the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot ...
Voir le deal

Partagez

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} Empty
MessageSujet: You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} EmptyMer 6 Juil - 22:30

    Être dans son bureau par un temps aussi chaud, ça relevait presque du masochisme. Alcide se devait pourtant de s’y trouver. Les journées de cours avaient beau diminuer, il fallait toujours être dans les parages, au cas où. Et dans ces cas-là, eh bien, il fallait trouver à s’occuper, parce que c’était souvent particulièrement long et ennuyeux d’être seul dans son bureau alors que le soleil brillait dehors et qu’on n’avait qu’une envie : se trouver une piscine et y plonger pour se rafraîchir une bonne fois pour toutes.
    Pour passer le temps, van Stexhe lisait, une fois de plus, un grand classique de la littérature française. Il adorait ça. Il s’agissait du chef d’œuvre de Pierre Choderlos de Laclos : Les Liaisons dangereuses et, il n’y avait pas à dire, chaque lettre de ce roman épistolaire était rédigée d’une main de maître. En lisant des romans pareils, il se disait souvent qu’il aurait aimé écrire quelque chose du même genre, mais d’aussi inédit que le fut cette œuvre lors de sa parution. Oui, Alcide rêvait éveillé, il ne fallait pas chercher plus loin.

    Lire un bon roman, il n’y a rien de tel pour laisser s’écouler le temps… lorsque vous n’attendez rien de spécial. Seulement, ce n’était pas tout à fait le cas d’Alcide. Il devait recevoir aujourd’hui, dans son bureau, une jeune femme qui ne faisait pas partie de ses étudiantes, Mareva Warner. Celle-ci, suite à un stupide accident de garçon de café, s’était retrouvée maculée de café sur les vêtements du haut et l’homme lui avait alors galamment passé sa chemise pour qu’elle ait quelque chose d’un peu plus décent sur le dos.
    Cela dit, ce « rendez-vous » qu’il attendait était en réalité une simple visite de la jeune fille qui allait lui rendre sa chemise. En théorie, car le professeur savait très bien qu’il était extrêmement difficile de s’en tenir à ce genre de visite de courtoisie avec miss Warner… d’ailleurs, il avait toujours des difficultés à rester sérieux et insensible face à elle. Elle avait un petit quelque chose qui le poussait à se sentir mal à l’aise, car elle éveillait en lui un tas d’idées qu’il n’était pas censé avoir envers des étudiantes. Même s’il était extrêmement compliqué de ne pas remarquer la beauté de toutes ces jeunes femmes…

    Quand cet incident de café avait eu lieu, Alcide était encore plus ou moins en couple avec Lucie Salaun. Ça n’était pas une relation où tout allait comme sur des roulettes, loin de là, et l’homme avait souvent dû se faire violence pour rester calme envers sa copine du moment qui voulait le garder pour elle seule, qui refusait d’officialiser quoi que ce soit de leur relation et qui avait fini par disparaître du jour au lendemain, sans un mot d’explication. Avait alors commencé une lente descente aux enfers dont seuls l’alcool et le sexe avaient pu ressortir Alcide. Le gouffre avait disparu, lentement mais sûrement, et l’enseignant avait repris des habitudes qu’il avait abandonnées pour les beaux yeux de Lucie – qui, à la réflexion, n’étaient pas si beaux que ça !

    En somme, lors de cette histoire, les conditions n’étaient pas idéales pour une rencontre qui s’était achevée un peu rapidement. Alcide s’était senti mal à l’aise dès qu’il avait remarqué qu’il était tout bonnement incapable de garder les yeux à hauteur du visage de la belle Gamma alors que son t-shirt était devenu quelque peu transparent, café oblige. Comment en étaient-ils venus à échanger leurs numéros ? à vrai dire, il ne savait plus exactement. Les souvenirs de ce jour-là étaient un peu troubles et il y avait des tas de choses que pensait l’enseignant mais qu’il n’était pas certain d’avoir vécus ou dits à Mareva. L’idée principale était cette irrépressible envie de lui arracher son t-shirt et de plonger entre ses seins, de s’en repaître comme d’un gâteau meringué et chocolaté, et puis il y avait aussi cette insistante image de la table sur laquelle il aurait adoré prendre miss Warner…

    Finalement, Laclos craignait un peu avec ses épîtres quand de telles idées revenaient à l’esprit de l’homme. Alcide ferma son livre et se leva pour aller jusqu’au frigo qui se trouvait là. Depuis qu’il s’était fait engueuler par Maria O’Berkeley, il n’y avait plus de boissons alcoolisées là-dedans, mais il y avait toujours quelques softs ainsi que des gourmandises sucrées.
    Il prit un jus tropical et s’en versa un verre avant de ranger la bouteille au frais et de retourner à sa place où il but une gorgée. En vérité, van Stexhe aurait adoré pouvoir avaler quelques verres de cognac ou de n’importe quel alcool fort pour éviter d’avoir à subir les agressions de ses propres réminiscences sur son état d’esprit qui se devait d’être sérieux.

