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Nevermind I'll find someone like you - Ebony

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MessageSujet: Nevermind I'll find someone like you - Ebony Nevermind I'll find someone like you - Ebony EmptySam 3 Mar - 11:51

Léonie Ҩ Ebony
« Les amis c’est comme les lunettes, ça donne l’air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! »


Je me retrouvais à présent toute seule à la table face à deux tasses de chocolats vides. Aleyna m'avait laissé pour un cours de je ne sais plus quelle matière et c'était à mon tour de payer. Elle avait voulu m'attendre mais j'avais insisté pour qu'elle file. Si nous étions parties à la bourre pour déjeuner c'était ma faute, j'étais restée à la fin de mon cours pour discuter avec mon professeur de droit et forcément quand il est lancé, il ne s'arrête plus. Elle m'avait alors gentiment attendu sans me faire aucune remarque, après tout elle savait que j'aimais en apprendre toujours plus et j'étais souvent la seule à rester à la fin du cours pour avoir des détails sur certains points. Ce que je faisais me passionnait et j'aimais toujours approfondir et ne pas me contenter, comme tout ceux de ma classe, du cours que mon prof nous délivrait. C'était mon côté perfectionniste que beaucoup ne supportait pas, en même temps je passais facilement pour une lèche-cul mais c'était loin d'être le cas. J'étais venue à Berkeley pour décrocher mon diplôme et il était hors de question que je ne l'ai pas avec les félicitations du jury. Les personnes qui me connaissaient savait pertinemment que je ne me mettais pas en avant, bien au contraire. J'étais toujours là pour les autres, au risque de faire passer ma petite personne en dernière, ce qui changeait de toutes ces garçons et ces prétentieuses qu'on pouvait croiser à longueur de journée sur le campus. Je ne pouvais pas les voir. Elles se prenaient pour je ne sais quelle princesse et oubliaient même qu'elles étaient ici avant tout pour étudier et non pas pour se construire une réputation... A mon humble avis, ces filles-là souffraient d'un manque d'affection par leurs parents ou alors non en fait il n'y avait que cette possibilité. Ca ne rime à rien de descendre les autres pour se sentir mieux, autant aller voir un psychiatre ça sera beaucoup plus efficace ! Un beau sourire menait à beaucoup plus de choses que de la méchanceté gratuite, ça j'en étais persuadée mais beaucoup ne 'lavaient pas encore compris ce qui était dommage pour elles. Elles préféraient donc passer chaque nuit dans un lit différent ce qui me semblait pathétique arrivé à un certain point... J'envoyai un message à Aleyna pour m'excuser de notre déjeuner très court et lui assura de me racheter la prochaine fois. Elle était d'une patience incroyable avec moi et j'étais ravie de l'avoir retrouvé à l'université, ça faisait toujours un visage connu dans un lieu complètement étranger. Je cherchais desesperemment un peu de monnaie dans mon porte feuille ne voulant pas utiliser ma carte bleue pour une addition qui s’élevait à moins de vingt dollars.... Bien évidemment j'avais jamais de billets quand il le fallait... Même avec un beau sourire j'étais quasiment sûre que la fille derrière la caisse n'accepte pas mon billet de cinq... Tant pis, ça me ferait une sortie d'argent en plus sur mon relevé de compte. De toute façon je n'étais pas à ça près. A la mort de ma grande tante j'avais hérité sans rien demander de toute sa fortune soit 3 pavillons et quelques millions de dollars. Je devais avouer que c'était rassurant de ne pas à avoir à se soucier de mes relevés de comtpe surtout que papa et maman ne m'envoyaient plus rien depuis qu'ils m'avaient viré de la maisoN. J'avais au moins ce problème en moins. Pourtant je n'étais aps le genre de filles de rpofiter de cet héritage. Je ne l'avais pas mérité, cet argent je l'avais nullement gagné et je refusais de l'uitliser comme bon me semblait. Je ne voulais aps dépendre de cet héritage. C'était une sorte de bonus, oui je le voyais plus comme ça. Comme une sureté au cas où il m'arrive un gros pépin. Mais je regusais de faire des folies dans les magasins parce que j'avais le comtpe en banque pour. D'ailleurs personne n'était au courant de cet héritage et c'était pour le mieux. Je voyais djéà venir les filles à papa ou même les pauvres de service essayer de m'extirper de l'argent. Je ne voulais pas être trop bonne trop conne. J'étais avenante et altruiste mais il y avait tout de même des limites. Après avoir payé avec ma carte bleue et laissé mon billet de cinq en guise de pourboire, je rangeais toutes mes affaires et pris le chemin de la sortie. Je n'avais pas cours cet aprem et j'avais envie d'en profiter. Certes j'étais seule mais pour une fois je ne voulais pas rentrer et me plonger dans mes bouquins. J'étais plus qu'à jour dans mes révisions et mes dissertes et je voulais profiter de mon après midi. Je n'avais qu'un seul impératif, celui d'aller à l'hôpital du centre ville pour aider les infirmières. J'étais depuis quelques temps bénévole dans le service de pédiatrie et ça me faisait du bien. Les maladies étaient un terrain sensible pour moi et je voulais réellement me battre pour que la recherche avance et que ces petits bouts de choux puissent avoir un avenir certain et non pas des peut être. Ils le méritaient et si je pouvais un temps soit peu soulager les infirmières te les médecins en venant lire des histoires ou jouer avec eux quelques heures, c'était toujours ça de gagner. Je comprenais que les parents en pouvaient pas rester vingt-quatre heures sur vingt quatre à leur côtés, c'était épuisant pour eux et puis ils avaient le boulot à côté pour pouvoir payer tous les frais médicaux... Je savais bien que je ne faisais pas grand chose au final mais c'était la chose que je puisse faire. Donner de mon temps pour les autres et trop peu de personnes le faisaient. Je posai mon sac sur un banc afin de vérifier à quelle heure je devais être à l'hôpital quand une douleur me transperça la poitrine. Je n'avais jamais eu ça encore. Je ne tenais même plus debout. Je m'effondra sur le banc et essaya tant bien que mal de soulager cette douleur en faisant pression avec ma main mais rien ne marchait. Je n'arrivai même plus à émettre un son, j'étais tétanisée par la peur et par la douleur. Je ne savais pas ce que j'avais. J'avais terriblement mal. Un poignard s'enfonçait peu à peu dans mon coeur et j'étais paniquée. Qu'est ce que j'étais censée faire ? mes mains tremblaient, je ne pouvais pas crier à l'aide et encore moins bouger.... Personne ne semblait voir que je soufrai le martyre. J'avais oublié à quel point les gens étaient égoïstes....

