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« I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY.

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MessageSujet: « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. EmptyMar 29 Juin - 17:49

ONCE UPON A TIME
Tristan O'leary
Dans la lecture solitaire, l'homme qui se cherche lui-même a quelque chance de se rencontrer.

« I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. 2815w7_th _____ « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. Th_95314_celeb_bw14_122_471lo
Otto C. Leonski _____ Tristan O'leary

    Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours aimé lire. Il y a, dans un livre, plus qu'une simple histoire, un monde entier. Des vies qui gravitent autour d'une société, de pays, de sentiments. Comme un endroit parallèle au nôtre. Peut-être que les livres que nous lisons ne sont que l'écriture des destins de ces gens parallèles, tandis qu'eux lisent nos vies, leurs débuts et leurs fins.
    Je suis entré à Berkeley il y a deux ans. Je lis toujours autant. Je n'y déroge pas, c'est un rituel pour moi. Le soir, avant de m'endormir, je dois avoir englouti au moins quelques chapitres d'une œuvre qui me plaît, parce que bien sûr, un bouquin qui ne me plaît pas n'a aucune utilité. Lorsque j'ai quelques heures de libre, quand je suis au calme face à la beauté de la nature. Tout le temps, quand on me l'accorde. Je lis.
    Par extension, la bibliothèque est sacrée à mes yeux. On y recueille les livres qu'on veut, et après lecture, on les rend, on en emprunte d'autres. Y a-t-il plus bel endroit qu'un recueil de mondes tous si différents ? Non, je suis convaincu que non.
    Rien d'étonnant à ce que je parte dans mon "temple" en ce dimanche matin. Le réveil est assez dur, hier soir, c'était la fête, sans aucune raison particulière d'ailleurs, et j'ai bu plus que de raison, ce qui m'arrive souvent ces temps-ci, allez savoir pourquoi ! La bouche pâteuse et les paupières collées les unes aux autres, je me casse la gueule deux fois, me prend la porte et le mur avant d'atteindre la salle de bain. J'ai une tête à faire peur, je serai même tenté de la cacher sous un sac plastique avant de sortir. Histoire de n'effrayer personne, vous comprenez ?
    Après de vains efforts pour paraître totalement réveillé, clean et canon, je vais vers le dressing. Une bonne gueule sans de bons vêtements, c'est inutile, surtout après ma difficulté à effacer toute trace de la soirée d'hier sur mon visage. Cheveux coiffés en un style décoiffé, dents blanches à en faire pâlir un glacier, regard souligné d'un léger trait noir, c'est parfait. A moi le tee-shirt bleu pétant, le jean noir d'encre, la casquette vert marin et les converses blanches. Voilà qui détonne !
    Je n'ai vraiment pas faim. Autant aller directement là où je pourrais profiter de ma matinée : la bibliothèque. Il est difficile de voir un bon moment autrement qu'entre ces murs et ces étagères couvertes d'ouvrages divers et variés qui me promettent des heures d'évasion.
    La décoration ancienne, les murs de briques rouges, le bois vieilli par le temps, j'ai l'impression de découvrir l'endroit que je connais pourtant par cœur. Ça me fait tout le temps ça quand j'y viens, on se croirait arrivé à une autre époque, dans une autre dimension, des siècles en arrière. C'est un peu le cas, à vrai dire.
    D'entrée de jeu, je trottine vers les rayons, passe mon doigt sur les reliures de cuir des vieux classiques de la littérature française, je feuillette quelques romans de science-fiction, et puis là, d'un coup, comme ça, j'aperçois un couloir mal éclairé qui m'intrigue plus qu'autre chose.
    Je décide d'aller jeter un œil. Après tout, pas de pancarte signalant que c'est interdit, le lieu est donc ouvert au public. Je m'engage dans l'obscurité. Au bout, une porte. Curieux, je la pousse, et cherche d'une main l'interrupteur sur le mur. Il n'y en a pas. Je lève la tête pour voir un petit fil pendre au plafond, me rappelant les lampes d'un autre temps que la force exercée sur un cordon pouvait allumer. Je tire, et une faible lumière tamisée inonde les étagères.
    Je suis entré entièrement maintenant, et derrière moi, j'entends le bruit significatif de la porte qui se referme. Je n'en tiens pas rigueur sur le coup. Je farfouille, je regarde, je scrute et je recherche quelque chose d'intéressant à emprunter, mais je suis vite déçu : ce ne sont que des manuels scolaires !
    C'est bien ma veine, moi qui pensait avoir trouvé un coin inexploré à exploiter, je me retrouve comme un idiot dans une réserve de manuels d'apprentissage en tout genre. Tant pis. Je vais pour ressortir, mais la porte ne s'ouvre pas. La porte ne s'ouvre plus ! J'ai beau tourner la poignée, la remonter, donner un coup de pied au bas du battant, rien à faire. Je tape du plus fort que je peux sur le bois dur, mais personne ne semble m'entendre. Et mon portable, que j'ai laissé à recharger dans ma chambre !
    J'aurais pu appeler Dakota. Elle serait venue, m'aurait ouvert, et hasta la vista, bouquins de cours. Mais non. Je suis coincé ici, comme un con, à attendre qu'un autre imbécile prenne la peine de venir mettre son nez ici. Hallelujah, quel bon début de dimanche en perspective !
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MessageSujet: Re: « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. EmptySam 3 Juil - 13:56

