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— Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN

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MessageSujet: — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN EmptyJeu 30 Déc - 12:18

— Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN Tumblr_liiwhmNZgn1qdwoado1_500
il fait toujours chaud à Berkeley !



L'hiver à Berkeley, c'est moche. Enfin, je veux dire, c'est gris, il fait froid, et pas un flocon de neige à l'horizon. Comme quoi parfois je regrette la verdure de l'Oregon, les saisons qui changent au rythme de l'année, avec des paysages qui vous en mettent toujours plein la vue. Ce n'est pas à San Francisco que je verrais ça... Ce matin, la grisaille me donnait la nausée, et je n'avais pas vraiment envie de sortir de ma résidence étudiante. Mais voilà, notre prof de psycho -qui, au passage, est vraiment trop sexy- nous avait demandé de lire un ouvrage de Freud. Hé, si je fais des études de psychologie, c'est pas pour lire des bouquins où on comprend pas la moitié des phrases, et sur lequel on s'endort au bout de deux pages ! Mais Gabriel comptait sur moi pour que je poursuive mes études jusqu'au bout, alors c'était pas un petit Freud qui me ferait reculer face à mon frère ! J'avais donc mis une robe noire un peu plus chaude qu'à l'habitude, mais pas moins décolletée pour autant (hé, c'est pas ma faute si j'ai que des robes dans mon armoire...) ainsi que des bas en laine, pour pas attraper la crève avant le bal de fin d'année. De cette façon, je restai sexy sans me geler. Ainsi équipée, je pris mon sac à main, mes clés de voiture et sortis dans le froid glacial de l'hiver. San Francisco, le paradis de la bronzette ? C'est ça, bien sûr... J'entrai rapidement dans mon 4x4 et frictionnai mes mains devant le chauffage. J'avais décidé de sortir en robe, tant pis, je sortirais en robe, quoi qu'il m'en coûte ! Pour me réchauffer, j'avalai une gorgée de Whisky, et enfoui la petite bouteille dans mon sac à main. Je démarrai, mis en route mon CD de My Chemical Romance et sortis du parking. Des gouttes de pluies fines commencèrent à tomber. La journée s'annonçait bien, tiens...


J'arrivai devant la bibliothèque. Comme je m'y attendais, le parking était loin d'être bondé. Il était dix heures, un peu normal, non ? J'entrai dans le vieux bâtiment à reculons. J'ai toujours eu peur que ces vieux bâtiments s'effondrent sous moi, allez savoir pourquoi... Les peurs de l'enfance sont parfois inexplicables. Je montai les marches en faisant claquer mes talons et poussais la grosse porte de la bibliothèque. Une douce chaleur m'envahit, contrastant singulièrement avec la fraîcheur du dehors. L'odeur des vieux ouvrages me prit à la gorge, je grimaçai. Je me sentais comme une intruse, dans cet endroit où le calme régnait, et où les étudiants travaillaient sérieusement. Ce n'était pas vraiment le genre d'endroit que je fréquentai. Mal à l'aise, tenant fort mon sac à main, je me dirigeai vers le comptoir, où une femme sans âge était assise, plongée dans ses dossiers. Je posai mes deux mains sur le bureau en ébène et demandai :

« — Bonjour, vous avez des ouvrages de Freud ? »

Question idiote, on était dans la bibliothèque de l'Université... Je me mordai l'intérieur de la joue. La femme me lança un regard noir et plaqua sur index sur sa bouche avant de me lancer un "chuuuuut" avec humeur. Quelle sale garce. Elle tapota une petite pancarte, où, d'une écriture gothique, on nous intimait de "nous taire, et de chuchoter". On se serrait cru en primaire, c'est dingue... Je levai les yeux au ciel, le peu de bonne humeur que j'avais s'envola. Je soupirai, et redemandai en soupirant.

