Oh what a beautiful morning... {PV CartyChéri)

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Carter avait peur. Mettez vous 5 secondes à sa place, il voyait la femme qu'il aimait risquer sa vie par sa faute. Elle courrait de grave danger avec tous ces pieds chaussé de lames tranchantes autour d'elle. Sur qu'il ne reviendrait pas à la patinoire de si tôt lui... Dans tous les cas l'adrénaline le poussait à ne plus réfléchir et à la rejoindre pour lui tendre la main et la secourrir. Comment avait-il pût être aussi méchant avec elle et l'a jeter de cette manière avec si peu de tacts ? De toute façon il n'aurait jamais dût lui parler comme sa.
« Besoin d'aide ? » En vérité la question ne devait même pas se poser, si quelqu'un avait besoin de Carter ou avait l'air d'avoir besoin de lui c'était surement cette jeune fille qui était à quatre pattes sur le sol gelé qu'on apelle glace et surement avec un niveau d'alcool plus élevé qu'il ne le faudrait.

Carter avait peur de sa réaction. Elle avait toutes les raisons du monde dit dire de dégager et de continuer son chemin parmis les pieds qui l'entourait. Mais voyant son sourire Carter lui même se mit à afficher une mine tout a fait réjouit. Quelqu'un qui veut vous jeter, vous dire de partir bref quelqu'un qui s'apprete à vous remballer n'aurait pas eu ces yeux pétillants, bon eux c'étaient sans doute à cause de l'alcool, ni ce sourire ravit, peut être venait-elle de se rendre compte qu'il fesait beau dehors ce qui la réjouissait, non c'était peu probable. Carter résuma qu'elle n'était pas contre un d'aide mais en la voyant de cette façon, qui paressait si vulnérable assise par terre devant lui avec ce regard d'enfant il resta pétrifié. Les yeux sur elle, le temps sembla s'arréter pendant qu'il était là, debout parmis des tas de gens qui se foutaient totalement de lui et qui ne se doutaient pas qu'il était amoureux. Sans doutait t'elle, elle ? La concerné ? Surement pas, sinon elle aurait réagit depuis longtemps... Pourtant Andy avait toujours dit à son jumeau qu'il mentait mal et ne fesait pas bien la comédie. Depuis quand l'aimait t'il ? Toujours. Enfait il ne c'était jamais posé cette question car elle était stupide selon lui, on ne peut pas aimer une personne du jour au lendemain, on l'aime à partir du premier regard le problème c'est le temps qu'on met à s'apercevoir que notre coeur bat pour cette personne et pas une autre, le temps de se rendre compte que quand elle n'est pas là on ressent un certain manque, que la voir arriver le matin vous redonne le sourire. Bien sur on peut éprouver sa pour des amis, mais jamais comme il l'a éprouvé pour Abygail.

Finalement il ne serait pas obligé de rester éternellement dans cette position stupide : la main tendu, les yeux rivées sur elle et toujours ces pensées loin du moment présent. Carter était tout ce que l'on peu dire ''d'absent'' pourtant il ne pensait qu'a ELLE. Un jour serait t'il guérit de son amour ? Peut être devrait t'il essayer de sortir avec une fille, pour voir se que sa fait de penser à Abygail et d'être avec une autre. Cette pensée le frola tout en aidant Aby' à remonter à la surface. Il la vit trembler, il la tenait fermement et sans qu'il s'y attende elle enroula ces bras autour de son cou. Décidément il ne pourrait jamais aimer quelqu'un d'autre qu'elle. Les cheveux de la jeune fille lui chatouillait le visage, il les sentit discrètement sans vraiment le vouloir, elle avait une odeur bien à elle, non Abygail ne sentait pas l'alcool, apart son haleine qui était légèrement fétide mais si peu... Carter posa ces mains dans le dos de la jeune fille, pour la soutenir bien entendu. Bien entendu. Il sentit la chaleur chaude de son haleine dans son cou et sourit, autant pour sa question que pour la prise de conscience qu'il venait d'avoir, Abygail Honess était dans ses bras, pas ceux d'un Delta, pas ceux de n'importe quel mec, non Abygail Honess était dans les bras de Carter Bass pour la deuxième fois de la journée. Carter ne répondit pas tout de suite et elle jugea bon de rajouter qu'elle aimerait bien. Nouveau sourire de la part de Mister Bass. Heureusement qu'elle ne le voyait pas sourire.

