the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

Partagez

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Empty
MessageSujet: Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. EmptyMer 29 Juin - 10:17

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Tumblr_ln2o7rYExQ1qk0njpo1_500
U.C

Francesca avait un peu la gueule de bois aujourd'hui aussi. Parce que comme d'habitude depuis ce début de vacances et depuis qu'elle s'était sévèrement disputé avec Gusto, Francesca passait son temps dans les soirées comme au bon vieux temps, à boire encore et encore et à rentrer à pied, en traversant les campus comme elle le pouvait (en effet elle évitait les fêtes en dehors de l'université, pour rentrer c'était nettement moins pratique). Elle y allait seule la plupart du temps et rentrait chez elle, seule, c'est important de le préciser. Elle ne se reconnaissait plus tellement et si elle continuait ainsi, sa troisième année s'annonçait fichue d'avance, elle le savait bien, puisqu'elle avait passé sa première année à trainer dans les fêtes et elle n'avait du son passage en seconde année que grâce à son père.

Tiens parlons-en un peu de celui-là. Pouvait-il sérieusement être qualifié de "père". Voilà bientôt deux ans que Francesca avait était mise "à la porte" pour rentrer à Berkeley t elle ne l'avait jamais revu. Elle l'avait eu au téléphone, notamment quand elle avait eu le petit souci cité au dessus mais rien de plus. Il se contentait de lui donner de l'argent, de subvenir à ses besoins et aussi a ceux de sa fille il avait l'audace de croire que son boulot de père s'arrêtait là. Et c'était ainsi depuis les neufs ans de la jeune femme, alors après comment voulez-vous qu'elle puisse s'attacher à un homme alors que le "premier homme de sa vie" lui avait refusé son amour? Elle savait que dans les derniers évènements qui s'était passé avec les hommes, c'était sa faute,, mais si elle avait tant peur que ca de s'engager, tant peur de ses sentiments, c'était à cause de son père.

Quoi qu'il en soit, après une bonne douche, le mal de crâne de Francesca commença à s'estomper, maintenant qu'elle recommençât à prendre l'habitude de l'alcool, les effets devenaient de moins en mois difficile à supporter. Elle décida d'allée faire un tour dans le parc de l'université, histoire de prendre un peu l'air avant d'attaquer une journée aussi monotone et ennuyeuse que les autres. Sans sa grande complice Stiyzanna' qui devait s'occuper de ses histoires, la jeune femme s'ennuyait assez en cette période de vacances. En tout cas elle continua de marcher sans avoir vraiment aucun but, et son taux d'hormone monta en flèche quand elle aperçu du beau de ces yeux de biche un certain Key’.... Sa relation avec Key’était plutôt étrange, ils s’aimaient bien amicalement parlant, quoi que pas plus que ca ils n’étaient pas amis, mais ils ne se détestaient pas non plus bien au contraire, mais c’était surtout très ambigüe entre eux, oh oui beaucoup. En fin de compte tous cette attirance était arrivé de suite, ils étaient ensemble a une soirée il y a peu de temps, puisque Key’ n’est pas a Berkeley depuis bien longtemps, donc ils étaient ensemble et ils ont de suite été attiré l’un vers l’autre d’ailleurs un coup dans le nez et hop ils étaient déjà bouche à bouche en train de s’amuser. Mais ils n’avaient pas été plus loin, d’ailleurs elle ne se rappelait même plus pourquoi, pour que Francesca n’aille pas au bout avec un homme c’est qu’elle avait de bonne raison, parce que sinon elle est prête a tous pour avoir ce qu’elle veut, oui depuis qu’elle avait eu sa fille et qu’elle avait été trahis par son « petit ami » elle n’accorda plus aucune confiance en aucun homme, les hommes jouent avec les femmes et pourquoi pas l’inverse ? Voila ce que se dit Francesca avant de devenir une adepte des nuits sans lendemain.

