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Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi]

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MessageSujet: Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] EmptyJeu 12 Juil - 5:29

Quelle mouche avait donc piqué notre scientifique ??? En effet, c’était au centre commercial qu’il s’était rendu aujourd’hui, nous étions en période de solde… Et en période de solde, les femmes n’étaient plus des femmes, oh non !!! Elles se transformaient en de terrifiantes créature assoiffée de promos sur les chaussures et les sacs à mains comme un monstre serait assoiffé de sang, croyez moi les gars, il n’y a rien de plus terrifiant que cela. Notre pauvre John-Thomas s’était alors retrouvé au milieu de ce champs de bataille qu’était ce centre commercial aujourd’hui, se retrouvant malgré lui au milieu de la lutte, une lutte dont il subit des dommages collatéraux, le principal d’entre eux fut un sac à main reçut en pleine tronche, il porta alors sa main à son nez, ressentant une vive douleur, jurant

-mais putain y’avait quoi dans ce sac ???

Pensez vous que la coupable se serait arrêté ? Que nini !!! Elle était sans doute trop occupée à se battre dans la mêlé et elle n’avait probablement pas entendu le scientifique se plaindre de sa douleur nazale… Le jeune chef d’entreprise décidé alors de s’éloigner de cette zone de combat hautement dangereuse, il longea alors les allées de ce centre commercial, oubliant un peu sa quête initiale, quelques objets de déco pour son appartement qui en avait bien besoin, et il ne comptait pas vraiment sur sa mère pour cela, trop occuper à vider ou à vomir son whisky dans le salon de toute façon, il avait rendez vous après ses emplettes…
Marchant toujours, il s’approchait maintenant d’un magasin vendant des instruments de musique, n’étant pas musicien pour deux sous, il ne comptait pas s’arrêter ici non plus, mais pourtant, il se stoppa bel et bien, ce n’était la vitrine qui avait attiré son regard, mais celle qui se trouvait devant, Konomi, son fameux rendez vous… JT la connaissait, depuis son premier passage à Berkeley, elle était musicienne, très bonne musicienne d’ailleurs, et notre scientifique avait mit à profit ses grandes connaissances en informatique afin de lui créer un site, dans le but de se faire connaitre un peu à travers son art, c’était finalement un peu comme un blog, mais en mieux, c’était plus interactifs, mieux agencés, avec un contenu intéressant, c’était un vrai site quoi !!! Suite à cela, ils étaient devenu amis, JT l’aimait bien, elle était rigolote, gentille, agréable, c’était presque… un pote pour lui !!! à l’époque…
Ils avaient d’ailleurs continué à s’envoyer quelques e-mails lorsqu’il était parti pour le MIT, n’ayant jamais perdu totalement le contact, ainsi, lorsqu’il était établi que JT allait revenir dans le coin, ils s’étaient promis de se revoir, de se faire une bouffe ensemble ou ce genre de chose et ce fut donc ce soir qu’ils devaient se revoir, sauf que le projet de bouffe avait finalement été remplacé par un projet cinéma…
JT s’était alors stoppé dans sa marche, en pleine réflexion, car il y avait quelque chose, qui clochait, Konomi était un pote selon lui ? Alors pourquoi ses autres potes ne lui faisaient pas cet effet ? Il y avait… ce profil ces doux traits de son visage, cette expression qu’elle avait lorsqu’elle se concentrait, ses cheveux soyeux, la manière dont son dos venait s’échouer sur son postérieur… Une chose était sur, Dieu était un sadique, il avait inventé le corps des femmes pour rendre les hommes tarés et imbéciles…
Il n’avait pourtant pas ce souvenir de la sigma, celui d’une jeune femme, si attirante… Mince, ça changeait la donne tout à coup… Car du coup, cela tournait presqu’au rencard…
JT fut alors à deux doigts de laisser parler ce courage si masculin, en l’occurrence, se débiner comme un péteux et faire demi-tour, pourquoi ? Car Konomi la fille hyper sympa, celle dont il se disait « cool j’vois Kono ce soir, j’vais bien me marrer !! » était tout à coup devenu sexy Konomi, et le jeune homme n’était pas prêt à cela, à être attiré, à perdre pied, devenir maboul, con au possible et faire n’importe quoi… Non, il n’était pas prêt à faire cela à nouveau… Mais notre jeune chef d’entreprise aimait les règles, et il aimait qu’elles soient respecté, ainsi, il souffla et s’avança jusqu’à elle… Il prit alors cet air entrainant qu’il maitrisait si bien et parla


-hey Kono !!! Ma mélomane du soleil levant !!!

Il se mit à lui faire un grand sourire, sentant toujours sa douleur au nez, mais ne voyant pas l’énorme bleu qui s’y était formé, il était tout de même content de la voir, il espérait passer un bon moment… Jouant la carte du bon pote bout en train, espérant la rendre crédible…
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MessageSujet: Re: Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] EmptyVen 13 Juil - 16:46

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Devant le cinéma en ville en fin d'après-midi en ville.







