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Purple in the morning, blue in the afternoon, orange in the evening, and green at night, it’s simple. One, two, three, four. | PV Ethan |

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MessageSujet: Purple in the morning, blue in the afternoon, orange in the evening, and green at night, it’s simple. One, two, three, four. | PV Ethan | Purple in the morning, blue in the afternoon, orange in the evening, and green at night, it’s simple. One, two, three, four. | PV Ethan | EmptyLun 1 Aoû - 5:16


JAGGER & ETHAN
Leeloo Dallas Multipass !

à quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites.
FIGHT CLUB. Vous n’êtes pas exceptionnels, vous n’êtes pas un flocon de neige merveilleux et unique, vous êtes fait de la même substance organique pourrissante que tout le reste, nous sommes la merde de ce monde prête à servir à tout, nous appartenons tous au même tas d’humus en décomposition.

« hey yo jagger ! viens t'en tirer une petite dernière avant de partir. » non non il ne parlait pas de se tirer une fille, si seulement s'agissait que de filles. Mais en réalité c'était bien mieux, beaucoup plus amusant, ça m'apportait plus de plaisir et le plus important, cela m'ouvrait les portes d'un tout autre monde, un monde dans lequel j'étais le seul maître et pouvait tout modéliser à ma guise, comme bon me semblait, sans aucune limite j'étais le seul à pouvoir m'en imposer et lorsque j'étais dans ce monde, il était tout simplement impensable que de me voir m'imposer des limites. La main sur la poignée de la porte, l'air hésitant je tournais plusieurs fois la tête à tour de rôle en direction de l'homme et de la sortie. Ce qu'il me proposait là était une offre des plus alléchantes, lorsqu'il s'agissait de poudre j'étais faible, sans aucune volonté et incapable de refuser le plus petit tas de cette substance. Je finissais par finalement renoncer, préférant être l'esclave de mes envies plutôt que d'écouter la voix de la raison je laissais glisser entre ma main la poignée de la porte qui me séparait de la sortie. Un petit sourire au visage je traversais la pièce sombre, glauque, pour finalement atterrir sur un canapé. Approchant petit à petit mon visage de la table sous le regard vicieux de mes compagnons, je plaquais mon nez sur la table avant d'aspirer dans sa totalité la substance blanche, qui de toute évidence était des plus illégales. Une fois cela fait je relevais brusquement la tête que je penchais en arrière, le regard fixé au plafond je prenais soin de renifler une dernière fois pour ne laisser aucun reste, il ne fallait pas gâcher la marchandise. Me laissant complètement tomber dans le canapé j'étais complètement stone, me sentant léger comme une plume, je croyais sentir des ailes me pousser dans le dos, était le paradis qui me réclamait et m'offrait ce qu'il avait de plus précieux pour que je puisse aller là où avait toujours été ma place ? Certainement pas, si après la mort il y avait bien quelque chose, pour moi ça ne serait certainement pas au ciel que je monterais, au contraire je descendrais même encore plus bas que terre, là où personne ne voulait aller et pourtant moi j'attendais ce moment avec impatiente, la mort je ne la fuyais pas, je l'embrassais. Surtout lorsque j'étais dans un tel état de trans où dans ces rares de moments, bien trop rare, de bien être la faucheuse prenait des allures de bimbo blonde sexy à forte poitrine. Si c'est ça l'enfer je signe tout de suite. Mon corps vidé de toute énergie je ne pouvais plus bouger de ce canapé et pourtant j'avais ce pressentiment qu'il fallait partir, à ce moment précis je devais être ailleurs, mais où ? C'était une bonne question. L'esprit déjà embrumé à cause de toutes les substances que j'avais inhalées par le nez ainsi que l'alcool qui était présent dans mon sang depuis une certaine heure de la nuit, je n'arrivais plus très bien à penser, ni même à discerner la réalité du rêve. Ce baobab géant en plein milieu de la pièce, était-il réel ? I don't think so...Puisant dans mes réserves je me relevais