Sujet: Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt} Mar 6 Mar - 2:25
Viktoria était enfin sortie de l’hôpital. Quel soulagement ce fut pour son ex petit ami qui détestait la savoir dans cet endroit faste et morbide. Pacey-Danyaël espérait de tout cœur que les docteurs avaient su mieux soulager et guérir la Sampi qu’ils l’avaient fait pour lui. Dans un sens le jeune homme était rassuré car sa chérie n’avait été que blessée physiquement. Enfin aussi mentalement mais bon pour cela notre amoureux transi fera tout son possible pour qu’elle oublie la tragédie de la mortelle Saint Valentin. Quoiqu’oublier était un bien grand mot. Honnêtement qui pourrait effacer un drame aussi atroce que cela de sa mémoire ? Surtout en ayant été acteur et victime de la scène. Un rôle que Viktoria n’aurait jamais dû avoir. Ni Alcide. Ni les autres Berkeleyens touchés et tués par ses ignobles assassins. D’ailleurs ces gens-là, pour qui se prenaient ils pour oser détruire des dizaines voire centaines de vie et de familles ?Des Dieux peut être ? De cette tragédie, l’acteur n’avait vu que les images des journalistes durant les flashs infos à la télévision. Il en avait surtout entendu parlé. Etant hospitalisé à ce moment-là, il se sentait coupable de son absence car il n’était pas là pour protéger ses proches.
Hier après-midi, la Sampi avait contacté Pacey pour l’inviter ce soir. Elle voulait lui parler autour d’un café. Le rendez-vous étant fixé à vingt heures, l’acteur lui prépara avant de partir son repas préféré. Il était plus que temps que la jolie brunette mange quelque chose digne de ce nom. Non pas que l’enseignant se surestimait en cuisine. Il savait juste se débrouiller comme il faisait pour que ce soit mangeable et cela nettement plus que les menus sans saveur de l’hôpital. Viktoria aimant le poisson, son ex compagnon lui fit une gamelle de brandade de morue entièrement faite maison. Il passa vite fait au Starbuck Coffee pour prendre les cafés. Ailleurs prévu le coup pour si Viktoria n’avait pas encore soupé et qu’elle mangerait le poisson, il prit les cafés dans des thermos. Comme cela ils auraient le temps, leurs boissons ne se refroidiraient pas de si tôt. Sullivan habitant dans le même quartier que Pacey, le jeune homme n’eut pas besoin de prendre les transports en commun. C’était un plus car moins de tracas avec les horaires et plus rapide surtout. Arrivé sur le lieu du rendez vous, Pacey sonna à la porte. Il avait hâte mais était à la fois nerveux de revoir sa princesse. Il stressait car il ne savait pas ce qu’elle voulait lui annoncer. Craignant le pire, il s’attendait même à ce qu’elle soit enceinte de Mason.
Dernière édition par Pacey-Danyaël Stenfler le Dim 18 Mar - 23:48, édité 1 fois
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Sujet: Re: Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt} Mer 7 Mar - 16:09
Sortie de l’hopital. Enfin. J’avais l’impression de devenir là bas. Techniquement, j’aurais du quitter une semaine après mon entrée abrupte à la St-valentin. Mais, complication de chirurgie. J’avais mal réagis à l’opération. Après les dégâts brièvement réparer, je du attendre pour retourner sous le bistouri et finalement que toute particule de balle soit enlever de mon corps. Eh ouais, un éclat de balle m’avait provoqué une hémorragie internet. Éclat si petit faisant un dégât épouvantable. On me garda un moment, par sécurité. Lorsque mes plaies n’eurent pas besoin d’être pansé chaque jour, on me donna mon congé ce matin. Chose que je fus soulagée. Attendant mon dernier rendez-vous avec le médecin, je pris mon cellulaire et textai mon frère ainé qui m’avait invité a rester chez lui le temps de me trouver un appartement. Car une chose était certaine : je ne voulais pas retourner en résidence. Même si l’ambiance je n’avais pas envie d’être un animal de foire et qu’on viennent me parler simplement car j’étais une victime de la tuerie. L’amitié commençant par la pitié emmenait certainement beaucoup de problèmes. De plus, Eirik m’avait annoncé qu’il partait vivre avec sa copine. Bien que le coup fut difficile, j’avais été zen extérieurement en lui disant que je comprenais. J’étais certes déçue, mais je pouvais comprendre. Ils étaient un couple magnifique, l’étape était normale. Mais la résidence était beaucoup trop vide sans mon frère. Surtout avec Callum qui travaillait à des heures impossibles. J’allais me retrouvée souvent seule là bas Et je me doutais que l’école n’accepte pas que je sois dans un de leurs appartements alors que j’avais décidé de prendre une pause d’étude pour le restant de l’année. J’avais commencé mes études ici dans la pire des catastrophes. Mes notes étaient dégoutante et mon taux d’absentéisme légendaire. Après une longue et douloureuse conversation téléphonique avec mes parents -que j’avais déçus une fois de plus- je pu prendre une pause dans mes études et me trouver un logement où vivre. La seule condition : avoir un colocataire. Les appartements a San Fransisco pouvaient coutés chers et donc partager les frais était obligatoires. Je ne pu que répondre par l’affirmation. Quel choix avais-je? Le problème était maintenant de me trouver quelqu’un que je connaissais cherchant quelqu’un avec qui vivre. Je n’en connaissais que un, et là était tout le problème; devais-je réellement aller vivre avec Pacey ou risquer le coup d’être avec un étranger qui plaçait une annonce sur internet? Les deux choix possédaient leur taux de risques. Et je devais maintenant décider lequel de ces risques j’étais prête à acceptée.