En ce moment Francesca était au plus mal, les parents Pelizza Da Volpedo était avaient débarqué à Berkeley, non non surtout pas pour une visite de courtoisie se serait trop demandé, enfaite, ils étaient venu tout droit d’Italie pour récupérer la fille de Francesca, sont petit être qu’elle avait porté pendant neuf mois et qui avait maintenant partager sa vie depuis 3 ans, Francesca était tellement dans un état de nerf, comment pouvaient-ils lui prendre sa fille, la sienne, celle qu’elle était en train d’élever voila ce qu’elle se dit la première semaine, un état de rage qui empiété sur la raison, mais enfin de compte Fran’ se dit que ce n’était pas plus mal, en Italie elle aurait une vrai vie de famille tandis qu’içi elle n’était pas vraiment dans un endroit stable et équilibré pour une petite fille de 3 ans. Elle pensée à elle chaque jours, elle se promit d’ailleurs d’aller la voir autant de fois possible, avec l’argent tout est possible, elle n’aurait donc pas de mal. Mais ce qui lui faisait le plus mal c’est que pour une fois, la petite fille chérie de ces parents était à présent le petit vilain canard de la famille, d’habitude c’était Augusto, mais la, la done avait changé et elle s’en sentait vraiment mal, et c’est d’ailleurs pour cela qu’elle avait prévu d’aller voir son frère un de ces quarts pour lui parler de ce qu’elle ressentait, mais ce n’était peut-être pas une bonne idée vu la relation négative qu’ils entretenaient. Enfin bon pour le moment elle était la devant Key’qui se dirigeait vers elle.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Empty
MessageSujet: Re: Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. EmptyMer 29 Juin - 23:32

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Tumblr_lngr17YVXc1qk04dgo1_500

Plus la fin de l'année s'approchait, plus le rituel du lever du matin était dur et était retardé au maximum. Je devrais suivre mes cours vu que l'année était loin d'être finie mais c'était trop dur. Je me levais tout le temps avec la gueule de bois, vu que je participais à toutes les fêtes du campus, sachant que les autres dans San Fransisco j'y allais moins, j'avais pas envie d'avoir un accident et d'abimer ce si beau visage et ce corps si parfait. Prendre la voiture après même deux ou trois verres, c'était risqué. Et lorsqu'on est beau comme moi, on prend pas le risque de pouvoir se manger des bouts de verres dans la g*eule et ensuite ressembler à Mickey Rourke. J'avais passé la moitié de mon année dans les fêtes, et c'est assez difficilement que j'allais valider mon année, si il est acquis que je la valide. Ca me ferait graaaaaaaaaave chier de devoir reprendre cette année et donc refaire la même chose que cette année l'an prochain. En clair, that sucks. Peut être qu'un petit échec scolaire ferait réagir mes chers parents qui ne se sont pas inquiétés de moi depuis une belle petite année à vrai dire. Ils n'avaient aucune idée de qui j'étais à vrai dire. Ils ne savaient pas que je m'étais marié à Las Vegas. Ils ne savaient pas que Coleen, qui m'avait épousé là bas, était morte, et qu'elle s'était suicidé. Ils ne savaient pas que depuis ce jour, j'avais l'impression de ne plus rien ressentir comme sentiments positifs, mis à part deux. L'amitié, que je connaissais avec Ethan ou avec Gabriel. Et les plaisirs charnels, le plaisir de se sentir vivant en couchant avec une femme. Je ne croyais pas en l'amour, ou tout du moins plus. En couchant avec des femmes, je me sentais vivant. Et c'est pour ne plus risquer de ressentir quelque chose de plus fort qu'une simple attirance pour la gente féminine, que je couche avec plein de filles différentes. L'attachement, c'est le premier pas vers l'amour. Et l'amour entraîne la jalousie. Et la jalousie entraîne la haine. Et la haine entraîne la souffrance.

C'est après une douche froide que mon mal de tête due aux bouteilles d'alcool de la veille s'estompa quelques peu. L'alcool était mon meilleur pote le soir et mon pire ennemi le lendemain matin. Mais c'était une amitié qui marchait, donc pas de problèmes entre nous. Puis, ca ne faisait que quelques mois que j'étais un assidu des fêtes du campus et plus j'y allais, plus les effets se faisaient moins prise de tête au réveil. C'était seulement depuis que Coleen m'avait quitté mais surtout depuis qu'elle s'était suicidé. J'avais au départ accusé le coup, même si ca ne se voyait pas vu que je préféras garder mes émotions pour moi, mais j'avais été très mal après sa mort. J'étais sur que c'était vraiment ma faute si elle avait décidé de se donner la mort. Puis, après quelques temps, je m'étais dit que je devais continuer à vivre. Que la vie continue. Aurlanne avait été là pour moi et ca avait été important. Certaines personnes seraient tombés en dépression mais ce n'était pas mon cas. Je compensais mon manque d'amour par un surplus d'aventures d'un soir et de relations sexuelles.

