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On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto

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MessageSujet: On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto EmptyLun 12 Avr - 18:09



ON NE ME DIT PAS NON.
On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto Wmjn1e
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Je voudrais combler ce manque
Mon obsession me hante,
J'en ai jamais assez, je voudrais bien trouver
Que j'ai beaucoup de chance,
Me rendre à l'évidence
©PAROLES SUPERBUS (image ffffound)


    J'avais mal au pied, constatai-je alors que je sortais joyeusement de chez moi en sautillant. C'est fou, de se rendre compte de ces choses après une nuit passée a courir et danser frénétiquement en boite et d'être malgré tout surprise. J'aurais pu m'applaudir de ma capacité à m'emerveiller si tôt le matin et après une nuit blanche, si je n'avais pas été en retard. J'avais deux heures de cours consacré au rattrapage de mon sommeil avant de commencer ma vraie journée, et une petite corvée à faire également. Car je ne me contentais pas de me pointer à l'université pour simuler l'activité d'étudiante en géographie, non, je gerais aussi une carrière musicale, et j'avais une pochette de single qui attendait gentillement d'être realisée. Mes creatives, Svetlana et Olenka, avaient travaillé dur sur ce projet, à moi maintenant de leur ramener ce qu'elles me demandaient. A savoir un mannequin assez bien foutu pour porter une chemise de bucheron avec classe.
    J'entrais d'un pas assuré, le sourire au lèvres, ignorant cette sale douleur plantaire. Je souriais aux quelques OMEGA présents sur mon chemin, et envoyait des regards charmeurs aux beaux mâles. On ne change pas sa nature, si? J'aperçus enfin la maison zeta, après une marche douloureuse le long du chemin des grecs. C'était un batiment grouillant de monde, aux accents variés, mais dont l'entrée était reglementée. Il allait falloir jouer de son talent. J'aimais ça. J'abordais la demoiselle qui semblait en charge du controles des visiteurs
    « Excusez-moi, je suis une nouvelle arrivante, malheureusement mon guide m'a laché pour une blondasse refaite... enfin, c'est ici que se trouve la résidence zeta? » déclamais-je dans mon meilleur polonais. J'avais introduit des expressions riches, pour faire plus vrai.
    « Chambre ou appartement? » dit-elle avec un air contrit, dans un russe magnifique. Elle n'avait pas froid aux yeux, prendre une polonaise pour une russe...
    « Appartement étudiant, je ne suis pas n'importe qui! » déclamais-je, en la prenant de haut.
    « Third floor. »
    Quelle idiote! Enfin, je fis claquer mes talons, empruntais l'escalier jusqu'au premier étage et m'arretais devant une chambre. Otto Leonski. Ils auraient du remplacer ça par Kleinen Fräser. C'était comique, moi, qui avait été un temps la DJ polonaise à la mode, quemandant une séance à un mannequin dont la célébrité s'arretait à son pays natal. Enfin, je n'avais pas le temps de rire. Sans gêne, il avait refusé la demande que lui avait fait mes créatives. Je detestais me deranger, mais quand je le faisais cela marchais toujours. J'ouvris la porte, découvrant un jeune homme ronflant. De ma poche, je sortais une petit flasque de vodka, buvait une petite gorgée, avant de lui renverser dessus.
    « Reveillé? Tant mieux, j'aurais mal apprécié de m'être derangée pour rien. »

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MessageSujet: Re: On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto EmptyLun 12 Avr - 19:09

    On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto 20swp6r On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto Jpvsxk_th

    Xelle & Otto
    Si tu te lèves tous les jours du pied gauche ;
    tu finiras par avoir une jambe plus courte que l'autre.

    Otto était rentré très tôt aujourd’hui – après avoir assisté à une fête étudiant, réunissant tous ceux qui le désirait. Bien évidemment, le jeune homme n’avais pas échapper à la règle et s’y était rendu histoire de passer une bonne soirée et peut être de faire de nouvelles rencontres. L’alcool avait coulé à flot et il n’avait pas hésité une seconde à en boire, ni même à fumer quelques joints. Otto n’avait pas perdu ses bonnes habitudes et heureux de constater que les Américains savaient aussi bien faire la fête que chez lui, en Pologne, il avait suivit le rythme.