« I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. Th_95314_celeb_bw14_122_471lo « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. Ash_stymest_047
Episode 1 ;Tristan et Otto
Enfermés...O.K mais jusqu'à quand ?


    Combien de chance avait ce pauvre idiot – coincé dans cette réserve, à voir quelqu’un pointer le bout de son nez ?
    Une personne tout aussi stupide que lui, oubliant de retenir la porte ou de la laisser grande ouverte ? Ce sera Otto…étudiant à Berkeley qui se verra obliger de poser par lui-même ses bouquins par l’indisponibilité de la bibliothécaire.

    *

    Otto monta les dernières marches du grand escalier et soupira doucement. Le jeune homme transportait avec lui ses livres scolaires qu’il avait oublié de rendre. La raison de son retard ? Son éternel « désordre organisé ». Sous ses piles de vêtements, de choses et d’autres se trouvaient ici et là, ses manuels. Éparpillaient ainsi dans la chambre il lui avait fallu du temps pour les retrouver – attendre d’avoir fait son grand nettoyage. C’était ça le plus affreux pour lui. L’ordre…du moins ranger.

    Si son colocataire et petit ami actuel s’était plaint toute l’année de ses mauvaises habitudes de paresseux – et à laisser tout traîner, Otto pourrait peut être devenir le sauveur de quelqu’un aujourd’hui. Il l’avait toujours dit : « Je t’assure, ça sera vraiment utile un jour tout ce…foutoir ! » et Tomas hochait la tête, désespéré.

    Otto ouvrit la porte de la bibliothèque, aussi bruyamment qu’il pouvait l’être. La responsable le regarda sèchement et le jeune homme constata quelques élèves installés à des tables – pour travailler. N’en avaient-ils pas assez d’avoir le nez dans ces paperasses ? C’était les vacances…les examens étaient passés et bientôt sera venue l’heure du Bal de Promo. Et qui dit robes, costumes, musique déclarent la fin de l’année scolaire. Septembre était encore loin pour se résigner à travailler. Le polonais soupira et se posta devant le comptoir, faisant dos aux studieux qui reprenaient leur occupation. « Je viens ramener mes bouquins. » déclara t-il à la femme devant lui. Les mains sur ses hanches, elle le regardait dans les yeux, à travers ses verres de lunettes. Elle lui adressait un air grave, un peu moins appuyé que quand il était en train de faire irruption ici mais quand même. Il haussa les sourcils, commençant à battre doucement du pied. Il patientait, elle n’allait sûrement pas le regarder ainsi pendant longtemps…regarder ? Plutôt épier. « Qu’est-ce qui t’arrive ? » pensa t-il. « Vous êtes en retard. Vous auriez dût les rendre il y a deux semaines. » déclara t-elle en lui tournant le dos. Il était au courant... Ses doigts en suspension sur le clavier, elle plongea ses yeux verts dans ceux de Otto et lui demanda son nom. Le jeune homme n’avait pas l’habitude de venir ici. La bibliothèque avait dût, selon ses souvenirs, l’accueillir deux ou trois fois. « Otto Cyprian Leonski » Elle pianota sur le clavier, lui prit les manuels pour commencer à les examiner. « Si ça peut vous rassurer, je ne m’en suis pas beaucoup servit. » souriait-il. La procédure avait-elle répondu. Sans broncher, ce manège dura pendant deux minutes avant que Otto ne reçoive un papier sur lequel était indiqué que l’état était approuvé et donc pas de remboursements ou autre…Satisfait, Otto commençait à filer.