« — Freud. C'est où ? »

Bon, pour la politesse, on repassera. La femme me regarda de la tête aux pieds avec dédain, les lèvres pincées, et m'indiqua de la tête une rangée au fond. Je partis vers l'endroit indiqué, mais même le dos tourné, je sentais son regard posé sur moi. Je me retournai vers elle alors qu'elle baissait rapidement la tête. J'imitai ses mimiques, énervée, tandis que je tournai dans une rangée. Droit économique. Bon, je ne devais pas être au bon endroit. Je sorti discrètement la petite bouteille de Whisky et avalait rapidement une grande gorgée, avant de la remettre dans mon sac, mine de rien. J'allais dans la rangée d'à côté, et trouvai rapidement plusieurs livres de Freud. Je pris le premier qui vint. "Trois Essais Sur La Théorie Sexuelle". Bon allez, va pour celui-là. Dans le pire des cas, si c'était vraiment ennuyeux à mourir, je laisserai la lecture de côté et chercherai un bon résumé sur internet, ça se trouve toujours. Un livre rose Fushia attira mon regard. Curieuse de savoir ce que c'était, tant ce livre contrastait avec les autres, je le tirai. Il entraîna avec lui un autre livre, qui en entraîna un autre, pour enfin faire tomber une bonne vingtaine. J'ouvris de grands yeux en mettant les mains devant ma bouche. Dans le calme environnant, ça avait fait un sacré bruit, comment j'allais pouvoir ranger tout ça ? Un homme passa devant ma rangée, me regardant à peine. Je courus vers lui. Il n'avait pas la tête de quelqu'un qui vient à la bibliothèque pour travailler. Enfin, je me trompais peut-être. Je le tirais par le bras.

« — Toi. Aide-moi à ranger tout ça avant que la mégère débarque ! »

Et je courus en l'entraînant là où les livres étaient tombés.

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MessageSujet: Re: — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN EmptyDim 9 Jan - 13:50

