the great escape
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But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer.

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MessageSujet: But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. EmptyJeu 24 Nov - 0:34

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FLASH BACK ON

« Tu fous mon cœur en vrac, tu fais chier. Non sérieux, arrête de me sourire comme ça, me regarde pas comme ça. T’es énervante à être belle, bordel. Non sérieux vas y arrête de me regarder comme ça, on dirait que t’es amoureuse. J’éspére pas que tu l’ais, enfin je dis ça pour toi, tu m’as regardé. Han t’es chiante, j’ai envie de t’embrasser maintenant. Voila, t’as gagné, j’éspére que t’es contente Sarabi. » J’avais beau être moi, le grand vilain Thayer Klaus Balthazar Elias Mercer-Fitz, celui qui avait toujours été rejeté jusqu’ici, de sa mère biologique, de ses familles d’accueil et même de ces batards de psychologues qu’on m’obligeait à voir ; il m’arrivait d’être quelqu’un de gentil, et de tendre, surtout avec elle. Parait que comme j’étais un peu schyzophrène, j’avais deux personnalités, Klaus Balthazar, le méchant et Thayer Elias, le gentil. La plupart des gens connaissent que Klaus Balthazar, when bad meets evil, Mister Hyde is in the place. Méchanceté gratuite, machisme, hautain, froid -glacial même- et d’une violence inouïe par moments, c’était ça, moi et toujours moi, individualisme du côté sombre de ma personne, la côté que j’aimerais qu’elle ne voie jamais. Ma Sarabi, la seule qui peut prétendre avoir souvent eu affaire à mon bon côté, Thayer Elias, doux, tendre, à la limite du sociable. C’est cette partie là qu’elle connaissait et je désirais que ce soit la seule qu’elle connaisse, parce que le jour où elle verrait l’autre côté du miroir, tout changerait, ce truc qu’on batissait, c’était sur le point de s’écrouler, à chaque instant, suffisait que cette deuxième partie apparaisse et elle ne me verrait plus jamais de la même façon, plus jamais. Avec elle, je faisais mon possible pour être the good guy, et parfois les deux se mélangeaient, j’étais gentil mais je faisais des conneries. J’étais gentil et tout, mais je vendais de la drogue ou me battait. J’étais jaloux, super jaloux, d’une jalousie maladive. Il suffisait que quelqu’un la touche, pour que mon poing ne me démange. Et même si c’était censé être sa copine, mon meilleur pote ne dérogeait pas à la règle. La touche pas batard, je promets de te démolir. Je le jure. Elle est à moi, rien qu’à moi. Jusqu’ici, je n’avais jamais pensé aller au-delà du mot relation. Pour moi, relation entre homme et femme, ca signifiait relation sexuelle. Mais avec elle, c’était loin d’être le cas. Cela faisait maintenant tout pile, tout juste deux mois que nous sortions ensemble en cachette, et nous n’étions pas passé à l’acte, elle et moi. Je voulais pas lui demander, elle ne l’avait jamais fait, je voulais pas avoir l’impression de lui donner un ultimatum, de la mettre devant le fait accompli. Tout ça parce qu’elle était pas comme les autres, parce qu’elle ne me faisait pas ressentir la même chose que les autres. J’avais jamais eu de sentiments pour qui que ce soit, avant elle, et là, maintenant, j’imaginais que le sentiment que je portais à son égard devait être l’amour, tout simplement. Mais je ne savais pas, puis de toute façon, je pouvais pas lui dire. Je ne pouvais pas. La vie est une chienne, qui se nourrit et se délecte de nos peurs, de nos malheurs et de nos moments de faiblesse. La vie nous fait souffrir, nous met à l’épreuve mais on ne peut rien faire d’autre qu’endurer, sans cesse, recevoir des coups et se relever, encore et encore. Jusqu’ici, j’avais connu les abandons, les fracas, les larmes des gens autour de moi ; tous les mauvais côtés de la vie. Mais depuis que j’avais fait sa rencontre, j’osais imaginer que cela changeait enfin la donne, qu’enfin même moi, j’aurais le droit à un peu de ce que les gens normaux appellent bonheur et ce que moi j’appelais souvent sentiment intouchable, en tout cas pour moi. Sarabi Aurora Lilo Tennessee Harvard. Fruit de la passion, de ma passion. Ma mienne, ma Sarabi, ma petite amie secrète. Je n’avais jamais eu de petite amie auparavant, de brèves liaisons, le charme du côté bad boy ne faisait pas effet très longtemps, souvent et le côté cas social revenait en pleine face de la fille, qui ne tardait pas à repartir aussi vite qu’elle était revenue. Avec elle, c’était différent. Elle voyait à travers ce côté, elle voyait à travers ma personnalité, à travers mon cœur. Elle lisait en moi, rien qu’avec son petit sourire, son visage d’ange. Sa tête qui était juste à la bonne hauteur pour venir se loger dans mon cou, ses cheveux si beaux, sa peau d’une douceur infinie. Ses lèvres qui venaient rencontrer les miennes, m’offrant un nectar délectable. Celui de l’amour ? J’en savais rien, mais je profitais de cela, parce que j’avais peur que tout cela s’arrête, d’une seconde à l’autre. Peut être qu’elle aussi verrait le monstre, tôt ou tard, et ce jour là elle partirait. Peut être ferait elle le bon choix en partant, en me laissant. J’étais pas le gendre idéal, pas le mari idéal. J’aimais pas les enfants, j’aimais pas les mariages. J’étais loni d’être le prince charmant dont elle rêvait, je le connaissais, elle voudrait me changer, et moi-même j’aimerais vraiment changer pour elle, mais je sais pas si j’y arriverais. J’en avais aucune idée. Puis je ne maîtrisais pas mes changements, ni de comportement, ni d’humeur. Avec la schyzophrénie que l’on m’a diagnostiqué depuis quelques temps désormais, j’avais souvent des crises qui se manifestaient, et que je n’arrivais pas à prévoir ou à éviter, je n’avais aucun contrôle sur elle et celle-ci me mettaient toujours dans des situations impossibles. Ma chance est que je n’en avais jamais eu alors que Sarabi était à mes côtés, en quelque sorte, elle était mon canaliseur, sa présence m’apaisait, me calmait. Et après ces crises, je me retrouvais dans la peau d’un autre. D’un autre moi. Ca n’avait rien de drôle, je ne contrôlais rien, un coup j’étais Docteur Jekyll et deux secondes plus tard, me voila Mister Hyde. Saloperie de problème. Le seul truc qui fonctionnait dans ma vie, c’était elle et moi.

Je n’avais jamais été le genre de personnes à avoir ne serait-ce qu’un minimum la fibre romantique. La plupart des filles que je connaissais un peu plus qu‘en tant qu‘amie, je couchais avec elle avant de les laisser tomber, j’imagine qu’il y a mieux comme romantisme. Enfin, ca s’est surtout le côté Thayer, l’anti-romantique, le méchant briseur de cœur, le bagarreur compulsif, le fan de la pyromanie. Ca c’était -j’imagine malheureusement- la partie de ma personne qui était la plus présente, celle qui faisait surface pendant quatre vingt quinze pour cent du temps. Et ensuite, pour les minuscules cinq pour cent restants, c’est le temps que je passe avec Sarabi, le côté Elias qui faisait de moi le tendre, le doux Elias, le romantique quasiment amoureux Elias mais jaloux quasiment maladif mais qui gardait quand même des caractéristiques de l‘autre côté. J’aimais avoir ce côté, et j’aimais encore plus que ce soit le côté qui lui était dédié, à ma Sarabi même si il m’arrivait de péter des plombs en sa présence, comme quand je voyais quelqu’un la toucher ou pire lui manquer de respect. La, ni une, ni deux, je me battais de toute mes forces, d’une telle rage ; je ne pouvais imaginer que l’on ne lui parle pas correctement, ou que quiconque veuille lui faire du mal. Je ne pourrais supporter qu’on lui fasse du mal. Je préférais mourir et la savoir en sécurité que de vivre en la sachant blessée ou malheureuse. Me battre pour elle, j’imagine que ca devait me donner ce côté prince charmant, dont elle rêvait. C’est bien la seule chose qui pouvait me donner l’air du prince charmant comme dans les dessins animés des studios Disney, le prince qui affronte le monstre, les péripéties puis le méchant avant de grimper jusqu’à la plus haute chambre de la plus haute tour du château pour sauver la princesse. C’était pas moi, et ca le serait peut être jamais. Elle l’éspérait, j’en étais sur, je savais qu’elle me voyait un peu comme son prince charmant mais non. Mon bon côté avait beau être tendre, poli et doux avec elle ; il n’empêchait que je restais assez distant, loin des niaiseries et des I love you lancés à tout va par les pseudos amoureux nous entourant, ou les personnages de série télévisée.
Malgré que je n’étais ni un prince charmant, ni un prince, ni charmant, ni niais, ni rien du tout ; je savais ce qui plaisait aux femmes. Même si elle n’était pas comme les autres, évidemment. Je savais que ce n’était pas ma belle gueule et le fait que je joue au football américain qui faisait ma réussite auprès des demoiselles, il y avait aussi mes belles paroles et j’arrivais aussi à toucher les gens, même si souvent je les touchais en leur faisant du mal. Mais pas elle, je pensais pas à moi, ou tout du moins pas autant que d’habitude lorsque j’étais avec elle, parce que je pensais à elle, avant tout. Pas à son bonheur, sinon je serais parti depuis longtemps déjà, mais à elle, la protéger. Cela faisait maintenant quatre mois, tout pile, jour pour jour, que l’on sortait ensemble, mais en cachette, évidemment. Tout aurait pu être bien plus facile si son petit ami n’était pas mon meilleur pote. Si il avait fallu, je lui aurais déchiré la tête, quitte à me prendre quelques bleus puis tout cela se serait fini par moi assis sur le lit de Sarabi et elle pansant mes plaies, un sourire indulgent sur la bouche. Mais lui était plus cinglé que moi, il se baladait jamais sans un couteau et j’avais pas envie de me retrouver à me vider de mon sang ou avec un œil crevé, merci bien. Donc, en attendant .. en fait on n’attendait quelque chose qui ferait qu’on pourrait être ensemble, sans savoir quoi ; on sortait ensemble en cachette. Et quatre mois ensemble, j’imaginais que pour quelqu’un qui n’avait jamais eu de petite amie auparavant, c’était pas mal. Puis, quatre mois à me supporter, Sarabi méritait bien que je lui offre un petit quelque chose. Marchant dans la rue seul, je réfléchissais à ce que je pourrais lui dire. Mais, en fait, il n’y avait pas besoin de mots. Je sonnais chez elle, et lui offrit le plus beau de mes sourires.

FLASH BACK OFF

Aujourd’hui, j’étais dans une super forme, une forme olympique même. J’étais souvent motivé et en forme pour aller aux entraînements de football américain mais là, je sais pas ce qui m’arrivait exactement mais j’étais bien mieux que d’habitude. Et bizarrement, j’avais rien fait de spécial, rien d’inhabituel, j’avais fait comme les autres jours de la semaine. J’avais mangé les mêmes céréales, dormi autant de temps et dans le même lit, pas de drogues, pas d’alcool, pas de boisson énergisante. Rien, rien du tout. Peut-être était ce juste un signe que cette journée serait belle, si ce n’est super. Je savais jamais à quoi m’attendre en me levant, ce qui allait m’arriver, qui j’allais rencontrer, à qui j’allais parler et qui j’allais avoir envie de frapper etc -et encore bien d’autres choses qui évidemment contiennent du sexe- et c’est pour cela d’ailleurs que je me levais le matin, pour voir ce qui m’attendait ce que j’allais vivre de banal ou d’extraordinaire. C’est le but même de l’homme, vivre pour voir justement ce qu’il va vivre. J’aimais cette idée, parce que sans elle, il y aurait aucun intérêt à vivre, on serait plus malheureux et ennuyeux que des automates, de simples machines. C’est donc le cœur léger et en sifflant que je me rendait dans les vestiaires des iotas, où je frappais dans la main de tous mes coéquipiers -parait que c’est pour l’esprit de groupe et la cohésion de l’équipe, une grosse connerie soit dit en passant- avant de me changer. Entraînement léger aujourd’hui, pas beaucoup de travail de jeu mais plus au niveau des consignes. Je devais bien avouer une chose, j’aimais les entraînements du mercredi matin. Pour une simple et bonne raison, il a lieu en même temps que celui des cheerleaders, et dieu sait que je ne peux pas résister à la tentation d’une femme en jupe courte. J’avais l’impression qu’il y avait une nouvelle par ici, cheveux bruns foncés à la limite du noir, petite, de jolies petites fesses. Lorsque la demoiselle que j’étais en train de détailler se retourna, j’en fis de même pour qu’elle ne me voit pas. C’était elle. Je la reconnaitrais entre mille, c’était elle, ma chérie, ma Sarabi. Mon point faible et la seule qui pourrait me donner envie d’avoir un cœur. Ma mienne, celle de personne d’autre. L’entraînement pour moi ne fut pas très bon, je n’arrêtais pas d’y penser, sans arrêt. Est-ce qu’elle m’avait vu ? Si oui, qu’Est-ce qu’elle pouvait penser ? Je ne savais pas pourquoi elle était partie, elle n’avait rien dit. Pas un coup de téléphone, pas une lettre, pas un au revoir. Pas un je t’aime. Rien, après l’annonce du meurtre de son vrai boyfriend -qui d’ailleurs avait tenté de me tuer en apprenant que je sortais avec elle en cachette depuis longtemps- elle était partie, me laissant seul. Comme toujours. A la fin de l’entraînement, elle était toute seule, à l’endroit même où s’entrainaient les cheerleaders peu de temps avant. L’occasion rêvée. Je courais vers elle, le casque sur la tête histoire de ne pas la laisser voir mon visage de suite, mais elle ne m’entendit même pas arrivé. Retirant mon casque, je m’approchais lentement, sans un bruit. Arrivé derrière elle, je me collais derrière elle, posant ma main sur ses fesses -qui ne l’oublions pas sont ma propriété, j’annonce- et venant murmurer à son oreille, mon retour dans sa vie. Si on m’avait dit qu’en venant ici, je récupérerais ce qui m’appartient, je serais venu plus rapidement. Tu penses pas que c’est-ce que j’aurais du faire Sarabi ? Mes lèvres vinrent ensuite se poser délicatement sur son cou, lui offrant un tendre baiser qui me rappela à de nombreux souvenirs. Son parfum m’emplissait les narines, tandis que je sentais sa peau toujours aussi douce. C’était ma Sarabi, rien qu’à moi, jamais je la partagerais et à ce moment là, après s’être perdu de vue durant des mois qui m’avaient semblé interminable, la voila, sous mes yeux. La seule et unique petite amie que j’ai jamais eu. Mon cœur. Mon ange. Sarabi. T’es toujours aussi belle, honey. Alors, quoi, on embrasse pas son Sarayer ? Shame on you if you don’t.
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MessageSujet: Re: But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. EmptyJeu 24 Nov - 2:21

But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. Sarayer2-2f06ecd
DON'T KNOW IF I COULD EVER BE WITHOUT YOU 'CAUSE BOY YOU COMPLET ME And in time I know that we'll both see. That we're all we need, 'cause you're the apple to my pie. You're the straw to my berry. You're the smoke to my high. And you're the one I wanna marry. You can be the prince and I can be your princess. You can be the sweet tooth I can be the dentist. You can be the shoes and I can be the laces. We're the perfect two.