Ayant appelé successivement Devleo, Estevan, Gabriel et Ethan, je me demandais si il ne s'était pas donné le mot pour me laisser tomber. J'étais alone aujourd'hui. Tous mes potes avaient d'autres choses à faire. Thanks, thanks a lot, selfish basterds. Et après on se demandais pourquoi je passais mon temps dans un pieu en charmante compagnie plutot que de passer mes journées avec mes potes. Je décidais donc d'aller prendre un bain de soleil et de me balader dans le parc. Marchant lentement avec mon t-shirt bleu et mon bermuda bleu, ainsi que mes lunettes de soleil sur le nez, je marchais sans but précis. Et cela pendant environ dix minutes, jusqu'à ce que mon regard croise une demoiselle bien connue de mes yeux. Fransesca Pelizza Da Volpedo. Une longue chevelure brune, un visage d'ange cachant une tigresse. Des fesses et un déhanché à couper le souffle. Rien que pour ce corps, je décidais de me diriger vers elle. Mais ce n'était pas la première fois qu'on se rencontrait elle et moi. La première fois qu'on s'est rencontrés, c'était à une fête. On s'est tournés au tour un petit peu, on a bu quelques verres. Et rapidement, c'est bien nos langues qui dansaient ensemble. D'ailleurs, l'alcool que j'avais ingurgité ce soir là fait que je me souviens pas pourquoi nous n'avons pas couchés ensemble. C'est donc à une allure vive que je me dirigeais vers elle. Arrivé juste devant elle, j'allais lui faire la bise quand elle attrapa ma tête et m'embrassa comme ce fameux soir, nos langues se mélangeant. Je fus quelques peu surpris à vrai dire. D'habitude, c'était plutôt moi qui allumait la femelle mais ca ne me dérangeait pas d'être dans le rôle de la proie et non dans celui du chasseur pour une fois. Euh...Bonjour Fransescaaaaaaa. J'ai l'impression que ca fait longtemps, c'est le cas ou je deviens fou ? Comment tu vas toi ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Empty
MessageSujet: Re: Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. EmptyJeu 30 Juin - 11:05

[quote="Francesca P. Da Volpedo"]
Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Tumblr_ln2o7rYExQ1qk0njpo1_500
U.C

Bientôt Francesca allait partir en vacance, d’ailleurs elle avait hâte, mais elle devait survivre a ces dernières dur semaine de cour, et une fille de bonne maison comme elle ne pouvait pas se permettre de sécher les cours. Bien qu’elle en ait terriblement envie, elle se forçait à écouter ces magnifique cours de littérature, le cours était d’un ennui, une chance que le professeur lui était plus ou moins charmant ? Non carrément beau gosse, elle craquait toutes pour lui et elle ne s’en cachait pas, Fran’ elle quand a elle n’en disait rien, mais elle savait agir pour que son comportement exprime tout. Et d’ailleurs ca marche, ce n’est pas pour rien qu’une fois le campus fermer elle se retrouva seule avec lui dans la salle des profs et je vous passe les détails. En tout cas, maintenant la belle brune pouvait ajouter « Professeur canon, ça c’est fait » Mon dieu on pourrait penser d’elle que c’est une salope, mais non elle fait tout cela avec tellement de classe. En même temps elle n’était vraiment pas comme ça avant, un homme la détruit, et maintenant elle est devenue pire que les hommes. Normalement ca devrait plaire aux hommes, une femme qui s’en va avant le lever du jour, une femme qui avait pour règle de ne jamais jamais rappeler un homme. Mais apparemment certain homme était devenu plus fleur bleue et romantique qu’une femme. Francesca aimait les hommes les vraies, ce qui n’ont pas peur de détruire d’autre personne pour réussir, ou bien un homme musclé sportif, et un tantinet matcho. L’amour n’est jamais bien, ni agréable, l’amour n’est que douleur et souffrance perpétuelle. Et on s’acharne a le trouver, alors que quoi qu’il l’arrive, la fin sera la même pour tout le monde, on aime, on se déteste, on se fait mal, on souffre, et on recommence. On est même parfait un peu sado-maso sur les bords, mais c’est tellement bon…ou pas.