Un homme peut se montrer naïf comme il peut se montrer lucide, et réellement voir les choses comme elles le sont. Comme une chose sûre pour moi ; l’amour. Cela n’est pas pour moi, ça l’était avant mais ça prend trop de place chez une personne, trop de temps aussi, et puis ce n’est généralement pas ce qui a de plus palpitant comme sensation. Oui, le sexe. Un sport, une passion. Une chose à laquelle je me vois grand expert, président directeur général des sports de chambre en tout genre et quelques soit le nombre de personnes. Fou n’est-ce pas ? Mon père ne me laissera pas devenir un monstre du porno. Tout simplement parce que ça changerait le nom de notre famille si je deviens totalement connu comme notre très cher Marc Dorcel ; le monstre du porno’ international. Mais Français. L’Europe sait faire ce qu’il y a de mieux, la preuve, je suis bien ici, à vous parlez de projets que je ne ferais jamais, pas par manque d’ambition ou peur du rejet côté famille ; tout simplement parce que je ne veux pas le faire. Il y a beaucoup de choses que je ne veux pas faire, comme venir à la Bibliothèque ce jour-à alors que le froid commence à montrer le bout de son nez, que l’hiver commence lentement à arriver ici. Paris me manque déjà, mais au fond, je m’en fiche, tout est aussi bien ici, là-bas, je suis trop près de ma famille, et c’est pas ce qu’il y a de plus génial quand on a un père comme le mien, surtout une mère aussi aimante et possessive et qui ne veut point que ces enfants grandissent trop vite sans qu’elle les voit avant. Bien sûr, avec les trois enfants Da Volpedo, tout cela a admirablement été raté, mais elle ne nous en veut pas, elle aura plus d’enfants après, qui sait. Peut-être que je deviendrais raisonnable et me soignerait convenablement un jour au lieu de continuer encore et toujours à jouer chaque moment avec ma vie. Surtout avec les filles, ce style de vie si rapide, si fatiguant, ne me laissant plus le temps de profiter du calme d’une chambre seul, solitude ou amitié ou juste du sexe. Il y a tellement de choses à faire, tellement de possibilités. Alors, je fais quoi ici ? Je ne sais pas réellement, un devoir je suppose, je cherche un livre si je me rappelle bien. Un livre de quoi ? Je ne me rappelle plus, et c’est bien ballot. Alors que je regarde le rayon ou je suis, rayon sexe. Du moins, de ce que ça en dit. Un obsédé ? Peut-être, je n’en ai que ça à faire, je me fiche que l’on pense ça de moi, j’aime faire l’amour, qu’y a t-il de mal à ça ? De plus, je fais des heureuses, coucher avec un être carrément divin, aussi parfait que moi ? Y a pas. Mais il n’y pas que ça à faire, il faut que je bouge que je retrouve le pourquoi de ma présence ici, un livre, c’est déjà une bonne base. Faudrait-il savoir de quel livre j’ai besoin, car si je dois fouiller chaque rayon pour que la mémoire me revienne d’un coup. Oh et puis, à quoi bon chercher ? Si c’est important ça reviendra surement, et au pire des cas, j’appellerais quelqu’un de ma classe qui saura dépanner un être si parfait, que moi. Alors que je descends les marches et laisser mes pas me guider parmi quelques rayons, puis au centre de la pièce, m’asseoir ? Pourquoi je m’assiérais, autant partir, rien ne me reviendra. Oui, mais j’ai des devoirs. La rentrée à repris avec ces inconvénients, et quels inconvénients. Je me laisse aller sur une chaise sans pour autant regarder mes feuilles, deux devoirs pour les jours qui arrivent, et une multitude de choses à revoir et à se remettre en tête pour être tout bonnement parfait, des révisions. Je me lève, je n’en peux déjà plus, mais je dois chercher un livre sur l’économie, je me souviens enfin. Je dois remonter l’étage, la flemme est en moi, merde. Allez, courage Sandro ! Je me lève enfin, après quelques minutes de soutien intérieur, je marche vers les escaliers qui mènent au deuxième étage mais je n’ai pas le temps, on m’attrape, on me tire vers un endroit, je n’ai que quelques secondes pour traiter les informations dîtes que l’on me donne. Une jeune fille a besoin de moi car elle a fait tomber des livres et pour éviter qu’elle ne se fasse réprimander par la bibliothécaire, je dois l’aider. Je suis trop bon, je ne demande rien et je ne réponds pratiquement rien, je me baisse à la hauteur de la jeune fille et la regarde, belle, séduisante, puis les livres, il y en a pleins, je les prends deux par deux et essaye de les remettre au bon endroit sans que ce soit impeccablement ranger, tant qu’elle ne remarque rien, car oui, elle a surement entendu le boucan, même si moi je n’y ai pas fait attention. Il n’en reste pas mal et elle n’arrive toujours pas, le travail a deux est vite accompli est bientôt on se dispute le dernier livre, sa main frôle la mienne et je lui fais un sourire en lui laissant ranger ce dernier livre, signe de galanterie. Je n’ai encore rien dit et je pense qu’il faut que je casse enfin ce blanc, on pourrait croire que je suis timide « Il faudrait que tu songes à devenir adroite, je ne serais pas toujours là pour te sauver.. et en parlant de ça, avance, Elle arrive. » Je ne réponds rien d’autre, j’avance devant elle, passe, entre elle et l’étagère, frôlant ces lèvres au passage par pur caprice et continue mon chemin, attrapant son poignet, je l’attire avec moi, plus loin, mais au détour d’un rayon, elle nous voit, j’accélère « Tu cours ou quoi ? » Dis-je alors qu’un escalier se présente, ou aller maintenant ? Tout droit pour l’instant !
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MessageSujet: Re: — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN EmptyDim 9 Jan - 17:12

— Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN Tumblr_liiwhmNZgn1qdwoado1_500
il fait toujours chaud à Berkeley !