    Il hésitait. Il ne savait pas quoi faire. Il faisait trop chaud pour bien réfléchir. Alcide avait envie de sortir son portable et d’annuler la venue de Mareva, reporter ça à un autre moment, à un autre endroit… mais il n’eut pas l’occasion de le faire, car on frappa à la porte alors qu’il allait seulement déverrouiller le portable. Il se releva et laissa son portable sur son bureau pour aller ouvrir la porte à la jeune femme. Bon sang, il avait l’impression d’être aussi angoissé que s’il allait se retrouver en face d’Eva Longoria pour lui avouer qu’il avait souvent fait des rêves érotiques où elle et lui se retrouvaient sans cesse… bon, c’était un peu ça, sauf qu’Eva Longoria s’appelait Mareva Warner et n’était pas une star sur qui on fantasmait. C’était une étudiante sur qui van Stexhe fantasmait parfois, mais ça, elle n’était pas censée le savoir, alors il souffla un grand coup pour se donner une contenance, referma un bouton du col de sa chemise – jusque là, il y en avait quand même trois d’ouverts et il était sûr que deux boutons ouverts, c’était suffisant – puis il ouvrit la porte en essayant de sourire poliment.


    "Entrez, miss Warner, je vous attendais…"

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} Empty
MessageSujet: Re: You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} EmptyJeu 21 Juil - 16:04

Ce moment Maréva l'avait attendu depuis un certain temps, en même temps elle avait monté ce plan de A à Z, disons que là elle était à la lettre "Q", oh tout de suite, je vous imagine partant dans vos délires, comme ci que Maréva n'était branché que sur cela, et bien oui vous aviez raison les amis.
Aujourd'hui tout était mis en avant pour monter la chaleur entre Alcide et Maréva, même la météo était au rendez-vous, la chaleur allait augmenté sous tous les sens du terme, la jeune felme se languissait de plus en plus à l'idée de voir Alcide, tout son corps était en ébullition.
Elle avait bien sûr mis tous ces atouts en valeur, là voilà une fois de plus très courtement vêtue. Elle était habillée de manière très provocante, étonnant n'est-ce pas ? Avec un short en jean qui se coupait en dessous de son fessier, accompagné d'une brassière de sport rouge mais pour la jouer innocente Maréva avait misé sur de simples basket montantes noires, ça c'était la touche qui faisait comprendre que c'était une fille très "inattendue". Bien sûr elle n'avait pas hésité à se mettre juste avant de frapper à la porte du professeur un coup de brumisateur d'eau histoire de rendre son corps bien luisant. Elle détacha sa longue chevelure et la déposa en grande majorité sur sa poitrine, se remit un coup de gloss histoire de rebooster ses lèvres pulpeuses.

L'affaire était dans le sac, côté séduction elle était au top et elle savait très bien que ce comportement avait le don de troubler Alcide, hummm que c'est bon de sentir excitante. Bien sûr elle avait pas oublié de prendre le fameux tee-shirt qu'Alcide lui avait prêter lors de cet accident au café. Ce dernier avait tout de même était lavé par els soins de Maréva mais elle y avait ajouté sa petite touche à elle en pulvérisant durant une semaine tout les jours son parfum Black Xs de Pacco Rabanne, ce parfum à la fois féminin mais aussi très fort. Après tout il fallait bien que la belle laisse son empreinte partout. Maréva avait beau prétendre ne pas être superficielle, parfois beaucoup d'idées pouvaient mettre en doute ses convictions ... plus on la connaissait plus elle intriguait car de nouveaux traits de son caractère apparaissait, la jeune fille avait vraiment beaucoup de ressources dans de nombreux domaines.
Ça y est l'instant que vérité allait arrivé, enfin les "retrouvailles" avec Alcide allait s'opérer, elle était dans un état d'excitation, même derrière la porte du professeur, Maréva était en plein fantasme. Après tout elle allait quand même se retrouver seul avec ce bel étalon dans un bureau, bref un ensemble qui ne pouvait que monter l'attraction sexuelle entre eux deux. Car malgré le fait que les relations prof / élève sont interdites, ces deux-là savaient qu'en se fréquentant ils jouaient à un jeu dangereux car leur relation était loin d'être simple, elle tirait plus vers de l'ambiguïté.
Après quelques pensées coquines, Maréva reprit ses esprits et toqua à la porte du professeur qui était toutefois prévenu de sa visite aujourd'hui et entendit

"Entrez, miss Warner, je vous attendais…"

Ah cette voix, toujours aussi roque et sûre d'elle, à ces paroles Maréva entra donc dans le bureau et qu'elle fût son étonnement en le voyant si grand. Elle se serait cru dans un bureau de ministre, avouons-le elle était très charmée par le style, mais ce qui la charmé le plus c'était lui, Alcide toujours aussi propre sur lui et souriant. D'un pas décidé elle se dirigea vers lui pleine d'entrain.

