the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal

Partagez

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Empty
MessageSujet: Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack EmptyDim 24 Avr - 16:49

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Tumblr_lkvolcZxGY1qauo29o1_500

« Mais la passion est comme une drogue : en connaître les effets ravageurs n'a jamais empêché personne de continuer à se détruire après avoir mis son doigt dans l'engrenage. • Un peu de toi est entré en moi pour toujours et m'a contaminé comme un poison. • Le plus difficile, ce n'est pas d'obtenir ce que l'on veut, mais de savoir le garder. » ••• Pourquoi croise-t-on des milliers de personnes et ne s'éprend-on que d'une seule.

Une journée qui avait démarré sur les chapeaux de roux, un réveil qui avait refusé de s'éteindre et qui avait fini par se taire entasser sous une montagne de fringue, un ballon d'eau chaude où il n'y avait plus d'eau chaude, allez chercher l'erreur et puis enfin un vol plané après s'être coincé le pied sous le tapis. En somme un matin pas très différent des autres pour notre jeune homme qui était à présent un habitué des arrivées en classe dix minutes après le début du cours. Aujourd'hui ne dérogea donc pas à la règle et c'est après avoir tapé un petit sprint, les mains dans les poches, bien sûr, qu'il arriva finalement dans la salle qui l'accueillait à présent tous les jeudis matin depuis la rentrée, l'espace détente. Et oui certains professeurs de l'université n'aime pas les retardataires et ils le font très sévèrement savoir quand ceux-ci pénètrent dans leurs classes. Guillaume était l'une de ces victimes qui se faisaient chasser à grand coup de pompe dans les fesses et à qui on demandait d'aller voir ailleurs. Une belle mâtiné l'attendait donc, une mâtiné à rien foutre, un sport dans lequel il excellait et dont il était un fervent supporter.

Comme à son habitude il finit par sortir le carnet de croquis qui avait fini par l'accompagner partout où il allait, c'était surement devenue l'un de ses meilleurs amis. Certains tenaient un journal intime d'autres des carnets de bord, et bien lui tenait un carnet de croquis, vous allez vite comprendre pourquoi. Guillaume avait pour habitude de tout dessiner ce qui lui passait par la tête, cela allait des petits objets du quotidien au monument et autre grand building que l'on pouvait apercevoir à travers les baies vitrées de l'université. San Francisco était une ville magnifique pour ça. Mais une chose que personne ne savait et qu'ils n'avaient pas besoin de savoir, c'est qu'il dessinait également des portraits, des portraits de personne qu'il rencontrait au jour le jour. Bien sûr c'était fait de mémoire, mais il était doué et souvent c'était réellement très bien réalisé. Ces pages jaunies par le temps étaient pleines de nostalgie, remplie de personnes extraordinaires qu'il avait rencontrées tout au long de sa jeunesse. Les dernières pages quant à elle retraçait son arrivée et son parcoure à Berkeley, contrairement aux autres pages, celles-ci étaient plus crayonnées, les paysages n'étaient pas entièrement finis, tout ça surement par manque de temps ou alors d'envie. Seuls quelques portraits, deux ou trois au maximum avait été achevé, elle représentait une fille blonde, de grands yeux bleus ou aurait pu se refléter le ciel. Cette jolie jeune femme l'avait intrigué, avait été une énigme, il ne savait pas pourquoi et ne le serait sans doute jamais, mais il avait eu besoin de se confier, se confier à la personne dont il était sûr qu'elle resterait muette et qui de mieux que ce carnet qui le suivait partout à travers le monde. Bien sûr le temps à fait son effet et il a finalement réussi à connaitre cette étudiante qui hantait ses rêves et dont il n'arrivait pas oublier le visage. Des faits d'autant plus troublant que cela ne lui était jamais arrivé. Comme quoi au détour d'un couloir une vie peut basculer.

