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GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient.

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MessageSujet: GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. EmptyJeu 21 Avr - 9:21

GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. Jamie-jamie-dornan-1947596-100-100 & GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. Jessica-A-3-jessica-alba-20584478-100-100

La fraîcheur de cette fin de soirée m'apaisait. Vêtue d'une robe légère blanche, je laissais à la légère brise l'occasion de faire virevolter cette dernière alors je déambulais dans l'un des parcs de Berkeley qui se situait non loin de ma maison de confrérie. Je m'y rendais souvent -au moins une fois par semaine, pour être plus précise - car j'aimais ce contact avec la nature que ma mère m'avait tant appris. Cela me permettait de faire le point sur la semaine passée, et même sur ma longue année d’abscence ici à Berkeley. J'aimais particulièrement le coin du parc où je me trouvais pour y avoir passer des heures. Il avait été un peu mon refuge, ici à Berkeley, quand les heures avaient été difficiles. L'adaptation à un nouveau lieu, les bizutages répétés sur les premières années avait été autant de rites de passage difficile à franchir pour moi. Cet endroit m'avait permis d'y retrouver mon calme.
Je marchais, foulant l'herbe de mes pieds nus - j'aimais le contact de l'herbe sur ma peau, cette chatouille gracieuse et progressive - alors que l'éclairage de la pleine lune se reflétait sur ma peau, la rendant presque marmoréenne. De loin, j'étais semblable à une statut mouvante, miracle de la nuit et des éléments. J'étais totalement consciente de ne pas être comme la plupart des étudiants ici. Alors que les apparences régnait en maître sur beaucoup, que les ragots de Watch Out était une véritable bible pour d'autres, je me désintéressais totalement de ce petit bal des apparences, superficiel à souhait. Moi, je recherchais la vérité chez les autres, et cette simplicité de l'âme que j'avais, si rare et donc si magnifique, mouai non, c’était juste totalement faux, pour ma part tous ce jouait sur les apparences en particulier les miennes. J'accordais peut-être ma confiance trop rapidement mais quand la trahison pointe le bout de son nez, le pardon n'est que difficilement acquis. Cela avait toujours été ma façon de fonctionner : accorder une chance à tous mais ne pas se laisser duper par les plus malhonnêtes. C'était ainsi, à Berkeley, j'avais du m'endurcir, car sous l'apparence d'une université côté et sans histoire se cachaient des étudiants prêts à tout, et n'ayant aucun sens moral.

Mais au milieu de cette verdure, j'étais enfin à ma place, enfin apaisée. Laissant l'air frais emplir mes poumons, un sentiment de quiétude me submergea. J'aurais pu déambuler ici les yeux fermés, je connaissais chaque arbre, chaque buisson, chaque Fleur OSO . Et même si ce splendide paysage était moins bien dessiné que le jour, à cause de l'obscurité ambiante, je le distinguais avec une clarté sans pareille. Laissant retomber la main le long de mon corps, je me sentais enfin mieux, soulagée.
Certes, des fois, les apparences étaient trompeuses. Des gens que l'ont aurait pu pensé qu'ils appartenaient à la catégorie de ses fils de riches aigris se révélaient finalement bien plus intéressants qu'on ne le pensaient. C'était pour ça que je laissais une chance à tout le monde, du moins je m'y efforçais- les préjugés m'assaillaient parfois malheureusement. Mon carnet d'adresse était d'ailleurs la preuve qu'il faut se méfier des apparences. Que ce n'est pas notre popularité, ou bien même la confrérie à laquelle on appartient qui décrit ce que nous sommes. Les preuves vivantes? Il n'y avait qu'à piocher du côté de Seextine, petite Bêta influençable mais pas méchante, Matthew L. Crawford, footballeur populaire mais en vérité terriblement maladroit ou même Augusto P ; Da Volpedo, grand mec baraqué qu'on pourrait croire sans cervelle mais qui se révélait être un quelqu'un avec un fin esprit et incroyablement gentil, oui oui je parlais ainsi gentiment de mon frère pour une fois, pourquoi ? tout simplement parce que depuis quelques jours intérieurement je me sentais plus proche de lui-même si je ne l’avait pas révu depuis maintenant 1 an, nos parents me menée la vie dur, et ils m’avaient menacée plus d’une fois de venir chercher ma fille, je l’ai mettais au défis, jamais il n’oserait. La vie à Berkeley avait eu au moins le mérite d'ouvrir un peu mon esprit qui se laissait parfois avoir par des stéréotypes surfaits. J'étais assez humble pour pouvoir me remettre en question certaines fois, et j'avouais mettre laisser avoir parfois par ce petit bal des apparences, pas tellement vis-à-vis de mon comportement, mais plutôt vis-à-vis de ma vision des autres. Remettant mes ballerines, je me décidais à rentrer, car il ferait bientôt totalement nuit et bien que les quelques éclairages se soient mi en route, la visibilité était devenue moindre. Je connaissais minutieusement chaque parcelle du parc, voilà pourquoi mes pas se faisaient assurés et pressants. Jusqu'à ce que... une pierre qui ne devait pas se trouver là visiblement eu raison de ma cheville fragile. En effet, à cause de mes nombreuses chutes, ma cheville avait tendance à se tordre très facilement, ce qui augmentait la fréquence de mes chutes d'ailleurs, pour ne rien arranger. Sans que j’aie eu même le temps d'essayer de rétablir mon équilibre précaire, je me sentais perdre ma position fortement ancré dans le sol. Je chutais. Encore. « Merdeeeeeeeeuh » C'est dans un cri perçant que j'atterris dans un buisson qui se situait seulement à quelques centimètres. Mon corps tordu dans une position bizarre, j'essayais sans résultat de me tirer de ses feuillages hostiles. Décidément, maladresse, quand tu nous tiens.
