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Croyez vous aux histoires de fantômes ? Vous devriez, vous en vivez une ! | PV Rowan |

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MessageSujet: Re: Croyez vous aux histoires de fantômes ? Vous devriez, vous en vivez une ! | PV Rowan | Croyez vous aux histoires de fantômes ? Vous devriez, vous en vivez une ! | PV Rowan | - Page 2 EmptyVen 1 Juil - 1:23



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DAWAN « I've got this feeling that there's something that I missed, don't you breathe, don't you breathe. Something happened, that I never understood, you can't leave, you can't leave. Every second, dripping off my fingertips wage your war, another soldier, says he's not afraid to die, well I am scared, I'm so scared. In slow motion, the blast is beautiful, doors slam shut. A clock is ticking, but it's hidden far away, safe and sound, safe and sound. » SOMEWHERE A CLOCK IS TICKING • Snow Patrol


    Ils n'étaient tout bonnement pas croyables, malgré l'incroyable histoire qu'ils vivaient, ils trouvaient cependant le moyen d'en faire abstraction et de déchaîner les démons qui sommeillaient en eux. Toute personne normalement constituée serait pris de panique, l'instinct de survie prendrait le dessus les soumettant à une lutte acharnée, mais eux non. Ils préféraient rester immobiles, l'un devant l'autre à jouer sur les mots, à avoir la dernière réplique malgré les soit disant fantômes environnant. Mais répondre aux ripostes de Damian la distrayait et lui permettait de s'évader de l'endroit infernal digne d'un décor à la famille Adams. Restant ainsi concentrée et verrouillant sa cible, elle échappait à la panique qui pouvait la saisir à tout instant et qui la rendrait chèvre. Analysant minutieusement la disposition des lieux, une vague de découragement l'envahit, cela faisait une éternité qu'ils se disputaient au milieu d'un salon qui n'était pas le leur et la situation se dégradait d'heure en heure ou de minute en minute, le temps avait perdu toute sa valeur entre ses murs. C'était comme avoir oublié ses clefs et attendre que maman rentre du travail sur les marches du perron, être enfermé dehors, événement horrible lorsqu'on aborde le jeune âge mais une idée bien séduisante dans un moment pareil. Les cris des animaux nocturnes éveillèrent son attention, la nuit montrait enfin le bout de son nez et ils étaient encore pris au piège tels des lapins. Elle caressait cette mirifique utopie de liberté, s'envoler dans le ciel étoilé loin de cette cabane direction le lagon des sirènes, son disney préféré était Peter Pan et non le manoir hanté et les 999 fantômes. Voilà que son hypoglycémie la faisait divaguait, les contractions rythmiques de son estomac la brulaient de l'intérieur sans qu'elle n'ait de cheese cake à portée de main pour se rassasier, accentuant son humeur d'ores et déjà acerbe. Rien n'allait, il était inutile de se rassurer, de se dire que tout allait miraculeusement s'arranger, limite si ils ne vivaient pas leurs dernières heures ensemble, quelle douce compagnie, elle aurait au moins voulu les passer avec William ou encore Drew qui l'aurait fait rire jusqu'à en pleurer même sur son lit de mort. On les retrouverait un beau jour, une cinquantaine d'année plus tard, une bande de mômes partant en classe verte et visitant les ruines de la région. A la découverte de leur squelette, la débandade, un véritable cataclysme, des cris d'effroi, des corps piétinés et telle se finira l'incroyable excursion de Damian et Rowan. Ne voulant plus y penser, la jeune femme reporta son attention vers son acolyte, plantant son regard dans le sien, un regard froid qui devint cependant troublé l'espace de quelques secondes. Une once de culpabilité la prit de court, elle s'attendait à des paroles sarcastiques, à double tranchant, capable de la saigner à sang, mais à de l'honnêteté, pour sûr que non. Elle le contempla un instant, l'inimitié mise de côté et dévoilant une petite part de bonté, elle répondit posément. « J'en suis navrée... ». Que dire d'autre? Elle était aussi riche que Crésus, n'avait eu aucun souci d'argent par le passé et était entrée à Berkeley par piston. Mais cela, il n'avait pas besoin de le savoir. Lui dire qu'elle comprenait aurait été se foutre ouvertement de sa gueule en soit, elle ne préféra donc pas épiloguer sur le sujet et se retrouver dans une mauvaise posture, avec la chance qu'elle avait, Damian pourrait très bien lui dire que les inégalités dans le monde, cette mauvaise répartition des richesses et toutes les autres conneries étaient de sa faute. Nous y revoilà, la douce méchanceté gratuite refaisait son apparition, au moins, ça balayerait ce bref instant de gène, même si elle avait envie de mettre fin à toutes ces railleries, à la longue s'en était usant et la Rowan version Cruella ne disposait plus de l'énergie nécessaire. Elle planta son regard dénué de chaleur dans les petits yeux marrons du capitaine des rouges. « Au sommet de la gloire, je ne suis pas une athlète de renom mais une entrepreneuse qualifiée. ». Elle le défia du regard, il ne pouvait pas dire le contraire, depuis que son père lui avait cédé deux casinos, la prospérité était au rendez vous et même si la photographie la passionnait beaucoup plus, elle était fière de ses capacités à gérer une grosse compagnie dans un monde totalement abstrait. Discrètement, elle se mordit la langue, s'empêchant de décréter que pour elle au moins ça rapportait gros alors que gambader dans l'herbe fraîche à la poursuite d'un ballon n'assurait pas un avenir confortable. Mais revenons en à la cabane.