« Tu sais très bien que je ne fais absolument rien Thayer, c'est toi qui me vois plus parfaite que je le suis réellement. » Lui répondis-je armée de mon sourire le plus charmeur aux lèvres. Sa bouche s'approcha de la mienne, j'avais l'impression de voir arrivé au ralentit comme dans les films. Notre relation avait débutée il y avait environs deux mois, deux mois de secret. J'avais déjà un petit ami, le meilleur ami de Thayer qui plus est. Je fréquentais Damon de puis quelques semaines à peine quand j'avais fait la rencontre de mon beau Thayer. Il m'aurait donc été plutôt facile de quitté Damon pour pouvoir enfin avouer ma relation au grand jour avec Thayer. Mais la réalité avait été autrement, ma mère qui croyait que Damon était le parfait petit ami pour moi m'en aurait beaucoup trop voulu si je l'avais laisser pour le petit rebelle du quartier. Il était hors de question de décevoir ma mère une fois de plus, elle n'aurait plus jamais changer mon nombre d'absences en cour ou encore effacer tous les mauvais commentaires qui pouvait être porter à mon dossier scolaire, étant directrice de l'école que je fréquentais elle pouvait facilement procéder à se genre de modification sans être vu. Mais si seulement il y avait que cela, ma mère avait beau croire que mon petit ami été parfait, elle avait tord, je connaissais Damon mieux qui qu'on que, mise à part peut-être Thayer, je savais très bien qu'il était violent lorsqu'il n'avait pas se qu'il voulait. J'avais peur, peur de laisser et qu'il me frappe ou pire encore. Jamais je n'avais avouer cela à personne, mais Thayer en avait aucune idée, hors de question d'avouer que je pouvais être effrayer, que j'étais faible. Thayer pouvait parfois avoir un peu le même comportement que Damon, j'aurais sans doute du avoir peur de lui également. Mais au contraire, je ne pouvais me passé de lui. Dès qu'il était avec moi c'était comme si il était une toute autre personne, quelqu'un de beaucoup plus calme et polis. J'adorais comment il était lorsque nous étions que tous les deux, j'avais l'impression d'être en sécurité encercler de ses bras de joueur de football américain. Mais de le voir devenir violent que se soit parce qu'un autre que toi était trop près de moi ou encore parce qu'un professeur l'avait fait chier, je ne le supportais pas, je n'aimais pas du tout le voir dans cet état. Si seulement je pouvais avoir une baguette magique pour l'ensorceler, mais la vie ne fonctionnait pas de la sorte malheureusement. Je devais donc vivre d’espoirs, j'étais persuader qu'un jour il allait réaliser qu'il était amoureux de moi et qu'enfin il allait devenir l'homme parfait dont j'avais toujours rêver. On m'a souvent dit que j'étais folle de croire au prince charmant, j'étais pourtant persuader qu'un jour je l'aurais mon prince rien que à moi. Il n'allait sans doute pas tomber du ciel, je n'allais sans doute pas devoir embrasser de crapaud, mais je savais que Thayer allait devenir l'homme dont j'avais toujours rêver. Ça ne pouvait être autrement, j'avais toujours eu le sentiments que nous étions fait l'un pour l'autre, que c'était notre destin d'être ensemble, de vivre heureux et avoir beaucoup d'enfants, enfin pour les enfants on verra. Thayer et Sarabi, Sarayer c'était écrit dans les étoiles. Je ne lui avais encore jamais dit tout ce que je pouvais ressentir pour lui, je savais bien qu'il ne voulait pas l'entendre. Thayer n'avait jamais été du genre à aimer les relations sérieuses, il était plus du type à coucher avec une fille sans jamais ne la rappeler, il fessait que la laisser seule avec ses questions et ses doutes. Je n'avais jamais comprit comment il arrivait à blesser quelqu'un de la sorte, j'avais mal pour toutes ces pauvres filles. Jamais je ne pourrais m'en remettre s'il me fessait le même coup, pour moi il était l'amour de ma vie. J'avais beau avoir à peine quinze ans, je ne voulais de personne d'autre à mes cotés pour le reste de ma vie. Il m'arrivait de nous imaginer en train de se marié, moi dans ma belle robe blanche qui marche vers lui dans la plus belle des chapelle, le sourire aux lèvres. Je nous voyais vieillir ensemble, être assit dans nos fauteuils berçant sur le perron devant notre petite maison bleus ciel, heureux simplement heureux et amoureux. Mais tout cela nous étais impossible pour le moment, nous devions se contenter de se voir en cachette. Parfois je croyais que c'était notre secret qui nous gardait ensemble, si nous avions vécu notre relation à la vue de tous, je suis persuader qu'elle se serait terminer très rapidement. Thayer n'aurait jamais supporter être enfermer dans une gage, il aurait fallut qu'il arrêter de draguer toutes ces filles. À chaque fois que je le voyais dans un coin en retrait avec un autre fille je ne pouvais m'empêcher d'avoir mal au coeuer, j'avais l'impression qu'il emportait une partie de moi à tout coup. J'avais aucune idée de se qu'il fessait, mais je me doutais bien. J'aurais tant voulu l'avoir que pour moi, mais je ne voulais pas lui faire peur avec mes déclarations, j'avais beaucoup trop peur qu'il fuit, qu'il me laisse seule avec le coeur en mille morceaux et un bâton de colle. Pour lui j'étais prête à supporter n'importe quoi, je pouvais endurer toute la douleur du monde que pour voir ses beaux yeux bleus regarder au fond de mon regard. Son regard qui voulait tout dire sans dire un mot, ce regard qu'il avait pour me faire comprendre qu'il m'aimait. Il ne m'avait jamais prononcer ces paroles, mais il n'en avait pas besoin, je savais au fond de moi que je n'étais pas comme les autres pour lui, que j'étais spéciale, si non il ne serait pas rester à mes cotés aussi longtemps sans jamais avoir de sexe de ma part. J'étais encore vierge, lui non évidement.

En quatre mois de relation il ne m'avait jamais même proposer de coucher avec moi, il devait attendre que je lui propose de mon plein gré. Je crois que c'était pour ça que je l'aimais autant, enfin une des raison. Il n'était pas comme tous les autres mecs de mon lycée. Lorsque j'avais fait croire à Damon que ma famille était ultra religieuse et que j'allais passer à l'acte qu'une fois mariée, tous les mecs de l'école voulait être le premier à coucher avec moi. Évidement Damon l'avait dit à tout le monde à l'école se qui n'avait pas aider la situation. Thayer avait été le seul à ne rien tenter afin que je ne passe la nuit dans son lit. Avec lui je pouvais passé des heures coucher au creux de son épaule à parler ou simplement à rester là et être bien, dans mon petit paradis que je m'étais créer. Il nous arrivait de s'embrasser, enfin nous nous embrassions régulièrement, j'adorais lorsque ses lèves chaude venait rejoindre les miennes et que nos langues entraient dans une danse des plus langoureuse. Il m'arrivait de pensé à aller plus loin avec lui, particulièrement lorsque nous étions enfermer dans ma chambre tous les deux sur mon lit dans les bras de l'autre. Je voulais que ma première fois soit avec lui, j'avais l'impression que si je fessais l'amour pour la toute première fois avec Thayer, l'expérience serait moins effrayante, comme s'il allait tout faire pour me mettre à l'aise et ne pas me faire mal. J'avais entendu dire que la première fois fessait mal et que ce n'était pas du tout agréable, mais que par la suite, plus nous fessions l'amour plus on aimait ça et plus on ne pouvait s'en passé. À voir l'engouement que les mecs de mon lycée avait eu à devenir celui qui allait m'enlever ma virginité, j'avais vite comprit que si je l'offrait à mon beau blond cela pourrait être un beau cadeau pour lui, si on peut considéré ça comme un cadeau. Je l'aimais tellement que je ne me voyais pas partager se moment avec nul autre que lui. Ma mère me répétait sans cesse depuis notre arrivée à Dallas, qu'il était important d'aimer la personne avec qui nous passions à l'acte pour la première fois, si non il était possible que nous regrettions d'être passé à l'acte trop rapidement ou encore avec la mauvaise personne. Ce discours était bien sur accompagné de celui sur l'importance de la protection, elle n'avait rien oublier, en passant par les condoms jusqu'à la pilule et l’abstinence, elle avait couvert le sujet de long en large. Après quatre mois de relation avec Thayer, j'avais finalement décider d'aller voir ma mère pour lui demander d'aller chez le médecin, je voulais commencer la pilule contraceptive. Immédiatement elle cru que j'étais prête à coucher avec Damon, je lui fis donc croire que ce n'était qu'au cas ou, je ne pouvais quand même pas lui avouer que je trompais celui qu'elle voyait comme le gendre parfait depuis longtemps déjà. Quelques semaines plus tard, je décidai qu'il était temps de passer enfin cette fameuse nuit d'amour avec Thayer. Il devait venir chez moi le soir même alors que ma mère allait restait tard au bureau, elle devait rencontrer des parents ou un truc du genre, je n'en avais rien à faire tant que je pouvais passer du temps avec celui que j'aimais plus que tout. J'avais donc enfiler mes sous vêtements les plus sexy sous mon chemisier et mon shirt avant de placer de nombreuse bogies un peu partout dans ma chambre. J'étais extrêmement romantique, peut-être un peu trop pour mon beau blond qui avait l'habitude de faire ce genre de chose sur la banquette arrière d'un voiture. Peut-importe, je voulais que se moment soit parfait. J'attendis impatiemment l'arrivée de Thayer par la suite, je ne pouvais m'empêcher de tourner en rond dans la maison, même que je fis le saut lorsque finalement la sonnerie se fit retentir. Je couru jusqu'a la porte pour y découvrir un Thayer tout souriant, ce qu'il pouvait me faire fondre avec son sourire Colgate parfait, je lui fis à mon tour l'un de mes plus beaux sourires avant de lui sauter au coup et de le serrer le plus fort que je pouvais dans mes bras. Rapidement nous entrons à l'intérieur de la maison, comme nous ne pouvions démontrer trop d’affection en public. « J'avais hâte que tu arrive! » Dès l'instant ou la porte se referma derrière nous, il me prit dans ses bras, mon visage arrivait sur son torse musclé, cela me donnait l'impression d'être en sécurité, personne ni rien de pouvait m'atteindre lorsque j'étais dans ses bras. Je me mis finalement sur la pointe des pieds et mes lèvres viennent rejoindre les siennes pour un échange de baisés passionnées. Je sentais mon coeur battre la chamaille dans ma poitrine, j'avais un peu peur de se qui allait se passer plus tard, mais j'avais tout de même hâte. J'étais tellement mélanger qu'il m'étais difficile d'avoir les idées clairs. Je le pris par la main puis nous sommes monter au deuxième étages pour se rendre dans ma chambre, lieux de nos futurs ébats.


