the great escape
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❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla

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MessageSujet: ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla EmptyVen 13 Avr - 22:45


grégory et leïla ;; you’re listening now, they say they aint heard nothing like this in a while thats why they play my song on so many different dials 'cause i got more hits than a disciplined child. when they see me everybody brrrrrap’s, brrrrrraps man I’m like a young gun fully black Barrack I cried tear drops over the massive attack I only make hits like I work with a racket and bat, look at my jacket and hat, so damn berserk, so down to earth. I’m bringing gravity back, adopted by the major I want my family back. People work hard just to get all their salary taxed, look Im just a writer from the ghetto like Malory blackman. Where the hells all the sanity at, damn, I used to be the kid that no one cared about thats why you have to keep screaming til they hear you out •• it's written in the stars, a million miles away



Quinze avril, dix heures du matin. Mon réveil se mit à sonner et je commençais déjà à ronchonner. Dieu que je détestais me lever le matin et ce depuis bien longtemps. Je ne rêvais que de rester dans mon lit toute la journée, glander au fond de lit deux places et pourquoi pas regarder un film ou deux. Depuis que j'avais été diagnostiquée atteinte de la maladie de Wilson, maladie découlant de la maladie de Parkinson que j'avais aussi, je vivais à la fois au ralentie et à cent à l'heure. Il y avait des jours avec et des jours sans. Aujourd'hui était un jour sans seulement Zéphyr en avait décidé autrement. Il rentrait de son heure de cours et pétait la forme et mes tympans par la même occasion. Quand ce n'était pas Luca qui me faisait criser dès le matin, c'était son père. Je ne supportais plus de vivre avec quelqu'un qui avait la forme alors que je pouvais me mettre à vomir, faire un malaise à chaque instant. Bien entendu, je préférais par mille fois que le jeune homme fasse comme si de rien était, comme si j'étais une femme tout ce qu'il y a de plus normale mais c'était difficile. Je n'étais pas normale ; vous en avez déjà vu des filles de dix neuf ans atteintes de deux maladies et qui avait une hépatite ? Personnellement, à part moi, je ne connaissais personne de si malade ou alors ces personnes se cachaient, tout comme je tentais de le faire au maximum. Je loupais de plus en plus de cours et l'administration ne me posait aucune question. En plus d'être la fille malade, j'étais la fille qui venait d'essuyer le deuil de son ex petit ami, de sa cousine et de son mari. J'étais un cercueil ambulant, je pensais franchement que quelque chose n'allait pas avec moi, c'était peut être pour cela que mes parents m'avaient abandonné à la naissance. En même temps que ma maladie, j'avais appris que je n'étais pas la fille de mes parents mais celle d'un autre couple. Échangée à la naissance, abandonnée, vendue, je ne savais rien de la vie que j'aurai du avoir, absolument rien. Alors que j'espérais que Zéphyr passe la porte avec deux croissants et un café au lait de chez mccafé, j'entendis mon portable vibrer sur le report de mon lit et l'attrapa rapidement. Voyant une photo de Gregory s'afficher sur mon iPhone, un léger sourire se dessina sur mon visage et c'est à ce moment là que mon cher colocataire décida d'entrer dans ma chambre. « Leïla amoureuse, ce scoop devrait faire la première page du journal de l'université ! » Etrangement, mon sourire disparu aussi vite qu'il était apparu. Moi, amoureuse ? Jamais voyons.. Attrapant un coussin, je lui jeta en plein visage et lança « Le jour où je serais amoureuse n'est pas près d'arriver. Tu m'as bien regarder Zéphyr ? Je suis faite pour être célibataire et faire onduler mon doux corps devant bien des yeux » Je lui fis un léger sourire et lui fit signe de me laisser tranquille. Je n'étais pas amoureuse, c'était totalement impossible, enfin c'était ce que je pensais. Je commençais à me demander s'il n'y avait pas quelque chose, une certaine alchimie entre mon professeur de danse et médecin, Grégory et moi même. Oublie chaque chose que tu penses ressentir et lève toi blondie. Je regarda rapidement mon portable et déverrouilla ce dernier pour regarder