    Pendant qu'elle se concentrait sur le monde de Oui-Oui, ouais bienvenue au pays des jouets, elle essayait en vain d'échapper à la réalité, à échapper à la présence qu'elle avait pressenti une fois esseulée, la porte sur laquelle elle s'était lamentée s'ouvrit à la volée sur un Damian haletant mais n'ayant rien perdu de sa répartie et de son sarcasme. Very funny... Elle se pinçait les lèvres, le lorgnant de ses yeux meurtriers. « Non, je fais un tennis. ». Roulement de pupilles, elle poussa un profond soupir imprégné d'animosité. Elle avait eu une peur monstre, avait cru que sa dernière heure avait sonné et avait perçu la fraîcheur de la mort, l'heure n'était donc pas à la blague. Peut être allait-elle passer pour une rabat-joie de première, une de ces idiotes coincées qui n'arrivent jamais à se détendre et que l'on trouve rasoir à en périr mais les circonstances exceptionnelles dans lesquelles elle baignait ne lui laissaient guère le choix. Une girouette, voilà ce qu'elle était, passant du chaud ou froid en un temps infime, plus la nuit défilait et plus elle avait l'impression d'être la marionnette de Damian et réciproquement, ils savaient tous les deux comment l'autre aller réagir et prenaient un malin plaisir à se rendre marteau mutuellement. Coexistence pacifique. La solution de la sagesse. Rowan décroisa lentement les bras, ne le quittant pas du regard, elle formula une proposition sincère qui pouvait les sortir d'ici une bonne fois pour toute. « Et si on remettait ce petit jeu à plus tard et que l'on se serrait les coudes. ». Elle haussa les épaules avant de poursuivre. « Je n'irai pas jusqu'à dire que Drew me manque, mais dormir sur ce tapis poussiéreux ne me dis rien qui vaille. ». Peut être arriverait-il à déceler cette petite touche d'humour, premier pas vers leur réconciliation éphémère. Ce dont il était certain, c'est qu'ils ne pouvaient compter que sur eux mêmes, Drew devait être dans les bras de on ne sait qu'elle jeune fille naïve et rentrerait probablement à la villa aux premières lueurs matinales après avoir joué au womanizer toute la nuit. C'était le genre d'ami en or sur qui on ne pouvait pas compter. Dans la pénombre qui les recouvrait, Rowan distingua l'antre d'une porte, peut être menait-elle vers le droit chemin. Elle décida de s'y engouffrait, prenant soin d'éviter les obstacles qui se dressaient devant elle et encouragea Damian à s'élancer à sa suite. Pénétrant dans cette nouvelle pièce sur la pointe des pieds, elle attendit patiemment que ses yeux s'habituent à l'obscurité, si ses calculs étaient exacts, une seule salle les séparait de l'arrière de la cabane, donc d'une issue éventuelle menant à un jardin défraîchi. Mais avant de pousser ce cri victorieux traduisant « on est sorti de ce pétrin! » un halo de lumière attira son attention à sa droite. Source d'énergie dissimulée derrière une nouvelle porte, la lueur tremblotante disparaissait et réapparaissaient à des intervalles de temps réguliers. La curiosité est un bien vilain défaut, Rowan tendit l'oreille vers l'endroit où se trouvait la mystérieuse lumière et reconnut un bruit de pas, celui d'un homme, d'une femme, ou de on ne savait quoi encore, tournant en rond, proie à une intense réflexion sans doute. La sortie n'était plus que à deux pas mais une envie irrésistible de percer le secret de la cabane abandonnée se fit sentir, elle consulta Damian du regard, essayant de deviner le fond de ses pensées. Silencieusement, elle pointa le doigt en direction des craquements et l'interrogea du regard. Le sort était désormais entre ses mains, soit ils sortaient maintenant et sauvaient par la même occasion leur peau ou soit ils prolongeaient leur petit périple et se jetaient dans la gueule du loup.
