the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Partagez

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
date d'inscription : 22/10/2009
nombre de messages : 37026
avatar : sam claflin

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EmptyLun 20 Déc - 13:54

      — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Sanstitre10gx — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Callmegolightly-hpv-closecrop
      « L'amour ne change pas au fil des courtes
      heures et semaines.. mais il perdure jusqu'au
      seuil du jugement dernier. »





La journée à ses côtés, avait été juste fabuleuse. La jeune femme n'avait pas à se plaindre. Aujourd'hui, elle avait la chance de découvrir Charles - Edouard au plus profond de lui même. Sans aucun doute, elle n'oublierait cette expérience. Cet échange à la Sorbonne mais surtout la relation qu'elle vit pleinement aux cotés du jeune français. Aislynn a retrouvé une certaine stabilité dans ses pensées. Elle a rangé celles où elle passait son temps à se torturer à cause d'un autre. A l'heure actuelle, c'est un radieux sourire qui était maitre de son visage, de son humeur. La jeune femme était comblée. Cette ville était merveilleuse. Ces instants étaient juste touchants. Dans le regard de cet homme, elle renaissait de ses cendres, de ses cicatrices qui prennent du temps à guérir. Charles lui donnait une force qu'elle n'avait jamais connue. Un courage qui serait près à tout affronter. Aislynn n'a plus peur de rien près de lui. Elle se sent comblée, protégée et aimée. Depuis quatre mois et demi, ils vivent cette relation comme bon leur semble et cela semble vraiment fonctionner. Loin de Berkeley et surement de tout ce qui pourrait faire changer la balance, elle profite vraiment. Elle en oublie le reste et respire simplement de bonheur. Le jeune homme se laisse livré, elle en ferait de même parce que dans une relation ça va dans deux sens. Alors s'il lui pose des questions, elle fera son possible pour y répondre en toute sincérité. « Tu sais, j’apprends des choses que je n’ai surement pas connu.. l’amitié, la vraie et aussi.. l’amour » Cette phrase laissait penser beaucoup de choses et la belle demoiselle fut en quelques sorte honoré d'avoir un tel effet sur son existence. A la base, elle n'avait jamais pensé autant marqué cet homme que rien ne semble faire frissonner. Cet homme à la carrure de pied dure mais au coeur tendre et doux. Charles est tout ce qu'il y a de plus normal même s'il aime nous montrer que rien ne peut l'arrêter. Il n'a pas mené son chemin sans égratignure. On ressort de chaque bataille avec quelques grattes, il est rare de sortir intact. On ne va pas se la jouer fort et indestructible. Simplement parce que l'homme n'est pas immortel. On aura tous notre heure, notre dernier souffle et on ne pourra pas y remédier. Dans son regard, il pourrait y voir quelque chose de vrai. La demoiselle ressent bien des choses pour lui. Après tous ces instants de plaisir, de tendresse et de simplicité, Aislynn est charmée et attendrit par lui. « J’aurais aimé te la présenter, mais ce n’est pas grave.. Toi aussi tu comptes beaucoup pour moi Aislynn.. tu me rends différent, je ne sais comment l’expliquer, mais je me sens mieux en ta présence.. qu’elle soit physique ou juste dans ma tête.. je me sens toujours bien. » Ils étaient sur la même longueur d'onde et cela était plaisant. Dans un sourire, un regard, ils se comprenaient et la journée leur appartenait. Elle lui attrapa la main, ils n'allaient pas rester éternellement ici et le ventre de la belle commençait à faire quelques bruits.

En direction de chez lui, les deux jeunes gens profitaient de la vu mais surtout la jeune américaine. Elle savait qu'elle ne reviendrait plus pendant un moment après l'échange. Plein de choses l'attendaient à Berkeley, ses iotas, les cherleaders et ses amis qu'elle avait laissé là. Elle se demandait si Charles allait cuisiner ou s'il allait commander chez un traiteur. Voulant avoir la surprise, elle ne lui posa pas de questions. Se demandant même dans quel genre de bâtiment, il pouvait vivre. Maison, appartement ? Elle n'avait encore aucune idée. Dans ce taxi, elle se rapprocha de lui, déposant sa tête sur son épaule. Elle tient dans l'une de ses mains, celle du jeune homme et la caresse avec l'un de ses doigts. L'instant est calme et tendre. Elle apprécie et décide d'engager la conversation. « Tu ne regrettes donc pas de passer la journée entière avec la même et unique personne qu'est moi. » Elle sourit et imagine qu'il ne répondra pas négativement. Il risque de l'étonner et au pire, elle ouvre la porte, sort du taxi et basta. Néanmoins, elle est si bien qu'elle lève le visage vers celui de Charles. Il semble si apaisé qu'elle prend bien l'image de cet instant en tête. Ce moment où il ne pense à rien de mal, rien qui puisse le torturer parce qu'ils sont deux. Aislynn se sent pousser des ailes et elle ne peut pas contrôler. Puis c'est connu, nous sommes toujours plus forts à deux, c'est beaucoup plus facile d'affronter les évènement de la vie quand on a quelqu'un sur qui compter, une épaule sur laquelle se poser. Se rapprochant dangereusement de lui, elle supprime l'espace qui les sépare. S'avance sans compter près de ses lèvres, lâche sa main pour venir la poser sur sa joue, doucement et sensuellement, elle l'embrasse. ses lèvres sont douces, son haleine est parfaite et sa façon de la toucher juste fantastique. Les yeux fermés, elle ne pense qu'à lui. A ce qu'ils partagent, à ce touché qui peut lui faire naitre un désir incroyable. « Tes baisers sont - ils toujours aussi passionnel ? » En tout cas, elle évitait de l'imaginer embrasser une autre comme il le faisait avec elle. Terminant par un doux baiser dans le cou, le taxi s'arrête. Il semblerait qu'ils soient arrivés à l'endroit voulu. La jeune femme est curieuse d'en apprendre davantage sur le beau brun. Il sort le premier et elle le suit de près. Elle a le souffle coupé quand elle voit l'illumination de cette ville. Paris respire le romantique et le classe. Beaucoup de choses qui resteront à jamais gravés dans ses pensées, dans son coeur et dans ses souvenirs. Aislynn sourit.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: Re: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EmptyMar 21 Déc - 23:28

      — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. 2gwg9zd — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EdWestwick15
      « L'amour est la seule passion qui ne souffre ni passé ni avenir. »