le nouveau message du beau blond. À la salle de danse dans une heure si je le pouvais et le voulais bien entendu. Tapotant sur mon clavier, j'acceptais son invitation et sans rechigner. « Ça marche, je te retrouve là haut dans une bonne grosse demi heure, bisous » Bisous ? Sérieusement, j'étais bien entrain de dire bisous à un homme ? Où était passé ma haine incontournable après chaque personne de l'espèce humaine ? Surtout avec le jeune homme qui me prenait sous son aile comme sa petite sœur, chose que j'avais bien du mal à accepter. Sortant de mon lit, j'ôtais ma nuisette et me dépêcha d'enfiler une robe noire plutôt moulante. On ne changeait pas ses bonnes habitudes. J'aimais plaire et en ce moment encore plus que d'habitude. Malade ou non, je ne devais rien changer à mon comportement, n'inquiétait personne et encore moins montrer un visage fatiguée ou cernée. Une short, une paire de guêtres roses dans le sac, un haut et je sortais de ma chambre, portable en main. Je devais annuler mon rendez vous avec Serena cette après midi, elle pourrait très bien vivre vingt quatre heures sans moi et ça, je le savais plus que bien. « Zéph, j'me tire. J'espère juste que lorsque je rentrerais ce soir, la baraque sera pas devenue le lieu d'une orgie, si tu vois ce que je veux dire. Moi aussi je t'aime » Je lui fis un bref signe de la main et pris la porte. Étrangement, j'aimais danser, j'aimais passer des heures de cours à suer alors qu'en tant normal, je passais mes journées à me pomponner. En route pour la faculté, je profitais du temps de taxi qui me séparait de mon lieu de rencontre pour envoyer un texto à Serena et me maquiller quelque peu. Une queue de cheveux haute et le tour était joué, on avait l'impression que j'avais dormis douze heures alors que je ne devais en avoir dormi que trois ou quatre. Depuis quelques jours, j'avais des crampes à n'en plus finir mais mon alimentation devait y être pour quelque chose. Se nourrir de bonbons acidulés n'était vraiment pas une chose à faire. Arrivée à la faculté, je me dirigea vers le complexe sportif de la faculté, d'un pas assuré et je sentais les regards se poser sur moi. Eh bien quoi, Leïla Jade Maëlle Carpentier-Greenden n'a pas le droit d'aller faire du sport ? Un corps comme ça, ça s'entretient pardi ! Poussant la porte de la salle de danse, je fis face à un constat : il n'y avait personne dans cette salle. « Grégory ? » Ma voix s'éleva dans la salle et je n'entendis aucune réponse. Il n'était pas encore là, j'avais donc le temps de me changer dans les vestiaires et de commencer à m'échauffer, ou l'attendre en écoutant de la musique. Je me changea rapidement et une fois prête, j'entendis la voix du beau brun s'élever à son tour dans la salle de danse. « Leïla, tu es là ? » Bien entendu que j'étais là, comme pouvait il en être autrement ? Souriant, je sortis des vestiaires et lui fis un signe « J'en ai profité pour me changer ! Comment vas-tu ? Ta permanence à l'hôpital c'est bien passée ? » Prendre des nouvelles, choses primordiales avant de passer du temps avec son partenaire de danse. Me dirigeant vers le jeune homme, je déposa un baiser sur sa joue avant d'aller à la sono et de mettre un cd de compilation en route. Autant discuter et se préparer à danser un mambo, comme il aimait tant... Et puis, il m'avait appris une chorégraphie les deux dernières fois, autant les mettre à l'oeuvre dès maintenant !
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MessageSujet: Re: ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla EmptyMar 17 Avr - 1:20

❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla 3058336649_1_3_hmAPNM5h

La semaine du neuf avril fut quelque peu chargé entre les cours et les gardes de nuit à l’hôpital je dois avouer que j’étais vraiment crever , mais j’ai choisi cette voix ci , pour aider les familles à ne pas perdre leur enfant , ou leur frère et sœur pour certains , tout comme moi j’avais perdu ma sœur , ma grande sœur qui nous à quitté tellement tôt . La vie est vraiment mal faite parfois elle laisse des tueurs ou des violeurs en vie et elle prend la vie de jeunes personnes qui n’ont encore rien vu de la vie , qui ont à peine démarrer la leur même , trouver la logique . Pour le moment du moins je reste dans la branche de la médecine , pour le moment je ne sais pas encore dans quel domaine je