Depuis la rentrer, qui pour moi fus une joie qu'une chose que je répugne le plus , j'avais retrouvé cette routine dont je me suis habituée durant ces deux années précédentes. Il ne fallait pas croire que je détestais l'été et tout ça. Mais je sais que dans cette période si , il m'arrive plein de bricole , du genre boire comme un trou et me retrouver dans le lit d'un mec que je connais peu ou même consommer des drogues hallucinogènes. Je m'étais mêmes promis de ne plus touches ça ses saletés qui avaient rendu mon adolescent l'une des partis le plus horrible que je ne veux plus y repenser. Mais maintenant que j'ai à mes côtés Aidhàn tout va pour le mieux. Enfin j'espère que sa dura durant longtemps. Je ne suis pas prêtre à avoir le cœur brisé en miette. Parce que je connais les conséquences à cela et je suis sûre que je n'aurais plus la force à continuer mes études, moi qui est si travailler fort pour réussir mes années universitaires et pour atteindre mon but le plus précis. Mon domaine n'avait rien à prendre à la légère, il me fallait des heures d'études et de concentration. Même si mon job de barmaid me bouffait un peu de mon temps libre, j'arrivais toujours à avoir du temps pour réviser et aller à la bibliothèque pour faire des recherches ou lire un bon livre.

Tout comme aujourd'hui, même s'il pleuvait des cordes dehors, j'avais décidé d'aller passer tout mon après midi à lire un bouquin que j'avais acheté il n'y avait pas longtemps. C'était l'une de mes camarades de classe qui me l'avait conseillé, elle penserait que j'aimerais moi aussi l'histoire. Allant la librairie, j'avais pris le temps de lire le résumer derrière le livre et je trouvais que l'histoire a l'air potable. Sur les livres, j'étais très difficile, je n'aimais pas lire des choses futiles et qui m'ennuierait au bout de la première page. J'étais une vraie romantique, tout comme chaque femme dans ce monde. J'aimais ses histoires passionnantes entre un homme et une femme qui vivent un amour passionnel. Mais il y avait aussi que j'aimais l'histoire vrais, du genre une personne qui aurait vécu une histoire horrible ou surnaturel dans sa vie. Et y il y avait aussi les séries policières dont j'idolâtre beaucoup. Je pouvais même dire que je conservais encore mes vieux livres de Sherlock Holmes dans le fond de mon tiroir. Ça faisait un peu parti de mon jardin secret, qui j'espère personne ne découvrira.

Ouvrant la grande porte de l'établissement, j'entrais tranquillement dans la salle sans faire de bruit. Ce qui fut un échec puisque le grincement de la porte n'était du tout pas discret. Je fis un sourire désolé pour avoir dérangé les personnes qui se trouvaient dans la salle, récoltant quand même quelque regard noir. Ce n'était pas vraiment de ma faute, mais celle de la porte, enfin plutôt du concierge qui pourrait au moins prendre le temps de l'huilé un peu pour ne pas que ce genre de situation se reproduise sur autre personne. Parce qu’attirer toute l'attention est une chose que je n'aime guère faire, je suis plutôt du genre se fondre dans la masse.

Parcourant mon regard sur la salle, j'essayais de trouver une place libre où m'installer pour lire tranquillement mon livre, Mes yeux s'arrêtèrent sur la table du garçon dont j'avais l'habitude d'aller m'asseoir. Je savais peu de lui, je ne lui parlais jamais. Je n'avais pris le courage de le faire. Je ne sais pas pourquoi, moi qui suis l'habitude d'être sociable et d'avoir la facilité d'engager une conversation, avec lui je n'étais pas capable de le faire. Mais cela allait changer dès aujourd'hui.

Je pris place devant lui déposant mon sac à main a terre et y fouilla à l'intérieur pour prendre mon livre. Durant ma manœuvre il n'avait pas levé les yeux de son livre, faisant comme si rien n'était. J'ouvris mon livre et entama ma lecture, mais je n'arrivais pas à me concentrer, ma curiosité pointait son nez en me disant de regarder la couverture du bouquin que mon voisin tenait dans ses mains. J'essayais de faire abstraction à cette petite voix qui commençait à me taper sur les nerfs. Je continuais encore à lire, mais il n'avait rien à y faire je n'étais pas capable. Depuis tout à l'heure je relisais la même ligne. Ayant marre de ne pas pouvoir me concentrer, je pris mon courage a deux mains et aborda mon voisin « Désoler de te déranger , mais je voulais savoir ce que tu lis » lui dis-je gentiment en affichant un sourire.