Je ne sais pas si c’est de l’amour ou que je suis tout simplement amoureux d’elle, on peut dire que j’ai des sentiments pour elle, je l’admets enfin. Je ne peux tout simplement pas calculer leur portée, comme le désir que je ressente là, dans ce taxi. Comment fait-elle pour allumer moi un feu si ardent sans aucune difficulté ? D’un claquement de doigt, ou plutôt d’un frôlement de lèvres ou d’un léger baiser et attiser les flammes. Cette fille est tout ce que je cherche au fond, pétillante et pleine de vie, le sourire aux lèvres et un cœur brisé comme le mien, c’est cela qui nous as rapprochés plus que tout, et aussi ce signe du destin, ce premier baiser échangé pour échapper à une de mes groupies, et voilà que je devenais accroc d’une petite blonde qui me faisait littéralement craquer d’un seul regard. Mon cœur s’est épris d’Aislynn et je ne peux faire autrement que lui obéir, tout en ayant toujours cette crainte de faire souffrir comme j’ai fait souffrir Aurlanne. Les décisions sont prises et je vais essayer de lui concocter quelque chose, ou bien commander quelque chose. Cela sera déjà plus sain, et surtout quelque chose de mangeable. Ou pas, en faite. C’est vrai que je ne cuisine pas trop mal, mais mon esprit perfectionniste veut que tout soit parfait, peu importe le prix que ça coûte, l’argent n’a jamais été un problème. La maison se dessinait, c’était plus un immeuble appartenant à ma mère et qui était entièrement mien, un loft parisien quoi. Oui, voilà. Je vis dans un loft parisien, et au fond de moi j’espère que Miss Hildebrand n’est pas là, pas que Aislynn pourrait être jalouse, oh si elle pourrait grandement l’être, surtout si Heavynne se promène en sous-vêtement comme elle en a l’habitude. Je vire ces pensées de ma tête alors que je sens contre moi ma petite amie, Aislynn. Je ne sais pas si j’ai le droit de lui dire que je l’aime, peut-être n’est-ce pas le bon moment, et de plus, je ne devrais pas lui dire des choses dont je ne suis pas sûr. Attendre et une bonne chose, ne pas aller trop vite, et surtout, prendre son temps. Nous le prenions bien depuis que l’on se connaît, non ? Sa question me fait sourire, et j’aurais aimé répondre négativement juste pour voir sa tête, juste pour l’embêter, cette pensée me tire un sourire, et je n’ai pas le temps de répondre que je retrouve ces lèvres contre les miennes, un baiser flambant s’engage. Je lui donne tout de moi, je suis à croire quelqu’un d’entier en amour, je suis peut-être un peu trop passionné, à croire que je pense que ce baiser pourrait être le dernier, autant en profiter un maximum ne pensez-vous pas ? Je sais que je n’ai pas tort, je profite des occasions que la vie m’offre au maximum. Je sais trop bien ce qu’est la mort d’un proche, pour en avoir tuez un moi-même, mais je n’avais pas le choix, juste de la défense, et la défense de mes ami(e)s. D’un côté je me remerciais de ne pas avoir connu Aislynn à ce moment là, elle aurait pu être ma première petite amie et qui sait, peut-être lui aurais-je fait comme avec Aurlanne, je m’en serais voulu. Je m’en voulais pour Aurlanne, mais maintenant, avec plus de recul, je vois l’importance des choses, et surtout des gens. Je souris, et ces lèvres ne quitte les miennes, alors que ces lèvres glissent sur mon cou, je me mords la lèvre, j’adore ce frisson qui me prend, me prouvant que je suis bien vivant à moi, et qu’elle me fait découvrir des caresses que jamais je n’ai ressenti à un tel point. Je ne réponds plus de moi-même, mais je sais être raisonnable, la situation l’exige. Le désir est là, bien présent. Je le retiens, l’isole, pour l’instant. Nous arrivons bientôt et je l’écoute me demander si mes baisers sont toujours ainsi, je ne sais pas, je n’ai jamais vraiment tenté de m’embrasser au fond. Je me savais bien foutu, charismatique, bon, presque parfait, mais je ne savais pas que je pouvais donner tant d’effets à mes baisers. Je la regardais, sincère et dit « Je t’avoue que je ne sais pas, je n’ai jamais tenté de m’embrasser ! Mais si tu le dis c’est que ça doit être vrai (a) ! Bon, on est arrivés ! – Dis-je en sortant, ne lâchant pas sa douce petite main – Voici mon loft, la maison ou j’ai vécu avec ma mère.. enfin le loft, spacieux et tout, il est petit à mes yeux comparés à d’autres choses, mais quand j’étais gosse je te jure que ça paraissait géant.. c’est juste assez pour une femme d’affaires et son fils prodige ! » Dis-je avec un sourire alors que je l’attirais à l’entrée, montait les escaliers jusqu’au premier étage avant d’ouvrir la porte et d’entrer. Je sortais le trousseau de clé et ouvrait rapidement la porte, j’avais faim aussi, et surtout, le désir qui naissait en moi n’allait pas s’éteindre aussi facilement. Je posais ma veste sur le porte-manteau alors que je lâchais sa main pour lui prendre son manteau et faire de même, à croire que je suis un vrai gentleman, avec elle. « Et voici mon chez moi ! Fais pas attention au bordel, si bordel il y a ! Normalement il y a rien, du moins je crois ! Alors dis-moi tout, que veux-tu manger mon ange ? – Petit test de surnom, qui sait – Alors qu’en penses-tu ? » Dis-je, alors que j’allais derrière le comptoir qui faisait cuisine et bar et comptoir en même temps ! Une cuisine ouverte quoi ! Je nous sortis quelques sodas, ne sachant pas lequel elle voudrait, oui, pas d’alcool, pas sitôt ! Cherchant un tablier, au cas où je devrais jouer au cuisto’, j’avais pas intérêt à me louper !
Revenir en haut Aller en bas
Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
date d'inscription : 22/10/2009
nombre de messages : 37026
avatar : sam claflin

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: Re: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EmptyLun 27 Déc - 17:38

      — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Sanstitre10gx — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Callmegolightly-hpv-closecrop
      « L'amour ne change pas au fil des courtes
      heures et semaines.. mais il perdure jusqu'au
      seuil du jugement dernier. »