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MessageSujet: Re: Nevermind I'll find someone like you - Ebony Nevermind I'll find someone like you - Ebony EmptyLun 5 Mar - 22:52

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    La fusillade avait eu lieu il y a deux jours et je ne savais comme réagir après toute cette agitation. J'étais perdue, totalement perdue. Pas dévastée par les morts qui y étaient survenues non, mais dévastée par cette tragédie qui avait une fois de plus touchée ma vie. J'avais vécu beaucoup de choses traumatisantes ce qui expliquaient nombre de choses sur moi ! J'étais le genre de filles qui se fichaient de tout le monde, n'avait aucun sentiment. Avoir des sentiments ça voulaient dire devoir réfléchir, pouvoir douter, s'arrêter. Non, moi j'avais juste une envie c'était de parcourir la vie de long en large, de faire tout ce qui me venait par la tête, de jouer avec les gens et avec la vie. Voila pourquoi peu m'approchait. Je manipulais tout le monde à n'importe quel moment, tout cela pour m'amuser, pour pimenter ma vie, pour qu'elle ne ressemble pas à celle de tout le monde. Car il fallait le dire, j'avais peur de l'ordinaire. J'avais peur de devenir comme les autres, piégés par leurs sentiments, piégés par ce qu'ils devaient aux autres, piégés par leurs obligations, leurs bonnes manières et les règles de notre société. Non, moi j'étais intenable, intraitable sur ça et j'étais un ras de marrée sur ma route. Normal après tout que je dirige ma vie de cette manière. D'abord, je n'avais pas eu de famille. A la naissance de mes deux frères jumeaux, mes parents avaient tout bonnement oubliés mon existence pour se consacrer aux deux nouveaux enfants. A l'école je semblais étrange aux yeux des autres et surtout j'avais commencé ce bon jeu de la manipulation pour mon plaisir personnel, pour m'amuser et donc les gens évitaient de m'approcher. De plus, imprévisible, ils savaient qu'être à mes côtés c'était ne pas savoir où l'on tomberait dans l'heure qui suivait. C'était comme ça, je ne réfléchissais pas, j'agissais selon les idées qui crépitaient dans ma tête. Néanmoins, j'avais rencontré quelqu'un comme moi. Quelqu'un d'important dans ma vie, qui aurait dû y rester mais elle avait disparu subitement, descendu par un enfoiré. Et c'était là que j'avais fermé les portes des sentiments. Pour ne plus souffrir, pour ne pas douter, pour avancer sans rendre de compte à personne car si je m'arrêtais j'avais l'impression que je pouvais être perdue. Puis mon ami d'enfance était revenu et tout s'était de nouveau compliqué. Le retour de Jayan dans ma vie avait enfin déclenché le deuil de mon ancien compagnon dans mon coeur. Jayan y avait pris sa place sauf que je n'étais pas sûre d'être prête. De plus, mes conneries et je ne savais pas non-plus si ma manière d'être arriverait à être contrôlé. Beaucoup de choses s'étaient compliquées dans ma tête et la fusillade n'avait fait que semer une nouvelle fois le doute. Je ne savais pas quoi faire, que dire. J'avais faillit de nouveau perdre un être cher, peut-être le seul pour qui je pouvais peut-être rouvrir les portes qui menaient à mes sentiments. Mais j'avais été refroidit. Violemment. Je ne voulais pas revivre ça une nouvelle fois. Alors dans les rues de San Fransisco, je déambulait en espérant savoir quoi faire, avoir une réponse. Je devais aller voir Jayan, beaucoup trop de choses s'étaient passés pendant le bal avec l'histoire de Zayn l'homme avec qui j'étais mariée, encore une connerie qui compliquait encore les choses et entre mes doutes, Camélia qui semblait le désirer ... Voila pourquoi je ne voulais pas ressentir. Parce que ressentir c'était se perdre. J'étais perdue, je détestais ça. Mais alors que je me dirigeais vers la rue qui me conduirait chez l'homme qui hantait mon esprit, j’aperçus une jeune femme que je reconnus brièvement pour l'avoir vut à l'université. Elle semblait prise par une grande douleur à la poitrine et les traits tirés de son visage me montrait bien que quelque chose clochait réellement. Je fis mine de ne rien voir n'étant pas du genre à aider mon prochaine. Je passa devant elle mais ses yeux suppliants me firent arrêter un peu plus loin. Je ferma les yeux, merde c'était mon jour de chance apparemment ! Je me retourna doucement et m'approcha d'elle. Putain mais qu'est-ce que je foutais bordel ? Sa va ? Question vraiment idiote puisqu'au moment où je l'a redressais elle s'effondrait sur moi. J'ouvris de suite mon téléphone et joignit le numéro des urgences pour une ambulance. Une fois fait, j'attendis à ses côtés ne sachant trop quoi dire. L'ambulance arriva vite et alors que je m'éloignais, un homme me fit signe qu'il était impératif que je monte avec la jeune femme. J'eus beau dire que je ne la connaissais pas et qu'il ne fallait pas abuser, je fus prise de force pour la fameuse virée en voiture. Quelques heures plus tard, je me retrouvais dans la chambre d’hôpital d'une fameuse inconnue, celle-ci allongée sur un lit, dormant un point fermé. Les médecins m'avaient tenu au courant comme si je faisais partie de la famille et en l'espace d'une heure j'avais découvert cette fille, l'avait emmené aux urgences et connaissait son secret, une insuffisance cardiaque. Regardant par la fenêtre de la chambre ne sachant si je devais partir ou pas je me disais que c'était bien la première fois que quelqu'un pourrait me remercier pour ma générosité !
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MessageSujet: Re: Nevermind I'll find someone like you - Ebony Nevermind I'll find someone like you - Ebony EmptyMer 7 Mar - 11:48

Léonie Ҩ Ebony
« Les amis c’est comme les lunettes, ça donne l’air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! »


