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❝on ne facture pas la topissitude et la séductivité.❞ ●● what happen in vegas stay in vegas } mémé&chuchu

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❝on ne facture pas la topissitude et la séductivité.❞ ●● what happen in vegas stay in vegas } mémé&chuchu Tumblr_loekgtl5lG1qhlghto3_r1_250
❝La légende parle d’un héros de légende dont sa maîtrise du Kung Fu était carrément légendaire...❞

De toute façon, qu’on l’ait ou qu’on l’ait pas cette saloperie de Bac, dans 20 ans, on sera grosse avec 3 gamins casses couilles... Et on sera cocufiées jusqu’à la moelle... Mais attends ne soit pas si pessimiste ! Si ça se trouve on est stériles ! i eat when i'm upset, okay ? ;; chuchu&mémé
Kung Fu Fighting by Hans Zimmer & John Powell





Charlotte émergea vers treize heures de l'après-midi. Ouvrir les yeux fut plus compliqué qu'habituellement, et instinctivement, elle vint collé sa main sur son front, comme si la substances roses collé à celle-ci pouvait arranger son mal de tête. Ouvrant enfin les paupières, elle regarda ses doigts avec dégoûts, alors que son regard encore flou tentait d'assimiler la situation. Elle était par terre, okay. Great. Moquette très agréable d'ailleurs. Elle releva la tête pour admirer le lieu dans lequel elle se trouvait. Une chambre, assez immense, qui donnait directement sur Vegas par le biais de grandes baies vitrées. Elle se rappelait avoir visité cette chambre à un moment de l'après-midi, la veille. Se redressant pour se retrouver assise, elle porta ses mains à sa têtes, retrouvant au passage deux trois autocollants enfantins collés sur ses avant-bras. Visiblement, la soirée avait été bien remplie. Elle était vêtue d’un costume d’hawaïenne authentique, d’une veste des années 80, et elle sentit un chapeau sur sa tête. « Merde... » C’était le mot. L’appartement semblait s’être fait aplatit par une douzaine d’éléphants, alors qu’elle rampait jusqu’à la salle de bain, en ayant auparavant prit les cachets d’aspirine dans son sac à main à moitié déchiré. Arrivée à la porte de la salle de bain, elle se releva avec peine, se tenant fermement à la poignée. Elle débarqua en ouvrant la porte en grand, mais dès qu’elle fut face aux dizaines de grands miroirs qui tapissaient murs et plafond, un hurlement strident se fit entendre. Ses cheveux étaient roses, alors qu’un énorme « FUCK ME I’M A BITCH ! » était écrit sur son front à l’indélébile. Alors que le rideau de douche s’ouvrit devant une Némésis encore dans les vapes, Chuck hurla une seconde fois en voyant sa meilleure amie. Némésis était verte, c’était le cas de le dire. Autant sur les cheveux que sur la peau, elle ressemblait plus à Shreck qu’à autre chose. Celle-ci hurla en voyant son amie, et la symphonie de cris se termina lorsque les deux filles retrouvèrent un instant leurs esprits. « C’est quoi ces conneries ? » Trop occupée à essayer e retirer l’écriture sur son front, Chuck ne prit pas la peine de répondre à Némé. Elles avaient fait la fête, c’était clair et net. Mais tout était flou dans l’esprit de l’alpha. Autant elle se souvenait d’avoir prit l’avion, d’être entré dans cette chambre et d’y être ressortit, autant après c’était le grand trou noir. Elle voyait son amie paniquée et tourner en rond, tentant elle aussi de se remémorer une partie de la soirée. Charlotte se tourna vers elle en la prenant par les épaules. « On se calme. C’est pas si grave, à part les cheveux et ta tête, ya rien d’horrible... C’est quoi cette saloperie à ton doigt ? » Chuck attrapa la main de Némé et regarda avec panique la bague qui trônait à son annulaire. Elle entendit son amie sur le point de crier à nouveau alors que celle-ci attrapait vivement la main de l’alpha. « Et ça c’est quoi ? » Chuck regarda à son tour le doigt que Némésis lui plantait devant ses yeux, où une petite bague en plastique en forme de smarties était coincée entre deux pansements. Deux nouveaux cris fusèrent dans la chambre située au trentième étage de l’hôtel Palacium.