Ma journée avait commencé par une grasse matinée qui s’était terminée à midi pile ou presque. Après avoir fait la java toute la nuit d’avant quitte à faire peur à tous les voisins, je m’étais donc levée avec une sacrée gueule de bois, comme si les cloches du Vatican ou autre cathédrale sonnaient les matines dans mon cerveau. J’avais donc pris une douche suivit d’un cachet pour la tête et d’un bon thé comme les aimaient Confucius pour faire passer le mal de crâne. Prenant la tasse de thé, je l’avalais aussi rapidement que possible pour laisser le goût amer dans le fond de ma bouche. Alors que je posais sur ma tête ainsi que mes yeux une serviette pour faire passer le tout, mon chien Coca s’empressa donc de venir quémander des caresses vu que je l’avais un peu délaissé il n’y a pas longtemps. Sentant ses poils sur la main, j’avais donc un chien qui m’aboyait dessus pour son plus grand plaisir. - « Coca….Laisse-moi… » Encore un aboiement, et voilà que pour ma part enlevant donc la serviette, je voyais donc mon labrador beige devant moi qui commençait à me baver sur la main. Me lavant les mains sur la serviette, je voyais donc mon chien qui avait sans doute faim. Alors que je lui mettais toujours à manger comme un automate tous les matins. Assise dans le fauteuil, je me bougeais donc pour permettre à mon chien de venir sur mes genoux. Sentant donc le poids venir pour aller me faire comprendre qu’une petite balade en ville lui conviendrait. Je le faisais descendre de mes jambes et alors que je me dirigeais vers la laisse de mon chien. Alors que je l’agitais sous son nez, il s’assit sur ses fesses et me disait d’un air bien compréhensif qu’il avait gagné pour prendre l’air. Le voyant bougeant la queue de bonne humeur, il m’attendait donc pour que l’on puisse alors sortir. Lui accrochant le collier à la laisse, je prenais donc mon sac sans me rendre compte que j’étais encore en chausson. Fulminant sur le pas de la porte, je les mettais donc rapidement avant de dire à mon chien en riant. - « Et bien on peut dire que cela commence mal. » Tirant légèrement sur la laisse, on partait donc sur la rue pour aller faire un tour. Marchant donc alors une bonne heure et demie, on rentrait donc à la maison pour alors déjeuné, enfin moi, parce que mon chien lui était au régime pour la simple et bonne raison qu’il voulait toujours manger et donc je ne lui donne que le matin et le soir.

Le lâchant dans la maison, je me laissais donc tomber sur le sol dans mon entrée. Mon chien après avoir couru partout revint vers moi avec le but de quémander un peu plus de caresses. Le laissant faire me laver encore une fois alors que j’avais pris une bonne douche. Je me levais tout en riant pour me diriger vers mon jardin. M’amusant un peu plus avec mon anomal de compagnie, je passais le temps pour me relaxer un peu plus. Alors que je ne remarquais pas que l’heure était venue pour moi d’aller à mon rendez-vous, je me pouponnais un peu dans le but de ne pas arriver en retard. Ce n’est qu’une demi-heure après que je voyais qu’il fallait que je parte.

Prenant donc mes affaires après le pouponnage que je me dirigeais vers le lieu à pied. J’aimais bien marché parce que tout simplement, je me sentais bien mieux si je ne roulais pas trop. Ce n’était pas que je ne voulais utiliser ma voiture, mais je désirais donc ne pas trop polluer. Parfois, il fallait mieux aussi faire un effort pour la planète vu que les suivant en auront besoin. J’avais aussi réalisé qu’il fallait que je ne prenne pas le temps de faire de travers. Ces temps-ci je le faisais vraiment de travers ! J’avais tout d’abord une petite course à faire pour ma musique. Puis comme je savais bien qu’il était évident que je prenne le temps d’acheter ses fameuses partitions. Je pensais justement que je devais aussi juste regarder sans forcément acheter vu que je l’avais fais la dernière fois. Puis alors que je me rappelais l’étrange coup de fil de JT me demandant s’il était possible de me voir, j’en étais plus que surprise. Ne sachant pas trop comment réagir, j’avais donc accepté de le voir sans réellement savoir de quoi il s’agissait. On avait commencé par parler d’un diner puis c’était donc à ce moment-là qu’on était parti sur un cinéma. Je l’avais donc attendu alors devant le magasin de musique se trouvant à côté du cinéma. Il ne m’avait pas trop fallu de temps pour savoir qu’il était déjà là. Entendant sa voix venir à mes oreilles, je lui souriais alors qu’il faisait un pas de plus. Me tournant vers lui, je lui disais amicalement.

- « Alors JT quoi de neuf ? Cela fait longtemps qu’on ne s’était pas vu, je suis étonnée que tu m’ais appelé pour faire une sortie. »

Alors que je ne savais pas si je pourrais donc pour une fois savoir ce qu’il avait en tête, je lui souriais tout en tenant mon sac. Bien que trois ans se soit passés, on pouvait bel et bien dire que le temps avait fait son œuvre. Alors que je réfléchissais à quoi lui dire, je le remerciais tout d’abord pour le site.

- « Encore merci pour le site internet, grâce à toi, j’ai pu faire mon cd l’année dernière. En tous les cas, il est vraiment bien, je peux le changer comme je veux et en plus il est très pratique. »

Tout comme je ne souhaitais pas non plus m’étaler top vite sur tous les sujets qui me passaient en tête. Bien que pour l’instant, je lui disais alors qu’on se dirigeait vers le cinéma.

- « Au fait, tu ne m’as pas dit quel film tu voulais voir. »

Bien qu’il n’y avait pas tellement de monde, je savais que même s’il n’y avait pas tellement de file d’attente. Qu’il fallait aussi que l’on choisisse celui que l’on voulait. De toute façon, je lui laissais le choix, et je me doutais aussi que je pouvais attendre qu’il me dise celui qu’il voulait. Cela m’arrivait aussi de me dire que je pouvais faire un effort, sauf que vu que je ne l’avais pas vu depuis trois ans, je préférais lui laisser le choix. Bien que je ne voulais pas non plus le bousculer une fois qu’on se trouvait devant l’entrée du cinéma. Je l’observais un court instant. Le MIT l’avait changé, il était donc aussi plus dans la prestance, plus dans la grandeur comme si le travail l’avait donc rendu plus fier de lui aussi. Ne sachant pas s’il me répondrait si vite ou pas, je patientais tout en le regardant pour savoir si je retrouvais l’ami que j’avais toujours eu.

