Sujet: Please Open The Door Ft Brad' Sam 26 Nov - 14:00
Il était là, tout près de moi, dans ses bras c’était magnifique, on se baladait ensemble dans l’allée enneigée, on était seul dans le calme, il m’aimait, je l’aimais. Il m’embrassait, me caressait le cou, il était tendre. Il partait sans un mot, je le regardais partir, il s’éloignait de plus en plus, toujours avec ce regard insistant et perdu, j’essayais de crier mais je n’avais pas de voix. Je marchais pour le rattraper, pour lui dire que je l’aimais, et i pleurait. Je hurlais pour qu’il revienne toujours sans voix, et je le voyais partir dans une brume blanche, j’avais mal, je sentais mon cœur se crisper, j’avais mal aux côtes. Je m’arrêtais, levais la tête, il avait disparu. J’étais seule à nouveau. Je criais tellement fort à cause de cette douleur que...
AAAAHHHH !!!!! Réveil en sueur, mal à la tête, les côtes me brisaient la peau. J’avais mal. Personne n’était là pour moi, je pleurais. Seule dans mon lit je me posais contre le mur, et respirais pour me calmer. Rien à faire je ne dormirais plus. Qu’elle heure était-il ? 6h00 ! Super ! Je me levais et prenais une douche. Une douche froide pour faire redescendre la température. Une demi-heure plus tard j’en sortais les cheveux trempés. Je me regardais dans le miroir. La dépression m’avait rongé de l’intérieur et de l’extérieur.
Ma maison était un vrai champ de bataille moi qui d’habitude était si propre, je laissais tout s’empiler. Maintenant j’avais froid. L’eau dégoulinait sur ma peau. Il n’y avait pas de brume sur le miroir. J’étais fatiguée, les cernes s’étaient enfoncés dans ma peau, mes cheveux étaient emmêlés et je ne voulais pas les sécher. Je les enroulais dans une serviette et m’habillais avec un gros pull, un jogging, et de grosse chaussette. Je descendais tant bien que mal dans mon salon entre les fringues, les boîtes de biscuit, les bouteilles et les chaussures. Bizarrement c’était le bordel mais c’était plutôt propre, malgré tout je passais un coup de poussière et ouvrais ma maison de temps à autre pour aérer. Une fois arrivé dans la pièce chaude je me mettais sur mon canapé, il était confortable, j’allumais la télé et me mettais sous la couverture. Je regardais mon téléphone, j’avais vingt appels en absences, trente huit sms et dix messages vocaux. Je n’allais plus sur l’ordinateur et n’avais plus aucun moyen de communication, j’avais tout coupé. J’avais perdu tout contact, ne faisais plus l’amour, n’écrivais plus, ne chantais plus, ne crée plus de robe, je me laissais aller.
A la télé il n’y avait rien de bien à part des séries à l’eau de rose, cela me dégoutais et pourtant j’en regardais une. Mon téléphone sonnait, c’était Bradley, lui et quelques autres personnes m’appelaient souvent, en vain je ne répondais jamais, je laissais sonner. Je me souvenais des bons moments avec cet homme beau et fabuleux à mes yeux. Finalement je m’endormais, il était 7h30.
Ding, Dong, 11h00, on interphone sonnait. Je ne bougeais pas. J’entendais une voix crier. « Holli je sais que tu es là ! Ouvre ce portail » Je reconnaissais la voix de Bradley, mon cœur s’emballait. Je restais allonger sans rien dire. J’attendais qu’il parte, cinq minutes, dix minutes. BOUM, contre ma porte. « Holli ouvre ou je défonce la porte ! » MERDE ! Il avait soit escaladé soit forcé mon portail. BOUM ! Coup de pied, tant pis une porte ça se répare. BOUM encore un coup, il finirait bien pas partir quand même ! Clikclikcric, BOUM ! Porte ouverte. Je sursautais, il avait trafiqué ma porte pour entrer. Trop tard.. J’avais honte, j’étais laide, j’avais froid et ma maison était un chantier. Je me levais avec difficulté, j’étais maigre et mes jambes tremblotées, mes cheveux étaient encore trempés. Je lui lançais alors d’une voix douce et fatiguée « Bonjour, merci d’être venu, je suis contente de t’avoir vu maintenant tu peux partir. » Je repartais m’asseoir dans le canapé, l’ignorant complètement.