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MessageSujet: Re: Croyez vous aux histoires de fantômes ? Vous devriez, vous en vivez une ! | PV Rowan | Croyez vous aux histoires de fantômes ? Vous devriez, vous en vivez une ! | PV Rowan | - Page 2 EmptyVen 1 Juil - 17:19

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HAVE YOU ANY IDEEA WHY A RAVEN IS LIKE A WRITING DESK ?
I want you to hit me, as hard as you can. Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal. On a frôlé la vie ! C’est votre vie et elle s’achève minute après minute Fight Club.
On a parcouru le chemin, on a tenu la distance et je te hais de tout mon corps. Littéralement nous n'avions pas réellement parcouru beaucoup de chemin, à vrai dire, depuis que j'avais croisé la jeune femme je n'avais plus vraiment avancé, en fait si depuis quelques minutes ou heures, j'avais perdu toute notion du temps, j'étais au même endroit c'était uniquement à cause de Rowan. C'était elle qui me ralentissait à toujours vouloir surenchérir, cette obsession de vouloir avoir le dernier mot était ce qui nous retenait prisonnier de cette cabane, c'était ce qui faisait que nous ne progressions pas et qu'au lieu de penser à comment sortir nous préférions réfléchir à une remarque plus poignante qui clouerait le bec à l'adversaire. Ce qui à la base devait être un moyen de se divertir pour éviter de penser au décor lugubre qui nous entourait était à présent devenu ma priorité quitte à même en oublier de sortir de cette pièce. Quand il s'agissait de jouer j'étais comme les enfants, une fois lancé j'étais difficilement arrêtable, d'une part, car tout ceci m'amusait grandement et d'autre part, car je le voulais ce dernier mot, j'avais besoin d'être celui qui lancerait la remarque finale, abandonner n'était pas mon genre et la moindre chose devenait prétexte pour se mesurer à quelqu'un d'autre, à tout prendre comme une compétition j'allais finir un jour par aller trop loin et dépasser les limites. Au final, même dans une situation critique comme celle dans laquelle je me trouvais présentement, la jeune femme continuait de m'exaspérer comme c'était pas permis. Il était impossible de décrire à quel point je haïssais cette femme, elle ne m'avait pourtant jamais rien fait, si ce n'est le fait de me tenir tête, et pourtant dès que je la voyais c'était plus fort que moi, il fallait que ça sorte, allez savoir pourquoi, y à des gens avec qui c'est juste physique...Vous les voyez pouf vous pouvez pas les encadrer. Pourtant, alors que je la détestais plus que les mots ne pouvaient l'exprimer, je venais à me confesser à elle, dans un élan de folie je venais à lui dévoiler ma vie alors que ce que je désirais était au total opposé de ce que je venais de lui dire. Je ne voulais pas apprendre à la connaître, je ne voulais pas qu'elle me connaisse, la relation que nous entretenions me correspondait parfaitement et je n'en demandais pas plus, et pourtant d'une façon des plus naturels je glissais dans la conversation que j'étais pauvre alors que de toute évidence ce n'était pas son cas à elle. Elle ne pouvait pas comprendre et je ne voulais pas qu'elle cherche à le faire, étant dans une période plutôt triste et difficile de ma vie je ne tenais pas à m'ouvrir aux autres et si je devais le faire ce ne serait certainement pas auprès d'elle que je me confierais. Sa réponse confirmais bien ce que je pensais, elle ne pouvait pas comprendre, son « j'en suis navré » prouvais bien que nous avions des points de vues différents. A entendre son intonation on aurait cru que ne pas être riche était quelque chose de malheureux, on pouvait vivre de façon très convenable sans forcément être riche comme crésus, c'était même mieux, n'avoir que le strict minimum m'évitait de tomber dans l'excès, à la différence de tous ces adolescents qui avaient tout pour eux et qui ne se privaient pas pour faire de leurs vies un véritable cirque. Le petit moment de gène passé nous reprenions les bonnes vieilles habitudes et repartions sur ce que nous avions commencé précédemment, chose qui me faisait sourire, autant que la remarque de mon interlocutrice. Un petit sourire en coin j'avais du mal à l'imaginer à la tête de quelque chose, elle n'avait pas vraiment l'apparence d'une femme d'affaire, mais comme on dit l'habit ne fait pas le moine, « Tu n'en as pas l'air. ». Commençant à fatiguer je me lassais de ce petit jeu qui à mon goût durait un peu trop longtemps, il était amusant, mais sur la durée il devenait vite lassant, à petit dose c'était bien cependant je n'étais plus très loin de l'overdose, mais god, I hate her so much.