Finalement toujours désespérément seul dans cette grande salle, il décida de prendre ses clics et ses clacs et de décamper, direction l'un de lieux de l'université qui était surement l'un des plus insolites et l'un des préférer de notre jeune homme. C'est de là-bas que l'on pouvait avoir l'une des plus belles vues de la capitale au pont rouge. Je pense que vous m'aurez compris, mais bon gardons quand même le suspense. En traversant le bâtiment principal, là où il était censé avoir cours, il ne croisa pas grand monde, quasiment personne enfaîte, il y avait eu une épidémie de gastro ou bien ? Arrivé à l'entrée qui semblait secrète et discrète, mais connu de tous, Guillaume emprunta les escaliers qui allaient le mener, je vous le donne en mile, sur le toit de la faculté. C'était un endroit ou peu de personnes prenaient le risque de s'aventurer, même si il n'y avait rien à craindre, sauf le vide peut-être. De là on pouvait apercevoir l'ensemble du contexte de Berkeley et laisser moi vous dire que c'est immense. Là il alla s'adosser contre un mur qui devait couvrir pas mal de files électriques et scruta le ciel, pour chance aucun nuage menaçant à l'horizon, c'est que c'est beaucoup moins sympa de se retrouver sous la flotte sur un toit où il n'y a aucun abris. Fixant au loin l'un des paysage qu'il avait déjà commencé à mettre en croquis, il attrapa son sac en sortit son carnet et continua ce qu'il avait commencé il y a maintenant quelques semaines. Ce toit était aussi désespérément vide que la salle dans laquelle il s'était trouvé dix minutes auparavant, mais au moins la il avait quelque chose à regarder. C'est quelques minutes après que le bruit que la porte produisait en s'ouvrant se fit entendre, on dirait bien que quelqu'un d'autre avait décidé de s'aventurer en terrant ensoleiller et en plus pas n'importe qui, Jack. Elle était apparue en quelques secondes et il eu lui-même du mal à y croire, bien sûr à présent ils se connaissaient et avait bien sympathisé, mais ça restait bizarre de la voir apparaitre là, un sourire taquin sur les lèvres. Comme quoi le hasard fait bien les choses. « On dirait qu'on arrête pas de se croiser. » Il était maintenant debout, comme quoi ça se lève vite à cet âge, même si il avait manqué de se cogner. « Non que ça ne me déplaise. » se dirigeant à présent vers elle un léger sourire sur le visage, il décida de s'arrêter à quelques pas d'elle, l'invitant à s'avancer à son tour. « Salut Jack. »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Empty
MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack EmptyLun 25 Avr - 1:39

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Tumblr_lk7oqmDTLX1qc2q1ko1_500
GUILLAUME&JACK « Too often, the thing you want most is the one thing you can't have. Desire leaves us heartbroken, it wears us out. Desire can wreck your life. But as tough as wanting something can be, the people who suffer the most, are those who don't know what they want » ●● Shipwreck in the sea of faces, there's a dreamy world up there. Dear friends in higher places, carry me away from here. LE MERVEILLEUX EST DANS L'INSTANT

    Depuis que je suis étudiante à Berkeley, je me fixe des missions. Du genre passer une semaine complète ivre, ou au contraire une semaine sobre en me couchant à 10h du matin. Ou encore découvrir chaque coin et recoin de l’université. Parce que je veux garder les meilleurs souvenirs possibles de ma vie d’étudiante et parce que je veux pouvoir dire que je connais l’université et ses secrets par cœur. Il y a des lieux qui finissent par gagner votre préférence, parce que vous y êtes au calme, ou parce qu’ils sont pittoresques, ce genre de choses. Moi j’ai ma préférence, le toit. La préférence de centaines d’étudiants venus fauter tout en ayant une pleine vue sur le campus. Bien sûr, l’accès au toit est supposé être interdit, on raconte par exemple qu’il y a quelques semaines, une étudiante s’est blessée en essayant de trouver une échappatoire après être restée coincée dessus pendant près d’une heure. Légende ou réalité, j’avoue que je n’en ai pas la moindre idée et honnêtement ce n’est pas comme si ça m’intéressait, mais toujours est-il que des mesures de prévention avaient été prises et que l’accès au toit était formellement proscrit sous peine de sanction disciplinaire. Et comme chacun sait, plus c’est interdit, plus les gens enfreignent les règles, ça ne serait pas aussi drôle sinon. Du coup, c’est un peu le rituel, la tradition, de transmettre ce savoir de l’accès au toit d’étudiant en étudiant, de génération en génération et chacun dans sa vie à Berkeley y a déjà mis les pieds au moins une fois, pour la vue, ou pour se faire des frayeurs. Personnellement, j’y viens fréquemment. Seule, de préférence. Je peux être une grande bavarde mais j’avoue que la solitude a beaucoup de charme aussi à partir du moment où elle est choisie. Du coup, j’y passe une heure, deux heures, trois heures, à vider mon paquet de cigarettes et à écouter de la musique. Parfois j’y fais même mes devoirs, ça m’aide à me vider la tête et à réfléchir convenablement. Bref, pour résumer, le toit est mon lieu de prédilection.