Vous pensez peut-être que cette bibliothécaire me faisait peur, avec ses grands airs de sale garce ? Loin de moi cette idée. J'avais juste pas envie qu'elle me grille, et qu'à cause de ça, je doive tout ranger et, pour me faire "pardonner" l'aider à la bibliothèque. Non mais elle a fumé, elle ? Je suis loin d'être fainéante et j'aime me rendre utile, mais j'aide pas les rabats-joie ou les gens qui râlent tout le temps, ça fait partie de mes principes ! En plus, j'ai horreur des bibliothèques, alors qu'elle ne compte pas sur moi, c'est mort ! Mais bon, il faut croire que c'était quand même mon jour de chance : l'homme que j'avais prié de m'aider me suivit sans broncher. C'est dingue à quel point c'est jouissif que les gens fassent ce que vous voulez juste pour vos beaux yeux ! Quelques mots et deux battements de cils suffisent à vous les mettre dans la poche. Je courus vers le gros tas de livres et, avec l'aide de mon chevalier servant, en quarante secondes chrono plus aucun bouquin ne restait sur le sol et tout était rangé (enfin... rangé est un bien grand mot). Tant mieux, parce que j'entendais justement des talons claquer en staccato sur le vieux plancher, à quelques mètres à peine. Je lançai un regard effrayé vers les livres, fourrés n'importe comment sur l'étagère, à deux doigts de s'effondrer. Mon regard passa ensuite vers celui qui m'avait sauvé d'une grosse engueulade avec la bibliothécaire et je pus enfin m'attarder sur ses traits parfait. Enfin, parfait... La perfection n'existe pas, soyons raisonnable, à part chez moi. Enfin, je dois avouer qu'il était plutôt pas mal, et que ça faisait une semaine que je n'avais couché avec personne, et ça, voyez-vous, ça le rendait encore plus sexy et désirable, dans mon esprit de perverse endurcie. Le silence qui suivit fut pesant, et je ne savais pas si je devais prendre mes jambes à mon cou ou rester ici à feindre n'avoir rien fait de mal. Finalement mon sauveur prononça ces premiers mots, alors que je le croyais muet.

« — Il faudrait que tu songes à devenir adroite, je ne serais pas toujours là pour te sauver.. et en parlant de ça, avance, Elle arrive. »

J'eus besoin d'au moins cinq secondes pour comprendre sa phrase : le Whisky, ça me provoque des gros beugs. Comme s'il n'y avait pas assez de place derrière moi pour passer, monsieur sexy se faufila entre l'étagère et moi. Ben voyons... Je lui aurait bien collé un coup de genoux là où ça fait mal, mais il m'avait quand même aidé et ça je ne pouvais pas l'oublier. Quand il passa devant moi, nos lèvres se touchèrent presque et je sentis son souffle chaud et doux. Avant que je ne puisse réagir, il attrapa mon poignet et me tira plus loin dans les rayonnages. J'attrapais au passage mon livre et mon sac, tandis qu'il accélérait le pas. Quand à moi, j'avais de plus en plus de mal à tenir la cadence, gênée par mes escarpins. J'ai fait une course en escarpins, une fois, et je m'étais pris une sacrée gamelle : pas question de me taper la honte devant cet être parfait. Je ralentis. Visiblement, la bibliothécaire nous avait vus, et lança des paroles incompréhensibles avec sa voix chevrotante.

« — Tu cours ou quoi ? »

Je hochai vivement la tête, oubliant mes talons haut. Un escalier se présenta et mon sauveur sexy continua de me tirer tandis qu'il gravissait les marches quatre à quatre. Mon poignet commençait à devenir douloureux, tellement il le serrait fort. Arrivés sur le palier et plutôt essoufflée, il m'emmena jusque derrière un rayonnage. Visiblement, personne ne montait les escaliers. On l'avait semée. Malgré tout il ne me lâchait toujours pas la main. Je grimaçai.