« Bien sur que je reste avec toi. »

Carter mit ces mains sur les épaules de la jeune fille et l'écarta légèrement de lui pour voir son visage. Elle avait les yeux clos. Il aurait aimer faire pareil. Si c'était si simple. Si on pouvait fermer les yeux et dire tout ce que l'on pensait. L'alcool est finalement une bonne chose, un sérum de vérité à faible dose. Un délivrant.

« Viens on va s'asseoir sur le bord, sa devient dangereux ici. »

Cependant il ne bougea pas. Il avait un peu de mal à s'arracher à la vision d'Abygail les yeux fermé, il avait envie de garder cette image pour toujours, au moins il aurait le souvenir de cette journée pour le consoler quand demain l'effet de l'alcool sera passer et qu'elle sera moins affective...

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Abygail avait toujours considéré Carter comme étant "une personne dont elle ne pourrait se séparer". Non pas qu'il y aient de véritables raisons à cela. Certains ont un domaine en commun pour les unir, les Cheerleaders avec les Deltas sportifs par exemple. Deux artistes, deux âmes poètes. Entre Abygail et Carter, c'était tout simplement vital. Abygail ne concevait pas une vie à l'université sans la présence du jeune Studious. Il était un pilier de sa vie, une présence à laquelle elle s'était accoutumée. Une voix à laquelle elle s'était habituée, une odeur, un parfum, un regard. Et jamais elle ne s'était dit que cela pouvait être de l'amour. Elle savait que son attachement était bien au-delà de l'amitié simple. Elle savait aussi que ce n'était pas une présence fraternelle comme celle de Chuck. Mais jamais elle ne s'était posé la question. Abygail, à l'habitude jeune femme curieuse et aux questions plein la tête, n'avait jamais cherché à comprendre et à trouvé l'évidence.
Elle aimait Carter parce que sa présence lui était indispensable. Avec lui, elle prenait une bouffée d'oxygène, et ne s'interrogeait plus. Elle n'avait pas besoin de feindre, de jouer la comédie -chose qu'elle ne savait pas faire, en plus-, elle ne cachait rien, se montrait à nue. On lui avait souvent posé la question sur le mystère du couple Abygail*Carter, mais jamais elle n'avait relevé. Elle haussait les épaules, écoutait les autre dire ce qu'ils voulaient.
Et pourtant, alors qu'elle était saoule, en cette douce matinée, elle se rendit compte à quel point Carter pouvait lui être proche. Ses attentions, ses regards. Pour certains, l'alcool rendait les choses floues, indistinctes, irraisonnées, incompréhensibles, donnant au buveur une faible cécité. Pour d'autres, elle rendait spontané, vif d'esprit, attentif et sincère. La deuxième catégorie était sûrement celle ou Abygail nageait en ce moment même.
Alors qu'il la prenait dans ses bras, muet, elle n'avait qu'une envie : le rendre heureux. Pourquoi pas, après tout? Il l'aimait, elle l'aimait, c'était plutôt simple, non? Il y a aimer, et aimer, à différents degrés, à différents niveaux. Mais à partir du moment ou l'on aime, pourquoi se poser la question? Dans la tête d'Abygail, le raisonnement était simple, logique.
Elle aimait Carter. Elle le désirait. L'alcool accentuait ses sentiments, sentiments déjà bien présents dans ses états de sobriété.

« Bien sur que je reste avec toi. »

C'était tout ce qu'elle avait envie d'entendre. Tout simplement. S'il devait partir, là, tout de suite, elle serait resté cramponnée à lui même sur des kilomètres s'il l'avait fallut.

« Viens on va s'asseoir sur le bord, sa devient dangereux ici. »

Oui. Il y avait de plus en plus de monde et la musique lancée par le DJ était de plus en plus tonitruante, comme s'ils se trouvaient dans une boîte de nuit au lieu d'une patinoire. Les gens dansaient, glissaient, tournaient, riaient à gorge déployée. Heureusement que Carter avait plus d'expérience qu'Abby en la matière. Ils n'auraient sûrement pas pu rejoindre le bord, sinon. Toutefois, ils ne bougèrent quand même pas.
Abygail, le visage niché au creux du cou de Carter, attendit quelques secondes avant de se rendre compte que ses muscles de ses jambes ne lui répondaient plus vraiment.