Tout s'était accéléré pour moi. Bien trop vite même. Ma douleur au coeur cessait de s'amplifier et je ne pouvais plus bouger. Coincé sur ce point sans pouvoir ne serait ce attraper mon portable pour appeler les secours. C'était bien ma veine d'aider mon prochain dès que j'en avais l’occasion mais quand il s'agissait d'être aidée, il ne semblait y avoir plus personne. Ce qui était bien malheureux. Comment on pouvait vivre dans un monde où les gens étaient si égoïstes et si égocentriques ? Je ne demandais pas grand chose. Quelqu'un qui appelait les secours pour moi. Après la personne pouvait repartir mener sa vie ais je voulais juste qu'on évite de me laisser mourir sur ce banc. Je pensais ne pas mériter une fin comme ça. J'avais tellement aidé de personnes, du moins j'essayais de le faire dès que je pouvais. Je faisais toujours passer les gens avant moi. C'était essentiel pour moi de me sentir utile. J'avais une vie que je n'aurai jamais imaginé avoir le jour où j'ai quitté la maison familiale sur les ordres de ma mère. A ce moment là, j'avais eu l'impression que c'était fini pour moi, que je finirai probablement strip-teaseuse ou même serveuse dans un bar miteux à vie. Ils m'avaient coupé les vivres, je venais à peine de décrocher mon bac et j'étais déjà à la rue. Tout mon avenir s'était alors effondré devant moi, sans que je ne puisse me rattacher à quelque chose qui me tenait à coeur. J'avais tellement perdu en l'espace de quelques semaines que j'avais aussi perdu espoir de pouvoir être heureuse... Mais la chance m'avait souri sous les traits d'une grande tante à moi qui avait dû arrêter de me voir à cause de ma mère qui ne la supportait pas. De toute façon ma mère n'était pas e genre de personne avec qui on pouvait passer deux semaines sans se tirer une balle... En montant dans cet avion pour San Francisco j'avais de suite su que c'était un nouveau départ qui s'offrait à moi et je voulais ne pas gâcher cette deuxième chance d'être heureuse. Je voulais mettre toutes les chances de mon côté pour partir sur de bonnes bases et je refusais de m'obliger à être quelqu'un que je voulais aps être. J'étais donc devenue cette sampi toujours prête à aider son prochain, adorable avec les autres du moins qui essayait et qui se retrouvait quasiment en train de mourir en pleine rue sur un banc... J'avais encore du mal à comprendre comment on pouvait passer son chemin sans rien faire mais je ne comprenais de toute façon pas beaucoup de personne. Pour moi, c'était naturel d'aider les autres mais l'égoïsme avait apparemment pris le pas sur l'altruisme ce qui était malheureux. Pourtant une jeune fille semblait s'être prise de pitié pour moi et me demanda si j'allais bien, je n'arrivais même pas à ouvrir la bouche tellement la douleur me transperçait la poitrine. J'avais les jambes qui tremblaient et je m'effondrai sur elle dès qu'elle essaya gentiment de me faire tenir debout. Mon corps semblait me dire qu'il ne pouvait plus. Mon coeur ne semblait pas réussir à suivre mes mouvements et il me disait d'arrêter, que c'était trop pour lui. Je ne comprenais pas. J'avais le cerveau qui marchait à plus que trois cent à l'heure. Etait-ce ce dont ma mère m'avait parlé au téléphone ? Ce possible problème cardiaque