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Il y a comme un air de famille ... PV Caroll

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MessageSujet: Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Il y a comme un air de famille ... PV Caroll EmptyDim 31 Oct - 15:10

Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Leightonmeester1 Il y a comme un air de famille ... PV Caroll CLOUB3
Lina et Caroll

    Aujourd'hui était un tout autre jour. Un jour toujours comme les précédents, commençant d'une manière semblable aux prochains et pourtant j'avais l'impression qu'aujourd'hui sera bien différent hier et de demain. En effet, déjà, je n'avais pas de photoshoots de prévue et bien sûr j'étais dans Paris ! Ville qui me tenait particulièrement à coeur. En effet, je pouvais me vanter de n'être pas venue qu'une seule fois ici. Lorsque je pris une année sabatique pour faire le tour du monde l'année dernière avec pas un sous en poche, vivant au jour le jour, j'étais passée à Paris. Pour le transport j'avais toujours réussit à m'arranger passant de petits boulots à petits boulots, vivant de rien, de peu et surtout vivant de ma beauté pour avoir l'honneur d'être la favorite d'un Lord ou d'un autre homme pouvant me satisfaire dans cette vie d'aventures ... Puis finalement, avant de retourner dans mon pays natal, le Brésil, j'avais été repéré par une grande marque de lingerie connut dans le monde entier et j'avais entamé alors une carrière de mannequin. Carrière qui m'avait propulsé dans le monde impitoyable de la mode et du luxe ce qui m'avait permit de reprendre mes études à Berkeley. Bien sûr,je n'étais arrivée qu'en fevrier donc je n'avais put passer les épreuves de fin d'années pour passer dans la classe supérieur et je devais dorénavant refaire ma troisième année d'études mais qu'importe, l'année que j'avais prise à faire le tour du monde m'avais changé totalement et m'avais fait découvrire énormément sur les autres et sur moi-même ce que je n'échangerais pour rien au monde ! En arrivant à Paris, j'avais appelé mon agent pour la prevenir de ce léger changement de régions et pour lui, cela était parfait, de plus gros bras à séduire et ainsi plus de couverture de magasine et forcémment,un max d'argent ! Qu'est-ce que mon agent me faisait rire. Homo jusqu'au dent mais adorable c'était sûr ! Le meilleur ami qu'on rêverait d'avoir ! Depuis que j'était à Paris, je n'avais pas passé un seul temps libre sautant de photoshoots en photoshoots. Ce n'est pas que j'étais accro à ce métier mais cela me donnait beaucoup d'avantages et me changeait de mon ancienne vie de jeune femme pauvre vivant au jour le jour dans la misère. Dorénavant c'était moi qui tenait les commandes de ma vie et enfin je pouvais respirer tranquillement sans penser au problème d'argent qui pouvait se poser. Bien sûr, le mannequinat ce n'était pas vraiment ma passion non-plus mais à croire que c'était quelque chose d'incroyable puisqu'en revenant à berkeley, tout le monde avait été surpris de me voir. Une entité qui revenait pour troubler Berkeley de nouveau comme à l'époque ..

    Je m'étais installée sur mon banc au milieu du jardin du Luxembourg. Il y avait un monde fou sur les immenses pelouses et je regardais un petit ruisseau passant à travers l'une d'elles dans laquelle l'on pouvait appercevoir quelques poissons ... Je réfléchissais, une glace à la main. Je me leva enfin. C'était mon jour de repos dans mon travail non fatiguant mais assez fatiguant lorsque ce n'était pas non-plus votre passion. Je Descendis donc la longue allée longeant ce magnifique jardin observant les magnifiques tableaux des différentes régions du monde étalées sur les grandes barrières métalliques noirs qui le longeaient. Enfin, après une marche éffréné, j'arriva sur la rue Rivoli et après quelques coups d'oeil autour de moi entra dans la boutique Stradivarius se situant après une bouche de métro et un macdo souvent trop bondé à mon goût ! J'acheta un sac en cuir avec un foulard à son tour et un jean que je trouvais particulièrement confortable avec un trou au genou. Loin de me prendre la tête niveau look, j'étais magnifique quoi que je porte. C'est alors qu'en sortant du magasin j'apperçus une silhouette familière qui continuais sa marche devant Stradivarius en direction de, plus loin, le Marrais. Je lui courus après, évita quelques passants et la saisis par le bras :

    Caroll !

    Ma cousine, que je n'avais pas vut depuis trop longtemps déjà ...

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MessageSujet: Re: Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Il y a comme un air de famille ... PV Caroll EmptyDim 31 Oct - 22:19

Il y a comme un air de famille ... PV Caroll 2yn53jtjpg & Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Lm3leightonmeester16600

    Aie ! Merde !