vais me spécialisé , j’ai pas mal de temps mais le truc c’est que je sais pas si j’arriverai à supporter les horaires dans quelques années ou si ma copine , compagne le supporteront pour l’instant en tout cas je suis partie sur sa dans l’avenir on verra je changerai de vocation s’il le faut . On ne sait pas de quoi la vie est faite après tout , qui sait de quoi demain sera fait ? Pas vous ni moi ni aucun voyant ou personne ayant des sois disant dons , nous étions enfin le week end et pour le coup le chef de service m’avait mis en récupération faut dire 5 jours d’affilé de garde c’est un peu surhumain , mais j’ai bien tenu pour le coup avec seulement 6 heures de sommeil par jour , la fatigue c’est légèrement fait sentir mais j’avais bien rattraper entre samedi et aujourd’hui du moins assez pour être encore plus en forme que vendredi .Il était 9 heures ce matin quand j’ouvris les yeux , prenant un petit déjeuner devant la télé une fois celui-ci avaler direction la douche puis le dressing afin de m’habiller , il fallait que je bouge que je fasse quelque chose soudain je pensais à Leïla récupérant mon iphone sur la table j’envoyais un message à Leïla « Salut blondie , cours particulier de danse dans la mâtiné ça te dis , j’y serai dans 30 minutes moi … Fin j’te force pas . Peux être à plus tard xoxo. ». Leïla était le genre de fille qui vous attendri , du moins qui attendri de par sa ressemblance étonnamment troublante avec ma sœur , mais aussi du fait de sa maladie c’est tellement triste de voir une fille aussi jeune qu’elle atteinte d’autant maladie … de savoir qu’elle est sa date de mort … plus ou moins . Je l’ai poussé à prendre un hobbie pour ne pas trop y penser mais surtout pour s’occuper autrement que par boire et tout le bordel , je lui ai un peu forcé la main pour la danse je dois dire , j’ai ce côté protecteur qui s’est mis en place depuis que je l’ai connu . Faut dire que j’m’attendais pas à connaitre une personne aussi jolie , et gentille malgré son comportement mais avec moi elle est différente , différente de comme elle est avec les autres mecs fin vous voyez.
« ça marche , je te retrouve la haut dans une bonne grosse demi heure , bisous ». Bisous ? :O mais que se passait il c’était la première fois qu’elle me mettait ça à la fin d’un texto mais bon c’était peux être rien pas comme si chaque mot avaient une signification précise non ? Il n’était à peine que 10h , et nous avions rendez vous d’ici 30 minutes soit 10 heures 30 , je décidais alors de me lançais dans des révisions de biologie , tellement lançais dedans que j’me rendis compte qu’il était 10h25 quand je regardais l’heure je devais être à la salle de danse dans 5 minutes et elle n’était pas à côté de ma confrérie , je pris alors une bouteille d’eau dans le frigo et me dirigea vers le complexe sportif . Quand j’arrivais dans la salle , c’était calme , vide , il était pourtant 10h40 « Leïla tu es là ? » criai-je , ce qui forma un écho au bout d’un moment je la vis sortir des vestiaires et me faire un signe « j’en ai profité pour me changer! Comment vas-tu ? Ta permanence à l’hôpital c’est bien passée? » ce qui était bien avec Leïla c’est qu’elle était bavarde et sur tout les domaines , c’était agréable , fin elle essayait d’éviter de parler de sa maladie ce qui est normal après tout , c’est pas trop glamour comme discussion . Dans un sourire je lui dis alors « Ta bien fait , moi ça va super et toi ? Et ben écoute la dernière permanence que j’ai fait c’était vendredi ils m’ont donner deux jours de récupération et j’vais pas me plaindre j’te le dis moi. Et sinon toi? » Elle m’avait déposer un baiser sur la joue en guise de bonjour avant d’aller mettre un cd spécial danse que j’avais laisser là depuis la dernière séance , je lui avais déjà appris la chorégraphie pour le mambo a deux reprises , ma danse favorite , même si j’aimais tout style de danse , j’adorais ça , fin sa plus le hip hop c’est des danses qui bouge bien qui sont assez corps à corps et gestuel plus que les autres danse en tout cas .
« Bon alors on s’y met , j’espère que ta bien retenu les pas la dernière fois ? » , je me plaça alors en face d’elle , avec ce regard qui avait changer de jour en jour que je restais enfermer avec elle dans cette salle , elle me plaisait bien c’était une évidence mais jamais je me permettrais de lui avouer .
