La véritable amitié, c'est quelque chose de très rare. Et je me suis souvent demander si j'aurais la chance de connaitre ça un jour. Aujourd'hui, je peux vous répondre que oui. Enfin je crois. Je connais cette amitié, sincère et vrai, en la personne de Cadence, mais aussi de Calypso, notre relation n'avais pas toujours été facile, mais on avait appris a bien ce connaitre. Je ne sais pas vraiment ce qu'est ce sentiment, et étudiant la psychologie j'ai toujours cherché à comprendre d'où il venait et pourquoi il pouvait être si fort. Avec le temps, j'ai pu trouver une définition de ce qu'était l'amitié. Selon moi, c'est un lien qui unis deux êtres humains, peut importe leur sexe, peut importe leur âge, c'est un lien si fort que l'on peut percevoir les sentiments de l'autre. Dire s’il ne va pas bien ou si il est heureux. Je pense qu'en faite c'est une sorte de psychisme mutuelle et permanent entre deux êtres. Ca peut paraître dingue c'est vrai, mais c'est ce que je ressens quand je suis avec elle. L'amitié, c'est de l'amour, mais sans le sexe. Calypso est ma meilleure amie et pourtant elle ne connait pas tout de moi et inversement, chacun de nous à ses secrets ... C'est peut être pour ça que l'on s'entend si bien, on ne connait pas les côtés obscurs de l'autre et je pense que c'est mieux comme ça quoi que maintenant enfaite on se connait beaucoup trop les pires et bon moments. On est ensemble pour rire et s'amuser et elle ne m'en demande pas plus. Je suis d'un naturel méfiant et je ne suis pas prête à lui révéler les secrets de mon passé, peut qu'un jour j'y arriverai ... qui sais ! Mais le temps n'est pas encore aux révélations. Je me trouvais dans la maison des gammas et comme chaque samedi matin je décidai de me lever à 11 h 00. Et oui, faisant partie de cette confrérie, je me dois de faire la fête à la veille d'un week end, c'est une habitude que j'ai pris et ça ne me dérange pas du tout. Je fais partie de ses gens qui veulent profiter de la vie. J'ai trop souffert dans mon passé pour passé à coter de ma vie. De part mon expérience, j'ai pu me rendre compte que cette vie, que certain charis et d'autre maudit, est affreusement courte. Il y a beaucoup de malheurs dans ce monde, et beaucoup de souffrance, mais tellement de chose qui valent le coup de prendre des risques, qui valent le coup de souffrir parfois. Et sans la souffrance, comment serait-on reconnaitre un moment de bonheur ? L'amitié, l'amour, la haine, la jalousie ... tout ça n'aurait alors plus aucun sens, plus aucune valeur. La vie serait fade, elle n'aurait plus aucun sens et alors, elle ne vaudrait pas la peine qu'on s'y risque, mais que dis-je, on ne connaitrait même pas le risque. Bref, je me levai donc à 11 h 00 pétante, je pris un petit déjeuner léger, et oui, attention à la ligne. Puis je me préparai. Aujourd'hui j'optai pour un jean bleu foncé, et un et un top moulant couleur corail. J'avais pas grand-chose à faire ce matin, mais je m’étais décidé a sortir quand même prendre l’air il faisait froid, et j’entrepris de prendre ma belle doudoune prada blanche. Je ne sais pas où j’avais envie d’aller mais bon je verrais bien en sortant. Je vous rappelle que je suis une gamma une simple gamma certe mais une gamma renommé, je fréquente les endroits huppés et ou je suis sur d’être vue. Je sais comme ça au premier abord vous pouvez me prendre pour une fille superficielle et pourtant, c'est loin d'être le cas. Je laissai mes cheveux détacher et hop, en route vers le starbuck coffee, oui voila je m’étais décidé et se serais donc un petit moment de détente au Spa, mais avant cela je pense qu’une petite pause Latte au Starbuck ne me ferais que le plus grand bien. Une fois sortie je prenais soin d’appeler un taxi, oui aujourd’hui une grande dose de flemmardise m’empêcha de prendre ma voiture. En arrivant une file d’attente immense apparut devant moi, en levant les yeux au ciel, je fis un sourire charmant a un jeune homme qui avait l’air d’avoir remarqué mon physique de déesse, c’est d’un naturelle que je m’avançais vers lui c’était un français, lui qui était au devant de la fille me proposa de me payer un verre, je lui répondis de mon plus beau français. « Un chocolat liégeois » une fois le chocolat liégeois offert était dans ma main, je sortie de mon sac un billet de 10 dollars, je lui fis un sourire moqueur et lui tendis le billet. « Jeune et innocent, t’a encore un tas de chose a