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« what doesn’t kill you…»

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MessageSujet: « what doesn’t kill you…» « what doesn’t kill you…» EmptyMer 7 Mar - 16:38

kyarah j. e. middleton & Hélias Y. Hemingway

« what doesn’t kill you…» Tumblr_m0f6pmIFTC1rqqs9lo1_500

    Quelques semaines plus tôt.
    J’étais coincé derrière cette table de buffet. Cette Saint Valentin, elle était sensée marquer le jour des amoureux, à ce jour, elle était la journée du Diable en personne. Ou des Diables. J’avais une difficulté folle à respirer sous la peur des tireurs complètement fous. Merci les crises d’asthme qui n’arrive jamais au bon moment ! J’avais perdu Dylan dans la cohue de la foule d’étudiant paniquée. Et le message que j’avais tenté de lui envoyé n’avait eu aucun retour. D’autres étudiants étaient là, dont Hélias. Il savait très bien que nous n’étions pas en sécurité en restant dans la cafétéria au moment des faits. Je peinais à respirer, mais à croire qu’Hélias attendait un miracle, car il avait pris ma main pour sortir de la cafétéria. On dit toujours que les meurtriers reviennent sur leur pas, donc autant aller ailleurs. Je courais à moitié accroupie – comme si ça allait changer quelque chose – la respiration de plus en plus à court, et le regard qui tournait dans tous les sens. Je savais qu’à chaque intersection de couloir, je risquais ma vie, ainsi que celle de celui qui allait être mon héro. Au bout de quelques secondes, je m’arrêtais en plein milieu d’un couloir, je n’en pouvais plus. Ma main serrait dans celle du beau brun, je ne descerrais pas, mais l’autre main tenait ma poitrine. Comme la sensation que d’une seconde à l’autre, mes poumons sortiraient de mon corps tellement qu’ils me faisaient mal. « J’en peux plus, j’arrive plus à respirer Hélias.. » avais-je dis d’une voix faible. On n’avait pas beaucoup de temps devant nous pour nous cacher, et on entendait des gens hurlaient non loin de nous. « Allez vient Kyarah, on va trouver une salle rapidement, on ne peut pas rester là. » J’inspirais profondément, et je suivais Hélias comme son ombre sans le lâcher. J’entendais les poignées tournaient au fur et à mesure qu’on longeait les salles de classe. Il était évident que les professeurs n’avaient pas prévu ce genre de coup et que les salles étaient fermées. Enfin encore fallait-il que tous les professeurs aient la même conscience. Des salles encore étaient ouvertes, et nous nous retrouvions avec quelques étudiants qui étaient tout aussi paniquée que nous, mais en silence. En attendant que les secours nous donnent la voie de libre pour partir.

