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Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »

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MessageSujet: Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. » Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  EmptyMar 8 Mai - 0:46

Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  Tumblr_lx6xjbE5SS1qgxqjk Perdita &’ Dmitri ●●


EDIT : euh je ne sais pas pourquoi mais je n'ai plus mon RP *-* Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. » Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  EmptyLun 14 Mai - 14:10

Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  303406001336998509_1336997836Il y a des personnes avec qui on pourrait faire le tour du monde. Dmitri est cette personne, ce meilleur ami qui m’a toujours soutene, dans les éclats de rires ou dans mes moments difficiles . Il est surement l’un des seuls à connaitre les bas-fonds de ma personnalité mais aussi ces secrets. Je n’ai rien à lui caché, il connait tout de moi et ça depuis déjà un sacré paquet d’années. Je ne pourrais plus imaginer mon quotidien sans sa présence. Il y a des amitiés qui sont prêtes à survivre à tout et je suis persuadée que la nôtre en fait partie. Après tout, on l’avait construite avec pas mal de distance. Il était à Sydney pendant que je continuais mon train-train à New York. On se parlait tous les jours et on échangeait nos impressions sur telle ou telle situation. Puis par moment, on en venait même aux confidences. Je n’avais pas pu lui cacher la rencontre que j’avais faite avec matthew. Directement, je devais le mettre au jus et lui dire tout ce qui me passait par la tête. Je m’en rappelle comme si c’était hier quand je lui ai envoyé ce message, lui expliquant la situation que je rencontrais et cette personne à qui je m’attachais. Directement, il comprit que le jeune homme n’était pas un remplaçant à sa place de super héros dans mon cœur. Non, il savait que d’autres émotions naissaient en moi à chaque fois que j’évoquais ce prénom. Je ne pouvais rien cacher à Dmitri. Il n’était pas mon meilleur ami pour rien. Et notre relation était tellement importante pour moi que je voulais le mettre au courant, de mon premier baiser, ma première larme et l’accident qu’il y avait eu. Il était la personne que j’avais appelée en pleine nuit. En sanglots, j’essayais de lui expliquer que matthew devait me retrouver avant que je rentre à la maison et qu’on s’était quitté à la soirée. J’essaye de lui dire que lorsque j’ai pris le chemin pour le retrouver, je suis tombée face à cette vision horrible, cette image qui me hanterait à vie du véhicule retourné. Directement, je m’étais dirigée vers le lieu. Les secours n’étaient pas encore arrivés et au loin, j’aperçus la silhouette de mon petit ami, allongé sur la route. Cette nuit, j’ai perdu beaucoup et je suis tombée dans les tranchées sombres de mon existence. J’avoue que ce ne fut pas facile pour lui d’agir avec autant de kilomètre entre nous. Néanmoins, j’espère ne l’avoir jamais déçu. En sachant que la petite fille gentille que j’étais, se réveillait être quelqu’un de très méticuleux, qui fréquentait dès à présent les mauvaises personnes aux mauvais endroits. Nous n’avons jamais évoqué le fait que j’ai pu gouter à des substances illicites et parfois très dangereuses pour ma santé. Cette période de ma vie s’est révélé être le tournant que l’on prend rarement, celui qu’on n’ose pas imaginer. Trop longtemps enfermée dans la bulle que mon père avait créé de ses mains, je m’étais prise la plus grosse claque de ma vie. Les disputes à la maison ont débuté entre mon paternel et moi – même. J’avoue même que parfois, j’avais des envies de lui balancer à sa tête les livres qu’il me forçait toujours à réviser. Son petit ange devenait un réel démon et sur qui, il n’aurait pas le moindre contrôle. Cela devait être son pire cauchemar. Mon père a commencé à me renier. Heureusement qu’il y avait alors Dimitri. Même s’il lui arrivait, je suppose, à ne pas me comprendre, il ne m’a jamais laissé. Il savait que j’étais dans un moment difficile, que je venais de perdre quelqu’un qui me faisait sentir différente de l’image que je donnais. Loin de moi cette étiquette de petite fille à papa, tout comme Dmitri, il me voyait être Perdita. Une demoiselle qui sait ce qu’elle veut dans la vie et qui se donne les moyens de l’obtenir. Pendant cette dur période, j’avoue avoir mis sur le côté notre amitié, juste parce que je ne pensais plus la mériter. Il cherchait de mes nouvelles et tellement blasée par la vie, je lui en donnais que très rarement. Chose que je me suis voulu par après. Quand j’ai décidé de me reprendre en main et quand la mère de matthew est venue me trouver. Au courant du combat que je me faisais en tête à tête avec mon âme, elle n’avait pas pu résister à me laisser m’enterrer si profondément. Elle me répétait sans cesse que ce n’est pas ce qu’aurait voulu son fils. Elle m’a réellement beaucoup aidé même si le soleil était loin de briller chaque jour, je suis parvenue à me relever. Simplement grâce à mes choix, je devais prendre des responsabilités. Je devais prendre ma vie en main si je ne voulais pas que l’on me retrouve un jour, sans vie dans le fond d’une ruelle. Je suis donc arrivée à Berkeley. Pour moi, aujourd’hui, je renais ici. Je ne suis plus la jeune femme que j’étais à New York, que ce soit le bon ou le mauvais que j’y ai vécu. Je suis devenu simplement moi – même. Je me suis laissé vivre et je compte continuer sur cette voie. D’ailleurs maintenant, plus rien ne peut nous éloigner, Dmitri et moi. On est réuni pour le meilleur et pour le pire.

J’étais en plein rêve quand mon téléphone vibra sous mon oreiller. La soirée avait été longue. J’étais sortie avec l’équipe de cheerleaders, boire en verre et donc autant dire que nous n’étions pas rentrées très tôt. Baillant un grand coup, je fis glisser mon doigt sur l’écran et remarquais le nom qui s’affichait. Il n’y a avait que lui pour me faire ce coup là ou peut être Isaac, que j’y pense. M’étirant tout en réfléchissant au courage qui me faudrait pour me tirer du lit, je ne pris pas longtemps à me décider. J’allais faire mon possible pour ne pas le faire trop attendre et pour la peine, je n’allais pas lui répondre. Il me verrait dans une petite heure à ces côtés. Me grouillant les fesses, je pris cinq minutes pour me doucher, cinq minute pour me trouver une tenue et quinze minutes pour le reste. Je savais que lorsqu’on se retrouvait à notre endroit, c’est que Dmitri avait besoin de moi. Il nous arrive parfois de ne pas avoir le moral au beau fixe et quoi de mieux comme remède que ma présence. S’il m’entendait penser, mon meilleur ami serait mort de rire. En sachant malgré tout que je ne dis quand même pas que des conneries. Je l’avoue, j’ai souvent besoin de lui et parfois trop souvent. Un avis pour une tenue, une façon d’agir ou que sais – je encore, je le harcèle. Sans plus attendre, j’attrapais mon sac, attachais mes cheveux et montais dans la voiture. Musique à fond pour bien me réveiller, je m’arrêtais au starbuck, là où on faisait les meilleurs cafés. En prit deux à apporter et reprenait la route qui me menait à lui. Arrivant à cet endroit que je connaissais par cœur, je savais où le trouver et sans plus attendre, je m’avançais jusqu’à lui en laissant échapper quelques mots : « Qu’est-ce que je ne ferais pas pour toi. » Sourire sur le bout des lèvres et lunettes sur le nez, je le voyais sur le devant de sa voiture. Tenant les deux cafés que je nous avais pris, je lui en tendis un. Tout en le serrant contre moi pour lui dire bonjour. Je me sentais complétement bien et ne regrettais pas d’avoir trainé mes fesses jusqu’ici, jusqu'à lui. « Comment vas tu ? » Je savais par quoi était passé mon meilleur et je me doutais que tout n’était rose au quotidien. Je suis certaine que même dans dix ans, il gardera en mémoire cet accident. Alors bon, je veux être là. Pas simplement pour le faire rire mais aussi pour être son soutien quand il en ressent le besoin. « Tu as fait quoi hier soir ? Tu es allé faire le fou sur la piste de dance et montrer à toutes ces nanas ce que tu as le ventre et dans les jambes. J’espère que tu n’as pas essayé de te la jouer michael jackson. » Ajoutais – je tout en faisant mes hypothèses. J’avais déjà vu mon meilleur ami à l’œuvre, une fois où il avait un peu trop picolé. Je me rappelle de cette soirée où il a voulu faire un pas à la grande classe et qui s’est retrouvé le lendemain avec un entorse à la cheville. On en avait un paquet de souvenirs ensemble et Dmitri était devenu l’un des plus importants piliers de mon existence sans avoir le temps d’y songer. J’étais attachée à lui et je comptais y rester un sacré moment si ce n’est pas pour dire une vie entière.