« Carter... je crois... est-ce que tu peux me porter ? J'arrive plus à bouger » constata-t-elle dans une voix que l'alcool rendait légèrement brisée.
Ils ne leur restaient que quelques petits mètres avant d'atteindre la sortie de la patinoire, pour retrouver le sol en caoutchouc et juste derrière, les sièges, sous forme de gradin. Carter, porter Abygail, sur des patins? Lui demander la lune serait plus accessible. Mais elle avait beau contracter ses mollets, elle ne ressentait que quelques fourmillements désagréables.

« Je pèse... un peu plus lourd que ton sac à dos habituel »
Petit sourire, qu'il ne put voir, pas plus qu'elle ne pouvait voir le sien d'ailleurs. Depuis quelques minutes déjà, elle ressentait cet étrange frisson dans le bas-ventre et avait l'impression d'avoir une multitude de papillons dans l'estomac. Elle se demandait si c'était les contres coups de l'alcool. Mais ce ne fut que lorsqu'elle caressa la mâchoire de Carter du bout de son nez, qu'elle se rendit compte qu'elle le désirait plus que tout. En ce moment-même, elle n'avait envie que d'une chose : lui.
Encore un effet de l'alcool, ou...?..
Elle resserra son étreinte autour de lui. Lentement, et d'un mouvement incontrôlé et naturel, elle redressa le menton pour venir frôler le cou de l'Alpha avec ses lèvres.

« C'est mal ce que je fais, Carter? » murmura-t-elle dans un chuchotis à peine audible, laissant sa bouche reposer contre la peau du Studious. Il pouvait prendre la question de plusieurs manières. Mal, de boire et d'aller se suicider à la patinoire ; ou mal, d'enfreindre les limites de proximité et de pousser le contact plus loin qu'il ne l'avait jamais été ?? L'on aurait pu la croire sobre mais sa voix, cassée et légèrement plus rauque que d'habitude, prouvait le contraire.
Elle pouvait penser que c'était effectivement les effets ravageurs de l'alcool. Mais une petite voix lui murmura qu'elle en avait envie depuis des lustres. Et que l'alcool avait joué en la faveur des deux étudiants. Un sérum de vérité. C'était exactement ça. Finalement, c'était bon de sentir que la première envie qui vous passe par la tête est exécutée par votre corps sans que vous ne vous posiez de questions.

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Carter avait peur d'Abygail. Il avait peur qu'elle se rende compte qu'il l'aime et en même temps il n'aspirait qu'a cela. Maintenant qu'elle était soaule et que le jeune homme faisait moins attention à ce qu'il faisait et ce qu'il pouvait montrer, si elle s'en apercevait ? Il avait peur qu'elle ne veuille plus lui parler. Il aurait accepter qu'elle ne s'en rende jamais compte ou qu'elle ne veuille pas faire attention, il aurait accepté de devoir la considérer comme une amie, encore, et agir comme tel, encore, cependant il n'aurait pas survécut si elle avait couper les ponts. Si son amour n'était pas partagé et qu'elle ne veuille plus le voir ? Il n'aurait plus qu'a se pendre... Dit comme sa sa pourrait être extreme, même beaucoup trop abusé mais Carter savait que sans elle se n'était pas concevable. Tant qu'il sentait sa présence sa pourrait suffire. Suffire ? Non tant qu'elle ne lui dirait pas qu'elle aussi ressentait la même chose il sentirait toujours ce manque, cette envie insatisfaite mais si elle lui disait qu'elle l'aimait pour lui faire plaisir, alors se serait bien pire.
Carter avait simplement peur de la réaction d'Abygail. Qu'elle le rejette ou non.
Il repensa à ce que ''les autres'' lui disaient souvent, des petites piques ou des commérages pour savoir si oui ou non il était avec Abygail, mais il évitait la question, fuyait. Sa soeur lui avait apprit à mentir, si sa s'apprend, et il savait plutôt pas mal le faire, abuser les gens n'étaient pas trop dur pour lui, apart mentir à sa soeur qui relevait de son incapacité. En fait quand il s'agissait d'Aby' il lui était impossible de mentir, alors il ne parlait pas ne voulant pas se trahir devant ces idiots de copains. Le pire c'était quand ''ceux qui se doutaient qu'il l'aimait'' lui disait qu'ils l'avaient vu avec Peter. En effet Carter avait dût entendre Aby' lui expliquer que Peter l'intriguait et qu'elle se demandait si ce n'était pas de l'amour, bien sur elle n'avait pas poser les choses de cette façon mais Carter les avaient comprise comme sa et c'étai ce qui comptait. Parce que au final il crevait de jalousie dans son coin avec seulement sa jumelle comme confidente. Peter voyait bien qu'il était jaloux et sadique comme il est cet abruti adorait le charier ou pire.
Carter devait supporter de l'aimer, il devait supporter le regard des autres mais il s'en fichait il avait apprit à faire avec. Pourtant elle lui faisait peur, sa réaction lui faisait tellement peur... Abygail est absolument tout pour lui et si la jeune fille décide de le laisser tomber... Ne voulant pas imaginer cette situation Carter répondit à la question de la jeune fille en la rassurant et lui disant qu'il restait avec elle. Pour l'éternité si c'était possible.
'' Je déteste tout ces gens autour de moi qui parle de tout et rit de rien''
Le DJ surtout avec sa musique stupide. Si encore il avait mit les Beatles sa aurait était supportable... Carter ne bougea pas, sentant le souffle tranquille de son amie dans son cou. Son amie?... Non elle était bien plus et bien moins, non elle n'était pas moins. Qui était elle ? Carter avait le plus grand mal à scerner sa place officiellement. Dans son coeur il savait qui elle était, il l'avait toujours sûr lui semblait il, mais par contre officiellement elle était sans doute sa meileure amie, celle avec qui il passait le plus de temps... la vie est mal faite.