Attendant que Sullivan vienne me chercher, j’envoyais un texto à Pacey pour savoir s’il voulait prendre un café avec moi. Le seul moyen de savoir si l’idée d’habité avec lui était bonne était d’en parler avec le concerné. J’avais déjà une clé de l’appartement que je lui avais trouvé. Et puis, le revoir me ferais du bien. Quoi que je dise, quoi que je pense, je n’avais pas vu Pacey depuis un moment et il me manquait. J’avais beau râler sur ses insécurités maladives, sans elles quelque chose manquait à ma vie. Le concerné accepta derechef, ce qui me fit grand plaisir. Sullivan arriva enfin. Après une grande accolade, il m’aida à quitter l’hôpital. J’avais une botte de marche pour mon pied, me permettant de me déplacée malgré tout. Lentement, mais c’était dejà ça. Une fois à son appartement, j’eu une grande discussion avec mon frère sur mon avenir et, contre toute attente, il me poussa a aller vivre avec Pacey. Habitué du discours anti-Pacey d’Eirik, je fut déstabilisé. Mais mon frère avait raison sur un point : il était plus sécuritaire d’être avec quelqu’un qui ne ferait pas de mal à une mouche. Maintenant il ne restait qu’à savoir si j’avais la force d’être avec mon ex. Il me laissa sur cette réflexion car son quart de travail commençait et qu’il devait aller à son boulot. Après la bise je le regardai partir. Je regardais l’heure : il me restait deux heures pour me préparer à la venue de Pacey. C’était peu mais j’allais essayer de faire un miracle.
Une fois la douche – un peu complexe avec les plâtre- prise, je pris une robe que Sullivan avait mise dans une valise en passant dans ma résidence, histoire d’avoir quelque chose à me mettre sur le dos pour les prochains jours. Ma robe préféré sur le dos, je réussi à me coiffée malgré le manque de fer plats de mon frère. (bon c’était logique tout de même.) Naturellement, Sullivan ne pensa pas à prendre mon maquillage et je remerciai le ciel d’en avoir de secour dans mon sac à main. Je voulais être belle pour Pacey. Non pas pour le séduire, mais parce qu’il m’avait vu dans un état épouvantable, chose que je refusais qu’on me voit. J’étais superficielle sur ce niveau, mais je l’assumais totalement. Je voulais effacer l’image qu’il avait eu de moi les cheveux horribles, sans maquillage, le teint pâle avec la pire des robes d’hôpital au monde. J’appliquai la dernière couche de mascara lorsqu’on sonna à la porte. Je pris un grand respire, me regardai dans le miroir une dernière fois et je marchai le plus rapidement que je pouvais vers la porte. «J’arrive.» Lançais-je vu ma lenteur exaspérante. Je ne voulais pas que Pacey croit que je n’étais pas là pour notre rendez-vous. Je fini par ouvrir la porte et lui faire un immense sourire. «Salut.» dis-je, très contente de le voir. «Viens entre.» Je lui laissai la place pour entrée, curieuse de ce qu’il avait dans ses mains. Décidément ce type avait toujours le temps de me surprendre.