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MessageSujet: Re: ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla EmptyVen 20 Avr - 22:41


grégory et leïla ;; it's the boy who never told I like you, it's the girl you let get away, it's the one you saw that day on the train but you freaked out and walked away. It's the plane you wanna catch to Vegas, things you swear you do before you die, it's the city you love that waits for you but you're too damn scared to fly. Hit the lights, let the music move you, lose yourself tonight. Come alive, let the moment take you, lose control tonight. It's the time that you totally screwed up, still you try to get it out your brain, it's the fight you head when you didn't make up, it's the past that you're dieing to change. It's all the money that you're saving while the good life passes by, it's all the dreams that never came true 'cause you're too damn scared to try



J'étais dans le taxi en direction de la faculté et je jouais avec mon portable, telle une gamine qui s'ennuyait dans les transports. Musiques, vidéos, photos, je scrutais chaque fichier qu'il y avait dans mon téléphone, allant jusqu'aux messages que l'on m'avait envoyé. Regardant un message échangé à mon défunt mari, Nick Reynolds, je me sentais mal à l'aise. Il était mort d'une façon plutôt bête : il s'était fait renversé par une voiture qui roulait bien au dessus de la limite de vitesse et il était mort. Mort sur le coup, mort au milieu d'une chaussée à sens unique, le meurtrier filant droit vers un lieu inconnu. Nous n'avions pas trouvé qui était cet assassin, qui était cet homme qui m'avait enlevé mon mari mais surtout mon ami. Je n'avais jamais aimé Nick autrement que physiquement et c'est d'ailleurs pour cela qu'une fois que ses parents m'ont contacté pour me convier à l'ouverture du testament, j'étais mal, plus que mal. Je savais très bien que le Iota ne me lèguerait pas un centime et cela ne me gênait pas. Nous nous étions mariés complètement bourrés à Las Vegas mais je ne regrettais rien, tien du tout. La partie de l'argent de Nick qui j'avais pu touché avait fini dans une association trouvé sur un prospectus. Puis il y avait eu le décès d'Esthell qui s'était écrasée contre un tronc d'arbre sous une pluie battante. Esthell ne me manquerait pas, elle avait beau être ma cousine, la jeune blonde ne me manquerait pas, jamais. Nous n'avions jamais été proche et depuis mon plus jeune âge, nous ne nous entendions pas. J'étais un peu trop directe pour elle, elle était trop niaise et je lui avais sagement pris son petit ami, mort lui aussi. Passant ma main dans mes cheveux, je tenter d'oublier qu'en deux mois j'avais essuyé trois décès. Continuant de fouiller dans mes messages, je passa sur celui d'un numéro inconnu. Le message était court mais dur à lire, je me demandais encore pourquoi je le gardais. « Tout ce que tu touches fini par périr Leïla. Tu es le mal incarnée, crève. » Je laissais mes longs doigts glisser sur l'écran de mon portable en lisant ces mots. Je ne savais pas qui était cette personne mais elle avait tellement raison. Tout ce que je touchais finissais mal, il y avait qu'à me voir. Dix neuf ans atteinte de la maladie de Parkinson et de la maladie de Wilson ça ne s'invente pas. J'étais vraiment mal en point et peu de choses, pour ne pas dire rien, me plaisait. J'étais une éternelle insatisfaite et je remerciais Gregory pour m'aider à m'occuper l'esprit mais aussi à me motiver à faire quelque chose de ma vie. De plus, il fallait avouer qu'étant donné qu'il savait tout, qu'il pouvait gérer une crise ou je ne sais quoi, je prenais bien plus de plaisir à danser. Je n'avais pas besoin de m'auto limiter dès que possible, de peur d'avoir une crise devant tout le monde. J'étais bien plus douce avec le jeune sigma même si nous n'avions pas franchement été sur la même longueur d'onde au début. Je n'avais pas supporté son côté protecteur qu'il avait eu avec moi. J'étais quelqu'un de solitaire et lorsque l'on tentait de s'immiscer dans ma vie, on se retrouvait face à un mur mais il n'avait pas fuit, loin de là même. Il avait l'habitude de gérer de tels cas, des patientes qui refusent d'être aidés et qui préfèrent finir leur vie au fond du trou, une bouteille à la main. Bien évidemment, cette option était fortement alléchante : boire et quelques crampes, j'étais capable de vivre avec, j'en étais persuadée. Cependant, je n'étais