    Attention tous aux abris, Carol Léa Venn s’était levée du pied gauche ce matin, ce pied gauche qui venait de se planter sur les talons d’une chaussure de Caroll qui traînait par terre. Après tout, bien fait pour elle, elle n’avait qu’à ranger ses affaires ! C’est en râlant que la jeune étudiante en journalisme quitta son lit. Hier elle était encore sortie avec sa meilleure amie Autumn, et une fois de plus elle avait bu plus que raison. Avant de quitter la chambre, la miss Venn jeta un œil dans le lit de sa best pour voir si elle était là, personne. Caroll en vint tout à coup à se demander si elles étaient rentrées ensemble. Enfin bref, elle se dirigea vers la salle de bain et passa une bonne douche histoire de s’éclaircir les idées. Qu’allait t-elle faire aujourd’hui ? Elle n’avait pas cours, donc elle allait en profiter pour visiter la ville, elle ne connaissait pas du tout Paris. Les seules fois où elle y était venue, c’était pour la fashion week, donc sa vision de Paris était très limitée.

    Emmenez-moi où vous voulez !


    La belle Venn avait hélé un taxi, et laissa le destin la guider. Sur le trajet, elle en profita pour regarder autour d’elle, les quartiers défilaient et aucun ne se ressemblaient. Caroll s’en prenait plein la vue. Cette ville était juste magnifique, et elle enviait vraiment les français. Pour être déjà allée en vacances dans le sud de la France et être allée skier dans les Alpes, la jeune fille savait très bien que la France était un pays très diversifié, et riche en culture. D’ailleurs pour être allée à l’exposition universelle qui se tenait en ce moment même à Shanghai, elle n’avait pas du tout compris pourquoi la France était aussi mal représentée. Alors que sur le stand de l’Italie, il y avait une Ferrari, des habits de Versace, Dolce & Gabbana, que sur celui de la Belgique, il y avait des vendeurs de frites, sur celui de la France, il n’y avait que des photos, de Paris certes, mais que des photos. Pas de vins, encore moins de champagne, ni de fromage, rien qui mettait en valeur ce si beau pays.

    Non mais espèce de connard, t’es pas au courant que la planète est en train de se dégrader ! Y a une poubelle juste là, ça te ferait mal aux jambes de jeter ton bout de papier là, plutôt que sur le pavé ?

    Ca faisait plus d’une heure que la jeune fille se promenait de magasin en magasin dans la rue Rivoli quand elle eut envie d’un café et qu’elle vit un mec, jeté vulgairement un truc sur le sol ! Ca la foutait hors d’elle, depuis qu’elle était membre de Greenpeace, (merci Kaeleigh) elle ne laissait plus rien passer, et pis il faut l’avouer, se taper l’affiche et hurler sur quelqu’un dans la rue, Caroll adorait ça ! Une fois qu’elle fut calmée, elle allait faire un tour chez Mango, une demi-heure plus tard, elle en sortit avec une nouvelle paire de chaussures. Maintenant direction le Marais, mais à peine avait-elle démarré, qu’elle entendit son prénom.

    Liiiiiiiiiiiiinaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, oh ma Linaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Tout ce qu’il y avait dans ses mains tomba sur le sol, et Caroll se jeta dans les bras de sa cousine ! Après l’avoir étouffé, elle la laissa respirer et la questionna. Lina, toi ici, je suis trop contente ! Comment vas-tu ? Oh mon Dieu comment tu m’as manqué !

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MessageSujet: Re: Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Il y a comme un air de famille ... PV Caroll EmptyMer 3 Nov - 0:41