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Sujet: Re: Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt} Jeu 8 Mar - 17:43
Viktoria : " – J’arrive. “
Rien qu’à la délicieuse mélodie de sa voie quelque peu étouffée à travers les murs, Pacey eut le cœur qui accélérait. Nerveux, il avait les mains qui en devenaient moites. Lorsqu’elle ouvrit la porte, sa respiration se coupa l’espace de quelques secondes. Qu’est ce qu’elle pouvait être jolie ! L’acteur la scrutait des pieds à la tête. Il était heureux de la voir sortie de sa chambre d’hôpital, debout devant lui. Bien évidemment l’étudiante avait toujours ses deux plâtres. Cela attristait Pacey car il se doutait qu’elle avait surement beaucoup de difficultés à bouger et faire quoique ce soit de toute façon. Ce n’était pas difficile de s’en rendre compte avec le temps qu’elle mit pour ouvrir la porte. Elle avait de la chance que son ex compagnon était d’une patience d’ange. Bon il était vrai aussi que ce dernier était arrivé avec un peu d’avance. Il avait tellement hâte de la revoir… Maintenant elle était là devant ses yeux. Ebloui par sa beauté, le fait qu’elle s’était maquillée et qu’elle portait sa robe préférée ne l’avait pas épargné. Touché par ce geste, l’enseignant ne se trouva que plus misérable envers elle. Contrairement à sa princesse, lui il s’était habillé comme tous les jours. Bien entendu, le Workers avait pris soin de se doucher et d’enfiler la chemise que Viktoria préférait. Mais il n’avait rien fait d’autre pour la séduire. A quoi bon de toute façon ? La Sampi était en couple avec Mason. Pacey l’avait perdu à jamais. En y réfléchissant, la belle s’était surement fait toute belle pour son compagnon. L’Alpha tait peut être venu la voir avant que l’acteur arrive. Ou peut être était il toujours là. Ou arriverait il plus tard. Ca Pacey ne préférait pas trop y penser. Toujours en amour de Viktoria, il avait trop mal de la savoir en union avec un autre. Mais pour elle, pour le bien de leur future relation d’amitié, le jeune homme devait paraître de rien.
Pacey : " – Tu… Tu as peut être déjà de la compagnie… “ Mason bien entendu mais il ne le nommait pas de manière volontaire. " – Je… Je peux repasser plus tard sit u veux… “
Viktoria : " –Viens, entre. “
Elle se décalait légèrement pour le laisser entrer. Ils se firent la bise. En voulant refermer la porte, la jeune femme perdit l’équilibre à cause de son plâtre. Pacey posa les présents sur l’armoire à chaussures juste à côté de lui. Il rattrapa sa chérie avant qu’elle ne tombe. Viktoria était dans ses bras. Ses lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres des siennes. L’acteur mentirait s’il prétendait n’avoir pas voulu l’embrasser à ce moment précis. Car il en mourait d’envie. Mais par respect pour elle, pour son couple, il ignora ses propres sentiments. Il l’aida à marcher tout doucement jusqu’au canapé. Là où elle pourrait s’installer confortablement. Avec délicatesse, il prit sa jambe meurtrie et la positionna au-dessus d’un coussin sur une chaise.
Pacey : " – Tu as l’air d’aller un peu mieux. Ca fait plaisir à voir. Ca… Ca me fait plaisir de te revoir tu sais. “
L’enseignant sentit ses joues chauffer sur cet aveu. Le regard fuyant celui de son ex, il se rendit compte qu’il tenait toujours la main de cette dernière dans la sienne. Il était mal à l’aise. Surtout à cause de son amour pour elle. Mais il refusait de fuir, de montrer sa peur. Il devait se montrer fort pour elle, pour leur amitié qu’il espérait naissante. Car c’était tout ce qu’il lui restait. Son amitié. Et entre amis, on pouvait se tenir la main non ? Surtout sans arrière-pensée.
Pacey : " – Je… Euh… Je t’ai préparé à manger. Car vu l’heure, je… Je ne sais pas si tu avais déjà soupé ou non alors bon… Voilà quoi… Je t’ai fait de la brandade de morue maison. Ca te changera des repas fades de l’hôpital. “
Pacey osa enfin lever les yeux vers elle. Il se mordillait les lèvres en attendant sa réponse.
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Sujet: Re: Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt} Ven 9 Mar - 17:45
J’avais a peine ouvert la porte que Pacey souriait avec se regard qu’il avait toujours pose sur moi. C’était à la fois flatteur, à la fois très effrayant. Car je me doutais que j’avais un regard unique envers lui présentement, et qu’il avait du le remarquer. Je vins pour fermer la porte lorsque, dans la maladresse de mon nouveau plâtre je perdis le balan. Je sentais déjà l’impact douloureux sur le sol lorsque les bras de Pacey me rattrapèrent. Mon cœur manqua un tour et j’eu l’impression que le temps était au ralenti alors qu’il me relevait et que nos lèvres se frôlèrent. Mon cœur accéléra jusqu'à explosé pour y faire sortir un millier de papillon. Je m’ennuyais de ses bras autours de moi, de son odeur distincte. Et il fallu toute la force que je possédais pour ne pas sauter a son coup et le déshabiller avec envie. Non. Le contrôle étais de mise. Je devais me calmer. Ce qui restait de saint en moi voulait survivre, du moins pour les prochaines semaines. Ensuite, la véritable remise en question. Mais ce que j’avais besoin présentement, c’était d’une discussion. Une grosse. Entre nous deux. Et ce n’était pas en succombant à des pulsions primaires que notre relation allait s’arranger. Je le laissai m’aider à m’asseoir et le remerciait lorsqu’il pris ma jambe pour l’installer sur une chaise. Sa main sur ma peau m’électrifia en me fis rougir. L’image de nos nuits d’amour revint à moi comme un coup de poing dans mon cerveau. Je repensais à lui, à nous. Il me manquait, mais je ne pouvais pas retourner avec lui. Pas tout de suite. Quoi que Sydney dise sur ce sujet, j’avais des choses a réglé avec moi-même, et lui aussi selon moi. Ensuite, on verra. L’avenir nous dira si le temps détruira les sentiment ou s’ils étaient plus fort que ce que tout le monde croyait. Même moi, en ce moment je ne pouvais le dire. Car des sentiments fort, j’en avait ressentit plus d’une fois. Croire finir ma vie avec un garçon m’avait traversé la tête plusieurs fois. Et j’avais peur de ce que je ressentais pour Pacey en ce moment. Il avait beau eu s’excuse, je restais toujours marqué par ses paroles lors de notre dernières disputes : m’as-tu jamais aimé ou tu tentais d’oublier Mikael. Encore aujourd’hui, le putain de doute qui s’était créé dans ma tête restait encré comme un venin sur des sentiments trop fort.