Dans le regard du jeune homme, Aislynn renaissait. Il semblait si expressif que bien souvent, le silence suffisait pour qu'ils se comprennent. Cela faisait peu qu'ils se côtoyaient. Quatre mois sur une vie, c'est un grain de sable dans l'océan. Et pourtant une complicité sans limite les rapprochait. Silencieuse, elle ne parla pas beaucoup en début de trajet. La demoiselle était très intriguée de voir où il avait vécu parce qu'elle s'imaginait qu'il la ferrait rentrer chez lui. Paris leur ouvrait bien des portes. Le petit couple se tracassait de rien tant qu'ils étaient côte à côte. Aislynn appréciait beaucoup de choses chez le beau brun. Elle ne regretterait rien du tout ! Pas même la façon dont ils s'étaient rencontrés, ni la douleur sentimentale qui les avait réunis. Dans ce taxi, l'ambiance montait. Leurs corps étaient proches sans pour autant être l'un collé à l'autre. Mais en posant sa main sur le torse de Charles, elle pouvait sentir chaque battement qu'effectuait son coeur. Elle adorait le bruit que pouvait faire cet organe. Cela lui rappelle son enfance, quand elle s'endormait sur le torse de son grand - père et qu'elle disait que son coeur lui parlait. Le boum boum de cet organe a su l'aider à trouver le sommeil quand elle devait faire la sieste. Mieux qu'une boite à musique, une mélodie intense pour la jeune femme. En effet, c'est incroyable de penser que seul cet organe décide si on vie ou si on meurt. Ce baiser qu'elle venait d'échanger avec le jeune homme l'avait envahis de frissons insoutenables. Aislynn avait resserrer sa main dans la sienne le temps de quelques secondes. Retrouvant son regard, elle le désirait. Elle craquait. Elle en tombait peut être même amoureuse. Les sentiments étaient présents, il n'y avait aucun doute. Mais est ce qu'ils étaient aussi grands que ceux que l'on a quand on dit " je t'aime " à une personne ? Elle ne le savait pas vraiment. Le temps lui dirait sans doute et elle n'était pas du genre à provoquer son destin. Elle le saura et quand le temps sera venu de se rendre à l'évidence. Elle n'aura plus peur et pourra lui dire ces trois mots qui peuvent changer une relation.

La voiture s'arrêta et ils sortirent du véhicule. « Je t’avoue que je ne sais pas, je n’ai jamais tenté de m’embrasser ! Mais si tu le dis c’est que ça doit être vrai (a) ! Bon, on est arrivés ! » Il n'avait pas tort, puis se serait unique s'il s'était embrassé lui - même. Cela pouvait même une des grandes premières pour l'homme, aussi grand que le premier pas qu'il a fait sur la lune. « Voici mon loft, la maison ou j’ai vécu avec ma mère.. enfin le loft, spacieux et tout, il est petit à mes yeux comparés à d’autres choses, mais quand j’étais gosse je te jure que ça paraissait géant.. c’est juste assez pour une femme d’affaires et son fils prodige ! » Aislynn fut heureuse de retrouver sa main, la douceur de sa paume qu'elle écouta parler. Un loft ? Pour un fils prodige, la jeune femme ne peut s'empêcher de sourire quand il prononce ces mots. Charles avait de l'humour, de la douceur et la passion. Elle se demandait bien ce qu'il pouvait lui manquer. Aux premières pensées, elle ne trouva rien et ce n'est pas demain la veille qu'elle arriverait à trouver. Charles est tout simplement tel qu'il est et elle l'apprécie à sa juste valeur. « Je me réjouis de découvrir. Il doit y avoir des photos de toi, enfant. Alors ? » Montant jusqu'au premier étage, ils pénètrent alors dans ce loft qui est juste parfait, la vue, la décoration, l'ambiance. Aislynn apprécie les lieux. « Et voici mon chez moi ! Fais pas attention au bordel, si bordel il y a ! Normalement il y a rien, du moins je crois ! Alors dis-moi tout, que veux-tu manger mon ange ? Alors qu’en penses-tu ? »» L'observant agir, elle lui donne sa veste et se laisse vivre. Il s'éloigne alors vers la cuisine. Alors, il pensait vraiment faire quelque chose à manger. La demoiselle se réjouissait d'avance. Elle se demandait bien ce qu'il pourrait mijoter et elle mettrait la main à la patte s'il le fallait. Dans ces lieux, le petit couple allait pouvoir profiter de l'intimité qu'ils voulaient. Surtout après qu'elle ait entendu le surnom qu'i lui adressa. « J'aime beaucoup. » La jolie blonde se rapproche de Charles, derrière cette cuisine. Il a des airs de petit homme parfait. Elle l'attire alors près d'elle, contre elle. Prenant place sur le plan de travail où elle pose ses fesses. Elle sourit et a une certaine envie de le déguster. Allez savoir pourquoi, elle se sent emporté par le regard qu'il lui porte. Une attraction les rapproche. L'attirant encore plus proche d'elle, Aislynn tombe dans son regard. Un long silence s'impose. Mais rien qui pourrait les vexer. Elle est hypnotisée. Elle a le souffle coupé. Pour y remédier, elle rapproche son visage vers celui de Charles. Déposant l'une de ses mains sur son visage. Le premier baiser est court et doux. Elle s'éloigne de quelques millimètres et sent encore son souffle chaud sur sa peau. Les yeux fermés pendant tout ce temps, elle ne pense plus qu'à lui. Peut être qu'elle se laisse emporté par ses envies mais le temps n'a pas de valeur. Ce qui compte réellement c'est ce qu'elle ressent quand il la touche, quand il l'observe, quand il l'embrasse et même quand il lui parle. Après tout, il l'avait surnommé son ange. Décidant de se contenir, elle redescend du plan de travail, reste quand même contre vu qu'il est juste devant. Leurs corps sont collés, elle le sent proche d'elle et apprécie les sensations qu'il fait naitre en elle.. « Si tu as besoin d'aide pour cuisiner, chéri. Je suis là, ça ne me dérange pas de mettre la main à la patte. »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: Re: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EmptyJeu 3 Fév - 19:40

      — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. 2gwg9zd — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EdWestwick15
      « Le plaisir étant éphémère, et le désir durable, les hommes sont plus facilement menés par le désir que par le plaisir. »