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MessageSujet: Re: Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. » Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  EmptyLun 14 Mai - 19:31

Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  Tumblr_lx6xjbE5SS1qgxqjk Perdita &’ Dmitri ●●
Aujourd’hui comme beaucoup de journée, je préférais prendre un peu le large pour me retrouver un peu. C’est vrai que ça me faisais énormément de bien de passer la journée loin de tout mais surtout proche de me meilleure amie, celle qui connaissait tout sur ma vie et sur ce que je ressentais. Peu de personne n’arrivait à me comprendre et pourtant elle…elle faisait partie de ce très peu de personnes qui me comprenais. D’ailleurs tout ceci était réciproque. On se connaissait depuis presque 6ans et pourtant notre amitié ne cessait de se renforcer à chaque minute que l’on passait ensemble. Elle connaissait tout de moi et je ne lui avais jamais caché de toute mon histoire et encore moins de mon passé avec mon accident, ce fut même la seule qui m’ait énormément soutenu. Beaucoup de personnes, en Australie, me disait que tout allait bien se passer mais quant à ma meilleure amie elle, elle m’avait dit la vérité elle n’avait pas réussit à me mentir et ça me faisais énormément de bien même si sur le coup…c’était très dur. Revenons à nos moutons. J’étais à deux doigts de rester seul toute la journée mais j’avais préféré la passer avec ma meilleure amie qui d’ailleurs ne m’avait pas donné de nouvelles la veille. Je n’aimais pas quand elle faisait ceci mais je ne pouvais lui en vouloir puisque nous étions tout les deux très occupé de nos journées et donc il arrivait que nous ne nous donnions pas de nouvelles une à deux journées…mais guère plus. Perdita n’est pas une de ces personnes qui, sans elle, je peux vivre comme bon mon semble…J’ai toujours besoin de son avis et surtout de ces conseils pour pouvoir avancer comme je le souhaite. Des fois ça peut paraître tout con mais rien de mieux que d’avoir l’avis de sa meilleure amie pour se sentir mieux. Suite à mon message je n’avais pas eu de réponse, c’était digne d’une grande Perdita. Perdita dans toute sa splendeur à vrai dire. Je ne savais donc pas si elle allait venir ou non mais une seule solution pour le savoir : rester ici assis sur le capot de la voiture à…attendre et surtout à me perdre dans mes pensées. Je repensais à tout ce que j’avais vécu et par quoi j’étais passé quand j’étais en Australie. Rien ni personne ne pouvait prédire ce qui allait m’arriver..3ans auparavant. Tout allait dans le meilleur des mondes, j’étais heureux et très amoureux d’une femme exceptionnelle…on était jeunes et on s’amusait comme toutes ces personnes sur cette Terre. On sortait beaucoup, on faisait la fête, on buvait aussi mais on ne prenait jamais la voiture et pourtant il a suffit d’une seule fois. Une seule fois je pris la voiture et je fis alors un accident que je me souviendrai toute ma vie, et à jamais je m’en mordrais les doigts. J’avais détruit toute une famille…en faite non j’avais détruit 3 familles. Ma famille et donc mes parents, et les parents à Catherine ainsi que notre famille… Nous étions de jeunes amoureux et nous aurions dû être parents quelques mois après l’accident. On ne savait pas pour ce dernier puisque la femme de ma vie avait fait un déni de grossesse. Sans ce déni, tout aurait été différent, je suppose. Sans ce déni nous ne serions pas sortis et encore moins consommés d’alcool, et nous n’aurions pas eu cet accident…Je ne peux pas prédire un futur pour quelque chose qui ne se passera pas, mais une chose est sûre tout aurait été différent, mais était-ce une bonne chose ?! Après tout on grandissait de nos erreurs, non ? Eh bien pour moi c’était le cas. J’avais mes pensées qui commençaient à divaguer de plus en plus, et repenser à mon passé n’était pas toujours de bonnes choses mais j’en avais, de temps en temps, besoin. Je n’avais pas eu de nouvelles de mes parents depuis maintenant plus de 2ans, depuis que j’étais parti d’Australie. Au fond mes parents me manquaient énormément mais je ne pouvais pas revenir dans leurs vies comme ça. Pas après 2ans de silence. Toujours dans mes pensées, je fis un large sourire quand j’entendis la voix de ma meilleure amie. Elle était donc bien venue à mon petit rendez-vous. Sans tourner la tête je répondis avec un grand sourire, encore une fois. Oui c’est vrai face à elle j’étais très souriant, alors pourquoi se cacher face à la femme de ma vie, ma meilleure amie ?! « Eh bien mademoiselle s’est faite désirer. » Et puis je tournais la tête doucement et puis toujours aussi radieux, je pris un café avant de la remercier. Je la pris dans mes bras par la suite. Ce contact peut paraître très flou et répétitif pour beaucoup de personne mais pour moi, c’était un acte d’amitié et de sincérité envers ma meilleure amie. Ce geste n’était pas banal pour ma part. Loin de là. « Ton meilleur ami va bien, et il avait seulement besoin de sa meilleure amie…et il est très content de la voir pointer le bout de son nez. » Je la regarde avant de rire doucement et de reprendre. « Excuse moi, je vais arrêter de me prendre pour Dieu et parler à la première personne. Et toi comment tu vas ma belle ?! » Un peu d’humour n’avait jamais tué personne. J’étais, c’est vrai, un homme avec peu d’humour mais j’aimais en faire même si ça ne faisait pas rire…l’important était que ça me fasse rire, non ? Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  828200 Je la regarde et la voilà à son tour entrain de partir dans un petit délire toute seule. C’est vrai l’humour ne faisait pas la paire avec nous deux. Je la regarde avec des yeux de chiens battus avant de me mettre à rire de plus belle. « Perdi, non ne fais pas ça…» J’imitais quelqu’un qui suppliait sa collègue. « Tu sais très bien que l’humour n’est pas ton fort…tout comme le mien. » Qu’avais-je fait la veille ?! Et bien elle allait être déçue tout de même, mais pas tant en réalité puisque je passais de longues soirées tout seul. Non je n’étais pas insociable mais depuis l’accident je sortais de temps en temps, simplement. « Au risque de te faire de la peine…Je ne suis pas sortis hier au soir, j’ai préféré faire le fifou dans mon lit en mode…Marmotte. » Je laissais donc échapper un petit rire avant de la regarder dans les détails et puis je secouais la tête avant de reprendre. « Mais je suis prêt à parier que tu a été en soirée, toi hier au soir. Rien qu’à voir ta tête, et au faite que tu ne m’as pas répondu au message mais que tu sois venu me voir. Alors raconte-moi cette soirée, ma belle. » C’est vrai que je sortais pas souvent, ou alors après des matchs de football mais les seuls fois où je sortais je finissais rarement la soirée seul, étant donné que l’alcool me jouait quelques petits tous, mais tout ceci ne me ressemblait pas, et je préférais passer la soirée seul devant un bon petit match ou tout simplement à faire un peu de sport. C’est comme ça. Puis je bus alors une gorgée de mon café et je laissais donc la crème venir se déposer sur mes lèvres avant de la regarder avec un regard de pervers et de passer ma langue sur mes lèvres….Bien évidemment je n’étais pas arrivé à être sérieux pendant plus de quelques secondes, c’était comme ça, je faisais le clown tellement souvent que le sérieux et moi n’étions pas très amis.