    Aujourd’hui.
    Je n’oublierais jamais ce qui s’étaient passé dans cette salle, ce souffle court, cette sensation que la mort était là à chaque seconde. Au point même de faire des choses que l’on fait seulement quand on pense que l’on va mourir. Hélias et moi on s’était embrassé, comme on embrasse quelqu’un avant de ne plus jamais le revoir de sa vie. J’avais connu des baisers renversant, mais s’était surtout des hommes doués avec leur langue, car je ne n’avais jamais connu un baiser d’amour. Pas d’amour tout court d’ailleurs. Mais j’étais belle et bien vivante aujourd’hui, et je respirais comme tout le monde en ce moment précis. Depuis cette fusillade, je n’avais pas revu Hélias, et ça faisait quelques semaines maintenant. Le fuir ? C’était exactement ça, je ne me voyais pas en face de lui, sans savoir ce que ça voulait réellement dire.
    J’étais dans les couloirs de l’université. Il était huit heures deux et j’avais cours dans une dizaine de minutes, en imaginant que le professeur soit là à l’heure, ou soit là tout court. J’allais à mon cassier pour prendre mon livre d’anatomie physiologie et de monter au deuxième ensuite pour rejoindre ma salle de classe. J’avais tout ce qu’il me fallait sous le bras. Je claquais mon cassier et je jetais un coup d’œil autour de moi. Drôlement calme, beaucoup trop calme même. Le chaos des semaines précédente étaient toujours présent et n’avait pas quitté les esprits des étudiants ayant été présent ou ayant du cœur tout simplement. Des blessés et des tués, qui aurait pu croire que ça pouvait nous arriver à nous aussi, à Berkeley, l’une des meilleures universités au monde. Je me retournais enfin perdue dans mes pensées de cette journée. J’aurais aimé repartir quelques jours en arrière où j’étais partie à Paris avec Dylan, ma cousine. Il n’y avait pas à dire, être loin pendant quelque temps de l’université m’avait fait grand bien, je ne voulais plus penser à tout ce qui était relié de près ou de loin à cette école, ça comprenait le baiser avec Hélias dont je n’avais parlé à personne. Je continuais d’avancer au travers du couloir, plusieurs personnes traversaient mon esprit : Dylan, Elena (la marraine défunte de ma cousine), Félina à laquelle j’avais annoncé qu’elle était ma demi-sœur, Eden qui malgré tout ça, me vouait toujours une haine sans merci – tout comme moi d’ailleurs – et bien d’autres personnes encore. Un message en court de route pour Hope, avec tout ça, je ne l’avais pas vu depuis un petit bout de temps, et je devais avoir des tonnes de choses –comme elle d’ailleurs – à lui dire. coucou ma puce, comment tu vas ? on prend le temps de ce soir bientôt. i miss you girl. Je sentais le téléphone vibrait en guise d’accusée de réception – je vous jure que des gens le mettent encore sur leur téléphone – et il ne me restait plus qu’à attendre qu’elle me réponde, c'est-à-dire, très vite. Vive les accros de la nouvelle technologie. Il ne me restait que quelques minutes avant d’arriver en cours. J’étais large. Enfin, je l’étais avant qu’on ne m’entraine par le bras dans une salle que je connaissais pour avoir pris des cours avec Achille ici, mon tuteur en matière de médecine. Des cours que je devais obligatoirement prendre si je voulais obtenir l’accord du Doyen pour revenir rester définitivement ici. Mes résultats de ce semestre validera ou non ma réinscription définitive à Berkeley, pour le moment, j’étais sur la corde raide et sans le droit à l’erreur. « Je n’ai pas le temps pour jouer, j’ai cours !» avais-je annoncé avant de me retourner et de voir qui était cette personne. « Hélias… » J’étais sans voix en faite, ou presque. « Ecoute là, j’ai cours, mais on se voit plus tard si tu vois ? » Mais bien sûr Kyarah, tentative d’évasion. Même pas crédible. Je m’avançais vers la porte pour moi sortir, mais apparemment le « plus tard » n’était pas dans les mêmes projets que l’alpha en face de moi. Je revenais sur mes pas, je sentais que la matinée allait beaucoup plus mouvementé que ces couloirs de l’université.
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MessageSujet: Re: « what doesn’t kill you…» « what doesn’t kill you…» EmptyMer 7 Mar - 19:15


    « what doesn’t kill you…» Tumblr_lygpj5I9kC1rnw6pdo1_r1_500
    kyarah&hélias Ne me fuis plus, j'ai besoin de toi• why we love but are afraid to say it? I wonder though. Going to have to admit that one day you think?on the road to happiness