du canapé avec le peu d'énergie qu'il me restait, l'homme à mes côtés m'attrapait par le bras alors que d'un geste brusque et violent je repoussais son aide. En plus d'être totalement déconnecté de la réalité, j'étais également légèrement violent, à l'ordinaire j'étais d'un caractère plutôt fort, mais lorsque je me trouvais dans cet état là le moindre de mes sentiments était multiplié par dix et c'était là que résidait toute la beauté de la chose. D'une démarche titubante je me dirigeais vers la porte tout en écartant de mon chemin le baobab qui était des plus réaliste et qui pourtant une fois à sa hauteur ne semblait plus si réel qu'il ne l'était au départ. Manquant de trébucher je me rattrapais de justesse à la poignée de la porte que j'avais précédemment lâché, ou bien c'était elle qui était parti pour me pousser à prendre cette dernière ligne. Whatever, au final le résultat était le même et j'étais très en retard, mais en retard pour quoi ? Je n'en avais aucune idée, tout ce que je savais c'était que je devais partir d'ici, et vite. A l'aide d'un geste brusque j'ouvrais en grand la porte pour laisser le soleil pénétrer la pièce, tel un vampire je sentais mes yeux, ma peau, brûler, la moindre parcelle de mon corps semblait fondre au contact des rayons du soleil. Aveuglé je poursuivais tout de même ma route sans même prendre la peine de les saluer, ils m'avaient donné ce pourquoi j'étais venu, à présent il ne m'était plus d'aucune utilité et très certainement que je n'allais jamais les revoir, c'était donc peine perdue que d'essayer de cacher ma réelle nature.
J'avançais donc dans l'inconnu, toujours autant aveuglé je décidais enfin de mettre mon bras au niveau de mon front, d'un geste très lent je le posais contre ce dernier pour protéger mes yeux de la lueur du jour et me permettre ainsi de mieux me repérer. Action qui au final ne m'était pas d'une grande aide, j'étais totalement perdu, je n'avais pourtant pas changé de ville, j'étais toujours à San Francisco, cette ville de gay qui allait devoir me supporter ces prochaines années. Papa avait décidé de me remettre dans le droit chemin, de me faire reprendre les études, bien qu'il en soit ainsi, mais il ne fallait pas compter sur une quelconque bonne volonté de ma part, bien au contraire j'allais tout faire pour lui compliquer la tâche, à lui et à tous ceux qui auraient pour mission de me re-cadrer. Je n'étais pas de ceux que l'on pouvait dompter à l'aide de quelques menaces. Lentement, mais surement je progressais dans la ville, je marchais tout en prenant soin de tout le temps être appuyé sur quelque chose en cas de chute j'essayais tant bien que mal de me souvenir de l'endroit où je devais me rendre. Alors que je n'y croyais plus, l'espace de quelques secondes un moment de lucidité fit son apparition, durant ces quelques secondes tout était si limpide, mais c'est bien sûr !! Je devais aller répéter avec le groupe. Chose qui était à l'heure actuelle plus qu'infaisable, déjà d'une le studio se trouvait à l'autre bout de la ville, soit l'endroit qui était au total opposé de celui où je me trouvais, et puis me ramener dans un tel état n'était pas vraiment conseillé, tous était au courant ma cure de désintoxication et pour la plupart il me croyait remit, ce qui de toute évidence n'était pas le cas. Mon addiction devait rester secret, au pire j'allais bien trouver une bonne raison quant au fait que j'avais loupé une répétition, il pouvait très bien se débrouiller sans moi, même si je comprenais bien que j'étais un élément indispensable pour le groupe, pour une fois ils allaient devoir faire sans moi. Je prenais donc la décision de continuer d'avancer, la direction je ne la connaissais pas et je décidais d'aller là où le vent déciderait de m'emporter, car oui si j'avançais ce n'étais pas grâce à mes jambes, j'étais tout simplement porté par le vent qui me poussait à continuer. Sans donc me préoccuper de ma destination je continuais mon chemin, en espérant que l'endroit où je me rendais n'était plus très loin, mon corps n'allait plus pouvoir suivre très longtemps.