Francesca était toujours en vadrouille, surtout la nuit, elle ne dormait que très peu la nuit, et le jour elle devait trainer son cul en cours. Depuis qu’elle n’avait plus sa fille avec elle, elle devait compenser son absence, une chance qu’elle vivait avec Gusto et Constance, elle était toujours en train de penser a autre chose, bien sur sa relation avec Gusto n’était pas très sympathique, mais ils s’engageaient à faire des efforts tout les deux et pour le moment la jolie brune devait avouer que ca se passe plutôt bien. En tout cas elle s’entait pas mal avec Constance, mais elle passait aussi son temps avec Stiy’ et Reagan, les deux seules vraies amies filles qu’elle avait. Oui Fran’ n’aimait pas mais alors pas du tout les filles, les filles sont des pétasses entre elles, et il est hors de question que Fran’ perde son temps a se battre avec des filles. Fran’ n’aime que les garçons, voila la chose qu’elle aime le plus au monde, sa fille et les garçons. En tout cas Key’ était face a elle, et elle n’avait qu’une envie qu’il finisse une fois pour toutes dans son lit et qu’on en parle plus !

Fran’ avait été absence prés de deux semaine a Berkeley, le départ de sa fille l’avait beaucoup affecté, comment ses propres parent avait pu la forcé a ramené Lana en Italie sans même l’accord de Fran’, elle n’en pouvait plus et elle comprenait beaucoup mieux Gusto qui en pouvait plus non plus de cette famille, Fran’ s’entendais vraiment très bien avec Sandro, mais un léger froid s’était quand même interposé puisqu’elle en avait marre, avant elle était une chouchoute, une princesse pour ces parents, mais maintenant, elle était devenu le vilain petit canard de la famille avec Gusto, autant dire que la dignité de la famille en avait prit un coup avec ces deux, voila pourquoi Gusto&Fran’ c’était rapproché au détriment de Sandro&Fran, mais bon un jour ou l’autre sa reviendrai. En tout cas elle ne bougea pas et attendis que Key’ vienne a elle, une fois prés de celui çi , elle l’attrapa son visage entre ces mains et l’accueilli très mais très chaleureusement. Ce garçon était une beauté tombé du ciel, ce qu’il était beau a en faire tombé des mouches. « En effet, j’ai du terriblement te manquer, ne t’en fais pas tu n’es pas le premier et tu ne seras pas le dernier, je manque a beaucoup de personne ces temps ci et j’aime encore plus les rendre fou. Ca c’est l’effet Da Volpedo. » Francesca fit mine de sourire, et elle lâcha son visage pour récupéré une respiration normal, mais bien sur l’envie était plus forte, elle n’avait qu’une envie c’était celle de continuer. « Moi je vais très bien comme toujours, et toi alors ? dis moi ce que tu fais en ce moment pour être terriblement craquant comme ça ? Du sport ? de chambre j’imagine. » Frany se positionna contre un muret face au charmant delta.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Empty
MessageSujet: Re: Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. EmptyVen 1 Juil - 18:56

Le mois de juin, plus ou moins mon mois préféré. Il annoncait la fin du printemps et le début de l'été. Il faisait de plus en plus chaud chaque jour, et c'est donc en bermuda et avec les lunettes de soleil que je me rendais en cours la journée, et que je n'étais pas frigorifié en rentrant dans le bâtiment de la confrèrie delta avec le sang pas très frais et un peu mal à la tête. Ca ne m'avais pas empêché de passer mes soirées et mes nuits des mois précèdents dans les fêtes aux alentours de Berkeley mais c'était plus agréable de rentrer sans trembler comme une feuille. Puis, l'été ca veut dire qu'il fait chaud. Et lorsqu'il fait chaud, les demoiselles se découvrent et sortent les jolies robes d'été. J'aimais le soleil, j'aimais l'été et j'aimais le mois de juin. Le climat à san Fransisco n'était pas exactement le même qu'à Cannes, ma ville natale, mais je m'y étais rapidement adapté, surtout comparé à l'éxécrable temps de l'Angleterre. Je me plaisais vraiment ici à San Fransisco, en Californie. C'était un superbe endroit pour s'amuser et en plus, ma soeur était dans la même université que moi. Ma vie n'était pas plus heureuse ici qu'elle ne le serait à Cannes mais elle n'était pas plus malheureuse. et puis ici, je n'avais pas le droit aux remarques des parents, toujours très ironiques et avares de compliments. C'était donc déja tout décidé pour moi, les vacances ne seraient pas synonymes de retour en France, de retour à la maison. Je n'avais pas envie de voir mes parents, et ca serait surement réciproque. Surtout si c'est pour leur dire que je dois repasser mon année, ca va pas être fun comme séjour. non, j'imaginais plutôt prendre des vacances dans un lieu exotique, un endroit, un pays où je serais jamais allé. Les Bahamas, on en parlait comme d'un pays fabuleux bercé par une mère turquoise. Pourquoi pas ? Mais j'allais bien trouver quelqu'un à emmener avec moi. Peut être Aurlanne, pourquoi pas ? Des vacances en famille, surtout rien que tous les deux, ca serait le top du top.