    De revoir Caroll me fit l'effet d'une bombe. C'était si étrange de la revoir enfin ! Bien que nous étions dans la même université, j'avais l'impression que depuis mon retour de mon année sabatique, je n'avais pas vraiment pris le temps de la voir. Dur dur alors que nous habitions pourtant dans la même grande demeure ! Effectivement, j'avais toujours refusé avec mon père l'argent que la famille de Caroll nous avait toujours proposé mais néenmoins, j'avais accepté que les deux soeurs Venn m'hébergent et depuis que Naomie était partit s'installer avec Nathaniel, il n'y avait plus que caroll et moi. Ou du moins presque puisqu'enfin, grâce au mannequinat, j'avais réussit à économiser suffisemment pour pouvoir me payer un appartement ou plutôt un très très très grand patio au bord de mer ! Comme quoi avoir un physique pouvait avoir encore plus davantage qu'on ne le pensait ! Je n'avais pas put vraiment parlé à Caroll non-plus depuis que j'avais découvert quelques secrets familiaux. Effectivement, j'étais partis dès mon retour sur les traces de ma mère. Femme qui m'avait abandonné moi et mon père vers mes treize ans. Elle était souvent absente mais cet abandon soudain avait créé un vide en moi qui ne faisait que poser un nombre incalculables de questions. "Pourquoi" était celle qui revenait le plus. J'avais enfin découvert que son nom revenait souvent au bras du richissime monsieur Hermès. Se pouvait-il qu'elle se soit remarié après son départ précipité ? Puis de fil en aiguille, j'avais découvert que ce fameux Hermès plaçait tous les mois de très gros chèques à berkeley. Au début je m'imaginais toute sorte de chose. Cela se trouvait, c'était pour moi finalement, pour me faire vivre ou quoi que ce soit d'aussi saugrenu, que sais-je ! Âprès tout, pourquoi le mari de ma mère irait verser des fonds à l'université de l'enfant de celle-ci qu'elle avait laissé pour compte ? Mais c'est en y regardant de plus près que je découvris avec stupeur que la fille Hermès qui me ressemblait énormément étudiait au même endroit depuis son arrivée à BCU. Une française, coïncidence encore puisque la famille de ma mère habitait en France ... Puis il ne me suffit de quelques vérifications pour comprendre que cette fille, Aurlanne était ma demi-soeur, autre enfant de ma mère ... Je n'avais pas encore réussit à avaler le morceau et jamais nous n'avions parlé avec Aurlanne après cette découverte. J'avais juste répandut la nouvelle auprès de Caroll et Naomie qui bien sûr avait tout de suite eut beaucoup de contact avec les cousines d'Aurlanne et celle-ci. J'étais la seule à être restée en retrait et je ne voulais faire autrement. Pour moi, j'en voulais à Aurlanne, à ma mère ... Il n'y avait de raisons pourtant mais je n'y pouvais rien, je me sentais trahit en quelque sorte ...

    Tu m'as manqué aussi ma belle ! Oui, j'ai enfin décidé de partir en France ! Après tout, tu croyais quand même pas que j'allais vous laissez vous éclatez sans moi hein ?!

    Qu'elle était jolie, c'était dingue. Paris lui allait vraiment comme un gant. C'était dommage que cette histoire avec Aurlanne nous ait quelque peu séparé depuis les grandes vacances. Mais maintenant que je la voyais là, devant moi, je le regrettais amèrement. Après tout, j'avais toujours tenut aux liens familiaux, c'était une base pour moi et Caroll était comme une soeur pour moi, je n'avais pas envie de tout briser pour une mère qui avait tout foiré ...

    Si t'as rien de prévut autant faire les magasins ensemble non ? J'ai vut quelques fripperies plus loin dans le Marais ça te dit que j'aille y jeter un oeil ?

    Je lui souris de nouveau. Cela était tellement étrange de me retrouver là, avec elle ! Mais cela faisait du bien, les liens du sang, rien de tel pour passer une superbe journée !

    [désolé c'est pas trop mais je sens que mes yeux se ferment tout seuls xD]
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MessageSujet: Re: Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Il y a comme un air de famille ... PV Caroll EmptyVen 5 Nov - 15:38

    La famille. Pour Caroll, il n’y avait rien de plus important au monde. Ca commençait par sa petite sœur adorée Naomi. Bien que quand ses parents lui apprirent, qu’elle allait avoir une petite sœur, Caroll fut assez jalouse, mais il suffit qu’elle la prenne dans ses bras pour la première fois pour que tout sentiment malsain à son égard s’évapore. Naomi était depuis la mort de ses parents, la personne la plus importante dans sa vie. Ensuite, il y avait sa super belle cousine Lina, Caroll l’adorait, elle était comme une sœur, et durant ces divers voyages elle lui manquait terriblement. Puis il y avait Aurlanne, toute une histoire. Caroll avait appris son existence, et l’avait directement accepté comme un membre de sa famille et avait bien sûr passé beaucoup de temps avec elle, pour tout connaître de sa vie. Malheureusement, Aurlanne l’avait en quelque sorte un petit peu éloignée de Lina. Et enfin, il y avait une autre cousine, la belle Holly, qui elle aussi avait perdu ses parents, et donc forcément elles étaient liées à jamais.

    Oh mon dieu ! Je n’arrive pas à le croire, toi & moi au même moment, au même endroit, j’ai l’impression que ça fait des siècles que ça n’est pas arrivé ! Je veux tout savoir sur ta vie !