FLASHBACK ON


Chuck, assise sur un tabouret d’un bar du centre-ville, elle sirotait sa deuxième margarita avec un grand plaisir. On n’était vendredi soir, celui où tous les étudiants hurlaient à la délivrance. Enfin le week-end. Les partiels s’enchainaient à une vitesse phénoménale à ce moment de l’année, mais Chuck n’était absolument pas inquiète pour ses résultats ; ils seraient excellents, avec ou sans travail personnel. Rien ne l’inquiétait, et ses coéquipiers alpha n’avaient pas l’air stresser non plus. D’ailleurs, elle avait rendez-vous avec l’un d’entre eux ce soir-là. Avec Némésis. Sa meilleure-amie, son âme soeur, sa favorite. A la Bonnie and Clyde, elles parcouraient les bars de la ville sans crainte ni peur du lendemain. Des vraies aventurières, true story. D’ailleurs, la brune arrivait. Après l’avoir chaleureusement prise dans ses bras, Charlotte la regarda s’asseoir sur le tabouret d’à côté. Elle remarqua tout de suite l’air malin qu’arborait son amie ; elle cachait quelque chose, Chuck la connaissait trop bien. Et Némésis comprit vite qu’elle était grillée elle aussi. Elle sortit de son sac une enveloppe qu’elle vida dans ses main. Elle étala des dizaines de coupons vip devant ses yeux, ainsi que deux billets d’avion fraichement achetés. La regardant sans comprendre, Chuck examina de plus près les billets. Vegas, 19h45, aéroport de San Francisco le 9 janvier 2012, aller simple. « Vegas ? » La jeune femme n’y était jamais allé, et d’ailleurs, ça ne l’avait jamais tenté. Elle aimait la fête, mais Vegas c’était une grande fête à elle seule. Les casinos, la drogue, les mariages, les joints c’était... Tentant, très tentant. Surtout à cette époque, et surtout maintenant. « Vegas darling ! » Devant l’enthousiasme de Némésis, Charlotte ne put qu’acclamer et rentrer faire un rapide sac avant de prendre l’avion. Elles étaient folles d’excitation, se programmaient déjà un plan pour pouvoir tout faire à temps. Elles arrivèrent à la capitale de la jouissance vers vingt et une heure, et les alphas furent déjà surprises de l’excitation de la ville. Ca grouillait de monde, surtout des touristes. Elles prirent un taxi pour leur hôtel, et posèrent leurs valises dans une luxueuse chambre. C’était assez rare pour Chuck de venir dans ce genre d’endroit. Elle n’avait ni les moyens, ni le besoin, alors elle était forcé de se demander comment Némé avait bien pu leur payer toute cette richesse rien que dans la moquette soyeuse. Avant qu’elle n’ait pu lui demander, un homme vint sonner à leur porte avec deux coupes de champagnes et deux nouvelles places vip pour une soirée. Un grand sourire s’étala sur les lèvres de Chuck, alors qu’elle pouffait de rire et de joie en attrapant les deux coupes. Elle en tendit une à son amie, et trinqua. « À Vegas ! Puisses-tu nous faire oublier nos vies de merdes, dans ce monde de merde. » Elles avaient une nuit. Une nuit de débauche et de folie, c’était le paradis.
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❝ Quoi ? Tu vas m’aplatir avec tes fesses ? - Ne me tente pas ! ❞
mémé & chuchu •• yo ho, yo ho ! a pirate's life for me. we pillage, we plunder, we rifle and loot ; drink up me 'earties yo oh ! we kidnap and ravage and don't give a hoot ; drink up me 'earties yo oh ! yo ho, yo ho, a pirate's life for me. we extort, we pilfer, we filch and sack ; drink up me 'earteas yo ho ! maraud and embezzle and even hijack ; drink up me 'earties yo ho ! yo ho, yo ho, a pirate's life for me. we kindle and char, inflame and ignite ; drink up me 'earties, yo ho ! we burn up the city, we're really a fright ; drink up me 'earties yo ho ! we're rascals, scoundrels, villans and knaves ; drink up me 'earties yo ho ! we're devilsand black sheep, really bad eggs ; drink up me 'earties yo ho ! yo ho, yo ho, a pirate's life for me ! we're beggars and blighters and ne'er-do-well cads ; drink up me 'earties yo ho ! aye ! but we're loved by our mommies and dads ; drink up me 'earties yo ho !