Provocante Fransesca. Sexy Pelizza. Affolante Da Volpedo. Comment une relation entre nous deux aurait elle pu être, ne serait qu'une seconde, autre que particulièrement ambigue. Dés le premier regard, un regard de braise, j'avais ressenti une grande attirance pour l'italienne, et j'avais vu que je ne la laissais pas de marbre. C'est pour cette simple mais très bonne raison que j'avais décidé de l'aborder. On avait partagé quelques verres, on avait un peu discuté et on avait fini pas s'embrasser passionément. Un vrai baiser, comme au cinema, mais avec un plus grand goût d'alcool j'imagine. Bizaremment, même si c'était plutôt mon habitude les coups d'un soir, et qu'elle ne semblait pas indiffèrente à cette pratique, on n'avait terminé la soirée chacun dans son lit. Je me souviens même plus pourquoi nous n'avions pas couchés ensemble ce soir là. Mais, à chaque fois qu'on c'était ne serait-ce que croisés dans l'université, la température avait surement monté la température de quelques degrés. Et nous voici maintenant, faisant danser nos langues ensemble sans même s'être dit bonjour. C'était pas mal comme façon de se dire bonjour, j'adhère à cette pratique. J'en voyais qu'une meilleure et c'est dans un lit et entre quatre murs qu'elle pourrait se passer. Peut être que si je lui soumettrais cette hypothèse, Fransesca serait opérationnelle pour essayer... Elle pensait m'avoir manqué. Ah peut être que ce jli petit cul m'avait manqué, c'est vrai. Mais, peut être devrait-elle demander à Niveane ou à Rowan si elle m'a vraiment manqué mais passons. Tu as percé mon secret à jour. C'est bel et bien moi qui te suis depuis quelques jours, pour marcher sur tes pas, et éspèrer peut être sentir ton enivrante odeur entrer dans mes narines... non sérieusement, je t'avouerais que j'ai pensé à toi récemment en plus. Tu veux dire que tu vois d'autres hommes que moi ? Tu viens de briser mon coeur de jeune homme insouciant... dis je en riant. Je détournais mon regard de ce regard de faux ange qu'elle avait pour poser mon regard un instant sur sa poitrine. J'y toucherais bien.. Mais chaque chose en son temps, Keyllan Alexys Hermès-Cador. elle allait bien, me complimentais et m'allumais, je savais tout ça en une seule phrase. Si j'étais craquant grace au sport de chambre ? Possible, c'était une bonne question. Moi aussi ca va toujours très bien, tranquillement. Arrêtes tu vas me gêner. Tu es devin ou alors t'as demandé à un détective privé de me faire suivre pour savoir tant de choses sur moi ma belle ? Elle s'était positionné contre un muret, face à moi. Il y avait moins d'un mètre qui nous séparait l'un de l'autre. Un regard charmeur par ci, un sourire aguicheur par là. Je me rapprochais lentement d'elle, jusqu'à être à vingt centimètres d'elle. Je posais mes deux mains sur ses hanches et je laissais ma bouche aller jusqu'à son cou pour y déposer un baiser, avant de venir lui chuchoter à l'oreille. You look so sexy babe..
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Empty
MessageSujet: Re: Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. EmptyMer 6 Juil - 13:48