Aujourd'hui j'avais entrainement de cheerleading, j'avais extrêmement hâte à cet entrainement du mercredi matin. Ce n'était pas un jour comme tous les autres, en début d'après-midi j'allais enfin emménager dans ma chambre chez les Iota, adieu petit appartement minable que je devais partager avec trois autres personnes depuis mon arrivée à San Francisco il y a quelques moi déjà. J'avais déjà prévu de tout refaire la décoration de la chambre, j'allais être seule pour le moment donc je pouvais en faire tout ce que je voulais. L'occupant précédant ne devait pas être fan de décoration intérieur comme la pièce avait été laisser sans un piteux état, en même temps il ne faut pas trop en demander, il s’agissait d'un jeune adulte membre d'une confrérie qui plus est. Les simples murs blanc allaient donc devenir bleu ciel, j'adorais cette couleur et puis c'était la couleur dont j'avais toujours imaginer la future maison dans la quelle j'allais habité en compagnie de Thayer après notre mariage. Je ne l'avais pas revu depuis mon départ de Dallas, ce n'étais aucunement de sa faute, je ne lui avait tout simplement pas dit ou j'allais, il avait même aucune idée que je comptais quitté la ville ou nous nous étions rencontrer. Mais malgré cela je pensais tout de même à lui, il ne se passait pas une seule journée sans qu'il ne traverse mon esprit. Je m'en voulait terriblement d'être partie sans rien lui dire, il méritait mieux que ça et je savais très bien que j'avais du le blesser. Souvent il avait été abandonner dans sa vie et malgré les promesses que je lui avais fait, j'avais fait comme tous les autres. Je l'avais laisser seul sans explications. J'enfilai donc mon uniforme dans le vestiaire avant de me rendre sur le terrain, les joueurs de football américain s’entraînaient eux aussi un peu plus loin sur le grand terrain de l'université. Je les regardai un moment, je savais très bien que mon amour n'allait pas être là parmi tout ces joueurs, mais c'était plus fort que moi, peut importe ou j'allais je regardais partout au cas ou qu'il soit là. Je devais sans doute me causer plus de douleur qu'autre chose en agissant de la sorte, mais je souhaitais tellement le voir là devant moi avec son sourire dès plus charmeur. Son image était rester imprégner dans ma mémoire, je ne pouvais l'oublier ou passer à autre chose, c'était lui que je voulais et personne d'autre. L'entrainement avait prit fin, tous les autres filles de l'équipe c'étaient ruée vers les vestiaires afin de reprendre le cour de leurs vies. Tant qu'à moi j'étais rester seule sur le terrain de foot, je regardais tout au tour de moi, je m'imaginais lors de mon tout premier match de football, encourager l'équipe vête de mon uniforme. J'adorais faire partie d'une équipe, c'était comme avoir une seconde famille. J'étais perdue dans mes pensés lorsque tout à coup je sentis deux mains se poser sur mon postérieur et cette voix venir chuchoter quelques mots à mon oreille. C'était sa voix, je pouvais la reconnaître parmi des milliers de voix, mon prince charmant était tout près de moi, je devais rêver. Thayer ne pouvait également être ici à Berkeley, la vie n'était jamais aussi bien faite. Il déposa un baiser dans mon cou, il avait toujours la même façon de faire, la même façon qui avait su me faire fondre il y a quelques années. Je me retournai tout doucement, pour ne pas qu'il s'évapore et disparaisse à toujours. Je fus totalement bouche bée lorsque je réalisa que c'était bien lui, il était là devant moi, a à peine quelques centimètre de moi, je pouvais le toucher, il était bien réel. Je n'avais aucune idée de ce que je pouvais lui dire, pourtant j'avais imaginer ce moment des milliards de fois depuis les dernier mois. Je le regardai sans dire un mot, j'avais beau essayer de parler, aucun mot ne voulait sortir de ma bouche. Je viens déposer mes mains dans son cou juste sous la mâchoire tout en plongeant mon regard au fond du sien. J'avais envie de pleurer tellement j'étais heureuse de le revoir. Tranquillement je m'approchai de lui avant d’arrêter et de recommencer de nouveau. J'avais envie de l'embrasser plus que tout, mais j'avais peur qu'il m'en veule d'être partie de la sorte, qu'il ne ressente plus la même chose qu'avant à mon égard. Tant pis, je viens finalement déposer tout doucement mes lèvres contre les siennes.
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MessageSujet: Re: But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. EmptyMer 30 Nov - 17:30

FLASH BACK ON

Je pense que dans ma vie, je n'avais jamais été aussi heureux qu'aujourd'hui. Ce n'était pas bien difficile tant ma vie jusqu'ici avait été des plus difficiles, étant abandonné juste quelques heures après ma naissance, étant ensuite baladé de famille en famille, au gré de mes changements d'humeurs et/ou de mes conneries aussi nombreuses que souvent graves ; n'étant jamais vraiment sorti avec quelque demoiselle qu'elles soient, n'ayant jamais connu un quelconque affectif parental jusqu'à l'âge de seize ans. Autant dire que la stabilité de ma vie de ces derniers mois étaient on ne peut plus remarquables. Je n'avais aucun problème avec mes parents adoptifs, même si je les considérait comme mes parents tout simplement ; cela marchait plutôt bien à l'école où je n'avais jusqu'à présent jamais été très bon ; et surtout, le plus important, la cerise sur le gateau, la flèche de cupidon en plein coeur, Sarabi-Aurora Harvard. Même si elle était censé sortir et être la petite amie de mon meilleur ami, je n'en avais carrément rien à faire. Le jour où je l'avais rencontré, j'avais pas vu la copine de mon meilleur pote mais une demoiselle qui était là, à un moment de ma vie où j'éprouvais la lassitude de vivre, où plus rien ne me donnait envie de me lever le matin tant ma vie était d'un ennui des plus total. Je ne pouvais pas passer à côté, j'en avais rien à foutre, rien du tout de Damon. De toute façon, elle serait mieux avec moi. Même si le fou déclaré, c'était bien moi ; Damon n'étant pas bien mieux que moi car lui en plus de cela était violent, très violent. Sarabi n'était pas le genre de filles à sortir avec plusieurs garçons en même temps, à jouer avec le coeur et les sentiments d'autres personnes, elle n'avais jamais été ainsi avec moi en tout cas et ce n'est donc pas ainsi que je la connaissais. Non, elle était plus du genre prince charmant, grand amour, mariage en blanc et cetera. D'ailleurs, c'était bien une des seules personnes que je connaissais qui pouvait encore ne pas se parjurer en se mariant en blanc ; mademoiselle n'avait jamais goûté au plaisir de la chair et je la respectais pour cela. Cela faisait environ quatre mois que nous sortions ensemble et jamais je n'aurais pensé à un seul moment lui demander de faire l'amour avec moi, je ne pourrais pas lui demander, j'aurais peur qu'elle se sente obligé de le faire alors que mentalement, elle n'était peut-être pas prête. Je pouvais le comprendre et c'est pour cela que même si un homme a des besoins évidents sur ce plan là, je ne lui faisait pas part de cela, tout vient à point à qui sait attendre, dit la tirade. Et puis, de toute façon, je savais que l'attente en vaudrait la chandelle, j'en étais persuadé. Même si évidemment, comme c'était sa première fois, peut être que cela ne serait pas d'une facilité quelconque mais soit, il faudrait bien qu'on y passe un jour j'imagine, à cette fameuse première fois. Parfois, j'avais l'impression qu'elle allait me le proposer. Lorsqu'elle m'invitait à monter dans sa chambre et qu'elle fermait derrière nous. Nous nous allongions l'un contre l'autre et nous embrassions en se regardant dans les yeux, des heures durant. A ce jour, je ne lui demandais rien de plus que cela, rien de plus q'une présence qui arrivait à chasser mes démons les plus noirs, les plus obscurs ; ne serait-ce que pour un court laps de temps, cela faisait du bien de ne plus être le cinglé dans les yeux de quelqu'un. On était complètement opposés, elle et moi. Elle, rêvant d'un prince charmant que je ne serait peut-être jamais, du grand amour ; alors que je passais mes journées entre le football américain et les joints que je roulais. Malgré cette différence, malgré que nous étions l'ange et le diable, cela faisait des étincelles. J'avais le charme du diable, elle avait la force des anges. C'est pensant à mon doux amour secret que je sonnais à sa porte, attendant impatiemment de croiser son regard, brillant d'intensité, chaleureusement beau. Puis de sentir ses lèvres à nouveau venir goûter à la mienne, dans une langoureuse et interdite danse, qui nous menait à un état de bien être parfait. Sans même avoir besoin de voir l'autre nu, et plus encore. J'avais peur d'une chose, d'une seule petite chose. C'était que notre secret soit découvert, que Damon apprenne tout. J'avais peur, pour la première fois de ma vie, j'avais peur. J'avais peur qu'il devienne fou, qu'il fasse du mal à Sarabi. Jamais de ma vie je ne m'étais intéressé à qui que ce soit, mais désormais, cela avait changé. Avant tout, je pensais à elle et plus à moi. J'avais terminé d'être le centre de mon monde, elle avait pris cette place. J'avais peur qu'un jour, il n'y ait plus rien. Qu'un jour, elle se rende compte que je ne serais jamais le prince charmant. J'avais peur et cela me donnait froid dans le dos. Car je ne savais pas si je pourrais changer un jour. Et je ne savais même pas si c'est ce que je voulais. La seule chose que je savais, c'était que tout de suite, je voulais être avec elle. Et qu'on verrait demain. Au jour le jour.

Pour nos quatre mois ensemble, elle avait décidé de m'inviter chez elle, pour fêter cela comme il se doit. Et qu'accessoirement, elle m'avait dit que sa mère ne serait pas là et qu'elle ne rentrerait pas avant un moment, nous aurions donc sa maison rien que pour nous. Je ne savais pas vraiment comment l’interpréter mais soit, j'aurais la surprise en arrivant. Je mis mon cadeau dans ma poche, histoire de ne surtout pas l'oublier, cela serait franchement idiot. Elle m'ouvrit à peine eus-je sonné la porte, si il y avait bien un truc que Sarabi ne faisait jamais, ô grand jamais, c'était me faire attendre. C'était pour cela qu'elle était spéciale, elle n'était pas du genre à arriver en retard à un rendez vous pour se faire désirer, de toute façon, elle n'en avait pas besoin avec moi. J'étais déja raide dingue rien que de la voir, rayonnante. Mon visage s'illumina lorsqu'elle posa son regard sur moi, avec la plus grande tendresse du monde. Ma Sarabi, only mine. Elle me sauta littéralement dessus, avec son sourire si particulier, si parfait avant de me faire entrer dans la maison, fermant la porte derrière nous et faisant même un tour de clé, au cas où. Elle me serrait si fort, son visage contre mon torse ; elle pouvait sentir mon coeur battre la chamade, en sa présence si importante. Bien plus que ce qu'elle ne pouvait imaginer. Sur la pointe des pieds, il faut dire qu'elle faisait bien une grosse vingtaine de centimètres que moi, ses lèvres vinrent rejoindre les miennes tandis que mes bras passaient autour de sa taille. Collé à elle, j'arrivais à sentir son coeur battre, encore plus fort que le mien. J'avais l'impression que cette soirée serait inoubliable, pour moi comme pour elle. Je ne savais pas ce qui allait se passer, mais j'essaierais de le faire parfaitement, comme elle rêverait que je le fasse. Il n'y a qu'une seule chose que je ne me sentais pas capable de faire. Proncer ces mots. Proncer ces trois mots, ces huit lettres. Elle rendraient tout bien plus compliqué que cela ne l'était déja. Je ne pouvais pas, cela .. je ne pouvais pas. Lui dire ces trois mots reviendraient à enclencher une minuterie, qui un jour, lui briserait le coeur. Mais je ne voulais pas y penser. Elle me prit par la main et m'emmena, vers sa chambre. En y entrant, je vis que la pièce était éclairée par de simples bougies, je reconnaissais bien là ma romantique Sarabi. Elle s'éloigna quelques peu de moi, avant de me regarder, en se mordillant la lèvre inférieure. Elle s'approcha à nouveau, posant ses mains sur mes yeux pour les fermer avant de poser ses lèvres doucement sur les miennes. Elle recula à nouveau, tout en me priant de garder les yeux fermés. Je n'avais jamais aimé vraiment les surprises mais j'allais faire un effort, un effort pour elle. L'odeur des bougies parfumées venaient chatouiller mes narines tandis que mes yeux restaient plus clos que jamais. Dés que j'eus le signal, je rouvris les yeux et pus contempler un spectacle qui n'avait jamais été donné à personne avant moi. Elle se trouvait devant moi, me regardant avec une certaine appréhension mais une réelle excitation par la même occasion, en sous vêtements. Cela semblait déormais clair que la demoiselle voulait passer à l'acte, pour la première fois. Et c'est moi qu'elle avait choisi. Cela me semblait être le pire choix du monde, tant je n'étais pas le garçon idéal pour elle. D'un doigt, d'une manière très sexy, elle m'invita à me rapprocher, évidemment, elle n'allais pas faire l'amour toute seule. J'approchais d'elle, posant à nouveau mes lèvres sur les siennes, mes mains venant caresser la peau de son dos. J'allais devoir être parfait ce soir, ce n'était pas tous le jours qu'on avait l'occasion de faire l'amour à une fille qui compte vraiment, pour la première fois. Elle se recula jusque près du lit, avant que je ne l'allonge, avant de me mettre au dessus d'elle. Soudain, je pensais à elle, peut être voulait elle simplement penser à moi, peut être qu'elle n'était pas prête. Tu es sur d'en avoir envie, Sarabi ? Ca ne change rien, ca ne changera rien entre nous. Je te le promets. Il faut que ce soit ton choix.