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Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: Re: GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. EmptyJeu 28 Avr - 16:02


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    « Augusto, conduis-nous jusqu’à l’université. Nous voulons parler avec ta sœur. » Le ton impérieux de cette chère maman Pelizza Da Volpedo se fit entendre dans l’habitacle de ma voiture. Je pensais être débarrassé d’eux en les ramenant à leur hôtel mais apparemment, ma mère venait d’en décider autrement. Depuis leur arrivée sur le sol américain, ils ne cessaient d’être collés à moi. Un jour, c’était pour un dîner avec les Duma afin de parler de mon prochain « mariage » avec Stiyzanna. Le lendemain, il fallait que je joue les guides touristiques en bon fils que je suis et voilà qu’aujourd’hui, je devais me mettre à la recherche de ma sœur, Francesca. Il ne manquerait plus qu’ils aient l’idée d’organiser une réunion familiale avec Sandro pour que ma semaine en leur compagnie soit définitivement gâchée. Ronchonnant dans ma barbe comme un gosse de cinq ans à qui l’on a refusé une sucette, je ne dis pas un mot. Je me suis simplement contenté de changer de direction afin de prendre la route qui nous mènerait à Berkeley. N’ayant pas la moindre envie d’entamer une discussion quelconque, je mis le volume de la radio un peu plus fort de manière à couvrir les voix de mes parents si jamais l’envie les prenait de me questionner au sujet de Fran’. D’ailleurs en y réfléchissant, je n’étais pas du tout certain de pouvoir leur amener ma sœur ce soir pour la bonne et simple raison que je ne savais pas du tout où elle se trouvait. Probablement dans notre confrérie des Epsilon en train de se faire une manucure avec l’une de ses amies … Enfin rien n’était sûr à cent pour cent. Si l’idée de sortait lui avait traversé l’esprit, il est hors de question que nous lui courrions après pendant des heures. Au pire, je laissais mes parents dans l’un des salons privés de la confrérie et ils attendraient bien sagement le retour de leur fille si cela les enchantait. Personnellement je n’avais qu’une hâte : retourner à la villa, prendre une douche pour évacuer la nervosité que mes parents déclenchaient chez moi et m’endormir comme une souche. Après un trajet plutôt court, nous sommes arrivés à destination et je fis traverser le parking à mes parents avant de les faire pénétrer chez les Epsi’. Là, ils prirent place dans un salon aux couleurs chatoyantes et je partis voir où pouvait bien être Francesca. Un étudiant croisa ma route et je le questionnais à propos de la fille Pelizza Da Volpedo. Evidemment, je n’eus pas besoin de me présenter pour qu’il sache que j’étais. Il m’apprit qu’elle était sûrement dans les parcs et c’est après avoir soupiré que je me suis dirigé vers le parc le plus proche de la confrérie. Quelle mouche l’avait donc pour qu’elle aille se balader alors qu’il faisait presque nuit ? Parfois, je ne comprenais pas trop ma sœur. A croire que nous n’étions vraiment pas compatibles. « Francesca ? » Le son de ma voix grave résonna dans l’obscurité et je n’eus que pour réponse que le silence paisible. Fourrant mes mains au plus profond dans les poches de mon jean levis, je poursuivis mon excursion, laissant mes yeux furetaient à droite et à gauche. Aucune silhouette ne se distinguait dans la pénombre et je commençais à croire que l’autre étudiant m’avait mené en bateau quand j’entendis une sorte de cri ou bien de plainte. Peu peureux -surtout qu’il s’agissait d’une voix assez aigue donc vraisemblablement de fille-, je me suis avancé … Pour découvrir ma charmante sœur allongée parmi des feuilles, de petits arbustes et j’en passe. Le tout, bien entendu dans une position peu élégante pour une jeune femme de son rang. Mes bras se croisèrent naturellement sur mon torse et c’est avec un sourire narquois aux lèvres que je le regardais se débrouillait du mieux qu’elle pouvait. Oui, oui au lieu de l’aider, je riais intérieurement de la scène. Et je me permis même une petite touche d’humour. « Laisse-moi deviner Frani’ … Tu as eu peur de ton ombre et tu t’es jetée dans le premier buisson venu pour te protéger. » Vraiment pas charitable. Baisant mon regard au sol, j’aperçus alors un caillou qui trônait fièrement et je compris immédiatement que ma sœur ne l’avait pas vu et avait buté dessus. Connaissant sa maladresse, cela ne me surprenait pas des masses. Jetant vulgairement un coup de pied dans cette minuscule pierre pour le faire dégager de ma route, je me suis approché de l’autre Pelizza Da Volpedo et dans un élan de sympathie insoupçonné je la pris par la taille pour l’aider à sortir de son piège. Une fois qu’elle fut debout, mes mains se replacèrent automatiquement dans mes poches et j’enchaînais rapidement avant qu’elle ne prenne la parole. « Les parents sont là, ils veulent te voir … » dis-je laconiquement. Je ne connaissais pas réellement la nature de leurs relations et à vrai dire, je m’en fichais un peu. J’avais moi-même bien assez de problèmes à régler avec nos parents. Je n’allais pas m’amuser à jouer les médiateurs entre Fran’ et eux. Toutefois, touché par le regard qu’elle me lança, je crus bon devoir m’expliquer un tant soit peu. « Il me semble que c’est au sujet de ta fille. » Sa fille qui est au passage ma nièce. Si vous voulez mon avis, Francesca allait bientôt avoir des comptes à rendre si elle voulait garder sa fille auprès d’elle.
