes à moi à la fac que je comptais venir rejoindre mon frère ici pour ne plus avoir ma mère dans les baskets, on me disait que SF avait cette notoriété. Ville des gays… Plutôt cool non ? Je suis moi-même bisexuelle et j’adore les gays. Bon ok, y’en a des casses couilles comme n’importe qui sur Terre hein, je me voile pas la face ou je les fou pas sur un piédestal, non, non loin de là, j’ai la tête sur les épaules sur ça. Mais je sais pas, avoir des potes MECS gays j’en sais rien, ils me font rires, ils sont moins prises de têtes. Enfin à mon goût. Après ok leur délire de « faire les boutiques ensemble » comme ils disent c’est sans moi, je suis assez garçon manqué sur les bords mais je le vis bien. J’ai fait une fois les boutiques avec mon meilleur ami gay à NYC et j’ai cru que j’allais mourir. De 9h30 du matin jusqu’à 22h le soir, ça tue, je vous assure. Après pendant 6 mois je n’ai pas refoutu les pieds dans une boutique tant ça m’avait marqué cette journée à la con. Bref, je devrais inviter mon meilleur pote Benoît, un jour ici, il serait content mais d’abord faudrait peut-être me montrer les quartiers adéquats non ? Car ok, c’est cool que SF ait cette notoriété mais bon depuis fin août que je suis là, j’ai pas visité la ville. De SF, je connais mon salon de tattoo qui se situe à côté du Hard Rock Cafe situé au plein centre de SF et bien évidemment ma chère et tendre fac que je chérie à la folie. Enfin non pas tellement, mais bon, la photographie me passionne assez et je trouve ça intéressant à étudier même si les profs me cassent souvent les couilles et que je ne rends pas tout le temps mes travaux. Pourquoi ? Mon travail comme apprentie tatoueuse passe avant tout le reste. Je peux rester éveiller jusqu’à 4h du mat pour bosser mes dessins pour qu’ils soient parfaits lorsque le client revient me voir. Black Heart Tattoo ça sonne plutôt classe comme nom de salon de tatouages non ? Moi je trouve, enfin au pire chacun ses goûts. C’est ma bosse Kat à NYC qui m’a recommandé à ce salon et donc je peux poursuivre mon apprentissage sans problèmes. Encore heureux, je n’aurais jamais quitté NYC pour aller dans le rien. Je tiens trop aux tatouages pour les abandonner pour… Mon frère. Ok, mon frère n’est plus rien à mes yeux, pour moi c’est un inconnu désormais. Peut-être qu’avant j’aurais choisi lui sans hésitation mais on est plus comme avant… On est « maintenant » désormais et ça, personne ne pourra le nier, même lui. D’ailleurs je me demande comment il a fait pour avoir mon num. Car ouais ok, je vous accorde que c’est moi qui suis venue à SF pour le revoir. C’est moi qui aie fait mes recherches persos pour voir où il était niveau ville, puis facs ou métier, bref je me suis démerdée pour avoir ses renseignements quitte à appeler mon père pour qu’il m’aide. Car ouais, depuis le divorce de mes parents, j’ai quitté mon frère et mon père. Je préférais mon père à ma mère car je le pensais moins casse couille mais avec le recul ils sont au même niveau pour moi, même si je me souviens parfaitement de la crise que j’ai faite lorsque le juge m’a placé chez ma mère et non chez mon père. Enfin bon, ainsi va la vie, je ne peux strictement rien y changer et en fait, c’est mieux ainsi. Car grâce à ma putain de mère, j’ai pu m’améliorer en dessin, et j’ai su m’affirmer envers elle pour faire de ma vie ce que j’en entends et non suivre ses plans à la con pour être médecin ou je ne sais quoi d’autre dans cette branche la. Bon, tout ça c’est bien joli à dire, mais je ne sais pas encore comment mon enflure de frère a eu mon putain de num. A la fac, depuis la rentrée je ne l’ai croisé nulle part. Je me demande même à quoi il ressemble. Bon ça fait pas non plus cent ans qu’on s’est pas vu, mais bon en 4 ans on change quand même. Lorsqu’on voit un gosse à 16 piges, il n’est plus pareil qu’à 20 non ? J’ai déjà parlé à certaines nanas à la fac concernant mon frère et les seules choses que je sache à son sujet c’est que c’est un gros connard avec les filles, et qu’il est populaire pour être un petit rebelle de service. Touchant non ? Mais le truc qui me perturbe le plus c’est qu’on est dans la même confrérie et depuis septembre que je suis rentrée à la fac, j’ai jamais croisé sa gueule même dans les locaux qui nous sont appropriés. Bon ok, j’avoue que en même temps je traîne pas trop là-bas, j’y vais quoi une à deux fois par semaine pour faire genre que j’existe et que éventuellement je peux servir à un truc, mais y’a quand même intérêt à pas trop m’en demander. C’est déjà bien que je sois dans une confrérie alors que la dynamique de groupe c’est pas trop mon délire et que je déteste avoir des gens que je considère au même niveau que moi, classé au niveau supérieur. Par exemple pour mon boulot, je respecte mon boss car il fait un travail d’enfer niveau tatous et que j’en apprends beaucoup de lui, mais je ne vois pas comment quelqu’un de quelques années de plus que moi, 5 ans grand maximum peut oser m’apprendre ce que c’est la vie et me dicter quoi faire. Enfin bon, je croise les doigts, jusqu’à présent je n’ai eu aucuns problèmes. Bref, je m’emporte là, mon frère, mon frère encore et toujours lui ! Je ne l’ai donc pas croisé depuis ma venue à Berkeley. Je suppose qu’il a son appart hors de la confrérie et que donc c’est pour cela qu’il n’est pas souvent là-bas. Après tout, je suis bien dans la confrérie Gamma et j’ai un appart près de mon boulot. J’aime avoir mon indépendance financière et être seule, posée chez moi sans toujours avoir quelqu’un pour me saouler à n’importe quelle heure de la journée ou de la nuit.