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MessageSujet: Re: Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. » Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  EmptyLun 21 Mai - 16:25

Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  Tumblr_m18ztdj0Ll1qb1uceJamais je n’aurais pu dire à Dmitri que tout allait aller bien quand il me mit au courant de l’accident. C’est mon meilleur ami, si j’avais osé le pousser à croire que ça allait passer, je ne méritais donc pas cette place. Il devait y avoir quelqu’un dans son entourage pour lui dire que la blessure était là, bien ancrée en lui. Et s’il me détestait au final, parce que j’aurais pris le risque de lui dire entre quatre yeux que jamais, il n’oublierait, qu’il aurait difficile à s’en remettre. Au final, ça ne me dérangeait pas. Car un jour ou l’autre, je sais qu’il aurait compris, qu’il aurait su que j’avais juste. Comment pouvais-je être son amie, la meilleure même et lui dire que cette histoire lui passerait. Si Dmitri a aimé un fou dans sa vie, c’est sans aucun doute pour cette fille. Alors l’absence serait difficile à combler mais il pourrait toujours compter sur moi. Je ne lâcherais pas. Je sais combien ça brise de perdre quelqu’un que l’on aime. Il sait très bien par quoi je suis passée et combien le vide que laissait Matthew m’a détruit. J’ai pris des sentiers détournés de mon chemin, j’ai fait des mauvais choix. Mais qu’importe où je suis allée, il est toujours à mes côtés. Lui, sans qui, je ne pourrais pas avancer. Cela peut être dur à comprendre mais notre relation a déjà vécu tant d’épreuve que je suis prête à tout quand je sens sa présence près de moi. Il n’y a pas d’explication correcte pour exprimer ce que je ressens quand je regarde ce jeune homme. Une chose est certaine pour rien au monde, je ne voudrais le perdre. Rien jusqu’ici n’a réussi à nous éloigner, alors je ne vois pas ce qui pourrait y arriver. La distance n’avait pas d’importance entre nos continents. Car au final, mon âme et la sienne ne faisaient qu’une. Qu’importe la tempête qui allait passer ou le raz de marée qui allait s’abattre, main dans la main, on est prêt à tout. Alors être réuni à San Francisco, c’était juste ce qu’il fallait pour m’aider à ne pas faiblir. Je venais ici pour écrire une autre vie et me voilà ainsi accompagnée de la personne parfaite. En recevant ce message, je me disais que j’avais beaucoup de chance de l’avoir. Certains diront que l’amitié fille et garçon n’existe pas. Qu’ils viennent un peu voir ce qu’on a à leur montrer avant de parler. Bien sûr, notre duo a eu son lot de rumeurs. En couple, séparé, amoureux, deux chemins mystérieux. Tout le monde c’était posé des questions sur notre relation et même Isaac. Mais très vite, il comprit que les sentiments que j’éprouvais pour chacun des deux, étaient bien différents, bien distincts. Dmitri compte trop pour moi. Il restera toujours ma priorité et même si je dois passer en second lieu, ça ne me dérange pas. Il sait combien je peux parfois être butée ou maladroite. Néanmoins, il sait aussi que quand je m’attache, je ne le fais jamais à moitié. Alors sans prendre le temps de réfléchir ou de faire ma marmotte, je me lève du lit et prends le chemin qui m’amènera jusqu’à lui.

« Eh bien mademoiselle s’est faite désirer. » Je l’entendis jusqu’à moi et sentais le sourire que pouvait porter ses lèvres. Je ne perdais pas une seconde pour m’approcher de lui. Toute aussi contente de retrouver cette moitié de moi, cette partie dont j’ai obligatoirement besoin pour survivre. Le sentant contre moi, je fermais les yeux une fraction de seconde et remerciais encore le ciel de l’avoir placé dans ma vie. « ah bon ? Ce n’est pas mon genre, enfin peut-être que ça arrive trop souvent. Mais l’essentiel est que je sois là. » La vue qu’offrait la marina était juste ce que j’adorais. Comme isolé du centre-ville, de l’université et du monde qui vivait pendant que la terre continuait de tourner. Prenant place à ces côtés, je l’écoutais me parler, me rassurer et me donner cette joie qu’il me transmet quand il admet tout autant avoir besoin de moi, comme j’ai besoin de lui. On se comprenait vite. Pas besoin de parler, pour savoir ce que l’autre ressentait. Assis tous les deux sur le capot de sa voiture, pour un instant de pur complicité, je ne regrettais en rien d’avoir grouillé comme je le pouvais mon fessier pour me ramener jusqu’ici. C’était toujours une bouffée d’air frais quand je le regardais et que nous étions réunis. Il me faisait sourire et en parlant de cette manière me rappelait le jeu que l’on avait longtemps joué à se parler de cette façon. Il n’avait pas de quoi être géné avec sa meilleure amie. Qui a dit que le ridicule tuait ? « Elle va bien ta meilleure amie. Perdita faisait un beau rêve quand elle a reçu le texto. » Nos regards échangèrent plus que des paroles. Laissant tomber ma tête sur son épaule, je buvais le reste de mon café. Combien cet instant était tout ce que j’aimais ! J’aurais voulu le crier au monde entier pour qu’il sache que mon cœur bat toujours en harmonie quand il est près de celui de Dmitri. Puis il me faisait ce regard de chien battu, qu’il sait si bien faire pour me faire craquer. Quoi je ne faisais que partager mes hypothèses concernant ses activités secrètes. « Tu pourrais au moins faire semblant. Dieu va te châtier pour ça. Prêt à aller en enfer pour avoir été le pire meilleur ami qui soit ? » J’ajoutais tout ceci avec faciliter dans la conversation parce qu’il était du genre à me suivre dans mes délires. Puis bon, il savait que jamais je ne lui en voudrais et que s’il allait en enfer pour je ne sais quelle raison, j’en ferais autant. Je le suivrais. Quoi qu’il arrive, où qu’il aille, je le lâcherais pas. Il le sait. Partageant nos projets de soirée, je compris que Dmitri n’avait pas dû avoir le moral hier. Je m’en voulais du coup de ne pas avoir pris de ses nouvelles en soirée. Ne voulant pas le ramener dans ses démons, j’évitais toute suite de lui parler et de lui poser une tonne de question sur sa soirée marmotte. Me connaissant, j’étais du genre à chercher ce qui n’allait pas même quand ça allait. Pour vous dire, le souci que je peux me faire quand il s’agit de mon meilleur ami. Alors lui, avait directement compris à ma tête que j’étais sortie, que j’avais dû faire la folle et tout. Donc bon, j’étais démasquée. « Quoi, il est marqué sur mon front : Perdita a bougé son corps comme une folle jusqu’à ne plus savoir marcher le lendemain. » Dmitri savait que ce genre de comportement n’était pas mon genre. Aux premiers contacts, on pouvait même me juger distante et froide, j’en ai conscience. Néanmoins, je peux être aussi extravertie et délurée quand je suis avec des gens que j’apprécie. Donc il se doutait par avance que si j’étais sortie, ce n’était pas du tout pour me faire remarquer et encore moins flirter, étant donné que j’étais en couple. « J’avais besoin de prendre l’air. Avec Isaac, on a eu.. tu vois le genre de discussion super sérieuse sans que je m’y attende. J’ai été obligée de lui parler de Matthew. » Je ne cachais rien au jeune homme car tôt ou tard, il le sentirait. Et en effet, avec mon petit ami, on était arrivé sur les morceaux du passé. J’avais donc dû faire ma part de chemin. J’avais dû lui parler de mon premier amour et ce n’est pas évident quand on essaye de se reconstruire au fil du temps. Ma plus grande était sans aucun doute, le fait qu’Isaac découvre combien je peux être faible. C’était lui donner l’opportunité de m’abattre d’un seul coup de carte. C’était m’ouvrir à lui, autant qu’à ceux qui sont dans la confidence. Ce qui veut dire, deux personnes, avec lui ça faisait trois. En expliquant à Dmitri la situation, il allait comprendre que pendant tout ce temps, j’avais évité le sujet. Depuis que j’étais avec Isaac, je n’avais jamais cherché le temps de lui en parler. Parce que pour moi, c’était mieux comme ça. « Enfin, tu vois la situation. Tu me connais. Alors bon, je n’ai pas été toute douce pour lui expliquer les choses. Du coup, je suis sortie. J’ai un peu bu ou peut-être trop bu. En essayant de me dire que demain ça irait mieux. »