Mais je ne devais pas penser à ça. Pas maintenant. Il fallait profiter du moment présent. C’était tout ce qui comptait en ce moment. C’était comme ça que je devais vivre avec Pacey. Car trop penser au futur nous détruisais, nous avait détruit. Profitons. Il était à la maison, avec la chemise qui le mettait tant en valeur, il souriait. Il avait des cafés. C’était un moment agréable. Un moment bien. Profitons mon ami. «Je suis aussi contente de te voir Pace’. Et oui, ca ma mieux.» Il évitait mon regard. Chose qui se passait très souvent depuis notre rupture. Je ne pouvais lui en vouloir. Le regarder dans les yeux était difficile, car ils me rappelaient nous. Je pressai ma mains dans la sienne, pour lui signifier que ces mots étaient réels, étaient pensés, étaient sincères. Je n’avais pas de malaise à le tenir par ma main. Je n’étais plus attachée à personne maintenant. Et puis je n’avais pas à me justifié. Sa main dans la mienne me provoquait du bien être. Point barre. M’expliquer, c’était pour Eirik, pour Sydney. Je devais arrêter de penser à chaque gestes que je posais envers lui, car c’était ainsi que je m’étais épuisée dans notre couple. Et sincèrement j’en avais marre. S’il se faisait des crises d’angoisses, c’était son problème, il en parlerait. Moi, je ne voulais plus m’empêcher d’être complètement moi-même. Mes yeux s’illuminèrent lorsqu’il parla de manger. Je réalisai alors que je n’avais mangé que le chocolat que Sully m’avait apporter depuis ma sortie de l’hôpital. J’avais terriblement faim. Et en plus, il avait fait du poisson. Comme quoi il se souvenait encore de mon repas favoris. «Sérieux??! Ohh Pacey, merci.» Dis-je, très contente. Je plaquai mes lèvres sur sa joue pour le remercier. Le gout de sa peau… Mon cœur s’envola comme jamais alors qu’il se leva pour aller chercher les victuailles. J’ouvris le thermos dans lequel l’odeur du café à la cannelle me chatouilla les narines. Prenant une gorgée, je sentis le liquide réconfortant me réchauffé immédiatement. «C’est… très gentil. Merci. Tu n’aurais pas du.» Dis-je doucement, très touchée par toutes ses petites attentions. Je pris un morceau de poisson et croquai la chair tendre. Bon sang, il était si bon cuisinier. Mon sourire s’illumina en le regardant. «Et toi, comment tu vas? » demandais-je. Je n’était pas la seule malade après tout.
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Sujet: Re: Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt} Ven 9 Mar - 22:49
Ce sentiment si fort de croire que l’on pouvait finir sa vie avec une personne, l’acteur ne l’avait ressenti qu’une fois. Dans les bras de la Sampi. Pourtant il avait déjà été amoureux avant de la connaître, mais jamais il n’avait autant cru à l’amour que celui qu’elle lui avait apporté. Leur relation fut aussi brève qu’intense. Elle fut aussi l’unique véritable petite amie qu’il avait eue. Aujourd’hui leur couple n’était plus. Il ne se remettait pas de leur rupture et pourtant il devait faire comme si. Elle était avec un autre homme. Lui refusait catégoriquement de la remplacer. Pourquoi ? Parce qu’il ne pouvait tout simplement pas. Il avait patiemment attendu près de vingt-neuf ans pour découvrir les joies d’être en couple et des plaisirs charnels, il renonçait à l’idée d’avoir une autre partenaire. Surtout après le livre que l’étudiante lui avait offert sur la sexualité. Ses paroles l’avaient encore plus brisé. Même si Viktoria s’était excusée depuis en prétextant qu’elle avait voulu le blesser pour la rupture et que tout était faux, Pacey gardait en lui un énorme doute. Rares les soirs où il ne pleurait pas dans son lit en repensant à ça. Il se remémorait sa première fois ainsi que les suivantes. Il se dégoûtait d’être aussi lamentable. Le jeune homme n’avait jamais eu beaucoup d’estime pour lui-même. Il se rabaissait trop simplement. Le Workers était sûr que si Viktoria ne voulait pas revenir vers lui, c’était aussi en partie parce qu’il ne l’avait jamais satisfaite. La fidélité était une chose précieuse pour tous les deux. La jeune femme ne pouvait s’épanouir pleinement que dans le lit qu’un homme plus sûr de lui et expérimenté. D’un homme lui serait capable de l’aimer comme elle le méritait. Et Mason était là pour ça.