Je viens tout juste de recevoir un SMS de la chose qui me sert de frère. « 3ème rue à droite. » Plus court tu meurs je pense. Mais comment savait-il où j’en étais ? La télépathie des jumeaux ? J’ai souvent entendu parler de ça mais est-ce-que ça existe réellement ? Bon, ok, je me souviens que quand j’étais gosse, lorsqu’il était malade, je sentais son mal au ventre en moi, enfin je sais pas c’est chelou à décrire, je crois qu’il faut le vivre pour comprendre ce que c’est. Ca peut sembler paranormal ou j’en sais rien comme connerie… J’ai jamais vraiment essayé de comprendre ça. Je le vivais et c’est tout. Mais désormais vu qu’on est plus proche et qu’il est devenu un inconnu à mes yeux… Est-ce-que cette théorie fonctionne encore ? Là mon cœur bat à cent à l’heure, j’accélère mes pas, je suis assez stressée… Lui, ressent-il cela ? Lui seul peut me le dire mais je ne saurais pas comment m’y prendre. Je m’explique, une fois face à lui je suis censée faire quoi ? Lui sauter dessus ? Plutôt crever. Il avait promis qu’on ne se sépare jamais et pendant nos années de séparation il a rien fait pour me retrouver. Bon ok, moi non plus mais lui il avait le parent cool si je puis dire. Ok, mon père n’est pas parfait, il est peut-être con, ok, mais entre notre père et notre mère, y’a pas photo, le père l’emportait haut la main. Bref, je ne sais pas si je le déteste ou pas. Sûr ça a changé, comme je l’ai dit, pour moi c’est un pur et simple inconnu. On a tout perdu. Notre feeling, nos conneries... Je me demande même si on pourra redevenir comme avant lui et moi. Mais je suis quelqu’un de très rancunier et là pour le coup, c’est pas moi qui va me mettre à genoux devant lui, et lui balancer des phrases à deux balles concernant un possible amour fraternel à son égard, ou un signe affectif tout court d’ailleurs. Je crois que j’hésite entre lui foutre une baffe, lui cracher au visage ou même… J’en sais rien putain. Je suis complètement perdue. Si je le détestais tant pourquoi ai-je traversé le pays pour sa gueule et pourquoi je suis dans les rues de SF en pleine nuit pour sa gueule ? Je crois que pour le coup je suis pas très crédible. Ok, j’avoue qu’il y ait un possible manque mais merde je veux pas ramper à ses pieds et faire partie de ses groupies. Car si j’ai bien pigé ce qu’on m’a dit, Monsieur est le tombeur de ses dames et il fait joue-joue avec la gente féminine… Etrangement je suis fière de lui à ce niveau. Ca m’aurait vexé si c’était un romantique, un mec croyant au big love ou une connerie du genre. J’avoue que moi sur ce domaine je suis… Différente. Enfin, j’en ai rien à cirer que mes potes soient des bâtards envers des meufs ou mecs. Moi je sais juste que je suis incapable d’être une sale bitch qui fait tourner la tête des mecs. Bon ok, j’avoue que je suis pas clean non plus sur ce côté-là. J’ai eu plusieurs amourettes avec des mecs, j’en ai trompé plusieurs et briser des cœurs je sais faire. Je n’ai eu qu’une seule relation sérieuse et ça a tourné au cauchemar. Je crois que c’est un signe pour me dire que je suis pas faite pour l’amour non ? C’était avec une fille d’ailleurs, c’est grâce à elle que j’ai su que j’étais attirée par la gente féminine. Je l’ai rencontré dans mes cours du soir de dessin à NYC le 27 janvier 2010. C’est elle qui est venue m’accoster et j’ai de suite fondu. Elle était tatouée de la tête aux pieds, cheveux bleus turquoise, des yeux d’un noir profond, une peau super blanche comme une poupée de porcelaine, des formes là où il fallait. Bref, la femme