FLASH BACK OFF

Cela me rendait fou. Plus que je ne l'étais d'habitude, plus que quand j'étais avec elle. J'avais l'impression de la voir partout, quel que soit la direction où je regarde j'avais l'impression qu'elle était là, à me regarder, à me sourire. Cet ange qui était là, qui me suivait ; mais que je ne pouvais pas toucher, et à qui je ne pouvais parler. Où que j'aille son souvenir me suivait, inlassablement, me tirant en arrière. Et alors que je ny croyais plus, que je pensais que sa mère m'avait menti et dirigé vers une université où elle n'était pas, apparemment ; la voila. C'était elle, je l'aurais reconnu entre mille, je l'aurais reconnu entre un milliard de personne. C'était elle, ma Sarabi, la seule personne que j'ai un jour aimé plus que ma propre personne. Mais aussi la seule personne m'ayant un jour brisé le coeur, en partant, sans un mot, sans un post-it, sans une lettre. Rien, elle ne m'avait rien laissé, rien d'autre qu'un coeur qui ne peut se résoudre à aimer, rien d'autre qu'un coeur blessé, brisé en mille morceaux. Elle ne m'avait laissé qu'une seule et unique petite chose, le souvenir. Le souvenir de ces mois passés ensemble, le souvenir de cette soirée pour nos quatre mois ensemble, le souvenir de ces baisers. Et le souvenir d'une fille qui me voyait comme Thayer, uniquement ; pas comme un mec complètement fou. N'importe qui aurait pensé qu'elle aurait été celle qui terminerait seule, à panser ses plaies, à réparer un coeur brisé mais il n'e fut rien. Je ne m'y attendais nullement et ca m'avait fait l'effet d'une balle en plein coeur. Plus rien, plus d'elle, plus de calins, plus de nous. Le néant le plus total. La revoir me faisait l'effet d'une bombe. Pire encore, j'avais l'impression qu'on compressait mon coeur, d'une force ravageuse. Je ne savais pas quelle attitude adopté, mais je m'étais tout de même approché, jusqu'à venir retrouver de mes mains, ce corps qui n'était autre que ma propriété. Je ne pourrais pas la voir avec un autre homme que moi, je sais que je deviendrais fou et qu'il vaudrait mieux à ce moment là ne pas être sur mon passage, sinon, cela ne serait assurément pas une bonne journée pour la personne qui serait sur mon chemin. Elle me regarda, elle ne semblait pas croire que le gros batard qu'était son ex petit-ami ait pu la suivre jusque la Californie, que le Texan pur souche avait quitté son Etat natal pour venir la chercher. C'était ce qu'elle devait se dire, même si officiellement, j'étais venu pour jouer avec l'équipe de football américain de Berkeley, pas pour retrouver une demoiselle qui m'avait abandonné, sans dire un mot. Mais soit, ses mains vinrent dans mon cou, alors qu'elle me regardait, avec une tendresse magnifique d'innocence en elle. Elle semblait hésiter, approchant son visage, le reculant. Peut-être avait-elle raison après tout. Je n'avais aucune idée de si la pilule passerait, maintenant qu'elle était en face de moi. J'avais toujours en travers de la gorge son départ, qui m'avait totalement brisé. Malgré cette hésitation, elle vint poser ses lèvres sur les miennes. Se reculant, elle me regarda, gênée. Je l'étais tout autant. J'imagine que le hasard fait bien les choses n'est ce pas ? dis je, un sourire carnassier sur mon visage. Aujourd'hui, je ne pouvais pas être le gentil Thayer, je n'y arrivais pas. Même si elle était très importante pour moi, depuis notre rencontre, j'avais de la rancoeur en moi, et je ne pensais pas qu'elle partirait si facilement. Mais c'était Sarabi, ce serait plus facile de pardonner, j'imagine. Je t'ai manqué ? J'imagine que non, vu que tu n'as pas pris la peine de me dire au revoir.. Mon visage reflétait à quel point j'avais été triste et désapointé qu'elle me quitte, même si ses raisons étaient valables, ca donnait pas envie de rester dans une ville quand son petit ami a tué sa mère. Et accessoirement, qui a tenté de tuer celui avec qui on l'a longtemps trompé juste après son départ.
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MessageSujet: Re: But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. EmptyMer 14 Déc - 19:20

But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. Sarayer2-2f06ecd
DON'T KNOW IF I COULD EVER BE WITHOUT YOU 'CAUSE BOY YOU COMPLET ME And in time I know that we'll both see. That we're all we need, 'cause you're the apple to my pie. You're the straw to my berry. You're the smoke to my high. And you're the one I wanna marry. You can be the prince and I can be your princess. You can be the sweet tooth I can be the dentist. You can be the shoes and I can be the laces. We're the perfect two.

Vivre une double vie, jamais je n'aurais pensé être ce genre de personne, mais malgré tout je m'étais trouver dans cette situation. Aux yeux de tous j'étais l'une des filles la plus populaire de tout lycée, ma beauté m'avait sans doute aider à l'obtention de ce statue tant désiré. Depuis quelques mois maintenant je pouvais me balader aux bras du mec le plus en vue, celui dont tous les autres filles rêvent quand elles sont seules tard le soir dans leurs lits. Je fessais même partie de l'équipe de pompom girls. À vrai dire j'avais tout ce qu'une fille de mon âge rêve seulement d'avoir pour être heureuse et malgré tout j'avais l'impression que ce n'étais pas suffisant. Rapidement j'avais remarquer que j'étais loin d'être amoureuse de Damon, tout ce qu'il fessait me tombaient sur les nerfs. Je ne supportais pas tous ces blagues d'enfants qu'il pouvait faire, il pouvait parfois me rappeler les gamins que mon père avait eu avec sa nouvelle femme, aussi insupportable. Nous avions commencer à sortir ensemble sans vraiment se connaitre et à vrai dire plus j'en apprenais à son sujet plus j'avais envie de le laisser. Une fois j'y étais presque, j'étais plus qu'à deux doigts de lui avouer que je ne l'aimais pas, mais il avait du le voir venir. Il se mit à cirer et à tout lancer au tour de lui, disant que si j'osais le quitté il allait tué ma mère et toute autres personnes qui m'étaient cher. Complètement horrifier je n'en parla à personne, je gardai le secret que pour moi. Par la suite j'avais bien trop peur de lui pour faire quoi que se soit, je me contentais d'avoir l'air de la meilleure petite amie au monde en sa présence. Et dès qu'il avait le dos tourné je courrais dans les bras de Thayer, celui dont je suis réellement amoureuse. Des fois il m'arrivait de regretter de ne pas avoir connu Thayer en premier, ma vie en serait sans doute beaucoup moins compliquer, mais le destin en avait choisit autrement, le beau blond était mon amoureux secret sans doute pour le restant de mes jours. Ma plus grande crainte était que mon petit ami découvre tout, qu'il se rendre compte que son meilleur ami lui avait jouer dans le dos tout ce temps et que finalement il décide de mettre ses menaces à exécution. Si Thayer devait mourir par ma faute, jamais je ne me le pardonnerais. J'avais donc du apprendre à mentir comme si ma vie en dépendait, j'étais rapidement devenue la reine du mensonge. Rien de pouvait me filer entre les doigts, toujours j'arrivais à retomber sur mes pieds et à expliquer ou j'étais la veille. Le coté religieux que je m'étais inventé m'était très utile, je savais que Damon n'avait aucune envie de s'impliquer dans tout ce qui avait un lien avec la religion, donc je pouvais à tout m'en tiré en sortant un truc du genre ''désoler, j'ai fait du bénévolat à l'église hier, du coup j'ai pas pu aller à cette fête avec toi''. Heureusement il me croyait à tout coup, malgré e tic que j'avais dès que je mentais, j'avais beau ne pas vouloir le faire, mais c'était plus fort que ma pensé, dès que je commençais à compter une menterie je fermais deux fois les yeux très rapidement. Seulement Thayer m'en avait fait la remarque, à croire qu'il était le seul à réellement me connaitre dans les moindres détails, même mes amies n'en savaient pas autant sur moi qu'il pouvait en avoir apprit en si peu de temps. Il devait être mon âme soeur, je ne voyais pas d'autres raisons. Vous savez cette personne avec qui vous êtes destiné, comme si vos deux noms étaient écrient parmi les étoiles et que rien au monde ne pouvait vous séparé, j'avais eu la chance de connaitre cette personne assez rapidement dans ma vie. Malgré mon jeune age je savais que Thayer et moi allions terminer nos jours en ensemble, je ne me voyais pas avec personne d'autre que lui un point c'est tout. Et s'il décidait un jour qu'il ne voulait plus de moi, je terminerais probablement ma vie seule avec mes soixante dix millions de chats, comme ces vieilles madames un peu folle qui portent un attention beaucoup trop particulière à leurs félins.

Mon plus grand secret durait depuis maintenant quatre mois, quatre mois que Thayer et moi sortions ensemble, les quatre plus beau mois de ma vie. Je me devais de souligner l'évènement malgré le coté anti-romantique de celui avec qui j'avais partager ces quatre mois de pur bonheur. Je savais que peut importe ce que j'allais organiser Thayer allait y participer sans dire un mot simplement pour me faire plaisir. Il avait beau croire qu'il était loin d'être celui qu'il me fallait, loin d'être mon homme parfait, mais pour moi il représentait tout de ce qu'il y avait de plus parfait. Ce n'était pas Damon qui était prêt à tout faire de la sorte que pour me rendre heureuse alors que Thayer pouvait si facilement tout mettre de coté pour moi. Il n'avait pas besoin de crier à en perdre le souffle qu'il était en amour avec moi, simplement le fait qu'il pense à moi avant de pensé à lui m'était suffisant. Et pour cette raison je lui avais préparer le plus beau des cadeaux que je pouvais lui offrir, ma virginité. Damon m'avait souvent demander de passé à l'acte avec lui, mais je ne voulais pas, je savais que j'allais le regretter si ma toute première fois était avec un mec que je n'aimais pas. Je lui avais donc dit je ne me sentais pas prête à faire ce genre de chose. Pourtant depuis que j'avais commencer à fréquenter mon beau blond je me sentais prête plus jamais, j'avais enfin l'impression que j'avais trouver la bonne personne et je ne me voyais pas faire l'amour pour la première fois avec nul autre que mon beau Thayer d'amour que j'aimais plus que tout. Dès que j'entendis la sonnette je couru ouvrir la porte avant de sauter directement sur Thayer et de l'embrassé. De peur de se faire voir, nous entrâmes rapidement à l'intérieur de la maison afin de continuer de s'embrasser comme des amoureux qui se n'étaient pas revu depuis des mois alors que nous avions passer la soirée de la veille ensemble. C'est main dans la main que nous rendîmes dans ma chambre au second étage de la petite maison que j'habitais avec ma mère, absente pour la soirée. Immédiatement en y entrant l'odeur de la vanille dégagé par les chandelles que j'avais mit un peu partout m'attaqua le nez, j'adorais cette odeur et tout ce qui goûtait la vanille. Nos lèvres ne pouvaient se passer de celle de l'autre, mais je mis fin à notre baiser avant de fermer les yeux de mon amoureux. « S'il te plait garde les yeux fermer, j'ai une surprise pour toi et tu ne regrettera pas d'avoir garder les yeux fermer pour une fois, je te le promet. » Je me doutais qu'il devait avoir envie d'ouvrir les yeux, il ne supportait pas les surprises. Alors je m'exécuta le plus rapidement que je pouvais, très vite j'enleva mon haut puis mon pantalon. Je me retrouvai vêtu que de mes sous-vêtements en dentelle noir, j'avais entendu dire que c'était ce que les mecs préféraient. « Tu peux ouvrir les yeux maintenant! » Thayer ouvra les yeux et vu sa réaction il était probablement vrai que les sous-vêtement noirs étaient bien apprécier de la gente masculine. Il s'approcha de moi et m'embrassa de nouveau tout ne passant sa main sur la peau de mon dos, j'en avais des frissons qui me traversaient le corps entier. Je n'avais aucun doute que ce moment allait être parfait. J'alla m'allonger sur mon lit puis il vient me rejoindre, au dessus de moi et de nouveau nos langues entrèrent dans une danse des plus langoureuse. Mon coeur battait la chamaille dans l’excitation et le stress de passer à l'acte pour la toute première fois. Puis soudainement ce baiser prit fin, Thayer me demanda si j'en avais réellement envie ou si je fessais ça que pour lui faire plaisir. Il n'avait pas tord, je voulais faire plaisir, il devait attendre ce moment depuis quatre moi, mais j'en avais également envie, très envie. « Bien sur que j'en ai envie, tu me connais Thayer si je n'en avais pas envie je ne serais pas allonger sur mon lit en sous-vêtement en ce moment même. Et puis de toute façon, depuis quand tu t'arrête à ce genre de détails? » J'espérais qu'il me dise que c'était parce qu'il m'aime, bien que je doute qu'il me dise ces mots, ces mots pour les quels je ferrais n'importe quoi afin de les entendre une seule fois. Quoi qu'il n'avait pas besoin de me dire qu'il m'aime pour que je le comprenne, simplement dans sa façon d'agir avec moi je savais qu'au fond de lui il était amoureux, mais avant de me l'avouer il devait se l'avouer à lui même et cela pouvait prendre un temps énorme vu son passé. Je viens lui faire un léger baiser puis je lui enlever son t-shirt afin qu'il comprenne que j'en avais réellement envie, c'était avec lui que je voulais perdre ma virginité, je n'avais aucun doute la dessus. Mes mains viennent ensuite caresser son dos et ses épaules musclés, plus je le touchais plus j'avais envie de lui nu contre moi.