Une fois Viktoria bien installée sur le canapé, Pacey-Danyaël se permit d’utiliser le micro-onde pour réchauffer le repas de sa douce. Elle lui indiqua où se trouvait les assiettes et les couverts puis la servi. Il s’asseyait à côté d’elle en prenant bien soin de laisser un minimum d’espace pour ne pas trop la coller. Même si l’acteur ne rêvait que de la prendre dans ses bras, de l’embrasser, caresser son corps et bien plus encore, il s’était fait à l’idée que tout n’était devenu que fantasme. Il tenait énormément à l’amitié de sa princesse. C’était tout ce qui lui restait pour panser un minimum sa peine de cœur. Pacey était encore incapable de soutenir le regard de son ex petite amie. Les souvenirs de leur couple passé étaient encore trop douloureux. Il souffrait atrocement de ne plus être avec elle. Pourtant il n’en toucha pas un mot. Non il ne pouvait lui faire ça. C’était de sa faute à lui s’ils n’étaient plus ensemble. Il lui faudrait encore un peu de temps pour réussir à intégrer ce nouveau rôle d’ami. Le simple fait de tenir sa main le mettait mal à l’aise. Il désirait tellement plus. Il était désespérément en amour avec elle. Viktoria le remercia et l’embrassa sur la joue pour le repas. Pacey en rougit légèrement.
Pacey : " – De rien, c’est tout à fait normal. Je serai tou… Toujours là pour toi… “
Il avait un peu hésité sur sa dernière phrase. Espérant qu’elle ne le prenne pas mal ou comme des avances. Ou pire encore qu’elle se rendait compte qu’il ne pouvait vivre sans elle.
Pacey : " – Mon poids stagne donc j’imagine que c’est bon signe. “
Pacey ne prit que son café. Ce soir il n’avait pas mangé une fois de plus. Il n’avait pas très faim. Il but une gorgée. Stressé et impatiemment, il ne put s’empêcher de questionner Viktoria.
Pacey : " – Ofet qu’est-ce que tu voulais me dire ? “
Terrifié qu’elle lui apprenne le pire, il n’y alla pas par quatre chemins.
Pacey : " –Tu es enceinte de Mason ? “
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Sujet: Re: Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt} Dim 11 Mar - 1:56
Alors qu’il était allé chercher les assiettes pour faire réchauffer le repas, j’avais étendue la main vers le système de son, histoire de mettre la musique et de créé une ambiance moins austère a ce qui était notre première discussion hors-hôpital depuis la dernière fois où nous avions couché ensemble. Cette époque me semblait loin et pourtant, un mois à peine s’était écouler. Prenant l’assiette et lui plaquant mes lèvres sur la joue, je pris la décision de ne pas remémorer cette soirée. Elle était du passé, et j’en avais marre de vivre dans mes souvenirs. Pacey et moi, voulions repartir à zéro sur des bases plus saines et neuves? Soit. Donc aucune allusion au passé. Du moins pour le moment. «Je sais Pacey, plus d’une fois tu me l’a montré.» Dis-je. J’avais conscience de tout ce qu’il avait fait pour moi. Tout ces petits détails, ces petites pensée et même sa simple présence quand il le fallait. Il l’avait toujours ais, et n’avait pas cessé malgré notre rupture. En fait, depuis, il se montrait encore plus affectueux et irréprochable. Tentait-il de se faire pardonner. Je ne le savais pas. Mais je ne voulais pas supposé ses actions. Les apprécier et le remercier étaient la seule chose que je pouvais réellement faire sans me prendre la tête, chose qui me convenait totalement.
