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« L’amour, le vrai, l’inconditionnel, est vrai, et ne s’oublie jamais » | Riley

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MessageSujet: « L’amour, le vrai, l’inconditionnel, est vrai, et ne s’oublie jamais » | Riley « L’amour, le vrai, l’inconditionnel, est vrai, et ne s’oublie jamais » | Riley EmptyLun 4 Juil - 20:58




Riley & Charles-Édouard, les retrouvailles


La distance, l’amour, les disputes, le temps. Tout ça me revint d’un seul coup, comme un coup en pleine poitrine, mais je ne me réveillais pas, ça ne me faisait plus aussi mal qu’au début, surtout après ces trois mois en prison, pire même. Ces égratignures sur mon visage ? Les coups que l’on m’a donnés pour voir si je serais apte à garder le silence sur ma condition et sur leurs conditions à eux. Ma mission en Corse a était un fiasco, tout simplement parce que je ne pensais qu’à elle & moi. Ce jour-là, après que je me sois battu par jalousie contre un professeur pour elle. A cette époque, même si ce n’est que de quelques mois, nous étions liés par l’amour. Je l’avais pris à ce professeur, Samuel et maintenant je suis là, à regarder l’eau et à me taire. Un être solitaire comme je l’ai été durant ces trois mois, à trimer sous les coups et à devenir plus dur, plus fort, plus cruel. Dans quel but ? De les détruire, mais je n’ai pas réussi, moi qui voulait les vendre à la police ou bien les tuer moi-même je n’ai pas réussi et maintenant que je suis revenu, avec toujours ce but en tête sans avoir le moyen d’y parvenir, la vengeance est une chose bien différente de l’amour qui m’a fait devenir si vivant, si réel aux yeux de Riley, et maintenant que je ne l’avais plus près de moi, mon but avait été mis devant mes yeux avec une réalité que trop horrible. Même si à leurs yeux j’étais leur chef, il fallait que je leur montre si je ne voulais pas crever, et à priori, vu que je suis là, ils ont eu les preuves qu’ils voulaient. Alors que vais-je faire maintenant que je suis de retour, reprendre ma vie en main, là ou je l’avais laissé ? Après trois mois de disparitions. On est en juillet, les vacances sont là et je sais qu’elle n’est pas partie, je l’espère alors sans hésiter je lui envoie un message rapide dans lequel je lui demande de me rejoindre ici, au ferry, à l’embarcadère. Je ne sais pas encore ce que je vais lui dire, et au fond, je sais ce que je ressens pour elle. J’ai failli mourir là-bas, et pourtant, je ne voulais pas mourir en m’ayant disputé avec elle avant, je voulais qu’elle sache au moins que je serais là pour elle quoiqu’il arrive et malgré cette dispute qui n’avait pas lieu d’être. Mes bras portant mon corps sur cette barrière, une cigarette en bouche me donnant un air de méchant garçon que je ne cherchais pas à avoir, et encore moins à montrer, mais durant ces trois mois l’addiction à la cigarette c’est montrer plus efficace qu’autre chose pour ne plus penser à ce qui se passait. Je stresse, je ne sais pas ce que je lui dirais quand je la verrais, je suis sûr qu’elle m’en veut, elle ne sera pas étonnée de me revoir ici, je lui avais promis que je reviendrais, mais l’inquiétude qui éveilla la dispute avant mon départ n’avait pas suffit à lui faire croire les mots que je lui avais dit. On est retourné à la case départ, ou bien sur un nouveau tour de jeu, mais ce n’est plus un jeu, c’est bel et bien la réalité. Je sais que je ne dois pas m’en tenir à de banales retrouvailles, je sais que ça va surement être explosif, nous connaissant. Mais nous n’avions pas réellement le choix. Je jette ma cigarette fini à l’eau, et je regarde mon portable. Un nouveau portable, mais toujours le même fond d’écran, Riley & Moi après une folle nuit, à s’embrasser sous la couette. Pourquoi faut-il qu’entre elle & moi ce soit toujours si compliqués ? Je ne sais pas réellement, mais je veux profiter de ma vie, même si je ne suis pas un mec clean, je sais ce que je vaux et qui je suis réellement, comme je sais qui est Riley au fond surtout quand l’on est ensemble. Nous sommes tous deux fiers et avons tout deux changés pour finalement nous retrouvés, jusqu’à cette dispute. Je suis sans doute redevenu le connard que tout le monde redoute ou apprécie, mais à mes yeux je ne suis rien, sans elle. Un homme si fier qui ose admettre ça, c’est tellement déroutant que j’en ris, un rire nerveux que je ne peux m’expliquer, et puis finalement si, encore et toujours Riley, sans qu’elle soit là, du moins pour l’instant et puis, si elle est là, elle arrive. Un gilet sur les épaules, les cheveux doucement bercés par le vent léger qu’il y a, je me mets finalement dos à la barrière et attend qu’elle me voit, et elle arrive enfin. Elle est belle, et un peu plus bronzée que je ne l’ai déjà vu, mais elle est toujours aussi belle que je l’ai connu. J’aimerais être dans sa tête pour savoir ce qu’elle pense de tout ça, mais je sais qu’elle m’en veut, je sais que je lui en veux aussi, mais comment sommes-nous censés nous retrouvés dans un tel climat qu’il va falloir mettre à plat ? Et qui le fera, je la connais. Cela promet d’être long et rempli de cris, alors que faire réellement ? Attendre. Elle arrive, elle n’est qu’à quelques pas de moi à peine. Je veux lui sauter dessus et la prendre dans mes bras, la porter et la garder contre moi, mais elle me giflera. Je préfère éviter et mettre les choses à plats, et puis merde, il faut que je parle « Hey.. salut Riley.. comme je te l’avais promis, je suis revenu. – Certes pas en bon état comme j’avais dis – Tu n’avais pas réellement à t’inquiéter.. alors.. comment vas-tu ? » Je ne savais pas quoi dire et je crois que j’ai dis des choses que je n’aurais pas du dire, la titiller à peine revenu.. joli Cec.. .
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MessageSujet: Re: « L’amour, le vrai, l’inconditionnel, est vrai, et ne s’oublie jamais » | Riley « L’amour, le vrai, l’inconditionnel, est vrai, et ne s’oublie jamais » | Riley EmptyJeu 7 Juil - 14:31