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MessageSujet: Re: Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. » Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  EmptyLun 21 Mai - 21:29

Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  Tumblr_lx6xjbE5SS1qgxqjk Perdita &’ Dmitri ●●
Être dans sa vie, être à ces côtés…c’était vraiment une chose à laquelle je ne pourrais pas vivre sans. J’avais pris l’habitude de la voir, de la faire sourire, mais surtout de me ressourcer grâce à elle. Depuis 2ans que j’étais ici, à des milliers de kilomètres de ma famille, de mon ancienne vie, j’avais de temps en temps des coups de moins bien, des jours où j’avais besoin de la voir pour qu’elle me remonte le moral mais surtout pour qu’elle me parle afin de me rassurer un peu et surtout pour ne pas que je me laisse aller et que j’entre dans un cercle vicieux tel que les ‘mauvais’ cercle vicieux. Oui je pouvais vraiment compter sur elle, et ce depuis de longues années. A peine était elle arrivée vers moi que je la pris dans mes bras, chose que j’adorais faire quand je la voyais car la sentir près de moi n’était que bénéfique à vrai dire. Je souris et hochais la tête, c’est vrai l’essentiel était qu’elle soit là. Je caressais doucement son dos comme pour la remercier d’être venue me voir, une nouvelle fois. Je pouvais toujours compter sur elle, une chose dont j’étais très fier et heureux de savoir. Je n’avais pas eu énormément d’ami quand j’étais en Australie, à part Catherine, et je n’avais jamais vécu ceci et grâce à Perdita je pouvais enfin voir à quoi ressemblait une vraie amitié, celle qui ne doit jamais se détruire pour X raisons. Nous étions par la suite assis sur mon capot et puis on se mit à parler, ce qui me faisait du bien. En faite à ce moment précis j’avais juste besoin d’une présence, mais pas n’importe laquelle celle de ma meilleure amie. Elle était juste ce que j’avais le plus cher au monde, à ce moment précis, car oui j’avais perdu toute mon ancienne vie et ma famille…Des fois on fait des choix qui marquent un nouveau tournant dans notre vie et c’est ce que je vivais depuis 2ans, et des fois j’avais du mal à me dire que j’étais comme orphelin, il m’arrivait de craquer plus souvent qu’elle ne le pense à vrai dire, mais je ne voulais pas l’inquiéter donc je ne dis rien à ce sujet. « Alors si elle va bien, je suis le plus heureux, elle ne mérite que le bonheur cette femme là. Un beau rêve ? » je fis comme ci je me tapais le visage avant de dire en riant. « Je t’ai déjà dis de fantasmer sur quelqu’un d’autre Perdita. » et puis je la regardais en souriant avant de la prendre contre moi, et je fermais les yeux inspirant une grande bouffée d’air, comme si elle représentait pour moi…mes bouffées d’oxygènes. Je bus quelques gorgées et puis je souris quand elle me fit part de Dieu. C’est fou comme je n’étais pas croyant et j’étais même sûr que j’allais ne pas l’être avant des années et des années. Je regarde alors ma meilleure amie avant de faire une mine assez triste avant de dire simplement, en prenant une voix ‘triste’, rien que pour rire. « Oh…moi qui faisais tout pour être dans au paradis, j’ai la poisse..» et puis je regarde ma meilleure amie assez sérieux sur le début et puis je me mis à rire de plus belle, je n’arrivais pas à mentir et jouer avec elle. C’est comme ça, au moins on était sûr que je sois toujours honnête avec elle, toujours. A quoi bon mentir à sa meilleure amie ? A rien, à quoi bon avoir une meilleure amie si ce n’est pas pour parler avec elle ou de mentir…à ce moment, le mot meilleure amie n’est pas adéquat. Et puis elle me regardait en souriant avant de parler et j’hochais la tête avant de sourire de plus belle, comme j’avais l’habitude de faire avec ma meilleure amie. « Hm, disons que c’est à peu près ça, oui…c’est presque écrit sur ton front, tu as des cernes, et puis…vu que tu ne m’as pas répondu au message, je dirai que oui. Et je crois que je commence à te connaître comme si je t’avais faite. » Et puis je me mis à arquer mes sourcils un à un avant de rire par la suite. Un clown ?! Oui c’est vrai que j’en étais un mais j’assumais toujours mes conneries. « Si tu t’es amusée hier au soir, alors je suis content pour toi, et je ne me fais pas de soucis pour ton amusement. » dis-je par la suite avec un petit clin d’œil. C’est vrai que je voulais que son bien, que je voulais aussi la protéger mais je savais que je ne pouvais pas la forcer à ne rien faire tout simplement car j’avais peur qu’il lui arrive quelque chose, après tout on ne vit qu’une seule fois non ? Donc je prenais sur moi… mais très vite je compris pourquoi elle était sortie, et j’hochais la tête doucement, touché par ce qu’elle venait de me dire et je compris tout simplement, sans qu’elle n’en dise plus qu’elle avait souffert de ce sujet de discussion. Je la pris une nouvelle fois contre moi et je caressais doucement son bras avant de reprendre doucement. « Je vois...c’est la première fois que tu le fais ma belle ? » Je continuais de caresser son bras et je lui fis un baiser sur son front. « Sache que je suis là si un jour tu à besoin de venir dans ma chambre pour te reposer, d’accord ? Tu connais la suite de la chanson, tu ne me dérange jamais…jamais. » Je souris délicatement tout en la regardant car je voulais juste la rassurer un peu. « Dis-toi que maintenant le sujet a été abordé et que tu n’es plus obligé d’en parler ma belle. Tu as fait le plus dur, selon moi….laisse toi un peu de temps, et réponds à ces questions, doucement. Mais sache que si un jour il utilise ceci pour te faire du mal…il aura affaire à moi, mais je ne pense pas qu’il ne le fasse puisque j’ai la forte impression que vous vous aimez tous les deux, autant l’un que l’autre. » Je la regarde et puis souris doucement avant de me mettre tout contre elle, une nouvelle fois. Je voulais qu’elle ressente que j’étais là, que je n’avais pas pu être là la veille mais que j’allais tout faire pour qu’elle aille mieux. « Un jour tout ceci ira mieux, j’en suis convaincue, parce que tu ne peux pas vivre comme ça. Je t’aiderai à relever la tête de l’eau, je te le promets. » je la regardais dans le blanc des yeux car oui je voulais la rendre encore plus rayonnante de bonheur, en essayant de la faire passer à autre chose même si je savais que ça allait être compliqué puisque moi aussi je devais passer à autre chose, mais j’en avais pas réellement envie…c’est comme ça. « Un jour tous les deux on ira mieux, d’accord ? » Puis je mis mon café entre les jambes avant de serrer ma main, mes doigts, et de lu tendre ma main pour ‘checker’ en quelques sortes, comme ci on se lançait un petit défis. On allait s’en sortir, après tout pourquoi on n’y arriverait pas, nous ?!
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MessageSujet: Re: Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. » Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  EmptyJeu 31 Mai - 17:54

Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  Tumblr_m2sh3sb5xh1ruq0aao1_500Il y a des relations qui peuvent tout affronter. Auprès de Dimitri, j’étais certaine que rien ne pouvait nous éloigner. Je n’avais d’ailleurs pas hésité une seconde à venir le retrouver. Malgré que nous soyons plus proche que par le passé, car New York, ne se trouve pas à côté de l’Australie, j’avais l’impression que réuni, ça n’aide pas forcément. Nous étions à l’université, tous les deux des sportifs et surement avec certaines fréquentations différentes. Néanmoins, j’insistais sur le fait qu’il devait au moins, au minimum, me supporter trois jours semaine. Quoi ? C’est le minimum syndical si on veut avoir l’oscar du meilleur ami. Sourire sur le bout de nos lèvres, nous étions sur le capot de sa voiture, en train de discuter de tout et de rien. J’adorais voir Dmitri comme ça, le voir autant joueur quand il se la joue super homme du nouveau siècle. Celui qui essaye de racheter son âme pour aller au paradis, alors qu’il ne croit en rien, qui puisse se rapporter à dieu ou une force surnaturelle. Je crois même que depuis Peter Pan, il ne croit plus en rien. Sauf au pays imaginaire. Puis comment ne pas y croire ! Je ne compte même plus le nombre de fois, où on a dû regarder ce dessin animé. Mon rêve était d’avoir le rôle de clochette, de me sentir légère comme une plume et de voler comme bon me semblait. Enfin, depuis, je suis bien loin de ça. On grandit. On attrape des responsabilités et tout change sans même que l’on ne le souhaite vraiment. « J’ai fait un beau rêve, vu que je vivais dans le corps d’une sirène et que l’eau était ma demeure. J’avais de quoi m’occuper avec tout ce que l’on peut trouver là-dedans. » Coupant le fruit de son imagination, là où il s’était arrêté. Même si ça me faisait plaisir de rêver de mon meilleur ami, j’évitais. Les rêves se perdent vite et je ne veux un jour me réveiller en sursautant parce que j’ai rêvé de choses étranges, incluant mon meilleur ami. Oh non. Je souriais, rien qu’à la simple idée de me tourner l’esprit dans tous les sens, comme habitude. Quand je sentis l’approche de Dmitri, me tenir contre lui. « Hm, disons que c’est à peu près ça, oui…c’est presque écrit sur ton front, tu as des cernes, et puis…vu que tu ne m’as pas répondu au message, je dirai que oui. Et je crois que je commence à te connaître comme si je t’avais faite. » Quoi, c’était donc ça, la révélation de l’année. Je regardais fixement le jeune homme et allais lui jouer un de mes rôles. Oui car quand je serais grande, je serais actrice. J’aurais donc passé toutes ces années à étudier le droit pour rien. Et quoi de mieux qu’un échauffement concret pour me donner de l’exercice. Je le fixais, essayant de cligner le moins possibles mes paupières. Je retenais ma respiration, lui donnait ce visage qui laissait penser qu’une grande nouvelle allait éclater. « Ne me dis pas que c’est vrai. Tu as couché avec ma mère ? Je n’en reviens pas.. Je peux t’appeler papa ?! » Ajoutais-je, en optant pour un air choqué au début et finissant avec de l’humour. J’espérais pour lui qu’il n’ait rien eu avec ma mère, car si mon père l’apprenait, il lui ferait sans aucun doute la peau. Il le prendrait sur son dos et irait l’enterrer dans le fond du jardin à New York. Enfin, je ne savais pas encore si j’allais le couvrir ou pas. Puis ma mère est bien trop vieille pour lui. Alors, limitons la casse et je vais arrêter mon jeu d’actrice, sinon je serais cramée avant d’être reconnue célèbre.

« Si tu t’es amusée hier au soir, alors je suis content pour toi, et je ne me fais pas de soucis pour ton amusement. » Il y avait vraiment dans la sincérité dans ces propos et je savais que je pourrais sans cesse compter sur lui. Pour le pire comme pour le meilleur. Dmitri était un pilier essentiel dans ma vie. Je ne l’imaginais plus sans sa présence. Pour cette raison, qu’il est le meilleur, le numéro un. Sentant le rapprochement s’opérer, il allait savoir que la discussion avec Isaac n’avait pas été chose simple. Quoi de plus normal quand je lui avoue que j’ai déjà été amoureuse. Il n’est pas le premier et ce n’est pas facile à expliquer, surtout quand on sait comment l’histoire à toucher à sa fin. Une absence, d’un décès et je quitte New York pour me promener de l’autre côté de la côte. Je quitte l’Est pour aller à l’Ouest. Il imaginait comment j’avais eu du mal. Parler de Matthew n’est pas dans mes habitudes, donc je ne suis pas tranquille avec ce sujet. Il peut arriver deux choses, soit je pleure ou soit je deviens agressive. Voir même les deux, dans certains cas. Une chose est certaine, ça n’avait pas été facile avec Isaac. Même si je savais qu’il ne porterait aucun jugement, je ne voulais pas lui montrer combien je pouvais être faible. Loin de mon image, super nana, super forte. J’avais craquée comme une enfant. Je lui montrais combien je cachais une réelle partie de moi. Je voulais me préserver et qu’importe les efforts à fournir, je m’étais toujours donnée à fond. Sauf que j’allais craquer si Dmitri allait continuer comme ça. Sentant ses lèvres se poser sur mon front, je reprenais la parole : « Je sais et merci d’être là. Je n’hésiterais pas à venir occuper ton lit pour te donner l’occasion de dormir dans celui d’une autre demoiselle. » Quoi ? C’était ma façon de creuser, pour savoir s’il y avait une autre fille dans sa vie. « Isaac est très respectueux, je suis même certaine que vous pourriez vous entendre à merveille. Mais, s’il ose en jouer, je lui ferais vite passer l’envie. » J’aimais beaucoup voir le côté protecteur reprendre le dessus. Check’on ça. Il avait toujours les mots qu’il faut, au bon moment et je souriais. Répondant à son attention amicale, plus proche que jamais. On était dans notre bulle de super héros, de super duo. « On va bien. Car on est ensemble, c’est tout ce qui compte. Alors Aladin, prend ton tapis volant et on va faire un tour ? » Oui j’avais le don pour vivre dans les nombreux disney de mon enfance. Cependant, il le savait aussi. Il me connaissait. Au-delà de ma forte personnalité, j’étais une toute petite fille, sortie d’un pays imaginaire que j’avais fuis juste parce que je voulais voir ce qu’il y avait dehors. Une bonne métaphore quand on sait que mon père m’a longtemps gardé enfermer dans notre demeure. Il voulait me protéger et au lieu de ça, il n’a fait qu’étouffer celle que je t’étais réellement. Alors, même si je suis au-delà du monde dans lequel, il a essayé de me protéger en vin. Je ne le vis pas mal. J’ai rencontré les personnes qu’il fallait et mon bonheur était au complet. Tombant mon regard dans le sien, je lui souriais et il savait. On était bien. On était deux. On était plus fort.