apprendre. » oui je m’étais servie de lui, mais au final il avait gagné 3 dollars puisqu’il ne m’avait pas rendu ma monnaie. En sortant, sans regarder autour de moi. Ce n’est pas tout mais j’allais quand même pas rester seule, je savais exactement ce que j’allais faire, je fis deux ou trois tours dans les magasins et reprit en taxi direction les chambres universitaires des alphas. Une fois sur les lieux, j’ouvris la porte qui se trouvais être la chambre de Calypso, sans même toquer j’ouvris la porte et je pus voir celle qui était ma meilleure amie assise sur son laptot, en train de travailler, rien d’étonnant en sois, je tourna légèrement la tête en signe d’agacement. « Non non non et re non tu m’étend. » Je m’avança vers elle sans même poser mes affaires où mon chocolat et lui tira le bras pour la forcer à se lever. « Tu te lève et toi et moi on va sortir, c’est les vacances dans deux jours tu te fou de moi ou quoi, pas la peine de réviser ça peut bien attendre un jours avant la reprise tout de même, toi et moi on a un truc beaucoup plus important à faire. » Hé oui merveilleuse que je suis j’allais l’obliger a sortir avec moi, habituellement elle n’aurait rien dis mais la j’étais presque sur qu’elle avait une immense flemme et par dessus le marcher elle n’avait pas envie de sortir dans ce froid. « Aller quoi debout, debout dépêche » lui dis-je d’un ton presque agacé. « C’est noël, on va faire les boutiques et il n’y a aucune objection permise. J’ai besoin de sortir tu m’entend, j’ai l’impression d’être en prison maintenant que je suis en couple, il n’y ai pour rien hein, attention je ne le critique, mais c’est ma faute, je m’oblige presque a ne plus sortir maintenant qu’on est officialisé enfin tu vois quoi. Alors s’il te plait fais ça pour moi d’accord ? » Oui la j’avais pris un ton désespéré presque pathétiquement pathétique, j’avais sortie ma dernière phrase aussi rapidement que speedy gonzales, c’est ce qui arrive quand je suis un tantinet stressé. Sur ces mots je crois qu’elle comprit ma douleur et je la vis se préparer en deux trois mouvements. Et maintenant direction le marché de noël le plus magnifique du pays.

Les vacances de noël étaient maintenant bien entamées, et je n’avais encore acheté aucuns cadeaux, en même temps fêter noël pour moi n’était pas v raiment important, depuis la mort de ma mère je n’avais plus jamais fêté noël. Qui en aurait envie en même temps je ne me l’étais toujours pas avoué a moi-même mais je vivais encore et toujours ce traumatisme d’avoir vu mon père tuer ma mère et que celui ci soit en prison par ma faute. Est-ce qu’un jour je m’en remettrai ? Non je ne crois pas, on ne se remet jamais de ce genre de chose, en tout cas, je me voyais très mal lui pardonner ni quoi que se soit il passerait noël seule derrière c’est barreau et j’en été ravis. Et est-ce qu’un jour je lui avouerai la vérité sur son emprisonnement, oui surement mais pas tout de suite, j’avais trop peur pour ma propre, vie, après tout il avait bien tué ma mère il n’aurait aucun scrupule à me tuer moi si jamais il apprend que je l’ai trahi. Je ne devrais pas ressentir cette peur en moi, après tout j’étais protégée par le FBI, oui la protection des témoins anonyme, mais malgré tout, ils ne sont pas tout le temps la, donc un jour je pourrais très bien me faire tuer lors d’une de mes soirées ou quoi que se soit. Seulement 3 personnes sont au courant de mon histoire dramatique de mon passé, Calypso, Jayan et Keyllan, trois personnes en qui j’avais une confiance aveugle, vraiment je n’avais aucun doute sur leurs loyauté envers moi, et même si jamais un jour nous serons brouillé ou que sais-je encore, il n’irait en aucun qu’un cas me trahir. Bon sang, elle me parlait de Keyllan, oui elle avait été au courant de notre histoire forte et intense, mais malheureusement elle n’avait duré que 6 mois, enfin de compte nous nous aimions toujours mais seulement en tant que meilleur ami, nous avions une relation assez spécial, de l’amour vache, un amour destructeur, il été donc préférable pour nous que nous en restions là. Je ne sais pas vraiment maintenant où nous en sommes lui et moi, depuis notre rupture nous n’avions pas encore parlé ensemble, oui je l’avais laissé tomber, mais a la final s’était plus pour notre bien qu’autre chose. Enfin bref, j’étais donc entré dans la chambre de celle que je nommais Vralypso en l’honneur de nos deux noms réunie, et elle me râla son