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MessageSujet: Re: Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] EmptyMer 18 Juil - 19:17

Etrange cette première impression JT ne s’attendait pas vraiment à cela, Konomi semblait différente, à moins que ce soit le regard du scientifique qui ait changé… dans tout les cas, il était présent désormais et il était tout de même content de la revoir, cela faisait un peu plus d’un an qu’ils ne s’étaient pas revu, n’ayant eut de contacts que par le net.
JT était revenir à San Fransisco pour monter son entreprise, mais il y avait aussi l’avantage d’avoir le soleil, une région agréable et il y connaissait du monde, des gens avec les quels il souhaitait renouer le contact, comme Konomi justement


-Quoi de neuf et bien, je ne sais par ou commencé, je dois avoué que j’ai eut une année mouvementé, pour résumé, je suis désormais chef d’entreprise, mon vrai père est en réalité une femme, et je suis célibataire depuis quatre mois et je compte bien le rester… Surprise ? Ben j’aurais trouvé cela dommage de ne pas se revoir alors que je reviens au pays non ?

JT lui fit un petit clin d’œil en ponctuant sa phrase, cette année avait en effet été l’année du changement pour le jeune chef d’entreprise, sur il était passé à la vie active, son histoire d’amour, sa rupture, sa famille, bref, drôle d’année avec du bon et du mauvais. Tout cela l’avait peut être un peu changé, puis il avait peut être cette nouvelle stature du à sa nouvelle activité, faisant peut être de lui un homme un peu plus accompli… Mais il restait malgré tout toujours un peu le même, ce jeune homme avenant, toujours cette bonne humeur apparente, quelques cotés gaffeurs parfois, un brin grande gueule…

-je suis content de t’avoir été utile, tu as du talent tu mérite de percer !

Ils se dirigèrent maintenant vers le cinéma, marchant assez lentement, il fallait dire qu’ils n’étaient pas en retard loin de là, ils avaient donc un peu de marge, cela laisserait alors le temps au scientifique d’acheter quelques cochonneries à grignoter, car il était hors de question pour lui d’aller au cinéma sans rien avoir à manger ! Quitte à embêter Konomi à faire du bruit pendant le film en plongeant sa main dans un paquet…
Mais soudain, elle posa la question fatidique et loin d’être idiote d’ailleurs, car en effet, il était tant de se poser la question… Surtout que JT s’apprêtait à faire ce terrible avoeux


-pour être honnête… je n’y ai pas réfléchis… Tu as envie de voir quoi ? Tu veux rire ? pleurer ? Etre scotché à ton siège ? Avoir de l’intrigue ou de l’action ?... Si tu veux rire en même temps, tu n’as pas besoin d’un film, du m’as pour la soirée !

Modeste le JT pas toujours ! Mais ses blagues vaseuses Konomi les connaissaient depuis le temps et parfois ce qu’il disait était tellement… « con » que cela faisait rire et souvent, il riait lui-même de ses bêtises comme à cet instant, reprenant un peu son sérieux, nous disons bien « un peu » il ajouta

-nous n’aurons qu’à regarder les affiches et faire notre choix !

Après quelques minutes de marche, ils entrèrent maintenant dans le hall du cinéma, ce cinéma était tout bonnement impressionnant, rien à voir avec ceux qu’avait connu JT dans son Dakota natale, il y avait presqu’une vingtaine de salle, des stands de jeux d’arcade et un snack bar entre autre, ce fut alors vers cet endroit qu’il se dirigea en premier entrainant Konomi avec lui

-tu veux grignoter quelques choses ? Je ne sais pas regarder un film sans manger personnellement, j’me prendrait bien un paquet de pop corn et peut être une glace…

JT s’approchait alors du Snack regardant la vitrine et les panneaux en verre affichant les différents produits qu’ils proposaient, à cet instant sa nouvelle prestance de chef d’entreprise disparaissait peu à peu, son regard était tout bonnement celui d’un enfant de di x ans devant le camion du marchant de glace, dans le fond, JT avait toujours son âme d’enfant, il était un incorrigible grand gamin parfois, il attendait alors la réponse de Konomi tout en sortant son porte feuille comptant bien lui payer ce qu’elle souhaitait…
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MessageSujet: Re: Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] EmptyJeu 19 Juil - 13:02

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Devant le cinéma en ville en fin d'après-midi en ville.







Alors comme ça son père était en réalité une femme ! Oh qu’elle révélation, je ne réalisais pas de suite qu’il me parlait d’une chose qui le touchait vraiment. Je l’entendais me dire cela et je lui répondais donc patiemment.

- « Arf, et bien tu as du en vivre des drôles de choses….Hum, ton père enfin ta mère….Tu lui as parlé depuis… ? »

Je ne savais pas si je devais ou pas continuer d’aborder le sujet, je devais aussi trouver une solution pour la suite. Le savoir célibataire m’étonnait donc grandement, je ne comprenais pas trop cela. Il était pourtant charmant, il devait sans doute y avoir une fille là-dessous. Tout en le regardant, je lui disais amusée.

- « Tout seul…. ? Toi ? Non, je ne te crois pas. Le rester ? Tu es certains de toi ? La recherche du bonheur n’est plus d’actualité ? »

Lui souriant, je lui tapotais le bras en lui disant. - « Allez, je suis contente de te voir. On a pleins de trucs à se raconter. Et puis dès que j’aurais su que tu étais rentrée, j’aurais tapée à ta porte. » Je savais que je pourrais continuer à lui parler, il était là devant moi. Seulement, je ne comprenais pas trop pourquoi est-ce que j’avais autant de mal à lui parler. Est-ce le fait que le temps était passé ? Est-ce que je ne savais plus parler ? Je réfléchissais alors à ce que je lui dirais par la suite. Puis je lui répondais pour le site.

- « Merci. En tous les cas, il y a une dédicace pour toi dans le premier album. Tu devras la trouver tout seul, elle est planquer dans les chansons. »

On avait marché pour se retrouver dans le cinéma. Devant le stand de pop corn, je me tenais à côté de lui, je retrouvais donc l’ami qui était toujours partant pour grignoter tout ce qui lui semblait bon. L’observant un instant, je souriais, ce visage m’avait manqué, il y avait ce petit truc qui me donnait l’impression de revenir trois ans en arrière. Attendant qu’il regarde tout ; je me penchais aussi dans le but de voir ce que la vitrine pouvait donc me fournir comme petit encas.