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Sujet: Re: Please Open The Door Ft Brad' Dim 27 Nov - 5:43
Quand tout va mal ...
Bradley lui aussi sortait d’une déception, une déception qui l’avait vraiment saccagé, mais contrairement à la jeune femme lui sortait tout le temps, ce n’est pas là que tout avait changé, c’été plus au niveau de sa façon de voir les femmes, lui qui avait été un eternel fêtard, un gars qui sautait une fille par jour, toujours ne laissant pas de nouvelles, ne voulant jamais les revoir, allant même jusqu’à leur promettre des choses qu’il ne ferrait pas, qu’il ne faisait pas et bien ce garçon avait fait confiance à une fille. Il y a trois ans, un été qui passe, une rencontre, un amour de vacance, un déchirement au moment de se quitter, une relation qui reste dans la tête depuis des lustres mais qui ayant finit bien n’empêche pas Bradley de sourire, de s’amuser et surtout de sauter sur tout ce qui bouge. Deuxième année à Berkeley, une rencontre, cette même fille qui elle non plus n’a pas oublié leurs étreintes, qui n’a pas oubliés l’amour fou qu’il y avait entre eux, la relation fusionnelle et tout ce qui faisait d’eux le plus beau couple des vacances. Première rencontre, un baiser échanger, deuxième rencontre ils sortent ensemble, un mois après Bradley la demande en mariage. Une demande en mariage qui peut surprendre et qui pourtant ne surprend pas la jeune femme qui accepte la proposition de Bradley, les voilà maintenant fiancés, entrain de préparer un mariage proche, un mariage surprenant qui pourrait avoir l’air d’être un mariage à l’arrache. Les familles ne sont pas prévenues, il n’y a pas eut de demande au frère d’Alice, oui ses parents sont mort donc le frère fait office de lien avec la famille, un frère qui ne peut sentir Bradley, normal il connait son coté fêtard et je saute sur tout donc comment accepter sa pour sa sœur ?
La question ne pourra être posée trop longtemps, la belle Alice disparait, c’été trop beau pour être vrai, plus de nouvelle, plus rien à part une lettre de rupture, cette lettre ne met pas simplement fin au mariage et à la relation qui venait de renaitre, mais aussi à la relation d’été et c’est bien ça qui fait le plus mal au beau male, il ne s’en remettra pas, encore aujourd’hui le beau jeune homme n’est plus le même, agressif avec les femmes, ne draguant plus autant. Mais bon la roue tourne, lui qui a fait souffrir autant de jeunes et belles femmes, lui qui a mentit, lui qui a joué avec les sentiments de certaines voit enfin ce que cela fait. Pour le moment il est en phase je nie tout, j’en veux aux femmes en général, mais peut être que petit à petit cette épreuve le ferra changer, peut être qu’il deviendra un garçon bien, ne cherchant pas forcement un coup d’un soir mais se penchant sur la possibilité de créer un couple, mais pour cela il faut à nouveau faire confiance, quand vous avez fait confiance une seule fois et que vous avez été déçu c’est plus difficile à faire qu’à dire. Avec toute cette histoire il n’avait pas eut le temps de s’occuper d’Holliana, oui son amie, sa confidente sur l’oreiller qui avait été en couple, comment le savait il ? Tout simplement parce qu’ils n’avaient plus trop couchés ensemble, ce qui voulait dire qu’elle était amoureuse et sa allait parfaitement à Bradley. Mais depuis maintenant quelques semaines, il ne la voyait plus du tout, elle était surement occupé à filer le parfait amour qui sait ! Sauf qu’elle ne répondait pas aux appels, pas aux messages, qu’elle ne venait plus sur le net, elle avait totalement disparue du globe, pas seulement pour notre blond national mais aussi pour les autres amis et amies qu’elle avait.