We opened up a cold case love × Riley & Charles On my roof, dark and I'm burning a rope. I don't need proof, i'm torn apart and you know . What you did to me was a crime. Cold Case Love, I’d I let you reach me one more time, but that's enough. Your love was breaking the law But I needed a witness So wake me up when it's over It don't make any difference Will it ever be solved Or am I taking the fall Truth was there all along Tell me how did we miss it, We opened up a cold case love, And it got the best of us And now prints, pictures & white outlines Are all that's left at the scene of a crime Of a cold case love, oh-oh, oh-oh ohh Should've investigated But love blinded eyes Couldn't see (no) And then I tried to cage it But your love ain't the kind you can keep Release me now cause I did my time Of this cold case love My heart's no longer cold & confined I've had enough, uh oh ohhh •• rihanna → cold case love / gif;tumblr

Cold Case Love by Rihanna

« RILEEEEEEEEEEEEEY ! » la voix perçante de ma colocataire me transperça les oreilles, rompant le charme que m’apportait le sommeil. Pour une fois depuis quelques temps j’avais fait un rêve, un beau rêve, avec toute une assemblée de princes et de princesses, et il y avait des chevaux qui volait, de magnifique chevaux qui ressemblait plus à des licornes volante. Il y’avait aussi des châteaux, beaucoup beaucoup de châteaux faits de sucrerie, et de chocolat. Ils se ressemblaient tous sauf le mien qui était plus beau, plus grand et surtout plus rose. Et tout en haut, juste pour comblée le bonheur que m’apportait ce rêve, une statuette en forme de drakattak se trouvait entre deux diamants en forme de cœur bleu, symbolisant mon enfance avec mes pokémons. Oh oui, ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas rêvée de contes de fées. Depuis tellement longtemps que je me suis même demandée, quand est-ce était la dernière fois, ou j’ai vu un Disney moi. On y pensant ça me faisait presque rire, notre confrérie était censé être la plus provoquante, et elle l’était mais du moins aux yeux des autres. Parce que une fois qu’on l’intègre, on se trouve avec une bandes de bambins tout aussi enfantin que vous ne l’êtes vous mêmes, passionné de toute sorte de contes, de jeux et de dessin animée, et c’est un peu pour ça qu’on dit que les iota’s sont les plus soudées, je l’ai comprise, en faisant partie d’eux, nous sommes tous unis parce qu’il y a bien une chose derrière tout ça, une chose dont personne ne s’en douterais si ils ne nous connaissaient pas. J’avais entendue l’appel de Tinsley, mais je restais silencieuse, les yeux ouverts sur le plafond, pensant encore à ce que j’avais rêvés, me demandant que serait la fin, de cette aventure immature, si ma colocataire n’était pas venu me réveillé. Tinsley Andrea Barckley, une fille formidable, presque mature, susceptible, têtue & rancunière mais adorable comme tout. Je l’ai connue quand j’avais deux ans, nos mamans étaient voisines et grandes amies, et elles nous emmenaient chaque jour pour jouer dans le parc du coin. Je suis la seule à l’appeler Tine, les autres en tendance à la surnommée, Tiny ou Lily. Je l’aime par-dessus tout même si elle s’avère chiante par moment, comme maintenant par