Me réjouissant de son malheur je prenais un malin plaisir à la taquiner, à tirer avantage de la situation, apeurée je n'étais pas là pour la réconforter, tout ce que je voulais c'était sortir et rentrer chez moi le plus vite possible. Sortant d'un entrainement des plus épuisants j'étais sur le coup légèrement irritable, pourtant je ne perdais en rien mon sarcasme et mon attitude provocatrice que Rowan connaissait si bien, elle pouvait même se vanter d'être la seule à connaître cet aspect de ma personnalité qu'habituellement je n'affichais pas, après tout il n'y avait pas de quoi en être fier. « Ben elle est où la balle ? ». Continuer était stupide mais c'était également tellement amusant, profiter de ces quelques secondes où la jeune femme était faible n'avait pas de prix, c'est pourquoi je souhaitais en profiter encore quelques instants, Damian c'est un con quand il s'y met. Et puis finalement ce fut mon tour d'être prix au dépourvu, alors que je m'attendais à de nouvelles remarques pertinentes et ô combien recherchées, je me retrouvais face à une demande de paix...L'ennemi serait en train de capituler ? De se rendre ? Enfin avait elle ouvert les yeux pour se rendre compte que face à moi elle n'avait aucune chance de gagner ? Méfiant je prenais cette demande avec des pincettes, était elle sincère ou bien était ce encore un mauvais tour qui cachait quelque chose derrière, et ce quelque chose n'était forcément pas quelque chose de bon. Tournant la tête dans tous les sens à la recherche d'une autre personne je ne voyais rien aux alentours si ce n'est ce décor lugubre qui depuis le début n'avait pas changé, me montrant du visage je prenais de nouveau la parole un petit sourire en coin sur un ton ironique, « A moi que tu parles ? » la surprise fût tellement grande que c'était à peine si j'avais réussi à sortir quelques mots de ma bouche. Se serrer les coudes, en voila une drôle d'idée, rien que le fait de m'imaginer en train de s'aider mutuellement avec Rowan me donnait un frisson qui me parcourait tout le corps me faisant tressaillir. « Moi je pourrais passer tout le reste de la semaine ici... », à la suite de mes paroles, et avec un timing parfait, un bruit des plus suspects faisait son apparition dans la pièce, reprenant très vite la parole je me mettais en route vers la pièce suivante « Euh ouais en fait vaut mieux partir. » Suivant et imitant la jeune femme je la laissais me guider, me contentant simplement de la suivre j'avais décidé de ne plus prendre d'initiative, comme ça s'il devait arriver quelque chose on ne pourrait pas m'accuser. Bizarrement nous progressions, c'était une fois la hache de guerre enterrée que nous avancions le plus, ça ne m'étonnait pas, étant donné que nous ,n'avions plus besoin de se concentrer l'un sur l'autre nous n'avions d'autre choix que d'utiliser le peu d'énergie qu'il nous restait pour trouver un moyen de sortir de cette satané cabane. Penseur, voir même rêveur, rêver à la liberté qui au fil des minutes semblait de plus en plus accessible, la jeune femme devant s'arrêtait pour se tourner vers moi et pointer du doigt une porte sur ma droite. Ho mon dieu !! Moi qui avait décidé de ne plus prendre de décision, voilà qu'elle remettait notre sort entre mes mains, d'un côté la sortie, nous pouvions presque toucher la poignée de la porte qui serait notre sésam, et de l'autre côté une autre porte qui était totalement mystérieuse, la seule chose que je savais, c'était que derrière il y avait les réponses à toutes les questions que l'on pouvait se poser sur cet étrange endroit. La tentation était trop forte, depuis le début mon choix était fait...Prenant les rennes je passais devant la jeune femme en direction de la pièce mystère, me tournant vers elle je chuchotais « Celle là on va l'ouvrir normalement, j'commence à avoir mal au bras. ». Tournant la poignéej'ouvrais petit à petit la porte, ne laissant dépasser que ma tête je ne voyais rien, il n'y avait rien si ce n'est une télévision allumée et des escaliers. Ouvrant en grand la porte je rentrais sans aucune crainte, depuis le début la cause de tous ces bruits n'étaient qu'une télé, vraiment décevant. Fier, je levais la tête pour observer tout autour de moi « « Tu vois y avait pas de quoi... » boum. TV éteinte, sans aucune lumière je perdais les pédales et commençait à courir partout dans l'obscurité la plus total je bousculais quelque chose, quelqu'un ? Tombant à la renverse sur cette chose je passais mes mains dessus, ressemblant à la silhouette d'un être humain je tatais, « Rowan ? » dans le doute...
