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I don't know why are you scared PLUM&ISAAC

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MessageSujet: I don't know why are you scared PLUM&ISAAC I don't know why are you scared PLUM&ISAAC EmptyVen 2 Sep - 21:03

I don't know why are you scared PLUM&ISAAC 1118311774
Aujourd'hui, je n'avais nullement envi de rigoler. Pourtant, ce matin en me levant, j'avais observé mes pieds et ce n'était pas le gauche que j'avais mis le premier sur le sol. Ces dictons qui ne veulent rien dire ... Pourquoi suis-je dans cet état ? Je ne sais pas trop mais j'ai quand même quelques idées. Hier soir, je voulais comme tous les autres soirs, un peu d'action. Oui, en ce moment je suis dans ma période dévergondée et je fais tout pour devenir un véritable Omega. Bref, je rentrai dans le casino comme à mon habitude. Me dirigeant vers une table consacrée à ce noble jeu qu'est la roulette, je m'approchai et misai deux mille dollars de jetons sur ce magnifique qu'est le quatre. Le croupier tourne la roulette. Quatre. J'étais désemparé. J'avais tout fait, j'avais mis toutes les chances de mon côté pour perdre ce coup et il avait fallut que je le gagne. Je n'avais même pas eu la force de rejouer une autre fois. De peur de regagner à nouveau. Je suis sur que vous vous dites, qu'es ce qu'il est idiot celui là, il gagne des milliers de dollars et il n'est pas content ! Je vous réponds que je fais tout pour me dévergonder ! Je ne veux plus être ce petit riche qui vit sur ses actions en bourse. Je veux de l'action justement !! Je veux que ça bouge. J'ai envi de perdre du fric. De toutes façons vu le nombre d'argent que j'ai placé dans certaines entreprises qui marchent à merveille, je peux récupérer mes millions de dollars à tout moment donc ne vous inquiétez pas je ne serais jamais dans le rouge. Pour en revenir à hier soir, c'est tout à fait psychologique. J'ai passé une mauvaise soirée, et la nuit qui a suivit ne fut pas meilleure non pus. Ce soir, c'était décidé, c'était alcool et club de strip tease. Rien de plus naze pour faire le fou mais peu m'importait, l'échec cuisant d'hier soir me reste encore au travers de la gorge. Cet après midi, j'avais décidé de me reposer un peu. Il faut dire que ces derniers temps, je ne dormais pas trop. J'étais plus occupé à faire de nouvelles rencontres et à enchaîner les coups d'un soir. Le repos fut de courte durée. De toutes façons, je ne peux rester en place ces temps ci. Il faut que ça bouge. Bref, dans un énième soupir, je m'empare des clés de ma Jeep et je fonce à travers San Francisco. Foncer, c'est bien le mot car j'avais envie d'appuyer sur le champignon. Je suis de mauvais humeur et de toutes façons, ça ne pouvait pas empirer. Cent cinquante kilomètres heures sur le périphérique autour de la ville, puis j'entre dans celle ci. Je ralentis un peu. Cent vingt puis cent dix puis ... gyrophare. Paniqué, je me range sur le bas côté. Dommage que cela ne faisait qu'un an que je sois à Berkeley. La plupart de mes camarades Epsilon avaient des relations dans la police et pouvaient rouler à l'allure qu'il souhaitait sans qu'ils ne se fassent prendre. Quand à moi, je payais les frais de mon arrivée tardive aux Etats Unis. Je songeais quelques instants à appeler l'un de mes amis mais je me ravisais. J'avais envie de faire un tour au poste, je n'avais jamais eu l'occasion de rentrer dans un de San Francisco. Permis suspendu pour quelques jours. De toutes façons ce n'était pas cela qui m'empêcherait de conduire mais qu'importe, j'avais eu ce que je voulais : de l'action. Pour fêter dignement cela, je me rendis à l'Absinthe Bar je dus appeler un taxi qui arriva avec un quart d'heure de retard. Rien ne m'enlèvera ma bonne humeur. Rien. A moins que ... Je rentrai dans le bar et commandai ma boisson favorite : le champagne. Je m'étais autorisé cet alcool juste pour cette occasion car sinon c'est whisky. Le champagne n'est pas assez alcoolisé pour mon cas. Je donnai un généreux pourboire au serveur et savourait cet alcool qui me manquait tant car j'avais beau dire à tord et à travers que non, mais le whisky c'était dégueulasse et le champagne c'était divin. Savourant ma première gorgée, je faillis tout renverser par terre lorsque je sentis un doigt dans mon dos qui voulait dire " retourne toi ". Me retournant mon verre de champagne à la main, je n'eus même pas le temps de voir, en revanche je sentis, cette main droite, pourvue d'une bague dont je me souviendrai toujours, s'écraser contre ma joue. Je venais d'être giflé. Je ne savais pas si cela m'était déjà arrivé. Je veux dire, au plus loin que je me souvienne, c'est à dire mes dix huit ans, je ne me rappelai pas avoir du subir une telle humiliation. En public qui plus est ... Reprenant mes esprits, je dévisageai la personne auteur de ce crime. Je ne la connaissais même pas. Elle avait sûrement du me confondre avec quelqu'un de dos. Le problème c'est qu'elle me regardait toujours avec mépris. C'était à moi qu'elle en voulait. Mais pourquoi ? Serais-je en train de devenir une nouvelle fois amnésique ? Non je ne me rappelais pas d'elle. « Non mais ça va pas ? Et puis vous êtes qui ? Qu'ai-je fais pour mériter ça ? » Le choc de la surprise effacé, j'étais révolté. Je ne savais pas ce qui m'arrivait et j'étais énervé d'avoir du me prendre cette honte devant tous les clients de l'Absinthe. Je crois même que je surpris le barman, à qui j'avais donné mon pourboire, en train de rigoler dans sa barbe. Celui là, si je l'attrapais, il allait me rendre mon billet de cent dollars ! Me reconcentrant sur la jeune femme, j'attendis une explication claire et nette.