Bonjour monsieur, voici enfin le retour de votre tee-shirt
, elle le sortit d'un sac plastique et lui déposa sur son bureau et des vapeurs de son parfum sortirent aussi vite de cet emballage. Elle fit un sourire en coin et se mordit les lèvres puis repoussa une mèche qui allait se dirigeait vers son visage. Puis aussi spontanée comme à son habitude, elle s'asseya sur le bureau du professeur, avec les jambes entre ouvertes.
Lavé, repassé j'ai pris un grand plaisir à en prendre soin, accompagna t'elle sa phrase d'un clin d'œil tout en caressant le tee-shirt.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} Empty
MessageSujet: Re: You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} EmptyLun 25 Juil - 13:07

    La complexité des relations humaines résidait beaucoup plus dans le non-dit et l’imagination que dans la réalité proprement dite. Alcide avait hésité à annuler au dernier moment le « rendez-vous » prévu avec Mareva Warner, mais il était trop tard. On venait de frapper à la porte de son bureau et, ayant fermé un bouton supplémentaire de sa chemise, l’homme eut besoin de prendre une grande inspiration avant d’ouvrir la porte, un sourire poli peint sur le visage.
    Devant lui, l’étudiante Gamma… plus désirable que jamais. À moins qu’Alcide soit simplement en train, une fois de plus, de se faire un film érotique mentalement… Le mini short qu’elle portait lui arrivait juste sous les fesses et semblait allonger ses cuisses… quant à son haut… il rappelait cruellement à van Stexhe que les poitrines des femmes le rendaient toujours complètement dingue. Mareva était bronzée, sa peau luisait et ses lèvres donnaient envie de mordre dedans.

    Il avait suffi à l’homme de la voir pour que lui reviennent aussitôt en tête les réminiscences de ce jour où ils avaient partagé une table dans un bar. Se faire violence pour ne pas penser à cela, vite ! c’était urgent. Il fallait que van Stexhe trouve une image mentale bien dégueulasse pour éviter de repenser à tout ce qu’il avait pu imaginer faire à et avec cette délicieuse jeune femme… mais aucune image mentale digne de ce nom ne put venir rapidement et quand la demoiselle s’avança vers lui pour lui rendre sa chemise, qu’elle sortit d’un sac de plastique, avant de la déposer sur son bureau.
    Il avait semblé au professeur sentir comme des effluves de parfum… un parfum envoûtant, le genre d’odeur qui vous reste en mémoire pour bien longtemps… Alcide referma la porte et, quand il se retourna pour proposer à la jeune femme un petit rafraichissement, il la vit assise sur son bureau, laissant entrevoir et deviner tout un tas de possibilités entre ses cuisses et caressant la chemise dont elle disait avoir pris grand soin.

    Alcide déglutit. À ce rythme-là, il n’allait pas pouvoir résister bien longtemps. Cette fille éveillait en lui tant de désirs qu’il n’assouvissait pas… c’était intenable, tout simplement, et il savait bien qu’il finirait par craquer. Essayant de garder la tête froide, l’homme fit quelques pas pour ouvrir le petit réfrigérateur qu’il possédait dans son bureau.


    "Je vous fais confiance pour cela, mademoiselle Warner. Voulez-vous une boisson fraîche ?" S’étant penché en avant, l’homme songea soudain qu’il était peut-être dans une position pour le moins vulnérable, comme cela. Il tournait le dos à Mareva. Cela signifiait qu’il ne la voyait pas et qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait… il ne savait pas du tout à quoi s’attendre et, à vrai dire, la lutte entre la raison et le désir, en lui, se faisait de plus en plus intense.
    Cette tension sexuelle, si elle n’était pas le fruit de son imagination, commençait très sérieusement à devenir presque palpable. Mais qu’arriverait-il si l’homme cédait finalement à ses envies ? Si tout restait discret et secret, alors cela pourrait ne rien changer… Si les choses se passaient bien, peut-être que cela pourrait se réitérer… Et si rien de tout cela n’arrivait aux oreilles de Maria O’Berkeley, Alcide était sûr qu’il en redemanderait. Toutefois, il était aussi tout à fait possible que céder à ce désir irrationnel mette van Stexhe dans l’embarras. Il suffisait que quelqu’un vienne sans prévenir dans son bureau et qu’il soit occupé à s’affairer entre les cuisses de cette superbe étudiante… ou bien, même, il pouvait se passer n’importe quoi… Réfléchir à cela était bien difficile également, à vrai dire…