- « Y a pleins de choses à manger….C’est que je ne sais pas trop, je pense que je prendrais un petit sachet de pop corn sucré, cela me suffit amplement, après sinon je vais prendre du poids. »

Puis alors que je patientais, je réfléchissais donc à ce qui nous serait possible de voir comme film. Il y avait tellement de choix, que je ne savais pas si je pourrais donc trouver une idée ou pas. Finalement, j’avais envie de rire un peu, et de passer du bon temps dans le but d’avoir un bon souvenir. Il était vrai qu’il avait essayé de faire une petite blague. Je souriais, et je lui disais donc gentiment.

- « Hum c’est vrai qu’avec toi, on va toujours rire…Hihihi, je te laisse choisir de toute façon, je suis certaine que trouveras un truc qui te plaira. Je n’ai même pas peur pour les films d’horreur ou autre. Mais vu que tu es de bonne humeur, il faudrait je ne sais pas un truc qui te plait. »

Bien que pour ma part, je ne voyais pas comment est-ce qu’il me serait possible pour moi de trouver encore un bon point. Je savais aussi qu’il était bien mieux que je me concentre sur le reste. Il était vrai que les films d’horreurs n’étaient pas trop mon truc, mais bon, ne sachant pas ce qui lui plairait, je pouvais aussi faire un effort pour essayer de voir autre chose. Même si cela était une comédie romantique ou un film policier, je savais que je passerais un bon moment. Tenant mon sac, je m’approchais donc de la vendeuse de pop corn et je lui demandais gentiment.

- « Bonsoir, j’aimerais si possible une petite boîte de pop corn s’il vous plait. »

- « Bonsoir, cela sera cinq dollars s’il vous plait. »

Sortant la monnaie de mon sac, je prenais donc le billet pour le tendre à la dame pendant qu’elle me posait le pot sur le comptoir. Prenant ma petite boîte pendant qu’elle prenait sa monnaie, je voyais toujours John pas loin de moi. Je ne savais pas ce qu’il ferait, j’espérais justement qu’il me réponde par la suite. Commençant à manger un peu de pop corn, je sentais donc le sucre craquer sous mes dents. Il y avait aussi le parfum qui me plaisait bien. Je me rappelais donc qu’avec Emy on en mangeait pas mal devant les films qu’on regardait le week-end. Fermant les yeux un court instant, je réalisais que j’avais de la chance de pouvoir encore aller voir un film. Sachant aussi que je n’avais pas vu mon ami depuis longtemps, je réfléchissais à ce que je pourrais encore lui dire par la suite. Il était donc évident que je devais lui parler. Mais pour ma part, je ne savais pas quoi dire de plus. Alors que je voyais sur un pupitre des petits livrets que le cinéma donnait gratuitement dans le but de savoir quels films passaient donc durant un temps donné. C’est vrai que choisir sur des affiches étaient une bonne idée, il y avait de tout, et pour ma part, je préférais le faire comme ça. Regardant donc le petit livret, je voyais un tas de films.
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MessageSujet: Re: Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] EmptyMar 21 Aoû - 13:24

La conversation s’était maintenant orienté vers des sujets plus personnels, ce n’était pas le genre de sujet favoris de notre scientifique, mais Konomi semblait s’y intéresser, le relançant quelques peu ce à quoi le jeune chef d’entreprise répondit, malgré tout

-mon… père ? Ouai, en fait, le vrai, celui qui a changé de sexe, je le connais depuis peu, et… à ma grande surprise, c’est celui de mes… trois parents avec lequel je m’entend le mieux

Puis était venu, surtout, le sujet épineux de l’amour, la recherche du bonheur, le genre de sujet qui le mettait mal à l’aise, tant il avait été échaudé, principalement par lui-même finalement, car il se tenait pour principal responsable de tout ce qui était arrivé durent cette année écoulé…

-moui… mais parfois, le prix à payer, ou à faire payer est trop fort, ça ne vaux pas toujours la peine…

Le ton restait malgré tout léger, ce qui convenait très bien à notre scientifique qui se cachait d’ailleurs souvent derrière cette légèreté

-je l’espère bien !!!


Répondit il d’un sourire en coin alors que Konomi affirmait qu’elle serait venu frapper à sa porte en apprenant à son retour.
Ils n’avaient pas encore choisis leur film, mais cela n’était pas bien grave, ils étaient plutôt en avance, et JT avait d’ailleurs commencé à se diriger vers le comptoir auquel était vendu un certains nombre de sucrerie ce fut alors qu’il entendit Konomi révéler quelque chose qui le surpris, il se tourna vers elle levant ses sourcils, il en était aussi flatté, peut être un peu touché aussi, cela voulait dire que Kono l’aimait bien…


-sérieux ? Si je m’attendais à ça ??? Et bien je vais écouter attentivement jusqu’à ce que je trouve dans ce cas !!! Hey c’est une bonne technique pour faire écouter ta musique attentivement, petite maligne


Comme toujours JT mettait de la dérision dans ses propos alors que cela l’avait tout de même touché, mais il ne savait faire autrement…
Ils regardaient maintenant tous deux la vitrine afin de faire leur choix, il était impensable pour le scientifique, de venir regarder un film sans manger quelques cochonneries, cela faisait parti du rituel non ? Et puis il tenait de toute façon particulièrement à celui là… Puis il tourna brusquement son regard étonné vers elle lorsqu’elle expliqua son choix, se justifiant par la peur de prendre du poids, il la détailla alors de la tête au pied, comme revisitant sa silouhette du regard


-tu te fous de moi !! Tu es toute fine ?? Tu as de la marge crois moi !!

JT avait usé de sa répartie pour soutenir à Kono qu’elle n’avait pas besoin de comédie, comme se vantant faussement tout en se tournant en dérision, mais elle confirma la chose malgré tout, précisant qu’il était toujours de bonne humeur… certes… en apparence du moins, il n’y avait pas meilleurs bouclier que la bouffonnerie croyez moi…

-j’aime aussi les film d’horreur, les trhillers les polars, je ne regarde pas non plus que les films avec Ben Stiller !!!