que j'avais hérité ? Je n'arrivai pas à réfléchir correctement et la jeune fille appela vite les secours. Je ne pouvais pas assez la remercier pour ce qu'elle faisait pour moi car après tout elle m'avait probablement sauvé la vie en décrochant son téléphone. Je cru pendant un instant qu'elle allait continuer son chemin et repartir, ayant fait sa bonne action de la journée mais elle resta à mes côtés peut -être plus par obligation que volonté mais ça me rassurait. Elle ne pouvait pas faire grand chose mais elle attendait d'être sûre que l'ambulance allait bien arrivée. A première vue elle n'avait pas semblé relativement touché par ma situation ayant continué son chemin juste devant moi mais elle m'avait changé d'avis à peine après avoir fait deux pas devant moi et heureusement. J'entendis en fond sonore l'ambulance arrivée et je sentais que mon corps lâchait. J'étais probablement en train de tomber dans les pommes, ils s'occupèrent de moi et je ne voyais plus grand chose mais sur le trajet je réussi à ouvrir les yeux et la vis à mes côtés dans l’ambulance. Je ne savais pas exactement pourquoi elle l'était là mais j’espérais pouvoir la remercier comme il le fallait une fois que mon état se serai stabilisé.

Je ne savais pas combien d'heures s'étaient écoulées depuis que j'avais ouvert les yeux pour la dernière fois dans cette ambulance mais je commençais à me réveiller. J'étais sur un lit d'hôpital et je me sentais encore faible. J'avais l'impression d'avoir pas manger depuis de s jours... Je devais probablement être pâle comme un cachet d'aspirine. Quand j'essaya de me mettre bien sur le lit je sentais un fil tiré sous ma chemise d'hôpital. Je ne savais pas ce qu'ils m’avaient fait, ce qu'il s'était passé et ce que j'avais eu, mais je vis la jeune fille qui m'avait secouru devant la fenêtre de ma chambre. Elle ne devait pas savoir que j'étais réveillée et j'étais ravie de savoir qu'elle était restée tout ce temps. Tout le monde ne l'aurait pas fait... Pourtant elle était là. Dans ma chambre d'hôpital. Après m'avoir sauvé la vie et elle attendait que je me réveille. Je ne savais pas comment je pouvais la remercier mais je voulais au moins essayer de lui montrer combien je lui étais reconnaissante d'avoir fait tout ça. Merci.. merci pour ce que tu as fait pour moi. Tu m'as.. probablement sauvé la vie en appelant une ambulance donc merci. Ma vie était fragile. Je balbutiais et j'avais dû mal à m'exprimer mais ça devait probablement être le contre coup. J'essayai de me redresser tant bien que mal de mon lit mais j'avais ce fil qui semblait être relié à mon coeur qui m'empêchait de faire le moindre mouvement.. J'avais l'air fine ! Euh par hasard sais tu si un médecin va venir... euh... m'expliquer ce qu'il s'est passé ? Elle se fichait probablement de savoir ce que j'avais. Elle était peut-être le genre de personne qui attendait de voir que tout allait bien pour partir et avoir bonne conscience. Elle voulait peut être juste voir que j'étais vivante et qu'elle m'avait sauvé la vie pour repartir. Je lui en demandais peut être trop mais vu qu'elle semblait être là dpeuis le début, peut être savait-elle quelque chose ou même entendu quelque chose sur mon état ou sur la raison de ma douleur...