    Fermant les yeux, le professeur eut un petit soupir avant de se retourner vers la jeune fille et d’ouvrir les yeux doucement, s’attendant à tout. Il tenait deux canettes de jus de fruit, pour en offrir une à la sulfureuse Gamma et l’accompagner dans cette boisson… mais il n’eut que l’occasion de se sentir à nouveau envahi par une vague d’envoûtement intense. Il sentait bien que sa propre respiration s’était faite plus profonde, il était sûr qu’on pouvait voir son torse se soulever à chaque inspiration qu’il prenait… et puis, il avait vachement chaud, d’un coup… peut-être n’aurait-il pas dû refermer un bouton supplémentaire de sa chemise…
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} Empty
MessageSujet: Re: You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} EmptyDim 7 Aoû - 18:45

Son visage, son regard et son attitude tout de lui ne faisait qu'exciter la belle brune au plus au point. Elle sentait dans son regard à la fois l'excitation mais une certaine barrière, lui interdisant de ne pas franchir une certaine limite, comme le justifier sa chemise très boutonné, voyons comme si qu'il se la jouait prude. Mais peu importe, la jeune savait très bien qu'en faisant un moindre un mouvement sensuel, l'affaire pourrait très vite conclure. Elle avança et entra donc dans son bureau, une pointe d'excitation monta encore plus en elle, tout mais réellement tout commença à la rendre de plus en plus folle. Cette situation elle la fantasmait depuis quelques mois, et là elle sentait qu'aujourd'hui elle pourrait conclure sous tous les points.
Par courtoisie comme à son habitude, Alcide proposa un verre à Maréva décidément il avait gardé un bon souvenir de la boisson et son histoire, après le café, c'est l'acte II version jus d'orange. Il s'annonçait bien plus chaud que l'acte I. Pour servir la brunette, alla dans son petit réfrigérateur, lui tournant ainsi le dos ... une occasion en or n'est-ce pas ? Maréva l'avait bien compris et en profita donc pour sortir le rôle de tentatrice.

Dès lors le dos tourné, la belle s'asseya sur la table du bureau et croisa ses jambes, enlevant sa brassière se retrouvant alors avec un simple soutien gorge rouge vif, rendant le visuel plus que jouissif ... même elle s'excita à la propre vue de sa poitrine si bien dessiné. Elle prit également toute sa chevelure et la metta dans son ensemble du côté gauche et au passage elle se mit un gloss rouge vif. L'affaire allait-elle effrayé ce cher professeur en se retournant ou au contraire allait-il sauté sans hésité ?
Une chose est sûre il devait s'attendre à un coup vicieux de la belle car il mettait énormément de temps à sortir de simple canette d'un frigo, c'est qu'il la connaissait bien quand même cette chère élève.
Quand il se retourna enfin, de suite la sulfureuse brune lui fit un sourire et un regard aguicheur et lui glissa


Je pense qu'on a assez attendu comme çà non ?!
Puis prit une mèche de sa crinière brune avec sa main et la tourna, son autre main quand à elle était entrain de frôler sa cuisse droite, puis elle leva les sourcils sous entendant un appel à ce bel étalon de prof.
Une chose était sûre c'est que Maréva n'en pouvait plus d'attendre, bien sûr elle craignait quelque peu de se faire vite rembarré et c'est pour cela qu'elle restait à ses yeux sur la réserve car à la base dans sa nature elle se serait directement jeté sur lui quand il était près du frigo. Entre le mystère et l'attraction sexuelle, Maréva avait son cœur et son corps qui était entré en ébullition. Ces sensations étaient quelque peu inédites car tout était entre les mains d'Alcide.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} Empty
MessageSujet: Re: You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} EmptyMar 9 Aoû - 18:00

    Alcide était un homme d’une nature généreuse et bien élevée. Aussi lui semblait-il parfaitement normal de proposer une boisson rafraîchissante à Mareva, compte tenu des températures époustouflantes qui sévissaient ces derniers temps à San Francisco. Et puis là, alors qu’il s’apprêtait à servir un jus de fruit à l’étudiante Gamma, l’homme se rendit soudainement compte qu’il avait peut-être fait une erreur en tournant le dos à cette jeune femme. Il pouvait s’attendre à tout, il le sentait… et s’il avait craint qu’elle serait juste derrière lui, prête à lui sauter au cou dès qu’il se retournerait, ce ne fut pas vraiment ce qui se passa.
    Oui, il mit beaucoup de temps à se retourner, parce qu’il s’attendait à se retrouver plaqué contre le réfrigérateur, parce qu’il se doutait que la chaleur due à la saison allait vite s’agrémenter d’une toute autre élévation de température… et, de fait, lorsqu’il fit enfin face à la demoiselle et qu’il ouvrit les yeux, il resta figé sur place.