Finalement, après maintes détours et vingt bonnes minutes de marche j'arrivais enfin à destination. Ma foi c'était un bien grand mot, je ne savais toujours pas où j'étais, je ne pouvais tout simplement plus du tout avancer, à moins de continuer à la nage, ce qui dans mon état était totalement impossible, même avec toute la bonne volonté du monde c'était infaisable, déjà qu'à la base il était rare que je mette de la bonne volonté pour faire quoi que ce soit, mais alors là c'était même pas la peine d'y penser. Voyant au loin des bateaux, wow c'était même plus que ça, ils étaient bien trop grands pour être de simple bateaux, était-ce des yachts ? Ca en avait tout l'air, endroit parfait pour faire la sieste et me reposer un petit peu. N'ayant pas vraiment de préférence je montais dans le premier qui me passait sous la main et qui était accessible, bizarrement il n'y avait aucune sécurité, pour mon plus grand bonheur bien évidemment. Au passage je récupérais des raybans noirs que je posais sur mon nez, mes yeux étaient enfin à l'abri du soleil, ce n'était pas trop tôt. Montant tout en haut, je ne cherchais même pas à me cacher et me couchais sur l'endroit le plus élevé de tout le bateau, finalement, entre bateau et yacht il n'y avait pas tellement de différence. Les deux flottaient sur l'eau et me permettait de récupérer de la dure nuit que j'avais précédemment vécu. M'écroulant par terre, je m'étalais pour ne plus du tout bouger, tel un mort je fermais les yeux et profitais des rayons du soleil qui venait se poser sur le reste de mon corps, tant qu'ils ne touchaient pas mes yeux tout allait bien. M'échappant un peu plus encore de ce monde, mes paupières se faisaient de plus en plus lourde, ne cherchant même pas à lutter je me laissais tout simplement transporter dans le monde des rêves, la bas au moins j'étais certain que personne n'allait venir me perturber. Have a good night jagger.
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MessageSujet: ITALY : After a volcano killed a thousand of people, she resuscitated my heart •• ETHAN&ROWAN Purple in the morning, blue in the afternoon, orange in the evening, and green at night, it’s simple. One, two, three, four. | PV Ethan | EmptyLun 8 Aoû - 3:25

    Purple in the morning, blue in the afternoon, orange in the evening, and green at night, it’s simple. One, two, three, four. | PV Ethan | 2i11nbp
    Amy Winehouse ••• REHAB They tried to make me go to Rehab but I said 'no, no, no' Yes I've been black but when I come back you'll know know know I ain't got the time and if my daddy thinks I'm fine He's tried to make me go to Rehab but I won't go go go !!