Aislynn & Moi, j’avoue, c’est quelque chose. Je n’ai jamais ressenti autant de bonnes sensations, d’ondes positives. Mon loft n’était pas tout à fait immense, mais il y avait de l’espace, et pour répondre à sa question, le loft était rempli de photos de ma mère et moi, ce qui me faisait un choc à chaque fois, mais avec le temps je m’étais habitué à cela, à ne plus pouvoir la voir quand je voulais. Elle était enterrée en Corse et allait la voir voulait dire allait voir la mafia. Je ne pouvais donc pas me permettre cela et c’était réellement dommage, trop même. Alors que nous étions dans la cuisine, mon regard se portait sur le sien, et je pouvais sentir l’alchimie qui nous unissait, mon cœur résonnait en écho au sien et nous étions liés même s’il y avait une légère distance d’elle à moi. Cette distance disparut lorsqu’elle vint vers moi et pour grimper sur le comptoir. J’étais complètement sous son contrôle et hors de contrôle en même temps. Le désir reprenait son pas, le désir abandonné dans le taxi était encore et toujours là, prêt à attaquer à la moindre défaillance et je ne suis qu’un homme, certes je ne suis pas n’importe quel homme, mais mes faiblesses sont les femmes, et surtout celle-ci. Aislynn me fait défaillir, son baiser est rythmé au mien, je lui rends tout aussi passionnément alors qu’elle se rend surement compte de la suite des choses, du désir qui s’éveille encore plus en nous. Mon regard n’est plus apte à vouloir faire à manger, mais plutôt à dévorer des yeux ma belle petite-amie. La cuisine, le sujet principal, elle avait faim, et moi aussi. Alors qu’elle était tout contre moi, la raison me disait de me détourner d’elle, mais je la voulais, la de suite, sur le comptoir s’il le fallait. L’amour, je ne sais pas, je ne peux pas réfléchir correctement dans une telle situation. Il faut que je me calme et que je reste raisonnable, l’être avec elle ne peut pas faire de mal, et je ne la vexerais pas, du moins, j’espérais ne pas la vexer en résistant à ces avances plus ou moins directes. Peut-être que c’était ce que j’allais faire, la vexer et qu’elle m’en voudrait par la suite, alors comment savoir si un choix est bon à faire ou pas ? Il faut tester ce choix et si ce choix se représente je saurais quel choix faire et ne pas faire. La raison devenait légèrement plus présente dans mon esprit, et c’est avec lenteur que je frôlais les lèvres d’Aislynn pour n’en retenir que l’effleurement, le désir qui s’échappait et disparaît lentement et à contrecœur. Je me tourne vers la droite, ne lui faisant qu’à moitié dos, je pris la poêle à sa droite avant de me retourner complètement dos à elle, sortant alors quelques œufs du réfrigérateur ainsi que d’autres produits, un peu de persil ainsi que du sel d’un des placard au-dessus de moi. Par la suite j’allais mettre un peu d’huile dans la poêle sans en mettre trop puis me retournais vers elle. Je lui arrachais un baiser des plus fougueux, des plus horribles, il fut tellement passionné que la rapidité à laquelle je lui avais donné et terminé ce baiser était un crime. Mes hormones étaient en ébullition, mon désir n’attendait que l’occasion parfaite et moi, je ne devais qu’obéir à ma raison qui allait sans doute défaillir, comment rester calme avec une telle femme à ces côtés, alors que je prenais un bol et environ 6 œufs je le posais sur le comptoir tout en cherchant de quoi remuer le tout, impatient que je suis-je pris une fourchette qui suffirait amplement et alors que je cassais le premier œuf dans le bol, mon regard vrilla sur le sien « Mettre la main à la pâte ? Avec ce regard-là ? Avec ces baisers ? Si je m’écoutais ce n’est pas mon ventre que je nourrirais mais bien mon cœur.. Tu me rends fou. – Je laissais un blanc, l’intensité des émotions que je ressentais et de la situation était à son comble – Tu aimes les œufs avec du fromage ? Je sais que c’est banale ce que je prépare mais je vais y rajouter ma sauce spéciale, un peu de fromage bien crémeux, avec une touche de persil, et un peu de sel & poivre, ça sera parfait. » Bon, okay, là je me la jouais trop cuisto, peut-être que c’était ce dont j’avais besoin, l’amour et de manger, ou les deux en même temps, avec la bonne personne, est-elle la bonne ? J’en suis intimement persuadé, mais autant ne pas m’emballer, encore.
Revenir en haut Aller en bas
Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
date d'inscription : 22/10/2009
nombre de messages : 37026
avatar : sam claflin

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: Re: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EmptyLun 28 Fév - 21:19

      — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Sanstitre10gx — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Callmegolightly-hpv-closecrop
      « L'amour ne change pas au fil des courtes
      heures et semaines.. mais il perdure jusqu'au
      seuil du jugement dernier. »





Parce que je me sens complétement ailleurs. Alors je me rendais compte de mon choix, il était bon, c'était le meilleur. Sans aucun doute, je ne pourrais jamais oublier ce voyage et j'espère que les choses allaient aller de mieux en mieux avec le beau français. Je ne voulais plus me retrouver avec ma conscience, assise dans le noir, les larmes coulant le long de mon visage. Car on la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois, qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école. C'est quelque fois moi. C'est quelque fois lui. Mais il suffit parfois d'une rencontre ... Celle qui peut faire la différence et redonner un sens à tout ceci. Loin de Joshua, loin de notre histoire, je suis peut être faible mais à ce moment précis, j'ai juste envie de sourire. Envie d'être celle qui peut lui plaire et qui peut faire la différence dans ses sentiments. Je ne peux le nier, je m'y suis attachée. Charles est un garçon qui en cache un autre. On le croit invincible, dragueur, collectionneur de beautés. Mais quand on creuse, on perce plus loin on y voit une personne totalement différente. Je suis charmée et je ne peux pas la nier. Tout me fait sourire depuis que j'ai quitté mon continent. Me voici en Europe et je suis émerveillée de retrouver cette dame de fer. Entre elle et moi, c'est une vraie admiration. Si grande, si solide, on a l'impression qu'elle serait prête à vivre toutes les étapes inimaginables. Alors que moi j'ai peine à sortir de ma tête ce delta. Des milliers de kilomètres nous séparent et je me demande toujours ce qu'il peut faire, qui peut l'occuper. Est ce qu'il arrive à avancer ? Néanmoins à l'instant que je tourne mon visage vers le beau brun avec qui je suis en parfaite compagnie. J'oublie tout et je ne souhaite qu'une chose, en voir d'avantage. Je suis comme une adolescente. Loin de tous, peu de gens le sache d'ailleurs. En y pensant même mes parents n'étaient pas au courant que j'avais pris un avion et que j'étais bien loin d'où ils me croyaient.