    Lina était une des rares personnes à connaître la Caroll d’avant. La fille qu’un rien n’amusait, la fille qui avait tout sauf des airs hautains, la fille qui se faisait à peine remarquer. Il était bien loin ce temps là, maintenant, il ne se passait pas une journée sans qu’elle ne soit au beau milieu d’un scandale, ou qu’elle ne finisse la soirée totalement ivre. Le changement de comportement qu’avait eu la jeune fille à la mort de ses parents en avait choqué plus d’un. Parfois, il lui arrivait de se demander, que serait sa vie si son père et sa mère étaient encore là ? Elle serait certainement retourné sur la côte Est des Etats Unis, et avec les relations de son père aurait obtenu un entretien pour le Times, l’aurait réussi, et gagnerait déjà sa vie comme célèbre critique cinéma.

    A vrai dire, j’aurais eu quelque chose de prévu, crois moi que je l’aurais annulé. Pour une fois que je peux passer du temps avec toi, je compte en profiter.

    Et là où c’était d’autant plus génial, c’est que Lina connaissait Paris, contrairement à Caroll, qui ne connaissait la ville des lumières que par la fashion week, et les boîtes de nuit. Elle s’était d’ailleurs inscrit à cette échange avec la Sorbonne pour découvrir cette ville autrement que par la mode et les soirées. Une chose que Caroll avait gardé de sa vie d’avant, c’était sa soif d’apprendre, et la France avait une culture riche. Peintres, écrivains, architectes, designer, la capitale mondiale de la mode regorgeait de talents, et les quartiers étaient plus diversifiés les uns que les autres.

    Faire les magasins, tu sais que tu me prends par les sentiments là ! Bien sûr que je te suis !

    La jeune fille savait d’avance qu’elle allait passer une excellente après midi, si on lui avait dit ce matin en se levant, qu’elle allait rencontré sa cousine adorée, mais qu’en plus elle allait passé plusieurs heures avec elle, croyez le, le réveil aurait été bien plus facile …
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MessageSujet: Re: Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Il y a comme un air de famille ... PV Caroll EmptyDim 7 Nov - 21:35

    Son visage rond, ses paumettes sayantes, ce sourire chaleureux ... Ces traits de visage me replongeaient de nouveau dans le passé, lorsque nous étions encore toutes petites. Cela me faisait étrangement bizarre de voir à quel point le temps était passé vite. En effet, nous avions évolués rapidement et voilà quelles femmes nous faisions maintenant ! Je me rappellais ces longs moments d'attente entre ceux où je quittais mes cousines, pendant les vacances en France et lorsque je retournais les voir en quittant de nouveau le Brésil seule, mon père travaillant tous les jours pour pouvoir faire subsister notre famille. Mes deux cousines avaient toujours été tout pour moi. Je n'avais à présent eut qu'elles deux pour me montrer que j'avais une famille autre part, qui m'aimais. Les deux jeunes femmes étaient les deux filles de la soeur à ma mère qui avait disparut sans laisser de trace m'abandonnant. Mais contrairement à celle-ci, le côté de sa famille qui était en France avait toujours été là et après ce lâche abandon, les parents de Caroll et Naomie avaient toujours tout fait pour me remonter le moral et me dire que ma mère avait des problèmes et que je n'y étais pour rien dans sa disparition. Même eux n'avaient plus eut de nouvelles ce qui avait créé un choc pour la famille. Mes deux cousines m'avaient aidé à surmonter la perte de ma mère. Deux brins de femmes magnifiques qui étaient géniales avec moi. Naomie, la belle et la douce et Caroll, un caractère très pointue. Un petit bout de femme qui déjà à l'époque aimait briser les règles que sa condition l'obligeait à suivre. Une personne forte mais que je ne comprenais pas toujours lorsqu'à l'époque elle se plaignait de sa condition sociale voulant souvent vivre la vie que je menais au Brésil. Pour elle, cette vie d'exotisme était plus qu'attrayant. C'est vrai que ma vie n'était pas non-plus horrible puisque je vivais au jour le jour, sans jamais savoir ce que me réservais le lendemain mais en vivant toujours des situations hors du commun, en rencontrant des gens totalement différents les uns des autres et en vivant d'une manière indépendante et libre m'instruisant grâce au simple fait de découvrir par moi-même le monde et ses mystères. Mais bien que cela m'avais toujours permis d'être beaucoup plus mature que d'autre, j'enviais mes cousines qui avaient toujours eut tout ce qu'elles désiraient. Bien sûr, leur famille avait toujours essayé de nous aider niveau argent lorsque mon père perdit son entreprise mais nous n'avons jamais accepté ... Par fierté je suppose ... Oui, une grande fierté et honneur nous habitait, nous les Nickson ... Mais maintenant, à force de ma battre contre la situation précaire j'avais tourné du tout au tour en devenant plus que connue dans les plus grandes villes du monde avec le mannequinat ! Comme quoi, le destin pouvait vous révéler d'agréable surprises !