    La belle était installée à son bureau, ne portant plus que son mini-short et un soutien-gorge affriolant dont la couleur s’accordait à ses lèvres. Un frisson parcourut l’entièreté du corps de l’enseignant. Il le sentit courir le long de son échine, comme pourrait le faire une goutte de sueur froide, traversant son dos de haut en bas et provoquant des sensations glacées dans certaines zones de son corps.
    Van Stexhe se mordit brutalement la lèvre inférieure, jusqu’à avoir en bouche le goût métallique caractéristique du sang. Il avait l’impression d’être dans l’un de ses rêves érotiques récurrents… ceux où il s’envoyait en l’air avec une jolie jeune femme dans son bureau, multipliant les positions et les sensations, ne se laissant guider que par l’instinct et le plaisir… et les paroles de Mareva lui prouvèrent que cet instant était au moins digne de figurer dans toute anthologie des rêves érotiques d’Alcide…


    "…" Bon sang ! il ne savait pas quoi dire. Son regard faisait le passe-passe entre les lèvres rouge vif, la poitrine ferme qui moulait ce sous-vêtement rouge et la cuisse droite que ne cessait de caresser une main fine qu’il imaginait très bien sur son propre corps… et ce geste d’enrouler une mèche de cheveux… c’était carrément hypnotique…
    L’homme finit par poser les deux jus de fruits pour avoir les mains libres. Il glissa un doigt entre le col de sa chemise et son cou, comme pour essayer de mieux respirer, mais ce n’était pas très efficace, aussi dut-il rouvrir le troisième bouton de sa chemise, laissant deviner le haut de son torse tout en parvenant enfin à stabiliser peu à peu sa respiration…


    "Miss Warner… je… suis désolé si je vous ai fait penser que…" Alcide perdait de sa superbe, dans cette situation. Il ne trouvait plus ses mots et les sensations qui inondaient son ventre semblaient lui ôter toute capacité réflexive.

    Coucher avec une étudiante ici, ce serait une erreur. Une faute professionnelle… le genre de truc qui pousserait très vite Maria à foutre Al à la porte, avec des cartons contenant tout ce qui se trouvait dans ce bureau… mais, en même temps, Mareva avait raison, ils n’avaient jamais cessé de se tourner autour, même si tout avait commencé par des approches diverses de la jeune femme. Elle était désirable et elle le savait très bien. Il n’y avait qu’à regarder sa poitrine…
    Le corps de l’homme sembla se mettre en mouvement tout seul, comme si son côté raisonnable avait disparu dans cette attitude hypnotique de la jeune femme. Il s’approcha d’elle sans même se rendre compte qu’il jouait avec le feu…
    Van Stexhe marchait lentement vers Mareva, déboutonnant sa chemise pour finalement la jeter au hasard dans son bureau lorsqu’il ne fut plus qu’à une cinquantaine de centimètres de l’étudiante Gamma.


    "Oscar Wilde l’a si bien dit : le seul moyen de se libérer d’une tentation, c’est d’y céder…" Il s’approcha encore et posa la main gauche sur la main de la jeune fille, cette main qui effleurait sa cuisse depuis tout à l’heure… "Vous avez raison, miss Warner… Nous n’avons que trop attendu…"

    Alcide vint se placer entre les cuisses de la jeune femme. Il ne quittait plus son visage des yeux et ne put s’empêcher de passer le bras droit dans son dos pour attirer la demoiselle contre lui, laissant son entrejambe entrer en contact avec le sien, laissant ces barrières de tissu empêcher tout autre contact que cette proximité à la fois frustrante et excitante… alors il se pencha pour embrasser ces lèvres d’un rouge si vif qu’il se demandait bien comment il avait pu résister jusque là…

770 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} Empty
MessageSujet: Re: You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} EmptyMar 9 Aoû - 22:41

Son rôle de séductrice Maréva savait toujours le manier avec beaucoup de doigter, elle comprenait comment se gérer face à un homme. Au fond elle sait que tous les hommes ont les mêmes désirs et fantasmes, mais que tous ne réagissaient et n'avaient pas la même maturité. Alcide il n'y avait pas à dire c'était son fantasme dès l'instant ou elle l'avait croisé dans un couloir de la faculté. Il représentait le prototype même du garçon de ses rêves, le genre de mec à être viril, mature et très expérimenté avec lui elle savait qu'elle pourrait vivre de nouvelles expériences et interdit. Le moment donc enfin venu pour elle de coucher avec était arrivé, tant dans son regard que dans tenue tout était mis en œuvre pour qu'il ne puisse pas résister.

Bien sûr elle vu dans son regard une certaine hésitation, mais l'instinct était si enivrant qu'elle ressentait même l'excitation de sa part. Sa chemise devait la collait tellement la température avait monté car il l'avait déboutonné quelque peu, puis essaya de mettre une barrière mais très vite elle vu que cet instant de réflexion de la part de ce professeur fût très courte.
Même la belle fût agréablement surprise, elle s'attendait à d'avantage de gros barratin sur les histoires professeur / élèves etc ... mais que voulez-vous Van Stexhe après l'ombre d'un regard sortit une de ses phrases bien philosophiques qui faisait comprendre que l'heure avait sonné, et qu'il était temps de passer aux choses intéressantes.
Il retira rapidement sa chemise la lançant par terre, ce geste mit Mareva dans tous ses états, elle le voyait telle une bête sauvage, elle le regarda d'un œil insistant qui faisait comprendre qu'elle avait envie de lui, elle se caressa la poitrine avec la main avec laquelle elle jouait avec ses cheveux, la belle resta silencieuse et savoura ce moment si orgasmique.A cet instant on sentait que pour eux plus rien n'existait au monde mis à part ce bureau et la scène qui s'y déroulait. Depuis le temps que ces deux se cherchaient et se tournaient autour, enfin le moment était venu de faire parler le corps, tels deux adolescents, l'atmosphère qui régnait dans le bureau était digne d'un film plus qu'érotique