Plusieurs semaines sont passés depuis ce drame. Quel drame? Une fusillade à Berkeley. Vous me croyez pas? J'y étais, et ce n'était pas de tout repos je peux vous l'assurer. J'étais là, et je ne cessais de me dire que j'allais mourir, c'était tellement réel, si réelles que certaines personnes autour de moi pensaient au suicide. Une épreuve traumatisante croyez-moi, et encore t pas comme si j'avais été blessé. Il y a eu des morts, des blessés, de tout quoi. Vous auriez vu, tous ces gens qui couraient dans tous les sens tentant de s'échapper, de se cacher. Limite ça faisait penser à un cirque, on aurait dit une mise en scène à première vue. Qui aurait imaginé que ça nous arrive, à nous, jeunes étudiants brillants? Même moi, j'ai été l'un des premiers à me dire qu'ils avaient fait ça pour nous foutre un coup de pression. Jusqu'à ce que je voie, cet abruti derrière l'une des portes face à moi, une arme à la main. Kyarah était sur mon passage, affolée. C'est là, que je l'ai chopper par le bras et lui ai dit « Allez vient Kyarah, on va trouver une salle rapidement, on ne peut pas rester là. » Nous nous sommes mis à courir pour enfin trouver une salle dans laquelle se cacher. Arrivée, on entendait des coups de feu à l'extérieur, c'était horrible. À chaque coup lancé, un frisson envahissait mon corps tout entier et mon coeur se mettait à battre vite, je le sentais vibrer dans ma poitrine. Dans ma vie, j'ai été surprotégé, je n'ai jamais connu aucun danger et je regrette d'ailleurs que mes parents ne m'aient pas appris cette chose de la vie. De ce moment traumatisant, je n'ai qu'un souvenir magique. Le moment où moi et Kyarah on s'est embrassé. Je ne sais pas vraiment pourquoi cela est arrivé. Mais ce que je sais, c'est que nos émotions étaient chamboulées, on se voyait mourir d'une seconde à l'autre et il valait mieux profiter des derniers instants non? J'avoue qu'à ce moment-là, j'ai pensé à ma peluche Bob l'Éponde, il m'attendait à la maison le vilain -Plaisanterie, faut bien y mettre du comique quand c'est déprimant-. J'ai eu une tonne de copines, et oui je suis un tombeur, j'ai eu un oscar en guise de félicitations, la classe n'est-ce pas? -moment de solitude, ok.- mais jamais encore je n'ai ressenti ce que j'ai ressentie à ce moment. C'est bien pour cela, qu'en ce moment je fuis comme la peste la jeune femme -Hélias le fuyeur hé hé-, c'est tellement gênant maintenant. Nous ne sommes pas morts, mais bel et bien en vie -bon ça, je ne vais pas m'en plaindre je suis bien content, mais adresser la parole à Kyarah est beaucoup plus difficile maintenant-.

Ce matin, j'ai galéré pour me lever. Sérieusement! Je me suis réveillé avec un mal de crâne, le genre de mal qui vous répète sans cesse « Héli', reste à la maison au chaud dans ton lit. » Après la fusillade j'avais déjà séché une dizaine de cours, et comme on dit c'est mauvais, très mauvais. Fallait bien que je remette les pieds dans cette putain d'université. Je saute dans ma douche -parce que oui je me lave, ce n'est pas nouveau. le contact du jet d'eau avec ma peau me fit sursauter. À votre avis pourquoi? Ces saletés m'ont coupé l'eau parce que j'ai insulté le gardien. Attendez quoi! Celui-ci se permet de venir accrocher à ma porte « quand tu rentres tard le soir, je te pris de bien vouloir éviter de marcher sur mon chat qui dort sur ton palier, merci bien. » Mais quels abrutis! Est-ce qu'il a pensé une fois à virer son chat de devant ma porte? Faut arrêter d'être con. Donc, je me lave à l'eau froide. Génial, j'adore, c'est ma passion de me laver à l'eau froide. J'ouvre ma penderie -qui est pleine à craquer, vous imaginez bien-, contrairement à la plupart des mecs je ne mets pas dix plombs à trouver ma tenue du jour. Hop, j'enfile et je prépare mon sac. Deux cours? C'est beaucoup trop. PUTAIN DE MERDE.