    Une soirée de plus à boire seul sur la plage... pathétique ? Non à vrai dire j'étais dans une phase de ma vie où boire me soulageait, cela me rappelait que j'étais bien plus fort que je ne voulais le laisser paraître ! Ah oui une chose à savoir, j'ai été alcoolique pendant 3 ans et il suffisait qu'une bouteille de jack me passe devant le nez pour que je la siffle à moi tout seul dans la soirée, et si seulement ça s'arrêtait là... voila la vie que j'ai mené à LA pendant quelques temps après le décès de mes parents. Réponse à leur mort ? Certainement. Seulement, c'était loin d'être une excuse pour finir torché comme un idiot au fond d'une ruelle avec l'odeur de pisse sur moi, sans même savoir si c'était moi qui m'étais oublié, ou si un mec m'avais pris pour un réverbère... Bref, vous lavez compris, j'étais une véritable loque, je ne savais même pas si j'allais pouvoir m'en sortir un jour et le pire c'est que j'aimais cette situation, avoir le frisson lorsqu'on ne sait pas si on va se réveiller de ce qu'on pense être la plus grosse cuite de sa vie... j'avais tellement mes petites habitudes si bien qu'à l'époque tout me semblait insipide ! Les filles ? J'en changeais tous les jours, les potes ? J'en avais très peu et la plupart du temps ils étaient seulement là pour me tirer vers le bas comme Plas par exemple... cet enfoiré ! C'était lui qui m'avait entraîné dans l'alcool alors que j'étais dans une des périodes les pires de ma vie ! Rencontré simplement en soirée, nous avions déliré et une chose en entraînant une autre il m'avait présenté du monde, mais pas vraiment le genre qu'on invite à dîner chez papi mamie, plutôt le genre qui se retrouve en taule pour détention de coke en deux temps trois mouvements !
    Non en fait j'avais bel et bien eu une vie de merde à l'époque ! Même si pour moi c'était le paradis parce que je planais H24 en étant sous l'emprise de substance dont je ne demandais même plus le nom à force d'habitude ! Je me contentais de les avaler et de penser après, enfin si j'en avais encore la faculté ! J'ai toujours cru que c'était ce genre de pratique qui avait du griller un ou deux neurones chez moi si bien qu'aujourd'hui j'avais un peu de mal à me concentrer, à rester en place et à écouter ce qu'on me disait. Enfin en tant que joueur de foot dans l'équipe universitaire, je devais faire preuve de toutes ces facultés en même temps c'est pour cela que j'avais du choisir avant d'arriver à la fac entre ce monde de merde qui ne m'apportait que le fait d'oublier mes problèmes le temps d'un trip, et le sport qui m'avait toujours aidé à canaliser mon énergie de façon saine.

    Aujourd'hui mes raisons de boire étaient bien différente, à vrai dire j'essayais toujours de me remettre des évènements récents qui avaient fait prendre à ma vie un virage a 360. D'une part j'avais perdu ma copine qui était amoureuse de son ex, okay ça je l'avais cherché en brisant le petit couple d'imbéciles heureux de Berkeley, il était évident qu'ils auraient fini par retourner ensemble mais je ne pensais pas que ça arriverait si vite, que notre bonheur aurait été d'aussi courte durée... j'avais donné une bonne partie de mon âme et de mon coeur dans cette relation pour m’apercevoir qu'au final elle ne valait rien ! Etre amoureuse de moi et d'un autre en même temps, très peu pour moi... je ne tenais pas à souffrir et j'avais préféré mettre fin à cette mascarade le plus vite possible c'est donc au bal que tout s'était achevé ! Mais n'ayant pas pu résister à l'envie de jouer les chevaliers en armures, ce débile de Damian était venu me frapper et avait laissé un beau cocard sur mon oeil gauche qui aujourd'hui ne se voyait pratiquement plus, mais avait laissé une marque bien plus profonde, invisible à l'oeil nu, et qui me criait de faire vengeance. Néanmoins c'était moi qui se retrouvait aujourd'hui à la porte de chez les iotas et fort heureusement, Reagan ma meilleure et fidèle amie avait eu la bonté de m'accueillir chez elle mais les choses n'étaient pas pareilles... moi j'aimais cette ambiance de confrérie, de fraternité où tout le monde se croisait tout le temps pour délirer et se tenir au courant des derniers bons plans ! Avec Reagan, je m'éclatais bien c'est vrai, mais je devais supporter la présence de Damian qui ne pouvait s'empêcher de squatter dès qu'il le pouvait cet espèce de gros lourd !
    Okay, j'avais pas mal de mauvais points à mon actif en ce moment, j'étais pratiquement certains que je ne pouvais pas tomber plus bas si ce n'est en retombant définitivement dans l'alcool ! Le fait que je m'étais remis à boire était une sorte de défi pour moi, oui je voulais voir jusqu'où je pouvais aller et si, par chance, j'arriverai à m'arrêter avant de repartir dans ce bad trip que j'avais mis autant de temps à quitter !