Je commençais à réellement me détendre lorsque Pacey me lançait une bombe qui me fit avalée de travers la gorgée de café que je venais de prendre. Je m’étouffais un long moment avant d’être capable d’articuler un mot sans toussée de nouveau. «Mais d’où tu sors ça? J’ai commencée a sortir avec Mason la journée de la fusillade et j’ai été à l’hôpital depuis ce temps. Faire ça dans un lit d’hosto…. Non merci. » J’étais littéralement sidéré par cette remarque. De un, je me demandais si j’avais pris du poids. De deux, je me demandais réellement quel scénario il avait bien pu se créé depuis qu’il avait su la brève relation que j’avais eu avec mon ancien meilleur ami. «C’quoi c’te question» chuchotais-je, un peu blessée. Je ne savais pas pourquoi j’avais le sentiment d’être trahis par lui. Peut-être que c’était une partie de moi qui refusait de croire que le père de mes enfants serait quelqu’un d’autre que lui, ou peut-être simplement cette question était sortie de nulle part et que je n’avais rien fait pour lui donner un quelconque doute. Je me rappelais alors pourquoi les incertitudes de Pacey étaient parfois lourdes à porter «Non avec Mason c’est fini» dis-je un peu froidement. «J’ai fait une erreur d’être avec lui. Enfin, je ne veux pas m’étendre sur le pourquoi du comment. Alors bon voila quoi. T’as pas à t’inquiéter, y’a pas personne dans ma vie…» Je déposai ma tasse de café, me passant la main dans le visage, découragée. «C’était ça que je voulais te dire mais bon, laisser tomber.» Je soupirai en regardant par la fenêtre, incapable de le regarder.
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Sujet: Re: Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt} Dim 11 Mar - 2:48
Toutes ces petites attentions, Pacey-Danyaël les faisait naturellement. De tempérament serviable, il aimait donner sans arrière pensée. N’ayant point de fortune, la moindre chose qu’il pouvait faire pour aider son prochain, l’acteur s’exécutait avec plaisir. Il ne demandait jamais rien en retour. Ce n’était pas dans ses habitudes ni dans ses volontés de toute façon. Avec Viktoria, il était vrai que le Workers tachait de se faire plus attentionnée que jamais. Il aimait l’étudiante. Par le passé il l’avait blessée et aujourd’hui il souhaitait se racheter. Pacey savait qu’il n’avait plus aucune chance avec elle. Si elle ne lui pardonnait jamais, il ne pourrait lui en vouloir. Enfin soit. Le fait que la Sampi remarqua les efforts qu’il faisait envers elle lui donna du baume au cœur. Un petit sourire naquit sur ses lèvres mais sa gêne l’effaça aussitôt. Détournant le regard, l’enseignant aurait voulu se faire tout petit pour se cacher dans le trou d’une souris. Il n’aimait pas être mis en avant. C’était le comble pour l’acteur qu’il était. D’où le fait qu’il préférait largement se réfugier derrière une caméra.
Avec son éternelle maladresse mélangée à sa franchise déconcertante de par son stress, Pacey demanda tout bonnement avec la naïveté d’un enfant si son ex petite amie était en cloque de son nouveau compagnon. La réaction de Viktoria fut immédiate. Elle avait bu de travers et s’étouffa. Se rendant comptant de son erreur, Pacey lui tapota gentiment entre les omoplates pour la soulager de sa toux, lui conseillant de respirant lentement. Elle lui expliqua que quasiment tout le temps où elle était avec Mason, elle avait été hospitalisée et que coucher dans un lit médicalisé elle n’aurait pas aimé. Lorsqu’elle lui demanda d’où venait sa question, Pacey fut encore plus déstabilisé.
Pacey fuyant une nouvelle fois son regard : " – Bah je ne sais pas moi… Euh… Bah… Ca… Ca aurait pu être un de tes fantasmes à toi ou lui de… De… De le faire dans un lieu public comme à l’hôpital… “
Il se mit fortement à rougir. Parler de sexe n’avait jamais été évident pour lui. De par cette réflexion, Pacey se rendit compte qu’il ne connaissait aucun des fantasmes de la femme qu’il chérissait le plus au monde. Autant qu’elle, elle savait certaines choses sur lui à ce niveau-là et qu’elle devait se douter qu’elle était devenue l’unique raison de ses fantasmes à ce jour, autant que lui était dans l’ignorance la plus totale.
L’aveu de la Sampi sur sa rupture avec Mason fut on ne peut plus déconcertante. Sur le coup Pacey avait du mal à réaliser que Viktoria ne sortait plus avec l’Alpha. Elle ne voulait pas s’étendre sur le sujet ce qui était compréhensible.
Pacey désarsonné : " – Je suis désolé que cela n’ait pas marché avec lui… Sincèrement… Si tu veux en parler, je sais être une oreille attentive sans faire aucun jugement mais si tu ne veux pas, je te comprends. Ce n’était jamais évident de parler de ses anciennes relation amoureuses. Surtout avec un de ses ex petits copains… Euh… Enfin je l’imagine… “
Pacey n’avait jamais été dans ce cas-là. Et si jamais il avait une amourette avec une autre femme, il ne se voyait pas du tout se confier sur ça à la Sampi.