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MessageSujet: Re: GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. EmptyVen 29 Avr - 10:29

GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. Jamie-jamie-dornan-1947596-100-100 & GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. Jessica-A-3-jessica-alba-20584478-100-100

    Ma relation parentale était plus au moins bonne du moins à une certaine époque, mais depuis quelques semaines elle était des plus déplorable, pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils avaient décidé tout naturellement de kidnapper ma fille, oui kidnapper n’était pas vraiment le terme exact, ils voulaient juste me la prendre sans mon accord, pour aller l’élever en Italie, je ne pouvais pas le concevoir, j’avais vécu et élever ma fille depuis 3 ans, ma petite Lana. D’accord je n’étais pas vraiment une mère exemplaire, mais je m’engageais toujours a ce qu’elle ne manque de rien, et elle ne manquait de rien et certainement pas d’amour, je n’étais pas fan des démonstrations amoureuse, ou même de relation amoureuse, mais quand je suis avec ma fille tous cela n’a plus aucun sens, je lui procuré autant d’amour que je le pouvais. Ma vie n’étais pas vraiment facile en ce moment, j’étais en plein stress, j’avais passé un casting pour être la protagoniste principale du nouvelle série télé, et j’étais presque sur d’avoir échoué, si jamais ce rôle me revenait je suis sur de devenir célèbre peu de temps après, mais je n’oublierai pas mes études, et mon but pour plus tard devenir conservatrice d’art tout comme mes patriarches, mais l’art de la comédie rester quand même un de mes rêves ultime et je m’engager à réussir dans cette voie aussi. Enfin revenons à nous moutons, je me trouvais donc dans ce magnifique parc, à réfléchir sur moi-même et sur mon avenir, quand bien sur ma maladresse me fit défaut comme toujours. Je me retrouvais les quatre fers en l’air tel un cheval qui s’était retourné, un cheval ? Que dis-je une vache, j’avais grossi et je me trouvais comme une vache, bien que tout le monde essayent de me convaincre du contraire. En tout cas je m’étais affalé, ce qui est terriblement gênant une chance qu’il n’y avait personne, du moins c’est ce que je croyais, il fallu à peine 5 minutes pour me rendre compte qu’une personne avait fait son apparition comme par hasard bien entendu, et cette personne était quelqu’un que je connaissais bien. Puisque c’était mon frère, mon magnifique frère, nous étions trois des triplés, mes deux frères ce ressembler comme deux gouttes et moi j’étais une fille qui ne leurs ressembler pas vraiment, mais tant mieux j’étais unique. « Oui » que je lui répondis avec du mal, en essayant de me défaire des ces arbustes robuste qui m’avait un peu égratigné les bras. Il ne lui fallu pas plus de trente seconde pour que Gusto s’empresse de se foutre de moi, cela ne m’étonnai guère mais c’étais jamais plaisant, je n’avais qu’une envie, lui rentrer dedans pour pouvoir lui mettre mon point dans la figure, j’avais horreur qu’on se moque de moi, comme tout le monde, mais moi j’étais pire, je suis la pire susceptible fille du monde, et il le savait bien, du coup il en profitait pour m’embêter un peu plus que d’habitude. « Comme tu es marrant, si je devais me cacher d’une ombre se serait bien la tienne idiot, au lieu de te moquer de moi aide moi. Sache que je me souviendrais de tes moqueries et que j’aurais ma vengeance ! » Nous avons tout les deux un caractère bien trempé et bien entendu nous nous laissons pas faire, nous sommes bien connu a Berkeley pour de bonne mais aussi pour de mauvaise raison, pour ma part j’étais connu pour mon caractère de merde qui ne se laissait pas faire, et que j’étais prête a tous pour être au centre de l’attention, et aussi parce que je suis l’une des pires garces de l’université. Enfin de compte Gusto et moi-même n’étions pas si différent, lui et moi n’aimons pas les engagements amoureux et nous avons donc la même technique de relations sans lendemains, plus connu sous le nom de coup d’un soir, voir coup d’une heure. Il m’aida à me relever ce qui m’étonna puisque lui et moi n’étions pas si proches que ça. Je me relevai grâce a son aide, et je me figeai d’un coup sec quand il me prononça ces quelques mots qui voulait tous dire, les parents voulait me voir et je savais bien pourquoi, mon teint devins livide, et je commençai à paniquer, ce n’étais encore une fois vraiment pas mon genre, mais dés qu’il s’agissait de ma fille, plus rien n’avait d’importance, je devenais cette autre personne que seule ma fille avait le plaisir de connaitre. « Je sais exactement pourquoi ils sont là, et pourquoi ils veulent me voir. » J’avais dis cette phrase sur un ton tellement désespéré que Gusto n’a du pas me reconnaitre. Je croisai mes bras autour de ma poitrine, la panique m’emportai et je jugeai bon de m’expliquer auprès de mon frère, bien qu’il ne devait pas s’y intéressé je devais parler je devais faire quelques choses et réfléchir a ce que je pouvais faire. « Ils veulent la prendre pour l’emmener en Italie, l’élever eux même, je ne suis pas une bonne mère pour eux. » Je commençai a faire les cents pas autour de Gusto qui lui m’écouta sans vraiment réagir. « Je pense qu’ils ont tord je suis une bonne mère, mais je dois bien avouer qu’elle serait mieux avec eux, loin de tous cette agitation américaine, mais je ne supporterai pas de ne plus la voir. » Qu’est-ce que je pouvais y faire ? Rien je devais les laisser me la prendre sans broncher en sachant qu’elle serait bien mieux avec eux. Mais une autre partie de moi-même devait les arrêter et garder ma fille avec moi.
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Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: Re: GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. EmptyDim 8 Mai - 19:16