Dit il riant légèrement avant que Konomi ne prenne commande, JT la suivit alors, prenant lui aussi des pops corn… plus quelques barres chocolatés et un soda, voilà qui était idéal pour un régime !
Le moment était maintenant venu de faire un choix et visiblement, cette lourde responsabilité était sur les épaules de JT, qu’à cela ne tienne, il allait choisir… IL s’éloignèrent maintenant du stand afin de se diriger vers les guichets, puis en chemin, JT détailla quelque peu Konomi du regard avant de s’adresser à nouveau à elle, avec un petit sourire en coin


-alors comme ça tu dis ne pas avoir peur des films d’horreur ? Très bien ! On va voir si tu dis vrai ou si tu es une menteuse !!!

Lui dit il d’un ton amusé alors qu’il s’avança maintenant vers le guichet, le choix était fait, un seul film de ce genre était à l’affiche ce soir. Au guichet, JT demanda alors les deux places, puis, souhaitant offrir cette place à Konomi, il les régla. Il se dirigea ensuite accompagné de la jeune asiatique vers la salle sombre, se faisant contrôler son ticket au passage. Une fois devant la porte, il tira celle-ci, puis il passa doucement sa main derrière le dos de l’étudiante, le caressant quelque peu

-après toi ma chère…

Il la laissa alors entrer, puis entra à sa suite, quelques personnes étaient déjà installée, mais la salle était loin d’être pleine, ils n’avaient que l’embarra du choix, l’écran était encore éteint et les lumières étaient allumées, un fond musicale raisonnait dans la grande salle

-tu préfères être au fond ? Ou sur un coté ?

Demanda le scientifique, détestant être devant il ne proposait pas ce choix….
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MessageSujet: Re: Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] EmptyMar 21 Aoû - 18:08

Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] 278490LiamHemsworth1 & Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] 204884Sanstitre6
Dans la salle de cinéma pour aller voir le film d'horreur.





- « Allez, on n’en parle plus des trucs de famille ou autre machin personnel. »

Alors que je ne voyais pas comment est-ce qu’il fallait si je devais ou pas continuer, mais pour ma part, je devais bien aussi lui parler puisque notre conversation me permettait de pouvoir le connaître un peu plus. Alors qu’il souriait lorsque je lui disais pour la dédicace, je lui répondais amusée.

- « Allez, joue le jeu, tu verras, tu vas devoir tout écouter. Avec les musiques classiques il y a des petits mots par-ci par-là. Et puis tu verras il y a des petites surprises aussi. J’ai fait cette petite idée alors que je cherchais à te donner de mes nouvelles. Vu que je n’en avais pas, je m’inquiétais un peu….Je voulais juste savoir ce que tu avais comme vie… »

Une petite phrase dans une phrase, une petite astuce pour moi pour lui dire qu’il m’avait manqué que mon ami qui m’avait aidé m’avait aussi manqué. Sauf que pour ma part, je ne tenais pas à lui dire clairement, je préférais qu’il sache le truc caché dans les autres choses. Sauf que pour l’instant j’étais plus concentrée sur ce qui allait suivre. De toute façon, je ne voyais pas si je devais m’attarder sur ceci ou pas. Cette révélation avait toujours été pour moi une petite chose qui me mettait dans une phase fragile, et je ne savais pas comment réagir par la suite. Bien que pour le moment, je ne voyais pas si je devais répondre à la suite, tenant mon pop corn alors qu’on cherchait donc à manger.

- « Je ne voudrais pas prendre du poids en plus. Et puis si tu dis que j’ai la marge alors j’ai le temps de devenir un bibendum ? »

Riant doucement, je savais que je pouvais aussi le titiller avec tout ceci. Ayant confirmation qu’il aimait les même films que moi ou presque, je commençais sérieusement à apprécier ce petit moment. Je savais qu’il fallait aussi que je prenne le temps de ne pas voir le sens dans le mauvais sens. Justement, je savais que mon inconscience me donnerait la chance de voir autre chose que le bout de mon nez. Finalement, je ne voulais pas céder à l’adversité, sauf que la peur avait toujours tendance à me rendre aussi frêle qu’une feuille d’arbre. Je désirais allumer une petite flamme rien que pour vivre une vie que tout le monde possède. Tandis que je réfléchissais à tout cela, des gens venant entre amis ou autres me donnaient une idée assez précise de tout ça. Je m’apercevais que rien ne m’était donc alors impossible. Tout en patientant qu’il me réponde, je lui disais gentiment.

- « Bon allons-y pour le défi tu jour, mais je te préviens, je risque je jurer en japonais ou autre alors ne part pas en courant. Et pour Ben Stiller, je l’aime ben moi, il est marrant, et il joue assez dans la dérision. »

Lui souriant donc gentiment, je me rendais compte que je devais aussi continuer de lui parler pour la simple et bonne raison que je ne devais pas non plus paniquer. Mais sentant bien que cela finirait sans doute dans une situation que je n’accepterais sans doute pas trop, je désirais simplement lui répondre.
- « Et non, je ne suis pas une menteuse….Tu te trompes sur ce point. Hihihi, de toute façon si j’ai peur, j’ai un bon ange gardien. »

Passant donc les tickets devant le gardien, je me disais que le film serait aussi une manière pour moi de connaitre d’autres images. Il fallait bien que je m’ouvre à toutes sortes de sujets qui ne m’étaient pas familiers. De toute façon, je ne pouvais plus reculer et il ne fallait pas non plus que je sois en panique. Mais actuellement, je ne trouvais pas trop le truc réconfortant bien que ce genre de film ne soit pas trop ma tasse de thé, les films d’horreurs japonais étaient définitivement encore plus morbides que les américains. Il fallait aussi que je sache si je pouvais changer de sujets lorsque je le désirais. Passant donc les gens pour les tickets, je sentais donc sa main dans mon dos, il voulait me rassurer du plus profond de son âme. Enfin, je sentais bien qu’il y avait un petit truc. Alors pour le moment, je me disais que je pouvais aussi lui répondre pour sa question.

