the great escape
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A man can be happy with any woman as long as he does not love her.

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MessageSujet: A man can be happy with any woman as long as he does not love her. A man can be happy with any woman as long as he does not love her. EmptyDim 17 Juil - 16:23




« Welcome to Hell »




Let's play'






Lorsque mon réveil sonna ce matin vers six heure, je n'eus qu’une envie. Le balancer dehors. Au lieu de cela, ma main vont chercher mon portable qui se trouvais quelque pars au pied du lit et j’ appuya frénétiquement sur chacun des boutons a porté de main jusqu'à ce que la sonnerie stridente se taise. Je lâcha un soupir de soulagement et me remis confortablement en place sous ma couette chaude. Ma bouche était pâteuse et mon haleine laissait totalement a désirer. Plus aucun souvenirs de la nuit dernière. Je savais que j’étais sortie ,ça, c’était sur. Mais alors après... trou noir. j’ ouvrit peu a peu mes yeux, laissant doucement la lumière du jour pénétré dans mes pupilles encore complètement dilaté par l’alcool. Bon, et bien je n’avais certainement pas décuvé non plus et les cours commençais dans deux heures. J’étais mal barré, une fois de plus. Lorsqu’ enfin je distingua le sol complètement en bordel de ma chambre, je remarqua quelque affaires qui, pour sur ne m’appartenais pas. Un soutien gorge, un string et une jolie robe qui ne devais pas cacher grand chose gisais a terre. A voir leur distance de la porte, ils n’avaient pas du faire long feu entre ma porte et le lit. Un petit sourire satisfait vint illuminer mon visage. Effectivement, j’entendais un souffle doux et régulier derrière mon dos. Je me retourna délicatement et trouvais une jolie brunette endormie a mes coté. Elle semblais paisible. Tu m’étonne, après la nuit mouvementée qu’elle avais du passer avec moi, elle devais être fatiguée la jolie ! Je retins un petit rire sournois. Malheureusement pour elle, elle allais devoir dégager rapidement de ma chambre. Et de ma vie. Je m’étira du mieux que je pu pour ne pas trop la déranger et sorti du lit doucement. Je remis la couette en place et me frotta les yeux, encore tout endormie. C’était dur les gueules de bois un matin de cours. Direction, la douche. Nu comme un vers je me faufila dans ma salle de bain et évita de croiser mon reflet dans le miroir, ça m’aurai fais peur je pense. Je fis couler l’eau en attendant qu’elle sois chaude, plongea un orteils, puis deux et lorsque la température fut a mon goût, je me glissa rapidement dessous. Oh ! Le renaissance, un délice cette douche. Je m’ attarda longtemps sous l’eau, la laissant couler le long de ma nuque, mon cerveau tapant si fort contre mon crâne que j’avais l’impression de ne pas avoir dormis.

J’entendis un bruit dans ma chambre, puis je vis la porte de la salle de bain que je n’avais pas fermer s’entrouvrir doucement, laissant dépasser une jolie jambe finement taillé et une longue chevelure brune. Un large sourire s’ étendis sur mes lèvres. L’inconnue de la nuit passé vint me rejoindre en un petit bon et se cola contre moi. A cet instant je lui aurai sûrement demandé de m’épouser. Nous prirent le soin de jouer un instant avec le savon et la mousse puis nous réitérèrent le petit jeu d’hier soir , dans mon lit. Sauf que la douche, le matin, avec une gueule de bois, c’est pas facile. Heureusement, cette jolie brunette y mettais du cœur. Nous sortîmes enfin de la douche un peu plus tard, elle enfila une serviette autour de sa taille et sortie en prétendant aller chercher des cafés. Je ne la revis plus de la journée. Ni plus jamais d’ailleurs. Non vraiment, cette fille savais parler aux hommes apparemment. Je pris le temps de me laver les dents, une fois, deux fois , trois fois. Burk , non décidément, je ne savais pas ce que j’avais pris la veille, mais j’ empestait l’alcool a des kilomètres. Je passa rapidement une main sur ma barbe, bon ça allais encore, je serai a peu près présentable. Un rapide coup d’ ébourification dans les cheveux et c’était bon. Je fila de nouveau dans ma chambre, marchant sur tout et n’importe quoi, c’était vraiment Bagdad là dedans..J’ouvris un tiroir et en sortis un simple t-shirt blanc, un jean, un caleçon propre et enfila le tout. J’ attrapa ma veste a la volée et partis pour les cours.

