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there's no place you can stop to want the fight • serena

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MessageSujet: there's no place you can stop to want the fight • serena there's no place you can stop to want the fight • serena EmptyLun 16 Avr - 23:29

Les joies de la bibliothèque, tard le soir, une chose qu'ici le jeune italien qu'était Zéphyr n'avait quasiment jamais connu, étant un brillant élève, au quotient intellectuel vertigineux et à la mémoire jamais défaillante, pour quoi que ce soit. Non, jamais le jeune homme n'avait été obligé de passer du temps à réviser à la bibliothèque, de peur de prendre du retard dans ses cours, durant sa scolarité, depuis l'école maternelle et encore jusqu'ici à l'université. Mais soit, parait il qu'il y a des débuts à tout, alors le jeune homme n'en avait que faire. Puis, ce n'était pas faute de défaut de compréhension ou d'écoute, c'était tout simplement qu'il n'était pas possible d'aller en cours lorsque l'on a un enfant qui pleure, qui se plaint d'avoir mal partout et en étant père, il était juste inconcevable pour le milanais de laisser son fils à une nanny alors qu'il réclame son père. Donc, entre trois cours rattrapables et son fils, l'alpha n'avait pas mis bien longtemps à faire son choix et il lui fallait maintenant rattraper les cours qu'il avait manqué. De toutez façon, il ne ratait pas grand chose durant cette soirée, sa colocataire n'était pas présente et de toute façon pas de très bonne humeur ; et n'ayant rien de prévu avec Thaïs ou Phoebe, autant utiliser ce temps à réviser des cours calmement qu'à aller boire du scotch dans un bar, avant de ramener une femme chez lui, en Casanova qu'il était depuis toujours. Calmement, il le savait, avec sa personne, rien n'était vraiment calme très longtemps, le calme avant la tempête comme on aime dire. Plongé dans son livre de macro-économie, le jeune homme ne fit pas réellement attention à la personne qui se trouvait sur la table à la gauche de la sienne, et ne la vit même pas arriver d'ailleurs. Relevant la tête un instant, il déglutit en même temps qu'il ne put s'empêcher de regarder la demoiselle de bas en haut. Serena. Arrogante bitch comme on en fait énormément chez les bêtas deltas psi, rien de bien extraordinaire, ayant la plus méchante à domicile, l'italien pourrait difficilement être choquée par quelques demoiselles se donnant un genre et étant beaucoup plus docile après quelques belles paroles. « Je sais que je suis irrésistible, Serena, mais si tu veux me voir, t'es pas obligée de venir pendant que je révise à la bibliothèque tu sais. » Accompagné d'un sourire glacial, le sarcasme se voulait d'une rare évidence même pour une demoiselle qui n'était pas plus intelligente que cela, en tout cas dans l'esprit du jeune homme. « Allez, t'es mignonne, si t'as besoin d'aide pour tes devoirs, Zéphyr peut t'aider. »
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MessageSujet: Re: there's no place you can stop to want the fight • serena there's no place you can stop to want the fight • serena EmptyMar 17 Avr - 0:58