pas une fana de la mort, des décès et je voulais éviter d'accélérer mon processus de mort au plus tôt. Je sentais le taxi s'arrêtait devant la grande faculté de Berkeley où j'étais loin d'être appréciée de tous. J'avais un caractère de feu et rabaisser les gens était mon passe temps favori. Tu m'ennuies, je te détruis, un point c'est tout. Je me demandais même comment Gregory pouvait apprécier être avec moi. J'étais différente avec lui, en mieux, mais tout de même, lorsque j'avais quelque chose à dire, je le disais, un point c'est tout. Respirer et avancer avant que quelqu'un se demande ce que je faisais là à cette heure ci. Me lever pour un homme n'était pas quelque chose que je faisais en temps normal, préférant les voir se déplacer à moi, telle une reine. Seulement, jusque preuve du contraire, je ne pouvais pas danser dans le salon et encore moins dans ma chambre. Poussant la porte de la salle de danse, qui était vide, je me sentais étrange. Depuis quand j'aimais transpirer, me bouger les fesses pour autre chose qu'aguicher un homme. Quelque chose clochait avec moi mais quoi ? Il avait un certain effet sur moi mais il ne pouvait pas me changer, pas maintenant, pas aussi facilement. Où était donc passé cette carapace de fer que j'avais depuis plus de treize ans ? J'étais une battante, une jeune femme qui avait son destin entre ses mains et non pas une vulgaire marionnette de cirque. Je changeais rapidement mes habits et me préparais à sortir des vestiaires lorsque j'entendis la voix du jeune blonde monter dans la salle. Bordel, il me faisait un effet phénoménale et même si cela me faisait un bien fou, je ne devais pas me laisser attendrir aussi facilement. J'étais une gazelle, lui un lion et je devais lutter quelques heures encore, quelques jours ou mois. J'étais souriante et m'intéressais à lui un peu plus que je ne m'intéressais aux gens en temps normal. « Ça va bien, merci. » Mentir était quelque chose que je savais faire à la perfection et personne, ô non personne, n'avait jamais vu que je mentais. Qu'est-ce qui pouvait bien montrer que ça n'allait pas aussi bien que je le laissais paraître ? Je mettais la musique en route et un léger sourire se dessina sur mes douces lèvres roses lorsque je vis le jeune homme s'approcher de moi. Me tournant vers lui, je lança « Mais pour qui tu me prends Gregory ? Je suis peut être blonde mais je retiens quand même pas mal de choses ! » Je lui fis une petite mine de jeune femme frustrée et attrapa la télécommande de la chaine hi-fi. Attrapant sa main, je me plaça au milieu de la salle de danse et appuya sur le bouton play. La musique monta dans la salle et en pure harmonie, nos corps ondulait au rythme de la musique, séparément puis l'un contre l'autre. Un, deux, trois, quatre. Je continuais de compter les tempos dans ma tête, tentant d'exécuter ce qu'il m'avait appris à la perfection. Je n'étais pas une mauvaise élève en temps normal mais tout ce qui était physique me rappelait mon passé de cheerleadeur et tout ce que j'avais du abandonné à cause de la maladie. J'avais préféré arrêter ce pourquoi je me donnais plutôt que d'expliquer que si mes mains tremblaient, c'était normal. Tentant d'épurer mon esprit et de le vider de toutes ces pensées, je perdais le compte des temps de la musique. Dépêche toi, rattrape toi. Paf. J'avais le cul parterre et d'un excès de rage, je frappa du poing sur le sol. Je venais de glisser, en talons, sur le sol à quelques centimètres du jeune blond parce que j'étais distraite. Une faiblesse devait devenir une force après tant de temps. Quelle connerie. J'entendais le son de la chaine stéréo se baisser pour être inexistant et en levant les yeux, je vis que Grégory me tendait sa main. L'attrapant, je dis « Désolée, j'ai pensé à autre chose et j'ai dérapé. Je ne t'ai pas shooté dans les chevilles au moins ? » Il ne manquait plus que cela tien, que je lui casse une cheville par ma maladresse encore inconnue. Une fois debout je posa mes mains sur le bas de mon dos. Je m'étais fais quelque peu mal en chutant mais je ne laissais rien paraître, mon visage était neutre comme jamais. « A part ça ça a été ? Je ne suis pas une si mauvaise élève ? » Du moins je l'espérais. Je lui souris et, une fois qu'il me répondit je lança. « On recommence ? » J'étais prête, il ne fallait pas me couper en plein élan sinon je risquais de sentir les douleurs qui arrivaient doucement au niveau de mes fesses.