Bradley c’était enfin décidé à aller la voir chez elle, il avait en tête de tout défoncé si rien ne voulait s’ouvrir et ce fut ce qu’il fit. Arrivé devant l’interphone il appela plusieurs fois, la jeune femme ne répondit pas une seule fois, avant d’escalader et de passer pour un voleur il appela quelques fois Holli sans réponse, il décida donc d’escalader, oui il avait tout de même un brin de cerveau, pas la peine de casse une porte actuellement ouverte, ce ne serait pas quelque chose de bien, et même si il avait les nerfs comme chaque jour depuis la rupture il n’allait pas casser pour le plaisir. Arriver devant la porte il tambourina, appela la jeune femme mais aucunes réponses, il tape deux trois coups de pieds dans la porte mais en vain, une porte anti cambriolage, trop bien attaché, pas la peine de se peter le pied pour le plaisir. Puis éclair de géni, elle caché ses doubles dans un pot de fleur, voilà sa sert un minimum de connaitre les gens, il ouvrit donc la porte et fut attaquer par une impression de chaleur et d’humidité qui stagnait dans la pièce d’entrée.
Quand il entra dans le salon il vit une Holliana moche à voir, elle qui était une belle femme avait bien morflé. Bradley qui en ce moment n’était pas emprunt de délicatesse mit un coup dans la pile de linge qui était devant lui et fila ouvrir la porte fênetre histoire de faire rentre du soleil et de la fraicheur. Voyant toujours rouge du fait de sa rupture, mais aussi du manque de nouvelle de la jeune femme il ne lui répond dit pas, la prit dans ses bras pour la porter, tout en lui enlevant ce qu’elle avait sur elle, arrivé devant la douche il la posa dans la baignoire, elle était maintenant en sous vêtement, des sous vetements de vieilles rien à voir avec ce qu’elle portait à l’habitude.
Tu te douches, tu te maquilles, tu te fais belle pendant que je range le salon, pas la peine de dire quoi que se soit tu fais ce que je te dis.
Puis il disparu.
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Sujet: Re: Please Open The Door Ft Brad' Ven 2 Déc - 10:29
J'avais plutôt bon caractère à la base sauf que j'avais horreur qu’on m’agresse. Et là je me sentais légèrement frustrée. Pas le temps de dire ouf que fus enlevée de mon canapé, j'avais attrapé mon coussin pour m’agripper avec le peu de force que j'avais sauf que le Bradley était plutôt têtu lorsqu’il s’y mettait et là je ne pouvais rien faire. Je me laissais déshabiller tant bien que mal en chouinant un peu, après tout j'avais l’habitude avec lui. « Tu te douches, tu te maquilles, tu te fais belle pendant que je range le salon, pas la peine de dire quoi que se soit tu fais ce que je te dis. » , Je le regardais sans bouger puis un sourire se dessinait sur mes lèvres. « Tu viens avec moi c’est ça ? » Non, non ce n’était pas la peine d’y penser, il fallait que me débrouille seule sachant qu’il avait déjà fermé la porte et commencé a ranger le salon. Je restais dans ma baignoire, avais fermé la porte à clé et cherchais mon coussin, tant pis je dormirais dans ma baignoire, j' avait le temps. Seulement le gentil confident me l' avais enlevé il était bien plus malin que moie lorsqu’il le souhaitait. Mes sous vêtements étaient vraiment moches, je me dégoutait tout seule. Je me disais bien que quelque chose clochait. Je les enlevais, après tout une bonne douche ne me ferait pas de mal, même si j’e avait déjà prit une quelques heures avant. J’avais encore un peu froid mais je décidais d’en prend une chaude cette-fois ci et de me laver correctement les cheveux. Je ressortais quelque temps plus tard, d’ailleurs Bradley trouvait cela bien long, normal, j’avais du temps avant d’allumer l’eau parce que monsieur m’avait encore gueulé dessus pour que je me bouge les fesses avant qu’il se fâche. Je sortais en peignoir afin d’aller chercher plusieurs ensemble et de me remettre à flot, de toute façon il verrait si cela lui plait. Je revenais dans la salle de bain discrètement et me séchais les cheveux. Une fois tout cela fait j’enfilais des sous-vêtements, je l’appelais pour qu’il regarde après tout il m’avait déjà vu plus d’une fois a poil, j’en essayais plusieurs, il avait des gestes de dégout en me demandant comment j’avais fais pour acheter ses horreurs, je les lui donnais, il les jetait. Je cherchais un joli ensemble parmi