- « Allez au milieu. Comme ça on pourra donc voir tout l’écran. »

Le tirant par la manche, je prenais donc le temps d’aller voir la bonne place. Il était vrai que je ne tenais pas non plus à me trouver dans une situation peu agréable. Mais pour ma part, je voulais aussi avoir la chance d’apprécier le film. Trouvant enfin la bonne place, je posais mes fesses dans le fauteuil rouge et confortable. Enlevant ma veste, je mettais le pop corn dans l’emplacement prévu à cet effet. Souriant à John, je lui disais donc patiemment.

- « Cette place-là, elle me plait bien. »

Lui souriant, je me disais bien ce que je pourrais lui dire. Ne trouvant pas trop comment est-ce qu’il fallait que je fasse pour avancer aussi rapidement. Mais alors que je savais que je pouvais aussi en apprendre plus sur mon ami. Je m’asseyais confortablement avec l’idée de pouvoir apprécié le moindre petit moment. Trouver la force pour alors avancer me donnait une perspective qui me plaisait bien. Tout en le voyant s’asseoir, je pensais bien qu’il fallait que je lui pose une question. Je me tournais vers lui et lui disais.

- « Bon d’accord, tu es prêt pour le film ? »

Alors que je lui posais la question, je ne voyais pas comment est-ce que je pourrais faire pour avancer. Je patientais en entendant la petite musique qui s’arrêtait pour alors voir les lumières s’éteindre et que le film commence. Il y avait toujours de la publicité au début, mais je ne doutais pas une seconde que j’avancerais vite dans l’histoire.






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MessageSujet: Re: Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] EmptyVen 24 Aoû - 10:47

Ha les histoires de couple, les projets de vie à deux etc… ainsi que la famille, voilà des sujets un peu tabou pour notre scientifique en ce moment, si bien qu’il avait tendance à vite les expédier, même avec Konomi en qui il avait pourtant confiance, seule Maelle savait tout ce qu’il avait vécu ces derniers temps et ce qu’il vivait encore, la barrière de l’écran aidant, car en effet, ces derniers ne se connaissaient que par le net, il y a peu encore…
D’ailleurs, la belle Konomi pouvait se poser quelques questions, car elle savait malgré tout que JT était en couple il y a encore quelques moi, alors qu’il revenait désormais au pays, seul et il ne lui avait jamais donné de réelles explications sur ce point…
La discussion avait ensuite basculer sur la musique de la jeune femme, qui cela dit en passant, était véritablement douée, du moins de l’avis du scientifique, et ce dernier était réellement surpris d’apprendre qu’il y avait des messages cachés le concernant dans ses chansons, agréablement surpris, touché et flatté à la fois, il ne pensais pas avoir tant d’importance pour elle… Elle disait alors avoir cherché à avoir de ses nouvelles ces derniers temps, ce à quoi JT baissa un peu la tête, il avait délaissé pas mal de ses amis cette dernière année et il se rendait compte que Kono faisait partie de ceux là…


-j’étais… pas mal occupé ces derniers moi…

Dit il d’un ton un peu évasif, ce n’était pas faut, son brevet déposé, il avait travaillé d’arrache pied pour monter cette entreprise, mais cela était aussi un bon prétexte pour s’isoler…
Ils s’avancèrent quelques provisions en main, Konomi n’ayant prit que des pop corn pour ne pas grossir, JT lui souriait à la perspective qu’elle puisse devenir un bibendum


-ce n’est pas prêt d’arriver…

Ils avaient jeté leur dévolu sur ce film d’horreur ce qu’accepta Konomi qui avait précisé ne pas avoir peur, JT l’avait alors mise au défit, puis il lui adressa un sourire lorsqu’elle le qualifia d’ange gardien, il voyait déjà Konomi se réfugier dans ses bras, se surprenant à espérer qu’elle puisse avoir peur… tiens en voilà une drôle de pensée…

-bien sur, et je t’assure qu’aucun monstre ne te dévorerons, mais tu dois avoir un peu l’habitude non ? Vous les japonais, vous êtes forts en film d’horreur, il parait que la version japonaise du cercle est bien plus effrayante que notre version avec la belle Naomie…

Ils entrèrent maintenant dans cette grande salle, qui n’était pas encore obscure, mais cela ne saurait tarder, suivant le choix de Konomi, ils s’installèrent alors au centre de la salle, une bonne place pour voir idéalement l’écran, JT attendit que Konomi choisisse son siège, puis il s’installa à coté d’elle posant ses pop corn et ses barres chocolatés sur ses genoux

-bien sur que je suis prêt et en plus on va voir les bandes annonces des autres films, je suis toujours frustré quand je les rates !

Voilà une des raisons pour laquelle JT n’aimait pas être en retard, en effet, il aimait voir les bandes annonces des autres films, d’ailleurs cela ne tarda pas, la musique se stoppa, les lumières s’éteignirent et l’écran s’éclaira, machinalement, JT posa alors son bras et sa main sur l’accoudoir séparant son siège de celui de Konomi, mais involontairement, sa main se retrouva posé sur celle de la belle asiatique qui avait déjà posé la sienne à cet endroit, sentant ce contact, un frisson le parcourut, il ressentit une sensation étrange, qu’il ne savait définir d’ailleurs, puis il retira doucement sa main, caressant presque malgré lui la peau de la musicienne

-oh… excuse moi…

Dit il d’un ton un peu gêné, assez rare chez lui, habituellement sans gêne… Il prit alors une des barre chocolaté et il commça à en ouvrir l’emballage, ce qui fit un peu de bruit et un « ssshhhhhhhhtttt » se fit entendre quelques rangs derrière, JT se pencha alors vers Konomi et, posant sa main sur son bras, volontairement cette fois, comme il le faisait parfois pour s’adresser à quelqu’un, à moins que cette fois, ce ne soit qu’n prétexte pour un nouveau contact… Maintenant penché vers elle, il lui murmura

-tu sais comment on fait râler un idiot ?