Dans cette cuisine, j'ai faim sans aucun doute mais j'ai du mal à rester de marbre. Charles sait comment me regarder pour me faire frissonner. Il sait sans doute comment faire craquer une demoiselle et ça m'agace. J'aimerais être aussi un mystère pour lui. J'espèrerais en être un. Il m'embrasse fougueusement, se détache et s'éloigne. Je mordilles ma lèvre inférieur et reste insatisfaite. Pourquoi il ne va pas jusqu'au bout ? Pourquoi pas ici, toute suite, nus et à côté de ses oeufs ? Peut être que j'en demande trop. Seulement je ne suis pas la seule responsable du désir qu'il fait naitre en moi. Quand il s'approche ou qu'il prend ses distances. J'aimerai qu'il me fasse sentir unique femme de ses envies. Celle dont il ne serait jamais lassée. Je le regarde alors faire son petit chef derrière le réchaud. « Mettre la main à la pâte ? Avec ce regard-là ? Avec ces baisers ? Si je m’écoutais ce n’est pas mon ventre que je nourrirais mais bien mon cœur.. Tu me rends fou. Tu aimes les œufs avec du fromage ? Je sais que c’est banale ce que je prépare mais je vais y rajouter ma sauce spéciale, un peu de fromage bien crémeux, avec une touche de persil, et un peu de sel & poivre, ça sera parfait. » C'était étonnant et à la fois une vraie torture ses paroles. D'abord, il me disait qu'il ne savait pas qu'il le retenait à me déguster toute crue et toute nue. Puis de l'autre côté, son organe qu'on appelait l'estomac qui primait. A cela me rendait dingue, si j'avais pu lui arracher l'organe en question et moi - même prendre les devants. Seulement, j'aime voir un homme poser ses mains sur moi en premier lieu. Alors j'attends patiemment et l'odeur de ses œufs réveillent la faim en moi. Cependant je ne suis pas sûr qu'elle prime sur le désir que le beau brun éveille en moi. « On ne m'a jamais en deuxième plan sur sa liste et encore moins après des œufs même s'ils ont l'air délicieux. » Laissant échaper une léger rire, je décide de jouer le tout pour le tout. Peut être que ça va me refroidir ou peut être qu'il va confirmer mon idée. Je prends place sur le plan de travail de libre qu'il reste. Déboutonne un à un les boutons de mon chemisier et laisse apparaitre le sous vêtement que je porte. Après tout, la faim pouvait attendre mais pas mon désir. Quand j'avais envie, j'avais du mal à me contenir. « Tu ne voudrais pas lâcher ton regard de cette poêle, juste trente secondes. » J'étais assise, jambe croisé sur ce morceau de marbre qui était légèrement froid. Mais peu m'importait, j'espérais qu'il allait venir me sauver et me réchauffer à sa manière. Sourire au bout des lèvres, je suis tentée et excité par tout ce qui peut nous entourer mais surtout la présence du français. « J'ai quelque chose pour toi. »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: Re: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EmptyVen 4 Mar - 20:41

      — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. 2gwg9zd — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EdWestwick15
      « Le plaisir étant éphémère, et le désir durable, les hommes sont plus facilement menés par le désir que par le plaisir. »


Une femme et le bonheur de tout homme, que ce soit physiquement ou moralement, faire son chemin à deux au lieu d’être seul et toujours mieux. On apprend à connaître l’un et l’autre, à penser à deux et tellement d’autres choses qui sont bénéfiques à ce couple. La partie la plus intéressante et surtout celle qui fait tourner la notion de couples : des moments à deux. Qu’ils soient passifs ou bien actifs, ils ont leur part de vie, et chaque moment qu’ils soient bien ou mauvais est gravé dans notre corps et notre esprit. En cette journée que nous partagions, ou je ne pouvais comprendre l’esprit complexe qu’était la femme, je me contentais juste de contenter nos faims qu’elle soit sexuel ou pas. Du moins, là je me contentais de m’occuper de notre faim de notre estomac. Les œufs étaient tentants mais Aislynn l’était encore plus, et je réussis avec difficulté à me concentrer sur ce que je faisais, sur ce que je devais faire et ne pas rater : mon plat. Malgré la concentration dont je faisais preuve pour que ce plat soit tout bonnement parfait, je savais qu’une seule tentative de sa part pourrait inverser les flux ; que je ne pourrais plus résister et que je devrais indéniablement me jeter sur elle ; dans le sens propre du terme. Je ne peux résister à une si belle créature, ces longs cheveux blonds ainsi que ce corps qui ne demande qu’as être dévorés. Son regard qui en dirait long sur ces pensées, sur nos envies respectives surtout qui sont à ce moment là ; réciproques. Malgré tout je ne quitte pas la poêle du regard, j’y rajoute un peu de fromage un peu de sel et la laisse cuire encore un peu, elle n’est pas dorée, comme j’aime, elle est encore jaune et le feu est bas, je dois donc attendre, et ne pas mettre plus fort, sinon je raterais mon plat. A force de devoir tout faire par moi-même par flemme d’avoir des domestiques, je le fais moi-même et ça me laisse une chance d’avoir ce que je veux, quand je veux et avec toujours cette autonomie. Mes pensées étaient plus ou moins posés sur Aislynn, mais au fond, je n’étais pas sûr qu’elle & moi ça tiendrait lorsqu’on retournerait là-bas. Comment gâcher un moment comme celui-ci ? Tout simplement en pensant au pire, alors que je ne pouvais tout simplement pas penser qu’elle m’était acquise ? Je sais plus que quiconque que dans cette vie rien n’est acquis, rien ni personne. Alors je dois juste attendre et penser au pire, comme au meilleur. Comme à ce sourire qui disparaît de mon visage, cette euphorie qui laisse place à une légère angoisse, du stress. J’entends ces mots et je souris, je ris légèrement même, ces vrais que ce plat est délicieux, du moins je l’espère. Elle me redonne le sourire et de quoi penser, et pas n’importe quoi. Me demandant si je pouvais poser mes yeux sur elle et pas cette poêle, j’aimais cette jalousie et je prenais donc mon temps, jouant avec sa patience alors que je sentais le pire, ou le meilleure arrivait. Quelque chose pour moi ? Elle jouait à présent avec mon impatience, mais je ne céderais pas. Le plat était prêt et je sortis le persil puis deux assiettes et coupant parfaitement cette omelette. Il ne manquait plus qu’as parsemer le persil parfaitement et ainsi que rajouter du sel, ainsi que de la mayonnaise pour moi. Oui, ma touche perso’ ! Je me mis à genoux tout en faisant vite dans mes mouvements, il y avait environ une seule minute entre ce qu’elle m’avait demandé de faire et ce que j’avais effectué, rapide le bougre. Je m’agenouillais donc pour ouvrir un placard qui se trouvait entre ces jambes, je finis par prendre le sel et remontait, mon regard suivant son corps, ces jambes parfaitement parfaite, lisses comme tout, j’en étais sûr, alors que je remontais sur sa taille qui était tout aussi parfaite, ainsi que déboutonnait sur un ventre parfait, je baverais bien mais ma fierté m’en empêchait, mon regard continuant sur une poitrine dévoilée mais cachait seulement par un soutien-gorge qui ne tiendrait pas plus de vingts secondes si je ne me contenais pas. Puis ce regard, ce sourire, coquin. Elle était tout simplement adorable et je ne pouvais pas mieux espérer ; c’était elle que je voulais. La faim ? Mon Plat ? Je n’en voulais plus. Elle n’eut pas le temps de comprendre ce qui se passait et moi non plus, le sel était posé non loin de nous alors que ma bouche se trouvait sur la sienne, mes lèvres contre les siennes et nos langues s’échangeant ardemment un ballet langoureux. Ma main passait sur sa taille sous son chemisier que je dégageais d’un côté puis de l’autre, mes deux mains sur sa taille, je la tirais à moi sans l’enlever du marbre froid sur lequel elle était assise. Mon regard croisa le sien quelques secondes avant que ma main gauche sur sa cuisse, la collant à moi. Mes lèvres ne tardèrent pas à aller sur son cou, et le mordiller, puis l’embrasser avec vénération, ce corps était le mien, je le voulais, et que personne d’autre n’ai de droits dessus. Mon souffle s’était largement accélérer ainsi que mon envie, je murmurais tandis que mes lèvres montaient sur sa joue, puis son oreille que je mordillai légèrement « Je supposes que nous n’allons pas manger de suite mon cœur.. ? – Riant par la suite, autant aller dans un autre endroit – Ce marbre est froid.. mais je supposes que nous ne pourrions pas avoir la capacité de bouger de suite.. . » Pourquoi ? Je pouvais bien parler, alors marcher ne serait pas si difficile ? Si, très difficile.
Revenir en haut Aller en bas
Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
date d'inscription : 22/10/2009
nombre de messages : 37026
avatar : sam claflin