Sur le chemin des cours, je pensais à Kyarah encore et toujours. Pourquoi ne m'envoyait-elle pas un message? Pas de nouvelles, rien. Elle devait être aussi gêné que moi, en même temps qui ne le serait pas? Moment de dépression en écoutant The scientist, de Coldplay. Cette chanson, je ne vous la conseille pas quand vous déprimer, ça enfonce encore plus. Je croise plusieurs de mes amis dans les couloirs, tape la cosette, et repars aussitôt. Et là, je vois Kyarah, toujours aussi belle. Le seul truc qui cloche? Devinez quoi? Elle passe devant moi, sans m'avoir vu -même si je sais qu'au fond elle m'a vu-. Attrapant son bras, avant même de voir qui je suis elle lancé « Je n’ai pas le temps pour jouer, j’ai cours !» Mais merde alors. Marre de la fuir, il faute qu'on discute. En me voyant elle laisse s'échapper d'une voix légère « Hélias… Écoute là, j’ai cours, mais on se voit plus tard si tu vois . » Encore une de ces vieilles excuses pour se sauver. Ça ne va pas marcher, elle doit le savoir d'avance. « Tu partiras pas, tu es ma prisonnière au cas où te ne sais pas. Va falloir qu'on parle ma belle. Ce n'est qu'un cours, tu vas le sécher pour moi n'est-ce pas? Sachant que maintenant je suis ton superman. » Je lui fais un clin d'oeil, sans même attendre sa réponse je l'entraîne dans une des classes vides et m'assieds sur une table face à elle tout en souriant bêtement.
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MessageSujet: Re: « what doesn’t kill you…» « what doesn’t kill you…» EmptyVen 9 Mar - 0:32