« — 'tain mec... Tu m'as niqué le poignet ! »

Mais, visiblement, il était plus occupé à essayer de détecter le moindre bruit suspect. Au bout de quelques secondes, il me lâcha. Ma main était toute rouge. Bon, je suis pas du genre chochotte alors j'arrêtai de me plaindre et secouai mon poignet pour rétablir la circulation sanguine...


« — Hé ben, t'es long à la détente... Tout est long chez toi? »

Ben oui, je suis comme ça, les allusions font parti de ma vie... Enfin là, pour l'instant, il devait vraiment me prendre pour une folle... Je sortis la petite bouteille de Whisky de mon sac et bus une gorgée en grimaçant, tandis que le liquide me brulait la gorge.

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MessageSujet: Re: — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN EmptyDim 13 Fév - 18:04

A croire que j’ai le don de tomber sur des vraies blondes qui ont ce qu’il faut là ou il faut, mais trop de fierté pour se montrer moins idiote qu’elles ne le sont ! Moi, Sandro Pelizza Da Volpedo en train d’aider une jeune demoiselle qui avait l’air appétissante ; n’ayant pas eu le loisir de baver sur ce corps que j’aimerais bien tâter ; non, je n’avais pas encore le droit de toucher ce corps même pas avec les yeux, pour l’instant je m’occupais juste de la sortie d’une mauvaise aventure ; et en plus elle n’était pas en tenue pour. Alors que j’avais son poignet en main et que je la faisais courir pour ne point nous faire remarquer par la bibliothécaire ; ceux qui de toute évidence fut raté. La demoiselle que je secourais avait de toute évidence aucune conception du mot discrétion vu qu’elle ralentissait pour ne pas faire une chute ; je remarquais qu’elle n’avait pas des chaussures ou bien d’autres trucs de femmes pour marcher confortablement mais des escarpins. Ces femmes alors, même en hiver ça tient debout. Je rigolerais bien le jour ou une glissera sur du verglas, une paire de convers’ pouvait bien aller, non ? Une fille simple est bien plus intrigante qu’une fille qui se montre trop. Mais il n’y avait pas à dire ; la jeune blonde que j’aidais n’était pas mal, et il y avait de quoi s’amuser, oh oui. Largement de quoi faire quelques ébats enragés dans la réserve de la bibliothèque. Ou pas. Une fois à l’abri et la bibliothécaire perdue dans ces ouvrages, je lâchais le poignet et je remarquais qu’elle en souffrait ; des fois je ne maîtrisais pas ma force, c’était vraiment hallucinant, et je m’en voulais déjà, alors qu’elle rétablissait la circulation sanguine et disait que je lui avais fait mal d’un langage un peu trop familier, ça me rappelait des souvenirs avec mon frère ça ; oublions bien vite. Ce qu’elle dit par la suite me rendit perplexe, était-ce une invitation ou pas ? Je ne cherchais même pas à .. baiser. Alors que mon regard croisa le sien, je m’approchais d’elle, faisant mine de la désirer une nouvelle fois. Ma main se posa sur sa main et je la tirais doucement, vérifiant son poignet et la trace rouge que j’avais laissés. Mon regard se posa par la suite de nouveau sur ces yeux, m’approchant d’elle un peu plus tandis que mes doigts massait doucement sa peau pour rétablir avec douceur la circulation du sang, je devais lui répondre, et je le ferais, alors que ma bouche s’approchait de son visage, je me stoppais à une distance raisonnable et ouvrit la bouche « Je suis désolé pour ton poignet.. des fois je ne maîtrise pas ma force.. encore désolé. – J’étais sincère, et curieux – Tu t’appelles comment ? Il ne me semble pas t’avoir vu souvent à Berkeley, tu es nouvelle ? » Je n’avais pas répondu à sa question, et alors qu’elle buvait une gorgée d’alcool, que je sentais d’ici je me demandais le pourquoi qu’une fille comme elle se trouvait ici, elle n’était pas sérieuse et pourtant elle était venue chercher un livre, à quoi bon ? Je ne comprenais pas vraiment, et au fond, je m’en fichais peut-être. Je massais alors toujours sa main mais arrêta quelques minutes plus tard, l’odeur de la vodka était très alléchante mais je devais freiner sur les alcools, foutu cœur, merci à toi ! Je reculais et la regardais alors, enfin. Une belle blonde avec une poitrine appétissante, surement les fesses qui vont avec et le reste. Le regard que je lui lançais et une analyse va-t-on dire ; en clair je la matais largement bien, ne me souciant même pas qu’elle pouvait me capter, je m’en fichais, elle était appétissante et je suis sûr qu’elle le savait, alors autant entrer dans son jeu non ? Autant tomber dans son piège ? J’ouvris la bouche une nouvelle fois « Si tu veux réellement savoir si tout est long chez moi, il faut le voir, et comparer, tu ne penses pas ? » Niveau beauté je devais largement changé des gus avec qui elle couchait, du moins je n’en savais rien, je ne l’avais pas vu et faire connaissance en profondeur avec cette étudiante en plein milieu de la bibliothèque ne me dérangeait pas le moins du monde, au contraire.
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MessageSujet: Re: — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN EmptyDim 27 Mar - 15:47

— Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN Tumblr_liiwhmNZgn1qdwoado1_500
il fait toujours chaud à Berkeley !


Mon gentil sauveur s'excusa de m'avoir broyé la main. Encore heureux, c'était la moindre des choses. En tout cas, je ne pensai même pas à le remercier pour le service qu'il m'avait rendu. Après tout, c'était normal, non ? J'avais eu besoin d'aide, il m'avait aidé, point. Il massa pendant quelques temps mon poignet endolori. Il avait vraiment l'air désolé mais, en bonne fille pourrie gâtée jusqu'à la moelle, je ne fis aucun commentaire et, quand il eût terminé, rejetai mes cheveux en arrière d'un air dédaigneux. Je ne pense pas que tout m'est dû, nan... Par contre, j'adore que les gens le croient. Artificielle, vous avez dit ? À peine... Je posai mon Freud sur la table (vous pouvez me croire, je l'aurais pas lâché, je m'étais fait un mal de chien juste pour ce foutu bouquin...) et retirai mes escarpins et hésitai quelques instants si je pouvais me permettre ou non de m'affaler sur un fauteuil. Je décidai de rester debout. Je n'avais visiblement rien de cassé, mais les courses en talons hauts n'étaient visiblement pas faites pour moi. Je relevai la tête et m'aperçus que mister sexy matait... ma petite bouteille. Je haussai un sourcil et bus une gorgée en le regardant avec méfiance. Le liquide me brula le palais et la gorge, mais je devenais de plus en plus accro. Je reposai la bouteille argentée sur la table et remarquai qu'il me regardait longuement. Est-ce que j'avais du dentifrice sur le coin des lèvres ? Je vérifierais dès qu'il aurait le dos tourné. Sans mes escarpins, je perdais dix bons centimètres. Je tirai mes cheveux vers l'arrière, de façon à ce qu'il ait une vue plongeante sur mon décolleté. J'ai été gâtée par la nature, autant en faire profiter les autres... Il s'était considérablement rapproché de moi pendant que je m'étais efforcée à remettre mes chaussures, et cette proximité me plaisait plutôt. J'aime bien être proche des gens, au sens propre.

« — Je suis désolé pour ton poignet.. des fois je ne maîtrise pas ma force.. encore désolé. Tu t’appelles comment ? Il ne me semble pas t’avoir vu souvent à Berkeley, tu es nouvelle ? »

Je penchai la tête sur le côté. Jouer la garce est parfois si ennuyeux ! D'ailleurs, je n'avais même plus mal. Je décidai de ne pas relever.