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    Tristan Bernard a écrit « Il y a des parents qui veulent, à tout prix, maintenir le prestige de l'autorité et qui ne réussissent qu'à installer, dans leur foyer, le spectre hideux de la tyrannie. Ils font, de leurs enfants, des esclaves ou de sauvages petits rebelles. » Francesca avait écouté nos parents pratiquement toute sa vie. Elle était -tout du moins en apparence- une fille sans problème, souriante, gracieuse … Une Pelizza Da Volpedo parfaite. Quant à moi, j'avais toujours été considéré comme le vilain petit canard de la famille. Celui qui ose envoyer paître sa mère, celui qui se contrefiche de l’autorité et qui n’a qu’un seul maître : lui-même. Aujourd’hui ma sœur se retrouvait un peu dans une situation identique et je ne savais pas trop si elle allait pouvoir gérer ça sans s’écrouler comme un château de carte lorsque l’on souffle dessus. Depuis le jour où elle avait annoncé qu’elle était enceinte, l’image idyllique qu’elle renvoyait à nos parents s’était en quelque sorte fissurée et rien ne put remettre la bonne entente entre eux. Ce qui, je dois bien l’avouer, m’a fait sourire plus d’une fois. Notre mère ne s’acharnait plus sur moi automatiquement. Elle trouvait toujours à redire dès qu’elle voyait Francesca en compagnie de sa fille. Au début, il était amusant de voir cette harpie reprendre Frani’ mais à force, cela devint vite lassant. Pour ne pas dire terriblement ennuyant. Je ne portais pas Francesca dans mon cœur -enfin, juste le minimum qu’un frère puisse le faire- cependant, je m’étais surpris à ressentir un peu de pitié pour elle. Pas de quoi fouetter un chat non plus et je ne comptais aucunement lui faire part de mon soudain intérêt pour elle. Alors pour ne pas faillir à ma réputation de mauvais garçon, je ne me fis pas prier pour me moquer ouvertement de sa chute. Si une once de sollicitude m’avait traversé, je me serai précipité pour la secourir tel un preux chevalier sur son cheval blanc qui part sauver sa belle au bois dormant. Or je n’avais rien d’un tel type et ma sœur était loin de ressemble à une princesse. « Comme tu es marrant, si je devais me cacher d’une ombre se serait bien la tienne idiot, au lieu de te moquer de moi aide moi. Sache que je me souviendrais de tes moqueries et que j’aurais ma vengeance ! » Aoutch, ça fait mal … Ou pas. Sa réplique qui se voulait probablement cinglante et vexante me glissa dessus comme la pluie glisse le long des vitres. Toutefois, en bon comédien que je suis, je fis semblant d’être touché en mettant une main sur le cœur et en lui lançant un pauvre regard d’imbécile au bord des larmes. « Te cacher de mon ombre. Tu me brises le cœur à force de croire que je suis un monstre Fran’. » La seconde partie de son monologue ne me fit pas plus d’effet. Je me suis contenté d’hausser doucement les épaules avant de répondre, presque insolemment. « Arrête, je suis mort de peur. Que vas-tu faire ? Demander à Sandro de venir te défendre ? » Non bien sûr que non elle ne ferait pas ça. Elle avait bien trop peur qu’un duel entre lui et moi se termine mal et que son frère adoré en ressorte vaincu. Alors franchement, elle et sa vengeance pouvaient aller se faire voir dans les grandes largeurs. Jouant à nouveau la carte de la nonchalance, je lui ai appris dans la foulée que nos parents souhaitaient la voir au plus vite pour parler de Lana tout en la relevant. Mes mots semblèrent lui faire l’effet d’une douche froide et Francesca se figea l’espace d’un instant. Ne m’attendant pas sur les états d’âmes de l’autre Pelizza Da Volpedo, je fis quelques pas en avant, prêt à repartir d’où je venais avec elle. Seulement, le ton de sa voix m’étonna et je me suis retourné pour l’observer et revenir à ses côtés. Elle paraissait … Désespérée. Bien loin de la Francesca que je connaissais depuis ma naissance. Elle poursuivit tout son bla-bla qui ne me concernait aucunement tout en se mettant à me tourner autour, telle une lionne en cage. La laissant s’exprimer, je regardais les feuilles des arbres qui s’agitaient. Puis mes yeux se posèrent sur ma montre. Pour ensuite se refixer sur la végétation. Au bout de cinq bonnes minutes, je sentis que le mal de crâne que je réprimais depuis un moment, se faisait ressentir. Pinçant légèrement l’arrête de mon nez entre mon pouce et mon index droit, je dis d’une voix lasse. « Pitié, arrête de tourner autour de moi. Tu me donnes le tournis. Et tais-toi par la même occasion, cela reposera mes tympans. » Augusto ou l’art d’être adorable dès qu’il s’agit de soutenir l’un des membres de sa famille. Passé l’effet de surprise, Francesca allait probablement me traiter de tous les noms et elle me maudirait certainement. Sincèrement ? Rien à faire. Mes doigts enserrèrent l’un de ses bras tel un vautour et presque de force, j’ai commencé à l’entraîner à ma suite pour qu’elle aille rejoindre nos parents qui devaient à présent s’impatienter. Pendant que j’imprimais un rythme assez régulier, j’ai tourné ma tête vers elle pour la regarder. Levant les yeux au ciel en voyant son visage, je repris la parole pour qu’elle réagisse. « Au lieu de m’en vouloir à mort, comportes-toi comme une adulte. Tout ton speech était bien joli mais ce n’est pas moi qu’il faut convaincre, c’est eux. Que tu aies ta fille avec toi ou pas ne changera pas ma vie. » Par contre, la sienne risquait fort d’être chamboulée si jamais elle la perdait …
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MessageSujet: Re: GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. EmptyMer 1 Juin - 12:17

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    « Quand on débarque dans la vie active, on se trimbale avec les bagages de ses parents. Et puis, on lâche les valises de son passé pour faire les siennes » Voila une phrase qui me correspondait plutôt bien ce moment, j’essayais de me détacher de plus en plus de mes parents, j’ose que j’arrivais bien a faire depuis que j’étais partit de la maison pour étudier a Berkeley, oui mes frères et moi avions quitté la maison en même temps, mais j’étais celle qui allait le plus manquer a mes parents, enfin jusqu’à ce que j’annonce que je sois enceinte, la pire déception de la famille, il y avait encore quelques jours c’était Gusto et maintenant c’était moi, cela nous faisais au moins un point en commun. En tout cas, va savoir pourquoi ma relation avec Gusto n’avait vraiment rien a voir, quel celle que j’avais avec Sandro, Gusto et moi avions quelques tensions entre nous, tensions qui venait de je ne sais pas où, j’étais bien prête a changer cela, bien sur je ne voulais pas qu’on soit copain comme cochonne, mais j’aimerai être plus proche de mon frère, deux démons comme nous, on pourrait ne faire que des étincelles ensemble, ce qui pourrait donner quelques chose des très bon. Bref le faite est que pour le moment j’avais bien autre chose en tête comme par exemple, que mes parents vienne spécialement chercher ma fille en Californie alors qu’ils habitent en Italie, de toute façon dés qu’ils étaient en Californie, c’était soit pour me faire chier moi ou bien mon frère Gusto, Sandro lui par contre avait toutes les éloges, Sandro est intelligent, Sandro ne nous faite pas honte, et patati et patata. Je me sens malheureuse, tel cendrillon dans le comte de fée, oui j’étais Cendrillon et mes parents me retiré ma gusgus. Satané famille, dire que je l’admirais plus que tous avant, depuis quelques temps elle retombait bien bas dans mon estime, la politique des parents Volpedo ? Tout dans les apparences, quel bande d’hypocrites. Moi maintenant je n’adoptais plus du tout cette politique, j’assumais, mes erreurs et mes actes sans rien cacher. Etant toujours à terre, je vis Gusto faire une fausse mine dépité qui ne me donna qu’une envie lui en décollé une avec sa moue a la con. « Te cacher de mon ombre. Tu me brises le cœur à force de croire que je suis un monstre Fran’. » Petit Gusto, enfin grand Gusto, il faisait bien quoi, aller 2 tête de plus que moi le petit. Qu’il pouvait être bête parfois, a ce demandé si on est bien de la même famille tiens. J’étais tellement plus belle, et avec beaucoup plus de classe que celui la GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. 