    Quatre heures quinze fût l’heure où il rendra à son appartement étudiant. Il avait suffisamment d’argent pour s’en être pris un au lieu de partager une chambre avec un colocataire ou une – prenant ainsi le risque de ne pas s’entendre avec l’un et l’autre… Puis être seul chez son petit nid, si on pouvait appeler ça comme ça permettait d’accueillir qui il désirait… Cependant, il avait préféré rentrer en solitaire après cette soirée.

    Otto dormait profondément et il n’entendit pas sa porte s’ouvrir – car oui, le misérable avait oublier de fermer à clef. Chose qui n’était pas vraiment prudente mais il n’était pas dans l’état de le comprendre – dans les vapes, fatigué, il n’avait pas cherché à comprendre et s’était couché, sans prendre de douche, prenant juste le temps de se déshabiller, les yeux fermés.

    Son ronflement avait très vite enveloppé le silence de l’appartement.

    Il était donc très tôt ; et malheureusement pour lui, sa nuit serait plus courte que prévue. Allongé sur le ventre, la bouche ouverte il fût arrosé et donc secoué – extirper de ses rêves. Otto sursauta brusquement et n’eut pas le temps de réaliser qu’on lui parlait alors. Qui était-ce ? Otto ignorait encore l’origine de son réveil brutal…il se sentait tout simplement humide et pensa très vite qu’il avait put uriner sans s’en rendre compte et que cela fût la cause de son réveil.

    Mais le jeune homme ne tarda pas non plus à réaliser amplement que ce n’était pas le cas et qu’une fille se tenait devant son lit. Otto se retourna et finit par rester sur le dos, yeux clos. Le jeune homme les ouvrit alors et prit de panique se recula avec rapidité contre les cousins.

    Qui était-elle ? Que voulait-elle ? Otto ne comprenait décidément, rien du tout.

        OTTO · Qu’est-ce que tu fou là toi ?
        S’exclama t-il en la dévisageant.


    Un flash lui revint alors quand une migraine aigu le prit. Otto grimaça sévèrement et la regarda dans les yeux, lançant des flammes, comme s’il lui en voulait d’être ici.

        OTTO · TOI !


    Otto se souvenait de ce contact humide qu’il n’eut pas le temps de repousser, mise à part la seconde fois où elle commençait à déboutonner sa chemise à carreaux. Il ignorait son prénom, mais il était persuadé que de son côté, elle savait son identité. Puis tout lui revint à l’esprit : Cette chanson, puis cette demande de poser sur une pochette, pour quelques photos. Complètement ridicule. Otto se leva et resta debout sur son lit avant de descendre sur ses pieds, la moquette lui caressant la peau nue.

        OTTO · Qui t’a permis d’entrer ? ! Pour qui tu te prends ! Qu’est-ce que tu veux ?


    Otto sentait la rage monter en lui.
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MessageSujet: Re: On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto EmptyLun 12 Avr - 22:14

    J'avais au moins réussi à le reveiller, c'était le principal. Depuis longtemps, j'avais appris qu'un mec eveillé qui ne vous sautais pas à la gorge, c'était bon signe. La vodka embaumait dans la pièce, melée à d'autres effluves purement... masculins. Je me sentais dans mon élement, jouant le rôle de l'intruse indésirable. Dans ma famille, on me traitait déjà comme quelqu'un de trop, alors à l'université, je n'esperais que ça change.
    J'observais Otto se refugier contre ses coussins, tel une bête traquée, avant de me fusiller du regard. Oh, que j'aimais être méchante ! Je replacais une mèche blonde derrière mon oreille, retenant un sourire. J'avais le profil parfait de la guerrière, bien campée sur ses deux jambes, les mains sur les hanches, bien décidée à ne pas en demordre. Ma maison de disque comptait sur mon single pour relancer ma carrière, sinon j'étais fini. Et tout ça dépendait d'un polonais furieux à l'heure actuelle. Il était d'ailleurs plutôt vindicatif, vu l'heure. Je n'allais néanmoins pas le contrarier.
      « L'autre idiote russe postée à l'accueil n'a été que trop heureuse de me faire entrer. » dit-je dans un anglais teinté d'accent. Il suffisait que je dise trois mots dans ma langue natale et ça s'entendait pendant des plombes. « Je me prend pour ce que je suis, à savoir Xelle Stanislava Amram; et je viens te voir au nom de la maison de disque Fueled By Ramen.» On sentait la fierté que j'avais d'être associée à une maison abritant de si bon artistes.