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: Re: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EmptyLun 7 Mar - 12:53

      — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Sanstitre10gx — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Callmegolightly-hpv-closecrop
      « L'amour ne change pas au fil des courtes
      heures et semaines.. mais il perdure jusqu'au
      seuil du jugement dernier. »





Avec Charles, notre relation était simple. A Paris, tout était parfait. Seulement, j'avais déjà pensé à quoi pourrait ressembler notre retour. Nous rentrons le jour de noël. J'étais obligée d'être présente pour la soirée. Déjà que j'avais essayé par tous les moyens de participer au festivité avec la distance. Je ne pouvais pas être absente, arrivée le jour j. Certes, j'en parlerais à Charles en temps voulu et j'espère plus que tout qu'il acceptera d'être mon cavalier. Je souhaitais vraiment que rien ne change à notre retour en Californie. Les gens parleront sans aucun doute. On sentira peut être même de la jalousie mais après tout, ce qui m'inquiétait le plus était de tomber sur Joshua. Normalement, il serait là aussi à cette soirée organisée par nos deux confréries spécifiques. Je n'en étais pas sûr. Enfin, là n'était pas encore le problème. Je ne pouvais pas passer mon temps à me poser un million de question. Joshua avait surement déjà tourné la page. Je ne l'oublierais peut être pas. Néanmoins, je m'attachais à ce beau brun et j'en étais comblée. Il savait me parler, me regarder et m'apprécier. Il m'avait fait découvrir des pièces sombres de son passé. Je l'avais vu fragile, une larme coulant sur son visage. J'étais charmée et tentée de le déguster. Il n'était peut être pas parfait pour beaucoup. Seulement j'avais l'espoir qu'il puisse changer en quelques sortes avec moi. Comme si une seule femme lui suffisait. J'étais donc sa petit plaisir et j'appréciais ce voyage. Il me montrait Paris sous un autre jour. Je posais un autre regard sur le monde. Alors qu'il essayait tant bien que mal de concentrer toute son attention sur le plat. Je ne peux m'empêcher de le perturber. J'aimerais qu'il lâche tout et se nourrisse simplement de moi. Pas d'oeuf, ni de persil et formage, juste moi. Ce ne serait pas suffisant ? Alors je souris et le cherche du regard. J'aimerai tant bien que mal de le captiver. Mais il me semble que le jeune français sait aussi jouer avec mes nerfs. Il aime me faire languir, juste parce qu'il sait qu'il est un homme charmant.

Cependant, il finit par poussé ses ustensiles pour m'observer. En une fraction de seconde, je le sens attiré. Au contact de ses lèvres, je me laisse guider. La saveur de sa bouche est toujours aussi appréciée. Je pourrais reconnaitre ses baisers entre mille. Charles est vraiment doux quand il me touche, quand il me regarde. Au contact de sa peau, je frissonne, je frémis mais je garde toujours mon regard dans le sien. « Je supposes que nous n’allons pas manger de suite mon cœur.. ? Ce marbre est froid.. mais je supposes que nous ne pourrions pas avoir la capacité de bouger de suite.. » S'il se sent enlever tous ces sens. Je serais là pour l'aider car à deux, on est toujours plus fort. Lorsqu'on forme une paire, on est plus solide. Si l'un tombe, l'autre sera là pour le ramasser. Je décide alors de prendre les choses en mains. « Le plat peut attendre mais pas l'envie qui me prend. » Alors que je me laisse glisser le long du plan de travail. Je retrouve le sol et reste collée contre lui. Je le sens, il le désire tout autant que moi. Cela allait être notre première fois alors que ça faisait quelques temps que nous nous côtoyons. Cela faisait une ou deux semaines qu'on était presque jour après jour l'un avec l'autre. L'embrassant langoureusement, l'envie ne cesse de grandir en moi. Elle est là plus que présente. Mais j'essaye de me contenir pour savourer chaque parcelle de sa personne. L'attirant avec moi, je tiens sa main et arrive à hauteur de cette fabuleuse chambre. Ce lit en baldaquin est tentant. Le fait tourner pour qu'il soit dos au lit et le faisait tomber dans les draps. J'ai la position dominatrice et j'apprécie guider les choses. Cependant, j'avoue appréciée être guidée par un homme. Enlevant le peu de tissus qu'il me reste, je me retrouve en sous vêtement. Le regard attaché à Charles, je lui souris et dépose une de mes jambes sur sa gauche et l'autre sur sa droite. « Je me sens tellement bien à tes côtés. Tu sais quoi faire pour me faire flancher chéri. » Déposant ensuite une dizaine de baiser dans son cou. Je détache sa chemise bouton après bouton. Je le laisse frémir, subir. L'envie est intense et le désir incontrôlable.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: Re: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EmptyJeu 10 Mar - 22:50

      — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. 2gwg9zd — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EdWestwick15
      « Le plaisir étant éphémère, et le désir durable, les hommes sont plus facilement menés par le désir que par le plaisir. »


Tout changeait rapidement, très rapidement. Même si je mettais de la lenteur à la faire languir, je me rendais impatient tout autant qu’elle, voir bien plus. Son désir brûlait plus que le mine à cet instant là, mais plus j’attendais, et plus le mien gagnait en intensité. Finalement je finis par craquer et elle se retrouvait tout contre moi, collés à moi et je ne la lâcherais pour rien au monde, elle était mienne et à personne d’autre. Le désir charnel devenait de plus en plus fort et mes lèvres parcouraient sa peau alors qu’elle me menait à présent dans la chambre que j’avais indiquée plus tôt. Le plat que j’avais fait finirais sans doute à la poubelle et je commanderais à manger après nos ébats, du moins si nos ébats finissent. Oui, je voyais loin et peut-être que je ne devais pas, nous serions sans doute endurants, du moins, j’osais le croire. Mon cœur ne faisait que répondre à l’écho du sien et je me sentais en phase avec elle. Son désir avait finalement enflammait le mien encore plus et cela ne faisait que commencer. Je parcourais de mes lèvres son cou et ces lèvres, dans un ballet langoureux et ardent. Tandis que nos vêtements glissaient plus rapidement les uns que les autres alors que nous arrivions enfin à ce lit. Sous mes yeux j’ai la plus belle des blondes, ces formes épousant ces sous-vêtements ; elle était parfaite ; sa plastique l’était tout comme sa personne que j’appréciais de plus en plus. Mon regard était luisant de désir qui ne venait que de s’accroître à la vue de son corps qui emplissait mes rêves et mes désirs de plus en plus fort. Je l’embrassais alors qu’elle me poussait sur ce lit, telle un fauve sur sa proie, et pour la première fois j’étais la proie. Cela ne me déplaisait pas tant que ça et je soutenais ce regard de tigresse qu’elle me donnait ; j’aimais ça aussi étonnant soit-il. Elle se pose alors sur moi, me dominant alors qu’au fond je préférais dominer ; j’arrangerais ça plus tard. Mon regard dans le sien, mes lèvres s’accrochèrent au sien de nouveau et ma langue ne quittait plus la sienne. Ces jambes vinrent se poser autour de moi alors que ma main glissait sur sa cuisse, l’autre sur sa taille. Montant doucement, au fur et à mesure et ma main gauche empoignait ces fesses bombées que j’adorais particulièrement chez elle. Mon autre main glisse sur son ventre que je caresse du bout des doigts pour la faire frémir alors que je sens ces lèvres quitter les miennes, ces lèvres mordiller et baiser mon cou de baiser à me faire frissonner, et je frissonne sans gêne avec elle. Les boutons de ma chemise glissant doucement sous ces doigts et je pense que je vais la laisser me déshabiller ; être dominé par une femme aussi belle et une femme surtout avec qui je n’ai jamais été aussi bien qu’une autre. Elle gagne des points et pas des points qu’elle pourra perdre, je ne l’espère pas. Peut-être que, elle, c’est la bonne ? Je n’ai pas le temps d’y penser, elle me laisse les rennes, et je pense que je vais les prendre ; assez de domination, je lui en laisserais pour plus tard. Je reprends avec fougue ces lèvres alors qu’à présent mes deux mains empoignent son fessier subissant des caresses parfaites à l’en faire frémir. Mes dents vinrent mordiller son cou et libéra mon cou de ces lèvres pour que je lui fasse plaisir. Mes dents par la suite firent glisser le côté droit de son soutien-gorge puis le côté gauche, je lui souris et le fit glisser de mes mains pour qu’il ne soit plus une entrave à mon avancée. Le soutien-gorge soutenait toujours sa poitrine mais quelques mouvements de ma part pour le faire tomber lentement. Je soupirais de plaisir et d’un coup je passais ma tête dans sa poitrine, mordillant le tout de sorte de faire tomber son soutien-gorge. Une fois cela fait, il tomba sur moi et je pus mordiller ces seins nus. Je léchais le droit puis le gauche, à tour de rôle, les tâtant légèrement ; ils étaient parfaits. Je mordillais par moment ces tétons tout en lui faisant plaisir avant de retourner les rôles. Dominant j’étais sur elle et je continuais à caresser et léchais, embrassais ces seins. Soudainement je me levais et je reculais du lit, elle semblait ne pas comprendre. Ma chemise était déboutonnée et je la fis glisser sur le sol tandis que d’un coup rapide je déboutonnais mon jean et défit aussi la ceinture. Ne l’enlevant cependant pas, le laissant ainsi, pendre. Je lui sautais dessus et enfouie ma bouche dans son cou, le mordillant avec plus de plaisir et de passion, plus de fougue et de désir. Mordillant sa peau, puis descendant de nouveau vers ces seins que je léchais de nouveau. Ma main entreprenante qu’elle était, glissa sur son ventre parfait et doucement, glissa sous sa culotte et caresser doucement le sexe de ma Iota. Douceur et sensualité, ainsi qu’une lenteur calculée. Caressant aux bons endroits et coïncidant les moments ou je mordais sa peau sur ces seins et ou j’appuyais en elle, alors que doucement mes doigts se frayaient un chemin en elle. Testant son impatience, je voulais la faire craquer.. je murmurais alors « Moi qui pensait que la présidente des Iota était plus endurante, et plus compétitive, me trompes-je ? » Je souris, alors que je descendais mes lèvres sur son ventre, puis lui enlevant ce dernier sous-vêtement, je léchai d’un coup son sexe. Ma langue en elle s’affairait à lui faire des plaisirs buccaux qu’elle ne connaîtrait nulle part ailleurs. Je voulais la transporter dans un autre monde, le notre.
Revenir en haut Aller en bas
Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
date d'inscription : 22/10/2009
nombre de messages : 37026
avatar : sam claflin