exemple. « Enfin, tu t’es réveillé ! », elle me regardait avec ses yeux brillants, mais différemment cette fois, on pouvait y voir de l’inquiétude. Elle avait mon téléphone dans sa main. Je ne compris pas tout de suite, mais je sus qu’il y avait quelque chose qui la rendait dans cet état ; la tine que je connaissais était toujours souriante, et de plus elle se moquait de mes cheveux ébouriffés, à chaque fois qu’elle venait me réveillé. « Et comment que je me suis réveillé ! Avec toi je suis loin de dormir ma Tine », sooo lâche le morceau tinsley, tell me what happening, j’attendais son verdict avec impatience parce que la connaissant, elle ne s’inquiétait pas pour un rien. Elle prit mon portable qu’elle tenait toujours séré entre ses doits et commença à chercher quelque chose, puis après un moment de réflexion à relire ce qui s’affichait sur l’écran tactile de mon iphone, elle le tourna vers moi et le posa dans la paume de ma main. Je le pris, et je lu ce message, je le lu et je le relus juste pour être sûre que c’était bien lui, que c’était bien son numéro, parce que même si je l’avais supprimé de mon répertoire à l’instant où il s’est en allé, je me rappelais toujours de ses chiffres. Un sms simple, que je ne m’attendais pas à recevoir, pas après trois mois, me demandant de le retrouver au ferry de l’embarcadère. « Tu crois que je devrais y aller ? Je n’ai pas réellement envie de remuer le passé. », le passé, oui parce que maintenant tout ceci n’appartenait plus à l’instant présent, nous nous sommes disputées et au lieu de me prendre dans ses bras, charles-edouard à juste décidé de s’en aller. Je ne dis pas que je suis une sainte, mais c’était trop, beaucoup trop, j’en avais marre de lui, marre de notre relation mais je ne pouvais pas m’en séparer, parce que je l’ai aimais. Et même après tout ça je pense qu’au fond de moi, je ressens toujours quelque chose pour se monstre. Oui, monstre parce qu’il ma fait souffrir, il m’a puni pour une chose que je n’ai pas faîtes ; il m’a vite jugée en voyant les photos avec samuel, j’ai eue bau lui dire que ce n’était qu’un défit, qu’un simple défit lancé par Damien, mais rien, il n’a rien voulu entendre. Comme-ci c’était nouveau, j’aimais charles-edouard, certes, mais je n’étais pas aveugle, même si je voyais ses quelques qualités, je pouvais apercevoir de loin ses nombreux défauts, par exemple son côté jaloux et provocateur me rendait plus que malade. Et à chaque fois que j’essayais de le lui faire remarquer, il me prenait au dépourvu de mes sentiments en changeant de sujet. Je regardais Tiny, une dernière fois, pour voir ce qu’elle pensait de tout ça, et elle hocha sa tête comme pour me dire, que je devais le voir, rien que pour que j’essaye de lui donner une chance, pour le laisser m’expliquer ce qu’il l’avait pris mais sans pour autant lui pardonner à l’instant. Parce que je n’étais pas le genre de fille, que l’on jette de la sorte. Alors, je me levais de mon lit chaud avec grand regret, cette journée de juillet était bien belle mais bien humide aussi. Je pris une douche froide rapidement, et je mis à la vite un jean et gilet en fourrure pour me tenir un peu chaud, car le matin ne me serait pas d’une grande aide pour se coup.