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MessageSujet: Re: Nevermind I'll find someone like you - Ebony Nevermind I'll find someone like you - Ebony EmptySam 10 Mar - 21:45

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    Je ne savais pas vraiment ce que je foutais là plutôt que de me prendre une raclée par la discussion que j'aurais pu avoir probablement avec Jayan. Mais non, j'étais belle et bien là, à me tenir devant la fenêtre d'hopital, regardant ma montre comme si pourtant le temps n'avait plus d'importance et attendant je ne savais trop quoi. Rendre service aux gens n'était pas mon truc. Je n'aidais personne car jamais personne ne m'avait aidé. Et si l'on m'aidait c'était contre mon gré car j'avais horreur de ne pas me débrouiller toute seule et de me sentir assitée. J'avais horreur de savoir que je ne pouvais pas être indépendante. Une manie chez moi qui énervait nombre de mes amis. Une fois que je réalisais que j'étais beaucoup trop têtue et butée, mes amis m'aidaient comme il le pouvait si on pouvait appelé cela des amis. Pour moi s'en était. Effectivement, les seuls personnes qui avaient ce nom étaient celles qui m'avait étonné le plus dans ma vie et marqué par des évènnements marquants au sein de l'université ou à l'extérieur. Pourtant, pour beaucoup de ceux-ci, je 'éaestais la personne la plus enigmatique qu'ils connaissaient. C'était simple, on pouvait toujours compter sur moi coûte que coûte mais en aucun cas je m'épenchais sur mon passé ou ma vie. Je pouvais écouter si c'était ce qu'ils voulaient mais souvent je ne savais trop quoi en penser. Effectivement, j'étais souvent très mal placée pour m'épencher sur les problèmes des autres. J'en avais déjà bien assez ! Voila pourquoi, pour le peu de personne qui me connaissais, attendre ainsi sans aucun but précis, le réveil d'une jeune inconnue que j'étais sûre de connaître de vue à Berkeley était très intriguant. Vraiment très intriguant... Mais peut-être que c'était mon jour de bonté, mon jour où pour une fois, je n'étais pas la seule qui comptait. Je ne savais pas trop encore comment définir ce qui se passait vraiment mais je ne voulais pas m'en aller. Pourtant d'autres sentiments contraire hantaient mon esprit et venait me crier de déguerpir de cet endroit maudit. Après tout, les hopitaux ça me connaissais et j'avais horreur de ça et pourtant, entre ces quatre murs, j'avais l'impression que je ne pouvais pas dériver, que je pouvais arrêter de penser à cette fusillade, j'étais enfermée dans un endroit où rien de l'extérieur ne pourrait venir parsemer mon esprit de nouveaux troubles. Alors je restais là parce que j'avais peut de sortir. Sortir c'était affronter les doutes qui avaient commencé à m'envahir au moment où mon coeur s'était de nouveau ouvert. Mais je ne pouvais tout de même réprimer mes frissons. Un endroit triste et sombre, là où nombre avait vu la mort. Un endroit qui avait accueillit les bléssés de la fusillade, qui m'avait accueillit moi et Zayn lorsque j'avais pris la décision de l'épauler jusqu'au bout. Soudain, je sentis un corps remuer à côté de moi puis finalement une voix s'éleva dans le calme qui planait depuis plus d'une heure. Je me retourna enfin me sortant de ma torpeur et plongea mon regard dans le sien. Un regard je m'en foutiste, un regard vide de sentiment qui ne savait vraiment quoi répondre. Sa phrase me fit doucement sourire. Comment réagir ? Je ne savais pas vraiment mais je ne pouvais pas vraiment passer pour la fille qui lui avait sauvé la vie. C'était trop peu moi pour que je la laisse me courroner d'éloges de cette manière. Cela me génait presque d'ailleurs ! Alors pour cacher ma gène, ma voix devint sarcastique. Faut pas exagérer non-plus, j'ai pas vraiment le surnom de sauveuse ... M'enfin ma voix n'avait pas été aussi tranchante que récemment. Son regard semblait désespéré, celui d'une personne perdue et je me disais que c'était peut-être le regard que j'avais pu lancé autour de moi au moment où tous mes problèmes m'étaient tombés dessus. Néanmoins, j'avais plus eu l'impression d'être une coquille vide qu'autre chose à cette époque. Elle me demanda alors ce qui lui arrivait, si je pouvais appeler des médecins et je secoua la tête en signe d'approbation, oui c'était le mieux à faire. Appeler un spécialiste. Après tout, je ne savais pas quoi dire et si cela pouvait me permettre de ne pas expliquer pourquoi j'étais encore présente là, tant mieux ! Je fouilla du regard le couloir mais personne en vue. Enfin j'apperçus une infirmière et l'informa que la personne que j'avais emmené ici était réveillé. Néanmoins elle m'informa que les médecins ne pouvaient pour l'instant s'occuper de la jeune femme étant occupée par d'autres cas plus majeurs et qu'ils viendraient dès qu'ils pourraient. Ok, à moi la bonne nouvelle alors ? Même quand ce n'était pas moi, j'étais obligée d'afficher de mauvaises nouvelles. Merde. Je retourna dans la chambre et m'avança vers Léonie en m'écroulant sur la chaise à ses côtés. Ils sont pas disponibles. J'ai entendu que c'était un truc en rapport avec le coeur, quelque chose comme ça ! Je ne savais pas si cela était grave ou quoi, je prenais la situation à la légère ne connaissais pas réellement l'ampleur des dégats. Le visage de Léonie changeant bruquement devant moi, confirma qu'il y avait réellement un soucis et mon visage changeant lui aussi d'expression, passant de lassé à inquièt.
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MessageSujet: Re: Nevermind I'll find someone like you - Ebony Nevermind I'll find someone like you - Ebony EmptyJeu 15 Mar - 19:50