« Carter... je crois... est-ce que tu peux me porter ? J'arrive plus à bouger »

Carter entendit cette nouvelle avec un mélange d'appréhention et de ridicule. Il devrait la porter ? Comme un princesse ? Génial --' Non en réalité c'était vraiment génial, cepenant Aby' appuya là ou sa fait mal juste après l'avoir informer de l'inactiviter de ces jolies jambes.
Avouez quand même que la situation tenez du comique et qu'elle était risible, il saurait quoi raconter à ces petits enfants. " Et cet comme sa que j'ai dût porter votre grand-mère completement saoule en pleins milieu de la patinoire telle un chevalier ou un prince charmand, apellez sa comme vous voudrez, portant sa blanche neige ou sa belle au bois dormant, enfin choisisez la princesse que vous préfferez et tout sa pourquoi ?..." Oui ces petits-enfants auraient de quoi ce marrer, mais il pouvait sortir de son rêve quand il serait grand-père il ne leur parlerait pas de leur ''grand-mère'' en pensant à Abygail. Ou si il y penserait, parce qu'il doutait que cet amour il le ressentirait toute sa vie, quoi que c'était peut être un de ces amours de jeunesse qu'on oubli des années plus tard.

Un frisson infiniment agréable parcourut le dos du jeune homme. Les gestes d'Abygail lui rendait la tache plus que difficile, il devait lui résister, résister à ses propres sentiments alors qu'elle faisait tout pour que le contraire se passe, le contraire de ce qu'il désiait, et en même temps que l'immence tache de lui résister il devait aussi garder son équilibre avec tout ces idiots qui passaient en patinant à toute vitesse à côté de lui. Qu'elle belle journée, celle où il découvrit qu'il était plus que fou amoureux et celle où il risqua sa vie. Que de péribles.

Il sentit d'une façon presque imperceptible les lèvres de la jeune artiste sur son cou et il ne put faire que resserer doucement leur étreinte.

« Oui c'est mal de me faire espérer en vain. »

Brisant l'enchantement il se recula un peu mais repensant à ce qu'elle venait de dire il la hissa d'un geste vif dans ces bras et commença à patiner. Oui elle était légèrement lourde mais il n'y prit même pas attention tellement il était dérouté, heureusement qu'il savait patiner... Arriver presque au bord il regarda la jeune fille dans ces bras et répéta.

« C'est mal de me faire espérer alors que demain tu me considèrera comme un ami. Tu ne m'aime pas Abygail, c'est l'alcool qui doit avoir des effets bizarre sur toi... tu ne peux pas m'aimer. »

Sa voix se cassa en un murmure, une âme charitbla lui ouvrit la porte pour rejoindre les chaises et il posa la jeune fille sur une des chaises et s'assit à côté d'elle. Ces chaises sont horriblement inconfortable. Carter se retourna vers elle et lui adressa un fin sourire cette fois, mais pas un sourire d'une personne heureuse, le sourire de celui qui est déçu, triste, mais qui finalement le savait depuis toujours. Il l'a repoussait parce qu'il l'aimait. C'est si dur à comprendre ?

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Oh what a beautiful morning... {PV CartyChéri)

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