envie de sortir, décidément j’allais donc devoir employé la force avec la belle alpha, well, j’avais plutôt l’habitude, elle était l’introvertie, et moi j’aimais sortir quand mon humeur était bonne. « Je m’en fiche pour une fois on sort que ça te plaise ou non, j’ai l’impression de ne pas t’avoir vu depuis une éternité. » Et voila qu’elle continuait encore et encore, elle ne s’arrêter pas, comment est-ce que j’allais pouvoir l’obliger a bouger, ni une ni deux, je monta sur son lit et je lui donner des petits coup de pieds dans ces fesses pour la faire bouger. « « Aller lève toi feignasse, on bouge, allez allez allez ! » Oui elle allait me détester, et si elle était grincheuse il est fort probable que cela se termine en bagarre générale, mais au moins elle était debout, maintenant j’avais plus cas la motivé a mettre son manteaux et l’emmener dans le froid de la Californie en pleine hiver. En fin de compte je n’avais pas spécialement envie de faire les magasins non plus, j’avais plus envie de sortir prendre l’air qu’autre chose, je n’étais pas vraiment dans mon assiette depuis que j’avais laissé mon Hermés-Cador. Bien sur, je devais aussi lui raconter ma rencontre avec Jader, oui, je l’avais rencontré 1 mois et demis après ma rupture et j’étais en plein flirt avec lui, et si ça continue comme ça, bientôt je ne serais plus célibataire et je n’avais pas encore eu le temps de le raconter à mon double de meilleure amie, alors elle ne veut pas sortir baliverne, j’avais besoin de lui raconter toute ma petite vie dans les moindres détails. « « Bon et bien soit, nous ne ferons pas les magasins, très bien on fait autre chose, mais on sort de ce putain de bâtiment par pitié, j’en peu plus d’être enfermé tu comprends Cal’ la je suis à deux doigt de sortir prendre ma voiture, rouler sur quelqu’un dans le parking, et de l’écraser en sortant. » Oui bon j’avais un peu dramatisé la chose, mais avec Calyspo s’était bel et bien le minimum sinon jamais elle accepterait, je suis têtu, mais elle, elle dépasse toutes les espérances, personne ne peut la battre a ce jeux la. Moi Vraona reine de la Vraonacratie décrète que nous allions au moins boire un truc chaud dehors pour ce réchauffer et parler, ou bien alors faire ce que ma meilleure amie avait décidé, rester cloitrer entre 4 murs à étudier, diantre non, je n’étudie pas pendant les vacances comme d’habitude j’allais m’y prendre au dernier moments pour mes révisions. « « En couple, presque, pas encore officielle, je te dirais tous les détails si tu bouge un peu ton cul parfait. » Comment être méchante sans qu’on t’en veuille ? y ajouter un petit compliment. Ca c’est tout un art que je gérais à la perfection. Après un combat long et intense, j’avais gagné la partie, Vra 1, Cal 0 battu par K.O. Bon sang que je l’aimais. Nous étions dans le froid a attendre et oui je dois l’admettre je regrettais presque d’être sortie, mais bien sur ça je ne lui dirais pour rien au monde, je le garderai pour moi jusqu'à la fin de ma vie, admettre ma défaite JAMAIS. Une fois le taxi devant nous, je m’empressai donc de lui raconter mes calamités du moment. « « Avec Keyllan je n’étais totalement pas disponible pour personne, s’étais nous contre le reste du monde, mais maintenant je ne sais pas avec Jader c’est tellement différent, mais différent bien hein, je ne sais pas trop comment l’expliquer, je me sens libre de faire ce que j’ai envie tout en ayant une relation. » Elle était au courant de comment j’avais commencé ma petite romance avec le iota, lui qui me courait après a chaque fois qu’il me voyait et moi qui ne le remarquait même pas, quand j’y repense, petit cœur va. En tout cas, je l’avais revu en soirée et pour une fois j’avais fais attention à lui, oui j’avais fais attention à lui parce que j’étais à présent libre comme, l’air. Oui je n’ai pas tout de suite voulu sortir avec lui parce que ma rupture était récente, mais enfin de compte il avait tellement réussi à me faire rêver que j’ai craqué. « « Et toi alors, ne crois pas que tu va passer à la trappe, j’attends que tu m’explique où tu en es avec le fameux Mcffenders, j’espère que ce n’est pas son nom à couché dehors qui t’a attiré chez lui. En tout cas tant qu’il te satisfait, ça me va. De toute façon, il passera bientôt sous mon interrogatoire tu te doute bien. » Une fois dans le centre ville, elle et moi nous dirigions vers un starbuck pour pouvoir boire un petit truc chaud.