Pacey tenta de s’expliquer : " – Je suis vraiment qu’un imbécile… Je… Enfin… Tu… Enfin tu étais en couple avec lui. Et comme tous les couples j’imagine que vous… Enfin tu vois quoi… Et…Euh… Et puis bon sauf s’il avait ce qu’il fallait sur lui pour éviter une grossesse, tu… Tu aurais pu très bien attendre un bébé… Je trouve que tu as maigrie un petit peu. Et bon on dit toujours qu’une future maman a des nausées et des vomissements les premiers mois ce qui aurait pu expliquer ta perte de poids. Mais bon j’avais un peu oublié à quel point la nourriture de l’hôpital est on ne peut plus infecte… Excuse-moi Viktoria… Promis je vais essayer de ne plus te poser de questions débiles mais je ne te garantis pas que j’y arriverai pour autant…“
Il grimaça légèrement. C’était fou ce qu’il était convainquant. Ironiquement parlant bien entendu…
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Sujet: Re: Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt} Lun 12 Mar - 19:18
Je regardai par la fenêtre un peu désarçonnée par les récentes affirmations de Pacey. Je m’imaginai, l’espace d’un instant maman. Avoir des enfants qui courait partout dans la maison, peut-être une fille qui aimait l’art et un fils qui aimait beaucoup plus frapper un ballon avec ses potes à l’extérieur. Et une maison, assez grande pour que tout le monde aie son espace, et une cours extérieur. Les enfants ont besoin de ces espaces. Peut-être une balançoire et un petit jardin. L’odeur du barbecue qui embaumait l’air. Et quand je me tournais pour voir mon mari au four, je voyais Pacey. Heureux, en santé, les yeux brillant d’amour qui me prenait dans ses bras et m’embrassait avec un amour qui n’avait jamais été éteint, avec le gout de notre premier baiser dans son bureau il y a fort longtemps. Et moi, j’étais heureuse, amoureuse comblée.
Je me secouai légèrement la tête pour effacer cette vision qui faisait battre mon cœur comme jamais. Je bus mon café en tentant de me calmée alors que Pacey continuait a se confondre en excuse et se rattraper pour dire que je n’étais pas grosse. J’eu un sourire amusée. «Y’a pas de mal Pacey, oublie ca tu veux.» Dis-je en tournant me regard vers lui. «Mais apprend à pas lancer des trucs du genre directement, si tu avais des doutes, il y a des façons de le demander tu sais. » Je rigolais légèrement, histoire de lui montrer qu’il n’y avait de rancune. C’était assez irréel pour moi de devoir expliquer cela à quelqu’un de plus vieux, mais Pacey ne cessera jamais e me surprendre et ce dans tout les aspects de sa vie. Je jouai légèrement avec mes cheveux, histoire qu’ils tombent en cascade sur mes épaules chose qui était beaucoup plus gracieux. Je ne draguais pas Pacey, pas directement en fait. Je me demandais si suite à la nouvelle de Mason et moi il avait réussis à passer à autre chose. Si c’était devenu l’élément qui coupa les ponts entre ce que nous avions vécu. Une seule chose me le dirait, le temps. Mais je lui laisserais le bénéfice du doute s’il me disait qu’il avait réellement réussis. Et moi, je devais me faire à l’idée que la vision que j’avais eu plus tôt ne serait qu’un rêve éternel. Enfin bref, là n’était pas le point. Le début de notre rencontre avait été assez tendu, et je devais détendre l’atmosphère. Et comme mon invité avait lancé le sujet, je pouvais glisser sur un sujet qu’il détestait. C’était le temps de décoincé un peu ce worker… et d’apprendre à le découvrir un peu plus. «Faire l’amour dans un lieu publique, ouais c’est quelque chose qui m’a toujours allumer, mais moi je fantasme depuis toujours de pouvoir le faire à l’école. » Je rigolai un peu. «Et toi, t’as surement un fantasme?»