    C’est pour toutes ces raisons, et parce qu’une longue pause entre mes deux cours m’attend que j’ai décidé de m’y rendre, comme bien souvent. J’aurais pu décider d’aller boire un verre avec Stiyzanna, ma colocataire, ou encore chercher la petite bête chez Augusto, pour le fun, ou même encore de passer du temps avec Ethan, en allant au golf, bien que ça ne soit pas la journée rituelle. Mais à vrai dire, quand j’ai une idée en tête je ne l’ai pas ailleurs, et puisque j’avais envie de passer du temps allongée sur le sol froid du toit, seule ou accompagnée, j’étais décidée à m’y rendre. Je ne pus m’empêcher de sourire en voyant la serrure qui ne serrait pas grand-chose de la porte conduisant au toit. C’était dingue qu’après toutes ces années et les milliers d’élèves qui y aient pris leurs quartiers, le personnel administratif n’ait pas eu le bon sens de mettre en place un système un peu plus efficace qu’une serrure cassée. Enfin, je n’allais certainement pas m’en plaindre, tant que ça me profitait à moi. Je montais deux à deux les marches avant de prendre une bouffée d’air frais en ouvrant la porte du toit. Il ne me fallut pas plus de deux secondes pour découvrir que je n’étais pas la seule à avoir eu la merveilleuse idée de venir m’isoler ici, et pas plus de deux autres secondes pour constater que mon compatriote de toit s’avérait être Guillaume. Guillaume qui semblait d’ailleurs plutôt content de me voir, ce qui suffit à me faire afficher un sourire moitié content, moitié taquin – mon sourire habituel, ma marque de fabrique. « On dirait qu'on arrête pas de se croiser. » En deux temps trois mouvements il s’était levé pour venir à ma rencontre. « Non que ça ne me déplaise. » Il eut droit à un nouveau sourire de ma part – jour de chance, car il est pourtant rare que je sois de bonne humeur, surtout ces derniers temps où les remarques salaces de crétins dans les couloirs commençaient vraiment à me porter sur le système. « Charmeur va ! Mais je l’avoue, la perspective n’est pas déplaisante ». Guillaume est l’une des rares personnes avec lesquelles je m’entends bien. Oh non, ne nous y trompons pas, je suis quelqu’un de très sociable, disons simplement que lui a réussi à gagner en plus mon estime, ce qui venant de la part d’une fille sélective comme moi n’est pas peu dire. Certes, je l’admets, il aurait été mentir que de dire que je ne voyais en lui qu’un simple ami, car on peut dire qu’il est plutôt beau garçon, mais disons que nous nous cantonnons à une amitié simple et basique, comme je les aime. « Salut Jack ». Je m’avançai vers lui, avant de lui faire la bise. Oui, à la française, c’est lui qui m’avait appris ça d’ailleurs. Il ne serait jamais venu à l’idée d’un Américain de faire la bise, nous on était plutôt du genre « viens dans mes bras buddy » mais avec lui je faisais toujours l’effort de m’adapter, parce que j’avais toujours rêvé d’être française et que je trouvais ça plutôt chic, comme façon de dire bonjour – vous pensiez que j’étais française à cause de mon prénom ? Et bien vous aviez tort. « Salut Guillaume ». J’avais un peu de mal à prononcer son prénom ceci dit, c’est pas forcément le genre de prénom courant à San Francisco, et je suis bien placée pour en parler, j’y ai vécu presque toute ma vie. « Alors comme ça, on est venu jouer les solitaires sur le toit ? Ca te dérange si je viens jouer les solitaires avec toi ? » Bien évidemment, je savais qu’il ne refuserait pas, la question était purement rhétorique.



Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Empty
MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack EmptyMer 27 Avr - 17:42

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Tumblr_lkvolcZxGY1qauo29o1_500

« Mais la passion est comme une drogue : en connaître les effets ravageurs n'a jamais empêché personne de continuer à se détruire après avoir mis son doigt dans l'engrenage. • Un peu de toi est entré en moi pour toujours et m'a contaminé comme un poison. • Le plus difficile, ce n'est pas d'obtenir ce que l'on veut, mais de savoir le garder. » ••• Pourquoi croise-t-on des milliers de personnes et ne s'éprend-on que d'une seule.

