Say goodbye, as we dance with the devil tonight.

❝Tonight's gonna be a good night❞

Fête, c'est la seule chose qui m’intéressait en ce moment dans ma vie d'étudiante, c'est vrai que les cours c'est intéressant, mais la fête à côté de ça, c'est le paradis. Je ne sais pas d'où viens ce besoin de fête, je ne sais même pas depuis quand je suis une telle fêtarde surtout que je n’étais pas du tout ce genre de fille, souvent je me dis que je devrais réduire les dégâts et arrêter de boire quand je sors, ou arrêter de draguer, mais après quelques verres toutes mes paroles partent dans les airs. En tant qu’epsilon, je me dois de sortir et de fêter mes merveilleuses note et ma futur merveilleuse vie, d'aller aux fêtes organiser par le campus, c'est un devoir, que j'adore faire d'ailleurs. Sortir le soir pour moi c'est comme aller faire du shopping, c'est essentiel à ma vie sociale tout d'abord, car dès que je sors je rencontre de nouvelles personnes, des personnes qui par la suite deviendront mes amis proches, et avec qui je sortirai aussi le soir. La boisson c'est quelque chose de facultatif dans une fête, on peut très bien s'amuser sans boire une seule goutte d'alcool même si c'est vrai que l'alcool éveille nos papilles et on est tout de suite plus excité et plus joyeux à l'idée de s'amuser. Pendant les cours, j'essaye de faire mes devoirs le plus vite possible sans me faire attraper par le professeur, comme ça le soir je n'ai pas de soucis à me faire à propos de mes devoirs, car la plupart sont déjà faits, alors je peux tranquillement sortir du campus et aller dans un bar histoire de fêter ma journée ennuyante. Ce qui me plaît le plus dans l'idée de sortir le soir, c'est que souvent dans les bars, je croise des tas de personnes de l'université, des étudiants mais aussi des professeurs et c'est là que cela me fait le plus rire, quand tu vois ton professeur d'histoire en train de boire un mojito avec deux blondes à ces côtés, c'est tout simplement fameux. Ce que j'adore aussi c'est de voir les petits Alpha dans un bar en train de se descendre des shots de vodka et le lendemain les voir dans leur bibliothèque entrain d'étudier alors que moi je suis en train de dormir, les epsilon, c'est un monde à part, ils ne peuvent pas être comparé aux autres confréries, ils sont uniques. Aujourd'hui c'est samedi, pour vous cela vous parait être un jour banal, mais pour moi c'est différent, ce soir c'est mon soir préféré, le soir où je pouvais enfin sortir et respirer un peu. Mais depuis quand j’étais devenu cette fille ? Une fille superficielle ne pensant cas une chose sortir et faire n’importe quoi ? Tout simplement depuis que j’étais rentré dans cette déprime, une déprime étant apparu depuis le retour de Jayan, il me rendait folle, je ne voyais que par lui, mais lui ne voyait pas par moi. Je ne savais plus du tout où j’en étais, et c’est pour ça qu’aujourd’hui j’avais pris l’énorme décision de ne plus faire n’importe quoi et de me reprendre comme il se doit, la Camélia ancienne génération allez refaire son apparition, avec bien entendu quelques changement. Parfaite j’étais déjà, mais j’allais devenir bien meilleure, comme un bon vieux vin, je me bonifie avec le temps. Du genre associable et arrogante, j’allais faire de mon mieux pour devenir une personne plus agréable et surtout plus joyeuse. A part Aislynn et Adriel, je n’avais absolument pas d’ami sur qui compté, les gens était « pote » avec moi parce qu’ils ont plus peur qu’autre chose, hier je vous aurez dis que je m’en fiche, mais aujourd’hui était un autre jour et je me sentais seul, j’avais besoin de m’ouvrir un peu plus, pour éviter de sombrer. Se soir, j’allais passer la soirée avec ma meilleure amie, la seule qui sans que je ne lui dise quoi que se soit savait quand je n’allais pas bien, et elle l’avait deviner puisqu’elle m’avait pratiquement forcé à sortir se soir, alors que je lui avais stipulesement dis que je voulais maintenant éviter les sorties dans les bars et boites en tout genre. Mais elle avait eu raison de moi et je m’étais résigné à la rejoindre. Quand elle m’envoya par texto notre lieu de rendez vous je poussez un soupir désespérer je détestais cette endroit mal fréquenté, tous pauvre et dénué de bon sang, ce qui n’était pas vraiment mon milieu, mais je lui avais promis et je ne suis pas du genre à revenir sur une promesse. Me préparant je ne pris pas la peine de sortir une robe de grand couturier et me contenta d’une robe noir chanel, après rien qu’avec cette robe je pourrais racheter l’établissement, mais soit, mon chauffeur se mit en route, et j’arrive plus vite que prévu. Quand je sortis de la voiture, je pu la voir arriver, plus joyeuse que jamais, que j’aimerai avoir cette joie de vivre. Elle m’apporterai tous le souffle heureux que je ne possédais pas, elle était un peu comme ma bouffé d’oxygène et comme une drogué je m’imprégner de sa joie de vivre pour la faire entrer en moi sans succès. « J’ai voulu faire demi tour, une bonne dizaine de fois, si tu veux tout savoir, tu sais bien que je déteste cette endroit. » Je l’embrassai comme j’en avais l’habitude et repris aussitôt. « Mais qui suis-je pour te refuser ça, j’avais vraiment envie de te voir. » Et nous nous dirigions vers l’entré du bar, et c’est une fois à l’intérieur que je me souvenais vraiment pourquoi j’avais cette endroit en horreur, jeune homme dépravé de toute classe, et fille presque habillé en prostitué, d’accord je vois le genre, une fois installé au bar, nous avions été vite servis et c’est après une demi heure de papotage qu’il se passa quelques chose qui allait alors nous interrompre dans notre conversation. C’est avec un merveilleux entrain qu’un jeune gueux avait déposé sa main, sur le postérieur de mon ami, sans aucune honte et aucune gène et pour couronné le tout, le jeune homme avait un sourire rayonnant avec une certaine satisfaction. Mauvaise que je suis comme toujours je ne pouvais pas laisser passer ça, je l’avais vu arrivé, je l’avais vu arrivé et je m’étais déjà préparé à riposter. « Tu veux de l’aide peut-être ? Enlève se sourire niais de ton visage il te fais paraître beaucoup plus sale que tu ne l’es déjà. » Je posais mon regard dans celui de ma meilleure amie, j’ai l’impression que c’est pas encore se soir que je pourrais aller mieux. Mais belle tentative.

L'impatience est la forme moderne du démon, la patience l'art suprême de vivre.

corbeille