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MessageSujet: Re: I don't know why are you scared PLUM&ISAAC I don't know why are you scared PLUM&ISAAC EmptyMer 7 Sep - 11:43


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La fraîcheur de cette fin de soirée m'apaisait. Vêtue d'une robe légère blanche, je laissais à la légère brise l'occasion de faire virevolter cette dernière alors je déambulais dans l'un des parcs de Berkeley qui se situait non loin de ma maison de confrérie. Je m'y rendais souvent -au moins une fois par semaine, pour être plus précise - car j'aimais ce contact avec la nature que ma mère m'avait tant appris. Cela me permettait de faire le point sur la semaine passée, et même sur ma longue année d’absence ici à Berkeley. J'aimais particulièrement le coin du parc où je me trouvais pour y avoir passé des heures. Il avait été un peu mon refuge, ici à Berkeley, quand les heures avaient été difficiles. L'adaptation à un nouveau lieu, les bizutages répétés sur les premières années avait été autant de rites de passage difficile à franchir pour moi. Cet endroit m'avait permis d'y retrouver mon calme.
Je marchais, foulant l'herbe de mes pieds nus - j'aimais le contact de l'herbe sur ma peau, cette chatouille gracieuse et progressive - alors que l'éclairage de la pleine lune se reflétait sur ma peau, la rendant presque marmoréenne. De loin, j'étais semblable à une statut mouvante, miracle de la nuit et des éléments. J'étais totalement consciente de ne pas être comme la plupart des étudiants ici. Alors que les apparences régnaient en maître sur beaucoup, que les ragots de Watch Out étaient une véritable bible pour d'autres, je me désintéressais totalement de ce petit bal des apparences, superficiel à souhait. Moi, je recherchais la vérité chez les autres, et cette simplicité de l'âme que j'avais, si rare et donc si magnifique, mouai non, c’était juste totalement faux, pour ma part tous ce jouait sur les apparences en particulier les miennes. J'accordais peut-être ma confiance trop rapidement mais quand la trahison pointe le bout de son nez, le pardon n'est que difficilement acquis. Cela avait toujours été ma façon de fonctionner : accorder une chance à tous mais ne pas se laisser duper par les plus malhonnêtes. C'était ainsi, à Berkeley, j'avais du m'endurcir, car sous l'apparence d'une université côté et sans histoire se cachaient des étudiants prêts à tout, et n'ayant aucun sens moral.
Mais au milieu de cette verdure, j'étais enfin à ma place, enfin apaisée. Laissant l'air frais emplir mes poumons, un sentiment de quiétude me submergea. J'aurais pu déambuler ici les yeux fermés, je connaissais chaque arbre, chaque buisson, chaque Fleur. Et même si ce splendide paysage était moins bien dessiné que le jour, à cause de l'obscurité ambiante, je le distinguais avec une clarté sans pareille. Laissant retomber la main le long de mon corps, je me sentais enfin mieux, soulagée.