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MessageSujet: Re: ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla EmptyMer 25 Avr - 18:12

❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla 3058336649_1_3_hmAPNM5h

J'ai toujours aimé danser , que ce soit dans les boites de nuit et sur une estrade , j'avais ça en moi , et puis d'une certaine manière ça me permettait de ne plus penser à rien , certains utilise l'alcool d'autre la drogue moi c'était plus la danse et la musique qu'autre chose . Ce qui est bien quand on compose une musique qu'importe si ce qu'on écrit nous concerne , il arrive qu'au final d'autres personnes se reconnaisse dans les paroles et n'associe pas du tout les mots à l’interprète mais à leur vie .Je pensais souvent à ma soeur même si les personnes qui nous sont cher ne font plus partie de notre vie , qu'on nous les a enlevé , elles ne cessent de vivre encore dans notre coeur et notre esprit . Je me suis toujours demandé encore maintenant si je n'aurai pas pu faire quelque chose pour sauver Chelsea , de la forcer à continuer son traitement et qui sait peux être qu'au bout d'un certain temps elle aurait guéri je ne sais pas . Elle avait quitter notre monde depuis 4 ans , et malgrè tout je pensais toujous à elle , elle était ma soeur , celle qui avait tout su de moi , quand je lui avais fait part de ma passion pour la danse ,c 'est même elle qui m'avait apprit quelque pas ... Bon sang qu'est ce qu'elle pouvait me manquer c'était atroce mais il a quelques temps j'ai fait la connaissance de cette fille magnifique et magnifiquement malade aussi ... J'ai fini par gagner sa confiance et à lui apporter de l'aide , je sais qu'elle est malade et pourtant je ne peux m'empêcher d'avoir une certaine affection pour elle mais que vous le voulez ou non je ne lui avouerai jamais .
Quand j'arrivais dans la salle Leila était déjà là elle s'était changer , on moins on ne perdait pas de temps , j'avoue être assez content de moi à réussir à ce que la bêta sorte de son lit pour venir danser ... y'en a qui préfère ce reposer de nuit agité ma foi elle était là et c'était le principal . Quand je lui demandais si ça allait et qu'elle me répondit oui merci , je ne relevais pas mais je sentais un ton faux , je le reconnais parce que Chelsea faisait pareil surtout au cour des dernières semaine , je comprend que certaine personne préfère mentir que d'assumer leur état faut dire si elle m'aurait dit non je lui aurai demander pourquoi et je n'aurai pas pu faire grand chose je pense.Quand je lui demandais si elle se rappelait des pas de danse , celle ci parut choqué
« Mais pour qui tu me prends Gregory ? Je suis peut être blonde mais je retiens quand même pas mal de choses ! »Attrapant ma main, et se plaçant au milieu de la salle de danse le CD se mit en route . La musique monta dans la salle , nos corps ondulait au rythme de la musique, en solo puis parfois en duo , la chaleur de la pièce augmenta à mesure que celle de mon corps aussi. Les mesures je n'avais même plus besoin de les compter depuis quelques temps c'était encré en moi , à un moment donnée je vis Leila partir loin , en dehors de cette salle de danse et puis Paf elle se retrouva le cul parterre et son comportement me déstabilisa un peu, elle se mit a frapper du poing sur le sol. Baissant au minimum le son de la chaine hifi , et m'approchant d'elle je lui tend la main pour se relevé « Désolée, j'ai pensé à autre chose et j'ai dérapé. Je ne t'ai pas shooté dans les chevilles au moins ? » celle ci prend ma main et se releve je lui souris et ajoute non t’inquiète mais toi tu t'es pas fait mal dis moi ? mon dieu qu'est ce qu'elle pouvait me déstabilisait avec son regard et ce sourire digne d'un ange :love2: langue. elle avait l'air soucieuse et me demanda de nouveau « A part ça ça a été ? Je ne suis pas une si mauvaise élève ? »posant ma main sur son épaule pour la rassurer avec un sourire je répondis Ta beau être blonde tu t'en sors magnifiquement bien , alors t’inquiète donc pas okay. Puis celle ci me demanda de recommencer je remonter le son de la sono , et hop reprenant les mouvements , je me sentais très attirer et en fusion contre le corps de la jeune femme , la danse ou un autre phénomène je sais pas mais comment peut on rester insensible à ce genre de fille faut dire , reprenant ou j'en étais dans les mouvements , le temps fini par passait sans trop d'incident de la part de Leila j'essayais de pas trop l'épuiser mais à la fois de pas faire un cour digne d'enfant de 6 ans .Entre deux mouvements je me retrouvais si près de ses lèvres qu'elles se touchèrent quelque seconde avant de reprendre le reste des pas de la chorée .

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MessageSujet: Re: ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla ❝ once upon a time ❞;; gregory.et.leïla EmptyJeu 3 Mai - 2:17


grégory et leïla ;; À mon avis, les tragédies ça fait partie de la vie, on va pas baisser les bras parce qu’on est malheureux. Je me suis rendu compte d’une chose, quand on vous brise le cœur, il faut se battre de toutes ses forces et s’accrocher à la vie, parce qu’elle continue quoiqu’il arrive et cette douleur qui vous déchire fait partie de la vie aussi tout comme la peur et le mal être. Toutes ces sensations qui sont là pour nous rappeler que les choses s’arrangeront, ça vaut le coup de continuer à se battre •• I wanted you to fight for me!