Était-ce un rêve? Était-il vraiment là devant moi? Je ne pouvais le réaliser. Il y avait déjà six mois que j'avais quitté Dallas sans dire un mot à qui que se soit, seulement ma mère savait ou je me trouvais. J'avais voulu tout mettre derrière moi et recommencer ma vie à neuf. Pourtant il était bien là, mon Thayer, il était à San Francisco, est-ce le pur hasard ou m'avait-il chercher pendant tout ce temps? Je n'en avais aucune idée, j'osais espérer que c'était que le étrange des hasards, se serait beaucoup simple de cette façon. Six mois que je ne l'avais pas revue, six longs mois sans celui qui me complète. J'avais pourtant tout fait pour essayer de l'oublier, mais rien n'y fessait, je ne pouvais l'oublier, je pensais constamment à lui. J'avais même essayer de fréquenter d'autres mecs, mais ils n'étaient jamais à la hauteur, à chaque fois je me disais que Thayer aurait jamais fait ci ou cela, je ne pouvais m'empêcher de le comparer à tout coup et toujours j'étais déçu de ne pas avoir l'amour de ma vie devant moi. Il avait l'air fâché contre moi, il devait sans doute avoir raison de se sentir de la sorte, je l'avais laisser seul à Dallas, j'étais partie sans même lui dire au revoir. Je n'avais même pas pensé à lui lors de mon départ, pour moi Thayer était fort, il allait rapidement s'en remettre, m'oublier et passer à autre chose. Je n'aurais jamais pu croire qu'il se serait retrouver le coeur brisé. Moi qui avais toujours cru que c'était moi qui allait se retrouver dans cette situation entre nous deux, celle au coeur brisé en mille morceaux. Depuis que j'étais arrivée dans cette nouvelle ville, je ne pouvais m'empêcher de voir son visage partout, il hantait la moindre de mes pensés. Je regrettais de ne pas être aller vers lui avant de partir, qui sait peut-être aurions nous pu partir ensemble, que tous les deux et faire une nouvelle vie à deux. Enfin nous aurions pu vivre notre histoire d'amour au grand jour, aux yeux de tous, sans se soucier de qui que se soit, être tout simplement heureux. Mais ce n'était pas ce que j'avais fais, au contraire j'avais fuis, cela m'avait semblé être plus simple. J'étais seule, mais je n'avais pas eu à subir le rejet de celui qui fessait battre mon coeur. Peu-être aurait-il refuser de tout quitté pour partir à l'aventure en ma compagnie, il m'aurait peut-être trouvé complètement folle. Je ne voulais pas qu'il me brise le coeur, je lui avais donc brisé le sien. Sentir ses mains sur mon corps de nouveau m'avait fait un bien énorme, je n'avais pas réaliser à quel point je m’ennuyais de lui jusqu'à ce jour. Sans dire quoi que se soit, je viens finalement déposer mes lèvres sur les sienne, nous échangèrent qu'un simple baiser alors que j'aurais tant aimer pouvoir l'embrasser tendrement comme nous le fessions autrefois. J'étais complètement chambouler par cette retrouvailles, je ne savais comment réagir, j'aurais aimer pouvoir tout mettre derrière nous et continuer d'être amoureux comme si rien ne c'était produit. Mais Thayer ne semblait pas vouloir la même chose, il cherchait à comprendre mes actions, il devait sans doute vouloir que je lui donne des explications, mais je ne savais pas quoi lui dire pour apaisé sa peine. Il me regardait d'une tel façon, jamais il ne m'avait jeter ce regard. C'est à ce moment je compris qu'il m'en voulait beaucoup plus que je ne l'avais imaginer. Mes yeux se remplissent d'eau, sa peine était maintenant mienne. Ses paroles sèchent et directe me donnaient envie de fondre en larmes. Je pris une grande respiration avant de parler, j'avais l'impression que je n'arriverais pas à dire un seul mot, les battements de mon coeur s’accéléraient à une vitesse affolante, j'étais sur le bord de la crise de panique. La voix tremblante, je réussis enfin à parler. « Thayer, s'il te plait ne soit pas aussi méchant avec moi, je sais que ce que j'ai fais c'est pas bien, je ne voulais pas te faire de peine. Je ne pouvais plus être à Dallas, je devais partir. J'ai voulu t'appeler ou du moins t'envoyer un simple mail, mais j'avais peur que tu m'en veule trop pour me répondre et ça m'aurait fait encore plus de peine. C'était plus facile d'essayer de tout oublier et de recommencer à zéro. » Je lui pris la main avant de continuer. « Je suis vraiment désoler, je m'en veux terriblement, tu ne peux même pas savoir. J'espère que tu pourra me pardonner parce que je tiens beaucoup trop à toi pour continuer à vivre si tu me déteste. » J'apportai sa main à mon coeur tout en le regardant directement dans les yeux, mon regard toujours brouiller par toutes les larmes que je retenais. S'il te plait dit moi que tu me pardonne. Mon seul souhait était qu'au moins un jour il arriverait à me pardonner mon départ, sans quoi je n'aurais plus aucune raison de vivre.
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But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. Empty
MessageSujet: Re: But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. EmptySam 17 Déc - 18:13

FLASH BACK ON


Même si cette vie de petit ami secret que je vivais me plaisait énormément, je devais avouer que ce n'était pas toujours facile à vivre, ni même à faire. Lorsque nous étions au lycée, et que je la voyais, je n'avais qu'une seule envie, courir, le plus vite que je puisse, et lui sauter dessus, l'embrasser aussi longtemps que nos respirations le pourraient. Je rêvais de pouvoir faire cela, de me balader avec elle autant que je le voulais, de m'asseoir dans la rue et de la regarder, sans arrêt. Mais je ne le pouvais pas, ca m'était interdit. J'étais arrivé trop tard, et elle n'arrivait pas à quitter Damon. Je savais qu'il pouvait être violent mais si il l'avait été avec elle, je sais qu'elle m'aurait dit et je sais ce que j'aurais fait. Si il lui faisait du mal, je ne sais pas ce que je ferais, mais le truc que je sais, c'est que ce ne serait pas beau à voir. Savoir qu'il pourrait lever la main sur elle, sur ma Sarabi, me donnait envie de vomir. Je pourrais le tuer si je venais à apprendre qu'il aurait frappé ma petite amie secrète. De toute façon, j'étais presque sur qu'elle n'osait pas le quitter, de surcroît parce que sa mère le trouvait charmant et que de larguer le gendre idéal d'après elle, pour la racaille de la ville ; elle avait surement peur que cela ne passe pas très bien auprès de sa génitrice, et après tout, elle avait surement raison. Qui aimerait me voir, moi, sortir avec sa fille ? Pas grand monde, j'imagine, personne même. Mais soit, même si je vivais assez mal souvent, de ne pas pouvoir être son vrai petit ami, celui qu'elle pourrait présenter à ses parents, avec qui elle pourrait aller au cinéma ou au restaurant, celui qu'elle pourrait embrasser n'importe où et n'importe quand ; je m'en contentais. Parce que je n'avais pas d'autres choix, et que de toute façon, il était impensable que j'ai ne serait ce que l'espace d'un instant, l'idée de terminer cette histoire entre nous, je n'avais jamais ressenti quoi que ce soit qui se rapprochait plus ou moins de l'amour avant elle, et c'est pour cette raison qu'il était iimpossible que cela se termine entre nous. Même si je ne disais pas je t'aime et que je n'exprimait pas mes sentiments, ca lui suffisait et peut-être n'en avait elle pas besoin, peut-être n'avait elle pas besoin que je lui dise que je l'aime parce qu'elle sentait que c'était le cas. Je ne savais pas, et cela ne m'intéressait pas vraiment. Elle m'acceptait avec mes nombreux défauts, et c'est pour cette raison qu'elle était spéciale. Lorsque Damon m'avait dit qu'il voulait me présenter sa nouvelle petite amie, jamais je n'avais pensé, un seul instant, que cette rencontre changerait littéralement le cours de ma vie. Et même si un tel amour semblait impossible et défendu, j'avais décidé de m'autoriser à souffrir, à sortir de la carapace que je m'étais forgé depuis le temps et de la laisser entrer dans ma vie, quoi qu'il m'en coute. Ma situation était assez malsaine, je m'en rendais compte, mais toute ma vie l'était, un peu plus, un peu moins, cela ne changeait plus grand chose au final, après tout. Damon était mon meilleur ami, maintenant depuis quelques temps et le départ d'Ethan surtout, un de mes seuls amis d'ailleurs ; et dès qu'il se retournait, qu'il allait quelque part ; sa petite amie venait courir dans mes bras, venait rencontrer mes lèvres et sa peau douce venait se coller à la mienne. Il était mon ami par défaut, parce que je n'avais personne d'autre, finalement. Que Sarabi soit sa petite amie, je n'en avais rien à faire, mais rien du tout. Elle n'avait que le titre de petite amie, elle ne l'était pas. Elle ne l'embrassait pas comme elle m'embrassait, elle ne lui disait pas qu'elle l'aimait au contraire de moi. Et surtout, elle n'avait pas ce regard quand elle le regardait lui. Elle n'avait pas les yeux qui pétillent de vie, comme quand elle me regardait. Je me sentais con parfois, de ne pas savoir lui dire ce que je ressentais pour elle, parce que, vraiment, j'adorais ce regard qu'elle me faisait. Ces grandes perles qu'étaient ces yeux me regardaient avec tout l'amour et tout la tendresse du monde, et je n'avais d'autre réaction que de l'embrasser. Dans ses yeux, je me sentais quelqu'un. Dans ses yeux, je me sentais Thayer Klaus Elias Balthazar Mercer-Fitz, petit ami de Sarabi-Aurora Lilo Tennessee.

Ce n'était pas tous les jours que j'étais invité chez elle, comme elle ne pouvait pas être vu avec moi, enfermé dans sa chambre, par sa mère ; donc, le plus souvent, c'était chez moi que nous nous retrouvions. Ma mère adoptive était une femme d'une extreme gentillesse et toujours très compréhensive, et je m'étais senti obligé de lui en parler, car elle m'avait toujours chéri comme si j'étais son fils et j'avais promis qu'il n'y aurait jamais de secrets entre nous. Je lui avais dit, et elle était la seule à qui je l'avait dit, que j'aimais énormément Sarabi et que je ne pouvais pas aller chez elle, et donc elle avit accepté que l'on se voit à la maison. J'aimais ma mère adoptive comme si c'était elle qui m'avait donné la vie, car, même à quinze ans, elle avait accepté de m'adopter et que depuis, elle était la meilleure des mères que l'on pusse imaginer. Mais aujourd'hui, la mère de Sarabi travaillait tard et nous pouvions donc nous retrouver chez elle, seuls ; pour un anniversaire de notre couple secret. Quatre mois qu'elle me supportait, elle avait du courage pour faire cela, j'imagine. Elle m'avait rapidement fait entré, pour pouvoir m'embrasser langoureusement à l'abri des regards indiscrets. Je n'eus pas le temps de jeter un regard sur le rez-de-chaussée que la demoiselle me prenait la main et m'emmenait vers sa chambre, territoire bien trop inconnu à mes yeux. Nous n'avions jamais fait l'amour et c'était donc assez logique que je ne connaisse pas sa chambre. Mon étonnement fut assez grand lorsqu'après avoir fermé les yeux sous son ordre, je les avais réouvert pour voir ma petite amie en sous vêtements en dentelle, me regardant tout en se mordillant la lèvre inférieure. Le message semblait assez clair, elle voulait que notre quatrième mois ensemble débute par notre première fois ensemble. Elle n'avait jamais fait l'amour avec quiconque, elle me l'avait dit et évidemment je savais que c'était le cas, car jamais elle ne m'avait menti. C'était assez gros qu'elle veuille perdre sa virginité avec moi, car ce n'est pas une chose qu'une jeune femme fait par hasard et avec n'importe qui. Et surtout pas Sarabi. Cela me rendait heureux qu'elle veuille le faire avec moi, parce que je savais que pour elle, cela représentait beaucoup finalement. Mais j'avais peur qu'elle ne le fasse pour moi et non pas parce qu'elle le voulait. Soit, je n'avais pas fait l'amour depuis que je sortais avec elle, mais je pouvais encore attendre, elle était la seule fille que j'ai rencontré pour qui j'aurais pu attendre. Si elle me le demandait, peut-être même que je pourrais attendre jusqu'au jour où on se marierait. L'important, c'était elle et moi, et pas qu'on couche ensemble. Comme elle m'y invita, je vins me mettre au dessus d'elle et vint plonger ma langue dans sa bouche, pour qu'elle retrouve la sienne. Je m'arrêtais, je devais lui demander, je ne voulais pas qu'elle le regrette ensuite, après qu'on l'ai fait. Depuis quand je m'arrêtais à ce genre de détails ? Depuis que je t'ai.. me. Cela serait tellement plus facile; si je pouvais lui dire, si je pouvais. Mais je n'y arrivais pas, j'aimerais tant mais je n'y arrivais pas. Elle attendait que je lui dise que je l'aime, mais cela ne ferait que compliquer les choses, et ce n'est pas ce que je voulais, pas ce soir. Ce soir devait être spécial, autant pour elle que pour moi. Depuis que je t'ai rencontré ma belle. Elle me retira mon t-shirt et vint caresser mon dos. Des frissons traversaient mon corps, ainsi que le sien tandis que je venais embrasser son cou, tendrement. Je ne désirais pas la brusquer, je savais que souvent la première fois était quelque chose que l'on veut oublier et je désirais par dessus tout qu'elle n'oublie jamais sa première fois, tant celle ci serait magique. Je vins l'embrasser sur la joue, puis dans le cou, l'épaule, le bras. Sa main caressait mes cheveux, tandis que j'embrassais le ventre de la demoiselle, et que ma main droite caressait sa cuisse. Je vins l'embrasser à nouveau avant qu'elle ne me pousse, et qu'elle se retrouve à califourchon sur moi. Je la regardais, avec le plus sincère des sourires, avec toute la tendresse du monde ; et je me dis que je ferais n'importe quoi pour elle. Pour une seule et unique raison. J'étais amoureux d'elle. Elle descendit, passant sa main sur mon torse et embrassant celui ci, avant de revenir comme elle était, tout en me toisant du regard. Elle passa ses mains dans son dos, avant de faire glisser son soutien-gorge et me dévoiler sa potrine, qui était jusqu'ici une grande inconnue pour moi. Je vins embrasser tendrement les seins de celle que j'aimais avant de la coucher sur le lit, à nouveau. L'embrassant langoureusement, je passais ma main dans ses cheveux. Elle fit glisser mon pantalon et cela semblait être le moment propice pour passer à l'acte. Je sentais qu'elle en avait autant envie que moi mais mieux valait vérifier. Tu es prête, mon ange ?