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MessageSujet: Re: Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. » Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  EmptyVen 1 Juin - 15:41

Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  Tumblr_luiso71epI1qji23ko1_500 Perdita &’ Dmitri ●●
Ce n’est pas tous les jours que nous rencontrons une personne, celle que nous considérons comme la femme de notre vie. Car oui il ne faut pas se leurrer Perdita restera à jamais la femme de ma vie, ma meilleure amie, et celle à qui je pourrais toujours tout confier, c’est comme ça. Cela faisait maintenant quelques minutes qu’elle était arrivée à cet endroit, ce lieu que nous aimions tous les deux pour parler. En réalité c’était le lieu où j’étais quand ça n’allait pas, ou quand j’avais envie de réfléchir tout simplement, et elle le savait. Je ne pouvais rien lui cacher et encore moins mon état quand j’étais faible, entre guillemet. Puis par la suite je me mis à rire doucement quand elle me racontait son rêve, et quel rêve ! Cela était tout de suite très associable à la petite sirène, vous savez ce dessin animé où une jeune femme ‘rousse’ vit dans l’eau en rêvant d’intégrer la vie humaine ?! Et bien j’avais l’impression que c’était ce qu’elle avait rêvé. Et puis comme un gamin je me mis à rire doucement avant de reprendre. « Oui en faite tu a fais un remake de la Petite sirène, non ?! Ou peut être que tu as fais ça hier au soir…une nuit blanche pour regarder la petite sirène…hm, petite cachotière.» je lui fis un clin d’œil avant de rire doucement. C’est vrai qu’il n’y a pas d’âge pour les dessins animés alors peut être qu’elle regardait encore ce genre de dessin animé, après tout c’est fort probable. L’humour de nos retrouvailles était assez joyeux, à la limite de l’euphorie, comme à chaque fois. On ne s’était que très rarement pris la tête. Cela nous arrivait néanmoins. Je n’étais pas un homme qui gardait en lui tout ce qui le tracassait et quand ça n’allait pas je le faisais savoir à mes risques et périls, en toute franchise. On avait toujours un mot pour faire rire l’autre. C’est ce qui avait de magique dans notre relation. Rare étaient les moments où nous n’apprécions pas les bras de l’autre. Jamais je n’aurai cru être aussi proche d’une personne et aussi tactile et pourtant c’était ce que je faisais avec ma meilleure amie, ma Perdita. Bien évidemment j’avais appris à la partager et surtout avec son petit ami Isaac. Ce n’est pas toujours simple de se dire que sa meilleure amie peut vous remplacer, mais sur ce point je lui faisais entièrement confiance puisque je savais qu’elle ne le fera jamais, du moins je le pensais très fort, et je n’allais pas m’arrêter de ce pas. Puis je la vis changer son expression de visage de A à Z, ce qui me fit rire doucement, intérieurement. Je n’étais pas du genre à me moquer ouvertement de mes amies, alors il était mieux de rire intérieurement. Après tout, elle venait de prendre cette expression si connut de ma propre personne, je ne savais pas encore à quoi m’attendre mais je savais qu’elle allait me faire rire, quoiqu’il arrive, c’est comme ça. J’allais donc jouer aussi, après tout le jeu n’a jamais tué quelqu’un, non ?! A moins que… « Oh, tu ne savais pas ?! Désolé je ne voulais pas que tu l’apprennes comme ça. » Je me mis à rire par la suite car j’étais très mauvais dans ce rôle là, celui de faire croire des choses à sa meilleure amie. Ce n’était pas moi tout ça. Je la regarde et hoche la tête en tirant une tête assez rare et magnifique. « Beurkk !!! Jamais ! » et puis je dis simplement. « Enfin ce n’est pas le mot car ça reste ta mère mais je ne suis pas le genre d’homme qui cherche des couguars, enfin au pire on peut même changer de sujet, non ?! » je lui fis alors mon visage de chien battu, ce visage où on ne pouvait rien me refuser, car je le faisais terriblement bien, sans vouloir me vanter… Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  277800 C’est vrai qu’elle ne pouvait rarement me mentir, enfin c’est ce que je pensais au plus profond de moi, car j’avais toujours ce don pour déceler le vrai du faux mais surtout pour savoir quand elle me mentait, car oui de temps en temps elle essayait, après tout l’espoir fait vivre non ? Je souris à cette pensée, oui j’avais toujours l’air bobet quand je faisais ceci mais j’adorais sourire…ce n’est pas mieux de voir quelqu’un sourire que de faire la tête ?! Largement. Je voulais juste qu’elle sache au combien je l’apprécie, au combien je ferai tout pour elle pour qu’elle aille bien. Je n’aimais pas la voir triste puisque moi aussi je l’étais quand c’était le cas. Nous avions une relation assez fusionnelle, tel des frères et sœurs. On pouvait presque qualifier notre relation comme ceci….des frères-sœurs de cœur. Nous étions toujours là l’un pour l’autre et c’est la chose la plus formidable dans une relation amicale, et aussi dans une relation amoureuse mais là n’est pas la question puisque je n’avais personne dans ma vie de ce côté-là, et c’était le mieux pour le moment, je n’étais pas prêt à redonner ma confiance, et mon cœur à une femme. Et puis après lui avoir apporté un baiser à son front elle reprit la discussion en main, je l’écoutais simplement avant de reprendre simplement, petit sourire en coin des lèvres. « Oh mais si un jour tu prends mon lit je serais apprécier ce geste et rester avec toi…tu sais je n’ai pas besoin que tu sois là pour aller dans un autre lit, mais je ne suis pas de genre…à force tu me connais non ? » C’est vrai que je n’avais pas comme habitude d’aller courir après les femmes et surtout juste pour passer un super moment, même si des fois je le faisais, mais c’était très rare ? J’étais plus de l’ancienne génération celle qui attendait la femme que j’aimerai toute ma vie…mais ça c’est déjà du passé. J’avais déjà rencontré cette femme mais j’avais fais la pire chose de ma vie, j’avais crée un accident et j’avais tué notre enfant, le fruit de notre amour et depuis tout avant changé, je ne voulais plus être l’homme de sa vie, l’homme qui lui avait retiré son enfant…alors j’avais décidé de partir, et c’était le mieux à faire. J’avais très souvent joué le grand frère protecteur avec tout le monde, et avec Perdita la première. J’avais toujours cette notion de protection, car sans ceci j’avais peur de ne plus voir mes amis heureux…brefs. Je souris à ma meilleure amie avant de dire simplement. « Peut être qui sait…il faudrait déjà que tu me le fasses rencontrer officiellement, tu sais. » après tout je n’avais pas encore eu la chance de connaitre son petit ami, et c’est peut être pour ceci que j’avais peur qu’il la fasse souffrir. « Promis j’essayerai de ne pas trop lui faire peur au premier abord, seulement. » je me mis à rire doucement par la suite. C’est vrai que j’allais lui faire comprendre que si il lui faisait du mal il aurait à faire à moi mais ça s’arrêterait là puisque je n’arrivais pas à être méchant, surtout le fait que je n’étais pas crédible, tout simplement. Je pris sa main avant de partir de dessus mon capot. « Je préfère le duo : peter pan et la fée clochette. » je lui fis un clin d’œil par la suite avant de la faire descendre du capot, et j’allais mettre les déchets à la poubelle. Et puis j’avais une idée en tête, peut être que je pourrais lui montrer un endroit que j’appréciais énormément, cet endroit où j’allais, un endroit où on avait une vue superbe, et où il y avait une cascade et tout ce qui s’en suit, on pouvait même y voir un petit carré d’herbe pour quelques pique-nique, toujours sa main dans la mienne je repris. « J’aimerai te montrer un endroit, un endroit juste magnifique…tu accepte de te laisser guider par ton meilleur ami ? » je lui fis un petit sourire, toujours aussi amical.
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MessageSujet: Re: Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. » Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  EmptyMar 12 Juin - 1:02

Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  Tumblr_m592ascuoj1rtwl33o1_500Impossible de faire un remake de la petite sirène, si Dmitri n’est pas là pour admirer le spectacle. Personne ne pourrait remplacer la place qu’occupe mon meilleur ami. Même Isaac pouvait essayer, mais, jamais ça n’arriverait. Donc autant qu’il reste à sa place et que le meilleur garde son estrade, ça évitera des pleurs. On connait les hommes. Quand ils n’ont pas ce qu’ils veulent, soit ils vous font la tête où soit, ils réessayent un paquet de fois, avant de se rendre à l’évidence. Autant clair depuis le début, mon petit ami a très vite été mis au courant de la place particulière qu’occupait un certain iota. Il n’y a pas de négociation possible et je suis ravie de voir qu’il l’ait bien pris. Après toutes ces années, notre complicité et notre amitié, Dmitri passerait toujours en premier plan. Désolé à dire, mais c’est la vérité. Je ne vais pas la cacher ou la maquiller pour que tout le monde soit heureux. Dmitri compte plus que tout et c’est certainement parce que nous avions souvent été là l’un pour l’autre dans les moments durs, que notre relation s’est endurcie. Au point, de me faire croire, que rien ne pourra nous éloigner. Aucun homme. Aucune femme. C’est comme ça que le wagon est toujours resté sur ses rails et je ne saurais pas vivre autrement sans. Rien que d’être là, en ce moment, ça me rappelle par où je suis passée et sur qui j’ai pu compter. Dmitri rendra un jour une femme heureuse et ce jour-là, je saurais, au combien, dire à la demoiselle qu’elle a touché le gros lot si elle prend soin. « Bien sûr, tu me connais. Popcorn, fanta et je me matte un bon petit dessin animé. D’ailleurs, si j’avais su que tu étais tout seul, je t’aurais passé un coup de fil pour m’accompagner. » C’est fou, comme avec le temps, nous avions pris des expressions l’un de l’autre. Ce visage de chien battu, c’était sorti tout droit de la personnalité de Dmitri. A croire, qu’il aimait faire cet air. Si ça se trouve, je connaissais même son arme secrète de séduction. L’imaginant déjà faire cette tête, les filles devaient se demander s’il avait encore tous les œufs dans le même panier. Puis, lui me piquait cet air, que j’avais surement volé à Napoléon. M’enfin, il ne m’en voudra plus parce que d’où il est, il ne peut plus réellement me faire quelque chose. Mais, j’aimais me grandir le cou et me la jouer grand seigneur. « Oh arrête, sinon je pourrais t’enfermer toute suite dans le coffre de cette voiture et faire disparaitre ton corps. » « Enfin ce n’est pas le mot car ça reste ta mère mais je ne suis pas le genre d’homme qui cherche des couguars, enfin au pire on peut même changer de sujet, non ?! » Il avait toujours le mot pour rire, pour me faire délirer. Sérieusement, il a beaucoup de mal à me cacher quelque chose et cela ne date pas d’hier. En même temps, on ne s’était jamais voilé la face l’un avec l’autre. Dès le premier instant, nous avions été nous-même et depuis ça nous avait réellement aidé. « Ouais, ouais à d’autres que moi. Mais si tu préfères éviter le moment confidence, je veux bien passer à autre chose. » Continuant dans le même angle, j’aimais beaucoup l’ennuyer et ce n’est pas demain, la veille que j’allais changer.

Je ne sais pas comment vous décrire ma relation avec Dmitri car j’ai l’impression de l’avoir toujours connu. Il sait quand mon moral est au plus bas et quand il chute dans les tranchées. Comme un jumeau, une partie de moi qui s’est créé au fur et à mesure que le temps a défilé. On en a vécu des épreuves. C’est peut-être ces situations qui nous ont rendus si fusionnels. Je n’en ai pas la moindre idée, pour tout vous dire. J’ai arrêté de chercher, ce qui nous rapprochait autant. A quoi bon ? Autant profiter de ce que j’ai, parce que je ne sais pas de quoi sera fait demain. Alors, je pose mon regard dans le sien et je me dis que tout est possible. Que lui et moi, on peut soulever des montages et que rien ne pourra nous séparer. Dmitri est surement l’une des rares personnes à qui je peux tout dire sans avoir le regard du jugement en ma direction. Il ne cherche pas à me juger, plus à me conseiller, réconforter ou encore me mettre en garde. Car même si entre nous, il n’y aura jamais plus que de l’amitié, je ne peux pas m’empêcher d’analyser les filles avec qui il ose s’afficher. Je crois même que par moment, je lui fais peur. Il sait que mon avis compte comme le sien compte tout autant. S’il m’avait dit Isaac n’est pas un gars pour toi, je me serais posé à plusieurs reprises la question, avant de lui sauter dans les bras. Mais, je sais que beaucoup de filles peuvent s’amuser de lui et ça me rend dingue. Après les épreuves qu’il a dû surmonter, je ne permettrais à aucune femme de lui faire verser même une seule et unique larme. Je crois qu’elle peut signer son arrêt de mort ou encore faire son testament parce que si je l’attrape, elle passera sans aucun doute un sale quart d’heure. « Je te connais trop bien même. Tu ne peux pas me la faire à l’envers et n’essaye même pas d’y penser. Tu pourrais y perdre la vie. » Toujours sur le ton de l’humour, je sais. Je ne m’en lasse jamais. Et il me vannait également donc, un donné pour un rendu. Non ? Il me parlait de rencontre officielle, il voulait vraiment ça. Mon dieu, Isaac allait se demander si j’étais la même fille que Dmitri pourrait lui décrire. Car je ne suis pas la même en leurs compagnies. Enfin, si dans le fond, je reste fidèle à moi-même. Mais je suis plus douce avec Isaac, comme s’il faisait ressentir le meilleur qui se cachait en moi. « Je suis sûr, tu vas lui raconter les pires horreurs. » Le regardant silencieusement, je coupais la discussion pour observer le contour de sa pupille. Alors, est ce qu’il allait avouer le vrai ou le faux de mon passé. S’il ne le jugeait pas assez bien pour moi, je pouvais déjà l’imaginer en train de lui dire combien j’avais été dangereuse à New-York. Décrivant pourquoi pas, une mangeuse d’homme, comme pourrait l’être une mente religieuse. Vous voyez ce petit animal qui prend plaisir à manger leurs maris quand elles sont surement blasées. Je le voyais déjà choisir le regard sombre et fixer Isaac pour lui raconter le moindre détail de ma sombre personnalité. « Un jour, j’y penserais. Après tout, se serait normal que l’homme le plus important rencontre celui pour qui je pourrais perdre la tête. » Et voilà que l’on sortait nos plus vieux souvenirs d’enfance, ces dessins – animés où j’ai pu passer des heures sans m’ennuyer. « Arrête, si tu aimes clochette, c’est pour sa jupe. J’en suis sûr. Après tout, t’es un homme, en chair et en os. » Sentant sa main dans la mienne, je me laissais entrainer par la danse et compris que nous n’allions pas restés ici, tout en laissant échapper un rire avec cette dernière phrase que je venais de sortir sans tourner ma langue sept fois dans ma bouche. Comment pouvais – je refuser une telle offre, quand il me fait son sourire des beaux jours. Mon regard suffisait. En suivant ses pas, il savait que j’étais pour le suivre, pour voir ce qu’il me réservait et en apprendre davantage sur ma moitié. Tant qu’il ne m’oblige pas à monter sur son dos.