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MessageSujet: Re: Croyez vous aux histoires de fantômes ? Vous devriez, vous en vivez une ! | PV Rowan | Croyez vous aux histoires de fantômes ? Vous devriez, vous en vivez une ! | PV Rowan | - Page 2 EmptySam 2 Juil - 1:56



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DAWAN « Eagle in the dark, feathers in the pages, monkeys in my heart are rattleing their cages found a way to blue. Another ghost to follow said it's only up to you, it's the hardest pill to swallow. Mmmmmhmmmmmhhhmmm. You never get to choose, you live on what they send you and you know they're gonna use things you love against you. One foot in the grave, one foot in the shower, there's never time to save, you're paying by the hour and that's just the way it goes. Falling awake and that's just the way it goes. » FALLING AWAKE • Gary Jules



    Elle était bien d'accord avec lui, la Rowan que Berkeley connaissait, était une personne calme, qui vivait sa vie dans son coin sans ne faire de mal à personne, qui ne montrait pas une ambition aliénée comme la plupart des étudiants californiens. Imaginer la fille qui vivait la tête dans les étoiles, souvent en retard à l'amphi à cause de sa navette spatiale qui faisait des siennes chaque matin ignorant le réveil braillant, devenir propriétaire et par la même occasion de bâtiments d'un tel prestige, relevait de l'impossible. Mais impossible n'était pas Rowan, certains matins, elle se réveillait avec l'envie de décerner ses responsabilités à quelqu'un d'autre et de se laisser guider, comme une personne qui a les yeux bandés durant un jeu de piste. Au moins, on ne pouvait pas la blâmer pour quoique ce soit, par contre, c'était grâce à ce comportement qu'on lui avait imposé tout ce cinéma, Rowan n'est pas assez grande pour faire ses choix, et bien papa sait ce qu'il y a de mieux pour Rowan. Bingo loto, maintenant sa carrière professionnelle était toute tracée, qu'elle en est l'air ou pas. De plus, c'était un sujet plutôt sensible, même si elle affichait une grande fierté quand le thème était abordé, la joie qui en résultait, s'avérait être illusoire. « Je sais.». Murmura-t-elle en arquant un sourcil comme si c'était l'évidence même. Toujours cette envie de se montrer désagréable, ce besoin inexplicable d'agir amèrement vis à vis de lui, comme si elle ne pouvait pas révéler sa véritable personnalité sans le regretter par la suite. Confrontée pour la première fois à une situation comme celle-ci, elle n'apercevait pas le bout du tunnel, s'entendraient-ils un jour, la question à un million, réponse C « je ne sais pas. » et ce sera mon dernier mot Jean Pierre. A la longue, leur animosité grandissait et elle paraissait irréversible, les jours suivants à la villa, s'annonceraient enchantant, avec Drew, le pacificateur au milieu de cette guerre froide, le petit trio revivrait les plus grands moments historiques de ces dernières décennies. Heureusement qu'à défaut de bombes atomiques, ils possédaient les petites fusées à eau de Jason trônant dans la piscine en cas de nécessité. Quand elle dévisageait ses traits, non pas parce qu'il l'attirait mais par ennui, retenue captive par la bicoque, il fallait bien qu'elle se distrait en regardant les mouches volaient, elle ressentait une vague d'aversion intense qu'elle parvenait à masquer non sans peine. ♪ I haaate everything about yoouu. Why do I love youuu? ♪ Petit sourire perfide aux lèvres, à la minute où elle franchirait la porte de leur home sweet home, elle troquerait illico la musique banale de son réveil matin pour du Three Days Grace criard à en rendre fou son colocataire têtu et borné. La vie ne serait pas rose tous les jours, mais c'était plus fort qu'elle, elle ne pouvait lutter contre ses petits plaisirs mesquins et après cette nuit, LA pire nuit de sa vie, la dernière chose à faire était bien de s'assoir en tailleur et fumer le chalumeau. Il fallait se rendre à l'évidence, entre eux la tension était électrique, et le petit malin qui essaierait de les rabibocher n'échapperait pas au coup de jus fataliste. Seul espoir, un miracle, et dieu n'était pas encore au rendez-vous prêt à battre des records.