Vous savez quelques fois un visage peut vous marquer, mais réellement vous marquez, à tel point de rester encrer en ne peut plus vouloir s'effacer. Ou alors on ne souhaite tout simplement ne pas le voir disparaitre, le vouloir garder dans un petit recoin et pouvoir l'observer lorsqu'on le souhaite. C'était quelque chose de bizarre, une chose qui n'arrive pas souvent et que l'on souhaiterait éviter, car on ne sait tout bonnement pas comment cela va tourner et surtout comment cela va se terminer. C'est ce qu'avait ressentit Guillaume ces derniers jours, tout ça simplement après avoir croisé au détour d'un couloir, une jolie blonde qui avait attiré son attention. Comme vous l'aurez deviné cette jeune fille n'était autre que celle qui se trouvait à présent face à lui, Jack. Il n'aurait pu expliquer pourquoi il n'arrivait pas à l'effacer, c'était peut-être son sourire d'une blancheur éclatante, ou alors ses yeux bleus qui n'étaient que le reflet du ciel et ou l'on pouvait apercevoir un couché de soleil. Non enfaîte il n'en avait aucune idée, d'ailleurs cela pouvait paraitre stupide, après tout ce n'était qu'une fascination idiote digne d'un enfant. Guillaume n'avait jamais été très habile pour exprimer ses sentiments, oui bien sûr comme beaucoup de français, il pouvait jouer aux feins séducteur, mais dire je t'aime à une femme était une tout autre histoire croyez-moi. Déjà depuis sa plus tendre enfance c'était ainsi, l'une des choses qu'il regrettait peut-être à présent amèrement avait été de ne pas avoir avoué à sa petite voisine l'amour qu'il lui parlait, un amour de gamin, mais déjà là sa timidité l'avait emporté. Avec le temps cette même erreur se répéta, restant enfermé dans son monde, dans ses rêveries, heureusement il avait d'autre moyen de s'exprimer, de dire ce qu'il n'avait jamais eu le courage de faire, c'est ce à quoi sert la musique après tout. Et oui derrière cette apparence de bourreau des cœurs et tombeurs de ces dames, Guillaume était un grand timide, ce que peu de personnes savait, d'ailleurs pour le peu de personnes qui le connaissaient ici.

« Charmeur moi ? Non, simplement quand je suis en face d'une charmante jeune femme. » Vous voyez quand je vous dis qu'on le prend pour quelqu'un qu'il n'est pas. Bon d'accord malgré sa timidité, il reste un grand séducteur dans l'âme, après tout quand il était encore parisien c'était ce qu'on appelait un oiseau de nuit, toujours près à draguer et à faire la fête. Se baissant pour lui faire la bise, chose qu'il lui avait apprise, tellement plus classe et glamour qu'un bon gros hug comme il l'appelle par ici. « C'est une envie qui me prend quelques fois, surtout par un temps pareil. » C'est vrai qu'avec l'été qui pointait le bout de son nez, le soleil commençait à régner en maitre sur les côtes Californiennes, pour le plus grand bien de ses habitants naturellement. D'où venait notre jeune ce genre de temps n'existait pas, ou alors c'est exceptionnel et il fait extrêmement lourd. Alors qu'ici il existe des plages paradisiaques et une mer magnifique. En espérant que cela ne tourne pas à l'orage, ça serait assez embêtant. « Mais avec plaisir, que de mieux que la compagnie de la jolie Jacqueline sur un toit surplombant l'université. » Une petite plaisanterie qui se voulait taquin et que Guillaume se faisait plaisir à faire. Il savait pertinemment que la jolie blonde n'aimait pas être appelé ainsi, surtout quand il était prononcé avec un fort accent français que Guillaume connaissait bien. Passant à présent l'un de ces bras par-dessus l'épaule de son acolyte de l'instant, toujours un sourire rayer sur le visage, il l'invita à s'avancer avec lui.

Finalement il ne passerait pas sa matinée seul assis sur le toit à contempler l'horizon avec pour seul compagnon son carnet de croquis qui lui avait tant servie. Depuis son arrivée à Berkeley, Guillaume n'avait pas trouvé le temps d'essayer de se faire des connaissances, ni mêmes des amis, ce n'était pas qu'il n'était pas sociable, c'était même plutôt le contraire, mais il n'avait juste pas pris le temps. Bien sûr il s'était beaucoup rapproché de nombreuses personnes qui formaient à présent son cercle d'amis, mais ça s'arrêtait là. Déjà de nature solitaire, arrivé dans un pays étranger qu'il ne connait que par de brèves expéditions qu'il avait fait plus jeune, n'arrangeait pas les choses. Mais bien heureusement il avait rencontré des gens géniaux et en qui il avait trouvé des choses merveilleuses. Jake faisait partie de ces personnes, pour le moment il ne se connaissait encore que trop peu, mais pour le peu qu'il connaissait d'elle ça lui suffisait, comme quoi on a le feeling où on l'on pas. « Ça t'arrive souvent de monter ici pour admirer la vue ? Ou alors tu m'as peut-être suivie ? » Ils faisaient à présent face à l'horizon, le soleil approchait bientôt son point le plus haut dans le ciel, vous savez ce que cela veut dire pas besoin de le répéter une énième fois. Toujours son sourire taquin sur le visage, son bras n'avait pas quitté les épaules de la demoiselle et le temps semblait s'être arrêté, surement pour lui laisser quelques instants de répits.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Empty
MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack EmptyJeu 28 Avr - 19:16