Il relâcha alors le bras de Konomi, puis il termina d’enlever l’emballage de sa barre chocolaté, prenant tout son temps, faisait exagérément du bruit en tripotant cet emballage, c’était ce que l’on pouvait appeler le coté chieur de JT, et cela ne tarda pas à faire alors qu’une voix se faisait maintenant entendre

-bon ça va aller maintenant, on aimerait bien entendre !!

D’un sourire amusé, reposant cette main sur le bras de la jeune femme, JT lui glissa à l’oreille, en murmurant toujours

-et voilà !

Il lui tendit ensuite sa barre chocolaté, lui proposant

-tu en veux ?
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MessageSujet: Re: Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] EmptyVen 24 Aoû - 16:13

Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] 278490LiamHemsworth1 & Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] 204884Sanstitre6
Dans la salle de cinéma pour aller voir le film d'horreur.




- « Ah, oui c’est vrai qu’on fait des bons films d’horreurs. J’avoue que c’est plus psychologique que de la boucherie. J’avoue que cela était bien plus violent que les autres films. Je ne sais pas pourquoi est-ce qu’il faut toujours que vous mettez du rouge partout. »

Tout comme je ne réalisais pas de suite que cette petite remarque mettrait bien de la joie pour alors tout simplement me rendre joyeuse. Il était bien vrai que je voyais avant toute chose une sensation qui ne me déplaisait pas trop. Sauf que je ne tenais pas à perdre une amitié qui m’était chère à mon cœur. Ensuite, je voyais que le film allait commencer et qu’il fallait bien que je fasse attention à ne pas louper le début. Un contact d’accord pas voulu comme je l’avais remarqué sauf que ce petit frisson me donnait le sentiment que j’étais belle et bien vivante. Surprise d’avoir eu un tel contact, je me disais bien qu’il y avait un petit truc. Je me doutais que dans le noir on ne pouvait pas trop voir ce que les autres faisaient. On pouvait d’ailleurs en jouer suffisamment longtemps pour essayer de vouloir comprendre l’autre. Tandis que je le voyais tout en ouvrant son sachet, le film venait de commencer. Alors que j’entendais qu’une personne désirait avoir un peu de silence. Je souriais donc en l’entendant me dire qu’il avait trouvé cela drôle de faire autant de bruit. J’avais oublié son petit côté casse pied, mais finalement, je trouvais cela amusant qu’il veuille essayer de me faire rire. Il attira une seconde fois mon attention en posant son bras sur mon épaule. Tendant l’oreille, je l’entendais me demander si j’acceptais une petite barre chocolatée. Je lui répondais amusée sans faire trop de bruit.

- « Bah je ne vais pas…. » Puis en voyant sa tête, je finissais pas céder gênée, qu’il veuille partager son petit encas avec moi. - « Bon d’accord juste une alors. » Ensuite, je le prenais donc alors qu’il me la donner. Ayant un second contact avec ses doigts, j’avais un autre frisson tout en lui souriant. Me remettant donc devant le film, je prenais soin de la couper en deux. Me tournant vers John, je lui tapotais l’épaule. - « Tiens je veux bien partager. » Lui donnant donc l’autre morceau, j’entendais des gens surprit par le film qui faisaient « Ah, il est fou. » Me tournant vers l’écran, je voyais un type qui désirait parler avec un fantôme. Sauf que l’esprit voulait plus lui foutre la trouille qu’autre chose. Combiné à la musique, il y avait un silence de mort qui allait donner une suite assez troublée. Calme, je me demandais quelle serait bien la suite des évènements. Alors que je voulais savoir ce qui se passerait par la suite, je mangeais donc la moitié de la barre chocolatée. Ayant un frisson qui me parcourait le corps alors que l’esprit le méchant fantôme venait faire peur à l’humain. Il y avait alors des « Ah, oh. » qui venaient de l’assistance. Essuyant mes mains sur la serviette en papier que j’avais dans le coin de ma poche. Je commençais donc à voir mon paquet de pop-corn. J’avais une folle envie d’en manger, et tout en mettant ma main dedans, je faisais un peu de bruit sans faire exprès. Le type de la dernière fois refaisait son « Chuuuuuuuuttttttt », sauf que cette fois-ci je lui disais promptement en japonais.

-« 侵入フィートであって、静かな状態を保つのはあなたです。 » (C'est toi qui es casse-pied, tais-toi.)

Puis le silence à nouveau, je pouvais donc prendre mes pop-corn sans que la personne cette fois-si ne se ramène. En tous les cas, je ne voyais pas comment est-ce qu’il me serait facile de continuer de voir un film si le pauvre type n’arrêtait pas de se plaindre. De toute façon, s’il m’entendait dans une autre langue, il devait bien se douter que je ne comprenais pas tout. Sauf que je voulais bien jouer là-dessus. De toute façon, je me doutais bien qu’il ne faudrait pas non plus abuser puisque sinon on risquait bien de se retrouver dehors. Puisqu’il fallait aussi que je fasse attention, je voyais donc que le film avait repris dans un calme plutôt convenable. Le héros du film se faisait rejoindre par un de ses amis qui voulait l’aider pour le fantôme. Je ne devais pas avoir peur, j’avais dis que je n’avais pas peur, sauf que là je fus prise à mon propre piège. Alors que le silence aurait pu me dire qu’il y aurait un souci et qu’il y aurait alors quelque chose de dangereux. Je sursautais alors que la surprise me venait en pleine figure et au lieu de me contenir, je réfugiais chez John, tenant mon paquet de pop-corn, je le voyais qui risquait de tomber sur le sol. Le gardant dans la main, je sentais donc que je n’avais pas trop envie de m’en aller de cette épaule fort agréable. Je dois bien vous dire qu’elle était aussi fort confortable. Je me relevais alors doucement tandis que le calme revenait dans le film. Le regardant alors qu’il m’observait attentivement, je ne lui disais rien. Mangeant du pop-corn, je voyais que la boîte avait commencé à se vider. Je me doutais qu’il attendait une réponse, je lâchais donc en chuchotant.