Il me restais quelque chose comme une heure pour un café et papoter avec les gens. Super. Sur le chemin, je croisa pas mal de monde qui me parlèrent de la soirée d’hier soir. Moi, je n’avais aucun souvenirs et découvrais ma soirée au travers la bouche des autres; C’était plutôt fun. J’arrivai a la machine a café et m’en pris deux. Un de mes amis - je ne me souviens même plus de son nom pour vous dire- me fila un doliprane, et hop , j’étais partie pour une super journée. Ironie quand tu nous tiens.. Les cours se passèrent a une lenteur inexprimable. Je m'endormais a maintes reprise, mais bon, c’était pas bien grave, je les avais déjà a peu près vu la veille. Je les bosserai cet aprem a la Bibliothèque. Lorsque le prof nous lâcha enfin, il était midi passé et mon estomac était tiraillé entre l’envie de vomir et une faim assez surprenante. Je couru m'acheter un sandwich, le mangea en deux coup de dent set fila vers la bibliothèque. Je n’avais envie de voir personne. Mais alors vraiment pas. J’étais d’une humeur encore plus massacrante que d’habitude. Pourtant mon réveil dans la douche avais été des plus agréable. Mais bon, les méfaits des soirées je vous dit. Une fois installé a la BU, le temps passa plus vite. J’étais déjà plus concentré et une fois dans mes bouquins il fallait vraiment un gros truc pour m’en sortir. Je m’étais dis que vers 17h j'arrêtais et profitait un peu de mon temps libre mais je ne sortie de mes pensées que vers 19h. Honte a moi.

Trop bosser comme ça, ça allais finir par me jouer de mauvais tour. Plus de vie sociale, plus de fille, plus de sexe. Merde. Fallait que mon cerveau arrêtes de penser a des choses aussi malsaine. Ça n’allait vraiment pas aujourd’hui. J’avais besoin d’un remontant. Une brune encore tiens. La dernière m’avais laissé sur un très bel aperçu de leur capacité. Mais une nouvelle. Je sorti de la BU la tête perdue dans des pensées assez salace lorsque je percuta.. UNE BRUNE pardi ! et la quelle ! Une superbe brune, élancée et surtout inconnu a mes conquêtes. Presque machinalement, mon air maussade se transforma en un charmant sourire. Mais je m’attardais plus sur son corps et son charme que ses cours éparpillé par terre par ma faute. En grand gentleman j’aurai du l’aider a ramasser mais.. mais, flemme. En plus avec un peu de chance j’apercevrai peu être un peu plus de ses courbes si la belle venais a se pencher pour les ramasser. Gniark. Il fallait vraiment que j’arrête d'être aussi.. Connards man ? Je lui lançais alors un : « Fais attention bon sang ! » Tout aussi désagréable que mon air que je traînais depuis ce matin. Oui, j’étais un salaud, je l’assumais, mais ça ne déplaisais pas aux femmes apparemment.
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MessageSujet: Re: A man can be happy with any woman as long as he does not love her. A man can be happy with any woman as long as he does not love her. EmptyDim 17 Juil - 21:02

NOAH & BREANNA



Ce matin-là, il devait être 5 ou 6 heures du matin, Breanna avait scellé sa dernière boîte. Oui. Aujourd’hui, la jeune femme s’apprêtait à s’envoler du nid familial, de sa prison dorée, comme elle l’appelait parfois, pour commencer sa vie d’étudiante universitaire. C’était un grand pas pour Breanna. Elle quittait l’enfance pour entrer dans l’indépendance. Chez les Donovan, cependant, l’ambiance n’était pas à la fête ou l’émerveillement comme ça aurait été le cas dans d’autres foyers. Dans la somptueuse résidence, il régnait un silence pareil à une veillée funèbre. C’était à donner froid dans le dos. De son côté, Michael boudait dans ses quartiers privés. Ce dernier n’acceptait pas encore que sa fille aînée ait choisi d’étudier à Berkeley plutôt qu’à Harvard. Honteux, lui avait-il dit, surtout en sachant que depuis des générations, les Donovan y ont fait leurs études. Mais au fond de lui – et il ne l’avouera pas, par orgueil – il était fier que sa fille adoptive ait fait ses propres choix, qu’elle ait malgré tout tenu tête à ses vieux parents. Cela dénotait une certaine force de caractère. C’était un bon départ pour la vie. Lauren, quant à elle, semblait visiblement attristée par le départ de sa fille. À quelques reprises, à la dérobée, elle avait essuyé ses yeux. Berkeley, c’était loin de Washington. Trop loin. Elle ne pouvait s’empêcher de craindre pour le bonheur de sa fille. Si au moins elle avait choisi Harvard, il aurait été plus simple et plus rapide d’aller la chercher ou de la rejoindre pour la consoler. Et puis il y avait Leah-Anne, qui paraissait tout aussi triste que sa mère, sinon plus. L’adolescente de 13 ans allait perdre sa grande sœur, elle qui lui avait toujours promis de rester près d’elle. Assise au salon, toujours en pyjama et les yeux endormis, elle regardait sa sœur et sa mère aller et sortir de la maison pour mettre les bagages de Breanna dans son Audi décapotable, un cadeau de fin d’études. C’était dur, car elle perdait non seulement sa sœur, mais aussi la seule personne avec qui elle s’entendait le mieux dans cette grande maison. La demeure des Donovan allait être bien vide avec l’absence de Breanna.

Voilà, tout était prêt.