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Tumblr_lk7oqmDTLX1qc2q1ko1_500
GUILLAUME&JACK « Too often, the thing you want most is the one thing you can't have. Desire leaves us heartbroken, it wears us out. Desire can wreck your life. But as tough as wanting something can be, the people who suffer the most, are those who don't know what they want » ●● Shipwreck in the sea of faces, there's a dreamy world up there. Dear friends in higher places, carry me away from here. LE MERVEILLEUX EST DANS L'INSTANT

    J’apprécie Guillaume. Il est certain que ce n’est pas le genre de personnes vers qui j’aurais spontanément, peut-être parce que je ne vais jamais vers personne spontanément, mais le hasard a bien fait les choses en nous mettant sur la route l’un de l’autre. Il faut dire que la rencontre a été particulièrement brutale – au sens littéral du terme – je n’aurai pas pensé pouvoir rencontrer quelqu’un dans un couloir et repartir avec une jolie bosse sur le front, mais excepté cet épisode assez douloureux, et pour mon front et pour ma dignité, on peut dire que notre amitié suit son petit bonhomme de chemin. De ce que j’ai pu voir jusqu’à présent, il a l’air d’être simple, amusant, et du genre mystérieux. En soi, je ne le connais pas plus que ça, je ne connais que très peu de choses de sa vie et lui ne connaît rien de mon passé et ça tombe bien, c’est plutôt le genre de choses que je tiens à garder pour moi. Peut-être qu’avec le temps je finirai par lui raconter, mais pour l’instant, je préfère me focaliser sur l’instant présent. Lui, moi, le toit, du soleil. Pour reprendre un célèbre acteur – Georges, si tu te reconnais… - what else ? Guillaume est assez charmant, il faut bien l’avouer et de toute façon je suis très mauvaise dès qu’il s’agit de cacher ce que je pense du physique de quelqu’un, et charmeur, ce qui est une bonne nouvelle car je suis joueuse. Un charmeur, une joueuse, je trouve que c’est plutôt un bon mélange et en tout cas ça nous réussit bien. Plus que bien même. « Charmeur moi ? Non, simplement quand je suis en face d'une charmante jeune femme. » Qu’est-ce que je vous disais. Un vrai charmeur. Heureusement que je le connais assez pour déceler sa pointe de moquerie, car j’ai tendance à prendre un peu tout au premier degré et pourtant je ne manque pas d’humour, autrement je l’aurai probablement envoyé sur les roses, ce que je fais assez fréquemment. La rançon de la gloire. Ou pas. « Une charmante jeune femme ? Mince, moi qui croyais qu’on n’était que deux sur le toit ! » Vous voyez, moi aussi j’ai de l’humour. Bien particulier, dans le plus pur style Jack, mais en général il fait mouche avec les autres et honnêtement je n’en demande pas plus. « C'est une envie qui me prend quelques fois, surtout par un temps pareil. » Oui, bon, ça c’est parce qu’il vient de France, car je vous assure qu’au bout de vingt-deux ans, on finit par s’habituer au grand soleil chaque jour et à force, ça ne fait plus grand chose. Peut-être que je serais comme lui si j’avais passé toute ma vie à Paris. Mais étant une pure Californienne, je ne fais presque plus attention au temps. « C’est sûr que c’est pas à Paris que tu peux te balader en mini-jupe en plein mois d’avril. Enfin, je ne pense pas ». Référence directe à ma tenue, puisque je suis actuellement en mini-jupe, avec un vague débardeur, de marque, ceci dit, vestige de ma très éphémère carrière de mannequin.