La bibliothèque n’était pas l’endroit préféré de Serena pour travailler mais parfois elle aimait y passer quelques heures pour amadouer certains petits studieux assez sexy, pas tous mais quelques-uns, qui ne demandaient qu’à être décoincés. La blondinette n’y allait que lorsqu’elle avait besoin de faire des recherches qu’elle ne pouvait pas faire chez elle, c’est-à-dire en cas d’extrême urgence et ce soir en était bel et bien un. Depuis plus d’une semaine, la demoiselle subissait des terreurs nocturnes presque toutes les nuits, ou au moins une sur deux ce qui l’empêchait de fermer l’œil ne serait-ce qu’une seconde sans voir la silhouette de son défunt mari se faire descendre devant elle. Très peu de gens étaient au courant de cette histoire c’est pourquoi Serena préférait assister à tous ces cours sans jamais devoir justifier une absence ou avoir à quémander un cours qu’elle n’avait pas en donnant son excuse, une excuse que personne ne croirait tout simplement parce que personne ne croirait qu’une telle blessure puisse se cacher derrière la sans cœur qu’elle paraissait aux yeux de tous. Effectivement, elle était tellement sarcastique et hautaine qu’elle paraissait parfois intouchable, l’histoire de la fusillade et son attitude face à cela n’avait fait que renforcer cette image. Enfin ; ce soir elle avait besoin de reprendre dans le calme un de ces cours car elle s’était mise en pilote automatique lorsqu’il avait eu lieu c’est-à-dire qu’elle avait laissé ses doigts pianoter sur le clavier de son ordinateur en écoutant le professeur parler sans même tenter de comprendre ce qu’il disait et donc sans l’assimiler. Oui puisqu’en temps normal, la jeune bêta n’était pas qu’une fêtarde invétérée, elle était aussi une brillante élève qui n’avait pas besoin de passer des heures et des heures sur ses fiches pour réussir. Après avoir pris rapidement un petit casse-croute et une bouteille d’eau bien fraiche à son appartement de la maison de confrérie des bêtas, la demoiselle avait fourrée dans son sac ce dont elle avait besoin pour réviser puis avait pris la direction de ce lieu qu’elle fréquentait si peu. En ouvrant les grandes portes de l’endroit aussi silencieux qu’un cimetière, ou même encore plus car il n’y avait personne qui éclatait en sanglot et elle connaissait bien cela, elle remarqua qu’il n’y avait pas beaucoup de monde, mais les gens qui étaient pas n’étaient pas les plus inintéressants. En effet, elle ne mit pas longtemps pour repérer Zéphyr, un alpha avec qui elle entretenait une relation assez explosive mais pas que. Amusée de le voir ici pour la première fois et curieuse de savoir ce qu’il pouvait bien faire là elle alla s’assoir à la table juste à côté de la sienne et commençant à sortir ses quelques affaires sans faire de bruit afin de ne pas trop se faire remarquer. Le silence en temps normal, ce n’était pas vraiment son fort mais ici elle tentait de faire des efforts pour respecter la volonté de chacun, des bons comme des moins bons, d’étudier pour avoir leur année. Ce ne fut pas elle qui brisa le silence la première en lançant le premier pic d’une longue liste, ça c’était une certitude puisque c’était comme ça à chaque fois, mais ce fut bien le beau brun. Décidément, depuis la dernière fois qu’il ne s’était pas croisé, il n’était pas devenu moins modeste et il doutait toujours aussi peu de lui mais elle ne se démonta pas face à lui et sur un ton sarcastique à souhait comme elle s’adressait toujours à lui elle ne tarda pas de rétorquer ; « J’étais justement en train de me demander si nous étions connecté à ce point pour que tu viennes m’attendre à la bibliothèque l’un des seuls soirs ou je viens. » Elle savait bien qu’il ne l’attendait pas là, qu’il travaillait mais elle ne voulait pas se démonter face à lui, surtout que même si Payson lui disait qu’elle avait toujours la pêche et un teint magnifique, elle se trouvait elle pas à son avantage alors si elle n’avait pas un minimum de répondant il jouerait très vite là-dessus. Sa seconde remarque la fit rire, d’autant plus que dans ce qu’elle avait à réviser, elle avait pris des corrections d’anciens devoirs, des devoirs qui avaient tous reçus de très bonne note. Elle les feuilleta donc en les mettant bien en évidence pour que le jeune homme puisse voir les notes qu’elle avait obtenu elle lu ; « Alors celui-là.. A+, oh et puis celui-là encore A+ et lui A+ aussi, enfin je pense que tu as compris que je suis la dernière personne ici à vouloir ton aide ici ! Surtout qu’en langues je ne pense pas que tu sois aussi brillant qu’ailleurs… Enfin en langues, tu me comprends hein je ne parle pas de celle que tu sais faire marcher à souhait. » Il était chez les alphas donc forcément il était brillant, elle ne pouvait pas le remettre en cause mais elle, elle n’était pas la première des idiotes même si elle n’appartenait pas à la même confrérie que lui. Cependant, elle avait un avantage sur lui c’est qu’en matière de provocation elle était très forte et même si il ne restait pas rade c’était souvent elle qui avançait la dernière provocation avant que leur discussion ne finisse en partie de jambes en l’air dans le premier endroit qu’il trouvait. Elle jeta un coup d’œil sur sa table pour voir ce qu’il faisait et remarqua qu’il reprenait des cours tout comme elle, oui sauf qu’elle elle n’était pas chez les bleus clairs et elle n’avait donc pas à soutenir son image de demoiselle irréprochable qui savait toujours tous ses cours sur le bout des doigts ; « Mais dis moi, ce cher monsieur Princeton a-t-il vraiment des défaillances dans certaines matières qu’il se trouve ici surement pour la première fois de sa vie ou y a-t-il une autre explication à cela ? »