    Je sortis une autre flasque de vodka, pour me donner du courage. Il était visiblement trèèès long à comprendre et assimiler. Je bu le contenu en son entier, en pensant à la troisième flasque presente dans mon sac. Détendons l'atmosphère !
      « Enfin, tu peux m'appeler Stan' ou conasse, au choix.» ajoutai-je. J'avais chaud, dans mon jean noir, mon blouson vintage et cette saleté de chemise blanche. J'enlevais le blouson, et dans un geste artistique, effectuait une pirouette, cherchant quelque chose à dire... avant de me rendre compte que ma bretelle de soutien-gorge avait foutu le camp. Quelle belle journée en perspective. « J'en étais ou? Ah oui, Fueled by Ramen. T'sais, ils ont payés très cher des creatifs pour trouver un concept pour un certain single. Et, tu sais quoi, tu fais parti du concept! » dis-je, en le pointant du doigt. « Si il manque une partie du concept, je sais pas, c'est comme si il manquait un beatle chez les beatles, tu vois? » je m'embrouillais. « Donc en gros, je suis la de bon matin pour recuperer une signature de la part du morceau manquant du concept. »

    Mon sourire était de moins en moins sincère au fur et à mesure que mes paroles perdaient leur sens. Ca me saoulait de parler en anglais , avec tact, et un minimum de gentillesse.
      « Et nous savons pertinemment combien je peux être chiante quand je n'ai pas ce que je veux! » concluai-je en matant son torse. On ne se refait pas.
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MessageSujet: Re: On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto EmptyMar 13 Avr - 0:11

    On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto 20swp6r On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto Jpvsxk_th

    Xelle & Otto
    Si tu te lèves tous les jours du pied gauche ;
    tu finiras par avoir une jambe plus courte que l'autre.

    Un garçon qui ne sautait pas à la gorge ne voulait pas dire qu’il allait s’abstenir bien longtemps encore. Otto lui en voulait amèrement et le fait d’ignorer son prénom lui était bien égal – le jeune homme n’allait pas se retenir pour lui faire comprendre qu’elle n’était pas la bienvenue ici surtout qu’elle l’avait réveillé si brusquement soit-il : de mauvais pied. Le jeune polonais avait envie de lui balancer quelque chose à la figure !

    Otto la regardait toujours aussi méchamment. Elle avait beau être fière de l’avoir réveillé, remettant une mèche derrière son oreille, pour lui, ce ne la rendait pas gracieuse bien au contraire – ce geste et cette sensation, ce désir de ce sentir supérieur lui donner plutôt des airs de vieille sorcière grincheuse – il avait envie de vomir…

    Ses histoires d’argents et de business, Otto en n’avait rien à faire. Cela l’importait peu de savoir que lui seul pouvait lui venir en aide pour sa pochette d’album. Le jeune homme l’écoutait parler sans rien dire, quoi rajouter de plus mise à part le fait que ses paroles entraient et sortaient – juste de passage dans son crâne. Si peu importe pour lui. Egoïste ? Sûrement pas.

    C’était elle qui était venu vers lui, pour lui adresser un baiser qui n’en était pas vraiment un – indifférent il l’avait été. Peut être que son emportement n’aurait pas été là – mais dans la mesure où cette jeune fille dont il ignorait encore le prénom avait osé pénétrer dans son appartement, c’était une autre histoire.

    Xelle…c’était son prénom. Sans même qu’elle ne l’indique, il devina qu’elle était polonaise elle aussi. Ce qui l’amusa malgré fut le fait qu’ils se faisaient la guerre – au lieu d’entretenir ensemble une relation positive et solidaire. Mais elle n’était pas lui : arrogante…trop à son goût, puis sans gêne non plus.

    Otto en avait décidément rien à faire d’elle et voilà que Xelle lui parlait de sa maison de disque. Il ricana doucement et répondit à son invitation :

        OTTO · Pour toi ce sera « grosse timbrée » oui ! Restons poli tout de même.


    Voilà qu’elle prit ses aises, retirant son blouson, l’envoyant alors valser par dessus bord. Il atterri sur un pouf. Otto la dévisagea alors et s’approcha de celui-ci pour le reprendre et le balancer à sa figure.

