the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Partagez

Never believe in me. Close

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

Never believe in me. Close Empty
MessageSujet: Never believe in me. Close Never believe in me. Close EmptyLun 19 Juil - 0:51

      Never believe in me. Close Yvonne-Strahovski-yvonne-strahovski-11086923-100-100 Never believe in me. Close Damon-3-damon-salvatore-13822113-100-100
      One day, one night. It's perfect. You & Me.
      But why do you have a control on me ?



    Le vendredi soir MISSION DISTRICT est tout à fait normale. Mais qu’est-ce que la normalité ? Aux yeux des gens communs, nous aurons comme réponse au sujet des être humains que ce sont des hommes et femmes qui ont une tête avec des yeux, un nez et une bouche ainsi que des oreilles, mais aussi un corps bien formé sans la moindre difformité. Les psychiatres et psychologue étudieront le problème avec beaucoup d’attention. Mais quand il s’agit d’une ville, Martin avait plutôt tendance à penser que la ville était remplie de monde et bougeait au grès des habitants. Pourtant Mission District était connue pour son taux de criminalité. Comment ne pas avoir peur dans de telles conditions ? C’était bien une question que se poser de nombreuses personnes, pourtant Martin restait neutre au sujet de ces questions ou même des accusations portées contre ce quartier. Si on en croyait les statistiques, Martin n’avait pas beaucoup de chance de se faire agresser dans ces lieux insolites. Il ne comptait pas non plus se laisser faire. Malgré ses petits airs d’enfant riche, Martin était assez rebelle et savait se détachait des autres. Il était assez différents des élèves que l’on pouvait trouver dans une des plus grandes universités du monde. Toujours dans son monde, il avait décidé d’être un tyran. Ce n’était plus la veuve, et l’orphelin qui attiraient la pitié ou même le pouvoir, mais lui. Il ne voyait que lui. Après tout n’était-il pas parfait ? Un physique de rêve ? Un charme fou qui fait baver plus de la moitié des filles ? Mais comme tous les autres charmeurs, ce n’était qu’un Don Juan ou un Casanova des temps modernes. Il attirait les pauvres jeunes femmes faibles et fragiles qui demandent de l’aide. Il leur apporte l’amour et la protection dont-elles ont besoin, mais pour un cour instant. Il ne supporte pas être en relation avec une personne. Après avoir usé de son charme et avoir eu ce qu’il voulait, il jette sa proie comme si elle ne comptait pas pour lui alors qu’il lui avait jurée de toujours prendre soin d’elle. Du baratin qu’il avait appris tout petit. N’ayant aucun soutient maternel, ni même une structure familiale stable, il avait appris à séduire les femmes pour se venger d’elles. Il s’était forcé à les détester. Il voulait qu’elles souffrent, il avait le pouvoir de les faire souffrir, il se devait de le faire c’était dans sa nature, il n’avait pas besoin d’une autre preuve, sa seule véritable raison d’exister était celle-ci. Peut-être stupide ou même impensable et bien pourtant c’était ce que pensait notre jeune homme.