277800 « Mon pauvre garçon t’a pas fini d’être con toi hein ? Tu n’es pas un monstre, tu es pire que ça, je ne peux pas t’en blâmer je suis pareil alors bon. » C’était bien lui ça, toujours parler de Sandro, alors qu’il sait que je l’apprécie beaucoup, mais je m’en fichais ce qu’il disait ne compter pas, bien que ces derniers temps ma relation avec Sandro avait beaucoup évolué dans le mauvais sens du terme malheureusement. « Arrête, je suis mort de peur. Que vas-tu faire ? Demander à Sandro de venir te défendre ? » Je le regardai d’un air blasée qui voulait tout dire. « Arrête de toujours le mêler a nos discutions, je n’ai pas besoin de lui pour te mettre une raclée, et en plus je suis un peu en tensions avec lui aussi. J’ai deux frères et y’en a pas un pour rattraper l’autre, VDM pour Francesca. » Je me plaignais de pas trop m’entendre avec Gusto, mais ma relation avec lui comparé à celle de mes deux frères était idyllique. Pourquoi est-ce qu’ils s’entendaient si mal ? J’en avais mais alors pas la moindre idée et pour être franche j’en avais un peu rien à foutre, je suis une égoïste et si une histoire ne me concerne pas, elle ne m’intéresse pas that it ! J’ai bien assez de mes problèmes pour en plus en avoir d’autre par intermittence. « Pitié, arrête de tourner autour de moi. Tu me donnes le tournis. Et tais-toi par la même occasion, cela reposera mes tympans. » Je m’arrêta net de tourner autour de lui comme si, il m’avait donné un ordre que je l’exécutais sans broncher, mais non non non ce n’étais pas du tout ca, je m’en donnais juste le tournis moi aussi, quand au faite de me tard je ne tarda pas a lui répondre avec mon air aimable qu’il connait tant. « Me taire, jamais, je n’arrêterai pas tant que tu ne me soutiendras pas dans ce que je dis. » Je m’arrêtai quelques seconde et repris. « Allez quoi tu les détestes, détestes les avec moi ! » dit-elle presque désespérée. « Au lieu de m’en vouloir à mort, comportes-toi comme une adulte. Tout ton speech était bien joli mais ce n’est pas moi qu’il faut convaincre, c’est eux. Que tu aies ta fille avec toi ou pas ne changera pas ma vie. » Francesca avait du mal a le croire, il l’engueuler presque non mais grosse blague quoi, mais dans tous son discours il n’avait pas tord non plus. « Il n’y a aucun moyen de les convaincre, et puis je me demande si enfaite se ne serait pas mieux pour elle ? Bien sur que tu t’en fou tu es le pire oncle du monde, et encore devrais-je dire que tu es son oncle, ou bien juste une connaissance ? »
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MessageSujet: Re: GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. EmptyLun 6 Juin - 10:20


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    « On se bagarre, on se chamaille, on se boude … Fâchés pour un jour... frère et sœur pour toujours ! » Comme je déteste cette citation, presque autant que « les parents, grands-parents, frères soeurs, cousins, oncles, tantes...Qu'elle soit nombreuse, recomposée ou éclatée, notre famille, nous l'aimons ! » Autant de petites phrases qui me renvoyaient sans cesse en plein visage que non, on a beau affaire des liens familiaux, il n’est pas toujours question d’amour. Je n’éprouvais pour ainsi dire aucune affection pour l’un des membres de ma famille. A part pour mon paternel et encore. Si Francesca avait été moins proche de Sandro durant notre enfance ou notre adolescence, cela aurait peut-être pu changer quelque chose. Mais ce qui est fait, est fait. Personne ne peut faire marche arrière pour effacer le passé pour s’en reconstruire un nouveau. Et puis, quand je la voyais en ce moment même, étalée comme une crêpe sur le sol … Croyez-moi, j’avais presque envie de dire que j’avais été adopté plutôt que d’avouer qu’elle était ma sœur. Je n’osais même pas imaginer si sa chute avait été filmé par un étudiant de l’université … les trois Pelizza Da Volpedo seraient ridiculisés par sa faute. Bravo ma fille, tu fais honneur à ton nom, pas de doute là-dessus. Bref, au lieu de la pourrir mentalement, il fallait que je m’efforce du mieux que je pouvais pour l’aider à se remettre sur pied parce que la pauvre ne paraissait pas pouvoir y parvenir toute seule. Avant de la relever, j’eus néanmoins le droit à quelques piques de sa part. Que serait une discussion entre Frani et Gusto s’il n’y avait pas de gentilles remarques blessantes à la clé … « « Mon pauvre garçon t’a pas fini d’être con toi hein ? Tu n’es pas un monstre, tu es pire que ça, je ne peux pas t’en blâmer je suis pareil alors bon. » Pire qu’un monstre, vraiment ? Alors comment me qualifier ? J’étais sincèrement curieux de savoir le fond de sa pensée me concernant mais je n’avais pas la moindre envie de l’interroger. Pas question de lui faire ce plaisir. N’oublions pas tout de même que nous entretenons une relation froide depuis notre naissance alors inutile de se rabaisser en lui faisant croire que son avis avait une quelconque importance pour moi. Haussant les épaules avec un air fataliste, je pris la parole à mon tour. « Tu m’excuseras Frani mais je ne crois pas un seul instant au fait que nous soyons similaires. » Et dieu soit loué ! Être comme Francesca pour moi signifiait aimer Sandro et franchement c’était tout sauf possible. Je préférais largement les laisser dans leur relation frère et sœur aimants plutôt que de jouer le troisième roue de la bicyclette – ouh c’est puissant ça comme comparaison (a) – avec le temps, on s’habitue assez bien au fait de ne pas être proche de ceux qui sont vos triplés. Et honnêtement, je savais pertinemment qu’il y avait peu de chances pour qu’un jour tout s’arrange et que nous nous entendions comme larrons en foire. « Arrête de toujours le mêler a nos discutions, je n’ai pas besoin de lui pour te mettre une raclée, et en plus je suis un peu en tensions avec lui aussi. J’ai deux frères et y’en a pas un pour rattraper