tous ceux que j’avais. Je remontais dans ma chambre, qui était elle aussi en bordel, enfilais une tenue, un jean et un t-shirt qui était devenu trop grand. Je redescendais, mon salon était rangé, je le remerciais. « S’il te plait laisse-moi nettoyer. » Il me regardait l’air de dire tu ne le feras pas, il posait les yeux sur mes fringues, effectivement je n’étais pas vraiment à mon avantage. Je soupirais, il fronçait les sourcils, j’enclenchais une musique et aller ranger ma chambre. Je ressortais discrètement mieux fringuée et aller me maquiller. J’allais à nouveau dans la salle de bain. Je me maquiller bien en faisant attention de ne pas en foutre partout. Je redevenais moi. Cheveux long blond légèrement ondulé, crayon noir mascara, léger fond de teint, lèvre brillante, jolie et sexy robe rouge, j’avais sortit les talons come si je sortais le soir. Je ressortais et comme par hasard une musique douce s’était mise en route. Je levais la tête un peu gênée qu’il ai tout rangé, lui me regardait l’air malin et fière de ce qu’il venait de faire. Je souriais « tu ferais une bonne femme de ménage. » Je le fixais, j’avais l’air heureux mais je souffrais et il le savait parfaitement. Il ne me lâchait plus du regard, celui qui disait que j’allais finir dans mon lit et partageais des bons moments avec lui, et rien qu’avec ce regard je sentais mon envie grimper. Moi qui avais plusieurs rapports par jour ou au moins une fois par jour, je m’étais retrouvé à zéro pendant des mois et ça il le savait aussi. Il était beau et attirant mais bizarrement je ne savais pas s’il voudrait me sauter dessus avant ou après avoir parlé, ou s’il allait le faire tout court d’ailleurs.
Nous sommes restés à nous fixés un moment les yeux l’un dans l’autre. Moi je m’imaginais la scène donc je rêvais, celle où il m’embrasserait fougueusement et me déshabillerait surement, retrouver cette sensation de la première fois. Seulement j’aurai aimé retrouver cette sensation avec quelqu’un que j’aime. Lui je l’aimais mais de la même manière, c’était de l’amour attirant, sexuel, joueur et amical, c’était notre relation. J’avais l’impression que le temps s’était arrêté, que j’étais seule avec cette musique qui défilait, bizarrement la dernière fois que j’avais mis de la musique cela devait être avec Pâris. Effectivement, car ma playlist en route était celle de nos moments préférés, nos moments de tendresse, nos moments de calme, ceux d’engueulade et ceux d’amour, ceux où je me souvenais de certaines pièces où nous faisions l’amour. Tous ces moments effacés. Les larmes me montaient aux yeux, je les retenais, j’en parlerais une autre fois avec quelqu’un d’autre mais vu ma tête il devait deviner le nombre de choses aux qu’elles je pensais. Je ne voulais en aucun cas l’attrister, quoi que vue l’ambiance de la maison et le fais que je ne parle plus il devait s’en douter. Bradley pour moi c’était l’ami de ma vie, malgré le sexe, il savait tout et me connaissait par cœur.
Il savait ce que je pensais de lui, il savait ce qui m’énervais, m’excitais, me rendais heureuse, en fait il aurait pu être le copain parfait, j’y avais déjà pensé, mais Pâris était là et c’était plus fort que tout. De plus je savais que Brad n’était pas du tout dans cet optique là, on n’avait déjà prédéfinit les règles comme quoi chacun faisait sa vie de son côté et cela m’allait très bien. Tout cela pour dire qu’il était l’une des rares personnes à qui j’accordais autant ma confiance. La preuve non seulement il savait où était le double de chez moi et en plus il connaissait ma maison par cœur, je l’ai remarqué lorsqu’il ma porté et que je ne me suis prit aucun coin ou mur dans la tête. Alors que d’autres personnes dans d’autres situations, si elles me portaient, cherchaient où étaient ma chambre, et me cognaient de partout. Le sourire me remontait aux lèvres. Je me souvenais aussi des bons moments, il faut dire s’il connaissait aussi bien ma maison c’est parce qu’on l’avait plutôt bien visitée. Je me secouais légèrement la tête, clignais des yeux et le fixait à nouveau, lui n’avait pas bougé son regard non plus. Je regardais alors ma maison, le salon et la cuisine ressemblait à nouveau à quelque chose, j’espérais juste qu’il n’avait pas mal rangé la décoration, au pire je chercherais pour tout rerangé. Je