    Il s’arrêta net, la responsable lui désignant une rangée que formaient deux étagères. Otto devait les ramener tout seul. Que diable ! Otto soupira doucement et emporta les manuels avec lui, longeant l’étagère indiquée. Le jeune homme jetait un coup d’œil discret à quelques tables histoire de voir ce que trafiquaient les occupants. Une porte qui se ferma. Otto regarda au comptoir. La madame n’était plus ici.

    Une simple porte, peinte noire, dont les néons grésillant éclairaient mal tout le long du couloir. Otto trouvait l’endroit angoissant – il se croirait dans un film d’horreur. Quand est-ce que le tueur le frappera derrière la nuque ? Quand est-ce qu’un monstre à longues griffes et à la mâchoire en sang viendra le mordre et le manger tout cru ? Ou bien carrément un gros volatile cannibal – tel un aigle géant qui l’emporterait à coup de griffe par la fenêtre. Une pluie d’éclats de verres s’écroulant vers le sol. Puis eux…les longues et épaisses ailes de l’oiseau déployées vers l’horizon – le soleil flamboyant. Lui, suspendu dans le vide, criant la gorge déployée. Otto se mit à sourire tout seul et accéléra le pas. Il rabaissa le bâtant et ouvrit la porte.

    Une faible lumière noyait l’intérieur – une odeur de papier enveloppant tout l’espace et ça, jusqu’au plafond. Il ne voyait presque rien. Désespéré, il constata que l’ampoule n’allait pas faire long feu. Il employa son téléphone portable pour un peu plus avec la lumière de son écran. « Génial ! » grommela t-il.

    Otto ne captait pas ici. De toute façon, il ne captait pas dans la bibliothèque elle-même, alors imaginer un seul instant que dans cette salle dépourvue de lumière du jour, il allait détecter quelque chose. Otto ne prit pas la peine de se retourner pour fermer, sachant qu’elle le faisait toute seule.

    Et s’il n’avait pas fallu le faire ? Ignorer cette porte... Qu’en advenait-il de lui ? Otto ne pensait pas du tout à ça. Dangereusement, l’ouverture diminuée, à mesure qu’elle se rabattait. Otto secouait son téléphone portable, comme si cela allait entraîner une prise de réseau…infime soit-elle. Rien. Sauf quelque chose…un bruit.

    Otto se figea et scrutant l’obscurité presque opaque. Il y avait-il quelqu’un ? N’était-il donc pas seul ? Il jura sur sa tête d’assommer l’individu avec un son gros manuel de mathématiques. La porte claqua – il sursauta. Il était prisonnier. Mais il ne s’en doutait pas encore. Enfermé ici, Otto se sentait prêt à sauter en cas de danger.


Je trouve ça pas terrible, j'espère que aimeras quand même. Ce sera mieux ensuite :D

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MessageSujet: Re: « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. EmptyDim 18 Juil - 15:52

ONCE UPON A TIME
Tristan O'leary
Tell me more, cause all that you've ever said, it's not enough.

« I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. 2815w7_th _____ « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. Th_95314_celeb_bw14_122_471lo
Otto C. Leonski _____ Tristan O'leary

    Je me souviens avoir eu l'habitude de marcher, avant. Pour descendre au bord du lac près duquel nous vivions en Irlande. Je retrouvais le peu d'amis que j'avais là-bas, mais on ne pouvait jamais m'y emmener en voiture, les terrains étaient trop escarpés. Alors j'y allais à pied. Je traversais un large bosquet d'arbres aux branches étouffantes, qui cachaient la lumière, offrant au lieu une atmosphère lugubre qui, malgré moi, me plaisait. Il me fallait ensuite descendre une pente caillouteuse en prenant garde, toujours, à ne pas tomber, ou je risquerai d'y perdre un membre. Enfin, je rejoignais un chemin de terre plus ou moins plat qui longeait la rive, jusqu'à déboucher sur un semblant de plage où le sable n'était que de l'herbe plus verte qu'ailleurs. Pendant tout le trajet, je pensais.

    Quand on se retrouve tout seul, au milieu de la nature, on laisse nos idées vagabonder. Je me rappelle des réflexions que je me suis fait durant les ballades que j'entreprenais, en solitaire. C'étaient toujours des questions existentielles, sur la vie, la mort, l'avenir, le passé, les hommes, la foi, tout ça. J'étais petit encore, enfin, à peine un vrai adolescent, mais je me posais tellement de questions que j'avais le besoin irrépressible d'être un moment avec moi-même pour tenter d'y répondre.