    « Mais avec plaisir, que de mieux que la compagnie de la jolie Jacqueline sur un toit surplombant l'université. » Alors ça, ça… c’est très mesquin de sa part. Quiconque a déjà eu l’occasion de me parler sait que s’il y a bien quelque chose que je déteste, c’est qu’on m’appelle par mon véritable prénom. Je suis du genre irritable dès que je l’entends. Peut-être parce que ça me rappelle pourquoi je ne supporte pas ma mère, qui veut se la jouer aristo en me donnant un prénom français. Jacqueline. Surtout depuis que j’ai appris que c’était du genre désuet comme prénom, pour ne pas dire ringard, en France. Thanks Mum, vraiment. Du coup c’est Jack ou rien. Et ça me fait toujours marrer de voir la tête des gens quand ils voient une fille qui s’appelle Jack. « La compagnie de Jack, c’est mieux. Mais je te pardonne va, c’est bien parce que c’est toi, autrement la personne en face de moi aurait déjà fait une chute de 5 mètres en m’appelant comme ça. » Et je suis très sérieuse, même si j’ai un sourire moqueur sur le visage. Celui qui m’appelle comme ça s’expose à de graves problèmes. La proximité entre nous du à son bras autour de mon épaule était étrangement agréable. En général je ne suis pas du genre à apprécier ces rapprochements, mais avec Guillaume ça ne me pose aucun problème. Je crois que quelque chose cloche chez moi. Peu importe. Le Français me sort de mes pensées. « Ça t'arrive souvent de monter ici pour admirer la vue ? Ou alors tu m'as peut-être suivie ? » Oh oui, typique de ma part, c’est sûr que j’ai souvent l’habitude de venir espionner les moindres faits et gestes des autres juste pour me distraire. Vous voyez, quand je disais que je prenais toujours tout au premier degré…Non, je ne l’ai pas suivi, simplement j’aime bien le calme que je peux trouver sur le toit. Ce que je m’empresse d’essayer de lui expliquer. « Souvent, c’est pas le mot. Mais ça m’arrive oui. T’aimerais hein, que je te dise que je t’ai suivi ! Mais non, désolée, rien à voir, j’ai suivi l’appel de la tranquillité. » Mais j’étais prête à échanger cette tranquillité contre un peu de temps en sa compagnie. Oui, je suis une âme charitable, je sais bien. « Et avant que je n’arrive, quel était ton projet, hormis bronzer ? » Oui, je suis curieuse. Mais je le vis bien.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Empty
MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack EmptyMar 24 Mai - 20:09

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Tumblr_lkvolcZxGY1qauo29o1_500

« Mais la passion est comme une drogue : en connaître les effets ravageurs n'a jamais empêché personne de continuer à se détruire après avoir mis son doigt dans l'engrenage. • Un peu de toi est entré en moi pour toujours et m'a contaminé comme un poison. • Le plus difficile, ce n'est pas d'obtenir ce que l'on veut, mais de savoir le garder. » ••• Pourquoi croise-t-on des milliers de personnes et ne s'éprend-on que d'une seule.

« N'est-ce pas le cas ? À par nous je ne vois personne. » Un léger sourire sur le visage, ses yeux plongeant dans les siens, il n'aurait pût dire ce qu'il ressentait à ce moment-là, mais c'était extrêmement bizarre, un mélange d'excitation et d'angoisse. Il était en ce moment même en compagnie d'une jeune femme qui de par sa beauté éblouissait le soleil et dont il n'avait connu le prénom même par trois semaines auparavant. Dire qu'il n'était pas intéressé serait mentir, il avait été subjugué au premier regard qu'il lui avait lancé, ses longs cheveux blond et son visage semblable à une poupée de porcelaine l'avait ensorceler. Et pour une fois dans sa vie Guillaume n'avait pas réussi à aller vers une jolie jeune fille, une sorte de timidité refoulé l'avait handicapé, empêchant ses jambes d'approcher à moins de dix mètres de là dénommer Jacqueline. Heureusement pour lui, tout c'était arrangé quand il l'avait heurté au détour d'un couloir, coïncidence ou gros coup de bol, je pense qu'on ne le sera jamais. En tout cas cela lui avait permis de faire sa connaissance et d'apprendre à connaitre une fille extrêmement sympathique. Bien sûr pour le moment il n'avait gratté que la partie émerger de l'iceberg et elle lui réservait surement encore de nombreuse surprise. Où cela les mènerait t'il ? Cela est une autre histoire. « Oh tu sais ça arrive, pas souvent je te l'avoue, mais quelques fois on peut apercevoir et admirer de très jolies paires de jambes. » Laissant son regard jauger Jack de haut en bas, il continua le petit jeu qu'ils avaient tout deux entrepris et poursuivit. « Tout comme les tiennes. » Toujours un grand sourire s'étirant sur son visage, il avait fini par connaitre certain point faible de la belle et il est vrai qu'il aimait beaucoup la taquiné. Guillaume n'était pas quelqu'un qui donnait sa confiance à énormément de personnes et il fallait bien sûr la mérité, mais avec elle cela avait été différent, il avait tout de suite sentie un bon feeling. Cela n'était seulement arrivé qu'une ou deux fois auparavant et malheureusement pour lui cela ne s'était pas vraiment terminé d'une bonne manière, en espérant que la fin de celle-ci soit différente.

