You know me but I do not know you
J'arrivais devant l'université de Berkeley. Il y avait beaucoup de monde, de parents, de jeunes, d'anciens, des profs. Je dois dire que c'était assez impressionnant. J'avais deux grosses valises que je tentais tant bien que mal de tirées derrière moi. Ma mère n'avait pas pu être là pour mon arrivée içi, mais elle m'a dit qu'elle repasserait plus tard. C'est sa quand on est avocate. Elle avait insisté pour que ce soit Will, notre chauffeur qui me dépose devant l'université. Avec notre limousine, moi qui voulais essayer de passer inaperçu c'est raté. Je me retournais et dit à Will:
-Je me débrouille, ne t'inquiète pas. En lui adressant un petit signe de la main. Il m'envoyea des bisous avec la main, et partit.
L'université est immense, je suis certaine que je vais ma perdre. Je décidais de suivre le flot d'élèves, ce qui me conduisit vers ce qui semblait être le bâtiment principal. Je m'arrêtais devant, en plein milieu du passage. C'était le début d'une nouvelle vie, j'allais me refaire des amies, revivre des expérience, me reconstruire. J'avais tant attendu ce moment de sérénité. J'en eu presque les larmes aux yeux. Papa serait fière de moi, j'en étais certaine. Je regardais autour de moi, je souris légèrement,j'étais heureuse, je n'avais ressenti cette sensation depuis quelques temps déjà. Malgré que je me trouve en plein milieu du passage, les élèves continuaient leurs chemins, trop occupés pour faire attention à leur environnement. Dommage!!!
Il devait bien être quatorze heure et des poussières, la chaleur était insoutenable à cette période de l'année, en même temps quoi de pls ormale que du chaud en Californie, je n'allais pas me plaindre, et pis detoute façon cela me fessais changer d'air comparé au Canada, je suis içi depuis longtemps mais je ne le suis jamais habituée. Enfin, je commence à m'y faire, il serait peut-être d'ailleurs, non? Je pense, mieux vaut tard que jamais. Maman ma dit que Berkeley est la deuxième meilleure université au monde, rien que sa,je n`avais jamais imaginée qu`un jourj'intégrerais une aussicélèbre université. Etonnant, me diriez-vous de la part d'ue fille qui à vécu dans le luxe et qui connait la richesse. Maismes parents ne m'ont pas élevée dans cette optique là. Ils m'ont toujoirs dit que l'argent ne fait pas le bonheur, et vous pouvez en être surcar malgré le fait que mon père soit un sénateur cela ne la pas empêcher de mourrir.
J'avais hâte de rentrer dans cet immense hall, mais une sensation de stress commecai à m'envahir, je commencais à m'imaginer seule, sans personnes encore une fois. NON!!! Je ne pouvais pas penser à sa, je ne devais surtout pas. Il n' y a aucune raison de s'inquièter, içi c'est tellement grand que je trouverais forcement quelqu'un. Une fois revenue sur terre, je remarquais que je 'avais pas changé de palce depuis au moins cinq minutes. Je me décidais enfin à entrer. Je passais sous la grande porte principale. L'intérieur était
extrêmement bruyant, une vraie cacophonie, des élèves qui parlent dans tous les sens, pleins devalise de partout. Cela doit être drôle à voir de l`extérieur. Je me dirigeai alors vers ce qui me semblais les bureaux d`entrée, tous les jeunes gens comme moi se dirigeaient vers cette direction.
Je mis quelques minutes à me réperer dans toute cette foule. Je me dirigeais vers un des bureaux, où l'on me donna mon emploi du temps et le numéro de ma chambre. J'étais chez les Epsilon, la confrérie des enfants de riches. Oui, mes parents sont riches et je peux faire ce que je veux, mais je ne suis pas comme ça, je ne le suis plus du moins. C'est moi qui aie choisi ma confrérie, elle avait l'air bien et sur les photos que j'ai vu, les jeunes paraissaient vraiment contente d'être là. Pourquoi pas?
Je ne savais quelle sortie prendre, et encore moi où aller, le plan que m'avait donné la secrétaire avait beau être ultra-précis, je n'avais jamais eu un grand sens de l'orientation.
Je pris la décision de sortir du grand hall, pour essayer de m'y retrouver grâce au panneau qu'il y avaient un peu partout dans l'universitée.
Il fallais que je fache deux ou trois trucs avant d'aller dans la résidence étudiente que j'avais choisi, Le Scandels. C'est une résidence étudiante de San Fransico, où comme son nom l'indique il n'y a que des étudiants de Berkeley et je crois d'une autre université. Je n'avais pas pris de chambre sur le campus, car j'aimais avoir mon coin tranquille à moi et ne pas rester tout le temps sur le campus. Je n'ai pas envie de retourner chez moi à chaque vacances. On m'avais donné les clés de mon casier, de ma chambre. C'était la une. J'irais tout à l'heure, je voulais d'abord découvrir l'université. Avec mes deux valises, c'est tout de suite mon évident de se balader à son aise. La résidence se trouvais dans le Southern de San Francisco. Ma mère comme cadeau d'arrivée m'avait acheté une voiture, j'avoue qu'elle fait vraiment gosse de riche mais c'est ma voiture et elle claque...Vraiment?
J'avais au début, l'intention de prendre les transports en communs, mais ma mère n'a pas été du même avis que moi, du coup je roule en Range Rover Evoque blanc. Très belle bagnole je dois avouer, mais peut-être un petit peu trop grosse pour moi. Pas grave, je fais avec. Je crois que c'est un ami de ma mère qui l'a choisi pour moi, dans une communication telephonique j'entendais ma mère dire que je n'aimais pas les grosse voiture. C'est vrai que ma première réaction en la voyant à été; "Mais maman, qu'est-ce que je suis censé faire de ce truc"..Mai sa c'était avant. Maintenant, j'étais conquise par cette voiture.
L'université est sacrément grande, c'est un dépaysement totale, et je ne suis pas la seule à ma sentir un peu perdue dans tout sa. Je suppose que beaucoup d'élèves ont dû ressentir sa en arrivant. Je retournais dans le hall afin de demander comment aller au Scandel rapidement, et surtout pas quel moyen.
Je peux dire que aller dans le sens du courant ce n'est pas facile, je coupais à travers une petite allée, où il n'y avait pas grand monde, et après quelques secondes à errer .
J'essayais toujoirs de me reprer quand soudain, quelq'un me rentra dedans. Ou plutôt dans mes valises. Et non, je ne suis pas tombée comme on voit dans tout ces films où le beau gosse rencontre une fille. Je crois juste que je l'ais gené avec mes valises, qui fessaient obstacles derrière moi. Et c'est morte de honte que je dis au jeune homme qui se tenait en face de moi;
-Oh, exusez-moi, je suis vraiment désolé. Je vous avez pas vu, mais vous êtes sorti de nulle part. Vous vous êtes fait mal?demandais-je, à une vitesse au-dessus de la normale. Ma dernière question était pathétique mais je n'ai rien trouvé de mieux.