FLASH BACK OFF


J'avais mal vécu son absence, j'vais très mal vécu le fait de me retrouver seul après ces mois passés avec elle. Je vivais mal qu'elle ait décidé de partir. Et je le vivais encore plus ma car je ne savais pas pourquoi, ou tout du moins je ne pouvais pas vraiment être sur. La logique voudrait qu'elle soit partie pour quitter Damon, qui venait de tuer sa mère de sang froid mais qui est ce qui me disait que ce n'était pas qu'un prétexte pour me quitter par la même occasion ? Même si cela m'étonnerait de sa part, après tout ce que nous avions vécu ensemble, je ne la voyais pas trop me quitter ainsi, sans rien dire. Sans me laisser de carte, sans me laisser de message, sans un mot, sans une petite lettre. Sans rien, rien du tout qui pourrait apaiser la peine de mon coeur. Rien d'autre que la solitude et le manque d'un être cher. Même si cela me semblait très peu probable, j'étais entré dans une sorte de psychose, à me faire des millions de scénarios dans ma tête. Peut-être qu'elle avait trouvé quelqu'un d'autre à San Fransisco, quelqu'un qui n'est pas une source de problèmes, quelqu'un de normal. Ou peut-être en avait elle marre de moi et qu'elle préférait penser à ses études supérieures plutôt qu'à un petit ami secret. Je ne savais pas ce qui l'avait pris, je ne pouvais le savoir et je n'en avais aucune idée. Savoir ce qui l'avait poussé à me quitter, cela me tuait en y pensant, en me faisant tous ces scénarios. Mais peut-être était-ce mieux pour moi de ne pas savoir ce qui l'avait poussé à partir ? Parfois, il y a des choses qu'on préférerait ne pas savoir, mais je ne pouvais m'y résoudre. Quitte à ce que je souffre, je préférais savoir pourquoi je souffrais. Mais plus encore, j'avais peur que l'on ait perdu la magie qu'il y avait eu entre nous, que tout cela ce soit terminé. Cele me tuait de l'intérieur, de me dire que peut-être, elle ne m'aimait plus. Mon coeur me faisait plus mal, plus mal que jamais. Elle m'avait manqué durant ces derniers mois, elle m'avait terriblement manqué, comme jamais personne ne m'avait manqué. Cela me faisait bizarre de la retrouver ici, à Berkeley, dans cet habit de cheerleader et moi en tenue de footballeur américain. Cela ressemblait à un très gros stéréotype comme dans les films, le footballeur le plus talentueux avec la cheerleader la plus populaire de l'université, on se croirait dans un soap un peu débile. C'était difficile pour moi, cette situation. La situation qu'il y avait entre nous à Dallas était plus facile alors qu'elle était déja d'une in comparable complexité. C'était plus facile pour moi d'avoir à me cacher, d'être le petit ami caché que maintenant, devoir la retrouver après qu'elle m'ait quitté depuis de longs mois. Le bonheur et le soulagement de la retrouver était assombrie par le fait que je me sentais mal vis à vis d'elle, car je ne savais pas comment me placer. Et à vrai dire, il était impossible de définir notre situation, ensemble. Je n'étais plus le petit ami secret, je ne serais jamais un simple amant, mais je n'étais pas un petit-ami normal. J'avais l'impression qu'entre nous, c'était devenu bien plus difficile qu'avant. Avant, je lui parlais et j'agissais avec elle, instantanément sans même réfléchir. Là, je réfléchissais à quoi faire, à quoi dire. J'avais mal au coeur, j'avais l'impression que quelqu'un l'écrasait et cela me faisait terriblement mal. Jamais je n'aurais pensé pouvoir lui sortir des paroles si froides et en même temps si cruelles. Je m'étais juré de ne jamais la faire pleurer et j'avais l'impression que ma promesse à moi même ne serait bientôt brisé. Je savais que mes propos étaient complètement faux, je savais que je lui avais manqué, j'en étais sur et certain. Mais, je n'arrivais pas à me dire que ce n'était pas de sa faute, qu'elle ne voulait pas me faire de mal, qu'elle ne voulait pas me blesser. Je savais que c'était le cas, mais je n'y arrivais point. Je ne désirais pas être méchant avec elle, malgré que ce qu'elle avait fait était mal, je ne pouvais pas être méchant avec elle et mes paroles antérieures avaient dépassé ma pensée, et ce n'était pas ce que je désirais, pas du tout. Je.. je ne voulais pas être méchant, je n'ai pas réfléchi à ce que je disais. Je t'aurais répondu Sarabi, je pensais que tu l'aurais su.. Je t'aurais répondu parce qu'où tu ailles, je serais allé avec toi Sarabi ! Je sais que tu n'as pas voulu me faire de peine, je sais que tu n'as pas voulu me blesser mais ... le mal est fait, désormais. Je comprends que tu ais eu peur, après ce que Damon a fait mais... Elle me prit la main, et placa les nôtres sur son coeur. Il battait la chamade, et je fus sur d'une chose, si elle était partie, ce n'était pas pour un autre homme. Cela me ravit, et me fit effacer de mon esprit tous les scénarios idiots auxquels j'avais pensé. Mais je sais que tu t'en veux. Je.. je ne sais pas si je peux te pardonner, aujourd'hui... tu sais ce qu'il y a entre nous, tu sais à quel point je tiens à toi Sarabi, tu le sais, nous le savons tous les deux. Mais, même si je n'ai jamais connu quoi que ce soit d'aussi fort que ce que j'ai vécu avec toi, j'ai besoin de temps. Tu sais que j'ai toujours eu des problèmes à me lier aux gens et.. et que ce soit toi, c'est encore plus difficile, parce que c'est toi.Je sais que je te pardonnerais, Sarabi, mais je ne peux pas te dire quand car moi même je ne le sais pas, mais je te pardonnerais, c'est certain. Et que ca a toujours été toi, Sarabi. Que ca a toujours été toi et que ce sera toujours toi, Sarabi-Aurora Lilo Tennessee Harvard, future Mercer-Fitz. Même si cela ne faisait aucun doute pour moi que je lui pardonnerais, bientôt, avoir à lui dire cela n'était pas des plus aisés. Je n'avais jamais connu de disputes avec elle, je ne l'avais jamais vu pleuré et je ne l'avais jamais vu crier. N'importe qui au courant de notre histoire d'amour secrète, aurait parié que c'était moi qui aurait finalement brisé le coeur de la demoiselle, après des cris, des larmes, des insultes, des baisers. Mais, la vie est bien trop souvent farceuse, et ce fut tout l'inverse. Pas de larmes, pas de cris, aucune insulte, aucun baiser d'adieu. Non, rien de tout cela. Elle était partie sans un mot, sans un baiser d'adieu. Sans rien du tout. Ou si, elle était partie et avait emmené une chose importante, très importante. Lorsqu'elle était partie, et qu'elle m'avait quitté, elle avait emmené mon coeur avec elle. Il n'était pas brisé, ce coeur qui était le mien, il ne se trouvait juste pas à sa place. De toute façon, mon coeur était sien, autant qu'elle le garde. A jamais. Ce n'était pas évident de le dire pour moi, qui était vraiment un handicapé des sentiments et qui ne savait les exprimer à quiconque, mais j'avais été amoureux d'elle, et son départ m'avait brisé. J'avais eu plus mal lorsque j'avais appris son départ et cela sans arrêt depuis nos retrouvailles d'aujourd'hui ; que lorsque j'avais été voir Damon en prison, et qu'il m'avait plusieurs fois frappé au visage et tenté de m'étrangler. Parfois, j'avais pensé que la mort devait surement faire moins mal que ce que j'avais vécu ces derniers mois. Malgré cela, j'avais toujours gardé cette étincelle et ce mince espoir. Ce mince espoir qu'un jour je la retrouverais, et qu'elle raviverait cette étincelle. Malheureusement, pour moi, cette étincelle serait plus difficile à raviver que je ne le pensais. Il faudrait du temps, pour elle et moi, mais j'avais l'intime conviction qu'un jour, j'aurais envie de lui dire ces trois mots car c'est ce que je ressentais. I love you. Il faudrait attendre mais ce serait le cas, je le jurais. Dis moi que tu m'attendras, s'il te plaît, Sarabi. dis je en caressant sa joue. Je me sentais mal, et je savais que lorsque je rentrerais chez moi, j'allais complètement exploser et péter les plombs. Car ma vie aurait pu reprendre son cours et que j'étais idiot de rendre cela si compliqué.
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MessageSujet: Re: But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. EmptyMer 4 Jan - 23:19

But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. Sarayer2-2f06ecd
DON'T KNOW IF I COULD EVER BE WITHOUT YOU 'CAUSE BOY YOU COMPLET ME And in time I know that we'll both see. That we're all we need, 'cause you're the apple to my pie. You're the straw to my berry. You're the smoke to my high. And you're the one I wanna marry. You can be the prince and I can be your princess. You can be the sweet tooth I can be the dentist. You can be the shoes and I can be the laces. We're the perfect two.

Il y avait qu'un seul désavantage dans cette relation secrète que j'entretenais avec Thayer, il m'était impossible de lui prendre la main en public ou encore de faire comme dans les films quand deux amoureux se retrouvent, courir jusqu'à lui sauter dans les bras pour l'embrasser de façon le plus passionné possible. Mais tout cela nous était interdit, malheureusement. À la place je devais être coller à Damon et le suivre comme un petit chien suit son maître. Heureusement pour moi il était souvent plutôt occupé par autre chose que moi, ce qui me permettait de regarder Thayer au loin. J'aimais le regarder vivre sa vie sans dire un mot, je ne fessais que le regarder dans l'espoir que nos regards se croisent et lorsque cela arrivait c'était comme si des feux d'artifice éclataient tout au tour de moi. Il avait cette façon de me regarder,si j'étais une sucette glacée j'aurais fondu depuis fort longtemps. Mais j'étais fait de chair et d'os alors il m'était impossible de fondre de la sorte, ce qui n'empêchait pas mon coeur d’accélérer lorsque ses beaux yeux bleus venaient rejoindre les miens. Je l'imaginais alors me caresser tendrement comme il le fessait dans l'intimité, notre intimité, et des frissons me traversaient le corps entier. Pourtant mes plus grands souhaits pourraient se réaliser si facilement, seulement si j'arrivais à quitter Damon, mon réel petit ami, chose qui m'était alors impossible de faire. J'aurais aimer le genre de fille à dire tout haut ce que je pouvais pensé, mais je n'avais pas été fait avec ce moule, non au contraire je gardais toujours tout pour moi, jusqu'à endurer un mec que je n'aimais même pas pendant des années sans jamais rien dire. Dans tout ça il y avait que l'amour que j'avais pour Thayer qui me réconfortait, j'avais seulement besoin de le savoir là pour me sentir bien. Je n'avais jamais réaliser avant de le connaitre qu'une seule personne pouvait tout changer, il était mon monde et je ne pouvais vivre sans lui alors qu'il nous était impossible de se voir au grand jour, l'ironie de la vie faut croire. Depuis que j'étais toute petite je rêvais un jour de rencontrer le prince le charmant, l'homme parfait que j'allais aimer pour le restant de mes jours. Thayer était mon prince rien que à moi, il avait beau ne pas vivre dans un château au sommet d'une colline inaccessible et il agissait certainement pas en prince charmant aux yeux de tous. Mais pour moi il était parfait. Jamais il ne me fera du mal ça j'en étais sur parce que je savais qu'il m'aimait. Il ne me le disait pas, en fait jamais il n'a prononcer ces sept lettres, mais je savais qu'au plus profond de lui même il était en amour avec moi, il ne voulait simplement pas l'avouer ou se l'avouer à lui même, j'en avait aucune idée et je m'en foutais royalement. Tout se qui m'importait était de savoir que je pouvais toujours compter sur lui. Aucun doute ne pouvait être fait sur la véracité de nos sentiments l,un pour l'autre, l'amour, le vrai est indéniable et Thayer et Sarabi rimait avec amour éternel. Sarayer pour toujours. Comme Cendrillon il ne m'avait fallut qu'une seule soirée pour savoir que j'avais trouver mon âme soeur. Pour certain l'amour éternel n'était qu'un mythe, à mes yeux ces gens étaient fou. Après tout une vie seule c'est ennuyeux et pour moi il est complètement impossible de vivre toute une vie entièrement seule. Je ne voulais absolument pas mourir seule sans amour au tour de moi. Ma vie était déjà tout planifier, j'allais me marier puis avoir des enfants pour vieillir aux cotées de l'homme qui fait battre mon coeur et finalement mourir entourer des gens que j'ai aimer toute ma vie. Mourir seule avait toujours été une de mes plus grandes peurs et mourir sans amour m'effrayait encore plus. Thayer était loin du type mariage et compagnie, mais nous étions encore jeunes il n'était pas trop tard pour qu'il change d'avis sur le sujet. L'être humain pouvait faire bien des choses au nom de l'amour. Je m'étais donner la mission de le faire changer d'idée alors il était clair pour moi qu'un jour nous célébrions notre union devant nos amis et familles pour vivre amoureux éternellement ensemble Thayer et moi. Le mariage était la cerise sur le gâteau de mon rêve de princesse.