    C'est claire ! En venant sur Paris, je n'étais pas sûr de te revoir ! Mais apparemment ! Ma vie ? Hum ... Très dur à détailler, si tu savais ! Depuis que j'ai retrouvé ma mère j'ai préféré continuer ma vie normalement. Après tout, elle m'a toujours déçut, je ne m'attendais pas à ce que cela change ! Et les hommes ... Mon dieu les hommes Caroll, si tu savais !

    J'eus un grand sourire. J'étais réputée à Berkeley pour être une croqueuse d'hommes la plus redoutable de l'établissement. En vérité, ... Non en faîtes c'était strictement le cas. Je n'aimais réellement me retrouver seule et j'aimais une bonne présence masculine auprès de moi. Présence que je renouvelais très souvent même trop souvent certaines fois ... La plupart du temps, je n'avais qu'à marcher dans un couloir pour voir qui me dévisageais le plus et qui je pourrais avoir le plus difficilement ... Un instinct que j'avais développé lors de mon adolescence lorsque j'avais compris que mon corps pourrait même si c'était difficile souvent à vivre, être une arme ... J'en jouais souvent ! Et oui, il y avait des filles réputées pour leur garce-attitude, d'autres car elles étaient très bonnes en cours, d'autres parce qu'elles étaient belles et populaires et moi ... J'étais le canon intouchable que beaucoup voulait avoir ! Sauf qu'on pouvait croire qu'à cause de ça, je me faisais beaucoup d'ennemis et pourtant, je n'en avais pas vraiment n'étant pas d'une nature à repousser les autres comme beaucoup le pensait d'un simple coup d'oeil sur ma démarche désinvolte ...

    Et toi alors ?

    Je recommençais à avancer sur la longue rue Rivoli. Nous allions bientôt arriver dans le Marrais à quelques pas seulement d'ici. Cette journée semblait très bien se passer pour le moment et je me demandais bien secrètement pourquoi Edward et Caroll n'était plus ensemble ... Histoire qui m'avait surprise d'autant plus que comme les Venn, je connaissais la famille Atwoodth depuis mon enfance et bien sûr, certaines choses s'étaient aussi passés de mon côté ...
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MessageSujet: Re: Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Il y a comme un air de famille ... PV Caroll EmptyLun 8 Nov - 23:49

    Marcher dans les rues de Paris, il fallait être américaine pour apprécier cela à ça juste valeur. Une parisienne qui déambulait dans les rues de sa ville, ça paraissait banal pour elle, mais pour une américaine, c’était totalement différent ! Surtout pour une californienne, qui était habituée, à voir des nanas en bikini toute l’année, même quand elles allaient à l’école, les filles étaient très peu vêtue ! Ça avait d’ailleurs le don d’exaspérer Caroll, elle qui était toujours à la dernière pointe de la mode. La jeune fille pouvait passer des journées entières à faire les boutiques à la recherche de la perle rare. Mais parfois, elle avait l’impression que cela ne servait à rien, puisque toutes les californiennes adoptaient le même style vestimentaire. Pour la jeune étudiante en journalisme, c’était un drame, originaire de la côte Est, elle connaissait les grands froids, et surtout les quatre saisons. En Californie, il faisait toujours beau et chaud, même à Noël ! La neige des Hamptons lui manquait terriblement, les gros pulls, les pantalons, les chaussures chaudes, à San Francisco, on était loin de tout ça !

    Je sais que ta mère n’est pas un modèle à suivre. Mais, tu sais Lina, une mère, on n’en a qu’une, et crois moi, que si la mienne était encore de ce monde…
    Elle marqua une pause, la situation n’était certes pas comparable, mais une mère restait une mère, et Caroll était convaincu que s’il arrivait quelque chose à la mère de Lina, elle s’en voudrait de ne pas avoir renoué le dialogue avec elle. Je ne veux pas me prendre la tête avec toi sur ce sujet, mais je voulais juste que tu sache ce que j’en pense.

    Caroll jeta un coup d’œil autour d’elle. Une fille, ou plutôt une femme portait les dernières chaussures Louboutin, sauf que ça ne lui allait pas du tout, mais alors pas du tout, ses chevilles étaient bien trop grosses pour que les chaussures puissent les supporter, ajoutez à cela, qu’elle portait un pantacourt, et une longue veste ! Mais elle débarquait d’où cette nana ? Pour Caroll impossible qu’elle soit parisienne, et effectivement, elle l’entendit parler au téléphone en allemand ! N’était pas Heidi Klum ou Diane Kruger, qui voulait !

    Quoi les hommes ? Raconte, si il faut que j’aille en remettre en place parce qu’il t’a brisé le cœur, je me ferais un plaisir !