    Alors que Je commençais à sentir les fourmis dans mes pieds, je décidais enfin de me lever, encore une mauvaise idée tiens! Avec la rapidité du geste, je me retrouvais à chanceler, voyant tout le décor tourner autour de moi je commençais à me dire que la moitié d'une bouteille de whisky à cette heure de la journée, avec le soleil qui tapait en plus de ça, ce n'était pas du tout, mais alors pas du tout une bonne idée ! je réussissais tout de même à me reprendre un minimum en me passant un peu d'eau de mer sur le visage. Le petit goût salé m'empêchait de la boire pour essayer de vidanger un peu mon corps qui commencer même à suinter l'alcool au lieu de la transpiration habituelle.
    Je soupirais et me passait une main dans les cheveux avant de partir avec ma bouteille vers la jetée, j'admirais les bateaux qui rentraient au port. L'air de la mer avait toujours eu un effet apaisant sur moi, en fait c'était tout ce qui arrivait à me calmer en ce moment ! J'étais sans arrêt sur les nerfs et j'avais un peu de mal à rester stoïque face aux moqueries des autres suite à ma petite esclandre au bal. Pour certains j'étais un salaud pour d'autre un héros, enfin il y avait ceux qui s'en fichait mais qui se foutait quand même de ma gueule pour le plaisir ! Pitoyable, hein ?
    Ouai enfin moi non plus je n'étais pas au mieux de ma forme sur le coup et tandis que j'avançais près de l'embarcadère, je ne pu m'empêcher de me demander si je voyais double ou non devant la scène qui avait lieu sous mes yeux. Deux hommes, des marins d'après leur tenue, étaient en train d'en porter un autre qui avait l'air complètement mort !
    Oh putain j'étais en train d'assister à une de ces scènes qu'on voit dans les films vous savez celle où un gros mafieux demande à ses sous fifres d'aller se débarrasser du corps ! Je courrais vers eux, je ne savais pas encore comment les empêcher de faire ce qu'ils comptaient lui faire mais je ne pouvais pas laisser ce type se faire casser la gueule ou pire, se faire jeter à la mer avec un boulet accroché au pied en guise d'adieu ! Au fur et à mesure que j'avançais, les mecs semblaient ne pas lui vouloir de mal au final... ils le déposèrent contre une caisse avant de repartir sur le bateau d'où ils venaient de faire dégager l'espèce de poivrot. Je m'approchais pour distinguer enfin le visage de la soi-disant victime avant de m’apercevoir qu'il s'agissait de Jagger !
    Putain non mais qu'est ce qu'il foutait ici ! Je ne l'avais pas revu depuis euh... depuis notre cure de désintox commune ! Et pourtant le voila en train de faire de la merde une fois de plus complètement pété ! Je commençais par lui donner quelques gifles histoire de le faire réagir.

    Eh oh mec, tu te réveilles ? Vas-y on est plus sur le bateau, tu peux plus te barrer maintenant tu vas devoir... euh... la finir avec moi ! je regardais ma bouteille et le demi litre d'alcool qu'elle contenait encore avec un air de fierté sur le visage de ne pas l'avoir sifflé encore. PUTAIN réveille toi espèce d'enfoiré, je te jure le mec il fait genre il ne m'entend pas quoi ! je ne parlais plus très bien et mes phrases n'avaient plus vraiment de sens mais au moins j'avais retrouvé un compère pour partager, et quel compère ! Je n'aurais pas pu espérer mieux que mon collègue de la désintox pour goûter à nouveau à ce nectar qui nous avait été si longtemps interdit même si lui à la base y était allé pour bien pire que le simple alcool !
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