Maintenant que Francesca se retrouvais seule au monde sans enfants, ni attache, enfin attache si, il y a bien sur ses deux abrutit de frères jumeaux mais bon. En tout cas elle se retrouvais sans rien qui l’obliger a se coucher tôt le soir, ou se lever tôt le matin, a ça oui elle se couchait tôt … dans la mâtiné, après une bonne soirée alcoolisé. Francesca aimait beaucoup et même adoré beaucoup l’été tous ces corps a moitié dégarnie, les hommes en t-shirt moulant laissant apparaitre pour la plupart leurs muscle tout frais, ou pour d’autre une magnifique brioche.. Hum appétissant ou pas. En tout cas le beau Delta lui ne laissait apparaitre que le plus beau de son corps, ces bras musclé étaient autour d’elle, et elle n’en perdait pas une miette. « Daddy’s Home hehe » Voilà ce que Francesca se disait a cet instant même guettant au loin n’importe quel proie, elle était en chasse et maman avait besoin de son susucre, bon sang elle était vraiment devenu une vrai trainé, mais une trainée avec une tel classe n’existait définitivement pas. En fin de compte toutes la famille Pelizza Da Volpedo avait une classe que personne d’autre n’avait, ils en étaient assez fière, en tout cas que se soit Augusto ou Sandro ou encore donc Fran’ aucun des trois ne croyait en amour, et bien sur aucun des trois étaient prêt a se caser. Francesca était la seule a avoir vécu une histoire d’amour sérieuse et elle savait bien comment une histoire d’amour pouvait se terminé. La sienne avait très mal fini, et elle avait fini avec un ballon de foot a la place de son ventre taille fine. On dit souvent que ne pas connaitre l’amour un signe de solitude, mais que des conneries !! Depuis que Fran’ jouais la don juan elle ne s’était jamais retrouvé aussi entouré, donc solitude, très peu pour elle. C’est sur que maintenant que sa fille, oui son petit bébé de trois ans était partie elle se sentait un peu seule, oui c’est parent, superbe parent !! Avait décidé de kidnapper, oui on pouvait dire kidnapper puisque Fran’ n’était pas vraiment pour, sa fille pour l’emmener en Italie, soit disant qu’elle serait mieux élevé avec eux plutôt qu’avec Francesca, bon en y réfléchissant maintenant elle savait qu’ils avaient parfaitement raison, Fran’ aimait sa fille plus que tout au monde, mais c’est vrai qu’elle n’était pas vraiment une mère exemplaire, elle profité de sa jeunesse et de son temps perdu auparavant au détriment de sa fille qui elle n’avait rien demandé a personne.

Quand elle repense a toutes les soirées qu’elle avait passé, à finir bourré, ou encore de se réveiller dans un lit sans qu’elle sache à qui il appartenait, maintenant elle essayait de moins s’alcoolisé voir même pas du tout, elle ne buvait qu’une seule chose, oui la Pelizza Da Volpedo était devenu une adepte du champagne, pour garder les idées claire, et rien d’autre, oui un alcool de riche, mais en même temps, c’est ce qu’elle est. Une riche italienne. Face à elle se trouver le petit Keyllan, ah ! Sacré Keyllan, il n’était pas à Berkeley depuis longtemps mais elle avait déjà eu l’occasion de le rencontrer donc à plusieurs reprise, et à chaque fois les situations était identique, soirée, alcool, sexe, sauf qu’en ce qui concerne sexe, il n’avait jamais atteins la phase final. Oui ils n’avaient pas encore couché, ensemble, bien qu’elle l’avait toujours voulu. En tout cas il était face et bon sang ce qu’il était sexy, Francesca a toujours eu un faible pour les hommes aux cheveux noir corbeau, en tout cas elle aussi était très apprécie de ces messieurs, son teint typé et ses formes généreuse ne passer inaperçu pour personne pour son plus grand bonheur, elle se sentait aimé des hommes et jalousé des femmes et elle adoré ça ! Francesca n’aimait que deux choses dans la vie, sa fille et sa propre personne, oui elle était une de ces personnes à ne voir que par elle, elle n’avait pas toujours était comme ça, mais certain événement de sa vie on fait que … « Je sais je suis génial, que veux tu je sais tout. Tu sais que tu n’a pas besoin d’autant de compliquer la tâche pour me voir ou même pour autre chose, tu le sais ça hein ? » Dit-elle un sourire coquin au lèvre. « Je ne t’ai pas donné mon numéro juste pour embellir ton téléphone. Mince j’aurais peut-être dû garder se secret la pour moi alors sorry baby. Francesca était en position avant plutôt avantageuse pour ces deux jumelles situé a la poitrine, elle savait bien qu’il y jetterai un coup d’œil, 3,2,1,0 hop voila, il avait vu, il aurait voulu toucher, mais surement bientôt, elle le sentait bien. C’était inévitable un jour ou l’autre cet homme la finirai dans le lit de la belle italienne, et si elle ne l’aura pas elle peterai sa petite crise toute seule, tel une enfant pourri gaté. « Te faire suivre ?! Je suis une femme je n’ai pas besoin de ça, je m’en sors très bien par moi-même commère que je suis tu sais. Tu va rougir, sa en serais presque mignon. » Il s’approcha toujours plus proche, encore plus proche, je sentais a présent son parfum et vu où sa bouche se positionna il devait sans aucun doute sentir le miens. Cet phrase me fit avoir quelques frissons, bien sur que c’était toujours plaisant d’entendre ça, surtout pour une femme. Ni une ni deux elle décida de le prendre en main et l’embrassa langoureusement, montant légèrement sa jambe gauche pour se positionné autour du bassin de celui-ci.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Empty
MessageSujet: Re: Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. EmptyJeu 7 Juil - 17:08