    C’était de l’humour bien sûr, car elle savait très bien que si sa cousine avait un problème avec les mecs, elle était assez grande pour les remettre en place. C’est vrai qu’elles avaient toutes les deux un sacré caractère, ce qui faisait que dés fois, elles n’arrivaient pas forcément à se comprendre, mais au final, tout finissait toujours bien donc … Le sujet fatidique, Caroll et les mecs ! Powaa, depuis sa rupture médiatique et houleuse avec Edward, la brunette ne voulait plus entendre parler de relation sérieuse. Son histoire avec mister Atwoodth l’avait quelque peu refroidi et il faudrait un siècle avant qu’elle n’accorde de nouveau son cœur à un homme. Même si ça avait super bien commencé entre eux, la fin avait été tellement catastrophique, voir pathétique, que Caroll s’était promis qu’on ne la reprendrait plus à deux fois.

    Nada ! Tu sais les mecs pour moi c’est comme les chewing-gums... Au bout de 2 heures ça a plus de goût! Elle se marra. Mais c’était vrai, le temps d’une soirée et c’était bien suffisant ! Tu sais moi tant que je m’amuse c’est l’essentiel. Je ne suis pas comme la plupart des filles de mon âge qui veulent ABSOLUMENT avoir un petit ami, très peu pour moi ! Quoi sous prétexte qu’elle avait vingt deux ans, elle devait s’enfermer dans une relation sérieuse ? Non ! Caroll ne voulait pas passer toute sa vie avec le même homme, pour arriver à cinquante, et regretter de n’avoir connu qu’un seul gars ! Jamais de la vie ! Dis moi, toi qui connais Paris mieux que moi, tu dois bien avoir une ou deux bonnes adresses ! Je suis sûre que rien que dans cette, rue, tu connais quelques magasins, où je pourrais trouver des fringues que l’on ne trouve nulle part ailleurs dans le monde ! Je me trompe ?
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MessageSujet: Re: Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Il y a comme un air de famille ... PV Caroll EmptyVen 12 Nov - 23:33

    Je comprenais parfaitement que pour Caroll, toute cette histoire autour de ma mère devait la géner au fond d'elle. Je comprenais parfaitement, j'avais été là le jour fatidique où nous étions tous habillés en noir devant le symbole de la mort. Les larmes ruisselant sur les joues de nos proches m'avaient glacé le sang. Je n'oublierais jamais ce jour où ayant prit ma cousine dans mes bras je m'étais obligée à ne pas pleurer. J'avais toujours voulut être un modèl pour elle et bien que fuir l'université l'année dernière pour mainte raison, je n'oubliais pas que j'avais voulut me montrer forte, pour elle, pour qu'elle puisse se reconstruire. Bien sûr, la mort de ma tante m'avait causé énormément de troubles mais j'avais toujours essayé de montrer un visage rayonnant préférant sourire au visage atristé de Caroll car je savais que cela lui remonterait le moral ... Je comprenais donc sa position sur cette toute nouvelle histoire qui revenait de surgir du fond de l'oublie. Sauf qu'elle ne comprenait visiblement pas. Sauf que sa mère d'accord était décédée et je concevais totalement que la deuxième chance que j'avais elle aurait tout fait pour l'avoir. Malheureusement, sa mère à elle était partit sans le vouloir, contrainte à un autre destin ... Ma mère était partit en m'abandonnant, sans un mot, du jour au lendemain ... Elle n'avait jamais essayé de me revoir alors qu'il m'avait été si simple de la retrouver par mes pauvres moyens ... Non, je ne pouvais que lui en vouloir de m'avoir caché pendant tant d'années, le fait que j'étudiais avec son autre fille, le côté de sa famille dont elle s'était occupée durant des années pendant que moi j'avais trimée toute ma vie pour essayer de conserver un peu d'amour-propre, luttant contre le sentiment de ne pouvoir un jour sortir de l'impasse dans laquelle je mettais trouvée durant plusieurs années au brésil. Mais tout cela était révolue et j'étais dégoutée qu'elle ne soit même jamais venut à berkeley pour m'appercevoir même une seule fois ... Non, tout cela n'était que trop bien pour moi ! Mais pour Aurlanne par contre ...

    Je sais très bien ce que tu penses ma belle mais cela ne changera rien sur ce que je pense d'elle ...

    Mon point de vue était fait et aucune invitation de quelque sorte que ce soit de la part de quelqu'un de cette "nouvelle famille" pourrait me faire oublier ce que j'avais vécut pour en arriver où j'étais maintenant. Non, jamais et ça personne ne le savait bien sûr ... Puis le sujet des hommes tomba bien sûr et je ne pus que sourire à ses questions en attendent, avides de toute réponse qui sauraient égailler sa journée :

    Comment te dire ... Pff je n'arrive plus vraiment à gérer ma vie amoureuse ... Quand je pense tomber sur le bon, il faut obligatoirement qu'il y en est deux autres qui rappliquent ! Entre Shakespeare, Keven, Maxime ou Aymeric, j'ai du mal à avoir la tête sur les épaules !