        OTTO · Laisse moi rire un peu. T’es pas chez toi grosse timbrée ! Et puis j’en ai rien à cirer de ta pochette de CD ! Ce n’est pas à cause de moi tout ça. Je ne m’engagerais en rien venant de toi. Tes affaires sont les tiennes tu m’entends ? Je suis libre de dire oui ou non. Le droit à l’image du connais. Puis après tout tu n’avais pas qu’à venir m’embrasser et faire une fixation sur moi à tel point que cela devienne une obsession – en faire une musique. Mais tu t’entends quand tu parles ? T’es complètement folle oui ! … Prends un autre gars…tu n’as pas besoin de moi. Je ne veux pas ma tête affiché sur ta fichue pochette. Tu lui coupera la tête, tu ne prendra que son corps puis si je comprends le concept, c’est la chemise à carreau qui compte. Ton fantasme…donc shit ! Tu n’auras pas mon autorisation ! Le problème est clos et dans ce cas là … je te pris de sortir, merci.


    Otto s’assit sur le rebord du lit pour commencer à enfiler son tee-shirt, exténué – respirant doucement…

        XELLE · Et nous savons pertinemment combien je peux être chiante quand je n'ai pas ce que je veux!

        OTTO · Pour être chiante tu l’es oui ! Cependant….
        Il la regarda dans les yeux.

        OTTO · J’espère que tu aimes la déception … tu n’auras pas ce que tu veux pour une fois !


    Otto n’avait pas encore enfiler son tee-shirt tellement il était tendu.
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MessageSujet: Re: On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto EmptyDim 18 Avr - 16:33

    Je n'avais pas employé la bonne méthode, mais j'étais persuadé que dans le fond, j'arriverais à tirer quelque chose d'Otto. J'avais déjà eu affaire à des cas plus difficiles, des négociations avec des gens réellement intelligents. Lui, c'était un étudiant polonais très ordinaire. Irritable, à cran, sur de lui. Pas un vrai challenge. Au pire, si il s'en prenait à moi, ce serait une bonne occasion de lui montrer combien les apparences sont trompeuses. Je suis une tueuse, une chieuse, doublée d'une invivable tête de mule.
    Peu importait qu'il m'aime ou me déteste, j'étais habitué. J'avais juste un but précis, un contrat à faire signer à une personne précise. Apparemment, exposer le problème calmement en utilisant des termes simples et un minimum respectueux était totalement inefficace. Je souriais toujours, narguant son énervement. Oui, j'étais totalement mal élevée! Mes parents s'étaient moqué de mon éducation et voilà le résultats. Pendant qu'Otto déversait sa frustration sur moi avec un charmant surnom, je trouvais la clef dans le désordre de la chambre et ... fermait la porte.
      « Quand à toi, je suppose que ce sera pigeon? » déclamais-je en plaçant la clef dans la poche de ma chemise. Si il essayait de la reprendre, j'aurais le temps de voir venir. Je rattrapais mon blouson avant que celui n'atteigne mon visage, et l'enfilai à nouveau. Essaye de me reprendre ta clef, pour voir.

    Je le laissais dans son désir paranoïaque, me traiter de folle. Le pauvre, si jeune et déjà en train de radoter. Quand à mon concept, il n'avait rien compris et pas non plus la chanson. J'en avais marre de ses délires... J'avais beaucoup de fantasmes, en dehors de lui. Notamment le roux qui vivait à l'étage du dessus, et à qui je rendrais une visite si Otto ne prenait pas trois plombes à accepter. Je sortis mon téléphone portable, composant le numéro du photographe responsable du shooting. Un polonais bien connu. Je me retournais vers Otto, contente et lui parlais en polonais.
      « Je pense que le mieux pour que tu comprennes ce que j'ai essayer de te dire, ce serait de parler avec le photographe du projet. Il est aussi très motivé pour t'avoir dans ce shooting. » je lui passais le téléphone. Au moins un peu de répit avant la suite des hostilités..

    Il se trompait lourdement, j'allais avoir ce que je voulais.

hj ; nul de chez nul, pardon.
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MessageSujet: Re: On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto On ne me dit pas non, tu devrais le savoir. | Otto Empty

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