faisais un pas vers lui, je tremblais alors je m’arrêtais, j’étais un peu faible quand même, il serait temps que je remange. Hmm un bon mcdo pour m’engraissais. J’avais l’impression d’être un nouveau né à qui il fallait tour réapprendre. Mes jambes me gênaient, il va falloir que j’y aille molo pendant quelques jours, que je retourne faire de la musculation, marcher et recourir un peu. Autre chose me manquais, depuis combien de temps n’avais-je pas composé, joué, la musique me manquait, et depuis combien de temps n’avais-je pas joué du piano et chanté ? Je recommencerais mais plus tard. Finalement je décidais d’en placer une « Bon je te plais comme ça j’espère ?. » Je savais encore marcher quand même, alors doucement j’allais vers ma cuisine « tu veux un truc à boire? » Il n’avait l’air de vouloir me sauter dessus, peut-être voulait-il le faire en douceur ? Redécouvrir un peu de temps avec moi, je n’étais pas guérie mais j’allais mieux. Je prenais deux bières et les apportais dans le salon. Décapsuleur service dans des jolis verres, je posais les verres sur la petite table et lui déposais un tendre baiser sur la joue et un léger dans le cou, je savais qu’il aimait bien cela même si ce n’était pas autant que moi. Finalement je le prenais dans mes bras et laisser ma tête dans son cou, je laissais mes lèvres dans son cou sans bouger.
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Sujet: Re: Please Open The Door Ft Brad' Ven 2 Déc - 19:20
Quand tout va mal ...
Bradley lui aussi avait vécu des dernières semaines très agités lui aussi avait subit de cuisante défaite ou plutôt de cuisante déception dans sa vie amoureuse, une vie amoureuse qu’il n’avait jamais réellement mit sur on, il avait été amoureux deux fois dans sa vie et c’était deux fois de la même femme ? Mais comment peut-on tomber amoureux deux fois de la même femme ? Et bien tout simplement quand vous avez une histoire difficile avec cette jeune femme. Un amour de vacances, une rupture à cause de la fin de l’été. Des retrouvailles trois ans après, retomber amoureux d’elle très rapidement puis une demande en mariage, elle accepte le beau blond ne touche plus terre, il est sur un nuage, lui qui croit à la femme de sa vie pense l’avoir trouver, elle veut de lui, elle veut faire sa vie avec lui tout est bonheur le jeune homme est totalement prêt à faire une croix sur toutes les autres femmes, finit les coups d’un soir, finit les amis de sexe, les confidentes sur l’oreiller et surtout bonjour la vie de famille. 23 ans l’envie de se marier, l’envie d’avoir des enfants, beaucoup de projets dans la tête et surtout la femme pour les réaliser, sauf que là tout s’enchaine la belle disparait, laissant une lettre d’adieu, elle a eut peur, ne veut plus se marier et surtout ne plus voir l’homme, le seul homme qu’elle a aimé, la peur du bonheur voilà surement ce qu’Alice avait eut. Donc autant dire que Bradley broie étonnement du noir depuis quelques semaines, mais lui contrairement à Holliana sort de chez lui, ok il ne fait pas la fête, a du mal à apprécier les femmes, ne couche plus autant avec les femmes, pour vous dire il est entrain de vivre la période de disette la plus importante depuis qu’il couche avec les femmes, deux semaines sans sexe, quelque chose de normal pour le commun des mortels, quelque chose d’inimaginable pour le beau male. Voilà donc l’état d’esprit du jeune homme, alors quand il voit sa copine là enfermée chez elle pour il ne sait pas quelle raison même si il s’en doute. Sans lui demander il pense en voyant l’état dans lequel elle est qu’elle c’est fait plaqué par son petit copain, oui elle était en couple puisque leur dernière rencontre ils c’étaient avoué le fait qu’elle était avec quelqu’un et que lui aussi. Elle devait être tombé amoureuse elle qui est un peu fleur bleue et lui avait disparu ou l’avait tout simplement lâché. Elle avait donc perdu confiance en elle d’où le fait qu’elle n’était pas bien habillée, qu’elle n’était pas maquillée, que son appartement était en bordel. Bradley n’était peut être pas psychologue mais il avait brisé tellement de cœur, fait croire tellement de choses qu’il savait parfaitement comment elle pouvait réagir, c’était pas un bon gars sauf avec certaines filles, celle qu’il appréciait et Holliana en faisait partie.