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MessageSujet: Re: Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. » Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  EmptyMar 12 Juin - 21:21

Perdita &' Dmitri ✽ « Don't let me down. »  Tumblr_m2fca3pReH1qhtn3ko3_250 Perdita &’ Dmitri ●●
Nous étions ensemble depuis quelques minutes seulement et nous voilà entrain de délirer comme on le faisait à chaque fois. Nous parlions toujours de tout mais surtout de rien. Aujourd’hui le sujet était les dessins animés, enfin l’un de nos nombreux sujets à vrai dire. « Tu sais je sors rarement donc n’hésite pas mais après je peux comprendre que tu aie besoin de prendre un peu de repos, ma petite blonde préférée. » un petit clin d’œil et le tour était joué. C’est vrai que j’adorais ça, passer du temps avec elle et surtout rire ou même me confier mais je ne voulais pas être le boulet de service. Je ne voulais pas la monopoliser de risque que son petit ami me rejette avant de me connaitre. C’était un peu ma crainte, que l’homme de sa vie (actuellement) ne m’apprécie pas. Quand notre rencontre devra se faire, une chose est sûr j’allais rester moi-même et donc de ne pas jouer un jeu, après tout : rester sois même était le mieux et dans toutes les situations. « haha, tu ne ferai même pas de mal à une mouche alors je n’ai pas réellement peur, tu sais. » un petit sourire et l’affaire est dans la poche. C’est vrai qu’elle avait quelques petites formes là où les femmes en avaient mais elle n’avait pas pour autant des forces très développé. Je n’allais donc pas avoir peur de ma meilleure amie, et puis j’aurai le temps de la voir arriver. Puis elle vit en moi que quelque chose n’allait pas, était-ce le faite que je ressassais le passé depuis quelques jours ?! Certainement mais je ne voulais pas en parler car j’avais peur, peur de faiblir encore et encore. J’ai beau être un homme, et un homme fort mais j’avais quelques faiblesses telles que mon passé et surtout ma famille sans oublier mon enfant que j’avais tué sur la route. Je ne voulais pas gâcher notre moment celui là où on ne pouvait pas s’arrêter de sourire ainsi que de profiter l’un de l’autre. Nous étions tellement proche tous les deux que des fois j’avais un peu peur, peur de la décevoir et de la faire souffrir. Elle était passée par tellement d’étapes dans sa vie, j’avais été là pour elle à chaque fois, et je ne voulais pas revoir dans ces yeux cette tristesse qu’elle avait eu durant ces épreuves. La première fois j’avais fait attention à tout ce que je pouvais dire et j’avais mis mes quelques soucis sur le côté pour prendre soin d’elle, comme j’avais l’habitude de faire. Je savais aussi que si demain elle vient me dire qu’elle n’est plus avec cet homme qu’elle convoitise et aime tant, je ne pourrais que mettre de côté mon passé qui commençait à me re faire mal…car oui il y a certain moments dans la vie où on pense plus à notre passé qu’à d’autre. Et malheureusement me voilà en plein dedans, mais j’essayais de ne pas en trop car je ne voulais pas qu’elle le découvre, pas elle, si je voulais en parler je le ferai mais plus tard pour ne pas tout gâcher. Et puis je fis mon sourire Colgate en regardant ma meilleure amie. « Whaouu et tu ne laisseras même pas les deux hommes de ta vie se rencontrer ? Hum compte pas sur moi pour venir à ton mariage alors…» je fis comme si j’étais vexé mais ça ne marchait pas car je me mis à rire doucement par la suite. « Oh je vais juste lui raconter quelques anecdotes que j’ai sur toi, depuis ces longues années que je te connais ma belle. » C’est vrai que je connaissais énormément de chose sur elle, et surtout des vertes et des pas mûres mais elle en savait autant sur moi, mais aucunes craintes car je ne voulais pas m’engager maintenant et encore moi dans cette période. Et puis elle reprit par la suite, ah j’étais fière de ma meilleure amie, et j’avais hâte d’aller voir son petit ami, après tout ça faisait un petit moment qu’ils étaient ensemble et je n’avais pas eu la chance de le connaitre. « Je te promets de ne rien dire de mauvais sur toi, et puis de toute façon je ne pourrais pas puisque je ne vois que le meilleur en toi ma douce….et je serai honoré de faire sa connaissance, quand il voudra. » Je ne savais même pas si Isaac connaissait ou non mon existence. C’est vrai que l’on parlait souvent d’Isaac mais jamais bien réellement, après tout je ne voulais pas tout savoir sur leur histoire à tout les deux mais seulement savoir quand il lui faisait du tord ou non, car si jamais il lui faisait du mal il allait savoir au combien j’appréciais cette femme, cette amie…ma meilleure amie, la femme de ma vie. Je savais pertinemment que rien ne se passera entre nous, mais ça sera toujours la personne sur qui je pourrais compter quoiqu’il arrive, et c’était juste la femme de ma vie, cette blonde au grand cœur…Enfin avec moi surtout. Puis j’avais une idée en tête : aller à cet endroit que je trouvais paradisiaque, pour ma part, je ne savais pas ce qu’elle allait en penser mais bon…c’était un peu mon endroit quand ça n’allait pas. Encore un secret avoué à ma meilleure amie. Puis je me mis à rire doucement en secouant la tête doucement. « Pour sa jupe uniquement ?! Oh moi je dirai bien plus…moi aussi j’aurai aimé qu’elle m’envoie au 7ème ciel comme elle a fait avec eux…» oui il y avait quelques sous entendus et je ne pouvais que sourire de cette situation. Heureusement pour moi je n’avais jamais fantasmé sur elle, et encore heureux non ?! Sinon je pouvais aller tout droit dans un hôpital psychiatrique. Imaginez mon fantasme serait : toucher le 7ème ciel avec la fée clochette. Je ne pus m’empêcher de sourire quand je me surpris à penser à ceci. Et nous voilà entrain de marcher, la glacière dans une main et dans l’autre, la main de ma meilleure amie. On marchait pendant quelques minutes nous faufilant dans des petits sentiers avant d’arriver à mon endroit. Je posais la glacière avant de chuchoter doucement. « Fais-moi confiance. » et puis je mis mes mains sur ces yeux avant de la faire avancer vers l’endroit où je voulais qu’elle ouvre les yeux. On s’approchait un peu du bord, car oui c’était une espèce de falaise, où le vide était présent. Je retirais les mains avant de lui dire à mon tour, une nouvelle fois. « Tu peux regarder. » Je n’avais pas retiré mes mains de ses hanches pour ne pas qu’elle soit prise de panique et qu’elle ait peur à cause du vide. Puis tout en regardant en face, car oui on voyait toute la ville et tous les champs, c’était juste génial…et très paisible. « J’aime venir ici quand j’ai un coup de blues, pour me ressourcer, mais aussi pour prendre un peu de recul…c’est comme mon endroit. » bien évidemment je n’allais pas lui dire comment je connaissais cet endroit, car oui je ne l’avais pas découvert par moi-même, enfin pas totalement. Alors que j’étais très bien accompagné j’avais voulu aller plus loin avec ma partenaire et elle m’avait amené ici dans un ‘lieu paisible et difficile d’accès’, voilà comment cette fille m’avait donné envie de venir dans cet endroit pour goûter au fruit défendu. Bref, elle n’avait pas besoin de le savoir ça. (aa)
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