« — Moi c'est Imogen. Imogen Adams, comme la famille Adams, et quand j'étais petite je... enfin bref, tu peux m'appeler Imo. Et en fait, ça fait plusieurs mois que je suis à Berkeley mais entre les entraînements de cheer et les soirées étudiantes... Enfin, c'est normal qu'on ne m'aie pas beaucoup vu dans les amphi. Mais maintenant je vais me remettre au boulot. »

Je lui fourrais "Trois Essais Sur La Théorie Sexuelle" sous le nez pour appuyer mes paroles. Je mis le livre dans mon sac, me gardant bien de lui avouer que mon frère avait menacé de mettre nos photos d'enfance sur Facebook si je ne me remettais pas vite au travail. Pas envie de me taper la honte jusqu'à la fin des temps, je préfère m'en passer.

« — Et toi, tu es..... ? »

Pas que ça m'intéresse de savoir qui il était, non non, je passe parfois la nuit avec des hommes dont j'ignore totalement le nom. Disons que j'essaye de me socialiser un peu. Juste au minimum, qu'on ne me prenne pas pour une bourge froide et inaccessible. Ce que je suis loin d'être, on est d'accord. Je lui adressai même un petit sourire, aussi faux que les seins de Lindsay Lohan. Il en avait de la chance, aujourd'hui j'étais d'humeur potable. Revenant à l'allusion que j'avais faite plus tôt, il ajouta :

« — Si tu veux réellement savoir si tout est long chez moi, il faut le voir, et comparer, tu ne penses pas ? »

Je souris une micro-seconde avant de me mordiller les lèvres de façon ultra-sexy. Génial, enfin un peu de divertissement. Me tenant à une distance réduite de mon gentil sauveur-inconnu-super-hot, je lui susurrai dans l'oreille :

« — Je me ferais une joie de savoir ce que tu caches... »

Et pour joindre le geste à mes paroles, je descendis mes mains ultra-manucurées vers la braguette de son jean, après avoir vérifié qu'il n'y avait personne à l'horizon, ou que la bibliothécaire ne nous observait pas derrière une étagère. Imo la parano', ça rime en plus... J'hésitai quelques secondes avant de baisser la fermeture, puis croisai sagement les bras contre ma poitrine. Je le regardai de haut en bas, avant d'ajouter :

« — Enfin, sauf si tu es un dégonflé... ? »



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MessageSujet: Re: — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN EmptyVen 10 Juin - 20:55

❃ C'est le destin du sexe de paraître moins romantique que le désir.

Julien Leclerc-Armand & Imogen Poison Adams
— Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN Svtmqo