Certes, des fois, les apparences étaient trompeuses. Des gens que l'ont aurait pu pensé qu'ils appartenaient à la catégorie de ses fils de riches aigris se révélaient finalement bien plus intéressants qu'on ne le pensait. C'était pour ça que je laissais une chance à tout le monde, du moins je m'y efforçais- les préjugés m'assaillaient parfois malheureusement. Mon carnet d'adresse était d'ailleurs la preuve qu'il faut se méfier des apparences. Que ce n'est pas notre popularité, ou bien même la confrérie à laquelle on appartient qui décrit ce que nous sommes. Les preuves vivantes? Il n'y avait qu'à piocher du côté de Seextine, petite Bêta influençable mais pas méchante, Matthew L. Crawford, footballeur populaire mais en vérité terriblement maladroit ou même Augusto P ; Da Volpedo, grand mec baraqué qu'on pourrait croire sans cervelle mais qui se révélait être un quelqu'un avec un fin esprit et incroyablement gentil, oui oui je parlais ainsi gentiment d’Augusto P. Da Volpedo pour une fois La vie à Berkeley avait eu au moins le mérite d'ouvrir un peu mon esprit qui se laissait parfois avoir par des stéréotypes surfaits. J'étais assez humble pour pouvoir me remettre en question certaines fois, et j'avouais mettre laisser avoir parfois par ce petit bal des apparences, pas tellement vis-à-vis de mon comportement, mais plutôt vis-à-vis de ma vision des autres. Remettant mes ballerines, je me décidais à rentrer, car il ferait bientôt totalement nuit et bien que les quelques éclairages se soient mi en route, la visibilité était devenue moindre. Je connaissais minutieusement chaque parcelle du parc, voilà pourquoi mes pas se faisaient assurés et pressants. En entra dans ma chambre, je pu observer que mon colocataire, n’était pas… ouai n’étais pas seule, je me glissai donc délicatement lui fit un clin d’œil et pris les clés de ma petite mini cooper rouge pour aller faire un tour en ville, en attendant que monsieur finisse ses « affaires ». En route pour un bar branché, me voila arrivé, et d’une manière douce et accueillante j’allai me dirigé directement au bar pour me prendre un petit diabolo fraise, oui l’alcool n’étais pas vraiment ma passion. Accoudé au bar je pu de loin observé un visage, oui ce visage, oui je le connaissais bien mais lui non, je l’avais vu une fois avec ma mère vraiment très très proche, ni une ni deux la Plum excité que je suis, je me levai et alla a sa rencontre d’un pas frustrés et pas des plus énervé, posant mon verre a ses cotés, j’attendis qu’il tourne délicatement sa tête pour l’avoir en pleine ligne de tir. Il me fallut moin de dix seconde pour que ma main aille a la rencontre de la joue délicate du jeune homme, il osait me demander ce qui se passe, oui suis-je bête il ne m’avait jamais vu. Je m’empressa donc de dire d’un ton agacé. « Petrov-Versier sa te parle ? » Bien sur que ça allait lui parler, bien entendu que ça allait lui parler mais au cas où ca ne le ferais pas je me décidai a lui en dire plus. « Si jamais ta mémoire te fais défauts, je vais te la rafraichir, tu a fricoté avec ma mère qui a juste genre 20 ans de plus que toi. Alors la mémoire te revient comme ça ? Ou alors je peux t’en mettre une deuxième pour te replacer tes neurones si par ailleurs ils y’en a, ce qui es moins sur. » La Petrov-Versier était dés a présent hors de contrôle.