Quatre mois, quatre beau mois remplit d'amour entre Thayer et moi. Aujourd'hui était une journée très spéciale, déjà nous célébrons nos quatre mois passé en couple, ce qui était déjà un exploit en soit et puisque ma très chère mère allait rentrer tard du boulot ce soir, j'avais pu inviter Thayer chez moi. Il tait venu que très rarement à l'intérieur de la maison que j'habitais avec ma mère pour la simple raison que notre relation devait rester secrète. Nous avions l'habitude de se retrouver chez lui dans la petite maison qu'il habitait avec ses parents adoptif, sa mère était d'ailleurs une charmante femme très accueillante, impossible de quitter les lieux sans avoir avaler un truc préparer par ses soins. Rapidement après l'arrivé de mon Thayer juste à moi je le pris par la main pour nous rendre directement à ma chambre, là ou j'avais au préalable allumer quelques bougies pour créer une atmosphère plus intime entre nous. Mais en plus des bougies j'avais réservé un cadeau bien spéciale pour mon amoureux, ce soir était le soir ou j'allais finalement passer le rite de passage pour devenir une femme, j'allais faire l'amour pour la première fois. Question de garder l'effet de surprise, je demandai à Thayer de fermer les yeux le temps que je retire mes vêtements, ce qu'il fit sans poser la moindre question malgré sa haine des surprises, comme toujours pour moi il était prêt à faire n'importe quoi, je suis sur qu'il irait me décrocher la lune si je lui demandais de le faire. Une fois allonger sur le lit nos langues s'entrelacèrent dans une danse des plus passionnée. Puis il s'arrêter un moment pour me demander si c'était réellement ce que je voulais ou si je désirais passer à l'acte seulement pour lui faire plaisir. J'étais loin du genre de fille qui mettait tout nue dans la peur de perdre l'élu de mon coeur, au contraire je m'étais toujours dit que si il était incapable d'attendre c'est qu'il ne me méritait pas. Et comme Thayer c'était montrer plutôt patient, il méritait amplement le titre du mec avec qui je couche pour la toute première fois. Je lui répondit donc que c'était réellement ce dont j'avais envie lui demandant du même coup depuis quand il s'arrêtait sur ce genre de détail. Je le connaissais depuis quatre mois, mais à force d'entendre parler de lui je savais que mon Thayer était plutôt du type coup d'un soir sans jamais donner de nouvelles plutôt que d'être le parfait gentleman qui s'assure que la fille avec qui il s'apprête à coucher en a réellement envie. Heureusement il n'avait jamais agit de la sorte avec moi et puis de toute façon si jamais cela avait à se produire j'allais le remettre à ça place avec aucune hésitation. « Depuis que je t'ai ... » Puis il s'arrêta pour finalement dire que c'était depuis qu'il m'avait rencontrer. Étrangement le début de sa phrase pouvait se terminer par un ''t'aime'', mais il en avait décider autrement, pourtant ça aurait été le moment idéale pour me dire je t'aime pour la première fois. Je n'y porta pas trop attention, bien que j'aurais aimer entendre ses mots sortir de sa bouche, il l'avait presque dit et pour moi cela était suffisant. Je me contentai donc de lui sourire puis je le retirai son chandail dévoilant son torse musclé de joueur de football américain. Thayer vient par la suite me couvrir de baisers, de mon cou jusqu'au ventre, j'avais presque l'impression que chaque un de ses baisers était comme un choc électrique qui me traversait le corps. Plus ses baises se rapprochait de mon bas ventre plus je pouvais sentir le stress monter petit à petit en moi. J'étais prête j'en avais aucun doute, je voulais faire l'amour avec mon Thayer ce soir j'en étais sur, mais malgré tout l'amour que j'avais pour lui je ne pouvais m'empêcher d'avoir peur, peur d'avoir mal. J'avais entendu dire que la première fois était loin d'être agréable, que cela pouvait être douloureux, sans doute pour cette raison que personne en garde de bons souvenirs, je pria donc mentalement pour que cela ne se déroule pas de la sorte. Il était un peu ridicule de prier pour cette raison, surtout que le sexe hors mariage est prohibé par la religion, mais cela me réconforta légèrement. Je lui caressai les cheveux alors qu'il continua de me couvrir de baisers tout en caressant ma cuisse, nos lèvres vinrent se rejoindre de nouveau avant que je le pousse légèrement sur le coté de façon à m’installer à califourchon sur lui. Il me regarda avec se sourire qui m'avait fit fondre un nombre incalculable de fois au par avant, il m'était totalement impossible de résister à son sourire si tendre. Je viens passer ma main sur son torse puis j'embrassai celui-ci avant de revenir dans ma position initiale. Lentement je passai ma main dans mon dos pour en retirer mon soutient-gorge dévoilant ainsi ma poitrine. Thayer ne perdit pas une seule seconde et immédiatement il embrassa celle-ci avant de me coucher sur le lit de nouveau. Mon coeur battait la chamaille dans ma poitrine, il l'avait sans doute remarquer, mais après tout cela était compréhensible comme c'était la première fois que je me dévoilais autant. Je lui retira son pantalon alors qu'il passa sa main dans mes cheveux si tendrement. Son regard avait su apaiser mes craintes. Le moment de passer à l'acte était venu et il me demanda si j'étais prête, je lui fis signe que oui de la tête. Il retira donc son caleçon dévoilant de la sorte ses organes génitales, je fus quelque peu impressionné ayant vu ce genre de chose que sur photo au par avant. Il me retira par la suite le peu vêtements qu'il me restait, c'est à dire ma petite culotte, je trouvais étrange de me retrouver entièrement nue contre son corps également nu. Après quelques minutes de préliminaires enflammée, je sentis son membre viril entré en moi, un léger cri de douleur sorti de ma bouche que je tenta tant bien que mal de camoufler. Après quelques coups de bassin de la part de Thayer la légère douleur que j'avais d’abord ressentit était partie pour laisser place aux plaisirs de la chair.


La vie sans Thayer, le seul qui arrivait à faire battre mon coeur plus vite qu'il ne devrait, avait été très difficile. Il ne passait pas une journée sans que je ne pense à lui, il avait beau ne pas être là physiquement près de moi, mais en tout temps il se trouvait bien au chaud dans mon coeur. J'avais été stupide de partir sans rien lui dire, même pas d’au revoir, rien du tout. J'étais simplement partie sans laisser de trace, comme une meurtrière qui essaie de camoufler ses faits et geste pour ne pas se faire prendre. Sauf que là ce n'était pas moi qui avait commit le crime, ce n'était pas mes mains qui avait baigner dans le sang. Le coupable était Damon, celui que je prétendais aimer depuis près de quatre ans, mon supposé premier amour aux yeux de tous. Il avait enlever la vie à sa propre mère, celle qui lui avait donner la vie, c'était plutôt ironique qu'elle lui donne la vie pour qu'une vingtaines d'années plus tard elle perdre la vie de ses propres mains. Elle avait créer un monstre sans même le savoir, une histoire des plus morbide. J'avais eu peur d'être la prochaine sur sa liste, si il avait été capable d'un tel meurtre tuer sa petite amie devait être une vrai farce pour lui. Il avait été mit en prison dès le lendemain du drame, mais malgré tout j'avais tout de même peur, terriblement peur. Je savais que Thayer aurait été là pour me protéger quoi qu'il arrive, mais jamais je n'aurais su me pardonner si il lui tait arriver quelque chose alors qu'il voulait me défendre. Pire s'il en avait perdu la vie je n'aurais pu faire autrement que de me tuer à mon tour. Alors afin d'éviter encore plus de drame j'étais tout simplement partie du jour au lendemain, comme si tout cela n'avait été qu'un mauvais rêve et que je reprenais une toute nouvelle vie dans un nouveau lieu alors inconnue pour moi. Depuis mon départ je m'en veux terriblement, je ne fais que pensé à la peine que j'ai pu causer à la seule personne qui comptait réellement pour moi. Comment ai-je pu rompre tout contacte avec l'être aimer? Je n'avais jamais su trouver réponse à cette question. Le soir quand je n'arrivais pas à dormir, c'est à dire tous les soirs depuis que je ne peux plus voir mon Thayer, j'aimais imaginer nos retrouvailles. À tout coup c'était la même histoire, je recevais un texto de sa part me disant d'aller le chercher à l’aéroport et une fois sur place et que nos regards se croisaient tous les deux nous partions à courir pour se sauter dans les bras et s'embrasser passionnément. Une vrai scène de film à l'eau de rose Hollywoodien. Je savais au fond de moi qu'il y avait peu de chance que cela ce déroule de la sorte, mais j'avais tout de même un peu d'espoir, après tout on dit que l'espoir fait vivre. Malheureusement pour moi, nos retrouvailles ne s'étaient pas du tout dérouler comme je l,avais imaginer, Thayer était plutôt froid et distant, il m'en voulait c'était évident et c'était normale. Je l'avais abandonner, laisser seul comme on laisse un chien mort qu'on vient de frapper sur l'autoroute. Rapidement mes yeux s'étaient emplit d'eau, j'avais envie de pleurer, j'avais honte de lui avoir fait tant de mal alors que je l'aimais. Si il ne me pardonnait jamais je l'aurais bien mériter. Je lui dis à quel point je m'en voulais et oh combien j'étais désoler. Je ne voulais plus qu'une seule chose et c'était son pardon. Cela n'était pas obliger d'être aujourd'hui, immédiatement, je voulais simplement être sur qu'un jour il arriverait à tout mettre dernière nous. « Je sais Thayer que tu ne voulais pas être méchant, jamais tu n'as été méchant envers moi et c'est pourquoi je t'ai toujours aimer plus fort que tout. Je suis vraiment désoler de ne pas t'avoir appeler ou donner la moindre nouvelle, mais j'avais honte, honte de t'avoir abandonner de la sorte sans explication. Après tout ce qu'on a vécu ensemble tu méritais mieux que ça, mieux que moi. » Je pris alors sa main que j'apportai près de mon coeur, le regard emplit de larmes. « Je ne te demande pas de me pardonner sur le champs, j'ai simplement besoin de savoir qu'un jour tu me pardonnera, qu'un jour on pourra passer à autre chose et oublier tout ça. J'ai juste besoin d'être réconforter parce que je t'aime et je ne supporterais pas de te perdre pour de bon. » La simple idée de ne plus jamais le voir de ma vie me donnait des frissons, ce serait la pire chose qui puisse m'arriver, perde l'amour de ma vie par ma faute qui plus est. Les paroles qu'il venait de me dire m'avait fait chaud au coeur, je venais de réaliser qu'il tenait encore fort à moi et que malgré tout un jour il arriverait à me pardonner. Notre amour était encore là c'était évident, on ne pouvait dénier un amour aussi fort que le notre. Il me demanda par la suite de l'attendre puisqu'il avait besoin de temps, je pouvais lui laisser tout le temps dont il avait besoin. Pour toujours je serais sienne de toute façon. « Je te promet de t'attendre mon amour, je serais toujours là pour toi. » Je tenais toujours sa main, je refusais de la lâcher ayant l'impression que si je laissais aller sa main allait me quitter à tout jamais. C'est à ce moment que je réalisa l’ampleur des gestes que j'avais poser, je devais être la personne la plus horrible sur terre. Je n'avais pas envie de le laisser partir, si je pouvais je resterais coller à lui pour l'éternité. Un groupe du cour de gym arriva sur le terrain de football américain, le plus d’intimité que nous avions venait de s'envoler en fumer. « T'as envie d'aller ailleurs? Un endroit un peu plus privé ou on pourra parler entre nous seulement. » Nos retrouvailles ne c'étaient peut-être pas dérouler comme je l'avais imaginer, mais je n'avais tout de même pas envie que ce moment s'arrêt.
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MessageSujet: Re: But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. EmptyVen 6 Jan - 22:09

FLASH BACK ON

C'était devenu pour moi, en quelque sorte, indissociable. C'était peut être bête de dire cela, ca pouvait le sembler en tout cas, mais je ne pouvais plus me dire qu'il y avait un 'je' en sa présence, et en son absence, je ne vivais pas pour moi, je ne vivais pas pour Thayer Elias Klaus Balthazar Mercer-Fitz, je vivais pour Sarabi-Aurora Lilo-Harvard ET son petit ami, en l’occurrence moi. Je vivais pas pour moi, je vivais pour nous. Je me réveillais en pensant à nous, en pensant à nos baisers ; je mangeais en pensant à un repas aux chandelles pour nous, et je me couchais en rêvant d'une nuit magnifique que nous pourrions passer ensemble. Une nuit qui signifierait beaucoup, pour elle comme pour moi, car il semblait évident -pas tant que ça étant donné que rien ne s'était passé entre nous encore, alors que nous sortions depuis maintenant tout pile quatre mois ensemble- que le jour où nous pourrions enfin passer une vraie nuit d'amour ensemble, cela ne serait pas seulement une histoire de sexe, il était hors de question que ca le soit, jamais je ne ferais ça à Sarabi, jamais je ne pourrais faire cela à ma Sarabi, si j'avais attendu si longtemps, c'était qu'il y avait une vraie raison et elle était qu'elle était spéciale, et ce qui la rendait spéciale faisait que petit à petit, jour après jour, mon coeur battait toujours plus la chamade pour elle, et tout l'amour que je pouvais lui porter en secret, bien enfoui dans mon coeur, ne faisait rien d'autre que de grandir, grandir et grandir. Et en même temps, moi même, je grandissais. Si j'avais été auparvant quelqu'un d'inconscient, et d'immature ; au fur et à mesure que je vivais cette première vraie relation avec une fille, une relation magnifique avec une demoiselle qui l'était tout autant, j'avais l'impression de devenir quelqu'un de meilleur, en fait. De grandir, peut-être. J'en avais surement besoin, il est difficile à vingt ans, alors que l'on est censé réfléchir à son avenir et que déja d'avoir vingt ans et de ne pas être à l'université était plutôt mal vu, mais je me rendais compte que d'être rangé, casé avec elle faisait que toutes mes conneries se dissipaient, que je pensais plus à mon avenir qu'auparavant. Enfin, je voulais dire, notre avenir. Rien ne me faisait penser qu'il pourrait un jour ne plus exister de nous, tant pour moi notre lien était incassable, trop beau pour un jour voir toucher à sa fin. Moi l'handicapé des sentiments, celui qui n'avait jamais aimé grand monde, je me prêtais à rêver d'un avenir radieux, aux côtés de la plus belle des femmes. Ma femme. Ma Sarabi future madame Mercer-Fitz.