    Marchant d’un pas solitaire dans les rues de la ville, son regard océan se posa sur toutes les personnes qui le regardaient. Elles l’examinaient comme si c’était une bête en cage. Il était dur de croire qu’un jeune homme vêtu d’un jean hors de prix et d’une chemise bien repassée pouvait venir des quartiers miteux. Ses lunettes de soleil sur le visage, il pouvait examiner le comportement des gens comme si celui-ci l’avançait à quelque chose. Des petits yeux noirs d’un être inférieur à lui se posèrent dans les siens, il baissa les yeux regardant les trouvailles du marché, il haussa les épaules et entendit les cris des marchands qui voulaient vendre avant la fin de la journée. L’être aux yeux noirs fixa le jeune homme et osa déclarer « Vous n’avez pas l’air d’être ici. » Parole qui ne surprit pas Martin. Il ne répondit pas aux paroles du marchand, comme si il n’avait que ça à faire. Il tourna le dos. Le marchand fronça les sourcils et eut peur de perdre un client potentiel. Il se chargea aussitôt de reprendre la parole. « Je suppose que vous êtes en quête de gloire, d’argent ou peut-être bien d’amour. Je vois ce que vous êtes, je vois qui vous êtes, je peux même rentrer en contact avec votre passé. » Ces paroles plurent à Martin. Un rictus malicieux aux lèvres, il se retourna l’air intéressé, il posa ses mains sur l’étalage de l’homme devant lui. -« Alors racontez-moi mon passé ! ». Le marchand bafouilla, n’étant bon qu’à peindre les gens il ne savait pas quoi dire. «  Votre passé a du être difficile… ». D’un air méchant, l’être aux yeux bleus s’empressa de dire « Mon passé est comme celui des autres, tantôt facile, tantôt difficile, c’est le chemin de la vie. Il suffit qu’on ne fasse pas attention et l’on tombe dans un ravin où l’on se casse la cheville. Non je n’est pas eu un passé facile, mais il ne fut pas difficile non plus. Je ne suis point en quête de gloire, je l’ai déjà acquise, je ne suis pas en quête d’argent, je suis plus riche que vous pouvez y penser. Quant à l’amour, je ne crois plus en ce sentiment qui nous transperce les veines. Ce sentiment surfait et inutile. La vie est tellement courte qu’il vaut mieux s’amuser que de croire en de telles banalités. ». Le jeune homme se retourna d’un pas décidé et continua sa longue marche vers le bar le plus proche autant de révélations lui avaient donné soif. Poussant la porte d’un bar modeste aux multiples décorations artistiques, il commanda un whisky pour se changer les idées et réfléchir à d’autres sujets.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Never believe in me. Close Empty
MessageSujet: Re: Never believe in me. Close Never believe in me. Close EmptyVen 23 Juil - 14:18

    Que représente une existence pour une personne ? La vie, l’amour, la mort ? Beaucoup pensent que oui, d’autres pensent qu’il faut aussi une famille, des amis solidaires, des personnes qui seront toujours là pour vous et qui ne vous laisseraient jamais tomber. Seulement Ileana elle avait se genre de personnes dans son entourage. Elle avait sa vie de jeune femme aux parents roumains partit de rien et un père qui était devenu homme d’affaires et qui travaillait dans l’astronomie. Sa mère est femme au foyer, mais elle sait aussi être une femme forte. Au coté de son père elle reste une femme modèle et qui prend grand soin d’elle. Ileana était la seule fille de la famille, avec un père et trois grands frères, il lui fallait un modèle et à part eux, elle avait sa mère. Elle a donc prit exemple sur elle en tournant certaines choses à sa façon. La manipulation, le manque de respect envers certaines personnes. Mais c’était surtout la manipulation qui faisait d’elle une femme qui obtenait tout et Ileana manipulait autant qu’elle le désirait pour arriver à ses fins. Avoir des hommes différents aussi étaient quelque chose qu’elle appréciait particulièrement. Elle n’avait pas envie de se fixer, après tout pourquoi pas profiter de sa jeunesse et des hommes qu’elle pourrait avoir. Elle n’avait pas beaucoup d’hommes en qui elle avait confiance, mais elle savait sur lesquels elle pouvait compter. Alors, elle savait que malgré les différents qu’elle avait pû avoir avec ces hommes, elle pouvait tout de même compter sur eux.

    Ce soir Ileana avait e sortir. La fin de l’année avait déjà sonnée et elle devait aller rejoindre ses parents en Roumanie d’ici quelques jours. Alors, aujourd’hui elle voulait sortir avec des amies, mais toutes étaient occupées. Soit elles passaient leurs soirées avec des hommes, soient elles partaient enfin en vacances ailleurs, soient elles n’avaient pas envie de bouger. Se retrouvant seule, elle s’habilla d’un débardeur, d’une jupe assez courte et partit en ville. Profitant du beau temps, elle marchait tranquillement. Ne sachant pas vraiment où aller, elle se décida finalement pour un bar. Après tout peut-être qu’elle pourrait passer une bonne soirée avec un charmant jeune homme. Elle n’avait pas spécialement envie de trouver un homme à mettre dans son lit, non ça elle n’en avait même pas envie à vrai dire, mais au moins pouvoir trouver une personne avec qui discuter dans une bonne ambiance. Passant alors de rues en rues, elle arriva finalement devant un premier bar et y entra. Regardant autour d’elle, elle sourit à plusieurs personnes, restant tout de même un minimum poli et alla s’installer à une table. Commandant un martini au serveur, la jeune femme regardait les personnes présentes quand son attention se porta sur une personne qu’elle connaissait. Souriant elle se leva de sa place et demanda au serveur de lui amener son verre là où était le jeune homme. Allant alors vers lui, elle prit place.