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MessageSujet: Re: there's no place you can stop to want the fight • serena there's no place you can stop to want the fight • serena EmptyLun 30 Avr - 20:48

Il semblait totalement évident, d'une rare évidence même, que le jeune homme ne passait pas le plus clair de son temps dans les différentes bibliothèques qu'il avait jusqu'ici connu, que cela soit à Paris ou à San Fransisco, il n'avait pas réellement besoin de réviser, apprendre, et tout ce genre de choses, ce n'était pas pour lui, il avait toujours été l'intelligent Zéphyr, le bon élève Princeton. Et aussi, celui dont la mère faisait de généreuses donations, bien évidemment. Toujours est il que le temps passé dans une bibliothèque pour l'italien, dans un mois, se comptait en minutes, et il n'était pas donné à tout le monde de le rencontrer en ces moments, ceux-ci étant fort rares. Et, comble du hasard, il avait fallu que ce soit mademoiselle Parker-Harrows, de son prénom Serena, blonde comme nombre de conquêtes du jeune milanais, on pouvait dire que c'était une bien belle demoiselle qui se trouvait non loin d'un Zéphyr, qui, bien évidemment, en grand séducteur italien, n'en raterait pas une, et il était d'une logique imparable, que le jeu de la séduction, ne faisait que commencer. De plus, la bibliothèque semblait, désormais, être totalement libre, ce qui en soit, était u du moins, semblait, être une bonne nouvelle, pour le plan de l'alpha. Une bêta, cela ne serait semble-t-il pas l'exploit du siècle, pour le milanais que de l'emmener là où il désirait la voir, et évidemment, le plus vite serait le mieux. Et de toute façon, être plongé dans ces livres, cela ne lui plaisait guère. Puis, être major de promo, pour un quotient intellectuel tel que le sien, ne semblait pas être quelque chose d'insurmontable et ce n'était pas quelques heures de travail qui y changerait quoi que ce soit. Alors, au lieu de se plonger dans son bouquin, il décida que s'occuper de la bien belle créature qui ne se trouvait pas bien loin de lui, était assurément une bien meilleure idée, et bien plus amusante, dans tous les cas. Si il désirait ardemment une cigarette, à cet instant précis, il allait contenir cette envie quelques instants, pour se concentrer sur un désir beaucoup plus ardent qui se trouvait en lui, à la vie de cette demoiselle qui semblait se croire plus maligne que les autres -et que ce soit le cas ou non, ne l'intéressait guère- même si il fallait avouer qu'elle était plus belle que la moyenne, le milanais devait bien l'avouer. « Nous dirons que le hasard fait bien les choses. » Il ne put réprimer un sourire en voyant la demoiselle, toute guillerette, sortant ses bonnes notes avec toute la fierté qui en découlait. Soit, elle ne faisait pas honneur aux clichés dus à sa couleur de cheveux, et son sarcasme était somme toute, mal placé, mais cela ne le changerait guère de ces habitudes. « Tu sais, toute demoiselle me connaissant désire mon aide. Pour certaines choses, comme pour d'autres. Les langues, je me suis arrêté après la cinquième, le russe, autre alphabet, différent. J'avais bien compris, mais il semblerait que ma langue te perturbe, blondie.» Lâcha-t-il, accompagné d'un sourire, carnassier. « C'est à dire que lorsque je rate un cours, j'ai un peu de mal à le connaître, bizarrement. Mais tu serais charmante de ne pas oser associer mon nom de famille à ce vilain mot, tu serais un amour.» Toujours plus sarcastique, bien évidemment, avant de reprendre. « Et si tu as tant de bonnes notes, j'imagine que je peux te retourner la question, Serena. »
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MessageSujet: Re: there's no place you can stop to want the fight • serena there's no place you can stop to want the fight • serena EmptyVen 27 Juil - 9:20

corbeille.
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