parfaite à mes yeux. Il a fallu un long mois pour que j’ose lui donner son premier baiser et on est de suite passé à l’acte. J’avoue que je ne savais pas comment on pouvait faire l’amour entre fille à l’époque, pour moi fallait obligatoirement un pénis et j’ai été ravie de voir qu’on s’est débrouillé à merveille sans. Bref, je vais éviter de repenser à ça, je me fais plus de mal que de bien. Elle a été ma première petite amie et on est resté ensemble jusqu’à mars 2012. Elle est morte. Rien que d’y penser, j’en ai les larmes aux yeux. Ca fait suspect une fille qui marche seule dans les rues de SF en chialant non ? Tant pis, personne me voit, on est dans le noir après tout. Je préfère me sécher les larmes, que d’arriver les yeux explosés face à mon frère. Car j’en suis sûre qu’il oserait croire que je chiale pour sa gueule vu qu’on se retrouve enfin depuis X années. Je sais juste que depuis Marissa, mon ex donc, j’ai super peur de monter dans une voiture. Je fais un blocage complet. Si un jour j’attrape le salaud qui a tué ma copine lors de ce putain d’accident de la route, je crois que je prendrais le temps de le torturer, pour qu’il souffre bien pour ensuite le laisser se vider de son sang petit à petit, en voulant entendre sa voix me supplier d’arrêter et de le sauver, ce que je ne ferais aucunement bien évidemment. Mais bon, on a jamais pu retrouver le connard qui a fait ça à Marissa. Pourtant les flics ont récupéré pas mal de preuves mais c’est comme si le type avait disparu. Enfin je dis que c’est un mec, mais ça pourrait être une meuf, bref… Je commence à trembler de colère rien qu’en y repensant et trembler + chialer devant mon imbécile de frère il va penser que j’ai peur, ou froid, ou j’en sais rien, MERDE à la fin ! Je veux pas qu’il me touche et qu’il me dise des paroles attendrissantes pour m’amadouer. Je suis pas toutes les meufs et il a pas intérêt à user de ses stratagèmes de Dom Juan pour m’avoir à ses pieds ! Là, je suis dans une colère noire, c’est ça de trop penser. Je serre mes poings très forts et je frappe contre le mur pour me défouler. « PUTAIIIINNNN ! » Criais-je en plein milieu de la rue. Je posais mon cul au sol en tenant fermement dans mes mains mon pied droit, celui qui est blessé. Putain si j’ai un truc je suis dans la merde. J’ai pas envie de demander de l’aide à Keavan, je préfère souffrir le martyr plutôt que d’avouer que j’ai besoin de lui, là, maintenant. Après tout il a été absent dans ma vie pendant longtemps pourquoi j’aurais tout d’un coup besoin de lui à cet instant précis ? Je peux me passer de lui, il me sert à rien et ça serait lui donner un trop grand honneur que d’avouer que j’ai besoin d’un frère à mes côtés pour être bien. Ok, j’avoue qu’il m’a souvent manqué, que j’ai souvent voulu son aide mais il a dû tourner la page, on est plus comme avant, on a avancé chacun dans une direction bien précise. Peut-être qu’il va me détester vu mes tattoos et piercings, peut-être que lui est tatoué aussi, j’en sais rien, c’est un putain d’inconnu à mes yeux et je ne sais pas si cette situation va évoluer.


« Tu m'avais dis "forever" mais pour le moment le mot "never" est dans ma tête. »

© Macha


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MessageSujet: Re: Skylar & Keavan • Tu m'avais dis "forever" mais pour le moment le mot "never" est dans ma tête. Skylar & Keavan • Tu m'avais dis "forever" mais pour le moment le mot "never" est dans ma tête. EmptyLun 12 Nov - 20:25

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