    Je vous l'accorde, une réserve au fond de la bibliothèque, c'est loin d'être un coin isolé en pleine nature. Mais à défaut d'autre endroit, on s'accommode de celui où l'on est enfermé. Coincé dans le noir, derrière une rangée de livres qui me cache de la porte, cette traîtresse, je réfléchis à ma vie. En premier lieu, mes pensées vont vers Dakota. Parce que ce qu'on a fait m'obsède au plus haut point. J'ai dans la tête l'image de nos deux corps, nus, dans le même lit, et je me frappe le front du plat de ma main pour chasser ses souvenirs embarrassants qui témoignent des conséquences de l'alcool. Il faut que je lui dise, mon dieu, il faut que je lui dise. Je cherche la bonne formulation, celle qui sera parfaite, qui ne la fera pas me détester sans pour autant lui cacher la vérité, mais elle ne me vient pas. Elle n'existe pas, tout simplement. Et puis, je pense involontairement aux conséquences. Une gifle, ou un silence traumatisant. Une porte qui claque, des mots qui blessent. Une déchirure, peut-être. Sûrement. Bref, le chaos dans notre amitié.

    J'ignore depuis combien de temps je suis là. Je me suis assoupi, je crois, parce que mes réflexions intenses me semblent venir d'hier. Peut-être que je vais mourir dans cette vieille réserve décrépie, sans avoir eu le temps de dire à Dakota la vérité, sans avoir pris le temps de profiter des gens qui étaient proches de moi, sans avoir aimé, aussi. Sans avoir vécu. J'ai la gorge toute sèche, je crois que c'est la soif qui me tenaille, et évidemment, il n'y as pas de distributeur d'eau. Tiens... Des bruits de pas ! Quelqu'un arrive, c'est peut-être ma chance. La poignée s'enclenche, la porte s'ouvre, je regarde en toute discrétion d'abord, et je me fige. Là... Ce garçon !

    Je ne sais pas quel est son prénom. En réalité, je ne lui ai jamais demandé parce qu'on a parlé qu'une seule fois, et pas forcément en très bons termes. Nous n'étions pas agressifs l'un envers l'autre non plus, c'était juste un accident. Il m'est rentré dedans, m'a renversé sa boisson sur le tee-shirt, et je l'ai enlevé devant lui. Torse nu, donc, devant un mec plutôt mignon, là n'est pas la question. J'ai, sur le corps, les traces des âpres châtiments que me faisaient subir mon père. Brûlures, coupures, et autres cicatrices rosées par le temps. Il les a vu, évidemment. Son regard s'est posé dessus avec tellement de surprise que j'aurais pu en rire. Mais je ne l'ai pas fait. Je suis parti alors qu'il bafouillait de nouvelles excuses, et depuis, plus rien. Le coup du sort fait de lui mon sauveur. Mon ... sauveur ? La porte ! Je la vois qui se referme, et lui n'y prend pas garde. Pourquoi a-t-il fallu que mes pensées m'assaillent maintenant ?
    Elle claque, à nouveau, le noir complet. Son souffle résonne dans le silence, et je comprends alors que je suis enfermé pour encore longtemps. Merde.

    Je quitte mon doux repère, et me glisse à côté du jeune homme. Mon souffle se mêle au sien, et je crois qu'il l'a entendu lui aussi, parce que je me reçois un bouquin sur le crâne, ce qui me fait fichtrement mal !

    « AIIIE ! Tu veux pas ranger ce livre au lieu de me frapper avec, abruti ?! »

    Je perçois un mouvement de recul, mais je ne suis sûr de rien. On ne voit pas le bout de son nez, alors pour déchiffrer les expressions de son visage, je suis mal barré. Il ne me reste que les mots qui passeront ses lèvres pour faire la psychologie de ce violent intrus.

    « Tenir la porte aurait été une bonne idée. M'enfin. Je m'appelle Tristan O'leary, et on s'est déjà bousculé, mais je n'ai aucune idée de ton prénom. Non pas que ça m'intéresse, rassure-toi. Je suis juste poli. »
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MessageSujet: Re: « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. EmptyLun 20 Sep - 10:06

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MessageSujet: Re: « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. « I have something to tell you. » | Otto C. LEONSKI & Tristan O'LEARY. Empty

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