J’avais mal à la tête, mal à la tête, mal à la tête. Merde quoi, j’avais mal à la tête. Ma bouche était pâteuse, je et je me sentais moi-même pâteuse, sale. Quand je me suis décidé à ouvrir les yeux, ce fut pour les refermer aussi vite. La lumière était trop forte bordel, mais qui c’est qui n’avait pas fermé les rideaux. J’ai plaqué mes mains sur mes yeux plissés en baillant. Peut-être que je n’aurais pas dû les ouvrir pour de bon cette fois, mes paupières, parce que ce que je vis en premier fut mes bras. Mes bras, mes superbes bras couverts de vert intégralement sans même laisser place à une petite parcelle de peau beige. J’étais genre, vert Shrek, genre vert pomme, vert moche. La grosse blague. Cette fois mes mains vinrent sur ma bouche, pour retenir un hurlement tardif. J’étais totalement morte, cuite, et ralentie. J’avais l’impression désagréable d’être réglée au ralenti avec le monde autour de moi en mode accéléré. Une fois mes pensées plus ou moins remises en place j’ai pris appui sur mes coudes pour me relever. La chambre dans laquelle je me trouvais était totalement inconnue, totalement en foutoir. « Purée, mais où je suis là. » J’ai parcouru la pièce des yeux en soupirant avant de m’arrêter sur la table de nuit près du lit énorme sur lequel j’étais avachie au dessus des couettes. « Hôtel Palacium » qu’il y avait marqué dessus. Du moins c’est la seule chose que j’ai réussit à lire, étant donné que bien qu’ayant une bonne vue, je ne pouvais lire les minuscules inscriptions en dessous du nom en gras. J’ai regardé de nouveau autour de moi. « Eh bah, c’est Bagdad dans la chambre, je suis pas dans la merde. » Compte tenu de la décoration, de la taille et du confort de ma chambre, le prix de l’hôtel devait être exorbitant, et il allait être doublement exorbitant lorsque l’on s’apercevrait de l’état dramatique de la suite. En marchant jusqu’aux grandes baies vitrées, j’ai remarquée Chuck, enfin Charlotte étendue sur la moquette. Et ivre morte, bien que ça ne soit qu’un détail. Elle avait les cheveux roses, était vêtue d’un costume d’hawaïenne et invitait au vice avec son énorme « FUCK ME I’M A BITCH ! » inscrit au marqueur noir sur le front. Bon dieu. Cependant je n’avais pas fini de constater l’étendue dramatique de la nouvelle pigmentation de ma peau, et j’ai dût retenir un nouveau hurlement d’horreur en croisant mon reflet dans l’un des miroirs de la salle de bain. J’étais devenue un haricot vert géant. J’étais verte de la tête aux pieds, en passant par les cheveux et les fringues. Quoi me mes vêtements se rapprochaient plus des loques que d’autre chose. Grande inspiration, respire Némésis, on se calme. Tout va bien, tu es teinte en verte, tu vas prendre une douche et enlever tout ça. C’est comme un automate que je suis entrée dans la douche et que j’ai allumé l’eau. Sitôt le liquide fut-il entrée en contact avec la peinture qu’elle se colora d’une charmante teinte herbe. J’ai dû rester dix minutes sous la douche, à frotter cette foutue coloration qui ne partait pas intégralement. Puis il y eu deux hurlements successifs, le premier lorsque Chuck se mira pour la première fois après son réveil et le deuxième lorsque j’ouvris le rideau de douche exposant à la vue de mon amie mon corps de déesse verdâtre. Mon esprit vaporeux dû mal analyser la situation car, bien qu’ayant déjà constaté l’état dramatique dans lequel nous nous trouvions, je me suis mise à hurler en cœur avec Chuck. Quiconque serait entré à ce moment là nous aurait pris pour des psychopathes finies. « C’est quoi ces conneries ? » demandais-je. Mais, la jeune fille, trop occupée à retirer les inscriptions de son front ne me répondit pas. Et c’est là que j’ai vraiment commencé à paniquer. Je me suis mise à tourner en rond, serrant les mâchoires. La crise de nerf se faisait sentir. Puis Chuck posa ses mains sur mes épaules dénudées et humides. « On se calme. C’est pas si grave, à part les cheveux et ta tête, ya rien d’horrible... C’est quoi cette saloperie à ton doigt ? » me dit-elle. « Je t’emmerde, tu t’es pas regardée Chuck. » Parce qu’elle n’était pas mieux que moi, avec ses cheveux fluo et son front dégueulasse. Elle avait attrapé ma main pendant qu’elle me parlait et désignait mon annulaire orné d’une ravissante petite bague d’une forme et d’une couleur indéfinie. Ravissante de mes deux oui, elle était ignoble. Il fallut déjà que l’information monte à mon cerveau avant que je ne manque encore une fois de hurler. J’ai saisi nerveusement la main de mon amie, orné de la même bague. « Et ça c’est quoi ? » Et c’est là qu’on se mit à crier.

.FLASHBACK ON.