    C'était ridiculement marrant dans le fond, il était comme elle, incapable de la fermer et quelque soit la situation, il fallait qu'il extériorise ses pensées coûte que coûte sans oublier le petit air provocateur vendu avec la panoplie. Sortant de la bouche d'un autre protagoniste, Rowan aurait à coup sûr éclatée de rire, but with the Damian's voice, la phrase rompant le silence, était dénuée de toute notion d'humour. Blasée, Rowan le contempla quelques secondes silencieusement, laissant monter en lui la source de satisfaction due à ses prouesses. « Dans tes fesses. ». Lâcha-t-elle. Petit, niveau cour de récré, ouais ben rien à faire, leur petit jeu ne valait guère mieux et depuis que l'un avait ouvert la bouche, la machine à remonter le temps s'était enclenchée, bond dans le passé, hello there, we are five years old. C'est ce qui s'appelait se remettre vite de ses émotions, elle était à nouveau sur le ring, prête à engager le round suivant, c'était si bon, pourquoi s'en privait. Comportement pas très cohérent avec la proposition d'armistice qu'elle soumettait après mais elle était prête à tout pour sortir d'ici et s'éloigner de lui par la même occasion, ce n'était pas un signe de faiblesse, loin de là, la raison reprenait juste le dessus et elle n'envisageait pas de rester crécher là avec Damian qui plus est, ce n'était pas celui qui lui tiendrait chaud la nuit. Elle l'observa d'un air interloqué, se demandant quel bourdon l'avait piqué pour qu'il soit en proie à une telle agitation. Après son petit numéro, le visage moqueur, Damian reprenait du poil de la bête. Pas le moins du monde décontenancée, sourire effrontée aux lèvres, elle répondit au tact au tact. « Non, à Casper le gentil petit fantôme. ». Minauda-t-elle. Question bête, réponse bête, elle aussi pouvait être délicieusement agaçante quand l'envie l'en prenait. Son petit air supérieur s'estompa net à l'énonciation du mot semaine. Elle posa ses prunelles menthe à l'eau sur lui un instant, le temps que le vent tourne et qu'il prenne la poudre d'escampette . Il n'était qu'une baltringue. Après la petite bataille, ils s'accordaient une petite trêve et focalisaient leur esprit sur le comment sortir de ce bourbier. Le choix était donc fait, complètement follet sur les bords, ils se dirigèrent vers l'antre de leur salut, que cherchaient-ils à se prouver? Ou plutôt pourquoi ne luttaient-ils pas contre cette vilaine curiosité qui les poussait à mettre un pied dans la tombe? Nul ne pouvait y répondre. ♪ L'amouuuuuuuuur du risque!! ♪ Sur ses talons, elle guettait la moindre réaction anodine, prête à riposter avec fougue...ou bien détaler à toutes jambes. « A ta guise. ». lui répondit-elle en retour. La porte entrouverte, la silhouette de Damian lui gâchait le spectacle, n'y tenant plus elle lui assena quelques coups de poing légers dans son dos. « Pousse toi, j'y vois rien. ». Se plaignit-elle. Si sa curiosité était rassasiée, une déception amère la saisit à la gorge, TOUT ça pour une télé, lamentable, elle avait frôlait la crise cardiaque pour une vieille télé abandonnée. Une seconde, qu'est ce que pouvait bien faire ici une vieille télé abandonnée? La cabane était supposée être déserte depuis maintenant des années, pourtant la télé diffusait actuellement une émission débile sur des hurluberlues en mal d'amour. Cette fois ci, monsieur je sais tout ne finit pas sa phrase, plongés dans le noir total soudainement, une panique grandissante tiraillait l'esprit de Rowan. Peut être était-ce juste une panne de courant, ou peut être pas. Elle n'eut pas le temps de se pencher sur la question plus longtemps, le capitaine Iota avait pété une durite et cédait à la tazmania dans le petit salon. Le souffle coupée, une masse la plaqua au sol, lui coupant la respiration de surcroît. Affolée, elle s'efforçait d'utiliser son dernier souffle pour lui lancer ces derniers mots. « Ôtes tes sales pattes de là! ». Malgré son petit gabarie, Damian pesait une tonne et en plus de l'étouffer, il la réduisait en miette comme un p'tit lu restait trop longtemps dans la poche d'un bambin. « Ça y est, j'vais mourir, mais tu m'étouffeuuuh. ». Elle accompagna ses jérémiades par des petits pincements bien placés, octroyant à son récepteur de petites douleurs aiguës, même si elle savait qu'il ne s'éterniserait pas à lui bloquer la respiration, elle n'en manquait jamais une lorsqu'il s'agissait de douleur et de Damian. Une fois débarrassée du corps parasite, elle se releva tant bien que mal et tomba nez à nez sur une forme spectrale flottant dans le vide. « Maii..mais jee... ». Les yeux écarquillaient par la peur, et le cerveau engourdi, elle refusait l'effroyable vérité qui s'opposait à elle, commencez à croire aux histoires de fantômes mademoiselle O'Cannel, vous en vivez une! Elle ne pouvait se rattacher qu'à une seule chose, DAMIAN. Ignorant son cri de protestation, elle lui planta ses doigts fins dans son épaule et le fit pivoter brutalement vers la soudaine apparition. Et maintenant, curiosité satisfaite?