kyarah j. e. middleton & Hélias Y. Hemingway

« what doesn’t kill you…» Tumblr_m0f6pmIFTC1rqqs9lo1_500

    Je supportais difficilement cette université, heureusement que j’avais eu mon échappatoire à Paris, avec ma très belle Tour Eiffel que je vénérais plus que tout. Pour le reste du monde, c’était une grande tour de métal qui n’avait pas forcément beaucoup d’intérêt. Moi pour moi, cette stupide tour de métal représentait mon attachement à ma ville, et je l’avais même en porte-clés ici à San Francisco. Histoire de me souvenir d’où je viens pour le jour où je divaguais totalement. Un peu comme en ce moment en faite. Avec Dylan qui avait repris la drogue en ce moment, je ne pensais plus vraiment à moi, et quand je le faisais, c’était pour sortir, finir ivre dans un coin, ou alors me réveiller dans les draps d’un inconnu que j’avais quitté avant même que le réveil ait pu sonner. Paris me manquait terriblement, même si j’en revenais. Je me promettais d’y retourner aux prochaines vacances, un retour aux sources.
    Mon point d’encrage ici, c’était belle et bien la médecine, je me donnais corps et âme afin de réussir au maximum ma troisième année, je savais qu’il ne me restait plus que deux ans avant de pouvoir devenir interne, et si mes résultats étaient assez bon, voir même excellent, je pouvais être avec mes petits bout de chou, mes petits enfants malades. Je ne m’adonnais plus à la danse, je n’avais plus le temps d’une, et de deux, je savais que quand je me mettais à la danse, je me mettais en danger. J’adorais laisser mon corps voyager sur une mélodie, à tel point que le plus souvent, j’oubliais mon asthme, mais que je finissais sur le sol, le souffle coupait. Shanelle s’en souvient encore de ce moment où elle était venue pour répéter, et j’étais allongée sur le sol dans un semblant de vie. Elle avait fait appelle aux pompiers le plus rapidement possible, et je m’étais retrouvée sous assistance respiratoire pendant quelque temps, histoire de donner un peu de repos à mes poumons. Quelques jours plus tard, j’étais sortie de pneumologie avec des conseils stricts du médecin : ne plus me surmener, de stresse ou quoi que ce soit du même genre. Dr Belkeen, ne devait pas avoir eu de vie à l’université, car rien que le fait d’être ici était un stresse permanent. Alors je ne parlais même pas d’une fusillade où l’on se retrouvait coincer en plein milieu. Je devais m’estimais encore heureuse d’être en vie et de ne pas avoir décompensé, sinon j’étais bonne pour avoir une bouteille d’oxygène avec moi vingt quatre heures sur vingt quatre. Voilà pourquoi je pratiquais moins de danse, pour remercie la vie d’être encore là.
    Mais il ne fallait pas trop m’en demander, comme du genre avoir le sourire quand je me baladais dans les couloirs. C’était peut être aussi d’ailleurs pour ça que je n’avais pas senti quelqu’un me prendre le bras et de m’emmener dans une salle de tutorat. En même temps, ça c’était fait avec force et douceur à la fois, doux pour ne pas me tirer de mes pensées trop brutalement, et avec virilité pour dire de m’entrainer. Hélias. Un nom qui se résumait à beaucoup de chose et rien en même temps. Un rencontre au détour d’un stage de deuxième année, où je soignais sa mère à qui il venait rendre régulièrement visite. Par l’intermédiaire de mes dossiers de soins, je connaissais sa vie de famille, et autant dire, j’avais particulièrement pris cette famille à cœur, alors que j’étais sensée garder une distance professionnelle. Mais je n’y arrivais pas. Et quand mon stage s’était terminé, j’étais contente de voir que c’était un étudiant de Berkeley, ça me permettait de suivre – même de loin – l’état de santé de sa mère. Pas très bon pour le secret professionnel, mais on s’assurait que personne ne pouvait nous entendre quand on en parlait. Quand bien même être entraînée comme ça pouvait me mettre facilement sur les nerfs, il savait comment détendre l’atmosphère en quelques mots, quoi que. « Tu sais que je dois suivre tous mes cours, que va dire le doyen sinon… » Dans le regard d’Hélias je comprenais que je n’avais pas spécialement le choix non plus. « Bon d’accord, mais juste un cours alors. » Alors que les secondes d’avant j’avais envie de sortie de la pièce, je me retrouvais à rester là. Si lui se posait sur une table pour se poser, je gardais une certaine distance en m’asseyant sur une table en face de lui. Vive les salles de tutorat qui possédait des tonnes de table. « Désolée pour le peu de nouvelles. » avais-je dis en regardant partout sauf mon superman, mais je rattrapais vite. « Bon d’accord pour l’absence de nouvelles. » je souriais légèrement. Il ne fallait pas avoir un baccalauréat plus quinze – comme on pouvait dire en France – pour comprendre de quoi il voulait parler. Autant commencer par des excuses tout de suite. Je voulais commencer à dire un truc, mais par où commencer. S’excuser d’un baiser ? Je ne savais même pas encore ce que je devais en penser. A moins qu’il n’y avait autre chose. Satané cerveau, il ne pouvait pas y exister un bouton off un petit peu ? Personnellement, ça m’arrangerait bien tout de même. « Tu voulais qu’on parle alors superhéro ? Tu n’as que deux heures à ton actif…» je marquais une pause, je sortais mon téléphone, et lancer une fonction du téléphone. « Top chrono ! » Bon d’accord petit blague foireuse, mais bon, tout était bon pour essayer de se détendre. Je posais mon téléphone à côté de moi, et je retirais ma veste. L’avantage d’être dans une université avec des prix exorbitant, c’était que le chauffage fonctionnait toujours à bonne température. Ma veste en faux cuir, sur mes affaires de cours, je laissais apparaitre un haut à manche trois quart dans les tons rouge qui mettait mon teint en valeur. Il n’y avait qu’une femme pour savoir que le rouge était une couleur idéal pour les blondes aux yeux clairs. Ah la mode, ça tuera plus d’un homme. J’osais enfin regarder mon superman dans les yeux après avoir tirer un peu sur mon haut pour éviter l’effet froissé. Bon dieu, son regard avait du en rendre folle plus d’une, et ça il n’y avait pas besoin de tomber amoureuse de cet homme pour adorer son regard.

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MessageSujet: Re: « what doesn’t kill you…» « what doesn’t kill you…» EmptySam 14 Avr - 16:04

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