Aujourd'hui, tout devait être parfait. Rien ne pouvait être laissé au hasard, je ne pouvais rien laisser être de travers. C'était presque maladif aujourd'hui, pour moi, qui dans la vie suis d'habitude un très grand bordélique, rien qu'à voir ma chambre et l'on comprenait tout très rapidement, de ne rien laisser m'échapper. La soirée devait être parfaite, ce n'était pas tous les jours que nous pourrions fêter nos quatre mois ensemble, même si nous vivions cachés -mais, après tout, l'adage dit que pour vivre heureux, il faut vivre caché ; et c'était on ne peut plus le cas pour moi et Sarabi- du reste du monde, ma mère adoptive étant la seule au courant et même si cela pouvait paraître bizarre, elle n'avait aucun problème avec cela et avait même une tendresse toute particulière pour ma petite amie, ce qui me rendait très heureux. C'était les deux seules femmes que j'aimais vraiment, et qu'elles s'entendent bien était le plus beau des cadeaux qu'elles puissent me faire, me retrouver entre les deux, à devoir choisir entre celle qui m'avait accueilli et celle qui faisait battre mon coeur, c'aurait tout bonnement était impossible et elle me facilitait donc grandement la tâche. Ma mère était de ces personnes qui n'ont pas besoin de penser à elle, et qui préfére penser aux autres, avant tout. Quelle femme adopterait un garçon de bientôt seize ans alors qu'il a un dossier de délits en tous genres plus épais que le palmarés de Michael Jordan ? Personne mis à part elle. J'imaginais qu'elle avait du avoir une telle compassion pour moi ce jour là qu'elle s'était senti obligé de m'accueillir dans la famille. Je l'aimais énormément, même si elle ne m'avait pas donné la vie, elle m'avait offert une vie qui valait le coup d'être vécu, loin des familles d'accueil et loin de la galère. Elles étaient les deux femmes de ma vie, et je ne pourrais jamais me passer d'elles. Mais cette nuit était beaucoup plus spéciale pour une raison toute particulière. Sarabi avait décidé que cette nuit serait notre nuit, une nuit d'amour, une promesse de l'infini. Je n'avais jamais voulu la brusquer, ou l'obliger à faire quelque chose qu'elle n'avait pas envie de faire, ce n'était pas ce que je voulais, ce n'était pas ce qu'elle voulait et c'était donc une mauvaise chose. Non, si il avait fallu attendre jusqu'à ce que je passe la bague au doigt de ma charmante petite-amie, je pense qu'il y avait de très grandes chances pour que j'attende le mariage, cela ne me posait aucun problème. Je m'étais rendu compte que les relations avec les femmes étaient bien plus que le sexe, et cela grace à elle. Des baisers enflammés succédèrent à des vêtements volant dans la pièce. A califourchon sur moi, je la regardais avec la plus grande tendresse du monde alors qu'elle s'évertuait à retirer sous soutien-gorge, qui, une fois enlevé, m'offrit la vision de sa poitrine. A vrai dire, nous n'avions jamais été plus loin que les baisers, même s'ils nous étaient arrivés de toucher l'autre à certaines parties du corps, nous n'avions pas été plus loin, cela ne nous posait pas de problèmes d'attendre. Ma bouche vint délicatement embrasser sa poitrine, ce qui lui fit attraper la chair de poule dans tout le corps. Je l'allongeais délicatement, avant de venir déposer mes lèvres dans son cou, sur son épaule, repassant par sa poitrine avant de venir embrasser le ventre de la demoiselle, caressant la moindre parcelle de son corps encore inexplorée. Elle fit glisser mon caleçon le long de mes cuisses, avant que je ne jette la dernière barrière de tissu séparant nos corps, c'est à dire, la petite culotte de la demoiselle. Ce soir, je devrais être parfait, je devais être un amant doux, tendre et aimant ; la première fois n'était pas toujours la meilleure, même surement jamais -je peux dire que je ne garde pas un très bon souvenir de ma première fois, et à vrai dire, je n'en garde pas vraiment de souvenirs- mais je voulais qu'elle soit parfaite pour Sarabi. Mes mains caressaient délicatement son corps, allant de ses cheveux jusqu'à sa partie la plus intime, en passant par son visage ou sa poitrine. Je ne voulais pas brusquer les choses, elle ne l'avait jamais fait avec quelqu'un avant moi, puis, après tout, j'avais tout mon temps pour lui faire vivre la plus belle nuit de sa vie. Loin d'être un grand romantique, j'avais l'impression que je me devais de l'être, ne serait ce que pour une soirée, une soirée que je voulais inoubliable, pour elle comme pour moi. Mais surtout pour nous. L'embrassant à pleine bouche, mes yeux ne quittaient pas les grandes perles qu'étaient les siens. Après quelques minutes de préliminaires, histoire de bien préparer la demoiselle que j'aimais, je sortis un préservatif -avoir un enfant, même si j'aimais de tout mon coeur Sarabi, c'était loin d'être une bonne idée- que je mis, avant de laisser entrer mon viril membre en elle, lentement. Il était logique que ca fasse mal pour elle, la première fois, les femmes passaient tous par là à un moment et c'est pour cela que mes mouvements se voulaient lents et que je préférais l'embrasser un nombre incalculable de fois que de précipiter les choses. Ses mains se baladaient sur mon torse alors que ses petits désagréments firent rapidement place à des soupirs d'aise. J'accélérais la cadence, tout en me mettant au plus près de la demoiselle que j'aimais. Ma bouche vint retrouver la sienne, ma langue se faisant un chemin dans celle de ma chère et tendre, tandis qu'elle posa ses mains dans le bas de mon dos. Sa respiration se saccadait à mesure que je lui donnais des coups de bassin. Les petits cris aigus qu'elle lâchait de plus en plus fréquemment, en plus de m'exciter encore plus, me faisait penser que je ne gâchais rien, que je ne gâchais pas la première fois de la demoiselle. Dans un long cri, la demoiselle reçu l'extase encore inconnue pour elle, avant que je n'en fasse de même quelques instants plus tard. Reprenant ma respiration tant bien que mal, je déplaçais les cheveux de la demoiselle avant de la regarder, avec une tendresse qui n'était pas habituelle chez moi. Un divin baiser fut déposé sur ses lèvres par mes soins, avant que je ne me lève du lit. Jetant à la poubelle le condom, avant de remettre mon caleçon ; je vins me re coucher aux côtés de ma belle. La prenant dans mes bras, je l'embrassais, le plus passionné des baisers que nous ayons jamais échangé. La soirée ne faisait que commencer, et j'avais l'impression que jamais je n'avais été aussi heureux. Rectification, ce n'était pas une impression. Jamais dans ma vie je n'avais été aussi heureux. Et ce bonheur n'était pas du au fait que nous ayons couché ensemble. Même si le fait que la demoiselle semblait ne pas avoir été rassasié ne me dérangeait pas, sa langue descendant jusqu'au bas de mon torse me faisait dire que notre nuit d'amour ne faisait que commencer. Et tout ce que je voulais, c'est que jamais ne s'arrête cette journée. Que jamais ne s'arrête ce bonheur.

FLASH BACK OFF

Sans elle, je n'étais pas vraiment moi même, je n'étais pas moi. Ou du moins, je n'étais plus moi. J'étais une copie de moi, moins bien, moins gentille, moins heureux. J'étais le Thayer méchant gratuitement, j'étais le Thayer aigri toute la journée, journées qu'ils passent à boire et à fumer, à faire des conneries et à coucher avec des filles dont il n'était ni amoureux, ni autre chose qu'attiré physiquement, même si il fallait admettre que certaines filles étaient de très bonnes amies mais qu'il lui arrivait tout de même de coucher avec elle, car il devait compenser sans cesse, encore et toujours, un manque d'amour. L'amour que je portais pour Sarabi était si grand que le perdre avait été la plus grosse souffrance de ma vie, jusqu'à présent, plus encore que de comprendre que jamais ma mère biologique ne viendrait me chercher et que je devrais vivre sans famille et être baladé, de x à y, de chez monsieur et madame untel à monsieur et madame je ne sais quoi. Notre amour avait été si fort, et surtout si réciproque, que de la perdre m'avait fait perdre ma seule raison d'être heureux. De la retrouver aujourd'hui, à Berkeley -ce qui semblait pas si bizarre que cela, étant donné que si j'avais décidé de rejoindre l'université de Berkeley au détriment de beaucoup d'autres, c'était pour la retrouver- cela me rendait heureux, très heureux même car sa seule présence m'apaisait et me changeait complètement, mais cela me replongeait un couteau dans une plaie qui n'avait même pas commencé à se refermer, la plaie provoquée par son départ aussi soudain qu'inattendu pour moi. J'avais beaucoup souffert de son absence, qui était la faute de Damon avant tout, mais je ne pouvais oublier cela d'un coup, ne plus y penser, oublier totalement qu'elle était partie sans un au revoir, sans un baiser, sans rien. J'avais envie de lui pardonner, de l'embrasser aussi longtemps que ma respiration me le permettrait mais en même temps, j'avais un peu d'appréhension. La situation était bizarre, autant pour elle que pour moi. Je m'en voulais d'être comme cela, surtout que j'étais venu jusqu'en Californie pour la retrouver, et dieu sait qu'il y a une sacrée distance entre Dallas et San Fransisco, mais je l'avais fait, j'avais tout quitté, mon Texas natal, ma famille, tout ; j'avais tout laissé derrière moi pour la retrouver, et je n'arrivais pas à pardonner aussi facilement que j'avais fait le choix de venir ici. C'était d'une bêtise sans nom mais je n'y arrivais pas. Je ne pourrais pas lui en vouloir bien longtemps, mais pour le moment, je n'arrivais pas à pouvoir lui dire quand tout pourrait redevenir comme avant. Ce.. ce n'est pas grave, je sais que tu ne voulais pas me blesser Sarabi, c'est juste que ces derniers mois ont été très compliqués pour moi, la pilule a été difficile à être avalée, mais je sais que tout pourra redevenir comme avant, très bientôt. Je l'éspère de tout mon coeur, tu sais. Je la regardais droit dans les yeux, elle était aux bords des larmes et cela me brisait le coeur, car jamais je ne l'avais fait pleurer. Je sentais battre son coeur, il allait à une vitesse fulgurante et impressionnante. Qu'elle me laisse du temps, c'était tout ce dont j'avais besoin, pour faire le point et me rendre compte que je ne pourrais me passer d'elle. Renier notre amour était impossible, je ne pourrais jamais le faire, c'était tout bonnement impensable. J'avais vécu durant des mois, les seuls mois de bonheur de ma vie, pour cet amour, me levant pour lui, me couchant avec lui, je ne pouvais pas imaginer qu'il s'arrête, pas maintenant. Notre histoire n'était pas terminée. Elle ne pouvait pas l'être. Le groupe de l'équipe revint sur le terrain, et je devais donc la laisser, pour le moment. Je suis désolé, c'est mon équipe, je dois y aller. Je lui offris d'abord un sourire, avant de tourner les talons. Je ne pouvais pas sortir comme cela, personne ne pourrait faire cela. Un baiser, je rêvais d'un baiser depuis des mois qui m'avaient semblé être des années, je devais l'embrasser. Sarabi, attends ! Je la rattrapais et une fois arrivé à sa hauteur, j'attrapais son visage et l'embrassais, fougueusement, comme avant. Un long baiser, comme au cinéma, avant de retourner sur le terrain. Je ne pourrais pas renoncer à elle, c'était une certitude.

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MessageSujet: Re: But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. EmptyDim 8 Jan - 16:15

the end ;; and it's just the beginning coeurboum
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MessageSujet: Re: But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. But we can't let go cause we love each other so ♡ sarayer. EmptyDim 8 Jan - 18:30

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