l’autre, VDM pour Francesca. » Je surpris son air blasé qui voulait tout dire et qui me laissait on ne peut plus froid. Qu’elle pense ce qu’il lui chante, je n’en ai strictement rien à faire. La première partie de sa phrase me fit esquisser un léger sourire. Etait-elle vraiment sérieuse ? Pensait-elle possible qu’avec ses deux mini poings, je recevrais de sa part la raclée du siècle ? Il faut être un minimum réaliste : Ma sœur n’avait pas la moindre de chance de rivaliser sur le plan. Elle est loin d’être molle mais je lui suis largement supérieur et ce sans vanterie de ma part pour une fois. Sans trace d’émotion, je lui répondis avec nonchalance. « J’ai une sœur qui se prend pour Hulk et qui pense pouvoir me mettre la raclée du siècle alors qu’elle est incapable de rester sur ses deux pieds plus de deux minutes consécutives … VDM pour Gusto, c’est clair. » Ajoutais-je avec un sourire sarcastique sur les lèvres. Au fond, j’avais presque envie de rire. Pour la première fois de ma vie, j’avais la nette impression que nous nous comportions comme deux frères et sœurs en train de nous chamailler pour un détail insignifiant. Sauf que nous phrases n’étaient pas que pure taquinerie … Dommage. J’avais délibérément oublié de commenter la deuxième partie de sa réplique qui concernait le fait que Sandro étions des cas aussi désespérés l’une que l’autre. Francesca faisait cela pour me provoquer mais j’étais dans un bon jour et je refusais de me rabaisser à son niveau en répliquant. De plus, cela ne ferait qu’accentuer encore un peu plus cette rancœur qui persistait entre les deux frères Pelizza Da Volpedo. Après lui avoir ordonné de se taire et d’arrêter de me tourner autour comme une abeille le ferait autour d’un pot de miel, j’eus l’agréable surprise de la voir se stopper. Cependant, il ne fallait pas croire qu’elle n’allait pas faire de commentaire. Elle voulait que je la soutienne … Sans blague. Qu’est-ce que j’y gagnerais moi à être de son côté ? Pas grand-chose, voire rien du tout. « Allez quoi tu les détestes, détestes les avec moi ! » Son ton presque suppliant aurait presque pu m’émouvoir … Si j’avais un cœur suffisamment sensible pour cela. Mes yeux se posèrent sur sa jolie bouille dépitée et c’est sans une onde d’émotion que je lui ai répliqué. « Quand tu étais Francesca la magnifique et qu’ils ne voyaient que par toi, m’as-tu déjà aidé ? Ils me voyaient comme le vilain petit canard et je ne t’ai jamais vu prendre la défense. Je me suis débrouillé tout seul comme un grand garçon. Fais-en autant aujourd’hui. » Là c’est la fierté qui parle. Maudite fierté qui est bien ancrée dans notre famille italienne. Bien sûr que je pourrais me ranger du côté de ma sœur mais vu qu’elle n’avait pas été là pour moi, je ne voyais pas en quoi je devrais l’être pour elle. Œil pour œil, dent pour dent comme on dit si familièrement. « Il n’y a aucun moyen de les convaincre, et puis je me demande si enfaite se ne serait pas mieux pour elle ? Bien sur que tu t’en fou tu es le pire oncle du monde, et encore devrais-je dire que tu es son oncle, ou bien juste une connaissance ? » Et la revoilà parmi sur le couplet du « tu es le méchant dans l’histoire Augusto, tu devrais avoir honte. » Que de blabla. Elle avait le toupet de me reprocher de n’avoir été que peu présent pour sa fille mais à l’époque, je me souviens parfaitement l’avoir entendu dire « Sandro, tu peux lui donner le biberon ? Sandro, tu peux la prendre dans tes bras ? » Forcément, cela ne m’a jamais donné envie de m’investir un minimum. « Eh bien si tu penses que c’est une bonne chose pour elle, laisse-là partir avec les parents. Soit-dit en passant, je n’ai absolument rien contre ta fille. » Bon voilà, tout était dit à présent, nous n’avions plus qu’à aller rejoindre les deux Pelizza Da Volpedo qui nous attendait dans la confrérie des Epsilon et Francesca n’avait plus qu’à leur soumettre la décision qu’elle avait prise. Je commençais à repartir en sens inverse quand je me suis retourné vers elle. « Bon tu viens ? » On ne va tout de même pas y passer la nuit.
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MessageSujet: Re: GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. EmptyJeu 7 Juil - 15:24

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    Ce gusto bon sans ce qu’il pouvait être agaçant celui la, si j’avais pu je le ferrais tomber par terre je le ferrais bouillir pour après lui bouffer ces partie génital. Ba oui je n’allais tout de même pas les jeter un si beau mâle. Oui je l’avoue j’ai déjà pensé plusieurs fois a l’inceste avec mon frère, j’y peu rien il est magnifique, et je suis sur que si je n’étais pas sa sœur je serais aussi a son gout, voyons regardons la réalité en face je suis merveilleusement délicieuse. Je n’avais jamais éprouvé ce genre de chose avec Sandro, la raison ? Peut-être parce que j’avais de l’affection pour mon frère Sandro, et aucune pour mon frère Augusto. J’aurais très bien pu être proche de lui, si je n’avais pas été aussi proche de Sandro, mais à l’époque il m’était pas envisageable de m’entendre ou bien même de faire un effort pour Gusto il était si …. LUI tout simplement lui, un enfoiré de première arrogant, frimeur et j’en passe. En fin de compte je suis un peu le Gusto au féminin peut-être est-ce pour ça qu’one ne pouvait pas s’entendre. Avec Sandro au moins j’étais sur a 200% d’être la plus remarqué et surtout la plus mise en avant ce qui n’aurait surement pas été le cas avec Gusto’. Que dis-je, je suis tellement plus intéressante que lui que même si on été en concurrence je gagnerai haut la main. True Story basterd. Je suis une fille extrêmement mauvaise et je l’assume complètement, mais je devais aussi bien l’avouer, en ce moment la donne avait changé, j’appréciais plus Gusto que Sandro, et j’avais besoin de mon frère Gusto pour remonter la tête hors de l’eau, est-ce qu’il m’aiderait ou est-ce qu’il continuerait de m’ignorer, rancune toujours présente ? Je ne le savais pas mais j’espérai intérieurement la première solution. Nous les Pelizza Da Volpedo faisions beaucoup parler de nous dans l’université, oui oui j’entendais bien des rumeurs de Gusto mariage avec Stiyzanna ? Enfin de compte ça c’était surtout pour les parents, mais comme les étudiants sont des pures commère et croient tous savoir alors qui ne savent rien, et bien on se retrouve avec des rumeurs a la con. Comme le faite que j’ai pu coucher avec tous les hommes de la fac enfin pas tous mais une bonne partie, enfin de compte peut-être que ces petits couillon d’étudiant était mieux renseigner que je ne le pensais. « Tu te trompe on a beaucoup plus de chose en commun que tu ne le crois, bon tu ne peux pas être parfait comme moi, mais avec un peu d’entrainement tu pourrais atteindre la moitié de mon niveau. » Bam bitch please Francesca ? Présente, toujours au taquet son arme d’attaque ? L’attaque verbal bien sur, mais tous cela pouvait être très sympa de sa part enfaite, elle n’aimait pas être une bonne fille a papa, a être très gentille, non elle se faisait bien trop bouffer sinon, ce petit manège la était réservé a ces parents et encore depuis quelques temps plus vraiment. Hulk ? Ouh boy si tu savais bien plus même :out: moi je suis sauvage Hulk femelle, pas besoin d’être grosse moche et vert pour lui foutre sa raclé, dans ce cas la je préféré être la princesse dans Shrek ! –aucun commentaire merci GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. 