J'ai l'impression d'être dans une autre dimension. Je bouge au ralenti mais tout ce qui est autour de moi bouge tellement vite. Et je ne veux qu'une chose moi... Revenir à ce qui était avant. Quand je n'étais pas la pauvre Vraona étendue par terre dans la salle de bain vêtue de ma robe de bal avec…ma mère morte, qui est morte. Oui, mais c'est ce qui se passe. Alors je reste ici. Je ne peux pas, je ne peux pas bouger. Et je ressens la pression de tous ceux qui sont là à tourner autour de moi, qui aimerait que je fasse quelque chose, que je dise quelque chose, que je pète les plombs, que je hurle, que je pleure et... Et j'aimerais bien pouvoir faire ça, j'aimerais pouvoir dire ce qu'on attend de moi, faire ce qui rassurerait tout le monde. Oui, j'aimerais beaucoup. Mais je ne sais pas comment faire, je ne sais pas comment être cette personne. Je ne sais pas qui est cette personne aujourd'hui. Comment c'est arrivé ? Comment on en est arrivé là ? Pourquoi je suis toute seule ?! Où est ma mère ? Et bien ma mère n’est plus là et il faut vraiment que je me fasse à l’idée, parce qu’elle ne reviendra plus jamais, plus jamais me dire des choses attendrissante avant de dormir quand elle me voit un peu triste, personne pour s’occuper de moi quand je suis malade et que je ne peux même pas aller au collège ou au lycée, ou bien même m’engueuler quand je fais ces fameuses conneries d’adolescente. Oui elle n’est plus là et plus les jours passe et plus je m’en rends compte à présent. Quoi qu’il arrive je sais qu’elle me surveille, et je sais que quoi qu’il arrive, elle prend soin de moi, même la haut. Je ne suis pas croyante oui mes parents était de pure croyant mais moi je ne crois en rien, mais depuis la mort de ma mère je suis devenue une des ces filles qui maintenant est croyante, je vais souvent me confesser à l’église dés que je sens que mon morale tombe en miette, et je ne pensais pas, mais cela fais vraiment beaucoup de bien, un bien immense, on se sent vide, vidé et on se laisse aller. Je me souviens du mariage de mes parents, à l’époque où tout simplement parfait, une époque bien lointaine, ma mère rayonnante comme toujours était heureuse et mon père aussi, voila le seule jours ou je l’ai vu vraiment heureux le jours de son mariage, tout les deux dansant dans l’herbe bien verte pied nue a sautiller sur place avec le reste des inviter. Cette époque était maintenant bel et bien révolue l’époque où je me trouvais heureusement avec ma robe de demoiselle d’honneur orange était passé et elle ne reviendrait jamais. Je suis perturbé par cette perte, beaucoup moins qu’auparavant mais toujours un peu tout de même, on ne se remet jamais vraiment de la perte de ces parents, surtout ceux dont on a été très proche. Je suis suivi par un psychologue, du moins j’été, depuis maintenant quelques semaines, 5 exactement je n’étais plus du tout suivi, ma thérapie était terminé et pourtant je ne sentais aucune différence, mon âme était tout autant perdu qu’au début de cette thérapie. Mais la psychologue, m’avait prévenue et surtout elle me l’a dit, de ne pas s’attendre à ce que tout aille mieux en seulement quelques séances. Je me rendis compte alors qu’elle disait vrai. Une chance que j’avais encore de la famille autour de moi, oui j’avais ma sublime demie sœur Jack, elle est moi étions si proche, je ne m’imaginais plus sans elle maintenant c’était impossible, nous avions en plus une histoire si complexe. Nous qui avions cru toute notre enfance que nous étions cousine même si on se considérait inévitablement comme des sœurs, et ce qui se révéla ensuite être le destin puisqu’enfin de compte cette grande et jolie blonde était bel et bien ma sœur. Demie sœur certes mais sœur quand même, et elles et moi passion le plus claire de notre temps ensemble. J’avais aussi une cousine une vraie cousine cette fois, Stiyzanna, elle était mon unique, ma cousine mon petit bijou, , et mon