Voilà pourquoi il avait retenu son énervement, il n’avait pas gueulé comme un proc, non il y avait été en douceur, bien sur une douceur toute spéciale, il n’était pas le genre nounours gentil, un bisounours quoi ! Non lui était du style rentre dedans, c’est ce qu’il avait fait avec elle en lui parlant sèchement, en la portant pour ne pas qu’elle puisse lui dire non, qu’il l’avait déshabillé et quasiment mise sous la douche. Il avait pris l’oreiller qu’elle avait essayé de kidnapper puis. Une fois sous la douche et la connaissant parfaitement il avait attendu pour qu’elle fasse couler l’eau, ce qui prit quand même beaucoup de temps, il haussa le ton et hop d’un coup l’eau tomba. Il commença à ranger la pièce, chez lui tout était toujours bien rangé, oui il était un peu manique, chaque chose avait sa place, et il ne fallait pas que des choses trainent. Elle eut à peine le temps de se doucher, une bonne quinzaine de minutes quand même qu’il avait déjà ranger le salon, la salle à manger ainsi que la cuisine, le bordel n’était que superficiel elle devait vivre comme ça depuis moins de dix jours c’été pour ça, la mauvaise odeur était partie, les fenêtres ouverte, la lumière entrain enfin dans la pièce, la lumière chose que Holly n’avait surement pas vu depuis longtemps, elle avait l’air si fragile, elle devait être coucher depuis un moment à la limite des escarres c’était honteux de voir ça, il ne supportait pas les gens qui se laissaient aller et là la voilà qui l’appel pour savoir ce qu’elle devait mettre comme sous vêtements, il avait l’impression de s’occuper d’une petite vieille, d’énervement quand elle avait ouverte la porte de la salle de bain il avait pris ses sous vetements et les avait jeté l’obligeant à monter en serviette dans sa chambre pour enfin s’habiller convenablement avec des sous vêtements de femme et pas d’adolescence en pleine crise.
Elle essaya de faire un minimum d’humour en le traitant de femme de ménage mais en voyant le visage du jeune homme je pense qu’elle eut vite compris, il n’était pas forcement d’humeur, totalement énervé et ne comprenait pas à quoi jouait la jeune femme, elle avait mit de la musique douce, elle descendait en quasi robe de soirée. Elle n’allait pas bien et il trouvait qu’elle devenait presque folle, une rupture pouvait donc avoir cette effet ? Bradley lui toujours fidèle à lui-même subissait sa rupture, n’était pas forcement de bonne humeur mais il ne s’apitoyait pas au contraire pour refaire surface il faisait ressortir son coté agressif, il s’adoucirait surement avec la jeune femme mais il fallait qu’elle change, qu’elle reprenne du poil de la bête. Voilà elle n’était pas en couple, le mec avait surement couillé mais il ne fallait pas lui laisser autant de droit sur elle-même, il la quittait ou autre chose et la faisait souffrir, il fallait qu’elle refasse surface ce qu’elle essayait enfin !
Ne fait pas ça pour me plaire, mais au minimum pour avoir du respect pour toi !
Lâcha t’il la mâchoire serré, d’un air froid, elle n’avait surement pas l’habitude d’être face à ce mec, à ce Bradley que certaines femmes voyaient. Il était toujours gentil avec elle, toujours avenant et sympathique, elle ne connaissait donc pas le coté agressif qui était tout de même le plus important chez elle. Puis elle s’assis à coté de lui, lui faisant une bise, puis l’embrassant dans le cou, bien sur son corps répondit par un frisson mais lui avait toujours la mâchoire serré. Elle lui servit une bière dans un verre, il la regarda relâchant le câlin et lui dit.
Tu n’aurai pas un coca ou un café plutôt ? Je ne bois pas !
Dit-il plus doucement et plus agréablement que ce qu’il avait été jusque là, il se calmait car il voyait qu’elle refaisait surface mais bon la journée serait surement moins agréable que celles qu’ils avaient déjà passé ensemble.