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MessageSujet: Re: Croyez vous aux histoires de fantômes ? Vous devriez, vous en vivez une ! | PV Rowan | Croyez vous aux histoires de fantômes ? Vous devriez, vous en vivez une ! | PV Rowan | - Page 2 EmptyLun 11 Juil - 6:14

SCREAM OR SUGAR ? Ϟ Faîtes un vœu et placez-le dans votre cœur. Tout ce dont vous avez envie, tout ce que vous voulez. C’est bon ? Bien. Maintenant croyez que ça peut se réaliser. On ne sait jamais quand un miracle peut arriver, un sourire ou un souhait se réaliser. Mais si vous croyez que ça peut arriver au détour d’une rue et que vous ouvrez votre cœur et votre esprit à cette possibilité, à cette certitude, il se pourrait que vos souhaits se réalisent. Le monde est plein de magie. Il suffit d’y croire. Alors faîtes un vœu. C’est bon ? Bien. Maintenant croyez-y de tout votre cœur. WHO YOU GONNA CALL ? someone else.
Soon you'll zoom all around the room. All it takes is faith.


L'habit ne fait pas le moine...Ce proverbe correspondait-il à la jeune femme ? Pouvait elle autre chose que cette blonde exécrable au plus haut point et bornée comme jamais ? Habituellement était elle une tout autre personne et ce côté de sa personnalité qu'elle me montrait constamment n'était il réservé que pour moi, devais-je me considérer comme un des rares privilégiés qui avait la chance de voir Rowan la peste ? Une chose était sûr, je n'arrivais pas à imaginer la jeune femme autrement que comme elle était avec moi, il ne fallait donc pas s'étonner de constater que j'avais une mauvaise image de cette dernière, si elle était capable de gentillesse pourquoi ne le montrait elle pas en ma présence ? Lui faisais-je tellement d'effet qu'elle n'arrivait pas être quelqu'un d'autre que mademoiselle la bitch. Je ne m'étais jamais vraiment posé la question, pour moi elle avait toujours été comme ça, mais à présent que j'y pensais, étant donné que j'étais bloqué la dedans sans aucun moyen de sortir, je me disais qu'il était fort possible que tout comme moi elle pouvait être autre chose que cette horrible personne. L'animosité qu'il y avait entre nous deux ne cessait de grandir au fil du temps, plus nous restions enfermés et plus nous avions du mal à pouvoir nous encadrer, rester l'un à côté de l'autre devenait quelque chose de difficile, entre nous c'était électrique, mais pas dans le sens positif, si un jour nous devions nous sauter dessus ce ne serait certainement pas pour faire des galipettes sous la couette, parfois même je me demandais comment cela se faisait il que nous en étions encore jamais arrivé aux mains. Bien que l'envie de poursuivre notre petit jeu était, le courage de le faire, lui, n'y était plus, l'amusement que j'éprouvais autrefois avait à présent laissé place à une certaine lassitude qui se traduisait par de nombreux soupir et autre signe d'exaspération. L'envie même d'être sarcastique m'était passé, la seule chose que je voulais était de sortir de cet endroit glauque au possible qui à chaque courant d'air faisait naître en moi un frisson qui parcourait la totalité mon corps. Il semblait même que l'envie n'était plus du côté de la jeune femme non plus, sa réponse courte exprimait bien à quel point elle s'était lassé de ce petit jeu, tout comme moi, à petite dose c'était supportable, voir même jouissif à certains moments, mais au bout d'un moment cela devenait trop lourd et répétitif, à force il allait falloir trouver autre chose pour exprimer notre haine l'un envers l'autre. Voilà pourquoi à sa réponse je ne lui offrais qu'un hochement de tête en guise de réponse, l'envie de répondre plus que cela n'était pas là, sortir était à présent la priorité, même si ignorer mon exaspération allait être difficile. J'imaginais déjà les prochains jours qui allaient suivre, l'un comme l'autre allait tout mettre en oeuvre pour faire de la vie de l'autre un véritable enfer, j'étais persuadé qu'elle avait déjà une idée des tortures qu'elle allait bien pouvoir m'infliger, moi j'étais bien trop occupé à essayer d'anticiper le moindre de ces gestes pour penser à ce que j'allais moi-même pouvoir lui faire subir. La villa pouvait se préparer à essuyer une terrible guerre.