Je ne prenais pas un échec et encore moins un refus pour acquis. J'avais tout ce que je voulais, tout ce que je souhaitais et ce depuis ma plus jeune enfance. Me refuser quelque chose était une très mauvaise chose. Qui osait s'opposer à moi récoltait les foudres de mes vieux démons et ce n'était bon pour personne. Je n'avais jamais été si méchante, ni brutale, jamais, absolument jamais. Tout cela venait depuis New York, depuis ce stage à l'autre bout du pays, là où j'avais décidé de reprendre de bonnes bases pour partir sur un bon pied à San Francisco. Ce que personne ne savait c'était qu'à Sacramento, je n'avais jamais été accepté, que je subissais des tas d'insultes toute la journée parce que mes joues étaient quelque peu.. enflée. Ma meilleure amie avait disparu de ma vie, me laissant seule dans une équipe de cheerleading qui ne voulait pas de moi et aujourd'hui encore, je sentais les cicatrices que ces années de triste avait fait en moi. Aujourd'hui, je prenais un quelconque autre chemin et comptait bien écraser chaque personne se mettant en travers de mon chemin. J'étais une tornade, une folle furieuse en route pour réaliser son rêve, pour accepter le déchet qu'elle était et avancer. Parkinson, Wilson, deux maladies que je nommais par leur nom pour pouvoir mieux les combattre. Aucune maladie, aucun virus n'était encore en 'circulation' pour pouvoir m'achever. On n'achève pas une Carpentier-Greenden et ça, tout le monde devait le savoir. Certes, les menaces des gens me blessaient, me faisaient mal même si je ne laissais rien paraître. Sois forte, encaisse et continue ton chemin, détruisant quelques insignifiantes vies sur mon passage. Voilà quel était ma philosophie de la vie. C'était dur à accepter pour pas mal de gens, j'étais le mal en personne mais d'autres voyaient bien plus que cela en moi et c'était le cas de Grégory. M'attacher à un homme n'était vraiment pas quelque chose que je devais faire, que je voulais faire et plus le danger d'une quelconque alchimie approchait et plus je fonçais droit sur le beau blond. À force, je finirai par m'y brûler les ailes mais c'était comme cela. L'appel de la passion, de la tentation était bien plus fort que la petite voix qui me disait d'éviter de briser le cœur de cet homme, cet homme qui avait réussi à m'occuper l'esprit comme aucun avait réussi à le faire depuis bien longtemps. J'avais un poids sur mes épaules ; je ne voulais pas que le jeune sigma ait honte de moi, du fait que je sois une piètre partenaire de danse. Bien entendu, la danse n'était pas quelque chose que je pratiquais depuis ma tendre enfance, loin de là même. J'étais souple, mon corps me permettait de faire bien des choses, mais ça s'arrêtait là, je n'avais pas le sens du rythme hors mes anciennes journées au sein d'une équipe de cheer'. Danser était bénéfique et j'aimais cela. Qui aurait pu prédire que j'allais aimer ça, danser avec un partenaire. Bien entendu, bouger mes fesses au rythme de la musique ça je savais le faire et depuis bien longtemps mais danser un mambo, c'était tout autre chose. Tout était dans les hanches, tout était chronométré et c'était quelque chose que je maitrisais rapidement même si ce n'était pas aussi parfait que Grégory. Il était vraiment le meilleur danseur que je connaissais et j'espérais bien en apprendre bien plus de lui, si mon moral et mon état de santé me le permettait. Je ne savais ni combien de temps il me restait à vivre ni combien de temps j'allais avoir la forme et de l'énergie pour faire ce que je voulais faire. Chutant pendant la danse, un excès de colère me fit frapper le sol de toute ma force. Cela ne me fit pas mal mais je sentis le regard du jeune homme sur moi. Oui, je pouvais être violente en temps normal, je devais l'admettre. Attrapant la main qu'il me tentait, je frotta mes fesses pour enlever les plis mais aussi la poussière du sol. « Ça va ne t'inquiète pas, je suis pas en sucre, pas encore » Je lui fis un petit clin d'oeil et même si ma phrase était tout ce qu'il y avait de plus morbide, il devait faire avec. Oh auto dérision comme je t'aime. Je déposa un léger baiser sur sa joue lorsqu'il admit que je m'en sortais bien. Il savait comment me faire craquer et il avait réussi en quelques secondes. Inspirant une grande bouffée d'air, j'entendis la musique augmenter dans la