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Sujet: Re: Please Open The Door Ft Brad' Jeu 29 Déc - 21:44
Bradley me connaissait parfaitement bien et il savait a quel point j’étais tactile comme fille. Toujours ce besoin et cette envie de câlin avec lui ou avec un autre. Il savait aussi que si j’étais moins collée à lui c’était car j’étais en couple enfin jusqu’à un certain temps. Ce qui était légèrement chiant avec lui c’est qu’il me connaissait tellement bien que quoi que je fasse comme tête ou quoi que je dise il savait la raison pour laquelle je disais ça. Il avait donc déjà deviner pourquoi j’étais dans cet état là. Notre relation était plus que fusionnelle autrement dit j’étais toujours prête à lui plaire, toujours bien habillé bien maquillé, sexy enfin je faisais femme, là je ressemblais à un déchet, en même temps j’avais mes raisons. Mais c’est vrai qu’une fois que j’avais repris mes esprits, je trouvais que la maison sentait vraiment bizarre et qu’elle était plutôt sale. Bradley était le genre d’homme à dire ce qu’il devait dire et à ne pas mâcher ses mots, chose qui m’avait encore plus fait réagir face à l’état de la maison. De MA maison celle que j’entretenais si bien, celle que j’ai payé , celle pour qui je prends le temps de tout décorer, de toute repeindre, enfin un beau bijou qui tournais en lambeaux. La seule chose qui m’avait le plus fait mal, c’était la lumière, mais bon dieu depuis combien de temps n’avais-je donc pas prit l’air ! BORDEL ! Moi qui sortais tout le temps ! Plus de concert, plus de musique, plus de boîte mais qu’étais-je devenue ? RIEN ! Ma dépression m’avait vraiment ravagée au plus haut point. Une fois que j’étais habillé enfin plutôt en sous-vêtements, je redescendais avec des lunettes de soleil, toute crade d’ailleurs, alors je les essuyais contre mon soutien gorge et je les remettais, beurk, encore un nouvel achat à faire !
Après avoir fait le nécessaire pour être « sexy » j’essayais de faire un peu d’humour, chose qui ne plût pas spécialement à Bradley. Il me lançait d’un air froid donc je n’avais absolument pas l’habitude
Ne fait pas ça pour me plaire, mais au minimum pour avoir du respect pour toi !
Wow ! Choque pour moi qui avait toujours vu sur Bradley un grand sourire ou entendu une voix sexy, qui l’a se transformait en voix d’homme rauque, grave et un peu comme un ordre. C’est vrai que du respect pour moi je n’en avais pas eu depuis… quelques temps déjà… Je lui faisais un léger rictus. Bradley connaissait cette peur des hommes qui haussent la voix, je craignais cela depuis déjà toute petite et j’avais énormément de mal a m’y faire que cela soit avec lui ou avec quelqu’un d’autre d’ailleurs.
Une fois blottit contre lui je le sentis me lâcher Tu n’aurais pas un coca ou un café plutôt ? Je ne bois pas !
Je prenais donc le vers de bière que je ramenais dans la cuisine, et je lui servais du coca, puis je regardais la date de la bouteille ! Euh… non finalement j’allais en chercher une autre à la cave, je n’allais tout de même pas l’empoisonner ! Je remontais trois minutes après avec une bouteille bien fraîche et un autre verre. Je lui emmener. « Et voilà ! » Je m’asseyais à nouveau contre lui. Le silence était parmi nous. Je ne savais pas si je devais sourire pleurer, crier… La musique était encore en marche, j’avais envie de tout casser.
Je me levais après avoir bu une gorgée de bière et j’enlever le CD, je mettais une autre playlist, avec un peu de tout, des musiques qui passaient plus ou moins biens. Je venais me rasseoir à côté de lui. Bon je commence par quoi ? Il savait pertinemment de quoi je parlais. Si je commençais par lui expliquer, pourquoi je n’ai plus répondu à ses appels, est-ce que je vois un psy, en fait j’attendais qu’il me pose des questions. Je tremblais, j’étais nerveuse, alors que j’avais une totale confiance en lui. Je te dois des explications, surtout pour ne pas t’avoir donné de nouvelles, mais j’espère que tu ne m’en veux pas trop ? Je replongeais ma tête dans son cou.
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Sujet: Re: Please Open The Door Ft Brad' Ven 30 Déc - 19:13
Quand tout va mal ...