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: Re: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. EmptyMar 12 Avr - 13:28

      — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Sanstitre10gx — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Callmegolightly-hpv-closecrop
      « L'amour ne change pas au fil des courtes
      heures et semaines.. mais il perdure jusqu'au
      seuil du jugement dernier. »




La température avait monté d'un échelon. Nos corps n'avaient qu'une envie, être l'un près de l'autre. A croire que ça allait être leur premier, leur manière de se dire qu'ils comptaient l'un pour l'autre. A Paris, beaucoup de choses avaient évolué et je devais avouer ne pas avoir l'envie de rentrer. J'avais peur que tout changer, que des choses viennent se mettre sur notre chemin. Charles était un autre homme quand il était chez lui. A Berkeley, il y aurait encore toutes ces filles, toutes ces rumeurs que j'avais la crainte de le voir s'éloigner avec une autre. Bien sûr, il pouvait également éprouver la peur que je me retourne vers Joshua mais depuis le temps que je n'avais plus de ces nouvelles, je me disais qu'il était surement passé à autre chose et je devais en faire de même. Je ne pouvais pas passer ma vie à l'attendre même si une partie de moi souhaitait quand même garder un petit histoire que cette histoire n'était pas morte. Je ne peux pas passer mon temps à vivre dans le passé. Alors c'est dans les yeux du jeune français que j'essaye de trouver mon avenir. Les histoires d'un soir n'ont jamais été ce que je préfère. Quand je vois comment l'une de mes rencontres d'une soirée a tourné. Je préférais être celle qu'un homme désire plus qu'aucune et que cette envie ne s'efface pas après une nuit. J'appréciais le jeune homme, je m'y attachais et une certaine jalousie naissait. Est ce que ceci allait resté intact lorsque nous serions de retour ? Je savais que des regards se poseraient sur nous, des rumeurs allaient courir sur notre dos et des a priori allaient augmenter au fil du temps. Je savais déjà qu'on dirait que je n'étais qu'une femme parmi tant d'autre pour ce gamma, qu'il ne se satisferait pas d'une seule. Tellement de choses que je redoutais que je pensais réellement à lui demander de rester ici avec moi. Seulement, j'étais consciente que je ne pourrais pas me cacher éternellement. Néanmoins à cet instant, c'était la meilleure solution que j'avais trouvée. Nos corps parlent d'eux - même. L'envie, le désir ou la fougue, je suis partagée dans tous ces sentiments. Avançant jusqu'à cette chambre, j'égare quelques uns de mes vêtements. Gardant les choses en mains, je l'allonge sur le matelas. Je sourie et continue de déboutonner ses boutons. Laissant paraitre une peau douce et attirante, je sens chacun de ses baisers. Je n'ai qu'une envie, être sienne. Être celle qu'il apprécie, qui compte plus qu'une autre. Je souhaite que cet instant soit le meilleur. J'aimerai qu'il n'oublie jamais ce souvenir où nos corps n'avaient qu'une envie, former un. Me couvrant de baiser, il arrive à ôter mon soutien gorge, laissant apparaitre une poitrine parfaite. Je sens ses baisers, ses dents et ma peau frissonne. Il me touche, me rend un peu plus faible et je le laisse prendre le dessus. Alors que c'est loin d'être dans mes habitudes, j'aime avoir les commandes. Se levant pour faire descendre son pantalon jusqu'au genoux, il vient de se perdre dans une des parties du corps de la femme qui peut la rendre dingue. Entre mes cuisses, il sait comment s'y prendre. Je laisse échapper quelques gémissements, le souffle coupé, je frémis, je faiblis. Sa respiration venant se coincer entre mes jambes, je sens la chaleur m'emporter. Je ferme les yeux et ne pense à rien d'autre si ce n'est qu'à lui. Quand je décide de le ramener jusqu'à moi, quittant ainsi mon entre cuisse. Je l'embrasse fougueusement et le sers contre moi. Je suis humide. Je le désire plus que jamais. Même si la phrase qu'il vient de prononcer hante mes pensées. « Tu n'as pas encore tout vu. » Je le pousse sur le dos, me glisse le long de son corps en le couvant de mes lèvres, baiser après baiser. Je fais descendre le pantalon qu'il gardait sur le bas de ses jambes, prenant soin d'ôter le slip qu'il portait. D'ailleurs, ça lui donnait un air très sexy mais je comptais également lui montrer de quoi je pouvais être capable. Me faufilant à mon tour entre ces jambes, j'entoure de mes lèvres cette partie du corps de l'homme qu'il apprécie. On dit que certains ont le cerveau dans cette partie du corps. Alors je fais de mon mieux, je m'applique, faisant des aller et retour sur son pénis. Jouant vec ses pulsions, ma langue accompagne le tout pour le faire frémir, le rendre faible. Je m'occupe du mieux de cette partie de lui, douceur, délicatesse et sensualité, je laisse en même temps glissé l'une de mes mains sur sa jambe que je caresse avec lenteur. Pour venir à nouveau retrouver son entre jambe, gardant mon attention sur son plaisir, sur cette application, cette façon dont j'agis pour le combler.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty
MessageSujet: Re: — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. — Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts. Empty

Revenir en haut Aller en bas

— Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Sujets similaires

-
» Nous tenons de notre famille aussi bien les idées dont nous vivons que la maladie dont nous mourrons. {Elliot
» nous avions créé notre monde. c’était nous contre eux. - olivia & mackenzie
» Nous sommes des anges déchus qui nous acharnons à remonter vers notre céleste origine.
» notre histoire d'amour vaut-elle 1 millions de dollars ? pv JORDENNN ♥
» Un pseudo amour, une déception mais une amitié, coute que coute - CEC&.Holly

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-