"Tu es certaine que tu ne veux pas qu’on aille te reconduire ?", demanda Lauren à sa fille, pendant que cette dernière s’affairait à refermer le coffre arrière.

"Maman, je vais à l’université, là." Lui répondit sa fille. "J’aurais l’air de quoi si mes parents m’accompagnaient comme une gamine ? Allons ! Penses-y, un peu. Berkeley est à plus de 8 heures de route d’ici ! Papa et toi avez trop travail pour vous taper 20 heures de route. J’ai besoin de faire les choses par moi-même, maintenant. Tu peux comprendre ça ?"

" L’hôpital peut attendre ! Et puis, ça m’inquiète de te voir partir." Ajouta Lauren en prenant la main de sa fille.

«"C’est pour papa qu’il te faudrait de t’inquiéter. J’ai l’impression qu’il ne s’en remettra jamais. "

"Oh ! Ton père joue les durs, mais je te parie qu’il sera le premier à t’appeler pour prendre des nouvelles."

Sur les dernières paroles de Lauren, Michael et Leah-Anne sortirent enfin de la maison, l’air aussi grave qu’à un enterrement. L’heure des adieux était donc arrivée. » Nerveusement, Breanna lâcha la main de sa mère, fit une longue étreinte à sa petite sœur. "Tu peux m’appeler et m’écrire quand tu veux. J’aurai le net là-bas." Elle fit une seconde étreinte, un peu plus longue, cette fois-ci à sa mère. «"Ne t’en fais pas pour moi, tout va bien aller. Je suis plus une enfant." Puis, elle se planta devant son père.

" Papa… je t’aime et je suis désolée si je te déçois." La jeune femme se mordit la lèvre inférieure avant que son père ne l’approche vivement contre lui. Ce dernier ne dit rien, mais ce geste en soi voulait tout dire.

"Bon… " Ajouta Breanna, un trémolo dans la voix. "Je vous appelle dès que j’arrive." La belle brunette salua une dernière fois les siens avant de monter à bord de sa luxueuse voiture. Elle mit les moteurs en marche après quoi le véhicule s’éloigna peu à peu.

Le voyage jusqu’à Berkeley dura un peu plus de 10 heures, entrecoupé de deux pauses repas et d’autant de pauses pipi. Ce fut long, mais la route était belle et le ciel ensoleillé. Dieu que certains paysages des États-Unis sont splendides. Au fur et à mesure que le voyage progressait, cesdits paysages changeaient ; tantôt banlieues, tantôt villes grouillantes, tantôt campagnes. Enfin, un panneau souhaitant la bienvenue à la baie de San Francisco fut que le signe que le voyage s’achevait. À la vue des plages bondées de gens et des palmiers, Breanna se crut rêvé. Voilà le décor dans lequel elle allait vivre pour les 6 ou 7 prochaines années. C’était tout simplement paradisiaque ! Roulant sur University Avenue, l’université Berkeley se dessina peu à peu devant elle. Breanna reconnut cet immense bâtiment au toit rouge. Un fort sentiment de fierté l’envahit, mais aussi d’inquiétude. Allait-elle se faire des amis ? Allait-elle réussir ? Allait-elle regretter son choix d’étudier à Berkeley. Quitter Washington alors qu’elle n’avait connu que cela, c’était s’aventurer dans l’inconnu.

La voiture de la jeune femme suivit les indications d’une petite route qui menait aux résidences étudiantes. Elle résiderait dans la maison des Alphas. Après s’être arrêté à quelques reprises pour demander son chemin, Breanna arriva enfin devant sa résidence. Voilà donc l’endroit où elle vivrait. Vu de l’extérieur, c’était pas mal ! La brunette gara son véhicule et en sortit. Elle ne se dirigea toutefois pas vers la résidence, mais emboita plutôt le pas vers l’université. Curieuse, elle avait envie de découvrir l’endroit où elle étudier. C’était assez grand, en somme. Alors, autant commencer la visite de suite.

Une fois à l’intérieur du bâtiment, Breanna fut quelque peu perdu. N’osant aborder qui que ce soit, elle se contenta de lire les panneaux et de consulter le papier qu’elle tenait dans les mains. Il s’agissait du plan de l’établissement. Concentré dans sa lecture, elle ne remarqua pas qu’un garçon l’avait vu. Ses yeux à elle rivés sur le plan et ses yeux à lui rivés sur sa poitrine, la collision fut inévitable. Les deux jeunes adultes se percutèrent de plein fouet. Ce fut si violent que Breanna en échappa son sac et son plan.


"Fais attention !" Lui crias-il, visiblement de mauvaise humeur.

"Je suis désolée…" Répondit-elle, à la fois choquée et intimidée. Elle ramassa ses effets personnels sans oser le regarder.

Voilà qui commençait bien ! À peine arrivée et elle se mettait déjà quelqu’un à dos. Pfff !
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Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: A man can be happy with any woman as long as he does not love her. A man can be happy with any woman as long as he does not love her. EmptyLun 29 Aoû - 17:21

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