- « Même pas peur…. »

Je savais que cela va sans doute le faire rire. Ensuite, je me doutais aussi que la parade serait bien amusante et agréable, je ne désirais pas qu’elle s’arrête en si bon chemin. De plus, bien que je ne sois pas trop expressive, parfois, je réalisais qu’il y avait bien un truc. Sauf que je ne voulais pas l’avouer. La musique reprenait donc de plus belle pour que cette fois-ci je voyais bien que John aurait la trouille !

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MessageSujet: Re: Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] Le jour ou mon pote de fac est devenu une sublime créature... [Konomi] EmptyLun 27 Aoû - 16:38

Kono était en droit de refuser cette barre chocolaté, mais finalement, elle l’avait accepté, malgré le fait qu’elle avait peur aux kilos superflus, mais ce n’était pas une barre qui allait la rendre obèse, ou plutôt une demi bar, car finalement, elle lui en rendit la moitié, une moitié que JT avala en deux bouché après l’avoir remercier, plus goinffre que lui… bref…
Le film commençait alors que Konomi piochait dans son pot de pop corn, tout en en proposant à JT, faisait un peu de bruit aussi, mais pas tant que ça au final, ils avaient juste à un rabat joie de service deux rangs plus loin, mais soudain, JT tourna son visage de surprise, Kono venait de répondre en japonais, le jeune scientifique ne comprenait strictement rien à cette langue, ma à entendre l’intonation de la voix de la jeune femme, cela ne semblait pas très amicale, c’était même limite impressionnant, il la regarda alors un léger sourire amusé sur les lèvres


-et bien il ne faut pas trop te chercher toi ! Je vais me tenir à carreau je pense

Lui dit il toujours amusé par la situation et un peu moqueur. Ils se re-concentrèrent ensuite à nouveau sur le film et le silence s’installa, seul les bruitages, les paroles et les quelques musiques d’ambiances du film se faisaient entendre, il s’agissait alors d’une histoire de fantôme et d’esprits, nous n’étions pas dans le gore, mais l’ambiance qui régnait était des plus saisissante, le héros du film accompagné d’un ami errait dans la pénombre à la recherche de ce fantôme, tout était réuni, les pas lents, les regards inquiets des personnages et surtout la petite musique qui faisait peu à peu monter la pression, jusqu’à ce que tout à coup, un chat jaillit, le coup classique, quelle bande de vicieux ces réalisateurs ! Toujours était il que Konomi venait de ce faire surprendre et que JT sentait maintenant la petite tête de la musicienne posé sur son épaule, et de manière quasi-instinctive, le jeune chef d’entreprise passa son bras autour de l’épaule de la belle asiatique, geste totalement irréfléchi, suivit d’une sensation étrange, un rythme cardiaque qui s’accélérait, le jeune homme sorti alors un instant du film, réalisant qu’il était en train de tenir Konomi contre lui et que cela ne lui déplaisait pas…
Puis elle se redressa ensuite, lentement, JT la laissant faire, elle reprenait un pop corn et murmurant qu’elle n’avait pas eut peur, d’un air amusé et un peu moqueur, le jeune homme lui glissa à l’oreille


-je n’en doute pas

Puis la concentration revint ensuite alors que tout en ayant les yeux rivés sur le film, JT plongea sa main dans le paquet de popcorn pour en prendre un, effleurant au passage les douce main de la saxophoniste, quand tout à coup, alors qu’il ne s’y attendait pas, une autre surprise lui éclata en pleine figure, un esprit venu de nulle part, le jeune chef d’entreprise se mit à sursauter en lâchant son popcorn de surprise, puis sa main se posa sur le bras de Konomi alors qu’il avait les yeux rivés sur l’écran

-putain !...

Oui, il fallait le savoir, JT avait tendance à jurer lorsqu’il avait peur… il tenait alors toujours le bras de konomi, posé sur l’accoudoir, puis se reprenant, il haussa les épaule tout en retirant sa main, malgré le fait que ce contact ne lui déplaise pas, mais il n’allait pas lui tenir le bras pendant tout le film tout de même ?

-en même temps c’était prévisible, ils font toujours la même choses

Murmura t’il, tentant de sauver les apparences, alors que son regard se tourna vers Konomi qui avait les yeux rivés sur le film… Elle avait un joli profil… Mais concentrons nous sur le film ! JT tourna alors à nouveau son regard vers l’écran, mais les images qu’il avait en tête, était tout autre…
.
.
{Son regard se tournait vers celui de la belle asiatique, qui le regardait également, en un regard, tout était dit, d’un geste assuré, JT passa alors son bras autour de ses épaules pendant qu’elle posa sa tête sur son épaule à lui, un autre regard, des lèvres s’approchant les unes des autres et le baisé fut, à la fois tendre et passionné, en plein milieu de cette salle de cinéma, ils étaient désormais seuls au monde, se laissant aller à leurs envie…}
.
.
Tout cela aurait pu se produite, d’ailleurs, ce genre de scène se produit régulièrement au cinéma non ? Mais ici, il n’en fut rien, il ne s’agissait là que d’une rêvasserie occupant le cerveau de JT, une douce rêvasserie dont il fit sorti alors qu’il sentait quelqu’un lui tirer la manche, en effet, cela devait faire une bonne minute qu’il avait sa main plongée dans le paquet de popcorn, sans la bouger, empêchant ainsi Konomi de se servir… Comme un peu perdu, il regarda la jeune femme, puis le paquet de popcorn et tout à coup, il s’empressa de retirer sa main

-ho… p..pardon… j’étais ailleurs…

Expliqua t’il nerveusement avait de s’éclaircir la gorge, puis il tenta tant bien que mal de suivre à nouveau le film, il fallait se rendre à l’évidence, il ne regardait plus Konomi de la même manière, il y a encore quelques temps, il n’aurait pourtant jamais pensé qu’elle pouvait lui faire ce genre d’effet, et pourtant, cela allait peut être compliquer les choses désormais…
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