« Merci monsieur c’est très peu aimable à vous, au revoir. » autrement dit casse toi et va te faire tu me prend la tête. J’ai enfoncé le bouton raccrocher de mon blackberry avant de le remettre dans ma poche en me mordillant la lèvre. Tant pis, qu’ils aillent tous au diable, mon père y compris. Pour une fois que je l’appelai, ils auraient au moins pût transmettre mon appel, ou se montrer plus aimable. Merde, je suis sa fille quoi, même si nos rapport sont plus que tendus. Mais au diable les préventions, au temps prendre les devants et ne rien demander à personne. Puisqu’il est riche, ce ne sont pas quelque centaine de dollars en moins qui vont lui faire du mal. Alors j’ai pris mes cliques et mes claques et j’ai quitté mon appartement. Chuck devait déjà m’attendre, à l’heure qu’il était. J’ai sauté dans le premier taxi qui passait et j’ai indiqué au chauffeur – dans le genre mignon, bronzé, à croquer – ma destination. Je suis descendue du véhicule en hâte, après avoir payé le type, en enfilant ma canada goose neuve. Elle était assise sur un des tabourets du bar, sirotant une boisson. Tandis que j’entrais dans le bâtiment elle se tourna vers moi sur son siège et me gratifia d’un grand sourire, que je lui rendis aussitôt. Ah, Chuck, enfin, plutôt Charlotte. Elle et moi, c’est ls sœurs conneries. Sœurs dans le sens religieux par contre. C’est moi qui ai trouvée cette appellation un soir que nous étions ivres morte dans une boîte de nuit. J’avais pris son visage entre mes mains et posant mon front sur le sien car je peinais à me maintenir debout je l’avais fixé droit dans les yeux. « Eh, Chuck. Nous ont est des nonnes hein, des p’tite prudes et on couchera avec personne ce soir, hein. Ouais parce que nous ont est des bonnes sœurs t’sais, les bonnes sœurs conneries. Ha ! Ouais, les sœurs conneries. Ça claque. » avais-je dit d’un air très sérieux. Dans mon état ça me paraissait vraiment sérieux, et c’est peut-être pour ça que le lendemain à quinze heure du matin je m’en suis souvenue. Quand je fût parvenue à sa hauteur, Chuck me pris dans ses bras avec chaleur et me regarda m’asseoir près d’elle. « Désolée du retard, j’ai eu… quelque problèmes au téléphone. » lui apprenais-je d’un air espiègle. J’étais sure que ma « surprise » allait lui plaire. Ah, ça allait être épique. Au bout d’un cours intant, comprenant que Chuck avait compris, j’ai attrapé la grosse enveloppe dans mon sac. Puis je le vidais entre mes mains, l’exposant au regard de mon amie. Billets d’avion pour Las Vegas, et coupons VIP ; la base. On partait ce soir, qu’elle le veuille ou non, bien que j’étais persuadée qu’elle voudrait. « Vegas ? » me demanda Charlotte, perplexe. « Veeeeegas ! » ai-je repris avec enthousiasme. J’étais encore plus surexcitée qu’à la normale, je sautillais presque sur place. « Vegas darling ! » J’ai souris comme une enfant à qui on offre un énorme bonbon. « Yeeees ! » Elle devait rentrer faire son sac, détails que j’avais omis, moi qui me voyais déjà dans l’avion. Puisqu’étant à l’origine de ce voyage mes affaires étaient prêtes et empaquetées dans mon sac. On était complètement surexcitées, mais à faire peur. On programmait tout, comme si la moindre bavure pouvait gâcher nos vies à jamais alors qu’en fait, ce n’était qu’un voyage de courte durée. Et alors ? En arrivant, je fût surprise de l’activité impressionnante de Las Vegas. Oh, j’étais déjà venue, avec mon père et Ninon mais c’était moins drôle et nous n’avions pas passé de nuit ici, juste la journée. C’était… impressionnant. On pris le taxi, dont le chauffeur était nettement moins craquant que le précédent, et nous nous rendîmes à notre hôtel. Je n’arrêtais pas de jeter des petits coups d’œil à Chuck, guettant sa réaction. Si moi, j’étais habituée à ce genre de palace, elle en revanche, l’était beaucoup moins. Le lit était énorme. « Chuuuuuuck, matte moi ce lit de fooooou ! » m’écriais-je, histoire de la mettre à l’aise dans cette environnement qu’elle ne connaissait pas. Puis, histoire d’achever le travail j’ai sauté debout dessus et d’un coup me suis laissée tomber sur les couettes immaculées. « Olala, on pourrait dormir à trente là dedans. » Un type sonna à la porte avant d’entrer dans notre antre, deux coupes de champagne à la main et deux autres places VIP. Je descendis du lit avec un sourire avec dans l’intention de les lui prendre des mains, mais Chuck me devança. M’en tendant une, elle trinqua. « À Vegas ! Puisses-tu nous faire oublier nos vies de merdes, dans ce monde de merde. » J’émis un rire approbateur. Ça allait être grandiose. On avait une nuit, une nuit entière juste pour nous. Or, nous étions deux jeunes femmes, belles, charmantes et décoincée. Oh, ça allait péter, cette nuit. « Bon Chuchu, passons aux choses sérieuses. Par quoi on commence ? »


.FLASHBACK OFF.
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