277800- de toute façon moi je suis déjà une princesse a moi-même, je suis d’une grande et riche famille italienne, sans aucun doute la plus sexy et attirante fille de la fac, et peut-être même la plus riche, que demande le peuple what’s up ! Franchement je n’avais rien a envier a personne, les gens envier les Da Volpedo mais les Da Volpedo n’envier personne, sinon se serait la fin d’un mythe. Aujourd’hui je suis fatigué, énervé, et par-dessus le marcher j’ai très envie de faire pipi, alors le Gusto n’avait pas intérêt a me chercher encore avec ces moquerie et je finirai par bientôt devenir mean Francesca, du moins beaucoup plus que d’habitude en soit puisque méchante c’est mon activité favorite que j’utilise a longueur de journée. Je plissai mes yeux et fronça mes sourcils a sa moquerie avant de prendre moi-même un ton de nonchalance. « Le matcho en tout genre, je suis une fille certes mais ca ne m’empêchera pas de te mettre a terre, ce n’est pas avec tes bras d’aiguille à coudre et tes jambes en baguette de pain que je risque de me faire mal. » répondis-je avec un sourire sarcastique en retour. Pour la première fois depuis des années j’entretenais une discutions avec mon frère se basant sur de la taquinerie, une pure première, un comportement normal pour des frères et sœur, tout le monde penserai que c’est normal, mais pour nous ca en devenait exceptionnel, tellement que je ne pu m’empêcher d’avoir un sourire qui semblait sincère pour une fois. En effet nos rares conversation longue se limiter a une remarque méchante et blessante et … c’est tout, voila à quoi se résumé nos conversations pendant de très longues année, en y repensant oui j’avais de la peine, j’avais deux frères et voila que j’en estimer qu’un seule, et j’ai comme l’impression que maintenant je suis décidé a faire des efforts pour améliorer mes relations avec Gusto, si lui aussi bien sur serait capable d’en faire autant, bien sur que se sera dure. Mais je suis encore certaine que l’on peu y arriver avec un peu d’entrainement. Oui le faite de nous parler normalement allait être dur, un bonne entrainement ne serait pas de refus. Mon sourire s’estompa par la suite quand je l’entendis me répondre, il avait de la haine, et pour la première fois de ma vie, oui pour la première fois de ma vie j’avais de la peine en entendant ce qu’il me disait, puisqu’il n’avait vraiment pas tord dans le fond et je commençais déjà a me sentir coupable venant de moi c’était vraiment très étonnant. Et la je ne savais même plus quoi répondre ou quoi faire, il avait raison et je ne pouvais m’en prendre cas moi-même et je pense que pour essayer de me sortir de cette situation je n’avais qu’une seule solution envisageable. « Je sais et je suis désolé, je m’en rends compte que maintenant. » Francesca la garçe superficielle qui ne s’excuser jamais, venait de présenter ces excuse a son frère, oui son frère et non Gusto. Tout simplement parce qu’il le méritait bien, je savais d’aure et déjà ce qu’il allait me répondre, qu’il en a rien a faire de m’excuse ce qui es fait et fait, toujours avec ses paroles froide et vide. Je l’écoutai ensuite me parler de ma fille, ma fille bon sang ce qu’elle pouvait déjà me manquer, heureusement qu’elle est entre de bonne mains malgré tout by the way cette petit Lana est une Da Volpedo ce qui ne sera pas de tout repos pour les parents voila qui le fit sourire rien qu’en y pensant. « C’est vraiment dommage que tu ne la connaisses pas mieux, elle est aussi chiante que sa mère, une tuerie cette petite elle est merveilleuse. » Je me sourie a moi-même en voyant ca petite frimousse me faire des grimace. Qu’elle était belle, elle avait le charme d’un ange et l’esprit d’un diable il n’y a pas meilleure mélange. Je voyais Gusto partir, je tournai la tête prête a faire mon chemin de mon coté également quand je l’entendis me parler, en me retournant je le vis me regarder et me dire de venir. J’arrive toujours pas a y croire moi-même. Je me tournai et marcha dans sa direction prête a faire le chemin avec lui. Je pense qu’il n’y avait rien a dire de plus je ne voulais pas cacher notre moment fraternel.
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Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: Re: GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. GUSTO&FRAN' • Quand les deux plus beaux Da Volpedo se revoient. EmptyDim 31 Juil - 1:11


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    Sacha Guitry a dit « Du jour où j'ai compris quels étaient les gens que j'exaspérais, j'avoue que j'ai tout fait pour les exaspérer encore un peu plus. » Je dois bien admettre que cette phrase me correspond à merveille. Depuis que je suis môme j’ai compris que j’avais tendance à énerver mon frère et ma sœur qui s’attendaient à la perfection. Pour eux, j’étais le chieur de service qui polluait leur air si pur. Au début, même si cela m’atteignait, je n’en faisais pas toute une montagne mais en grandissant, je me suis servi de l’exaspération que je pouvais leur procurer. Cet agacement qu’ils avaient en ma présence me faisait doucement rire et à force, elle est devenue l’une de mes armes les plus puissantes en leur compagnie. J’en jouais à outrance et de les voir si crispé voire même déstabilisé me faisait intérieurement jubiler. On ne rejette pas impunément Augusto Pelizza Da Volpedo sans en subir les conséquences qui en découlent. Mauvais caractère ? Pire que ça, vous ne pouvez même pas imaginer une seule seconde de quoi je suis capable. Et pourtant aujourd’hui, je me retrouvais à la recherche de ma sœur comme n’importe quel frère le ferait. A la différence que pour moi, ce n’était pas par gaieté de cœur. Je voulais la trouver pour l’amener jusqu’à nos parents et être tranquille. Après ce serait du « démerde-toi Francesca et bon courage pour la suite » moi je m’en lavais les mains. Sans