Alcide la regarda et se rapprocha d'elle, tout dans son allure faisait comprendre qu'il n'allait pas faire son timide, il lui ouvra donc davantage son entre jambe pour s'y mettre pour se rapprocher de son corps. Puis il continua pour la prendre par derrière via ses mains pour la coller contre son torse si bien bâtit. Elle sentait la chaleur qui se dégageait de ces deux corps, l'excitation ne faisait qu'augmenter, la tension était plus que palpable on sentait que les choses allaient devenir plus qu'animal, comme souvent Maréva avait fantasmé. Très vite Alcide l'embrassa et le baiser fût plus que langoureux, on voyait que entre eux ce geste était une évidence. Maréva retira ses lèvres des siennes puis mit un doigt sur la bouche d'Alcide et elle le regarda avec un désir qui se lisait très facilement dans ses yeux.

Pfiouuu, juste en m'embrassant tu me donnes envie, alors je n'imagine pas le reste.
D'un bon elle entrelaça ses jambes sur le bassin du professeur, lui prit la nuque puis l'embrassa le long du coup en lui caressant ces cheveux poivrés sel, puis descenda ses caresses jusqu'à son torse et commença à ouvrir sa ceinture.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} Empty
MessageSujet: Re: You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} EmptyMer 10 Aoû - 13:33

    Alcide était en train de commettre une erreur. Il le savait très bien, mais il n’arrêtait pas pour autant. Mareva était une fille tout ce qu’il y a d’attirant et il avait très vite commencé à la désirer. Alors, évidemment, chaque fois qu’elle était passée près de lui, dans un couloir, et qu’elle faisait expressément tomber des papiers afin de les ramasses en dirigeant ses fesses vers van Stexhe, chaque fois qu’elle le frôlait ou qu’elle tirait sur son décolleté pour passer à côté de lui, l’homme n’avait jamais pu faire autrement qu’alimenter ce désir coupable avec ces nouvelles images qui avaient tendance à lui rester dans la tête durant bien plus de temps que ce qu’il aurait voulu…
    Aujourd’hui, tout avait concordé pour qu’enfin ce désir puisse être assouvi. La chaleur avait poussé la jeune femme à se vêtir de manière légère, ce qui mettait d’autant plus son corps en valeur… et lui, eh bien, il avait beau avoir tenté de résister dans un premier temps, à présent Alcide écoutait son corps plutôt que sa raison.

    C’est ainsi qu’il s’était retrouvé torse nu, entre les jambes de la belle… C’est ainsi qu’il en était venu à l’embrasser, prenant le temps de bien goûter ces lèvres pulpeuses qui avaient toujours semblé, finalement, n’attendre que ça… et quand la jeune femme mit un terme à ce baiser, posant un doigt sur les fines lèvres de l’homme et plongeant son regard dans le sien, Alcide sut qu’il ne pourrait plus faire marche arrière. Les paroles qu’ajouta Mareva ne firent qu’ajouter plus encore au désir de van Stexhe qui sentait chaque partie de son corps ne vouloir qu’une chose : se blottir contre celui de la belle et ne faire plus qu’un avec elle.

    L’étudiante enceignit de ses jambes le bassin de l’enseignant, l’emprisonnant entre ses cuisses et se collant plus encore contre lui, déposant çà et là des baisers tout au long du cou masculin tout en lui caressant les cheveux… Alcide s’était mis à frémir, puis à trembler de désir. Il la voulait et si l’imagination ne lui avait pas joué des tours durant tout ce temps, ce désir était partagé depuis pas mal de temps.
    Sentant les caresses sur son torse, van Stexhe ferma les yeux. Il voulait essayer de conserver en mémoire chaque instant de ce qui était en train de se passer… et quand il sentit les mains de la belle descendre jusqu’à son bas-ventre et commencer à ouvrir la ceinture qui fermait son pantalon, l’homme rouvrit les yeux pour, à son tour, découvrir le corps de la jeune femme, à l’aide de caresses. Il ne tarda pas à passer les mains dans le dos de Mareva, pour ouvrir ce soutien-gorge rouge qui maintenait prisonnière une poitrine bien galbée dont Alcide n’avait que trop rêvé. Et là, penché près de l’oreille de la jeune Gamma, le professeur ne put retenir quelques mots.