« C'est bête parce que j'aime beaucoup la compagnie de Jacqueline. » Prononçant le dernier mot dans un accent français que seul lui pouvait comprendre, il poursuivit. « M'enfin Jack c'est toujours mieux que rien. » Lui lançant un clin d'œil et un grand sourire, il savait pertinemment qu'il s'attaquait à un point sensible, un parmi tant d'autre, mais celui-ci particulièrement. Heureusement qu'elle savait qu'il rigolait, sinon il aurait réellement put atterrir sur le parterre de fleur cinq mètres plus bas. « On va peut-être éviter qu'un meurtre se produise à Berkeley hein. » Son bras se trouvait toujours autour de ses épaules, un contact qu'il appréciait beaucoup, une chose qu'il n'avait pas ressentie depuis longtemps, depuis le départ d'une certaine jeune fille enfaîte, une jeune fille qui lui avait en quelque sorte brisée le cœur sans vraiment sans rendre compte. Guillaume avait toujours été nul dans le domaine du relationnel, ce n'était pas nouveau et ce n'était pas près de se régler, mais certaine fois il avait réellement merdé en beauté. À présent son arrivée en Californie était une sorte de remise à zéro de sa vie sentimentale, depuis la rentrée il avait réussi à se créer un petit cercle d'amie, d'ailleurs l'année avait filé à la vitesse de la lumière, ce qui était au moins un point positif, au moins il n'avait pas eu le temps de s'ennuyer. À présent il fallait laisser place à l'été et à ses grandes vacances amplement mérité. « C'est même quelque chose que j'aurais adoré. Et bien on dirait qu'on est deux dans ce cas-là. » La tranquillité, une chose bien rare de nos jours, que l'on ne trouve pas partout. Le toit faisait partie de ces endroits où l'on était rarement dérangé et où il y avait très peu de passage. « Heu j'étais venu terminer quelques croquis que je n'avais pas eu le temps de ... bah terminer, l'autre jour. » C'est qu'il commençait déjà à se répéter, le pauvre, sénile avant l'âge. « Si tu veux tu pourra y jeter un coup d'œil, même si je ne pense pas que tu y trouveras des chefs œuvres. » Grand maitre de l'autocritique, Guillaume était devenue un expert en ce domaine. Les études qu'il effectuait ici même à l'université exigeaient de lui qu'il connaisse son niveau et ce qu'il valait un crayon ou une souris au bout des doigts. Ayant étudié l'architecture à la Sorbonne il était déjà habitué à ce genre de pratique bien qu'il ne l'approuvait pas. « Et toi à part l'appel de la tranquillité qu'est ce qui t'amènes ici ? » Après tout lui aussi avait le droit d'être curieux, ce qui n'était pas dans ses habitudes, mais quel mal y a-t-il à l'être juste un petit peu ? Surtout en compagnie d'une si jolie blonde qui dissimulait tant de choses. « Ca te dit de venir t'asseoir à mes côtés pour admirer l'horizon ? » Un peu de compagnie, la sienne, ne lui ferait pas de mal, ça lui ferait même du bien à mon avis.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Empty
MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack EmptyMar 31 Mai - 12:04

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Tumblr_lk7oqmDTLX1qc2q1ko1_500
GUILLAUME&JACK « Too often, the thing you want most is the one thing you can't have. Desire leaves us heartbroken, it wears us out. Desire can wreck your life. But as tough as wanting something can be, the people who suffer the most, are those who don't know what they want » ●● Shipwreck in the sea of faces, there's a dreamy world up there. Dear friends in higher places, carry me away from here. LE MERVEILLEUX EST DANS L'INSTANT


    Je pourrais dire que je n’ai pas l’habitude de me faire draguer, mais je mentirai. Et croyez-moi, on a beau dire que c’est flatteur, ça ne l’est que très rarement, surtout pas quand ce sont des gros lourds qui viennent vous complimenter pour les avoir fait fantasmer sur des photos qui sont plus des erreurs de jeunesse qu’autre chose. Mais avec Guillaume, je ne sais pas, c’est subtil, c’est amusant, et ça ne me dérange pas. Je répondrai du tac au tac avec une répartie bien sentie parce que je fonctionne toujours de cette façon mais ça ne me pose pas autant de problèmes qu’avec d’autres personnes. Peut-être que le fait qu’il ne soit pas physiquement déplaisant y est pour quelque chose, malheureusement, je suis humaine. Et par humaine, je veux simplement dire que je suis faible face au physique. D’autant plus lorsque pendant plusieurs années on ne vous a jugé que sur ça, on a plutôt tendance à être du genre coquet. Bref, tout ça pour dire que j’aime bien badiner avec lui. Je me mets un peu bêtement à rire à sa remarque, parce que – et c’est aussi lié au fait que je ne suis qu’une pauvre humaine – j’ai des réactions pour le moins stupide quand je suis un peu gênée. Ouais, on peut pas tout avoir, ceci dit. J’aurais pu être moche et stupide, mais dieu a eu pitié de moi. « Et à part ça tu n’es pas charmeur hein ». Je lui accorde un sourire franc. Pourtant, je ne saurais pas dire pourquoi, mais je ne me sens pas complètement à mon aise en la compagnie de Guillaume. C’est peut-être parce que je n’ai pas l’habitude de ce genre de relations, du coup dès que je suis proche –enfin proche c’est vite dit, n’est-ce pas – d’un garçon (oui parce que bien sûr les filles ne me posent aucun problème, mais comme en général je n’aime pas trop la compagnie féminine, mais peu importe, revenons au sujet), je ne sais pas comment me comporter sans donner l’impression d’en faire trop. Peut-être qu’à force de trop jouer la comédie, et de faire semblant d’être quelqu’un d’autre, on finit par ne plus savoir comment être naturelle. Du coup, j’essaye d’avoir les réactions les plus spontanées possibles, mais j’ai juste l’impression que ça ne rend pas le même effet une fois que les mots sont sortis de ma bouche. Et voilà qu’il m’explique que même chez lui on peut admirer des filles en mini-jupes. Ah, si même à Paris on peut le faire… il n’y a pas de problème alors. « Tout comme les tiennes. » Mon dieu heureusement que je ne suis pas du genre à rougir parce qu’intérieurement je suis cramoisie. Non mais c’est vrai, c’est pas forcément le premier compliment qui vient à la bouche d’un mec, t’as de belles jambes. D’un autre côté, mes jambes c’est ou en tout cas c’était mon outil de travail, du coup j’ai plutôt intérêt à bien en prendre soin et je dois avouer que je ne manque jamais une occasion d’exhiber mes gambettes, d’autant que personnellement, les jeans, je ne suis pas fan. « Est-ce que ton but c’est de réussir à me faire prendre un teint rouge tomate ? Parce que si oui t’es plutôt bien parti ! »