salle de danse comme mon rythme cardiaque. Inspiration, expiration. Un pied devant l'autre, je dansais de mon mieux, évitant de tomber une seconde fois histoire de ne pas me faire mal et de ne pas faire mal à mon partenaire. Quelques moments de danse nous permettaient de nous rapprocher et d'être vraiment très proche l'un de l'autre. Nos lèvres se frôlaient et je gardais un léger sourire sur mes douces et fines lèvres à chaque fois. Ne pas craquer sinon c'était foutu, les douches étaient libres et pas loin, je savais de quoi j'étais capable, lui non. Grégory avait l'habitude de me voir dans une forme olympique, ou presque. Rares étaient les fois où j'étais déprimée devant lui, je gardais ce masque de bonheur et de joie en place pour qu'il ne s'inquiète pas et qu'il ne se mette pas à me questionner pendant des heures et de heures. Ce dont j'avais besoin, c'était de m'évader et cela était possible grâce à lui et seulement lui. Je ne pouvais compter sur personne d'autre et surement pas Zéphyr trop occupé à pouponner, dieu que je haïssais cela. Le son de la chanson baissait petit à petit et j'étais à deux centimètres des lèvres de Grégory, inspirant le plus lentement possible pour profiter de ce moment. L'ange et le démon en moi se battaient pour savoir si oui ou non mes lèvres allaient définitivement se poser sur celles de mon partenaire. Je lui fis un large sourire avant de me reculer et de dire « Alors monsieur le professeur, tout était plutôt pas mal vous ne trouvez pas ? » Je tournais le dos au jeune homme histoire que mon visage fasse toute sorte de grimace avant de me tourner vers Grégory, sourire pendue aux lèvres comme si de rien n'était. Posant mes mains sur mes hanches, je lança « On travaille sur quoi aujourd'hui ? Tango, Jive, Salsa, Samba, Valse ? À moins que tu as d'autres projets comme les cours, aller dormir ou voir un ami, j'ai toute ma journée devant moi personnellement » Et j'aimerai bien la passer avec toi au cas où tu n'aurais pas compris. J'attendais la réponse du jeune blond et un large sourire se dessina lorsque j'entendis les premières secondes de la chanson suivante : Papi de Jennifer Lopez. « Moove your body, moove your body, dance for your papii » Je lui souris avant de me mettre à danser, gracieusement au rythme de la voix de la chanteuse, ondulant mon corps dès que possible. Je tendis une main à Grégory et lorsqu'il l'attrapa, je sentis une légère impulsion de sa part et je me retrouva rapidement blottie dans ses bras, plus entrain de danser un collé-serré qu'autre chose. J'avais toujours ce sourire sur mes lèvres et mon corps continuait d'onduler le long du jeune homme. Mes lèvres avaient désespérément envie de toucher les siennes mais je tentais de ne pas céder à la tentation. J'entendais des voix dans le couloir, l'heure de cours allait bientôt finir pour les étudiants et les couloirs allaient être pleins et tout ce que je ne voulais pas était que quelqu'un me voit collé aux lèvres d'un homme. Je savais bien que quelques personnes étaient entrain de médiser sur mon cas puisque j'étais littéralement entrain de faire monter la température de la pièce avec Grégory mais je ne comptais pas leur en donner plus pour le moment. Les couloirs se remplissaient et la chanson finit à ce moment même. « Piouf, il fait chaud tu ne trouves pas ? » Je lui fis un sourire en coin avant de me décaller de lui de quelques centimètres et de regarder les quelques demoiselles collées à la fenêtre entrain de médire à mon sujet, je leur fis un léger signe de la main avant de dire à mon professeur de danse particulier « Je suis sûre qu'on peut refaire notre mambo sur la chanson qui arrive » Dirty dancer d'Enrique Iglesias et Usher. Sans attendre son approbation, je commença à danser la partie 'solo' de la danse, histoire d'en mettre plein la vue des demoiselles scotchées devant le mur vitré de la salle de danse. J'étais sûre qu'il allait se joindre à moi et si ce n'était pas le cas, j'avais des arguments pour. Un corps qui ondulait bien plus rapidement qu'il ne faut de temps pour dire ouf. She's a dirty dirty dancer, never ever lonely
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Zachariah La Tour Dubois
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Zachariah La Tour Dubois
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