J'avais plutôt l'habitude, lorsque je sortais sans belle compagnie à mon bras ou sans potes à mes côtés, d'être plutôt dans la position du chasseur. Celui qui a l'oeil partout, qui regarde toutes les personnes qui passent à côté de lui, charmant les demoiselles d'un sourire ravageur. Mais cette fois-ci, et pour mon pus grand plaisir, j'allais me retrouvé dans le rôle de la proie, du chassé. Et la chasseuse, en l'occurence, était une belle demoiselle italienne, doté d'une jolie paires de fesses ainsi que d'une poitrine qui ne demandait que de rencontrer les mains expertes de Keyllan Hermès-Cador. Ô Pelizza da Volpedo, ce soir, ma belle, tu termineras dans mon lit, je peux te le promettre bébé. Elle pouvais paraître ou tout du moins passer pour une bitch cette demoiselle Fransesca, amis on ne pouvait cacher qu'elle avait le mérité d'être une bitch remarquablement belle mais surtout remarquablement classe. Derrière ce regard et ce visage d'ange, il était sur et certain qu'il se cachait plein d'autres choses, de secrets inavouables, d'actions pas très recommandables, mais surtout c'est une diablesse, une tigresse qui se cachait derrière ce regard de braise et ce visage d'ange. Je devais m'incliner, l'italienne arrivait à faire apparaître en moi une furieuse envie de la sentir contre moi, de sentir son corps entier contre le mien et son souffle contre mon cou. Il m'avais de coucher avec certaines filles juste pour obtenir d'elles un peu d'amour physique, mais -c'était assez moche à dire- mais je trouverais que coucher avec elle, avec Fransesca Pelizza Da Volpedo, me permettrait de retirer une certaine gloire d'avoir accompli cet acte. Cela ne m'intéressait pas de savoir avec combien d'hommes elle avait déja couché avant moi, ce qui m'intéressait c'est que je seraiss on meilleur coup... Et vu les regards qu'elles me jetaient, ou comment elles me reluquaient de haut en bas, ils étaient acquis, sur et certain qu'elles désiraient la même chose que moi. Mes mains étaient bien positionnés sur les hanches de la belle, je pouvais par endroit sentir la peau douce de la belle. Evidemment nous savions tous les deux comment se termineraient cette rencontre due au hasard aujourd'hui, dans un lit, complétement nus et en train de faire l'amour. Mais il n'y avait aucun jeu aussi drôle, et beau que celui de la séduction. Tout du moins, pas à ma connaissance. La séduction est une lutte de pouvoir entre deux êtres qui recherchent la même chose mais qui désirent avoir le dernier mot sur cette partie. La séduction c'était un peu comme la vie. La vie n'est elle pas seulement une lutte de pouvoir entre les êtres, la plupart du temps des êtres du sexe opposé, qui ne cherchent qu'à amasser un certain pouvoir pour leur plaisir personnel mais surtout pour se sentir fort, se sentir plus fort que les autres personnes, les personnes qui nous entourent. Lorsqu'on a du pouvoir, les gens nous regardent en se le remémorant. Lorsqu'on n'est rien, les gens se disent qu'on est rien. C'est aussi simple que ça. Il n'y a pas de jeu plus difficile que la vie. Il n'y a pas de jeu plus excitant que la séduction. Et la lutte de pouvoir était en train de tourner en faveur de Fransesca, et je devais avouer que comme ça m'arrive rarement de ma laisser dicter ma conduite par un femme, j'appréciais bien d'être la proie, d'être celui qui est désiré par l'autre. Puis avec Fransesca, je savais que c'était clair et que l'on ne ferait que coucher ensemble. Se donner du plaisir l'un à l'autre avant de se dire bye bye. C'est pour cela que j'aimais les relations d'un soir, elles n'engagent à rien sinon de donner à l'autre ce qu'il veut. Rien de bien compliqué, rien d'engageant, juste une partie de jambes en l'air et un good bye. C'était ça ma vie, ne m'attacher à quasiment personne pour éviter de souffrir. Et pour ne pas m'attacher, Fransesca était la personne parfaite. Da Volpedo = Anti-modestie. C'était clair, net et précis que les enfants de cette famille avaient été élevés dans le but d'être les "meilleurs" si je puis dire. Je connaissais le frère number one, Sandro, c'était un pote mais c'est pas la modestie qui l'étouffait. Mais le pire du pire, c'est surement le number two, Augusto. Ce type me semblait être un tel crétin que me dire qu'il allait peut être se marier à Stiyzanna, enfin si j'ai bien compris, me répugnait ua plus haut point. Ma Stiyzanna avec ce crétin, et puis quoi encore. Ma stiyzanna, t'es dans un bon film mon pauvre Keyllan, elle t'aimera jamais, jaaaaaaaaaaaaaaaaamais. elle est trop bien pour toi. Et maintenant je me parle tout seul en plus. :out: Evidemment qu'elle ne m'avait pas donné son numéro pour embellir mon téléphone, elle me l'avait donne pour que je l'appelle, que je l'invite chez moi et qu'on asse des trucs pas très catholiques, c'était évident. Et elle avait bien raison c'était ce que je faisais d'habitude avec les autres filles. Evidemment que je le sais, j'allais justement t'appeler, je me disais qu'un grand lit comme le mien, ca serait dommage d'y être tout seul, tu ne penses pas ? Je m'étais dit que je pourrais te faire une place... PS: Oui, c'est une proposition. lui renvoyant son sourire coquin. elle se baissa légèrement -évidemment que c'était pour me chauffer qu'elle le faisait- mettant sous mes yeux sa paire de seins qu'elle n'avait pas honte à me montrer. Evidemment que j'aurais voulu ne serait qu'effleurer cette partie du corps chez l'italienne, mais chaque chose en son temps. Pour elle, je ne devais être surement rien d'autre qu'un jouet, quelque chose que l'on a sous les yeux et que l'on veut à tout prix, et pour laquelle on ferait n'importe quoi. Il y a des commèrages sur moi ? Je suis si célèbre que ça dans cette université ? Je savais qu'ici j'étais THE mec mais quand même pas à ce point là. dis je dans un rire. J'avais décidé d'embrasser son cou, toutes les femmes aimaient ça. Je fus enivré par son parfum, alors que mon compliment le fit légèrement frissonner. Elle ne se fit pas prier pour m'embrasser à nouveau et elle profita de cette nouvelle proximité pour lever sa jambe et la mettre autour de mon bassin. Il n'en fallait plus beaucoup pour que cette position en devienne assez compromettante. Tout en l'embrassant, nos langues dansant ensemble, je descendait mes mains jusqu'alors sur ses aches pour les mettre directement sur ses fesses. Des fesses parfaites à vrai dire. Lachant ses lèvres pulpeuses un instant, j'embrassais à nouveau son cou et approchait ma bouche pour à nouveau lui chcuchoter à l'oreille. C'est pas que ca me gênerait, j'aime bien l'amour du risque, mais je pense que si ca continue, dans moins de cinq minutes, on va se faire arrêter pour trouble à l'ordre public et j'ai pas trop envie de me faire mettre les menottes avec le pantalon en bas des genoux. Puis j'ai encore jamais visité le bâtiment epislon, ou ton appartement, je sais pas vraiment où t'habites... Tu m'emmènes BABE ? Une seule chose à faire mademoiselle, m'envoyer du rêve. DU RÊVE !
Revenir en haut Aller en bas
Augusto P. Da Volpedo
there's no place like berkeley
Augusto P. Da Volpedo
prénom, pseudo : Stéph'
date d'inscription : 23/02/2010
nombre de messages : 26130
disponibilité rp : constance
avatar : jamie dornan

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Empty
MessageSujet: Re: Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. EmptyDim 11 Sep - 11:38

:out:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Empty
MessageSujet: Re: Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée. Empty

Revenir en haut Aller en bas

Key&Fran'• Une histoire qui fini bien, est une histoire qui n'est pas encore achevée.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» [Hot]Cours d'histoire de l'art ou comment perturber un prof pour une histoire de sucreries...| Alcide
» L'Histoire n'est qu'une histoire à dormir debout. [Cade]
» KYLER&FRAN'• Viens faire un petit tour avec moi !
» GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient.
» Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-