    Et il continue en plus. Jack, pitié, JACK pas Jacqueline. Parfois je me demande même si je ne vais pas aller jusqu’à changer de nom, tellement j’en ai honte. « Je suis désolée Jacqueline est indisponible pour le moment. Voire pour toujours, j’en ai bien peur… » Je lui adresse un faux regard désolé, battant des cils avec une telle exagération que c’en est comique. Je n’envisage pas sérieusement la possibilité de balancer quelqu’un par-dessus le toit – déjà vu ma force, je risque d’avoir un peu de mal – mais j’ai une très légère tendance à me montrer irritée chaque fois que j’entends mon prénom en entier, c’est sûr et certain. Mais même dans la bouche de Guillaume, ça semble beaucoup moins ridicule comme prénom. L’effet frenchie, j’imagine… « Oui par une si belle journée en plus, ça serait dommage ». Je lui adresse un clin d’œil amusé. Je finis par me décaler légèrement, de telle sorte qu’il n’ait plus son bras autour de moi. Chassez le naturel, il revient au galop, j’ai un peu de mal avec les contacts physiques, même si celui-ci n’est pas particulièrement déplaisant. Terminer des croquis ? Intéressant. Personnellement je suis nulle en dessin… et dans tout ce qui est artistique, on va dire que ça n’est pas vraiment mon fort. « Un peu que je veux. Montre moi ce que tu dessines ! » Je pourrais m’emparer du carnet de croquis directement mais j’ai quand même quelques manières, même si ça n’est pas ce qu’il y a de plus visible chez moi. Je me tiens toujours en face de lui, vu que je me suis un peu décalée, et j’avoue que la proposition de venir m’asseoir n’est pas pour me déplaire, loin de là. « Avec plaisir ».[/b] Et je le rejoins, m’installant confortablement. Mes lunettes de soleil n’auraient vraiment pas été en trop, pour le coup, mais ça ne fait rien, je vais juste plisser des yeux et avoir l’air d’une nonagénaire quand à 25 ans je serai barrée de rides. Triste vie pour la pauvre Jack ! Non revenons en au sujet. « Beaucoup de choses m’amènent ici, mais aujourd’hui il n’y a pas de raison précise, je suis juste.. venue, je me suis laissée guider par mes pieds et hop, here I am. Et apparemment grand bien m’en a pris ! » Oui oui, moi aussi j’aime bien rentrer dans ce petit jeu, je ne suis certes pas très forte m’enfin, comment voulez-vous progresser si vous ne tentez pas ?

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Empty
MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack Empty

Revenir en haut Aller en bas

Le merveilleux est dans l'instant. // PV. Jack

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Le merveilleux est dans l'instant • pv
» Le merveilleux est dans l'instant.
» Dans la vie jette toi à l'eau tant qu'il n'y a personne pour te pousser dans le dos ♪ [Mika & Amy]
» Un café ? Tu le préfères dans la tasse ou dans ma tête ? [LEO-ALISSON&JONAH]
» L’homme fort, brave comme on a toujours vu dans nos bouquins ou dans les films depuis qu’on a l’âge de 12 ans c’est factieux, il n’existe pas. ¤ ft Milla

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-