merveilleux cousin Nïkolai, sans parler de mon unique meilleure amie Calypso j’avais donc décidé de passer la journée avec elle et la pauvre allait devoir subir toutes mes histoires. « Hé oui tu me connais bien, quand je veux quelques chose je l’ai, et si tu m’avais dis non, j’aurais bien trouvé un truc pour t’amadouer. » lui dis-je avec un sourire taquin, oh que oui elle m’aimait bien trop pour ne pas sortir avec moi quand j’en ai besoin. « La faute à qui hein ? pas de la mienne en tout cas, bon d’accord, ce n’est pas de la tienne non plus oublie. » cette fois j’opter pour mon visage au sourire désespérant, bravo Vra aujourd’hui c’est officielle tu es absolument cinglée. D’ailleurs elle l’avait dit, elle même comment elle ose me traiter de cinglée, non mais oh. « Cinglée tu me traite de cinglée. » je l’a regardais sérieusement et reprit. « Garçe » ça c’est de la magie vralypso ou je ne m’y connais pas, les insultes avait beau sortir de ma bouche ou de la mienne, notre amour était bien réel et nos insulte était presque affective. « Tu m’étonne, normal puisque tu aime personne, enfin bon c’est pas si grave tu aime la principal c’est tout ce qui compte, bien sur si tu n’avais pas compris je parle de moi bien entendu. » Prétentieuse ? non simplement réaliste, elle a de la chance c’est réciproque. « Comment te la faire sans que tu puisse embrouillée l’esprit, avec Keyllan tout allait bien, jusqu’au jour, ou il m’a emmener dans un restaurant, et je sais pas un gars, un connard ma draguer devant lui, et il est devenue complétement fou, complétement malade, il l’a tabassé, et tabassé, et … le mec est mort. Il n’y a pas de poursuite, légitime défense, mais depuis ça je ne sais pas j’ai pas pu continuer, je l’ai laissé tomber, j’étais triste a mourir, puis je suis sortie j’ai fais de nouvelle rencontre, et j’ai rencontré Jader qui avait flashé sur moi depuis un bout de temps, j’y avais jamais fais attention. Et je me suis laissé séduire … et voilà. » Un monologue parfais mais au moins elle savait tout. « Comment ça il n’y a pas de couple, ou autre, et tu crois que tu va me faire taire avec cette phrase ridicule, balance le morceaux Calypso Hell Brighside ou je peux te jurer que tu va le regretter. » Les dés son lancé, allait-elle me parler ou allais-je devoir lui tirer les vers du nez.

J’ai une tante, qui, quand elle vous sert quelque chose dit toujours « Tu m’dis stop ». Ma tante dirait « Dites stop », et bien sûr, on ne le fait jamais. On ne dit jamais stop, parce qu’il y a toujours la possibilité d’avoir plus. Plus d’alcool, plus d’amour, plus de tout, plus c’est toujours mieux. Il y a long à dire sur l’histoire du verre à moitié plein, sur le fait de savoir quand dire « stop ». Je crois que c’est une ligne assez flou, une sorte de baromètre des besoins et des envies. Ça dépend entièrement de chaque individu, et ça dépend de ce qu’il y a dans le verre. Parfois on veut juste une petite gorgée, d’autres fois on en a jamais assez. Le verre n’a pas de fond, et on en veut toujours plus... Moi-même j’avais déjà pas mal de chose dans ma vie, mais j’en voulais toujours plus, je suis le genre de fille a ne jamais être contente de ce que j’ai déjà. On ne pas dire pourtant que j’ai toujours été une fille pourrie gâtée ou quoi que se soit bien au contraire mon enfance a été terrible, et je ne la souhaite vraiment à personne, je suis dark and twisty et à mon a vis je resterai comme ça jusqu'à la fin de mes jours. « J’y ai pas encore réfléchie, mais je suis sur que si je t’invente une convention sur le travail ou du tutorat à donné, tu répondra présente, je te connais par cœur tu sais, j’aurais pas vraiment de mal à trouver » lui dis-je très sur de moi, en même temps je n’avais pas vraiment tord, je la connaissais bel et bien par cœur, et si je lui disais que quelqu’un à besoin d’un tutorat, elle allait y courir très vite et bim sans s’en rendre compte elle