    Salut.

    Le voyant tourner la tête vers elle, elle sourit.

    Je te pensais partit loin d’ici pour les vacances.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Never believe in me. Close Empty
MessageSujet: Re: Never believe in me. Close Never believe in me. Close EmptyVen 23 Juil - 18:20

    Une famille. C’était primordial pour le bon équilibre d’un enfant. Il avait besoin de ça pour se développer. Il avait besoin de se sentir aimé et qu’on lui apporte un certain soutien. Mais contrairement à toutes les familles qui sont à peu près normale, celle de Martin ressemblait à l’une de ces familles américaines riches qui se fichaient pas mal de leurs progénitures. Tant qu’elle avait un certain soutien, le reste n’était qu’une simple illusion. Martin avait toujours pensé qu’il n’était pas arrivé au bon moment. Il ne pouvait regretter sa famille. C’était tout de même ses parents. Il avait une raison de les détester. Au fond de lui, il ne pouvait pas les supporter, mais il ne désirait pas non plus qu’ils leur arrivent malheur. Quand Martin naquit, personne n’était présent pour sa naissance, sa mère le déposa dans un berceau en plastique et se reposa. Elle n’osait pas le prendre dans ses bras, ni même lui baiser le front. Son père était ambassadeur, il ne pouvait se déplacer comme il le voulait. Il était toujours surveillé et devait rester sur place pour travailler. Sa femme avait un peu plus de liberté côté travail. Elle pouvait se déplacer, c’était d’ailleurs son travail. Etant une agente immobilière réputée, elle devait faire sa place dans le monde des affaires. Ces deux personnes ne pouvaient donc pas s’occuper d’un enfant. C’est pour ça que depuis son plus jeune âge, Martin dut s’armer de patience et se préparer à supporter une nourrice qui le suivait partout, mais aussi à changer continuellement de pays. Il devait à chaque fois reprendre ses repères. Mais si il n’était pas aussi amical qu’on puisse le penser c’était à cause des voyages qu’il entreprenait depuis tout petit. Il n’avait pas le droit de se faire des amis. Il devait penser à l’avenir et au fait qu’il ne les verrait plus. Il n’y avait pas à dire, son enfance était loin d’être parfaite. De plus, ses parents en rajoutaient toujours en lui envoyant chaque semaine un bon gros chèque et ce depuis sa plus petite enfance. Mais une chose pour laquelle on ne le laissa pas faire ce qu’il voulait c’était pour son éducation. Il avait droit aux meilleures écoles. Mais aussi aux meilleurs professeurs. Chacun venant chaque week-end pour lui donner des cours de comportement, de danse … Martin devait être un enfant parfait dans une famille parfaite sans le moindre équilibre du point de vue sentimental.

    Après une vie des plus intéressantes, le jeune brun était en train de savourer un whisky jouant avec le rebord de son verre. A ses côtés, il n’y avait personne, il était le seul qui était assis près du comptoir à jouer avec son verre. Mais il apporta son lèvre à ses lèvres et pencha sa tête en arrière pour avaler le contenu du verre. L’alcool se propagea dans l’intérieur de son corps pour se répandre dans son système digestif. Il regarda le barman qui était en face de lui. Il commença à le regarder curieusement, il devait le prendre pour un alcoolique. Mais il devait avoir l’habitude vu tous les alcooliques qui passaient par là. Mais ce n’était pas lui qu’il regardait. Martin haussa un sourcil et se retourna, une jeune femme venait de faire son entrée dans le bar. Elle était d’une grande beauté, mais il ne fit pas vraiment attention te se replongea dans son occupation du moment. Il se retourna et regarda le barman qui était en extase devant la jeune femme qui venait de faire son entré. Il déposa devant lui un verre de whisky. Le jeune homme sentit une présence à ses côtés. Il détourna son visage et vit une silhouette féminine. La jeune femme commença à parler avec une voix de velours qui ne lui était pas inconnue. Elle le salua et commença à lui parler. Le jeune homme était énervé, du moins agacé si l’on peut dire. Il se retourna et reconnut la jeune femme.