pitié ? Oui il paraît, ceci dit je le vis bien. J’aurai pu avoir des remords en me montrant si froid à son égard mais ses remarques sur sa supériorité vis-à-vis de moi firent voler en éclats les derniers soupçons de compassion que j’aurai pu – ou dû – avoir pour l’autre Pelizza Da Volpedo. La voir si fière de m’annoncer que je n’étais rien comparé à elle, me fit esquisser un léger sourire narquois. Si nous n’avions pas un minimum de classe et de tenue, je lui aurais sorti un gros « la blaaaaague » mais j’ai un rang et je m’y tiens. Alors qu’elle … Bah Frani ressemble à une pauvre hystérique en quête d’arguments pour avoir le dernier mot. Ce n’est pas totalement pathétique mais nous n’en sommes pas loin. Peu sympathique de ma part de penser cela de ma sœur … Orf’, elle n’en pense pas moins à mon sujet, je ne me fais pas d’illusion. « Si parfait pour toi signifie être considéré comme une marie couche-toi là, alors effectivement tu es la plus parfaite. Ou la moins discrète. A voir selon les avis. » Répliquais-je en retroussant mes lèvres en un rictus terriblement hypocrite. Ô cruelle vérité. Francesca avait depuis un moment déjà une réputation bien différente de celle d’avant. Elle était jugé beaucoup trop libertine selon certains et parfois j’entendais même qu’elle était pratiquement comparée aux Betas de l’université ; les pauvres Bitches. Rien de bien glorieux, surtout quand on a un nom tel que le nôtre. Ces filles-là n’ont rien de classe et elles sont à mille lieux de faire parties de l’élite un jour ou l’autre. Alors, elle était bien mal placée pour oser me sermonner à propos de quoi que ce soit. Si j’étais Francesca, au lieu de me préoccuper de la perfection de mes frères, j’aurai déjà tout fait pour reprendre une réputation normale. Il faut croire que nous n’avons pas du tout les mêmes priorités. Les mains dans les poches, j’attendais avec impatience sa prochaine joute verbale. Je pressentais que j’allais me régaler par avance. Elle pensait m’atteindre mais elle me faisait plus rire qu’autre chose. Le must arriva au moment où elle compara mes bras à des aiguilles à coudre et mes jambes à des baguettes de pain. Alors là … Je ne savais pas si je devais lui éclater de rire au nez pour lui montrer combien sa phrase était stupide et dénuée et de sens ou si je devais me faire du souci devant un tel manque d’intelligence. Du grand Francesca. J’étais plus altéré qu’autre chose à vrai dire. J’étais même franchement inquiet de voir ma sœur descendre aussi bas avec ses répliques à trois francs six sous. Elle m’aurait dit qu’elle venait de les trouver dans une pochette surprise que je l’aurai volontiers cru sans me poser de question. « Je vais éviter de faire le moindre commentaire, je ne serai pas aussi spirituel que toi malheureusement. » Répondis-je ironiquement. Je ne désirais surtout pas m’abaisser à faire une comparaison approximative en lui colportant que ses bras étaient aussi maigres que ses mollets. Non ce serait puérile d’agir de la sorte et pour une fois que nous nous entendions à peu près convenablement, je n’allais pas jeter de l’huile sur le feu. Je ne savais pas encore si cet intermède paisible entre nous allait se poursuivre ou bien si dès demain le charme serait rompu. Seul l’avenir nous le dira. Quoi qu’il en soit, je profitais de cet instant avec Frani … Jusqu’au moment où elle me demanda de détester nos géniteurs avec elle. Là, elle allait trop loin. Faire des efforts pour que tout se passe au mieux entre nous, je suis d’accord mais il ne fallait pas en quémander de trop non plus. Surtout qu’elle ne m’avait jamais apporté le moindre soutien. Je ne voyais pas en quoi, je me devais de l’aider puisque la réciproque n’avait pas été vraie durant de longues années. Je lui fis part de mon sentiment qui oscillait dangereusement entre colère et rancune sans pouvoir à l’avance connaître sa prochaine réaction. Je m’attendais à devoir encaisser une nouvelle montagne de reproches mais ce fut l’exact opposé. Des excuses. Un pardon prononcé du bout des lèvres. Sur le coup, je fus tellement choqué, que j’aurai pu en tomber à la renverse. C’était bel et bien la première fois que j’entendais ma sœur s’excuser pour quelque chose. De plus elles m’étaient adressées … Mon visage affichait une expression perplexe et je ne savais pas quoi dire à cela. Peu importe ma réponse, elle sonnerait comme un affront pour elle. « Comme on dit, mieux vaut tard que jamais. » dis-je sans trop savoir quoi ajouter. Finalement le silence fut mon meilleur ami. Sans s’en rendre compte, Francesca venait de mettre bouche bée le grand Augusto Pelizza Da Volpedo. Ce qui n’est pas une mince affaire. En fin de compte, elle n’était pas aussi superficielle qu’elle le laissait paraître, ce qui constituait un point plutôt positif. Après cela, j’ai débuté ma marche en sens inverse pour rentrer à la confrérie tout en reprenant mon ton bourru pour la faire venir avec moi. Touché par ses paroles oui, lui dire, jamais de la vie. Tout du moins, pas pour le moment. Puis je voulais en finir. La scène qui se passerait d’ici quelques minutes serait des plus pénibles car nos parents n’allaient pas être tendres avec ma sœur. Ils souhaitaient récupérer sa fille à tout prix et il était clair qu’à la fin, ils feraient ce qu’il leur plairait, ne se souciant pas de Francesca. C’était gros comme une maison. Je n’avais pas encore répliqué à sa tirade dans laquelle elle qualifiait sa fille de chieuse comme sa mère. Oh mon dieu quoi. Sur un ton bon enfant, je brisais le calme. « Si elle est comme toi, je me dis que c’est peut-être une bonne chose au final de ne pas la connaître. Déjà que tu es invivable alors si ton mini toi est identique … Où va le monde. » Le coin de mes lèvres était étira en un semblant de sourire taquin. Oui j’apprenais au fur et à mesure à me comporter un véritable frère. C’était bien ça une relation fraternelle où chacun envoie des piques à l’autre dans le but de rire et non pas de le braquer ? J’allais m’y faire … Tout doucement. Quelques minutes plus nous sommes arrivés dans notre confrérie. D’un signe de la tête, j’ai indiqué à Francesca la porte de l’un des salons dans lequel notre patriarche et notre madre l’attendaient. Ma présence n’était pas forcément requise donc je me voyais mal lui dire « je t’accompagne » néanmoins par une solidarité venue d’on ne sait où, je lui pris la main pour la serrer fortement. Ce geste tout nouveau pour moi fut accompagné d’une parole. « Quoi qu’il arrive, je suis là. » Serait-ce le départ d’une entente ? Rien n’est impossible, un miracle peut toujours se produire.
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