    "J’ai l’impression d’être un gosse qui a attendu pendant des mois et des mois de recevoir un cadeau dont il rêvait depuis longtemps !"

    Oui, il s’agissait bel et bien d’un aveu. Alcide venait, très clairement, de dire à Mareva qu’il y avait pas mal de temps qu’il avait envie de coucher avec elle. Et il ponctua ces révélations – qui, au fond, ne devaient pas tellement en être, puisque le malaise que ressentait van Stexhe chaque fois qu’il voyait miss Warner venait bien de ce désir – par un baiser déposé au creux du cou de la belle, tandis que sa main droite passait sous la dentelle colorée du soutien-gorge, accédant désormais à la poitrine de la jeune femme.
    Il la laissait s’occuper de lui comme elle le souhaitait. Les préliminaires avaient leur importance aux yeux d’Alcide, c’était un moment privilégié pour découvrir l’autre de manière concrète et lui, il aimait beaucoup caresser et se sentir caressé. Après cela, il adorait porter la bouche à un tas de zones stratégiques, avec une très nette préférence pour la poitrine, qu’il ne pouvait jamais s’empêcher d’adorer…

667 mots

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} Empty
MessageSujet: Re: You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} EmptyLun 15 Aoû - 15:38

Vous connaissez cette impression ? L'impression de se sentir épanouie et droguée... on dit que quand on laisse le désir s'installer avec le temps il devient encore plus excitant. C'était ce qui se produisait à cet instant précis, le désir qu'il y avait eu durant tout ce temps était enfin sur le point de s'épanouir telle une fleur, au début elle petite renfermée et plus on l'arrose plus elle devient belle et une fois ouverte elle est magnifique, la métaphore est certes poussée mais là c'est que Maréva ressentait à force de séduire, une bonne relation était né entre eux et aujourd'hui c'était le moment tout deux s'ouvraient l'un à l'autre.

A cet instant, tout devenait simples et excitant enfin on passait à l'étape supérieur et dans le regard et les paroles d'Alcide on découvrait que lui aussi avait bien sûr toujours "rêvé" de ce moment. Entre ses caresses et ses longs regards tout voulait dire qu'il était juste au septième ciel, alors la suite ne pouvait s'annoncer que prometteuse. Quand caressait ou effleurait à peine la peau de Maréva, cette dernière était encore plus excité, rare fût les moments où elle se sentait si désirable et séduisante. Elle a l'habitude à ce qu'en général les hommes aillent vite avec elle, les préliminaires elle les connaissaient presque pas, mais avec Alcide tout était différent.
On sentait qu'il voulait profiter du moment et dans tous les actes et ça elle adora au maximum, c'est donc bien la preuve que les hommes plus "âgés" sont bien plus intéressant sur ce point.

Il lui dégraffa ensuite son soutien gorge, poitrine à l'air elle ressentit une fois de plus la satisfaction de son corps dans le regarde du professeur. Lui même certifia qu'il était heureux d'enfin passer à l'acte, et intérieurement Maréva fût touché, certes ce n'était pas une déclaration d'amour, mais c'était un minimum de respect, ça changeait des rituels phrases du type "comment t'es trop bonne".
Elle le regarda avec un regard différente de d'habitude comme un remerciement et sortit ces quelques mots:

Moi aussi si tu savais depuis quand je te voulais, c'est comme un vœu qui se réalise.

Elle souria comme une petite fille gênée, cette attitude était bien inhabituelle de la part de Maréva, elle qui à la base est si dure et sûre d'elle, on sentait bien qu'elle craquait pour cet homme et que ce n'était pas juste au fond un simple fantasme, au fond d'elle, bien sûr elle le savait mais elle essaya de très vite oublier le peu de sentiments qu'elle avait pour lui sur le moment pour ne pas trop se mettre à découvert. Ces caresses étaient tellement sensuelles et douces qu'elles ne pouvaient pu y rester très insensibles, la sauvagerie elle avait beau adorer, elle comprit aussi que la douceur était tout autant érotique.
Elle le rembrassa alors aussitôt et continua ses baisers le longs de son coups et de son corps et elle sentit une autre partie s'endurcire et commença sans la moindre hésitation à le toucher, tout en gardant une main sur son dos en l'appuyant très fort.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} Empty
MessageSujet: Re: You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot} EmptyJeu 18 Aoû - 13:56

    Il existe parfois des moments dans la vie où l’on aimerait pouvoir connaître les pensées d’autrui. Ce moment avec Mareva Warner en faisait partie. Alcide savait qu’elle le désirait, cela se sentait, c’était une évidence… mais il ne savait pas ce qui était en train de se passer dans la tête de la jeune femme et ça, il aurait donné cher pour le savoir ! N’était-ce que du désir entre elle et lui ? Y avait-il autre chose ? Van Stexhe devait-il – ou plutôt « pouvait-il » – ne serait-ce qu’espérer qu’il y aurait d’autres moments pareils avec cette étudiante ? Au fond de lui, Alcide était un peu sentimental pour ces choses-là. Bien sûr, il aimait pouvoir juste tirer un coup de temps en temps, mais quand le jeu de la séduction avait duré et perduré si longtemps, il appréciait énormément pouvoir remettre le couvert à plusieurs reprises.