    Je ris. Oui, on avait pire comme problèmes dans la vie mais pour moi ça avait toujours fait partit de mon lot quotidien. Jamais je n'arrivais à me poser avec un homme. Je vaguabondais de tête en tête dans l'espoir qu'un jour un seul me rattrape et me garde à ses côtés. Maintenant, j'étais sûr que cela n'arriverait pas avant perpète, après tout, j'étais une fille qui les attirait un à un mais qui les faisaient fuir étant comme qui dirait ... Le mythe de la croqueuse d'hommes. Bah fallait bien passer par là pour trouver le bon non ? Pff il ne comprenait visiblement rien ceux-là !

    Tu as bien raison m'enfin ... Caroll je veux pas plomber l'atmosphère et tu sais que tu peux tout me dire mais j'entend des choses à propos d'un certain Joshua et ...

    Au vue de la tête de ma cousine je me tus. Je n'aimais montrer les choses trop officielle et c'est ainsi que je ris, faisant mine de ne plus rien dire. Les gens m'avaient toujours fait confiance pour me parler et Caroll savait que j'étais la dernière personne à juger de quoi que ce soit ...

    Comme tu veux, un peu plus loin il y a un Starbuck si ça te dit !

    Discuter entre filles autant d'un délicieux café, que rêver de mieux ?!


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MessageSujet: Re: Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Il y a comme un air de famille ... PV Caroll EmptyJeu 18 Nov - 20:45

    De tous les sens ça ne sert à rien d’insister, on est aussi têtue l’une que l’autre.

    Ah ça les cousines avaient de sacré caractère. D’ailleurs Caroll était plus connue sur le campus pour son satané caractère que ses bonnes notes, qui pour étaient excellentes. Certains étudiants changeaient carrément de trottoir quand ils la croisaient. Avec elle pas de compromis, soit elle vous aimait, tout allait bien dans le meilleur des mondes, soit elle vous détestait et vous faisait vivre un enfer. Malheureusement pour le monde, il y avait plus de personne présente dans la seconde catégorie. Et donc, il ne se passait pas un jour sans qu’elle ne se prenne la tête avec quelqu’un. C’était comme un leitmotiv pour elle. A force, elle avait pris l’habitude, et les répliques, les insultes sortaient naturellement de sa bouche. Elle savait très bien qu’elle était redoutée par les trois quarts de Berkeley, mais elle s’en fichait. Pour elle, l’essentiel était les gens qu’elle appréciait, certes, ils n’étaient pas beaucoup, mais c’est ce qui les rendait encore plus important à ses yeux.

    Une chose est sûr, tu ne choisis pas les plus moches …


    C’est clair que s’il y avait bien une personne qui n’était pas douée pour donner des conseils amoureux, c’était Caroll. Elle n’avait qu’une relation sérieuse à son actif, et quand on voit comment cela s’est terminé. Quelques fois elle se demandait comment faisait ces personnes qui passaient leurs vies ensemble. Ses grands parents par exemple, ils avaient passé plus de soixante ans ensemble. Six décennies, sans jamais se dire un mot plus haut que l’autre, ils se respectaient, s’aimaient, et auraient fait n’importe quoi l’un pour l’autre. Deux âmes sœurs, qui avaient été au bon endroit au bon moment, et qui ne s’étaient jamais quittés.

    … Et si justement, tu arrêtais d’essayer de la gérer, et que tu laissais les choses se faire.


    Sa cousine lui parla ensuite d’un sujet que Caroll n’avait encore jamais abordé avec quelqu’un. Son mariage à Las Vegas avec Joshua Mclowndes. Oui, notre belle étudiante en cinéma s’était mariée. Mais n’allez pas croire, qu’elle avait rencontré l’homme de sa vie, et qu’elle avait eu subitement eu envie de l’épouser. Non c’était loin d’être cela. Elle était tout simplement allée à sin city avec des amies, et qu’après une soirée trop arrosée elle avait commis l’irréparable.

    Il n’y a rien à dire sur ce sujet ! Il y a tellement de rumeur qui court sur moi, celle-ci n’en est qu’un parmi tant d’autres !

    Caroll savait bien qu’elle pouvait tout dire à Lina, en plus d’être sa cousine adorée, elle était une amie proche, une confidente, mais là, elle attendrait encore un peu avant de lui parler de sa mésaventure à Las Vegas. Tout simplement parce qu’elle-même n’avait pas encore tout digéré, et que même si Caroll se foutait de tout, son mariage lui avait quelque peu retournée l’estomac.

