La bleu clair du ciel avait fait place a la noirceur de la nuit, percement son univers de petites boulles blanches étincelantes, la lune en forme ronde avec des trous comme ceux que l’on retrouve dans un gruyère, éclairait faiblement les rues. La température avait descendue de quelque degré Celsius rendant cette soirée quelque peu frissonnante, mais n’arrêterais certainement pas ces jeunes demoiselles à enfilé leur tenues les plus belles pour une autre soirée dans une boite en plein centre ville. On entendait encore à cette heure les klaxons des voitures, le brouhaha des gens qui parlait ou les rires aigus de certaines filles qui passaient par là, le claquement des escarpins au sol. Percher du haut de son immeuble, cigarette à la main, ongles fraichement manucuré d’une couleur pèche, coiffé d’une tresse en épis de blée ranger sur les cotés, les yeux ombrer lui donnant un regard perçant, les joues poudrer, les lèvres rouge comme du sang, Birdy regardait tranquillement les gens passer sans vraiment porté une grande attention sur eux, robe blanche arrivant mi-cuisse, escarpin noir au pied, tout comme les jeunes femmes de son âge elle se préparait pour une autre soirée en boite en compagnie de ses amies les plus proche récemment rencontrer durant la période son installation. Elle ne croyait pas que les gens de Californie pouvait être accueillant de la sorte, si elle l’aurait su bien plus tôt, elle ne serait pas resté plus longtemps à florence. N’allons pas croire que sa ville natale n’avait rien de chaleureuse, l’image que nous montrait les merveilles de Florence avait été gâché par la vie dure qu’elle eu du vivre durant 18 ans. Elle n’appréciait plus les biens fait que lui portait l’Italie. C’est à San Francisco qu’elle voulait construire un avenir sain et équilibrer, se n’est pas en trainant son passer comme bagage qu’elle réussira à faire abstraction de son cauchemar qui pour elle, lui donnait l’impression de jamais finir. Un jour peut-être, elle ferait souffrir sa source de martyr, un jour peut-être c’est qui lui briser les os de ses mains pour lui faire goutée a sa propre médecine. La vengeance lui rongeait tout le corps, ses pensées plus que macabre se dessinaient dans son subconscient. Elle avait la capacité de commettre un crime à la perfection sans que les policier puisent trouver le meurtrier dans un laps de temps ou durant des années qui pourrait peut-être mettre 20 ans avant d’être résolu. Mais agir de cette sorte ferait d’elle une dérangée comme sa mère, et la seule chose au monde qu’elle ne voulait aucunement ressembler, c’était sa génératrice. La haine qu’elle lui vouait resterais à jamais neutre, ça ne porte a rien de se battre, l’ignorance est la plus sage décision qu’elle doit prendre peut importe cette douleur qui l’a hante. Tirant une dernière taffe, elle jeta le mégot et resserras les pans de son manteau, regarda l’heure de sa montre, retourna à l’intérieur de son immeuble et en sortit quelque seconde après. Les mains dans les poches, elle marcha le regard droit devant elle. Ces yeux bleu-vert circulait de gauche a droite, ne détournant pas le regard quand elle en croisait un autre, dégageant une élégance assuré, elle remarquait bien le regard des hommes posé sur elle, seule aspect qu’elle acceptait d’hériter de sa maternelle, sa beauté. Autrefois, sa mère faisait tournée les têtes du sexe opposé, une époque révolue depuis longtemps. C’est à la vibration du sol que Birdy savait qu’elle proche de sa destination, dépassant la ligne de personne qui attendais à l’entrée dans la boite de nuit qu’elle s’arrêta devant la gorille vêtu de son éternel costumes veste, chemise et cravate noir, Birdy lui offrit l’un de ses sourires dont elle avait le secret qui faisait craqué la plupart des hommes, tous savent que les garde de porte adorait reluquée les jeunes femme qu’il trouvait à leur gout, la dernière fois que la jeune alpha s’était rendue au Lexington avec quelques copines, elle avait intercepté le regarde du gorille sur son corps, elle comprit immédiatement de qu’elle façon elle obtiendrais son passe v.i.p sans faire l’éternelle lignée. Et bien sûre, le gorille la laissa passer sans lui demande carte d’identité, il ne fallait pas être aveugle au point de la confondre avec une adolescente qui se croyait maligne en se faisant passer pour femme de 21 ans que 17 ans, l’âge de la naïveté. Elle s’arrêta au vestiaire et donna son trenchcoat avant de poursuivre son chemin. Dès qu’elle mit les pieds sur la piste de danse, elle fut aveuglée par une lumière rouge que diffusait un spot light, mains devant elle, elle se dirigea vers le bar en traversant la foule, regardant les couples dansées sur le rythme de la musique. Enfin assise, elle leva la main pour attirer l’attention d’un barman en service « un martini s’il vous plait » dit-elle vaguement d’une voix ennuyée, elle regardait ces jeunes gens pas plus vielle qu’elle ou de son âge s’amuser. A croire qu’elle était la seule a trouvé que l’ambiance était à chiée, great. « Pour la demoiselle » dit le barman glissant son verre vers elle un sourire scotché au visage auquel elle ne répond pas. Ouvrant sa pochette pose soigneusement sur sa genoux, elle prit un billet de cinq et lui tendis. « Garder la monnaie » dit-elle avant de prendre une gorgé du martini appréciant son gout sucré et fort, ruminant ses idées noires, son regard se figea sur son verre. Elle le terminant d’un seul coup, grimaçant un peu. Un peu brouillée par l’alcool ingurgité, elle s’en allait prendre la sortie, à quoi rester quand elle n’avait à personne à qui parler et danser en se collant a un mec qui suait a grosse goute n’avait rien d’agréable, ses copines l’avait bêtement laisser tombée, aucune d’entre elles ne c’était montré. Ses pieds lui faisaient atrocement mal dans ses souliers qui lui coupaient la circulation. Elle les retira et les emporta d’une main. Quelque personne lui rentrait dedans ayant en retour un regard noir charbon électrifié de haine. Peu mériter ils détournaient leur regard tout de même, impressionnante cette créature, un brin glacial. Sur le haut de son 1m68, l’italienne pouvait être intimidante. Sans s’y attendre elle fonça directement sur un homme, à en dire sa carrure. Shit, elle se releva ignorant la main tendue vers elle, aveuglé par la colère. Prête à sortir une réplique sanglante, elle ravala vite ses paroles.