La rue était vide, quelques passant par çi, par là, une jeune femme tenait sa petite fille dans ces mains, et elle paraissait heureuse, vraiment heureuse. Je me demandais, est-ce qu’un jour je serais à sa place, je deviendrais une jeune maman, me promenant avec un petit bout de chair qui était mien dans les bras. Cette pensée me donna des frissons, depuis toujours ma plus grande crainte dans la vie était de perdre mes parents, c’était fait, et je ne m’en suis pas remise, mais après ça, ma peur vira dans un tout autre contexte, celui de la vie, la vraie. Maintenant que je n’avais plus ma famille près de moi, j’avais peur de tout. Quand je me levais le matin, j’avais peur que les gens ne m’aiment plus, alors j’ai forgée une réputation de garce que tout le monde apprécie, puis j’ai eue peur que l’on me rejettes, alors je me suis construit des liens aussi fiable que la roc, aujourd’hui j’ai peur de ce que je suis devenue, parce que ce n’est pas moi, et j’en ai marre de faire semblant, aujourd’hui j’ai peur de ce que je vais devenir après, si je vais réussir dans ma vie professionnelle, si je vais réussir à être une mère aimante, mais je ne sais pas cette fois-ci comment je vais faire pour m’en sortir, alors j’essaye de faire de mon mieux pour éloigner les personnes qui me feront du mal, ou les personnes qui aiment cette Riley explosive que je suis maintenant, en prenant par exemple mon amour perdu, Charles-Edouard Castello. Le ferry, un petit rire ironique s’échappa de mes lèvres en pensant à cet endroit, Charles ne pouvait être plus prévoyant, il ne trouvait qu’un endroit comme l’embarcadère pour notre rencontre, un endroit qui emmène à la prison la plus renommée d’Amérique, l’alcatraz, ou le célèbre acteur Al pacino a purgé sa peine, très romantique, ou peut-être convoitait-il d’en finir avec moi avant de se rendre de ses propres main en prison ? Tout ça n’avait pas de sens, mais le connaissant, il avait du choisir un endroit au pif, sans penser. J’étais presque arrivé à notre point de rencontre, quand je me décidais finalement de rebrousser chemin. Je ne savais pas si c’était de la peur, ou autre chose, mais je savais juste que j’étais stressé de le revoir après tout ça, parce que je savais que j’avais encore des sentiments pour lui et que peut-être j’allais encore une fois sombrer dans le profond sentiment de l’amour, qui ne cessait de me hanter. Je pris la deuxième rue sur ma gauche, et j’avançais jusqu’à m’éloigner le plus possible de l’endroit de notre rencontre. Je pris mon iphone de mon sac et j’y branchais mes écouteurs, à fond dans mon love me tender de presley, je ne vis pas le bâtiment qui se dessinait près de moi. Moi qui connaissais SF comme ma poche, je ne comprenais pas comment cette tour pouvait se retrouver là, alors qu’elle n’était pas la fois dernière. Je décidais donc d’entrais pour me renseigner. « Bonjour mademoiselle que puis-je faire pour vous ? », Une petite dame trapue, le visage rond, et de grande lunettes rose sur le nez, me regardais avec intérêt. « Oui Bonjour, puis-je savoir qu’elle est donc cette tour ? », elle leva un peu plus la tête pour mieux me voir, et un léger sourire se dessina sur ses lèvres. « Ceci est une tour pour touriste, vous prenez l’ascenseur et vous montez, à chaque étage vous pourrez voir une partie de San Francisco, et de plus c’est gratuit, n’est-ce pas merveilleux ? », émerveillez par les paroles de l’hôtesse, je ne pris même pas la peine de lui répondre, et je me dirigeai vers les ascenseurs, une folle idée avais-traversé mon esprit. Si l’on pouvait apercevoir presque tout les endroits des sf, de cette tour, je pourrais sûrement voir, l’embarcadère ? J’entrais dans l’ascenseur, qui était aussi beau de l’extérieur que de l’intérieur. Des miroirs ornaient l’endroit, et les touches étaient peintes d’un magnifique doré. J’appuyais sur la dernière touche pour monter jusqu’en aux. Les portes s’ouvrirent, on avait l’impression de se trouver à Paris, dans la tour Effel, l’endroit donnait sur l’air, et il y avait des jumelles un peu partout. Sauf que l’endroit était quasiment vide. Je m’approchais d’une des jumelles, j’y entrais une pièce, et je mis mes yeux dans les deux trous noir. En l’ajustant, et