    « - Tu croyais que j’étais parti en vacances ? Et bien ce n’est pas vraiment le programme. Et toi as-tu prévu de partir loin de Berkeley ? »

    Le jeune Epsilon n’avait pas tellement envie de se déplacer, mais il allait finalement partir en vacances, à New York, ou même en Italie pour revenir aux sources. C’était une façon de partir ailleurs pour se changer les idées et revoir quelques amis, même si ils n’étaient pas vraiment nombreux, on pouvait les compter sur les doigts d’une main. Malgré tout, même si Martin n’avait pas eu une vie sociale parfaite, il lui arrivait quand même de trouver la perle rare en tant que ami, même si il détestait être accompagné.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Never believe in me. Close Empty
MessageSujet: Re: Never believe in me. Close Never believe in me. Close EmptyLun 9 Aoû - 22:10

    La famille s’est important, mais quand la famille n’est pas là pour vous, vous n’avez pas les repères nécessaires pour vous en sortir. Evidemment l’éducation qu’on vous apporte est un repère, mais avoir de l’amour est encore plus important que le reste. Martin n’avait pas dû avoir une enfance facile contrairement à Ileana. Elle avait toujours eux des parents compréhensifs et qui faisaient tout pour qu’elle se sente aimé. Ses trois frères eux aussi étaient là pour elle. Evidemment comme toutes familles il y avait des problèmes, mais ils en parlaient même si c’était difficile d’aborder certains sujets. En tout cas Ileana elle avait eu la chance de tomber sur une famille qui était toujours présente pour elle. Elle devait d’ailleurs les rejoindrent pour les vacances et parler avec eux de cette année de cours et l’année suivante qui s’annonçait déjà à grand pas. Mais ce soir, Ileana voulait sortir et pour ça elle alla en ville. Marchant tranquillement, elle ne savait pas vraiment où aller et finalement se décida pour un bar. Après tout pourquoi pas boire un verre en charmante compagnie. Elle finirait la soirée seule sans aucun doute, parce qu’elle n’avait pas envie de se retrouver avec un homme dans son lit le lendemain. De toute façon en ce moment Ileana n’était plus très sûr de rien niveau hommes. En effet elle avait joué avec un homme et elle se rendait compte petit à petit qu’elle s’attachait à lui. Elle n’aimait pas ça, mais ça lui était arrivé comme ça sans comprendre vraiment. Seulement elle savait aussi que ça pourrait mal se terminer donc elle ne voulait pas aller plus loin. Seulement elle voulait être la meilleure et pour ça elle devait manipuler cet homme. Tout était trop compliquée pour elle et elle pensait que les vacances l’aideraient sans doute à y voir plus clair. Elle avait besoin de changer d’air et de voir du pays pour penser à autre chose et revenir à ses priorités. Allant donc dans un bar, elle y entra et vit une personne qu’elle connaissait. Un de ses ex petit ami avec qui elle avait gardé de bons contacts. S’asseyant au bar près de lui, il commença à lui parler du fait qu’elle le pensait partit en vacances. L’écoutant parler, elle but une gorgée de sa boisson et lui sourit.

    Oui, d’ici quelques jours je pars dans ma famille.

    En effet, elle devait les retrouver et elle espérait ainsi se détendre et revenir plus requinquer pour l’année prochaine.

    Tu vas donc rester ici jusqu’à la rentrée ?

    Elle ne l’aurait pas imaginé rester ici. Elle pensait qu’il serait plutôt du genre à partir loin pour se détendre et ne pas rester près de l’université.
Revenir en haut Aller en bas
Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
date d'inscription : 22/10/2009
nombre de messages : 37026
avatar : sam claflin

Never believe in me. Close Empty
MessageSujet: Re: Never believe in me. Close Never believe in me. Close EmptyMar 28 Déc - 21:30

sujet classé - corbeille
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Never believe in me. Close Empty
MessageSujet: Re: Never believe in me. Close Never believe in me. Close Empty

Revenir en haut Aller en bas

Never believe in me. Close

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» you & i, close together -- MUSIDORA
» go to las vegas. close
» I left you; you come. Close
» Close your eyes, sometimes it helps.
» Come Back In The Past. close

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-