    Toutefois, il n’était peut-être pas nécessaire de se poser tant de questions. Mieux valait sans doute profiter pleinement de ce à quoi van Stexhe avait droit en ce jour, sans se faire d’illusions sur une suite ou sur une éventuelle prochaine fois. Facile à dire.
    Oui, Alcide avait très tôt commencé à désirer Mareva. Peut-être l’avait-elle senti, peut-être était-ce lui, au fond, par un regard, un sourire ou un geste quelconque qui avait laissé entendre à la jeune femme que tout était possible… si c’était le cas, il avait bien fait. De plus en plus, il se demandait bien pourquoi il avait tenu à résister si longtemps à la tentation… mais à la réflexion, cela rendait peut-être les choses plus intéressantes encore : l’attirance n’avait fait que se développer et évoluer, faisant grandir le désir et rendant les rencontres difficiles à gérer. Le fantasme était un phénomène agréable, mais terriblement dérangeant dans certaines situations. Heureusement pour Alcide qu’il ne donnait pas cours à miss Warner, sinon, il aurait très certainement eu quelques difficultés à gérer ce désir qu’il avait vis-à-vis de l’étudiante Gamma.

    Bien qu’il ait toujours multiplié les conquêtes, van Stexhe avait toujours mis comme un point d’honneur à rester un homme doux. Certes, la bestialité de temps en temps, cela avait ses avantages et c’était un bon changement pour éviter la routine, mais la première fois avec une femme se devait d’être une première fois où tout coulait de source, où les deux partenaires pouvaient se découvrir en prenant leur temps, en ne brûlant pas les étapes et, surtout, en créant petit à petit une certaine confiance entre eux. Ainsi, le moment précédant l’acte d’union, tout comme le moment qui suivait cet acte, était un moment privilégié pour Alcide. Jamais il n’avait quitté une femme directement après avoir couché avec elle. Il tenait à prolonger l’intimité qui s’était nouée, il aimait prendre soin de celle qui lui avait procuré du plaisir.
    Cela passait aussi bien par les gestes que par les paroles. Aussi, le quinquagénaire fit-il part de ses ressentis à Mareva, lui révélant qu’il avait longtemps attendu cet instant, puis il l’embrassa dans le creux du cou tout en aventurant la main pour caresser le galbe de la poitrine nue de la jeune femme. Et là, croisant le regard de la belle, l’homme eut droit, lui aussi, à une révélation du même ordre que la sienne. Un vœu qui se réalisait… L’image était forte aux yeux d’Alcide, mais les propos de l’étudiante lui firent surtout l’effet d’une vague de chaleur inondant soudain tout son être. Et elle l’embrassa avant de continuer à déposer des baisers sur son corps.

    Van Stexhe ferma les yeux un instant. Il ne fallait plus réfléchir, il fallait juste se laisser aller et profiter pleinement de l’instant présent. Il caressait la poitrine juvénile, sentant sur son propre corps les caresses prodiguées par sa partenaire, puis, laissant descendre ses deux mains, il les guida vers la fermeture du mini-short de jean que portait miss Warner, toujours installée sur son bureau et collée contre lui.
    Evidemment, Alcide étant humain, il ne pouvait pas faire semblant d’être insensible aux bons soins prodigués par la belle. Et puis, même s’il l’avait pu, il ne l’aurait certainement pas fait. Le moment où son sexe durcissait et s’érigeait, c’était l’un de ces instants ineffables où le désir devient réellement palpable. Un instant un peu magique, où le corps traduit les pensées…


    "Mareva… tu me laisses te goûter ?"

    La saveur de chaque femme était différente et l’homme aimait laisser sa bouche et sa langue découvrir la saveur intime de chacune de ses partenaires. Ça n’avait rien d’une manie, cela faisait partie de son schéma de préliminaires. Parfois, il parvenait même à amener une femme à la jouissance uniquement en lui prodiguant son savoir-faire en matière de cunnilingus. Dans ces cas-là, il dégustait vraiment les sécrétions, appréciant aussi de voir sa partenaire se cambrer, se mordre la lèvre, gémir et finalement afficher ce visage très caractéristique de l’instant libérateur.

817 mots
Revenir en haut Aller en bas

You were so sexy in my shirt… [Mareva] {could be hot}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Sujets similaires

-
» Un tee-shirt oublier [David ]
» Un T-shirt bleu ça aurait été mieux [PV Heather]
» La file d'attente selon Maréva [with Dodger Williams]
» Concours Miss Berkeley tee-shirt mouillé (OPEN to everybody)(After)
» Une pause café peut cacher bien des surprises [Mareva]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-