en zoomant un peu, je pis apercevoir charles, fumant sa cigarette dans un coin, jetant un regard par-ci par-là, en le voyant je me sentis un peu mal de le laisser attendre de la sorte, je n’aurais pas voulu qu’en me pause un lapin moi. J’étais une fille forte je le savais, alors pourquoi je ne pouvais pas aller à sa rencontre, était-ce lui qui m’avais changé, ou était-ce moi qui était devenue si sensible ? Je devais y aller, je le devais ! Pour lui, mais pour moi d’abord, je devais savoir la raison de son départ, mais aussi celui de son retour, ça n’allait pas être facile, mais je savais que je pouvais le faire, parce que j’étais forte. Alors, je fis demi-tour, pour me retrouver quelques instants après, ou je devais le retrouver. Don’t be scared, you’ve done this before ! Oui je l’avais déjà fait avant, alors j’avançais encore de quelques pas vers lui, mais il ne m’avait pas encore vue, il était perdu dans ses pensés. Hmm, je voulais commençer par prendre parole, mais je ne savais pas trop que dire, alors je restais figée à ma place, mes cheveux doucement bercé par l’air, quand il se décida enfin de se tourner vers moi. « Hey.. salut Riley.. comme je te l’avais promis, je suis revenu. » Oh il était revenu, il me l’avait promis. Que c’était évident, de voir un cec pas très sûre de lui, pas très sûre de ce qu’il disait ou de ce qu’il voulait entendre. Alors comme ça, il était revenu, quelle grande surprise, comme çi je ne m’en étais pas déjà douté dès le début. Il était con, ou il faisait semblant ? Parce que sérieusement si il croyait qu’une simple promesse pouvait tout changer, il avait tout faux, mais alors tout faux. Si je m’étais disputé avec lui, c’était parce qu’il était parti juste comme ça après une dispute. Et quand il me dis qu’il allait revenir, je ne m’était pas aperçue que c’était une promesse, mais plutôt une menace. « Bonjour à toi aussi Charles, alors comme ça tu es revenu. Quelle grande surprise, je m’en réjouis.», ironique, certes mais c’était fait façon Riley&Charles. Et comme j’aimais le provoqué, je ne me doutais pas qu’il allait sortir une de ses grande réplique made in cec. Mais malgré tout ça je me demandais ou il était allé, peut être qu’après tout je n’étais pas la seule à qui il avait fait ce coup, peut-être qu’il y’en avait d’autre, des femmes dans sa vie. « Tu n’avais pas réellement à t’inquiéter.. alors.. comment vas-tu ? » oh mais non, don’t worry charles, je ne me suis pas inquiété, surtout que tu es revenu, en parfait état ! Des bleus partout, du sang pas encore sec sur son bras, et sa chemise était un peu déchirer d’un coin. Il était partit en vacances, ou il était parti combattre à Tel aviv, celui là ? « Comment vais-je ? Oh tu peux te rassurer, ça vais tellement mieux que lorsque tu m’as laissé. Mais je devrais dire, comment vas-tu ! On jurerait que tu fais partie du Mossad ! » Encore ironique, mais là je me doutais un peu que la dernière partie, avais quelque chose de vrai. Charles me cachait quelque chose, et je devais savoir ce que c’était. Parce que si c’est quelque chose de dangereux, cela peut nous mettre, ainsi que tous ses proches en danger. Mais venant d’un Gamma, il ne doit pas trop s’en soucier. « Mais sinon comment vont tes autres conquêtes, tu me ferais un plaisir de me les présenter », et une dernière pour pimenter un peu plus notre conversation. Tout de même, je savais qu’à chaque mot, qu’il allait prononcer, je me sentirais encore plus mal, et je le détesterais encore un peu plus. Alors, je souhaitais qu’il se taise à moins qu’il ne m’explique ce qui se passer par içi, parce que moi, je ne comprenais plus rien. I feel so lost but what can I do ?
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MessageSujet: Re: « L’amour, le vrai, l’inconditionnel, est vrai, et ne s’oublie jamais » | Riley « L’amour, le vrai, l’inconditionnel, est vrai, et ne s’oublie jamais » | Riley EmptyLun 22 Aoû - 23:58

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MessageSujet: Re: « L’amour, le vrai, l’inconditionnel, est vrai, et ne s’oublie jamais » | Riley « L’amour, le vrai, l’inconditionnel, est vrai, et ne s’oublie jamais » | Riley Empty

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