serait dans la voiture prête à aller faire les magasins contrainte et forcé, Vraona winner. « Comme tu le dis si bien presque, ce n’est pas comme çi tu étais un ange Caly’ s’il te plait arrête » répliquai-je en rigolant, Calypso n’étais pas vraiment connu pour sa douceur et sa gentillesse, moi non plus d’ailleurs, c’est pour cela que nous nous entendions si bien, au fond, elle aurait très bien pu être une gamma, mais dotée d’une intelligence à toute épreuve, la confrérie des alphas était tout aussi bien pour la belle brune, elle était la fille que je considérais le plus au monde, ma plus intelligente, c’est d’ailleurs souvent à elle que je m’adresse quand un de mes cours me pose problème, c'est-à-dire presque toutes les semaines, cela avait l’air si simple à ces yeux aux mien cela se résumer plutôt à un casse tête chinois. Je n’étais pas la dernière de ma classe, disons que j’étais simplement dans la moyenne, je n’étais ni trop intelligente, ni trop stupide, qu’est-ce que je lui envier d’être si bonne en tout, elle était un exemple, enfin sur ce point en tout cas. « Muh en effet, je devrais pourtant m’y habituer » maugréais-je dans mon coin, et sans même que je m’y attende, elle m’acheva d’un coup de balle directement dans la tête. « Ca, c’est toi qui le dit, personne ne l’a décrété, donc je ne me baserai pas sur ton seule jugement ma chère. » et Bim bon retour en force de la Vraona, je n’allais comment même pas me faire insulter de garce, par ma meilleure amie en plus quel honte. Après être tranquillement sortie du taxi, nous avions donc décidé d’aller nous prendre un bon chocolat chaud au starbuck, nous étions donc à pied a parler encore et toujours, et la pauvre je ne lui laissais pas une minutes de répit, ma vie était si palpitante en ce moment que je ne devais lui omettre aucun détails. Je lui racontais donc mes dernières péripéties amoureuses, et surtout le plus important le fameux pétage de câble de l’epsilon avec ce comportement il se faisait un peu plus passer pour un gamma by the way mais bon. « Oui, je sais pas il a été comme jaloux maladif et il a complètement péter un plomb sur le jeune homme, et il n’a pas survécu à la suite de ces blessures, est même si ça été fait par amour, je ne sais pas, j’ai pas pu supporter le voir dans un tel état au point de faire du mal a une personne. » j’avais donc exposé toute la situation a ma meilleure amie, il est vrai que j’avais beaucoup de mal a me remettre de cette soirée la. Après ce que j’avais vécu dans ma famille quand j’étais plus jeune, j’avais l’impression de vivre la même chose avec Keyllan et je suppose que c’est ça qui m’a le plus éloignée de lui, lui qui commencé a ressembler a mon père, l’homme que je détestée le plus au monde. « Très franchement, oui beaucoup, tout ce passe bien. » très rapidement je l’inviter a me parler de sa vie sentimentale a son tour, je savais très bien qu’elle resterai vague sur le sujet, mais avec un petit coup de pouce de ma part, elle me donna plus de détails comme je l’espérai. « Oh mon dieu vraiment ? On se croirait dans un roman à l’eau de rose, tue moi maintenant par pitié, je suis presque sur que tu es partie en courant. » et ben voila je m’en serais bien douté tiens, je l’a connaissait tellement, elle n’était pas du tout genre romantique et tous ce qui s’en suit, mais malgré tous je connaissais l’affection quel éprouvait pour le sigma. « Tu sais je sais que tu tiens à lui, tu ne peux pas me duper depuis le temps. Pourquoi ne pas lui laisser une chance et voir ce que ça pourrait donner, des fois ça fait du bien de ne pas être seule d’avoir du soutient et tout ce qui s’en suit. » Nous étions arrivé au starbuck et je commandai deux boisson, après les avoir réglé, nous repartions de plus belle dans le froid, l’odeur du chocolat envahisseur l’environnement extérieur. « Tiens d’ailleurs maintenant que je vis chez les sigma je vais pouvoir le surveiller. »