    Huuuum… Un frappucino vanilla bean, j’en salive d’avance. Et avant que j’oublie, il faut absolument que tu me dises où tu as trouvé ton sac, car il est juste superbe ! Prenant le bras de la belle Lina, elle se dirigea vers la célèbre chaine de café américain…
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MessageSujet: Re: Il y a comme un air de famille ... PV Caroll Il y a comme un air de famille ... PV Caroll EmptyMar 30 Nov - 18:39

    Certe, nous étions très têtues et j'en conclus donc qu'il ne servirait à rien de continuer plus loin sur l'autre partie de ma famille que je venais à peine de découvrir et avec qui j'étais sûr d'avoir du mal du côté des relations que nous pourrions entretenir. J'avais toujours été très ouverte d'esprit mais là, trop c'était trop, il ne fallait pas m'en demander autant quand même. Les gens pouvaient le dire, j'étais très forte caractériellement. J'ai toujours mené la vie par le bout du nez et le moindre point négatif, je le prenais plus avec optimiste que d'une manière péssimisme, quoi qu'il en fut. C'était rare que je me mette dans des états impossibles mais là, c'était un terrain si glissant vers la Lina méchante et cruell, pleine de colère et de haine, que je n'allais sûrement pas m'y aventurer avant un bout de temps ! Je préférais continuer ma petite vie bien rangé comme elle était plutôt que de me prendre la tête avec une partie de ma vie dont on m'avais de toute manière, exclue malgré moi ! Enfin le sujet des hommes tomba et je ris. Loin d'être le genre de fille à soupirer car elle ne savait qui choisit entre ses prétendants ou parce que elle se prenait la tête à chaque texto, j'étais plutôt le genre à me fiche totalement de savoir ce qu'ils pensaient de moi, m'amusant d'eux qui étaient loin d'être dégouté par la tournure que prenais à chaque fois les évènnements. La plupart du temps, je gardais le contrôle dans toutes les relations non-sérieuses que j'entreprenais, une histoire de longueur d'avance je présume.

    C'est clair ! D'ailleurs pour les vacances de Noël, je vais partis à la neige avec Keven, ça peut être sympa histoire d'arrêter de penser que mon meilleur ami, ce cher Maxime m'a embrassé il y a deux jours ....

    Encore une longue histoire où mon ami d'enfance et moi nous étions retrouvés pour de chaleureuses retrouvailles sauf que lorsque cela avait dérapé dans sa chambre, je n'avais sut quoi en penser. Certe, plus jeunes, nous étions sortis ensemble mais cela n'avait strictement rien voulut dire et entre meilleur ami, cela était très étrange de voir qu'il y avait toujours une certaine attirance entre nous deux ... M'enfin j'étais sûr que ce petit week-end avec mon co-président de confrérie me ferait le plus grand bien ...

    Pourquoi pas...

    Je savais que Caroll de ce côté là avait eu un choc au début de l'année. Effectivement, je me rappelais toujours de cette fameuse période Edward-Caroll. Mais maintenant cela était finit et bien que j'étais très amis avec Edward, je me disais que leur rupture avait été réellement dommage car même au milieu de certaines disputes, je voyais bien qu'ils s'aimaient énormément et puis se connaissant depuis tous petits, ils se connaissaient pas coeur ... Mais c'était bel et bien du passé, n'envenimons pas la situation ...

    Oui, les rumeurs, je connais ...

    Néenmoins, je la lorgna en coin, de mon regard bleu foncé qui était en train d'évaluer ce qui pouvait bien se passer dans la tête de Caroll mais je ne fis aucune réflexion sur le fait qu'elle me dise la véirté ou pas. Après tout, cela ne me regardait pas c'était vrai et puis Ashlynn, ma meilleure amie avait l'air d'avoir tourné la page avec CEC ... Néenmoins, il fallait que j'arrête de jouer à Cupidon un jour ou l'autre c'est pour cela que je garda le silence... Nous arrivâmes enfin au Starbuck à l'angle de la première rue et j'entra dans le magasin, une odeur délicieuse de café m'envahissant soudain. Une fois la queue passé, un homme nous demanda ce que nous voulions prendre :

    Un Mocca tall s'il vout plait !

    Une fois servit, je sortis à la suite de Caroll et reprit :

    Et bien juste à Stradivarius ! Pas cher et j'adore cette boutique, elle me donne à chaque fois envie de tout acheter là-bas !

    Des étoiles plein les yeux je continua à marcher, prenant une gorgée de ma boisson chaude qui coula le long de ma gorge ...
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