« Je peux t'assurer qu'elle ne rentre pas. » non pas que j'avais déjà essayé de faire entrer une balle de tennis par la porte de derrière, mais j'étais persuadé que c'était pour moi physiquement impossible. Cette attitude était totalement opposée à la proposition de paix que m'avait fait quelques minutes plus tôt la jeune femme, certes, nous avions décidé d'enterrer la hache de guerre, mais elle n'était pas enterrée très profondément, il nous était impossible, l'un comme l'autre, de ne pas nous envoyer quelques piques, même lorsque nous décidions de faire la paix il y avait toujours ce besoin de s'envoyer des vannes au visage qui subsistait, un besoin qui ne s'évaporerait certainement jamais. « Du moment qu'il est gentil tout va bien. » rétorquais-je sur un ton moqueur. Après tout s'il devait y avoir des fantômes dans cette cabane il valait mieux que tous soient aussi inoffensifs que Casper, au moins ça me ferait un poids en moins sur les épaules, car oui il y avait toujours cette peur de tomber nez à nez avec un fantôme et que celui-ci ne soit pas très sympathique, Rowan il pouvait bien la bouffer que ça ne me dérangerait pas, bien au contraire ça serait même un grand service qu'il me rendrait là, mais moi, non pas question qu'il touche à ma tignasse. Une fois entré dans le salon je m'apercevais que finalement depuis le début notre paranoïa nous avait fait imaginer des choses. Légèrement rassuré je me retournais vers la jeune femme lorsque pouf, plus de lumière. Gros blanc avant que j'explose, c'était trop, la goutte d'eau qui faisait déborder le vase, cédant à la panique, ne répondant plus de rien je courrais dans tous les sens avant de heurter quelque chose. Passant mes mains un peu partout je distinguais une silhouette avant d'entendre la faible voix de Rowan provenir d'en dessous mon corps, ben mince alors elle avait quand même des formes, qui l'eut cru. Ne voulant pas trop m'attarder à cause des pincements de la jeune femme je me relevais tout en dépoussiérant mes vêtements qui à cause de la crise de panique de la jeune femme avaient prit la poussière. Soudain je sentais les ongles de la jeune femme se planter dans une de mes épaules, poussant un énorme cri « Arrête tu me fais mal !! » je me retournais et là le souffle coupé, estomaqué, bouche bée, je restais immobile je serrais la main de la jeune femme. « C'est...mais...atta...ça vole. », les yeux écarquillés je n'en croyais pas mes yeux, j'avais toujours tendance à dire que je ne croyais que ce que je voyais, et bien là je voyais un fantôme et il avait pas du tout l'air d'être gentil en tout cas pas aussi gentil que l'étais casper. « bordel. » me contentai-je tout simplement d'ajouter avant d'avaler bruyamment ma salive. La main de Rowan dans la mienne je finissais enfin par bouger et par réflexe j'emportais la jeune femme avec moi, traversant toutes les pièces à vitesse grand V je cherchais désespérément la sortie, mais avec le souvenir de cette chose qui me hantait il était difficile d'avoir les esprits assez clairs pour retrouver son chemin, quand finalement j'ouvrais une énième porte et me retrouvais dehors. Essouflé je reprenais mon souffle avant de me rendre compte que j'avais toujours en ma possession la main de la blondinette, poussant un léger cri de dégoût, du style d'un enfant qui voit deux adultes s'embrasser, je me débarrassais de celle-ci avant de m'asseoir par terre. « Ceci devra rester entre nous... » déclarais je le souffle à moitié coupé. Il était hors de question que quelqu'un prenne connaissance de notre petite mésaventure, personne n'aurait la force de nous croire et alors nous passerions pour deux grands malades , cette histoire avec Plum avait déjà donné un sale coup à ma réputation, inutile d'aggraver mon cas. C'est pourquoi je faisais promettre à la jeune femme de ne le répéter personne, ceci allait être un secret que nous emporterions dans la tombe.
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