Léonie Ҩ Ebony
« Les amis c’est comme les lunettes, ça donne l’air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! »


Me retrouver à l'hôpital en tant que patiente après les récents évènements n'était pas facile. Je n'avais pas été à l'université lors de la fusillade qui avait eu lieu mais j'étais à l'hôpital. Depuis mon entrée à Berkeley, j'avais décidé de me préoccuper un peu plus des autres après avoir eu les dégâts que pouvait faire une maladie incurable. Toutes les semaines je faisais donc du bénévolat à l'hôpital de San Francisco dans le centre ville dans la section pédiatrie. Beaucoup de personnes de mon âge en avaient marre de ma bonne humeur et de voir que je voulais toujours aider même quand on me demandait rien alors j'avais trouvé un autre endroit et d'autres personnes qui seraient intéressés par mon caractère joyeux et altruiste. Ces enfants faisaient quotidiennement preuve de courage et de force que beaucoup de personnes plus âgés n'étaient pas capables. C'était impressionnant de voir combien je pouvais apprendre de la vie en étant à leurs côtés plusieurs heures par semaine. Ils me faisaient voir chaque moment comme si il était unique et ils appréciaient chaque chose qu'on pouvait leur donner. Beaucoup gardaient le sourire constamment alors qu'ils se savaient condamnés alors que certaines adolescentes avaient l'impression que leur monde s'écroulait quand elle se prenait un râteau ou même que leur copain refusait de les voir. Leur compagnie me faisait du bien et me faisait me rendre compte de beaucoup. Surtout sur le fait d'être reconnaissante d'être en parfaite santé, de pouvoir marcher tous les jours et de de penser à mon avenir qui n'avait pas une fin prématurée. J'estimais qu'il était nécessaire de relativiser et de se rendre compte de la chance qu'on avait. Seulement le bénévolat que j'avais fait deux jours auparavant m'avait fait me rendre compte d'autre chose. Même nous, étudiants en parfaite santé risquions la mort à tout moment rien qu'en allant à l'université pour assister à un cours. J'avais eu la chance de ne pas être dans un des amphi ou même sur le campus quand le drame arriva mais j'avais pu assister à l'horreur de voir certains de mes camarades blessés et couverts de sang en arrivant sur un brancard à l'hôpital. Dès que j'avais entendu l'information je n'avais pas pu m'empêcher de changer de service et de directement me diriger aux urgences. Je n'avais aucune compétence médicale mais peut-être que je pouvais aider les étudiants qui faisaient qu'accompagner leurs proches et qui devaient être en mauvaise état psychologiquement. Je ne pouvais pas faire grand chose ça je le savais mais je pouvais être là si quelqu'un avait besoin de moi. J'étais restée avec une étudiante de première année qui avait vu son petit copain se faire tirer dessus mais sans gravité. La balle l'avait juste effleuré. J'avais pu l'aider à se calmer et j’avais été surtout l'oreille dont elle avait besoin. J'avais mieux compris ce qui s'était passé avec ses explications et je n'avais pas pu m'empêcher d'avoir un pincement au coeur en pensant à tous mes proches qui avaient pu être touchés de quelque manière: Jayan, Payson, Aleyna... Même à mes pires ennemis (et je n'en avais pas beaucoup !) je ne souhaitais pas ça. C'était tellement aléatoire et injuste de mourir de cette façon juste à cause de la haine et de la rancœur que pouvait ressentir certains jeunes... Ça me faisait bizarre d'être une patiente dans le même hôpital alors que j'avais tout simplement fait une crise d'angoisse ou quelque chose. Ça me semblait ridicule à côté de tous les blessés que j'avais vu défilé dans le couloir des urgences le jour de la fusillade.. Pourtant j'étais bien là dans ce lit avec cette nuisette toute moche. Je ne lâchai pas du regard l'étudiante qui m'avait