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MessageSujet: Re: I don't know why are you scared PLUM&ISAAC I don't know why are you scared PLUM&ISAAC EmptyDim 18 Sep - 14:27

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J'essayais donc de me dévergonder. Mais ce n'était pas la chose la plus simple du monde quand on a vécut ce que j'ai vécu. Je crois qu'il n'y a rien de pire que ce qui m'est arrivé il y a quelques années lorsque je venais seulement d'atteindre la majorité légale en Grèce, mon pays d'origine. Je ne sais pas ce qu'il ma prit. Je n'en sais rien et le serais sûrement jamais. Toujours est-il que je me suis retrouvé dans l'un des nombreux petits déserts que comporte le pays. Vous connaissez sûrement le climat grec : aride à certains endroits. Je marchais, marchais des heures durant. Je n'avais rien amené avec moi. Pas de sac à dos, pas d'eau, pas de nourriture et je me suis perdu. Je trouvais pas le moindre signe de vie humaine à l'horizon. Enfin ... je suppose que c'est comme cela que ça s'est passé. Je me suis réveillé quelques heures plus tard, j'étais à l'hôpital et je ne connaissais même plus la capitale de la Grèce. L'amnésie m'avait frappé et encore aujourd'hui, elle me frappe. Je ne me rappelais de rien de ma vie d'avant. Je ne connaissais même pas mon prénom, ma famille, mon lieu de naissance ni le nom du chef du gouvernement grec. Le petit problème dans tout cela c'est que personne ne m'a réclamé. J'étais seul. A croire que je sors de nul part. Personne ne me connait. J'appris tout de même que je m'appelais Isaac Louis Harros. Ce fut un soulagement de voir que j'avais un nom mais pas réconfortant pour autant. A l'époque, il me semble avoir pleuré tous les soirs pendant le premier mois de ma nouvelle vie. Je ne me rappelais de rien. A chaque instant j'essayais de me souvenir, je forçais mon cerveau à arpenter les recoins de ma mémoire mais je n'arrivais à rien. Depuis ce jour, j'essaie régulièrement de me rappeler de ce que je faisais avant. Parfois, en cours de cardiologie par exemple, je cesse de prendre des notes et me concentre, ferme les yeux ... mais bien entendu aucun résultat. Je crois que c'est pour cela que j'ai voulu faire médecine il y a deux ans. J'avais envi d'en savoir plus sur le corps humain. Je voulais connaître les moindres secrets de celui ci. Malheureusement, je savais que c'était impossible et qu'il garderait forcément une part de mystère. Surtout en ce qui concerne le cerveau. Je trouve cet organe fascinant. C'est mon préféré. Parfois je me projette dans l'avenir en me voyant chirurgien ou professeur, essayant d'enlever une tumeur dans le cerveau de quelqu'un, essayant de lui sauver la vie. Cette amnésie me marquera à vie. Ça va peut être vous faire sourire mais je me souviendrais toujours du moment où je me suis réveillé et où j'étais complètement perdu. Mais depuis mon arrivée à San Francisco je me refuse de penser à cela. J'étais ici pour changer de vie, pour devenir riche et devenir plus heureux que je ne l'ai jamais été et pour l'instant, je dois avouer que cela marche bien. Je me plais énormément en Californie. J'ai tout mon cercle d'amis friqués qui me plait vachement même si ces derniers temps je me suis éloigné d'eux. Pour en arriver où je suis aujourd'hui, il a fallut que je passe par la case armée. Je n'avais aucun diplôme, rien du tout alors je me suis engagé. Cela m'a permis d'accumuler pas mal d'argent vu que j'étais nourri et logé gratuitement. Cet argent, je l'ai relativement bien placé à la bourse grecque. Rassurez vous, tout ceci était avant la célèbre crise, j'ai récupéré mon argent à temps car le ministère de la défense me payais l'université que je voulais pour faire mes études. Et j'ai atterris ici ! Ayant une vie parfaite, ce n'est qu'il y a deux mois que j'ai voulu mettre du piment dans ma vie et j'ai fait quelque chose que je n'ai jamais refait mais qui fut une bonne expérience, avoir une liaison avec une femme de vingt ans ma cadette. Ses enfants devaient avoir mon âge mais il faut dire que je n'étais pas dans mon assiette lorsque cela est arrivé. Assis au bar de l'Absinthe je ne savais pas que cette affaire classée allait refaire surface. Ce n'est qu'après que la jeune femme m'ait dit « Petrov-Versier sa te parle ? » que je compris ce qu'il se passait. Tout le bar compris d'ailleurs ce qu'il se passait puisque celle qui était visiblement la fille de ma très chère amie Petrov-Versier prenait la peine de crier. Au début, je fus inévitablement gêné par tous ses yeux portés sur nous mais au fur et à mesure que la jeune femme développait ses propos, cela me fit beaucoup rire car je ne pensais pas avoir quelque chose de mal. Après tout, j'étais adulte, sa mère aussi et nous faisons ce que nous voulons, quand nous le souhaitons. Comme je le disais, elle développa. « Si jamais ta mémoire te fais défauts, je vais te la rafraichir, tu a fricoté avec ma mère qui a juste genre 20 ans de plus que toi. Alors la mémoire te revient comme ça ? Ou alors je peux t’en mettre une deuxième pour te replacer tes neurones si par ailleurs ils y’en a, ce qui es moins sur. » Même si cela me faisait rire, je n'ai pas ris au nez de la jeune Petrov-Versier. Je n'avais pas envi de reprendre une seconde fois sa bague sur ma joue. J'étais sur que j'avais encore la trace, une minute après l'impact. Je repris mes esprits et compris que ce fut à moi de parler. « Ne serais-ce pas la petite Plum ? Ta mère et moi avons beaucoup parlé effectivement ... et ce que nous avons fait ensuite ne te concerne en aucun cas je crois. Ta mère n'est pas sous ta tutelle il me semble ? Ta mère est adulte il me semble ? Je le suis également alors tu n'as rien à dire. Maintenant si tu pouvais me laisser, j'ai d'autres chats à fouetter plutôt que de parler à une gamine coincée. » Je m'étais sûrement un peu emporté en lui parlant mais ce n'était pas grave, cela me faisait rire qu'elle m'imagine avec sa mère !

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