C’est vrai les deux jeunes gens se connaissaient très bien peut être même un peu trop le jeune homme savait parfaitement quand elle allait bien, quand quelque chose clochait ou autre, c’est vrai ce que vous dites, aujourd’hui pas la peine d’être devin pour voir qu’elle n’allait pas bien, pas besoin d’être devin pour voir qu’elle avait du vivre une passe assez compliquée pour elle. Le contraire était beaucoup plus difficile, voir Bradley avec le visage fermé presque déçu était quelque chose de rare, même quand tout n’allait pas il arrivait à garder se sourire, peut être un sourire de façade comme certains le disent mais tout de même un sourire. Bradley avait pris cette habitude étant jeune, car oui étant jeune il n’était pas si souriant, sa mère lui disant toujours sourit t’es pas qu’un monstre, pour prouver aux gens qu’il n’était pas un monstre il avait pris l’habitude de sourire et maintenant il ne faisait que ça. Revenons sur la relation entre les deux jeunes gens, savoir qu’elle était en couple n’avait pas été compliqué, Bradley lui vivait uniquement des coups d’un soir, il pouvait donc coucher à tout av avec Holly sans jamais trompé personne, elle n’avait jamais refusé qu’ils couchent ensemble, n’avait jamais donné si peu de nouvelles. Elle devait donc avoir un homme d’en sa vie, à son arrivé Bradley avait vu qu’elle était triste, il ne fallait donc pas avoir bac + 15 pour faire les conclusions, la jeune femme ne donnait plus de nouvelle simplement parce qu’elle était avec quelqu’un à qui elle tenait, ne voulant pas le tromper elle ne voulait donc pas s’approcher de la tentation que pouvait représenter le beau blond, ensuite elle avait du vivre quelque chose de difficile, surement une rupture, l’être aimé aurait même pu la trompé ou simplement partit, ce qui l’avait plongé dans un profond désespoir. Un désespoir que Bradley lui aussi a vécu, surement puissance mille, puisqu’il avait été lâché par la fille qu’il avait aimé, la seule fille qu’il avait aimé et qu’il avait demandé en mariage, il avait jeté de rage la bague de fiançailles dans son appartement et ne l’avait pas retrouvé, la belle Alice qui l’avait lâché avait écrit sur le mot qu’elle la gardait en signe de leur amoure, amour qui pour elle était bien vivant, mais elle n’arrivait pas à être heureuse, mais comment ne peut on pas être heureuse. Elle avait tout, bien sur elle avait perdu ses parents mais cela faisait quelques années maintenant, elle pouvait donc à nouveau vivre, vivre le bonheur de retrouver Bradley on amour de vacances.
Et pourtant non, elle avait l’air d’aimer être dans le malheur, cas cette fois ci pour le beau blond ne voulait plus entendre parlait d’elle, ni des femmes enfin même si il avait évolué. Un mois maintenant depuis cette rupture totalement bizarre, un mois ou en gros il avait broyé du noir tout en sortant, tout en vivant normalement, tout en gardant son sourire qui n’était pas forcé, non il était heureux de vivre, lui qui vivait dans le monde des bisounours se disait qu’il était tombé une fois mais qu’il ne remonterait pas aussitôt en scelle, il deviendrait un queutard finit, enchainant les gonzesses encore plus qu’à son habitude.
Merci
Lui dit il quand elle lui amena un coca-cola, elle se réinstalla dans ses bras il n’allait rien dire, il l’avait assez bousculé comme ça, il fallait un peu la consoler, voir une amie qui ne va pas c’était quelque chose qu’il n’appréciait pas forcement donc il n’allait pas continuer à lui rentrer dedans uniquement pour le plaisir, car à l’instant même du plaisir il n’en prenait pas…
Je ne t’en veux pas, j’ai juste eut peur, pas de nouvelles bonnes nouvelles il parait mais je ne l’ai pas pris comme ça. Voir ta baraque fermé je me suis imaginé le pire. Après si tu veux me raconter ce que tu as vécu pour être dans cet état tu peu, si tu ne veux pas, pas de problème on parle d’autre chose.
Il parlait sincèrement, Bradley n’était pas forcement le type de mec curieux, non lui préférait laisser le choix et plus que ça il n’aimait pas s’immiscer dans la vie des gens même si les gens sont les personnes qu’il aime énormément.
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