aidée. J'étais quasiment sûre qu'elle était une gamma amis je n'arrivais pas à me souvenir de son prénom. Je ne traînais pas vraiment avec les gens de cette confrérie.... Quand elle répondit à ma question je vis dans son regard qu'elle semblait fuir la vue de ces murs blancs, ces machines voir même le bâtiment hospitalier en lui même. Elle avait probablement assisté à la fusillade et au pire des cas vu quelqu'un de proche périr ou être blessé. C'était donc normal que son regard ne soit pas sûr et affirmé. J'étais peut être celle des deux qui avait été secouru, mon caractère altruiste et légèrement psy prenait le dessus et je ne pouvais pas ne pas poser de questions. Elle avait peut être besoin d'une oreille pour l’écouter, elle avait sûrement besoin de déballer tout ce qu'elle avait sur le coeur ou ce que cet hôpital lui rappelait et je devais faire le premier pas. Je savais très bien que les gens ne se confiaient jamais par eux mêmes mais qu'il fallait toujours que quelqu'un fasse le premier pas. Aujourd'hui c'était moi qui faisait le premier pas vers elle. A prendre ou à laisser. Je te remercierai jamais assez pour ce que tu as fait. D'ailleurs si je peux aider en quoi que ce soit... Je suis là si tu veux parler ou te confier. C'est toujours plus simple de parler à une inconnue tu sais ! Mon beau sourire et ma joie de vivre ne plaisaient pas à tout le monde et souvent on m'avait fait comprendre qu'on pouvait se passer de moi mais c'était plus fort que moi. Je en pouvais pas laisser quelqu'un aller mal juste devant moi alors que je pouvais éventuellement faire quelque chose. Je savais que je ne pouvais pas faire de miracles amis parfois il suffisait juste de parler. Elle n'était probablement pas le genre de personnes à se confier à une parfaite inconnue. Elle semblait assez froide à première vue et distante mais je savais qu'un de mes sourires pouvait briser cette carapace. Je préférais tenter ! En revanche quand je lui avais demandé si elle savait la raison pour laquelle j'étais là, elle était de suite partie chercher une infirmière pour qu'un médecin passe rapidement me faire un petit briefing amis il se révéla qu'ils avaient mieux à faire. Logique... J'étais en parfaite santé, aucune raison de me garder ! Pourtant la gamma avait entendu quelque chose à mon sujet et c'était pas bon du tout... Ils sont pas disponibles. J'ai entendu que c'était un truc en rapport avec le coeur, quelque chose comme ça ! Le mot coeur résonna dans ma tête et mon visage changea immédiatement d'expression. C'était peut-être plus grave que ce que je pensais. Ma mère avait finalement eu raison de me recontacter quelques mois auparavant pour me prévenir que mon grand père avait découvert qu'il avait une insuffisance cardiaque et que c'était héréditaire. J'avais pris ça à la légère. Sans m'en soucier. Je ne voulais pas savoir. Je ne voulais pas m'arrêter de vivre. Je voulais faire comme ces enfants avec qui je passais le plus clair de mon temps. Je voulais profiter de chaque instant et ne pas me savoir condamnée. Je préferai ne pas savoir et vivre plutôt que le contraire seulement là j'étais face à la vérité. Je ne pouvais plus rien faire. A moins qu'elle ait mal entendu ou que ce ne soit rien de bien grave... Je me montais peut-être la tête après tout. C'était sûrement quelque chose d'anodin. Je ne devais pas m'en faire. Elle avait juste entendu un bout de phrase.. Quel..quelque chose au coeur ? Tu es vraiment sûre ?! Ca doit pas être bien grave... Malgré moi j'essayais de me rassurer même si au fond j'étais pétrifiée. J'avais toujours eu la tête haute en ce qui concernait la maladie des autres mais maintenant que ça me concernait c'était tout autre chose... J'avais peut de ce que cela signifiait pour moi. De tout ce que j'allais devoir changer. Je ne voulais pas changer.