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Sujet: Re: Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt} Mar 13 Mar - 15:50
Dans sa maladresse légendaire sans parler de son stress, Pacey-Danyaël avait beaucoup tendance à parler un peu trop directement. Pourquoi y aller par quatre chemins en tournant autour du pot plutôt que d’y aller franco ? Depuis la veille l’acteur se torturait l’esprit pour savoir ce que Viktoria avait à lui dire. La sachant avec un petit ami, pour le Workers la question de la grossesse était l’une des plus probables. Mais non. La Sampi lui annonçait ce qu’il n’osait espérer même dans ses rêves les plus enfouis. Elle avait quitté Mason. L’enseignant aurait aimé en savoir plus. Pourquoi avait-elle mis fin si vite à cette relation naissante ? Pourquoi vouloir l’annoncer à son ex petit ami alors qu’elle savait pertinemment que ce dernier l’aimait toujours ? Pacey se refusait d’être heureux de cette rupture. Pour lui, seul le bonheur de sa chérie était ce qui comptait le plus. Et si ce bonheur devait se faire sans lui, il n’aurait pas d’autres choix que de l’accepter. Faire taire les souffrances de son cœur et de son âme face à celle à qui il avait demandé sa main pour ne pas la bouleverser. D’un amour qui était devenu à sens unique, le garçon ne pouvait vivre que dans l’espoir d’une amitié pur et sincère. D’ailleurs en parlant d’amitié, cet aveu de rupture était la preuve première de cette nouvelle relation qui naissait entre Pacey et Viktoria. A aucun moment le jeune homme n’y voyait là autre chose. Il aurait pu y voir l’amour qu’elle était susceptible de lui porter toujours. Mais non. L’acteur ne voulait pas. Il ne se remettait pas de cette fin si tragique sur eux. Il y a moins d’un mois de cela, la Sampi avait passé la nuit avec lui. L’enseignant avait réellement cru qu’elle était revenue pour de bon. Que nenni. Pour cela, il se refusait tout espoir à présent. Chaque faux espoir était tout aussi douloureux que la rupture en elle-même. Si ce n’était plus encore. Pacey n’en avait plus la force.
Pacey : " – Moui… Euh… N’oublies pas de me le rappeler la prochaine fois alors. “
Viktoria lui apprenait comment parler à une femme. Ce n’était pas la première fois que cela se produisait entre eux. Une situation bizarre lorsqu’on savait qu’il avait huit ans de plus qu’elle. Mais qui l’était beaucoup moins lorsqu’on savait aussi que la Sampi fut la seule véritable petite amie qu’il ait eue. La conversation prit une tournure assez inattendue. Voilà maintenant qu’ils parlaient de ses fantasmes. Sujet qui mit aussitôt Pacey extrêmement mal à l’aise. Viktoria lui confessa le sien : elle aimerait le faire à l’école. Sur cet aveu, le garçon eut un flash. C’était le jour où la Sampi était venue dans son bureau pour lui ramener ses affaires. Ils étaient en train de rompre et lui de faire ses cartons car il avait été renvoyé. Ce jour là Viktoria lui avait fait des avances mais aussi offert ce livre sur la sexualité. Maintenant le jeune homme se rendait compte qu’elle voulait réaliser ce fantasme là avec lui. Ce souvenir le rendit plus triste qu’il ne le voulait. Bon acteur il sut enfouir ses sentiments pour ne rien montrer à son ex. D’ailleurs cette dernière l’interrogea sur ses propres fantasmes à lui. Pacey ravala difficilement sa salive. Il était extrêmement nerveux. Son plus grand fantasme, il savait qu’il ne se réalisera jamais. Toujours amoureux d’elle, il ne pouvait pas lui avouer que c’était elle. Jours et nuits il fantasmait sur elle. Non vraiment il ne pouvait pas le lui dire. Sinon adieu leur amitié et plus rien ne le relirait à elle. Et ça il ne le supporterait pas.
Pacey : " – Comme… Comme… Comme tout puceau attardé et romantique, c’était de… De perdre ma virginité dans les bras de mon âme… “
Il était tellement nerveux que ses derniers mots étaient à peine audibles. Et se rendant compte de l’erreur qu’il allait commettre il abrégea sa phrase puis se reprit.
Pacey : " – Enfin voilà quoi… “
Le Workers rougissait de plus en plus. Devenu trop mal à l’aise, il se leva et alla à la fenêtre pour admirer la vue de dehors. La réaction de Viktoria fut immédiate. Elle voulait savoir ses nouveaux fantasmes. Pacey était naïf. Sans elle il n’avait strictement aucune sexualité et en était frustré. Il ne se voyait pas coucher avec une autre femme. Encore moins avec ce livre qu’elle lui avait offert et qui était la preuve qu’il n’était pas capable d’être bon au lit.
Pacey : " – Avoir une petite amie et savoir lui faire l’amour. C’est… C’est ce que j’aimerai… “
Il s’était tourné vers elle. Essayant en vain de la regarder, voir sa réaction, mais il n’y arrivait pas. Pacey avait les joues écarlates à présent. Il espérant secrètement qu’elle lui fiche la paix avec ça. Qu’elle ne lui pose pas de poser sur la fameuse fille avec qui il aimerait être. Pour revenir à Viktoria et tentait de plaisanter en tant que seul ami…
Pacey : " – L’avantage est que si tu… Si tu sors avec un autre étudiant tu pourras peut être le réaliser ton fantasme. “
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Tout peut changer autour d'un café | Princesse ♥ {hOt}