    A votre avis, quel est le pourcentage de personnes qui tombent sur une jolie fille bien dans son corps et surtout assez aguicheuse dans une bibliothèque ? Même si ce lui a une lueur au fond, d’interdit, je suis sûr que le pourcentage est bas. Au début j’avais quelques réticences à croire qu’une fille sexy et surtout à mon avis très douée de sa bouche et de ses mains puissent être ici, aussi étonnant que je le sois aussi, vu la confrérie à laquelle j’appartiens, malgré moi bien sûr. D’ailleurs, elle était soit Iota ou bien Bêta, et je pensais plutôt à Bêta je vous l’avoue, mais je l’aurais bien vite vu si elle appartenait à cette confrérie, vu qu’elles sont pratiquement jumelles. Puis, qui sait, peut-être que je me trompais. Je m’excusais rapidement et je lui massais le bras pour rétablir la circulation sanguine, c’est vrai, des moments d’intensité sportive ou d’urgence comme à l’instant, il faut courir vite et ne pas perdre les gens avec qui l’ont est tombés dans la merde, ou bien que l’on cherche à esquiver. Comme maintenant. Tout cela fait, je me faisais pardonner de la meilleure des façons, et à en l’a voir boire par la suite, je pensais à mes pilules restés sous mon coussin à la confrérie. La jeune demoiselle, dont je ne connaissais pas le nom se libéra doucement de mon emprise, elle allait sans doute mieux, et se présenta à son tour. Je compris donc que je m’étais trompé sur son compte, elle n’est pas Bêta mais Iota, une cheer. Comme tant d’autres avec qui j’ai couché, on les reconnaît rapidement d’habitude, mais c’est sans doute qu’elle, je n’ai pas pu l’avoir dans mes draps et donc ne pas la reconnaître aussi facilement que les autres. Mon regard se posa alors sur son décolleté, sa poitrine légèrement découverte et qui fit proliférer mon imagination de part en d’autres, il fallait vraiment que j’arrête d’être aussi aguicheur aussi, mais ce n’est pas ma faute, je suis un aimant à femmes, je les attire toutes, ou bien c’est elle qui m’y attire. Alors qu’elle finit de se présenter, elle enchaina sur une interrogation, me demandant alors mon identité, c’est donc à moi de lui répondre, et une réponse qui a du goût, comme j’en ai l’habitude « Enchanté Imogen, alors, Imo.. . Se remettre au boulot très chère ? Je vois que nous avons les mêmes préoccupations tardives. En tout cas, ravi de faire ta connaissance.. j’aurais aimé la faire dans un lieu plus approprié, comme en boîte ou bien.. un lit. Moi c’est Julien, Julien Leclerc-Armand, tu peux m’appeler Jules, ou Julien. » Et ce fut tout, alors que doucement, la tension allait monter d’un cran après nos présentations respectives. Son sourire vira d’un faux semblant à une moue super sexy qui ne devait pas en laisser des hommes de glaces. Moi de même je ne ferais pas exception, je la désirais doucement, mais surement. Là est la place de ce proverbe, plus le plaisir est long à venir, mieux il sera. Mon regard ne quittait pas le sien, avec cette légère invitation/provocation à me tailler une pipe ici, je voulais qu’elle le fasse, je voulais voir si mes pensées étaient réelles et au fond, c’est elle qui m’avait allumé en premier, je ne faisais que récolter les lauriers. Et de plus, elle est direct, et ça me plaît, elle n’y va pas par quatre chemins et c’est sans doute cela que l’on veut, nous les mecs, même si parfois je troc l’image de connard contre celle d’un romantique drogué. Rares sont les personnes à avoir vu cette facette de ma personnalité, et rare sont les personnes pour qui j’ai réitérer cette partie de moi. Il fallait que je lui répondre, là, maintenant. Alors que ces mains s’occupaient à descendre l’ouverture de mon jean, une bosse n’allait pas tarder à se faire sentir, même caché derrière une rangée je sais que nous n’étions pas à l’abri de toutes choses, mais je m’en fichais, alors qu’elle ne semblait pas vouloir continuer, sa voix féminine vint me mettre au défi, insinuant que je n’étais qu’une merde « J’espère que tu as faim alors, un dégonflé, moi ? Jamais.. . – dis-je tout en sortant ave habilité mon sexe encore mou de mon boxer – Bonne appétit Imo. J’espère que c’est toujours une joie pour toi. » dis-je avec une once d’humour, laissant alors mon sexe allait au flanc de ma braguette, devenant plus dur, mais restant quelque peu moi, il fallait qu’il soit plus dur, et pour cela, il fallait que mademoiselle Adams s’en occupe comme une reine, et dans les plus brefs délais, avant que je ne lui saute dessus. Oui, son décolleté qui me tentait, son corps qui n’était pas mal du tout, et son physique, les traits de sa personnalité qui m’avait charmé, elle est mignonne, et dans d’autres circonstances, je l’aurais dragué tout simplement pour réellement la connaître, mais pas maintenant, pas aujourd’hui, peut-être que j’aurais la chance de rattraper le coup plus tard, qui sait.
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MessageSujet: Re: — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN — Parce que Freud, c'est vraiment pas mon truc... ♦ {pv. THE SEXIEST JULIEN EmptyDim 17 Juil - 3:17

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