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MessageSujet: Re: Nevermind I'll find someone like you - Ebony Nevermind I'll find someone like you - Ebony EmptyLun 19 Mar - 15:09

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    Sa première phrase m'étonna et je ne pus retenir un rire. Pardon ? Me confier de quoi exactement ? Houla, ça y est j'avais à faire à une psy et j'avouais que ce n'était pas du tout ce à quoi je m'attendais. Effectivement, je n'avais rien à faire là et pourtant je restais en espérant que comme ça ma vie aurait une longue pause pour pouvoir réfléchir. Mais là, c'était encore pire si la personne qui se trouvait à mes côtés était le genre de fille à essayer de déterrer certains problèmes chez les autres pour essayer de les analyser. Très peu pour moi, je n'avais aucune envie de lui adresser la parole et même si j'aurais pu, ce qui était bien rare de ma part, elle me refroidissait complètement. Sa manière de me parler me faisait penser que j'avais l'air d'une petite fille perdue devant elle et ce n'était pas du tout l'impression que je voulais donner à la jeune femme qui était censé paraître la plus faible entre les deux. Effectivement, alongée dans un lit d'hôpital, le teint encore blafard par ce qui lui était arrivé, elle pouvait paraître la personne à devoir être ménagé le plus. Mais non, à côté, on aurait pu bien se demander qui était la plus malade des deux. Alors je la regarda longtemps pour savoir si ce qu'elle disait n'était qu'une bonne plaisanterie qui servirait à détendre l'atmosphère ou si au contraire elle était plus sérieuse que jamais. Son regard me démontrait encore une fois qu'elle n'avait pas l'air de rigoler et que s'occuper des gens était peut-être ce qu'elle faisait de mieux. Dommage pour elle, elle était sur le plus gros cas de l'université et sûrement qu'elle n'aurait jamais dû s'y frotter. C'est ce que, du moins, les gens auraient pu lui dire sur moi. Proférer ce genre de choses devant moi, me dire que je pouvais me confier était tout sauf ce que j'entendais vraiment d'habitude. Après tout, la plupart du temps, si on m'aurait dit ça, j'aurais rigolé au nez de la personne et me serait véxé. Pour qui se prenait cette personne ? Et alors pour lui montrer que je n'étais pas faible et qu'elle aurait dû s'occuper de ses propres affaires, j'aurais pu faire le pire que je savais faire, la manipuler, jouer sur les drogues, jouer sur ses limites, jouer sur sa vie. Mais aujourd'hui, bien que je ne savais trop comment prendre ce que venait de dire la jeune femme, je savais que ce n'était pas le jour où j'aurais pu faire la gueule ou quoi que ce soit et elle en avait beaucoup de chance ! Alors je ne dis rien pendant un certain temps, essayant de réfléchir à comment lui faire comprendre que je n'étais pas du tout le genre de personnes à m'épencher sur mes sentiments. Etrange encore plus de se dire que j'étais tellement dans le doute en ce moment que je n'allais pas lui répondre méchament ou autre. Parce que j'ai l'air d'avoir un problème ? C'est pas moi qui me suis écroulée sur un banc en plein centre ville à ce que je me rappelle ... J'aurais pu facilement être beaucoup plus méchante et garce dans ma manière de lui répondre mais je n'en avais pas la force ni le courage et m'entraîner dans une querelle sans fin n'était pas ce que je souhaitais maintenant alors que toutes les autres jours de l'année j'aurais bien voulu en profiter ! Puis son visage changea de couleur très vite lorsque je lui parla des problèmes de coeur et je sentis que quelque chose n'allait pas du tout. Je sentais que j'avais pris l'information bein plus à la légère que je n'aurais dû et effectivement, je sentais que rien n'était ce que j'envisageais. Je pus même dire que Léonie avait l'air d'essayer de se mentir plutôt qu'autre chose. Ce n'était pas grand chose qu'elle disait mais moi j'étais persuadée du contraire. Soudain, je fus plus compatissante et je m'approcha d'elle sans vraiment savoir pourquoi. A te regarder, j'ai pas l'impression que ce soit rien ... T'es malade ? Je préférais posée des questions simples mais aussi franches que possibles n'aimant pas tourner autour du pôt. A voir si la jeune femme allait se refermer sur elle-même comme je l'avais fait ou non ...
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MessageSujet: Re: Nevermind I'll find someone like you - Ebony Nevermind I'll find someone like you - Ebony EmptyJeu 17 Mai - 10:55

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